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Le cloud computingISTIA – EI2 2011-2012 Cabon Yves-Pol, Fache Guillaume, Tchoua Jérémie

Introduction• Nous avons choisi ce thème parce que le Cloud Computing

est une invention récente au innovations journalières. Dans cette suite de diapositives,nous nous sommes proposés de faire une prévention non exhaustive de ce qu’est le Cloud Computing et de répondre en partie aux problématiques qui lui sont propres.

• Pour ce faire nous procéderons selon un plan établi tel que premièrement,nous verrons les fonctionnalités du Cloud. Dans un deuxième temps nous aborderons les différentes structures qui sont utilisées et proposées dans ce nouvel outil technologique et enfin dans une troisième partie nous verrons les avantages et les inconvénients du Cloud Computing.

ISTIA – EI2 2011-2012 Cabon Yves-Pol, Fache Guillaume, Tchoua Jérémie

Carte heuristique


SommaireIntroduction

I) Les fonctionnalités du cloud - Le DaaS - Le SaaS - Le Haas

II) Les technologies mises en placeIII) Les avantages et les inconvénients

Conclusion


Le DaaS- Accès à des données provenant de différentes sources via des applications accédant au cloud.- Pour l'utilisateur, c'est comme si les données étaient sur son disque dur : il peut les lire, les modifier, etc.-Exemples de compagnies proposant ce type de service : Amazon avec son S3 (Simple Storage Service), Google Docs, Adobe Buzzword, Elastic Drive ...


Le SaaS (Software as a Service)

- Connu à ses débuts sous le nom d'ASP (Application Service Provider)- Accès à tout type d'application sans besoin de l'installer localement.- Élimine tout problème de configuration insuffisante. Utilisé déjà pour les jeux vidéos (On-live, Gaikai, G-cluster ...) sous le nom de "gaming on demand".

-Pas d'incompatibilités d'OS. Pas de mises à jour à effectuer par l'utilisateur.


Exemple de compagnies proposant ce genre de service.• Google's Chrome Browser qui propose un bureau d'où les applications

auxquelles on peut accéder sont soit hébergée localement, soit sur internet.

• Le "Software + Service" de Microsoft

• Google App Engine


Le IaaS/HaaS (Infrastructure/Hardware as a Service)- Mise à disposition, à la demande, de ressources d'infrastructures dont la plus grande partie se situe à distance. - L'entreprise dispose d'une infrastructure informatique se trouvant chez le fournisseur et peut y accéder sans restrictions.


Le Paas (Platform as a Service)

- Mise à disposition de plateforme de calcul logicielle qui permet aux développeurs de concevoir et déployer des applications Web sur une infrastructure hébergée.


Les technologies/structures utilisées

Le cloud computing compte deux types de structures différentes, que l'on va détailler : l'architecture multi-tiers et l'architecture N-tiers.


L'architecture multi-tiers (1)

Les tiers en question sont des serveurs qui permettent de segmenter les couches techniques des applications en plusieurs parties. On compte les serveurs suivant dans une structure classique :

Le serveur de présentation : Il sert à produire des écrans visibles par les utilisateurs. Ces écrans leur permettent de se situer par rapport à leur utilisation d’un service d’informatique dans les nuages. Pour rester dans le domaine aérien, on pourrait le comparer au tableau de bord d’un avion. Grâce à lui, l’utilisateur a des repères et peut savoir en temps quasiment réel où il en est dans son utilisation.



Le serveur d’application :

Il permet aux bénéficiaires des services de pouvoir exécuter sur une plate-forme d’exécution, les différentes applications de l’entreprise. C’est comme si l’entreprise, pour des raisons de commodité, ne voulant pas s’embarrasser avec un matériel trop encombrant et trop couteux, laissait cette tâche à leurs prestataires. Les entreprises ne garderaient plus que les applications dont elles se serviraient plus facilement.



Le serveur de base de données :

Représentant une très grande partie de la prestation de services en informatique dans les nuages à cause de son rôle de stockage et de garant de l’intégrité des données métiers de l’entreprise, il peut se reposer sur une base de données relationnelle (informations décomposées et organisées dans des matrices) ou sur une base de données objet.



Le serveur d’authentification :

Comme le suggère sa dénomination, son le rôle est de fournir des services de sécurité et de droits d’accès aux applications de l’entreprise. Il peut se reposer aussi bien sur un annuaire LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) que sur un système de SSO (Single Sign On). Le serveur d’intégration : Il permet aux bénéficiaires de services en nuage de disposer de passerelles d’échanges avec d’autres applications de l’entreprise. Il peut par exemple reposer sur un midleware orienté messages.


L'architecture N-tiers

Ce type d’architecture semble répondre au défi de la sécurité des réseaux dans les nuages, car les règles et les paramètres de sécurité sont exécutés à chaque interface. En d’autres termes, on peut définir des systèmes de sécurité pour le serveur d’application, la base de données etc. Cette pratique permet de compliquer la tâche d’un éventuel pirate informatique. C'est une évolution de l'architecture 3-tiers (que l'on ne détaillera pas) qui a pour avantages suplémentaires de permettre l'utilisation d'interfaces utilisateurs riches, d'offrir une grande capacité d'extension, et d'offrir une gestion des sessions facilitée.


L'hybrid cloud

L'hybrid cloud désigne la possibilité de passer d'un cloud privé à un cloud public selon les besoins de l'instant, notamment lors de besoin de puissance de calcul importante, mais ponctuelle. Exemple d'hybrid cloud : l'IBM Cloud Management Console.


Les avantages du Cloud Computing


Cloud Écologique (1)

Cloud écologique (2)

D'après le cabinet de consulting Pike Research, dans les dix prochaines années, les dépenses énergétiques des data centers et leurs émissions de gaz à effet de serre devraient ainsi chuter respectivement de 38% et 28%. "Cette utilisation de logiciels, infrastructures et plateformes informatiques en tant que services est par nature plus efficiente que leur utilisation traditionnelle, et cette dématérialisation est un facteur majeur du verdissement des IT."


Cloud écologique (3)

Une équipe de chercheurs de l'université de Melbourne a récemment démontré que l'utilisation du nuage pouvait être plus énergivore que l'informatique traditionnelle, notamment en cas d'excès de téléchargements simultanés, car le transfert des données depuis le nuage jusqu'aux postes des utilisateurs requiert tout de même de l'énergie, de même que le stockage de ces données dans des data centers dispersés aux quatre coins du globe. D'après l'ONG, « d'ici 2020, les principaux acteurs du cloud computing consommeront plus d'énergie que la France, l'Allemagne, le Brésil et Canada réunis. »


L'évolutivité du cloud (1)

- Permet à une entreprise d'ajouter (ou de supprimer) des comptes utilisateurs en quelques clics. - D'un point de vue économique, le système est plus juste, puisque l'organisation utilisatrice ne paye que ce qu'elle consomme réellement, ce qui n'était pas le cas avec les licences traditionnelles. « Si vous avez des pics énormes et des creux, vous devez avoir un supplément de ressources pour les pics. Et ce pourrait être bien moins coûteux de les externaliser. » Tom Nolle, PDG du CIMI, un cabinet de conseil en High-Tech.


L'évolutivité du cloud (2)

- Aide l'entreprise à gagner en agilité. « Votre façon de voir les choses change quand vous pouvez résoudre des problèmes en utilisant des ressources IT sans avoir à vous engager à long terme, et sans avoir à attendre longtemps pour les obtenir. » Michael Crandell, PDG de RightScale, une entreprise de gestion et de support de Cloud. - Dispose au quotidien d'un système d'information parfaitement dimensionné.


La flexibilité du cloud

- Contribue à l'émergence de nouveaux modes de consommation des logiciels supprimant les contraintes techniques qui freinaient l'innovation. - Un outil peut être déployé facilement et migrer du site vers le Cloud (et inversement).


Les coûts du cloud

- Réduire les coûts dans la mise en place des systèmes d’information (achats de systèmes peu utilisés par exemple). - Suppression des coûts de maintenance de l'infrastructure. - Au niveau des ressources, les employés n’ont pas besoin de les maintenir,ni même d’en connaître les langages de programmation.


La sécurité des données

Même si cet aspect du cloud posera des problèmes que nous verrons plus tard, les données dans les nuages permettent de mettre fin aux problèmes d'ordinateurs perdus avec des données importantes dessus, de pannes de matériel de stockage ou de suppressions involontaires de fichiers.


Les inconvénients du cloudISTIA – EI2 2011-2012 Cabon Yves-Pol, Fache Guillaume, Tchoua Jérémie

Dépendance à l'extérieur

- Force l’organisation à dépendre de l’extérieur. - Peut favoriser l’instabilité au sein d’une organisation. - Aucun contrôle sur les développements futurs des services virtuels de son fournisseur externe. - Impossibilité pour une organisation de surveiller les opérations de ses fournisseurs de services virtuels.


Risques d'intrusions

L’attaque des réseaux informatiques des nuages et la mise hors fonction de leurs services virtuels peut signifier la perte de plusieurs millions de dollars pour une organisation. Or les services proposés doivent l'être à n'importe quel moment, n'importe où. Requiert donc des techniques de protection du réseau avancées, qui peuvent entrainer des surcoûts important (chiffrement des données qui demandent des ressources de calcul importantes par exemple).


Risques d'intrusion : exemples

Le cas du PSN (Playstation Network) qui a été hacké début 2011 a montré la facilité avec laquelle un réseau pouvait être mis hors service, et comment les données personnelles des joueurs ne sont jamais en réelle sécurité. En novembre de la même année, la plateforme de jeu Steam est elle aussi victime d'intrusions qui ont permis aux hackers de récupérer mots de passe et coordonnées banquaires.


Coûts de la bande passante

- Dans des domaines comme le multimédia, certaines entreprises génèrent plusieurs téraoctets de données par jour, qui demanderaient des ressources en bande-passante colossales, discréditant le choix de l'externalisation (ex : Sony).


Problèmes de législation

- Manque d'une législation mondiale sur les priorités des politiques de confidentialités qui s'appliquent lorsque le fournisseur de service est basé dans un autre pays que le client.

- De même lorsque les serveurs sont dans un autre pays que la société fournissant les services. - Responsabilité en cas de pertes difficile à établir.


Bibliographie/webographie

http://constantintombet.com/les-risques-lies-a-la-gestion-des-donnees-dans-le-cloud-computing-partie-14/ http://www.novethic.fr/novethic/planete/environnement/energie/le_cloud_computing_nuage_pas_si_vert/132429.jsp

http://www.parallels.com/fr/products/saas/benefits/

http://www.metz.supelec.fr/metz/personnel/vialle/course/SI/n-tiers/remi.leblond.free.fr_probatoire_probatoire.pdf

http://www-sop.inria.fr/oasis/Denis/ProgRpt/COURS/PolyWeb8_architecture_ntiers.pdf

http://delivery.acm.org/10.1145/1730000/1721672/p50-armbrust.pdf?ip=84.100.191.175&acc=OPEN&CFID=85414918&CFTOKEN=30731582&__acm__=1329499318_cf5bc175816b5128d4a95f7888e28132

http://www.airccse.org/journal/ijdms/1011s1.pdf


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