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Marjorie LigonnetArchitecte diplômée d’Etat
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00 Sommaire
Territoires - études urbaines01 Le Futur commence ic i
02 Rés i l ience urbaine
03 Evolut ion par is ienne
Habiter - logements et petite échelle04 Habiter le coteau
05 Respirat ion urbaine
Partager - équipements 06 Générat ion(s) Partage
07 Quel le ENSA pour la P la ine ?
08 P layStr ipes
09 Traverser le Nidelva
Inspiration - plastiques10 Architecture & photographie
11 Inspirat ions norvégiennes
B. da Silva, chercheur du laboratoire de recherche en matériaux composite bois :
« Le quartier Erdre-Batignolles a beaucoup changé depuis 30 ans. Ce territoire jadis à la frange de la ville est aujourd’hui une polarité majeure de la métropole Nantaise. C’est notamment devenu un pôle d’excellence pour le développement de la filière bois.J’ai fait mes études dans la nouvelle École Supérieure du Bois, l’année même où elle s’est agrandie aux Batignolles. Maintenant je travaille au laboratoire de recherches dans la grande halle.A l’époque, le chantier a été audacieux. Une des grandes halles a été rénovée en lieu de recherche et de production innovante autour de ce matériau. On y a installé des ateliers d’ébénisterie, produisant un artisanat de haute qualité, des lieux de formations et d’apprentissage et aussi le laboratoire d’expérimentation sur des matériaux composites bois pour lequel je travaille. Dernièrement, nous avons mis en place une convention avec la Mairie pour pouvoir investir une partie de l’espace public du talweg qui mène jusqu’à l’Erdre. Avec les étudiants et les ateliers, nous y avons installé des structures gigantesques en bois, afin de tester leur durabilité. Ces grandes sculptures inutiles seront un jour démontées et analysées. En attendant, elles font le bonheur des enfants. »
F. Oubda, retraitée, nouvelle habitante des maisons du talweg :
« Je suis arrivée ici deux ans avant la grande inondation de 2048. J’étais assez contente d’avoir obtenu un logement côté parc du talweg. Ça me rapprochait de mon fils qui habite la Jonelière. Même lors de la grande inondation, lorsque le tramway a été paralysé, il passait me voir toutes les semaines avec les enfants grâce au Chronobac.C’est drôle, parce que pendant ces deux années, je n’avais connu les grandes prairies du parc qu’entièrement pratiquables. Mais durant les dix mois où il a plu, tout a changé. Le bas du parc s’est rempli d’eau et toutes ces grandes herbes ont poussé, c’est devenu un peu la jungle. Les cormorans venaient même sécher leurs ailes sur mon balcon !Nous, nous n’avons rien eu ici, contrairement aux maisons plus bas sur l’Erdre avec les glissements de terrain. C’était la pagaille dans tout Nantes avec toutes ces routes coupées et le tram qui ne fonctionnait que pour les approvisionnements. Mais ici, en vingt petites minutes de marche, je suis au port-gare des Jalles pour traverser. Le Chronobac c’est bien utile pour moi. Au début, ils l’ont installé pour faire la liaison avec les facs du Petit-Port, mais maintenant tout le monde le prend ! Quand il y avait l’eau jusqu’au café de l’Avenir, dans le talweg, où on a notre club, ça me rappelait les cabanes tchanquées du bassin d’Arcachon, quand elles étaient encore dans l’eau, dans les années 2000, avant que le bassin ne soit tout ensablé... ».
R. Lechnach, coureur de fond, membre du Collectif des Évalueurs :
« J’habite le Ranzay depuis 2 ans. Comme je suis coureur de fond, c’est idéal pour moi. Je fais mes entrainements quelle que soit la saison. Avant je faisais plusieurs tours de mon quartier, j’avais un peu l’impression d’être un hamster… Maintenant j’ai plusieurs trajets. Le plus régulier, c’est la boucle des 6km. J’habite, vous savez, en haut de la cité-forêt. Je prends le grand sentier là, qui traverse vers le sud, et je rattrape le chemin du talweg caché. Puis je longe le ruisseau jusqu’au bassin olympique filtrant de l’Erdre. Là, je bifurque à droite, je passe par le port-gare des Jalles et je poursuis en longeant la rivière jusqu’à tout là haut, le grand parc Expo-sition-Beaujoire. Après, je reviens par la Haluchère et je fais tout le grand tour des Batignolles. Pour revenir, je passe par le quai-belvédère, j’aime bien surplomber le parc du talweg, surtout au printemps, le matin tôt avec la brume. Je passe par la place de la halle du marché et je rejoins la route du bois pour rentrer chez moi.Je fais maintenant partie du Collectif des Évalueurs. C’est mon fils qui m’en a parlé. C’est pas mal, on recense toutes les distances et chemins parcourus à pied dans la ville. On connait bien le terrain, et quand on court régulièrement, on repère vite les endroits. Surtout, on connait tout le monde. C’est plus facile de savoir si on peu obtenir de tel ou tel propriétaire la possibilité de faire un passage public pour faciliter les trajets. Une fois par trimestre, on fait remonter les informations.C’est un peu grâce à moi si la journée, on peut traverser le beau parc de la maison de repos du Ranzay. Ils ont mis des années à accepter, mais maintenant tout le monde est ravi. Voir la ville qui passe à nouveau sous leurs fenêtres, ça a fait beaucoup de bien à toutes ces personnes âgées ! »
E. Kwurzia, maraîchère, coordinatrice du marché des Batignolles :
« Cela fait neuf ans que je travaille à développer le marché des Batignolles. Pour nous, maintenant, on distribue toute notre production par le tram-fret depuis qu’ils ont prolongé la ligne. C’est pratique et c’est plus simple aussi pour les déballages. Depuis 5 ans, pour optimiser l’utilisation des wagons, toutes les semaines, après les trois matins de marché, on prolonge et on livre nos clients professionnels sur toute la ligne. Ils viennent récupérer leurs produits aux stations en vélo-cargo ou en tricycle électrique. Au retour, on récupère aussi les importations qui arrivent à la gare.Ça a changé beaucoup de choses. La vie des restaurateurs par exemple. Je crois aussi que c’est une des choses, avec le prix des voitures et de l’électricité, qui a pas mal contribué a encore diminuer le trafic, vu qu’on achemine tout comme ça maintenant. J’ai vu une photo du centre ville avant, il y avait des poteaux pour empêcher les voitures de stationner sur les trottoirs, cela semble assez délirant aujourd’hui.Batignolles, c’est bientôt le plus gros marché de Nantes. Il y a des besoins, la population du quartier a été multipliée par 10 autour du grand parc de la Beaujoire ! »
Habiter au Ranzay : témoignages
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Concours d’idée 2014 - Projet Lauréat Equipe : GRUE architectes/ rraguccia paysage/ Merril Sineus chercheur/ Marie-A. Arnaud paysagisteObjet du marché : Réfléchir au renouvellement urbain du quartier Ranzay à Nantes.
Notre équipe a choisi de fabriquer la ville par le paysage, partant du constat duquel le grand territoire, sur lequel s’est progressivement construit le quartier, a été oublié et morcelé.Ce projet révèle des milieux, morceaux de territoires cohérents, homogènes et habités. C’est à partir du socle géographique existant que les opportunités et l’investissement des habitants fabriqueront la ville. Le projet distingue ainsi trois grands milieux, desquels naissent habitations et lieux publics : + le Bois haut, forêt propice aux habitations, sur les points hauts de la butte, autour du Tramway ; + le Talweg caché, une continuité publique fédératrice, depuis l’Erdre jusqu’aux plate-formes ferroviaires. Il se base sur le système hydraulique existant.+ la Plate-forme, vis-à-vis essentiel surplombant le quartier. Cette plate-forme industrielle forme un milieu par son échelle.
01 Le Futur commence iciLe Ranzai 2030, la mutation d’un quartier / Nantes / 44
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Aménagement parcellaire - Démarche paysagère et environnementale | aménagement d’espaces de rencontre, parcelle auto-suffisante.
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AbriVélos
Entrée Rue E. Marcel
Atelier d’artiste
Atelier d’artiste
Atelier d’artiste
Atelier d’artiste
Laverie
Commerce
Salleassociative
Bureau
Bureau
Jardin d’enfants
Potagers
Maison de villeMaison de ville
LogementsétudiantsMaison
existanteMaison
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Projet : Habiter une parcelle en quartier dense.Constitution : 15 logements familiaux, 12 studios étudiants, 8 colocations, 5 ateliers d’artistes, 4 maisons de villes.Enseignants : Andréas Christo-Foroux & Amanda Johnson
Comment intégrer une mixité respectant la densité du quartier tout en conservant la “respiration verte” offerte par cette parcelle ?
La réponse repose sur une desserte des logements par un parcours intérieur conservant la topographie initiale de la parcelle, le rapport transparent à la rue et la création d’un jardin intérieur aux multiples fonctions faisant vivre la parcelle.
05 Respiration urbaine30 logements mixtes écologiques et activités / Paris XIVe
Intégration de la parcelle au sein d’un tissu urabin dense. Travail de sol en pallier et rampes pour reprendre la topographie existante
Détails de fenêtres habitées | échelle 1:50e
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Plan masse du complex entre parc publics et rails - maquette échelle originale 1:200e. Ci-dessous, Détail de l’organisation de la crèche. Etudiée pour accueillir une vingtaine d’enfants, elle se compose de deux espaces d’éveil ouverts sur les rails et profitant d’une double hauteur. L’espace motricité et les ateliers se développent en mezzanine.
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Projet : Développement d’une l’école primaire associée à une crèche et à des logements pour personnes agées, le long des rails venant de la gare de l’Est.Enseignants : Minna Nordstöm & Taline Malikian
La réalisation de ce complex atypique a pris son essence dans la mixité intergénérationnelle qu’induit le projet. Relations visuelles autant qu’espaces quotidiens communs aux trois entités ont été développés pour favoriser la rencontre entre les générations, tout en respectant l’intimité des logements et de la crèche. Le jardin potager partagé et les ateliers de l’école permettent un échange d’émotions et une transmition des savoirs. Au sein des logements pour personnes âgées ont été travaillées différentes typologies, tenant compte des différents degrés de dépendance des habitants.
Ecole primaire, crèche & logements seniors / Paris XVIIIe 06 Génération(s) Partage
RDCAteliers
R+1Appart. indépendants
R+2Appart. en collocation
R+3Chambre avec terrase partagée
R+4Toit terrasse
Axonométrie d’un module de la résidence médicalisée
Module de deux classes et leur studio attenant, la parois centrale permettant des échanges inter-classes. Maquette 1:50e
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Pourquoi un PFE sur la relocalisation de l’école ? Notre PFE a cherché à mettre en évidence les éléments en faveurs ou non de la relocalisation de l’école sur le site des cathédrales Bailly dans le quartier de la Plaine Saint-Denis. Ces anciens entrepôts de la SNCF, inscrits à l’inventaire des monuments historiques, sont actuellement étudiés par l’école. Un diagnosctic réalisé en Master 1 sur les usages de l’école nous a poussé à choisir ce sujet de PFE.
Qu’est-ce que l’ENSAPLV ? L’ENSAPLV se différencie des autres écoles d’architecture par les ambitions qu’elle se donne (former un grand nombre d’architectes, ouverture sociale, etc.) ainsi que ce qu’elle représente pour ses acteurs. Une série d’interviews, associés aux ambitions de l’école, nous a révélé son identité. C’est par la volonté de conserver cette identité que nous avons développé le projet de la nouvelle école.
Quel territoire pour la future école ? Interviews d’habitants et d’étudiants de la Plaine, étude de site et recherches historiques nous ont permis de rendre compte des usages et de l’état actuel du quartier, ainsi que son évolution prévue. La Plaine s’est développée en enclave entre les rails, le périphérique et le canal Saint-Denis, tout en produisant elle-même des enclaves, telles que les universités présentes. Elle ne tient aujourd’hui pas compte du vieillisement de sa population et manque cruellement d’équipements culturels et sportifs. Les prévisions de son développement futur ne tiennent pas compte de ces manques, risquant de renforcer les conflits d’usage.
ProblématiqueCes analyses critiques de l‘école et du site, nous ont permis de mettre en évidence une problématique à double sens (citée ci-dessus), à laquelle notre PFE se propose de répondre.
07 Quelle ENSA pour La Plaine ?Projet de Fin d’études / Relocalisation de l’école d’architecture de Paris-la-Villette / Saint-Denis / 93
L i b e r t éSpatiaLe
De péDagogie
De choix D’enSeignement
o u v e r t u r eSociaLe
D’eSprit
à L’internationaL
m i L i t a n t i S m epour La pLuriDiScinarité
pour être Lié à L’univerSité
pour La tranSformation Du territoire
pour remettre en cauSe LeS projetS embLématiqueS
Trois idées définissant l’identité de l’école, sur laquelle se base le développement de notre projet :
Exemple de ce que pensent les acteurs de leur école :
Quels bénéfices mutuels peuvent être issus des interactions entre le territoire de la Plaine Saint-Denis et l’école d’architecture de Paris La Villette ? Comment permettre à l’ENSAPLV de réaliser ses ambitions au sein des cathédrales Bailly ?
A conserver
A enrichir
Créer des potentialités de réalisations
2 studios de Masters 2, séparés par des box : Travail personnel, stockage et correction personnalisée
TABLES LUMINEUSESpour décalquer ou recopier des documents
BOX DE RENCONTREpour discuter de son projet
avec un enseignant ou en groupe.
PORTES COULISSANTESpour permettre aux studios de communiquer ou ne faire q’un
TABLETTES EN BOISle long des fenêtres,recouverte
de matière adaptée à la découpe.
MEUBLES DE RANGEMENTpour stocker maquettes et matériel
FENTES VITREESpour apporter de la lumière naturelle au fond des salles.
Un étage courant (R+3), avec situation des espaces de rangementRaccord bâtiment neuf/ancien - Structure bois Maquette échelle 1:100e
StudioLicence
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StudioMaster 2
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StudioLicence
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Espace de travail
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Quelle pédagogie pour la future ENSAPLV ?La relocalisation de l’école nous oblige à prendre en compte l’évolution de l’enseignement. Des études concernant l’enseignement européen de l’architecture nous ont amené à penser un espace adaptable à différentes approches. Une place importante a cependant été faite à l’expérimentation, au détriment des espaces de cours purement théoriques.
Master 2 : Echange et Pratique personnelle / Licence : Cours de partageRepensant les emplois du temps, nous avons pris le parti de définir deux types de studios, les uns dédiés aux licences et aux masters 1, les autres aux masters 2. Les studios de Licence permettent des séances d’affichage, de travail en classe et de cours dispensés, alors que ceux de master nécessitent surtout un espace dédié au travail personnel.
Choisir son espace de travail selon l’ambiance souhaitéeAfin de permettre à chaque étudiant de réaliser tous ses devoirs au sein de l’école, des espaces de travail sont répartis à travers l’école, sous forme de grands plateaux présentant des ambiances et des vues différentes, offrant une vue dégagée sur le parc, la tranquillité de la rue au Nord… ou la musique résonnant au sein de l’atrium central depuis la cafétéria installée au rez-de-chaussée.
Le bois, structure légère, a été choisi pour l’ensemble de la réhabilitation, s’alliant chaleureusement au béton et à la brique existants.
Structure Bois, pluridisciplinarité, évolutivité
Les studios, salles d’expérimentation et espaces de travail s’organisent autour d’un vaste espace appropriable par les étudiants.
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Plan RDC | jeux de lignes, différentes matières, espace intérieur/extérieur, fonctions.
Projet : Reconversion d’un bâtiment industriel en centre d’entrainement de Parkour et de représentation sportive à Hambourg.Enseignants : Jürgen Johner & Ragnhild Førde.
“What is Parkour ? Parkour is urbanity, movement and it uses the city, play with it “. Aucune limite n’est admise pour ce sport urbain : l’espace intérieur / extérieur est pensé comme une unique entitée.
Concours étudiant // Hambourg
PLAYSTRIPESP A R K O U R - H A M B U R G22052013 AAR4602 COMPLEX BUILDING // MARJORIE LIGONNET & MARGAUX MATHIEU
1. Conserverla structure
2. Insérer entre des bandes de matériaux différents
3. Jouer sur le parcours de ces bandes.
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• Entrance• Restaurant
• Offices• Kitchen
Front desk • LockersChanging rooms • Storage Danse studio • Cross fit gym
Highest parkour
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• PARKOUR
Espace d’entrainement | murs, passerelle, trampolines. Accès à l’arène et aux espaces d’entrainement | casiers, vestiaires, espaces de repos.
Repérage des activités Coupes générales | entrée et espace extérieur - partie entrainement
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COUPE SUR L’ARENE | Espace haut ( plateforme, escalade) et arène (sol maléable, trampolines, piscines mousse) pour les représentations comme l’entrainement.
COUPE SUR LA PARTIE HAUTE | Plateformes, différentes textures de sol (bois, béton, tartan, caoutchouc) accessoires mobiles d’entrainement.
Ferme du XIIe siècle, près d’Olso - Musée Kjell Aukrust, Alvdal Croquis rapides, architectures nordiques
Expériences personnelles étrangères / Année scolaire 2012-13 / Norvège1 1 I n s p i r a t i o n s n o r v é g i e n n e s
Le pavillon des Rennes, Snøhetta Agency
Difficile de faire plus inspirants que les paysages Scandinaves, surtout ceux de Norvège. Au coeur des montagnes, les villes tentent de trouver leur place tandis que les villages de maisons en bois vivent en communion avec la nature.
Une année resourçante, revitalisante au coeur de cette flore à l’état pur. Le rapport privilégié qu’entretiennent les habitants avec l’environnement se ressent dans l’architecture norvégienne : Pureté de la pensée autant que des formes, utilisation de matériaux organiques (surtout le bois) mis en oeuvre avec un savoir faire sans égal, respect infini de l’environnement et des Hommes pourraient esquisser cette architecture humaine si proche de la nature.
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[email protected] 06.75.57.39.77 Marjorie Ligonnet