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B.P. 817 • L-2018 Luxembourg • Tel. 26 20 20 72 • [email protected] Ünterstützen Sie déi Lénk / Soutenez déi Lénk: (CCPL) IBAN LU41 1111 1549 7465 0000 • (BCEE) IBAN LU24 0019 1300 4344 5000 www.lenk.lu Imprimé au Luxembourg sur papier 100% recyclé. Ne pas jeter sur la voie publique. Fair fir d’Ëmwelt. Fair fir de Mënsch. Pour l’environnement. Pour l’humanité. Soucieuse de l’eau L’eau est un bien public. A cette fin, nous devons protéger les sources et ne dépenser pas plus que nécessaire. Le principe du coût de revient que vient d’imposer le ministère de l’Intérieur transforme ce bien précieux en marchandise, frappe principalement les revenus modestes et ouvre la voie à une possible privatisation future. L’approvisionnement en eau fait partie des compétences des communes. C’est pourquoi déi Lénk s’engage au niveau communal à: 4. Tarifier l’eau à plusieurs niveaux. La consommation en eau au Luxemburg est en moyenne de 150 litres par jour et personne. Nous voulons un prix de l’eau échelonné à plusieurs niveaux. Un tel tarif échelonné permet à tous les citoyens une vie décente, garantit la justice sociale et punit le gaspillage de l’eau. Déi Lénk propose le modèle suivant : • 0 à 50 litres par jour et personne: gratuit • 50 à 150 litres par jour et personne: prix actuel • à partir de 150 litres par jour et personne: double du prix actuel De cette façon, tous les ménages seront soulagés et il existe une véritable incitation à une utilisation raisonnable de ce bien précieux. En plus, ce modèle respecte le droit de l’homme à un approvisionnement minimal en eau. 5. Investir durablement dans les réseaux. Une grande partie de l’eau se perd chaque année à cause de conduites défec- tueuses. Jusqu’à présent, les communes étaient obligées à payer ces frais. Par la nouvelle loi du ministre de l’Intérieur Jean-Marie Halsdorf (CSV), les coûts liés à la perte d’eau pour cause de manque d’entretien du réseau devront maintenant être payés par les citoyens (indépendamment de leur situation sociale). Déi Lénk revendique que la commune assure une maintenance régu- lière des réseaux. C’est le moyen le plus efficace pour éviter le gaspillage de l’eau. Ces investissements doivent se faire par le budget communal. Soucieuse de l’énergie déi Lénk s’engage pour le tournant énergétique qui est nécessaire depuis longtemps. Il faut abandonner les énergies dangereuses (nucléaire) et les énergies fossiles, limitées et nocives pour le climat (charbon, pétrole…), et développer les énergies re- nouvelables. Et il faut profiter des opportunités énormes d’écono- mie et d’efficience d’énergie, aussi et surtout dans les communes. 1. L’énergie en mains publiques! C’est la seule façon de garantir que la population soit approvisionnée selon des critères transparents et que les intérêts sociaux et écologiques aient la priorité face aux intérêts privés. La commune doit s’engager pour la création d’un cadre national dans lequel elle pourra gérer les réseaux et acheter et vendre de l’électricité, seule ou ensemble avec d’autres communes. A moyen terme, chaque commune doit aspirer à produire autant d’électricité que les ménages consomment. 2. Promouvoir massivement les toits solaires. La commune dressera un cadastre de tous les toits orientés vers le sud, le sud-est ou le sud-ouest, pas ombragés et à inclinaison favorable. Tous les citoyens et citoyennes auront accès à ce cadastre. Lors de constructions nouvelles ou de réfections de toits adaptés, seulement des toits photovol- taïques ne seront autorisés. La commune subventionnera ces investisse- ments selon le revenu, en plus des subventions que le gouvernement accorde indépendamment du revenu. 3. Elaborer des plans énergétiques communaux. Au vu du changement climatique, la commune dressera un relevé de sa consom- mation en énergie et fixera des buts obligatoires pour diminuer les émissions de CO2 en dix ans. A cet effet, la commune utilisera ses compétences multiples pour une politique énergétique proactive: adapter les règlements des bâtisses et les plans d’aménagement aux nécessités de l’efficience énergétique, promouvoir la production décentrale d’énergie, développer le transport public, aménager des pistes cyclables, introduire l’éclairage économique, créer des bains naturels… La commune conclura des conventions obligatoires avec les entreprises pour diminuer les émissions de CO2 selon les finalités nationales. Le calcul du prix de l’eau À Sanem, le m3 d’eau propre et d’eau usée coûte 3,97 euros (s’y ajoute 12 euros de taxe fixe). Avec une consom- mation moyenne d’eau, un ménage avec deux enfants paie 84,65 euros par mois en taxe d’eau et de canalisation. Avec le modèle de la tarification de l’eau à 3 niveaux, ce même ménage paie 60,43 euros, donc 24,22 euros en moins. « L’accès à l’énergie (et surtout à l’électricité) est un droit fondamen- tal que la libéralisation a réduit à l’état de marchandise. Afin d’éviter la catastrophe climatique, nous avons besoin d’un tournant fondamental dans la politique énergétique : l’éner- gie doit redevenir un bien public, nous devons mener une reconversion rapide vers les énergies renouvelables (si possible sur place) ainsi qu’une po- litique tarifaire échelonnée selon des critères sociaux et écologiques! » André Hoffmann Député de déi Lénk.

Pour l'environnement. Pour l'humanité - SANEM

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L’eau et l‘énergie font partie des besoins humains vitaux. On ne peut pas vivre dignement sans eau potable salubre et sans énergie pour le chauffage et l’éclairage. Mais l’eau et l’énergie ne sont pas traitées de la même façon. L’approvisionnement en eau potable est (encore) en mains publiques et appartient donc à nous tous. Par contre, le marché de l’énergie a été complètement privatisé et les décisions ne sont plus prises démocratiquement, mais par des firmes multinationales qui veulent maximiser leurs profits. L’eau et l’énergie sont des biens précieux. Il faut les protéger respectivement les produire de façon à générer un avantage durable pour l’homme et l’environnement. Pour déi Lénk, il est important que l’eau et l’énergie soient abordables pour tout le monde.

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Page 1: Pour l'environnement. Pour l'humanité - SANEM

B.P. 817 • L-2018 Luxembourg • Tel. 26 20 20 72 • [email protected]Ünterstützen Sie déi Lénk / Soutenez déi Lénk:

(CCPL) IBAN LU41 1111 1549 7465 0000 • (BCEE) IBAN LU24 0019 1300 4344 5000

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Fair fir d’Ëmwelt. Fair fir de Mënsch.Pour l’environnement. Pour l’humanité.

Soucieuse de l’eauL’eau est un bien public. A cette fin, nous devons protéger les sources et ne dépenser pas plus que nécessaire. Le principe du coût de revient que vient d’imposer le ministère de l’Intérieur transforme ce bien précieux en marchandise, frappe principalement les revenus modestes et ouvre la voie à une possible privatisation future. L’approvisionnement en eau fait partie des compétences des communes. C’est pourquoi déi Lénk s’engage au niveau communal à:

4. Tarifier l’eau à plusieurs niveaux. La consommation en eau au Luxemburg est en moyenne de 150 litres par jour et personne. Nous voulons un prix de l’eau échelonné à plusieurs niveaux. Un tel tarif échelonné permet à tous les citoyens une vie décente, garantit la justice sociale et punit le gaspillage de l’eau.

Déi Lénk propose le modèle suivant :• 0 à 50 litres par jour et personne: gratuit• 50 à 150 litres par jour et personne: prix actuel• à partir de 150 litres par jour et personne: double du prix actuel

De cette façon, tous les ménages seront soulagés et il existe une véritable incitation à une utilisation raisonnable de ce bien précieux. En plus, ce modèle respecte le droit de l’homme à un approvisionnement minimal en eau. 5. Investir durablement dans les réseaux. Une grande partie de l’eau se perd chaque année à cause de conduites défec-tueuses. Jusqu’à présent, les communes étaient obligées à payer ces frais. Par la nouvelle loi du ministre de l’Intérieur Jean-Marie Halsdorf (CSV), les coûts liés à la perte d’eau pour cause de manque d’entretien du réseau devront maintenant être payés par les citoyens (indépendamment de leur situation sociale). Déi Lénk revendique que la commune assure une maintenance régu-lière des réseaux. C’est le moyen le plus efficace pour éviter le gaspillage de l’eau. Ces investissements doivent se faire par le budget communal.

Soucieuse de l’énergie

déi Lénk s’engage pour le tournant énergétique qui est nécessaire depuis longtemps. Il faut abandonner les énergies dangereuses (nucléaire) et les énergies fossiles, limitées et nocives pour le climat (charbon, pétrole…), et développer les énergies re-nouvelables. Et il faut profiter des opportunités énormes d’écono-mie et d’efficience d’énergie, aussi et surtout dans les communes.

1. L’énergie en mains publiques! C’est la seule façon de garantir que la population soit approvisionnée selon des critères transparents et que les intérêts sociaux et écologiques aient la priorité face aux intérêts privés. La commune doit s’engager pour la création d’un cadre national dans lequel elle pourra gérer les réseaux et acheter et vendre de l’électricité, seule ou ensemble avec d’autres communes. A moyen terme, chaque commune doit aspirer à produire autant d’électricité que les ménages consomment.

2. Promouvoir massivement les toits solaires. La commune dressera un cadastre de tous les toits orientés vers le sud, le sud-est ou le sud-ouest, pas ombragés et à inclinaison favorable. Tous les citoyens et citoyennes auront accès à ce cadastre. Lors de constructions nouvelles ou de réfections de toits adaptés, seulement des toits photovol-taïques ne seront autorisés. La commune subventionnera ces investisse-ments selon le revenu, en plus des subventions que le gouvernement accorde indépendamment du revenu.

3. Elaborer des plans énergétiques communaux. Au vu du changement climatique, la commune dressera un relevé de sa consom-mation en énergie et fixera des buts obligatoires pour diminuer les émissions de CO2 en dix ans. A cet effet, la commune utilisera ses compétences multiples pour une politique énergétique proactive: adapter les règlements des bâtisses et les plans d’aménagement aux nécessités de l’efficience énergétique, promouvoir la production décentrale d’énergie, développer le transport public, aménager des pistes cyclables, introduire l’éclairage économique, créer des bains naturels… La commune conclura des conventions obligatoires avec les entreprises pour diminuer les émissions de CO2 selon les finalités nationales.

Le calcul du prix de l’eauÀ Sanem, le m3 d’eau propre et d’eau usée coûte 3,97

euros (s’y ajoute 12 euros de taxe fixe). Avec une consom-

mation moyenne d’eau, un ménage avec deux enfants paie

84,65 euros par mois en taxe d’eau et de canalisation.

Avec le modèle de la tarification de l’eau à 3 niveaux, ce

même ménage paie 60,43 euros, donc 24,22 euros en moins.

« L’accès à l’énergie (et surtout à

l’électricité) est un droit fondamen-

tal que la libéralisation a réduit à

l’état de marchandise. Afin d’éviter la

catastrophe climatique, nous avons

besoin d’un tournant fondamental

dans la politique énergétique : l’éner-

gie doit redevenir un bien public,

nous devons mener une reconversion

rapide vers les énergies renouvelables

(si possible sur place) ainsi qu’une po-

litique tarifaire échelonnée selon des

critères sociaux et écologiques! »

André HoffmannDéputé de déi Lénk.

Page 2: Pour l'environnement. Pour l'humanité - SANEM

Faire EnergieIn Sachen Energie stehen déi Lénk konsequent für die längst überfällige Energiewende: Wir müssen weg von gefährlicher Energieproduktion (Atom) und von begrenzten und klimaschädlichen fossilen Energieträgern (Kohle und Öl) - und hin zu erneuerbaren Energieformen.

Und wir müssen die riesigen Möglichkeiten des Energiesparens und der Energieeffizienz nutzen, auch und vor allem in den Gemeinden.

1. Energie gehört in öffentliche Hand.

Nur so kann garantiert werden, dass die Bevölkerung nach transparenten Kri-terien versorgt wird und soziale und ökologische Interessen Vorrang haben vor Privatinteressen. Die Gemeinde muss sich für die Schaffung eines nationalen Rahmens einsetzen, in dem sie alleine oder im Verbund mit anderen Gemeinden sowohl die Netze verwalten als auch Strom kaufen und verkaufen kann. Mittel-fristiges Ziel jeder Gemeinde muss es sein, soviel Strom zu produzieren wie die Haushalte in der Gemeinde verbrauchen.

2. Solardächer massiv fördern. Die Gemeinde stellt ein Kataster aller Dächer auf, die nach Süd, Süd-West oder Süd-Ost orientiert sind und den richtigen Neigungsgrad sowie keine Be-schattung haben. Alle Bürgerinnen und Bürger müssen Einsicht in dieses Ka-taster haben. Bei Neubauten und bei Neudeckung von geeigneten Dachflächen wird nur mehr eine Genehmigung für Fotovoltaik-Dächer erteilt. Die Gemeinde bezuschusst diese Investitionen im Verhältnis zum Einkommen, zusätzlich zu den Subventionen die die Regierung unabhängig vom Einkommen vergibt.

3. Kommunale Energiepläne aufstellen. Angesichts des Klimawandels verschafft sich die Gemeinde eine Übersicht über ihren Energieverbrauch und hält verbindliche Ziele fest, um den CO2- Ausstoß binnen 10 Jahren stark zu reduzieren. Dabei muss sie ihre vielfachen Kompetenzen für eine proaktive Energiepolitik nutzen: Bautenreglemente und Bebauungspläne nach den Erfordernissen der Energieeffizienz ausrichten, die dezentrale Energieproduktion fördern, den öffentlichen Transport ausbauen, Fahrradwege einrichten, Sparbeleuchtung einführen, Naturbäder schaffen… Gemäß der nationalen Zielsetzung zur CO2-Reduktion schließt die Gemeinde verbindliche Abkommen mit den lokalen Unternehmen ab.

Faires WasserWasser ist ein lebenswichtiges öffentliches Gut. Deshalb müssen wir die Quellen schützen und dürfen nicht mehr Wasser verbrauchen als nötig. Das vom Innenministerium aufgezwungene widersinnige Kostendeckungsprinzip degradiert den kostbaren Rohstoff Wasser zur kommerziellen Ware, trifft kleine Einkommen besonders hart und öffnet Tür und Tor zu einer späteren Privatisierung.

Die Wasserversorgung liegt im Kompetenzbereich der Gemeinden. Diesen Gestaltungsspielraum wollen déi Lénk konsequent nutzen.

4. Den Wasserpreis staffeln. Den Wasserpreis staffeln. Der durchschnittliche Wasserverbrauch in Lu-xemburg liegt bei 150 Liter täglich pro Person. Wir wollen einen Wasser-preis, der in verschiedene Abstufungen eingeteilt ist. Solch ein gestaffelter Wasserpreis ermöglicht allen Leuten ein menschenwürdiges Leben, ist sozial gerecht und bestraft die unsinnige Verschwendung von Wasser.

déi Lénk schlagen folgendes Modell vor:• 0 bis 50 Liter täglich pro Person: gratis • 50 bis 150 Liter täglich pro Person: aktueller Preis• ab 150 Liter täglich pro Person: doppelter Preis

Auf diese Weise werden die Haushalte entlastet und das Wassersparen lohnt sich. So wird sowohl dem Menschenrecht auf Wasser Genüge getan, als auch ein verantwortungsvoller Umgang mit diesem wertvollem Gut belohnt.

5. Nachhaltig in die Wassernetze investieren. Große Mengen an Wasser gehen jedes Jahr durch undichte Leitungen und Lecks verloren. Bisher mussten die Gemeinden diese Kosten selbst tragen; durch das neue Wassergesetz von Innenminister Halsdorf (CSV) werden die-se Kosten jetzt direkt auf die Bürgerinnen und Bürger abgewälzt (unabhän-gig von ihrer sozialen Situation). Déi Lénk setzen sich dafür ein, dass die Gemeinde die Wasserleitungen stets wartet und instandsetzt, denn dies ist die beste und sicherste Art Wasser nachhaltig zu sparen. Diese Investitio-nen sollen vom Gemeindebudget getragen werden.

Wasser und Energie gehören zu den Grundbedürfnissen des Men-schen. Ohne sauberes Trinkwasser und Energie zum Heizen und Beleuchten ist kein menschenwürdiges Leben möglich.

Doch Wasser und Energie werden unterschiedlich behandelt. Die Trinkwasserversorgung ist (noch) in öffentlicher Hand und gehört also uns allen. Dagegen wurde der Energiemarkt komplett priva-tisiert und die Entscheidungen werden nicht mehr demokratisch getroffen, sondern von multinationalen Firmen, die ihre Profite maximieren wollen.

Wasser und Energie sind wertvolle Güter. Es gilt sie zu schützen, bzw. sie so herzustellen, dass ein nachhaltiger Nutzen für Mensch und Umwelt entsteht. Für déi Lénk ist es sehr wichtig, dass die Preise für Energie und Wasser für alle bezahlbar sind.

L’eau et l‘énergie font partie des besoins humains vitaux. On ne peut pas vivre dignement sans eau potable salubre et sans énergie pour le chauffage et l’éclairage.

Mais l’eau et l’énergie ne sont pas traitées de la même façon. L’ap-provisionnement en eau potable est (encore) en mains publiques et appartient donc à nous tous. Par contre, le marché de l’éner-gie a été complètement privatisé et les décisions ne sont plus prises démocratiquement, mais par des firmes multinationales qui veulent maximiser leurs profits.

L’eau et l’énergie sont des biens précieux. Il faut les protéger res-pectivement les produire de façon à générer un avantage durable pour l’homme et l’environnement. Pour déi Lénk, il est important que l’eau et l’énergie soient abordables pour tout le monde.

Wasser ist ein MenschenrechtAm 28. Juli 2010 erklärte die UNO-Vollversammlung den Zugang zu sauberem Trinkwasser zu einem Menschenrecht. Einige Staa-ten haben dieses Recht schon in ihre Verfassung eingeschrieben.Ein Recht kann keine Ware sein. Deshalb wollen déi Lénk die kommerzielle Logik durchbrechen und jedem eine Grundmenge an Wasser gratis überlassen.

L’eau est un droit humain

Le 28 juillet 2010, l’assemblée générale des Nations Unies a

déclaré que l’accès à l’eau potable est un droit humain. Plusieurs

Etats ont déjà inscrit ce droit dans leur constitution. Un droit

humain ne peut pas être une marchandise. C’est pourquoi déi

Lénk veut dépasser la logique commerciale et introduire un socle

de base qui sera gratuit.

Wasserrechnung In der Gemeinde Sanem kostet ein Kubikmeter Wasser mit Abwasserentsorgung 3,97 Euro (12 Euro Fixtaxe kommen pro Haushalt hinzu). Bei einem durchschnittlichen Wasser-verbrauch zahlt ein Haushalt mit 2 Kindern demnach 84,65 Euro pro Monat.

Beim Modell des gestaffelten Wasserpreises, das déi Lénk vorschlagen, zahlt die gleiche Familie 60,43 Euro, eine Er-sparnis von 24,22 Euro im Monat.

„ Der LSAP/Grüne-Schöffen-rat leitet den Kostenpunkt des Wasserverbrauchs und der Wasser- und Kanali-sationsnetze größtenteils an die Verbraucher weiter und bereitet somit das Terrain für die Privatisie-rung vor. déi Lénk wollen diese Entwicklung mit machbaren Alternativen verhindern.“

Serge Urbany Spriecher vun déi Lénk,

Jurist beim OGB-L, fréieren Deput-

éierten a Gemengerot vu Suessem.