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press book kLERVIA martel de

Press-book 2013/2014

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Condensé de mes travaux en tant qu'étudiante à l'école Brassart, Tours (37).

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press book

klervia martelde

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sommaire

graphismelogotypeROUGHsILLUSTRATIONsVOLUMESCROQUIS

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1GRAPHISME

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concept lingerie Recherches de modèles de sous-vêtements pour une nouvelle gamme de lingerie et création d’un logo. Technique rough et Illustrator.

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Fanfreluche

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affiches Affiches réalisées en temps limité, thèmes imposés, photos libres.

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couvertures livres Réalisation de 3 visuels pour un roman de science-fiction, réalisés à partir de collages.

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pochette cd Illustration réalisée pour un album au choix. Technique acrylique et couteaux.

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concept vodka Création de bouteilles pour la vodka Smirnoff, une classique et une originale, ainsi que des étiquettes. Bouteilles et étiquette réalisées sur Illustrator.

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Sailor Vodka

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catalogue cdrt Réalisation d’un catalogue pour le programme 2014-2015 du Centre Dramatique Régional de Tours. Photos et textes imposés

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Festival Création de visuels pour la 15ème édition du festiva Bruissement d’Elles

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EllesFestival

Bruissements 15èmeédition

La création au féminin

d’

LA SCENE DU CANAL

10 30mars 2014

au du

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festival

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Festival

BRUISSEMENTS

Elles15 ème

édition

La création au féminin

Tours

Jouè-les-Tours

La Riche

Azay-le-Rideau

Chambray-les-Tours

Saint Avertin

Saint-Pierre-Des-Corps

Notre Dame d’Oè

Célia Parody

Sophia Charay

Céline Pradeu

Salomé Leclerc

Le Bouton de Rose

Chloé Lacan

Clarisse Léon

LA SCENE DU CANAL

10 au du 30mars 2014

d’

10 30mars 2014

FestivalBRUISSEMENTS

Ellesd’

15 èmeédition

La création au féminin

Tours

Jouè-les-Tours

La Riche

Azay-le-Rideau

Chambray-les-Tours

Saint-Pierre-Des-Corps

Notre Dame d’Oè

Saint Avertin

au du

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ARTICLE Carnet de croquis réalisé sous forme d’article pour un magazine. Réalisation des croquis, de la mise en page et du texte.

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dossier

L’institut deTouraine

à nos jours.De 1912 Fondé en 1912, l’Institut de Touraine est un

établissement de langue étrangère dont la vocation est d’apprendre le français à des étudiants de tout âge. Depuis sa création, il a accueilli plus de 150 000 étudiants des 4 coins du monde, de la Chine au Mexique, en passant par le Japon, la Suède ou encore l’Iran. Mais retournons aux sources, voulez-vous ?

dossierdossier

L’histoire remonte à 1897. Edmond Sourdillon, professeur au lycée Descartes, ouvre une antenne de l’Alliance française destinée aux cours de vacances pour étrangers. Le succès est rapide, notam-ment auprès des britanniques, invités par le Board of Education de Londres. Le secret ? Une région réputée pour la qualité de son accent (ou plutôt son absence d’accent) et son patrimoine culturelle. Rappelons qu’au XVe siècle, Tours était la capitale administrative et culturelle de la France. Ce n’est pas pour rien que François 1er si est installé ! Séduit par le cadre, le roi de France y fit construire un château bien connu, le château de Chambord, attirant à sa suite de nombreux autres aristocrates qui, à leur tour, firent construire châteaux et hôtels particuliers. Cet ensemble est aujourd’hui connu sous le nom de « châteaux de la Loire ». Chaque individu passant en Touraine se doit d’en visiter au moins un !Ainsi, les deux principes de ce cours sont établis : langue et culture.C’est de cette initiative d’Edmond Sourdillon que naîtra l’Institut de Touraine, le 7 juillet 1912. Il en sera le premier directeur.Dès 1913, l’enseignement y est permanent et on compte déjà 300 étudiants.Ses activités seront interrompues au cours de la Première Guerre Mondiale mais n’empêcheront en rien l’essor de ses activités par la suite.

Lors des premières années, l’enseignement avait lieu dans la salle des mariages de l’hôtel de ville de Tours. En 1921, la mairie achète l’hôtel particulier de la famille Torterue se si-tuant non loin de la basilique Saint Martin, près du Vieux Tours. Cet hôtel avait été édifié par l’architecte François Martin Mauriau pour Louis Eugène Torterue. Malheureusement, Sourdillon meurt avant l’installation définitif de l’Institut dans cet hôtel, en janvier 1924. Deux ans plus tard sera lancé la construction de la salle Balzac pour accueillir les confé-rences de l’InsitutL’année 1956 verra l’ajout de l’ancienne Trésorerie national au complex, pour les besoins grandissants de l’InsitutEnfin, en 1962, sera ajouté une vaste maison se trouvant à côté du fut hôtel Torterue. Cet ensemble immobilier correspond à l’Institut tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Dès 1920, 300 étudiants fréquentent l’Institut, dont 100 en cours annuel. En 1931, on en compte 800.La réquisition des locaux lors de la Secondes Guerre Mondiale interrompt l’essor. L’insitut retrouve un nouveau souffle en 1946 et compte 400 étudiants. Depuis, ce nombre ne cesse d’augmenter : 780 étudiants en 1950, 1575 étudiants en 1960, 2030 étudiants en 1962... ! Aujourd’hui, l’Institut accueille entre 2200 et 2700 étudiants par an.Les premières années comptaient principalement des étudiants britanniques de par le partenariat avec le Board of Education de Londres.Ainsi, en 1931, 2/3 des étudiants sont britanniques. Les autres sont irlandais, allemands ou américains.Petit à petit, les frontières tombent, et en 1998, l’Institut a accueillit des étudiants de 85 pays. En 2003, 89 pays.Actuellement, l’Institut a accueillit des étudiants de plus de 120 nationalités différentes.

Depuis 1921, l’Insitut est rattaché à la Faculté des Lettres de Poitiers, qui fournira de nombreux enseignants et directeurs, tel que Maurice Castelain. Doyen de la Faculté, cet homme prit les rennes de l’Institut de 1937 à 1948. En 1948, l’Université fondera à Tours un Institut des Lettres qui deviendra Faculté de Lettres et Sciences humaines en 1965. La nouvelle Université de Tours sera crée en 1968 et définitivement installée en 1972.Ce partenariat aboutira en 1973 à la création du Certificat d’Études Françaises, avalisé par l’Université

Le rêve d’un professeur La rue tortuée

De plus en plus d’étudiants

Le saviez-vous ?

Le bâtiment Vinci, accessible depuis le Parc Sourdillon Un étudiant attendant devant l’Institut

Ancienne entrée pour le bâtiment VinciStatue de Edmond Sourdillon

se trouvant face à l’Institut

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article

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dossierdossierDepuis plus de 100 ans, l’Institut offre un environnement et une expérience unique aux étudiants étrangers. Mais il y a des gens sans qui cette expérience ne serait pas possible : les familles d’accueil. Entretien avec Martine, une femme pétillante de 68 printemps qui a accueilli des étudiants des 4 coins du globe.

Klervia : Bonjour Martine !Martine : Bonjour !

K : Alors dites-moi, depuis combien de temps êtes-vous famille d’accueil ?Et bien, environ 15 ans.

K :Pourquoi êtes-vous devenu famille d’accueil ?C’est une amie qui m’en a parlé. Et comme il y avait des chambres de libre chez moi...

K : Comment devient-on famille d’accueil ?M : On s’inscrit auprès de l’Institut. Ensuite quelqu’un vient voir la maison pour vérifier qu’elle est adapté à l’accueil d’étudiants. On nous pose des questions sur la motivation, pour savoir si on est capable de gérer des jeunes, car ce n’est pas toujours simple.

K : Ça consiste en quoi ?Accueillir le jeune le temps de son séjour en France. Le but est que l’étudiant soit immergé dans la culture française et vive la vie quotidienne des français. Il faut qu’il entende parler français le plus possible.Ceux qui choisissent la famille d’accueil comme solution de séjour, c’est principalement pour la culture française, mais certains, c’est aussi parce qu’ils se retrouvent dans un environnement familial.Certains ne viennent que pour la langue et ils consomment du français comme on consommerait un buffet à volonté : ils veulent optimiser leur séjour, parler tant de temps. Ils ont payé, ils doivent avoir...Heureusement ils ne sont pas tous comme ça ! D’autres viennent pour l’échange.

& les familles d’accueil ?K : Parlez nous de votre première expérience.M : C’était avec des japonaises. Ca s’est passé sans difficulté. Les japonais sont très respectueux.

K : Certains étudiants ne le sont pas ? M : Bien sûr ! Certains voudraient juste vivre comme chez eux, faire comme chez eux et seulement venir parler français... alors que vivre dans une famille d’accueil, c’est changer sa façon de vivre pendant un temps pour faire une expérience différente.

K : Combien en avez vous reçu jusqu’au présent ?M : Plus de 400.

K : Ça fait beaucoup !M : Oui, les séjours varient. Ca peut aller de une semaine à 2 ans. Une à deux semaine, c’est plutôt des scolaires. 2 ans, ce sont des étudiants qui veulent aller à la fac mais passent d’abord par l’Institut, ou alors ils viennent faire leurs études en France, ils doivent donc apprendre le français.

K : Des conseils pour être une bonne famille d’accueil ?M : Aimer les autres, être curieux des autres cultures, et avoir une certaine philosophie de la vie. Aimer faire la cuisine aussi...

K : Qu’entendez-vous par « une certaine philosophie de la vie » ?M : Il faut être dans l’instant, ici et maintenant, avec eux, avoir envie d’un échange, car cela demande beaucoup de patience. L’étudiant doit s’adapter à une nouvelle vie mais la famille doit s’adapter à chaque fois à un nouvel étudiant. Il faut prendre en compte chaque étudiant, équilibrer le groupe. J’aimais prendre des groupes car il se créait une vraie dynamique. Si la dynamique était bonne, on pouvait faire des sorties le week end, des excursions, des randonnées...

K : Comment se passe la relation avec les étudiants ?M : Tout dépend des étudiants. Rien n’est tout rose ou tout noir. Il faut obligé tout le monde à respecter les autres, car il y a avait beaucoup de différence entre eux ; j’aimais gérer ce genre de choses.

K : Quels mélanges avez vous eu ?M : Des moyen-orientaux avec des occidentaux avec des grosses différences de cultures,ce qui amène a des débats comme la place de la femme dans la société.

K : Et ça prend combien de temps tout ça ?M : En heure par jour ? 1H de course, 1h de cuisine, 1 a 2 de repas... 4 à 5h par jour. Si on s’en occupe !

K : Et votre famille, comment a t-elle réagi ? M : Ça, c’est le problème que pratiquement toutes les familles rencontrent. Il peut y avoir des moments où pour la famille ça peut être un peu lourd. Il faut laisser les enfants prendre de la distance avec les étudiants et ne pas les obliger à être à table ou communiquer avec eux tous les jours nécessairement. Et bien sûr, il faut que le conjoint soit d’accord.

K : Quelles différences avez-vous constaté en 15 ans de carrière avec les étudiants ?M : Beaucoup moins de disponibilités, de curiosité de l’autre. Ils consomment de la famille : ils ont payés donc ils ont droit à telle ou telle chose. Heureusement, ils ne sont pas tous comme ça ! Les plus intéressants sont ceux qui n’apprennent pas que la langue mais qui s’intéressent aussi à la culture.

K : C’est dommage de ne pas s’intéresser à un pays dont on apprend la langue !M : C’est la grosse différence. Maintenant on veut apprendre la langue vite, pour le travail notamment.

K : Des anecdotes « marrantes » ?M : J’avais un étudiant à qui j’avais montré une photo de ma chienne, qui était morte. Je lui explique que c’était un animal auquel je tenais beaucoup, et là, il me dit : « Attends, attends, je vais te montrer quelque chose ! ». Il s’en va et revient avec une photo. Je m’attendais à ce qu’il le montre son chien, et je me retrouve avec une photo de chameau ! Il y avait aussi l’étudiant qui fumait sa chicha sur le balcon...

K : Ah bon ?!

M : Oui. Un soir, au repas, il me dit qu’il s’est fait un nouvel ami. Je le félicite. Le lendemain, il me dit qu’il s’en est fait 3 autres. Je lui demande où il se faisait tous ses amis et il me répond du balcon. En fait, il disait

Quelques soit nos origines, un gâteau d’anniversaire fait toujours plaisir !

Souvenirs et courriers sont de mise...La cuisinière au travail.

Fêter Noël en djelabah, une idée originale !

dossierbonjour à tous les gens qui passaient dans la rue !

K : Et pour la chicha ?M : J’y viens. C’est là que je lui demande s’ill passait ses soirées sur son balcon. Il me répond : « Bah oui, je fume ma chicha ! ». J’ai du lui demander de venir la fumer sur la terrasse, pour éviter les problèmes avec les voisins... mais quand même, c’était drôle.

Un souvenir marquant ?M : Oui. J’avais une étudiante américaine violoniste qui apprenait très lentement, mais tout ce qu’elle lisait, elle le retenait. Elle était extrêmement attentive et rien ne pouvait la distraire. Elle s’appellait Danielle. Elle m’avait expliqué que c’était uniquement un travail de concentration, qui lui venait sûrement de son apprentissage du violoncelle.

K : Qu’est ce que ça vous a apporté ? Qu’avez vous appris auprès des étudiantsM : De ne pas pleurer sur mes petits problèmes et à vivre les moments quand ils viennent. J’ai découvert que dans la vie quotidienne, on a plus de traits communs que de différences. Ce qui nous différencie est très superficiel et crée par la société. On est tous humains. Je vois plus les ressemblance que les différences. J’ai aussi appris que la vie ne s’arrête jamais. J’ai eu les parents au téléphone, puis les étudiants avec qui je garde parfois contact, et maintenant, j’ai les générations qui viennent derrière. C’est comme un fil d’Arianne! Il y a des étudiants que j’ai eu alors qu’ils avaient 15 ans qui m’envoient des photos de leurs enfants ou viennent me voir. J’ai une étudiante qui est venu me présenter son mari, avant de le présenter a ses parents, pour savoir ce que je pensais de lui !

K : Une phrase pour résumer ?M : Je dirais que pour moi vivre c’est partager, c’est le mouvement... Un peu comme ce poème du Général Mac Arthur : «La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive...»

K : Et bien, merci beaucoup Martine ! Au revoir.M : Je vous en prie ! Au revoir.

Texte et dessins : Klervia MARTEL

Un point rouge = un étudiant ! enfin, plusieurs.

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mise en page Couverture et double page pour le magazine Alternatives Economiques. Illustration réalisée à l’acrylique.

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mise en page Mise en page en temps limité, texte et photos imposés.

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campagne Campagne publicitaire réalisée pour la marque de vêtements Abercrombie & Fitch. Création d’une nouvelle gamme de tee-shirts pour un public adolescent. Illustrations réalisées à la tablette.

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mises en situation Illustration réalisée à la tablette graphique et mises en situation.

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campagne lait "bébé" Création de visuels pour une marque de lait en poudre pour nourrissons ainsi que d’une mascotte. Le tout à été réalisé sur Illustrator.

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BébéLAIT POUR NOURRISONS

Formule épaissie

0 6 12 36

mois

BébéLAIT POUR NOURRISONS

vitamines et minéraux

om égas 3 et 60 6 12 36

mois

Satiété Hypoallergénique

BébéDÈS LA NAISSANCE

0 6 12 36

mois

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Affichage Réalisation d’un 4x3 et d’un abri-bus pour promouvoir le produit.

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2logos

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logos divers

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jeux typoGRAPHIQUES

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3roughs

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agence de voyage Rough pour une agence de voyage promouvant le Japon.

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intérieur cuisine Rough de décoration d’intérieur pour une cuisine.

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concept jeux Création d’une gamme d’objets de bureau pour enfants et de visuels pour un jeu de 7 famille. Réalisation traditionnelle aux encres et crayons de couleurs.

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traditionnel Illustrations réalisées à l’encre et à l’acrylique.

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PLV AGENCE DE VOYAGE PLV pour promouvoir un pays au choix. Exécution à la gouache.

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PACKAging sushis Pack de transport pour une personne. Réalisation à la gouache.

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6croquis

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croquis d'observation

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croquis d'observation

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