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LE PRÉFET DE LA RÉGION ILE DE FRANCE
Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports
et de la Cohésion Sociale
Pôle Formation Certification
EXAMEN DE NIVEAU
Session 2014
Pour l’entrée dans les établissements de formation
d’Assistant(e) de service social,
d’Éducateur spécialisé et d’Éducateur de jeunes enfants
****
Lundi 1er
décembre 2014
****
Étude d’un texte argumentatif
4 heures – coefficient 2 – sur 20 points.
Questions texte argumentatif :
« Le coût des autres »
1. Expliquer le sens des mots et expressions dans le texte (3 points) :
« bénévoles »,
« laissés-pour-compte »,
« l’opinion était traditionnellement plus compatissante »
2. Relever tous les éléments du texte qui participent à la définition de l’Etat-providence (4 points)
3. Quels sont les principaux phénomènes sociaux désignés par Etienne Pinte qui ont marqué les
trente dernières années ? (3 points)
4. Les auteurs de cet article relèvent que le pacte républicain qui repose sur l’Etat-providence serait
de plus en plus interrogé.
La lutte contre le chômage, l’accès à des minimas sociaux, le droit à une assurance maladie, et
toutes les formes d’aide aux personnes en difficultés vous paraissent-ils nécessaires et utiles
dans la société française ? Le service rendu est-il adapté aux besoins que vous connaissez dans
votre réalité personnelle et sociale ?
Vous donnerez votre avis en vous appuyant sur des exemples tirés de votre expérience
personnelle, dans un texte d’une page minimum (10 points).
2/13
Extrait de l’article « Le coût des autres » Bertrand BISSUEL et Jean-Baptiste CHASTANG, Le Monde, 18 octobre 2014
p.13
A deux reprises, Nadine N’guessan, 43 ans s’est fait aborder, sans raison, par des inconnus qui voulaient
savoir de quoi elle vivait : « La première fois, c’était à un arrêt de bus. Un monsieur m’a demandé si je
travaillais. Avant de lâcher qu’on prenait trop d’argent pour financer le RSA. » La fois suivante, c’était
dans l’autobus. « J’étais alors en CDD, et une femme m’a dit qu’elle espérait que ça allait continuer. Une
autre a alors lancé : « de toute façon, si elle arrête de travailler, elle aura le RSA. Pour vous les étrangers
c’est plus facile » », raconte cette Ivoirienne, qui vit aujourd’hui à Vannes. Sans travail depuis la fin d’une
mission en CDD, en 2013, elle est encore sidérée par ces remarques.
Dans les locaux de l’association Solidarités nouvelles face au chômage (SNC), à Vannes, où une dizaine de
bénévoles accompagnent Nadine N’guessan et d’autres demandeurs d’emploi en difficulté, son
témoignage étonne à peine. « Depuis deux ou trois ans, on entends des propos de plus en plus durs »,
rapporte Bernadette Herviaux, 66 ans, retraitée de la fonction publique. Elle le constate au sein même de sa
famille ou avec des amis : « Pendant les repas, on me demande pourquoi je consacre autant de temps à
aider les chômeurs.»
Cette moindre empathie à l’égard des laissés-pour-compte, on ne l’observe pas qu’à Vannes.
« Lorsque le marché du travail se dégradait, l’opinion était traditionnellement plus compatissante envers
les demandeurs d’emploi. Mais une rupture s’est produite depuis 2008. », assure Régis Bigot, chercheur au
Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc), qui a publié en septembre
une étude intitulée « Le soutien à l’Etat-providence vacille ». La part des personnes interrogées qui pensent
que, « s’ils le voulaient vraiment, les chômeurs pourraient retrouver un travail », est passée de 57 % à 64
% entre 2009 et 2014, retrouvant son niveau d’avant-crise. « Une partie des classes moyennes fait face à
des contraintes financières de plus en plus lourdes notamment en raison de la hausse des prix du logement,
et reste très peu aidée. Un sentiment d’injustice se développe sur le long terme », estime M. Bigot. Au
point que l’Etat-providence, au cœur de notre pacte républicain, serait de plus en plus contesté.
BOUC ÉMISSAIRE
« Nous observons un recul des valeurs de solidarité et du consentement au coût de la solidarité, déplore
Florent Gueguen, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion
sociale. L’idée selon laquelle si un pauvre est pauvre, ce n’est pas forcément de sa faute, est de moins en
moins acceptée. » Le discours de l’exécutif, qui s’est recentré sur la défense des classes moyennes depuis
la nomination de Manuel Valls à Matignon, contribue à entretenir cet état d’esprit, aux yeux de M.
Gueguen. « Nos gouvernements, aujourd’hui, sont moins prêts à croire dans l’Etat-providence, et à le
défendre, juge Michel Chauvière, sociologue. Ils sont obnubilés par le paradigme économique, la nécessité
de réduire les dépenses. Nous subissons les effets durables d’un abandon politique de ces questions. »
Si des doutes émergent sur la légitimité de nos institutions sociales, il faut remonter plus de trente
ans en arrière pour comprendre ce malaise. Ancien député UMP des Yvelines et président du Conseil
national des politiques de lutte contre l’exclusion sociale, Etienne Pinte met en avant la combinaison de
trois phénomènes, enclenchés à partir de la fin des années 1970 : la montée du chômage de masse, la
politique de regroupement familial, qui s’est traduite par l’installation sur notre territoire d’étrangers que
l’on n’a pas suffisamment accompagnés, le « délitement » des familles, avec notamment la hausse du
nombre de familles monoparentales. « Face à ces problèmes, décrypte M. Pinte, certains de nos
concitoyens qui souffrent essaient de trouver la cause de leur souffrance en rejetant la faute sur l’autre, en
recherchant un bouc émissaire. Les responsables politiques, de droite comme de gauche, n’ont pas pris la
mesure de ces évolutions. Il y a eu un manque de discernement stupéfiant. L’on se réveille au pied du
mur. » [….]
Toutes les enquêtes, y compris celle du Crédoc, montrent que les personnes interrogées se déclarent
majoritairement solidaires à l’égard des plus démunis, insiste Julien Damon, sociologue : « Elles pensent,
poursuit-il, que les difficultés de ceux-ci sont liées à des problèmes structurels, ce qui n’est pas le cas aux
3/13
Etats-Unis ou dans certains Etats européens. Dans notre pays, le regard des personnes interrogées a,
certes, un peu évolué, mais on constate quand même une forme de stabilité. »
« Les Français sont d’accord pour reconnaître le rôle du mérite dans la variation du revenu, mais
dans des proportions raisonnables. Ils restent attachés au rôle de l’Etat social pour corriger ces
inégalités », renchérit Olivier Galland, chercheur du CNRS, qui mène une étude sur la perception des
inégalités. [….]
« L’ANCIEN MONDE EST MORT »
Reste que l’envolée du chômage et l’enfermement dans la précarité de centaines de milliers de travailleurs
ébranlent la confiance dans nos institutions sociales. « Le fossé se creuse entre ceux qui sont dans le
système et qui pensent que ça n’arrive qu’aux autres, et ceux qui sont à la porte du système et qui
n’arrivent pas à y rentrer. Or ces derniers sont toujours plus nombreux », s’inquiète Gilles de Labarre,
président du SNC. Cette distanciation entre insiders et outsiders a un effet insidieux.
Tout se passe comme si une partie de la population était gagnée par une « fatigue de la
compassion », selon la formule de Julien Damon. « Notre Etat-providence, rappelle-t-il, a été crée non pas
pour combattre la pauvreté mais pour permettre à la population en emploi d’avoir une retraite, d’accéder
au système de soins, etc. Il est performant pour les personnes qui ont des carrières professionnelles
pleines, linéaires. » Par ailleurs, « des études ont montré qu’il est plus difficile de soutenir et de faire
admettre à l’opinion des politiques sociales généreuses dans les pays marqués par une grande diversité
ethno-culturelle », estime-t-il.
Des dispositifs ont certes été mis en place au profit des plus démunis, « mais ils ne permettent pas
de sortir de la pauvreté », souligne M. Damon. « Notre système est paradoxal, complète Gilles Ducassé,
délégué général adjoint d’Emmaüs France. Il est à la fois généreux, mais pas assez ciblé sur ceux qui en
ont le plus besoin. Et quand cela concerne ces derniers, ça ne marche pas ou mal. » Exemple : le RSA-
activité, qui est un échec. Ce dispositif, qui permet de cumuler un petit salaire et une allocation, est trop
complexe pour ses bénéficiaires potentiels. Il n’a jamais rempli l’objectif de favoriser systématiquement la
reprise d’un emploi. Du coup, conclut Julien Damon, « le contribuable se dit que ça coûte cher pour des
résultats qui ne sont pas à la hauteur ». [….]
4/13
Étude d’un texte argumentatif
4 heures – coefficient 2 – sur 20 points.
PROPOSITIONS DE CORRECTION :
« Le coût des autres »
1. Expliquer le sens des mots et expressions dans le texte (3 points) :
« bénévoles »,
« laissés-pour-compte »,
« l’opinion était traditionnellement plus compatissante »
Bénévoles : personne qui apporte spontanément son concours sans qu’elle bénéficie d’une
rémunération
Laissés-pour-compte : personnes dont personne ne veut, appartenant en particulier à une
catégorie sociale délaissée par la société. Synonymes : exclus, marginaux.
L’opinion traditionnellement compatissante : la plupart des gens éprouve habituellement un
sentiment qui incline à partager les souffrances d’autrui.
2. Relever tous les éléments du texte qui participent à la définition de l’Etat-providence (4 points)
- Valeurs de solidarité
- Consentement au coût de la solidarité
- Retraite
- Systèmes de soins
3. Quels sont les principaux phénomènes sociaux désignés par Etienne Pinte qui ont marqué les
trente dernières années ? (3 points)
- Chômage de masse
- Regroupement familial
- « Délitement » des familles notamment attribué à la hausse des familles monoparentales.
5/13
Rédaction d’un exposé sur une question d’ordre général
3 heures – Coefficient 2 – sur 20 points.
Sujet : « L’égalité des chances, il y a la Française des Jeux pour çà. Le droit à
l’éducation, c’est un des droits de l’homme fondamentaux que l’Etat doit garantir … » a
écrit Philippe MÉRIEU, chercheur en sciences de l’éducation.
Après avoir défini ce qu’est le droit à l’éducation, vous discuterez le point de vue de l’auteur
en vous appuyant sur des exemples variés pour étayer votre argumentation et formulerez le
cas échéant des propositions.
Quelques éléments de correction donnés à titre indicatif :
- Droit à l’éducation et droit de l’homme :
Définition des droits de l’homme : concept selon lequel tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quelque
soit le droit en vigueur et sans distinction liée à un quelconque particularisme.
Ces droits sont inclus dans la déclaration universelle des droits de l’homme(1948)
Origine : notamment la révolution française.
Exemple d’application : dans un cadre international : déclaration des nations unies sur l’éducation et la formation aux droits de
l’homme(2011)
Ces droits sont fondés sur un principe d’égalité : les hommes naissent libres et égaux en droit.
En France en particulier, le droit à l’éducation s’appui sur ce principe : école publique, laîque et ouverte à tous, dans une
conception égalitariste : les mêmes droits pour tous.
- L’égalité des chances est un mythe :
Pour l’auteur, en référence au loto : beaucoup d’appelés qui ont au départ les mêmes chances, mais peu d’élus ou, s’ils le
sont, de façon aléatoire.
Une égalité des chances proclamée et dans une certaine mesure effective : démocratisation de l’enseignement secondaire puis
supérieur, moyens importants mis au service de l’enseignement, au regard des pratiques européennes.
Des inflexions au principe d’égalité en faveur de celui d’équité : discrimination positive en faveur des élèves les + en difficulté
ou les moins bien lotis socialement : depuis les années 90 : ZEP, RASED, école de la 2eme chance, filière spécifique d’accès à
sciences po.
Et pourtant, bilan assez négatif de l’égalité des chances : apports de la sociologie : aujourd’hui, un enfant de classe populaire a
moins de chances qu’il y a 50 ans d’accéder à une grande école.
La France est l’un des pays d’Europe où la mobilité sociale ascendante est la+ faible.
-Que manque-t-il ?
Selon Merieu et d’autres chercheurs en sciences de l’éducation : une individualisation de la pédagogie, le renforcement du rôle
des parents dans l’école, des initiatives citoyennes…
L’Etat est le garant, il n’est pas le seul acteur.
6/13
QCM
1. En 2013, quel pays a été le plus visité au monde ?
Espagne
Etats-Unis
France
2. En 2014, une réforme territoriale est engagée. En quoi consiste-t-elle ?
À augmenter le nombre de communes
À supprimer les intercommunalités
À diminuer le nombre de régions
3. Qu’est-ce que la déflation ?
Une baisse de l’indice des prix observée sur une période suffisamment longue
Une baisse de l’indice de croissance économique
Une explosion très violente
4. Quelle maladie est transmise par le moustique ?
La maladie de Lyme
La maladie de Parkinson
Le chikungunya
5. En quelle année la majorité fut-elle abaissée de 21 à 18 ans en France ?
1985
1981
1974
6. Quelle femme politique française a préparé la loi de 1975 portant sur le droit à
l’avortement ?
Simone VEIL
Françoise GIROUD
7/13
Edith CRESSON
7. Quelle institution est chargée de définir la langue française par l’élaboration de son
dictionnaire ?
L’institut national des langues
Le conseil supérieur des programmes
L’académie française
8. Dans quel pays se déroulera la coupe du monde de football en 2018 ?
Brésil
Russie
Espagne
9. Qu’est-ce qu’un drone ?
Un avion sans pilote embarqué et télécommandé
Une espèce d’abeille hybride originaire d’Afrique
Un appareil domotique
10. Quel est l’impôt qui rapporte le plus de recette en France ?
L’impôt sur le revenu
La taxe sur la valeur ajoutée (TVA)
La contribution sociale généralisée (CSG)
L’impôt sur les sociétés
11. Quels sont les deux pays les plus touchés mortellement par le virus Ebola ?
Cochez deux réponses.
Le Nigéria
Le Libéria
La Guinée
Le Sénégal
Le Mali
8/13
12. Quelles sont les deux caractéristiques de la nouvelle génération d’ampoules LED (diodes
électro luminescentes)? Cochez deux réponses.
Une moindre consommation en énergie
Une longue durée de vie
Une fabrication encore expérimentale
L’impossibilité de s’en servir pour l’éclairage
13. Pourquoi développer la recherche aérospatiale vers la planète Mars ?
Pour trouver un lieu de vie sain alternatif à la Terre
Pour connaître les origines de la vie
Pour l’aventure et y trouver un lieu de vacances dans le futur
14. En France, en 2012, l’espérance de vie moyenne avoisine :
82 ans
78 ans
75 ans
15. A quel domaine la loi ALUR fait-elle référence ?
La consommation
La fiscalité
Le logement
16. Ancien ministre de l’économie et des finances, Pierre MOSCOVICI est aujourd’hui :
Député européen
Ministre chargé des affaires européennes
Commissaire européen aux affaires économiques et monétaires
17. Aujourd’hui, en France, comment sont attribuées les prestations familiales ?
En fonction des revenus des parents
Compte tenu du nombre d’enfants
9/13
Cela dépend des prestations
18. Combien la France compte-t-elle de fonctionnaires ?
Environ 3 millions
Environ 5 millions
Environ 8 millions
19. Hokusaï est-il ?
Le nom d’un peintre japonais
Le titre d’un roman japonais
Le titre d’un film japonais
20. Quel film est premier au box office en France en 2014 :
« Bienvenue chez les Chtis » de Danny BOON
« Intouchables » d’Olivier NACACHE et Eric TOLEDANO
« Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu ? » de Philippe de CHAUVERON
10/13
Corrigé QCM
21. En 2013, quel pays a été le plus visité au monde ?
Espagne
Etats-Unis
France
22. En 2014, une réforme territoriale est engagée. En quoi consiste-t-elle ?
À augmenter le nombre de communes
À supprimer les intercommunalités
À diminuer le nombre de régions
23. Qu’est-ce que la déflation ?
Une baisse de l’indice des prix observée sur une période suffisamment longue
Une baisse de l’indice de croissance économique
Une explosion très violente
24. Quelle maladie est transmise par le moustique ?
La maladie de Lyme
La maladie de Parkinson
Le chikungunya
25. En quelle année la majorité fut-elle abaissée de 21 à 18 ans en France ?
1985
1981
1974
26. Quelle femme politique française a préparé la loi de 1975 portant sur le droit à
l’avortement ?
Simone VEIL
Françoise GIROUD
Edith CRESSON
11/13
27. Quelle institution est chargée de définir la langue française par l’élaboration de son
dictionnaire ?
L’institut national des langues
Le conseil supérieur des programmes
L’académie française
28. Dans quel pays se déroulera la coupe du monde de football en 2018 ?
Brésil
Russie
Espagne
29. Qu’est-ce qu’un drone ?
Un avion sans pilote embarqué et télécommandé
Une espèce d’abeille hybride originaire d’Afrique
Un appareil domotique
30. Quel est l’impôt qui rapporte le plus de recette en France ?
L’impôt sur le revenu
La taxe sur la valeur ajoutée (TVA)
La contribution sociale généralisée (CSG)
L’impôt sur les sociétés
31. Quels sont les deux pays les plus touchés mortellement par le virus Ebola ?
Cochez deux réponses.
Le Nigéria
Le Libéria
La Guinée
Le Sénégal
Le Mali
12/13
32. Quelles sont les deux caractéristiques de la nouvelle génération d’ampoules LED (diodes
électro luminescentes)? Cochez deux réponses.
Une moindre consommation en énergie
Une longue durée de vie
Une fabrication encore expérimentale
L’impossibilité de s’en servir pour l’éclairage
33. Pourquoi développer la recherche aérospatiale vers la planète Mars ?
Pour trouver un lieu de vie sain alternatif à la Terre
Pour connaître les origines de la vie
Pour l’aventure et y trouver un lieu de vacances dans le futur
34. En France, en 2012, l’espérance de vie moyenne avoisine :
82 ans
78 ans
75 ans
35. A quel domaine la loi ALUR fait-elle référence ?
La consommation
La fiscalité
Le logement
36. Ancien ministre de l’économie et des finances, Pierre MOSCOVICI est aujourd’hui :
Député européen
Ministre chargé des affaires européennes
Commissaire européen aux affaires économiques et monétaires
37. Aujourd’hui, en France, comment sont attribuées prestations familiales :
En fonction des revenus des parents
Compte tenu du nombre d’enfants
Cela dépend des prestations
13/13
38. Combien la France compte-t-elle de fonctionnaires
Environ 3 millions
Environ 5 millions
Environ 8 millions
39. Hokusaï est-il ?
Le nom d’un peintre japonais
Le titre d’un roman japonais
Le titre d’un film japonais
40. Quel film est premier au box office en France en 2014 :
« Bienvenue chez les Chtis » de Danny BOON
« Intouchables » de Natacha et Eric TOLEDANO
« Qu’est ce qu’on a fait au bon dieu ? » de Philippe de CHAUVERON