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UNE NOUVELLE ETAPE POUR LE SGL ! Chers militants, chères militantes, La rentrée arrive avec le lot de changements qui l’accompagnent, parmi lesquels la transition d’équipe au Syndicat Général des Lycéens. Je préside le SGL depuis décembre 2013, et je sais à quel point notre organisation est singulière. Elle se base en effet sur des principes d’indépendance intangibles qui lui garantissent une liberté totale dans ses prises de position. Nous l’avons vu cette année, le SGL a été particulièrement incisif sur la question de la démocratie lycéenne. Nous avons aussi été confrontés à des événements qui resteront dans les mémoires : les fédérations de l’ouest ont défendu le projet de la journée de la jupe face à la polémique, l’Île de France a fait face à une agression choquante de la part d’un groupuscule d’extrême droite, tandis que nous avons tous été confrontés à la grève ferroviaire pendant les épreuves du baccalauréat. Pendant tous ces temps forts et encore d’autres, le SGL a su faire valoir son point de vue novateur, et dans la recherche de l’intérêt des lycéens. Notre ligne est de plus en plus rassembleuse, comme en témoigne l’augmentation conséquente de la masse militante et des fédérations cette année. Dans cette dynamique, de nouvelles idées ont été apportées à notre organisation : nous avons élargi notre réseau, puisque nos communiqués sont maintenant envoyés à tous les intéressés, ainsi qu’à une mailing- list impressionnante de personnes engagées dans le progrès éducatif. Nous faisons davantage attention à notre communication, en cherchant à relayer nos actions à travers des supports dynamiques et accessibles. Nous avons rencontré d’autres organisations avec lesquelles nous avons pu faire campagne, notamment contre le cyber-harcèlement. Cela tout en maintenant notre présence dans la démocratie lycéenne, au Forum Français de la Jeunesse ou au sein de l’inter-LGBT. Mais nous savons aussi à quel point le militantisme peut se révéler compliqué. Le SGL fonctionne aujourd’hui sans recevoir d’argent d’organisations tierces. Nous n’avons pas de siège, pas de salariés, de « grande sœur » parmi les organisations étudiantes ou adultes. Mais au fur et à mesure que notre organisation s’élargit, nous peinons à assumer toutes nos fonctions directrices. Nos difficultés à envisager une réunion nationale sur Paris en sont malheureusement révélatrices : la plupart des militants de province ne pourront qu’y participer à distance, faute de remboursement des frais de transports. De plus, notre coordination est extrêmement compliquée, l’activité en fédération étant très diversifiée. Alors l’événement le plus marquant de cette courte mandature sera sans doute sa conclusion, à savoir le travail du premier rassemblement national organisé les 6 et 7 septembre à Paris. À cette occasion, nous construirons à partir de la réflexion de cette année et de la solide base existante un nouveau projet, de nouveaux statuts à soumettre aux fédérations. Ainsi, nous trouverons une nouvelle fois une solution : nous réorganiserons le SGL afin qu’il puisse continuer son développement, et renforcer sa cohésion nationale, sans une seule fois reculer sur nos principes d’indépendance et de démocratie. Toute l’énergie des fédérations, des sympathisants et des adhérents doit être rassemblée autour d’une structure performante et de propositions encore plus ancrées aux réalités des lycéens, pour nous permettre de toujours mieux défendre nos camarades.

Présidence du SGL - Présentation des candidats

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Retrouvez les présentations des trois candidats à la présidence du Syndicat général des lycéens, ainsi que toutes les modalités du vote. Bonne lecture ami militant !

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UNE NOUVELLE ETAPE POUR LE SGL !

Chers militants, chères militantes,

La rentrée arrive avec le lot de changements qui l’accompagnent, parmi lesquels la transition

d’équipe au Syndicat Général des Lycéens. Je préside le SGL depuis décembre 2013, et je sais à quel point

notre organisation est singulière. Elle se base en effet sur des principes d’indépendance intangibles qui lui

garantissent une liberté totale dans ses prises de position. Nous l’avons vu cette année, le SGL a été

particulièrement incisif sur la question de la démocratie lycéenne. Nous avons aussi été confrontés à des

événements qui resteront dans les mémoires : les fédérations de l’ouest ont défendu le projet de la journée

de la jupe face à la polémique, l’Île de France a fait face à une agression choquante de la part d’un

groupuscule d’extrême droite, tandis que nous avons tous été confrontés à la grève ferroviaire pendant les

épreuves du baccalauréat. Pendant tous ces temps forts et encore d’autres, le SGL a su faire valoir son point

de vue novateur, et dans la recherche de l’intérêt des lycéens. Notre ligne est de plus en plus rassembleuse,

comme en témoigne l’augmentation conséquente de la masse militante et des fédérations cette année.

Dans cette dynamique, de nouvelles idées ont été apportées à notre organisation : nous avons élargi notre

réseau, puisque nos communiqués sont maintenant envoyés à tous les intéressés, ainsi qu’à une mailing-

list impressionnante de personnes engagées dans le progrès éducatif. Nous faisons davantage attention à

notre communication, en cherchant à relayer nos actions à travers des supports dynamiques et accessibles.

Nous avons rencontré d’autres organisations avec lesquelles nous avons pu faire campagne, notamment

contre le cyber-harcèlement. Cela tout en maintenant notre présence dans la démocratie lycéenne, au

Forum Français de la Jeunesse ou au sein de l’inter-LGBT.

Mais nous savons aussi à quel point le militantisme peut se révéler compliqué. Le SGL fonctionne

aujourd’hui sans recevoir d’argent d’organisations tierces. Nous n’avons pas de siège, pas de salariés, de

« grande sœur » parmi les organisations étudiantes ou adultes. Mais au fur et à mesure que notre

organisation s’élargit, nous peinons à assumer toutes nos fonctions directrices. Nos difficultés à envisager

une réunion nationale sur Paris en sont malheureusement révélatrices : la plupart des militants de province

ne pourront qu’y participer à distance, faute de remboursement des frais de transports. De plus, notre

coordination est extrêmement compliquée, l’activité en fédération étant très diversifiée. Alors l’événement

le plus marquant de cette courte mandature sera sans doute sa conclusion, à savoir le travail du premier

rassemblement national organisé les 6 et 7 septembre à Paris. À cette occasion, nous construirons à partir

de la réflexion de cette année et de la solide base existante un nouveau projet, de nouveaux statuts à

soumettre aux fédérations. Ainsi, nous trouverons une nouvelle fois une solution : nous réorganiserons le

SGL afin qu’il puisse continuer son développement, et renforcer sa cohésion nationale, sans une seule fois

reculer sur nos principes d’indépendance et de démocratie. Toute l’énergie des fédérations, des

sympathisants et des adhérents doit être rassemblée autour d’une structure performante et de

propositions encore plus ancrées aux réalités des lycéens, pour nous permettre de toujours mieux défendre

nos camarades.

Cette année, ensemble, nous avons donc continué le militantisme au SGL. Mais nous relevons le

défi de lui donner de quoi continuer son développement de manière pérenne : en bref, le pari est réussi. Il

y a cinq ans, nos prédécesseurs faisaient scission avec les autres syndicats lycéens pour proposer une autre

vision de la démocratie et du lycée. Depuis, peu à peu, les militants interprètent cette conception, et

s’attachent à faire passer le SGL du statut de scission à celui aujourd’hui d’une organisation à part entière,

dotée d’un fonctionnement et d’un projet novateurs pour défendre les lycéens. D’autres débats attendent

peut-être notre organisation, comme la bourse au mérite, l’égalité homme-femme dans les manuels

scolaires, l’égalité réelle entre les filières… Et peut-être de nouveaux défis comme la création d’une

intersyndicale lycéenne forte et solidaire. Mais ça, c’est à vous d’en décider : ce livret a pour but de vous

présenter les différentes candidatures qui ont été déclarées pour la présidence 2014-2015, de manière

unifiée et surtout transparente en le rendant public. Trois militants très engagés se sont proposés pour

présider le SGL l’année prochaine, que l’on sait chargée pour défendre notre nouveau projet, mais aussi

cruciale dans les instances lycéennes. Chacun des candidats a ici présenté sa candidature et un bon nombre

de propositions toutes très intéressantes : pas de doute, la relève du SGL est assurée et les anciens peuvent

partir avec la certitude que notre organisation saura bien utiliser ses composantes pour les mettre au

service des élèves. Le premier tour des élections se déroulera en fédération du 1er au 6 septembre, puis les

résultats du 1er tour seront donnés le 7, après un débat entre les candidats et les derniers votes. Le second

tour se déroulera donc du 8 au 13 septembre, jour d’annonce et d’investiture du nouveau président. Bonne

lecture et bon débat !

Loukian Jacquet

LES CANDIDATURES

Candidature de Paul Le Gal-Huaumé (53)

Candidature d’Antoine Marle (59)

Candidature d’Eliott Nouaille (92)

PAUL LE GAL-HUAUME

Bonjour à tous ! Je suis Paul Le Gal-Huaumé, militant dans la fédération de la Mayenne (53). Mon

engagement au SGL au débuté en même temps que mon mandat d’élu au CVL : impliqué dans les affaires

de la démocratie lycéenne, j’y ai pris ma carte, car ce syndicat était à mes yeux le seul à constituer une

opposition crédible au manque de considération des lycéens et de leurs élus. Qui plus est, nous avions déjà

une fédération en Mayenne !

C’est aussi là que j’ai pu participer aux premières mobilisations, telles que les manifestations contre

les expulsions. Petit à petit, j’ai pris goût à l’engagement au SGL, pour ses actions de terrain comme la

journée de la jupe au CAVL de Nantes, ou pour ses négociations dans l’intérêt des lycéens. Ainsi,

aujourd’hui, si je me présente à la présidence de notre organisation, c’est pour pérenniser cette forme

d’engagement qui nous rassemble depuis maintenant cinq ans. Plus jeune syndicat lycéen français, le SGL

a toujours eu à cœur de défendre les élèves de manière démocratique et indépendante : aujourd’hui, nous

sommes les seuls à ne pas avoir de salariés, à être totalement indépendants financièrement et moralement

du ministère et d’autres organisations, et les seuls à rendre publique notre campagne et les propositions

des candidats à la présidence. Nous pouvons donc clairement nous affirmer en tant qu’organisation

ouverte, gérée exclusivement par les lycéens. Je veux absolument conserver cette dimension que nous

apportons au syndicalisme lycéen et qui lui est fondamentale, ainsi que la ligne modérée et réfléchie que

nous apportons au débat.

Il faut se baser sur ce qui fait le cœur du SGL : les militants et leur continuité. L’équipe actuelle a

entrepris de réformer complètement le syndicat et son projet, et nous travaillerons dessus au

rassemblement national : de manière cohérente c’est à partir des choix démocratiques qui seront faits, à

travers notre nouveau projet et nos nouveaux statuts, que nous agirons en tant que nouvelle génération

de militants. Je souhaite reprendre ce qui a été apporté et qui doit être continué : par exemple, les

contributions publiques, l’amélioration de la communication avec plus de vidéos, la newsletter, la formation

et les guides, ou bien la reconduction du rassemblement national l’an prochain qui est un moment

important pour notre démocratie sont des choses dont nous ne pourrons plus nous passer.

Mais chaque présidence apporte aussi son lot de nouveautés : je proposerai de nouveaux moyens

de nous faire entendre. Les syndicats lycéens sont peu connus des élèves, et peu structurés : le SGL repose

essentiellement sur un large réseau de sympathisants. Nous devons nous faire connaître, en mettant en

valeur nos idées : elles sont certes à défendre auprès des politiques, du ministère, mais profitons du

nouveau projet pour le diffuser largement dans une campagne dans les lycées ! Du traditionnel tract au

café-débat, notre projet sera reconnu et même complété par de nouveaux militants motivés par nos idées.

De même, inscrivons-nous dans le débat public : aujourd’hui, partis et syndicats publient leurs idées sur

leur site comme nous le faisons, mais sont de plus en plus amenés à écrire des tribunes voire des ouvrages

pour aller vers le public. De nombreux médias comme le nouvel observateur, le huffington post, proposent

des espaces d’expression. Et de plus en plus d’éditeurs de livres cherchent des textes brefs et marquants à

mettre en valeur. Pourquoi pas nous ?

A travers ma candidature, je cherche donc à préserver et à renforcer ce qui fait le SGL aujourd’hui,

tout en relevant les défis du nouveau projet et des nouveaux statuts. Mais j’ai aussi envie que notre

génération de militants apporte sa pierre à l’édifice dans la construction d’un syndicat indépendant,

constructif, représentatif et actif sur toute la France de manière innovante. Alors n’ayons pas peur de nous

lancer ! Nous avons une organisation arrive à maturité : ancrons nos valeurs et nos propositions dans le

débat, allons de l’avant, recherchons des partenariats avec les autres organisations, car le SGL est une

source d’idées incroyables que nous porterons dans les instances et dans les lycées ! Nous méritons d’être

plus entendus et, si vous m’accordez votre confiance, le SGL axera ses efforts vers l’opinion publique pour

susciter des réactions et des débats, tout en restant exigeant face au gouvernement sur l’intérêt des lycéens

et face aux autres organisations pour l’indépendance des syndicats !

ANTOINE MARLE

Antoine MARLE, lycéen en terminale générale section économique et sociale au lycée du

Noordover à Grande-Synthe (Nord)

Militant depuis plus de deux ans, j’ai le souci de la justice, de la solidarité et de l’égalité. Ces trois

valeurs qui me tiennent à coeur m’accompagnent dans mon action quotidienne pour défendre les droits

des lycéens, car chacun et chacune doit être en mesure de s’intégrer dignement et sans difficulté dans la

société. Je suis profondément convaincu que c’est ensemble que nous parviendrons à créer le monde de

demain en réformant l’Education Nationale. Celle-ci joue un rôle majeur dans les pays démocratiques, elle

oriente la structure sociale et économique. Il me semble qu’aujourd’hui l’éducation qui nous est offert aussi

précieuse soit-elle doit évoluer pour s’adapter aux besoins du monde.

Grâce à l’unité et la force collective, nous devons parvenir d’une part à réduire les inégalités et

d’autre part à proposer de manière constructive une nouvelle vision. Le SGL, seul syndicat totalement

indépendant, doit avoir l’audace d’éclaircir les sombres faits qui mettent en danger la jeunesse et cela jour

après jour, tout en étant à l’initiative de projets réalisés pour et par les lycéens par sa puissance

démocratique.

En qualité de candidat, je veux être le représentant d’une nouvelle forme d’organisation se basant

sur la démocratie et le consensus collectif tout en impliquant davantage les militants qui sont les électeurs

et les membres constituant le corps depuis plus de quatre ans : le Syndicat Général des Lycéens.

Faites entendre une autre voix le 6 & 7 Septembre 2014 !

Voici les points essentiels de ma candidature :

Mon engagement au sein du SGL :

Garantir l’indépendance et l’unité du Syndicat Général des Lycéens

Poursuivre la réorientation du projet commun

Assurer la voie de la démocratie

Assumer la direction prise par l’équipe nationale

Mes souhaits pour le SGL :

Reconfigurer la structure institutionnelle du SGL

Assoir l’aspect qualitatif de l’organisation nationale

Ouvrir l’organisation pour élargir ses capacités d’action

Ma conception du militantisme :

Créer de liens de solidarité entre les militants

Développer l’engagement humain par le biais du dialogue

Donner conscience que l’action sociale permet l’innovation collective

Encourager les capacités et compétences de chaque militant

Agir pour faire valoir la voix lycéenne

ELIOTT NOUAILLE

Mes chers amis,

Avec cette lettre et le programme de 3 axes de travaux qui l’accompagne (disponible sur le site ou

en demandant), sous le nom de « SGL Horizon », j’officialise ma candidature à la présidence du Syndicat

Général des Lycéens. Vous savez les causes qui me tiennent à cœur, qui m’animent et m’amènent

aujourd’hui à briguer cette présidence : offrir une nouvelle dynamique au syndicalisme lycéen.

Défendre les intérêts des lycéens et réfléchir à une meilleure éducation aux côtés des militants

SGL fait partie intégrante de mon quotidien, et ce depuis mon entrée en seconde au lycée Jacques

Prévert, à Boulogne-Billancourt, en banlieue parisienne, dans les Hauts-de-Seine. Si à mes débuts dans la

démocratie lycéenne j’étais peu convaincu, je dois bien l’avouer, par le syndicalisme lycéen, et

récalcitrant à l’idée d’y contribuer, il me fallut peu de temps pour finir par me rendre compte

qu’indépendance et démocratie pouvaient être conjuguées à une structure fédérant les lycéens autour

de valeurs et de convictions, et ce grâce au Syndicat Général des Lycéens.

Il est nécessaire de remettre en avant ces mots qui nous guident et nous définissent, de les

réaffirmer : ils font notre force, caractérisent notre originalité et permettent notre union. C’est pourquoi,

à ce juste titre, il faut persévérer dans ce sens et ne pas hésiter à donner un nouvel horizon à notre

structure, en la rendant encore plus apartisane au sens « politique » du terme, sans chercher à la classer

dans une mouvance politique (droite ou gauche), mais bien en suivant et en approfondissant notre

conception de l’éducation et sa lignée, qui reposent sur le progressisme.

Notre objectif est d’aboutir à un système scolaire plus équitable, plus juste, plus égalitaire, qui

transforme nos lycées en de véritables lieux de vie citoyens et émancipateurs, donnant plus de liberté et

accordant davantage de confiance en ses élèves, parce qu’ils sont la future société, parce qu’ils portent

les germes de l’avenir et parce qu’ils représentent la France, ainsi que le monde de demain.

Et pour ce faire, il faut percevoir le Syndicat Général des Lycéens comme un bouillon d’idées, un

chaudron de propositions, qui ne se fixe pas de « limite » matérielle ou idéologique, cherchant à savoir si

le Ministère serait en accord ou non avec ce que nous formulons, jugeant réalisable ou chimérique,

acceptant ou rejetant notre projet. Il faut garder en tête cette citation : « Les utopies d’hier sont le monde

d’aujourd’hui. Les utopies d’aujourd’hui sont le monde de demain ». Et pour faire valoir notre lycée du

XXIème siècle, il faut s’emparer de nos instances lycéennes qui, si certes sont défaillantes, peuvent

bouger et changer si nous entamons une campagne sur l’engagement lycéen et le rôle déterminant qu’il

peut jouer, s’il est correctement mené et entrepris. A nous d’être candidats, de former et de convaincre

les lycéens de devenir acteur de leur éducation et non plus seulement spectateurs, à travers le

syndicalisme lycéen et notre vision de la démocratie lycéenne, qu’il est temps de faire connaître au plus

grand nombre, et ce par l’innovation tant sur le fond que la forme.

Donner un second souffle au syndicalisme lycéen : voilà ma volonté. C'est cette envie qui me

pousse à me présenter, à proposer un renouveau, en m'appuyant sur l'expérience que j'ai pu acquérir, et

qui m'a forgé, au long de ces dernières années : élu vice-président au Conseil de Vie Lycéenne, élu au

Conseil Académique de la Vie Lycéenne de Versailles, ancien candidat au Conseil National de la Vie

Lycéenne et au Conseil supérieur de l’éducation, et ex-délégué national à la démocratie Lycéenne du SGL.

A travers ma candidature, qui est en réalité la nôtre, je souhaite impulser une nouvelle énergie

au Syndicat Général Lycéens, qui reposera sur notre union, notre force, notre ambition. En m'accordant

votre confiance, je vous garantis que notre année sera riche en propositions, en émotions et en actions.

Et que, tous ensemble, nous ressortirons grandis de cette expérience syndicale, mais surtout et avant

tout humaine.

LA CAMPAGNE

Rappel des dates 16 Août : publication des candidatures

27 Août : date limite de retour des listes d’émargement par les RDs

1er septembre : début du vote du 1er tour

7 septembre : débat et vote au rassemblement national, résultats du premier tour

8 septembre : début du vote du second tour

14 septembre : fin du vote et publication des résultats

Modalités Les adhérents à jour de cotisation depuis au moins 1 mois pourront voter. Pour cela, les responsables

départementaux ou les référents de comité locaux doivent transmettre au national une liste d’émargement

de tous les militants à jour de cotisation, qui fera l’objet d’une vérification par la trésorerie. A l’issue du vote

en fédération, les mêmes responsables doivent transmettre un procès-verbal d’élection. Ces procès-verbaux

seront centralisés et comptabilisés le 7. Notez qu’un collège de vote particulier est prévu lors du

rassemblement, les militants présent et n’ayant pas encore voté pourront le faire sur place. Si aucune

majorité absolue n’est atteinte (un candidat recueille plus de 50% des voix), le second tour se déroule dans

les mêmes conditions jusqu’au 14 septembre.

Interpellez les candidats !

Une page est dédiée sur le site, qui vous permet de consulter toutes leurs

contributions et leurs professions de foi supplémentaires.

Vous trouverez aussi leurs coordonnées, afin de les contacter !

http://sgl-fr.org/presidence2014