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LbldNdagclcdLd5eatégal à deux exacerbations/an versus 37,5 % pour les exacerbateursnon fréquents).En conclusion, ces résultats montrent la fréquence des phénomènes
68 17e Congrès de pneumologie de l
ne étude retro prospective sur cinq ans de janvier 2008 au juillet012 a été menée aux CHU de Tamatave et de Fenoarivo sur6 patients BPCO adultes des deux sexes afin de comparer les résul-ats obtenus en appliquant les 2 types d’équations : ESM et ESQ.a mesure du souffle est réalisée avec le spiromètre électroniqueAN 100 étalonné selon les recommandations de l’ATS. Sex-ratio :,37, âge moyen :59,04 ans (32—82), > 60 ans : 57 % des cas, 34,88 %es patients ont un indice de masse corporelle IMC inférieur à 18,5.n tabagisme actif est retrouvé dans 75,58 %.elon GOLD 2009, et en utilisant les ESM, la BPCO stade I représente,65 % des patients ; stade II : 24,42 % ; stade III : 34,88 % ; stade IV :4, 88 %. En appliquant les ESQ (CECA), cinq patients (5,81 %) classéstade III selon les ESM deviennent stade IV, de même cinq patients5,81 %) classés stade II deviennent stade III,et trois cas (3,48 %)lassés stade I deviennent stade II.insi 5 % de la population malgache de BPCO étudiée nécessiteraitn réajustement thérapeutique. Cependant, il faudra un échan-illon plus grand de BPCO afin de préciser la significativité de cetteifférence.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.217
92es facteurs de risque de mortalité lors desxacerbations de BPCO. Fettal , A. Taleb
Service de pneumologie, CHU de Sidi Bel Abbès, Sidi Bel Abbès,lgérie
es exacerbations aiguës EA de la bronchopneumopathie chroniquebstructive représentent un problème de santé majeur en termese morbi-mortalité et de coûts de santé. Ce sont des accidentsigus, émaillant l’évolution de la BPCO avec un impact négatif sura fonction respiratoire et sur la qualité de vie des patients. La mor-alité intrahospitalière lors des EA de BPCO selon les études est de,5—30 % selon les études.atients et méthodes.— Il s’agit d’une étude rétrospective d’uneohorte de patients atteints de BPCO et hospitalisés pour un épisode’exacerbation et décédés dans le service de pneumologie du CHUe Sidi bel Abbès depuis janvier 2008 à mars 2011.es objectifs sont d’évaluer la fréquence de la mortalité hospi-alière pour EA de BPCO, d’identifier les facteurs prédictifs deortalité et décrire les caractéristiques des EA.ésultats.— Sur un ensemble 95 patients BPCO hospitalisés pour uneA, dix sont décédés au cours de leur séjour dont trois patients ontté transférés dans un service de réanimation. Le taux de mortaliténtrahospitalière était de 7 %. Les patients décédés étaient exclu-ivement des hommes âgés de plus de 60 ans, ex-fumeurs sept cast fumeurs actif trois cas. Ils présentaient des facteurs de comorbi-ités avec le plus souvent des pathologies cardiovasculaires isoléesu associées au diabète et à l’ulcère gastroduodénal. La fonctionespiratoire était altérée VEMS inférieure à 50 % dans quatre cas etnférieur à 30 %. La fréquence des exacerbations était supérieure
trois EA par an. Les BPCO décédés étaient dénutris avec IMCnférieur à 25 dans trois cas et inférieur à 20 dans sept cas.onclusion.— Notre étude montre que l’âge, le sexe masculin, laévérité de la BPCO, les facteurs de comorbidités et la dénutritionont des facteurs prédictifs de décès.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.218
93ravité des exacerbations sévères de BPCO
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e francaise — Lille, vendredi 1er au dimanche 3 février 2013
. Oussedik , R. Khelafi , F. SkanderCHU Beni-Messous, Alger, Algérie
ntroduction.— Les exacerbations de BPCO sont des évènements deravité variable compliquant le cours évolutif de la maladie. Ilsont un motif fréquent de consultation en urgence. Lorsqu’ils sontévères, la prise en charge en milieu hospitalier s’impose.atients et méthodes.— Entre janvier 2009 et décembre 2011,38 patients sont hospitalisés pour exacerbations sévères de BPCO.ls présentaient tous des signes de gravité cliniques et/ou gazomé-riques.’analyse des données s’est faite de manière rétrospective à partires dossiers d’hospitalisation.ésultats.— Les patients étaient tous âgés de plus de 45 ans avec uneoyenne d’âge de 70 ans. Les hommes étaient dans la moitié des
as âgés de plus de 65 ans. Les femmes étaient beaucoup plus âgées75 ans dans 56 % des cas). Quatre-vingt-dix pour cent des patientsvaient une BPCO diagnostiquée et traitée antérieurement avec desotions d’hospitalisations pour 42 % d’entre eux. L’exacerbation aévélé l’existence d’une BPCO chez 35,7 % des femmes et 9,5 %es hommes. 30,4 % des patients étaient des exacerbateurs fré-uents. Quant aux comorbidités, elles étaient essentiellementardiovasculaires dominées par l’hypertension artérielle (44 %).ous les patients avaient des signes de gravité cliniques et gazomé-riques telles que l’hypoxémie et l’hypercapnie sévère supérieures50 mmHg dans 47 % des cas. L’infection bronchique était la prin-
ipale cause d’exacerbation. La durée moyenne d’hospitalisationtait de 8 jours avec une mortalité intra hospitalière de 18 %.onclusion.— La BPCO est souvent diagnostiquée à l’occasion d’unexacerbation plus fréquemment chez les femmes que chez lesommes. La gravité de ces événements est en général liée à l’âget aux comorbidités surtout cardiovasculaires.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.219
94révalence de la dépression chez les patientstteints de bronchopneumopathie chroniquebstructive : une étude prospective. Kamoun , S. Fenniche , S. Idoudi , W. Ben Hamad , L. Fekih ,. Greb , H. Abdelghaffar , H. Hassen , I. Akrout , M.L. Megdiche
Service Ibn Nafiss, hôpital Abderrahmene Mami, Ariana, Tunisie
a dépression est sous-diagnostiquée chez les patients atteints deronchopathie chronique obstructive (BPCO). Dans une revue de laittérature, la prévalence de la dépression chez les patients atteintse BPCO modérée à sévère varie entre 7 et 42 %.ous avons effectué une étude prospective sur 40 patients atteintse BPCO quel que soit le stade suivi dans notre service du 1er
vril au 1er septembre 2012, afin de dresser le profil psycholo-ique et de détecter un syndrome dépressif chez ces patients. Poure, nous avons utilisé le questionnaire HAD traduit en arabe dia-ectal administré par le psychologue soit en consultation, soit enours d’hospitalisation. Les malades chez qui une dépression a étéétectée ont bénéficié d’une aide psychologique.es résultats montrent que la fréquence du syndrome dépressif este 42,5 % sur les 40 malades : avec 10 % pour les stades I-II versus3,33 % pour les stades III-IV. Notre étude a aussi montré un lienntre la fréquence de la dépression et la sévérité de la dépressioninsi que la fréquence des exacerbations (62,5 % chez les exacerba-eurs fréquents définis par un nombre d’exacerbations supérieur ou
sychologiques chez les BPCO surtout sévères. On projette de suivre
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Affiches scientifiques
ces malades durant une période de deux ans afin d’établir un liende causalité entre le déclin du VEMS et la sévérité de la dépression.
http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.220
195Étude de la valeur prédictive de la réversibilité del’obstruction bronchique sur l’efficacité d’untraitement par indacatérol chez des patientsatteints d’une BPCO modérée à sévère : étudeREVERBREZP.R. Burgel a, V. Le Gros b, G. El Azzi b, I. Bourdeix b, G. Deslée c
a Hôpital Cochin, AP—HP, université Paris Descartes, Paris, Franceb Novartis Pharma SAS, Rueil-Malmaison, Francec Hôpital Maison-Blanche, CHU de Reims, Reims, France
La mesure de la réversibilité de l’obstruction bronchique à un b2-agoniste courte durée d’action (BCDA) est communément utiliséepour prédire l’efficacité clinique des bronchodilatateurs de longuedurée d’action chez les patients BPCO.L’étude REVERBREZ a étudié la relation entre la réversibilité immé-diate à un BCDA et la réponse à cinq mois à un traitement parindacatérol.Méthodologie.— À la visite (V) 1 (j-15), la réversibilité au salbuta-mol 400 �g a été évaluée chez 602 patients ayant une BPCO stablemodérée à sévère (classification SPLF 2009). À partir de la V2 (j0)et jusqu’à la V5 (j148), les patients ont recu l’indacatérol 150 �gune fois par jour administré via un inhalateur de poudre sèche(Onbrez Breezhaler). L’efficacité de l’indacatérol a été évaluée parla mesure du VEMS aux différentes visites et le score de qualité devie (VQ11).Résultats.— À l’inclusion, 106 patients (19,5 %) étaient réversibles.Il n’a pas été observé de corrélation entre le changement du VEMSaprès l’inhalation de salbutamol et la réponse au traitement parindacatérol. Le coefficient de corrélation était r = 0,056 IC 95 %[—0,032 ; 0,144] pour le VEMS résiduel à un mois (objectif prin-cipal) et r = —0,067 IC95 % [—0,163 ; 0,03] pour le VQ11 à cinq mois(objectif secondaire clé). Les événements indésirables le plus fré-quemment rapportés étaient : aggravation de la BPCO (13,4 %),bronchite (9,2 %), dyspnée (4,6 %) et toux (4,6 %).Conclusion.— Le test de réversibilité immédiate au salbutamol neprédit nullement la réponse clinique à l’indacatérol qui ne peut êtreévaluée que lors d’une administration continue.
http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.221
196Prise en charge de l’emphysème bulleuxE. Tangour , J. Ben Amar , B. Dhahri , S. Azzabi , M.A. Baccar ,H. Aouina , L. El Gharbi , H. BouachaService de pneumologie, hôpital Charles-Nicolle, Tunis, Tunisie
Introduction.— L’évolution de l’emphysème bulleux est souventémaillée de complications aiguës et chroniques comme le dévelop-pement d’un cancer, une hémorragie ou une surinfection.But.— Décrire les modes de découverte, la prise en charge etl’évolution des emphysèmes bulleux.Méthodes.— Étude rétrospective incluant 20 patients pris en chargepour un emphysème bulleux.Résultats.— La moyenne d’âge était de 54,8 ans. Quatre-vingt-dixpour cent de nos patients était de sexe masculin. Un tabagismeétait retrouvé dans 17 patients (85 % des cas) avec une intoxica-tion moyenne de 38,83 PA. L’emphysème bulleux a été découvert
de manière fortuite chez un malade. Chez 11 patients, un scan-ner a été demandé suite à des plaintes fonctionnelles à type dedyspnée chronique stable. Le délai moyen entre l’apparition de lar
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yspnée et le diagnostic d’emphysème chez ces patients était de,2 mois. Pour huit malades, l’emphysème bulleux a été découvertuite à une complication : pneumothorax chez six patients, surinfec-ion de bulle chez deux malades. Soixante-six pour cent des patientsrésentaient un trouble ventilatoire obstructif. Les indications thé-apeutiques étaient une simple surveillance pour 17 malades, unehirurgie des bulles pour trois patients. L’évolution était bonne avecne stabilité de la symptomatologie chez 12 patients. Deux patientsnt présenté un pneumothorax au cours de l’évolution. Une surin-ection de bulles était présente dans deux cas. Trois patients ontrésenté une aggravation progressive de leur dyspnée. Une néopla-ie sur bulle d’emphysème était notée chez un patient.onclusion.— Un diagnostic et un traitement précoce de
’emphysème bulleux sont nécessaires en vue d’éviter la survenuee complications chez ces patients à fonction respiratoire précaire.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.222
97iabilité et reproductibilité de la mesure deigidité artérielle par la vitesse d’onde de poulshez les patients atteints de bronchopneumopathiehronique obstructive (BPCO) stables
. Vivodtzev a, C. Minet b, R. Tamisier a, F. Arbib b, J.-C. Borel a,.-P. Baguet c, P. Lévy a, J.-L. Pépin a
Inserm U1042, Laboratoire HP2, UJF, Grenoble, FrancePole locomotion, rééducation et physiologie, CHU, Grenoble,ranceClinique de cardiologie, CHU, Grenoble, France
ntroduction.— La vitesse d’onde de pouls (VOP), méthode vali-ée d’évaluation de la rigidité artérielle, est couramment utiliséeans les études investiguant le risque/efficacité cardiovasculairees traitements dans la BPCO. Cependant, les études de reproduc-ibilité sont absentes dans cette population.éthodes.— Trente-huit patients BPCO (79 % homme, 63 ± 8 ans ;EV1 = 53 ± 17 % préd.) ont été inclus. La VOP carotido-fémorale até mesurée par la méthode du Complior® à l’inclusion (j0), aprèseux semaines (j15) puis six semaines (j42), ainsi que les paramètresnflammatoires plasmatiques (CRP, TNF� et IL6). Les coefficientsorrélations de Pearson et Spearman et les Coefficient de Corréla-ion Interclass inter-sessions (CCI) ont été utilisés pour comparera VOP à j0 vs. j15 et j0 vs. j42 (reproductibilité à court et moyen-erme, respectivement).ésultats.— La VOP était de 11,10 ± 1,91, 11,05 ± 2,17 et1,24 ± 2,25 m/s à j0, j15 et j42, respectivement. Pour la repro-uctibilité à court terme, le coefficient de Spearman était de= 0,78, p < 0,0001 avec un CCI = 0,790 (allant de 0,632 à 0,885).our la reproductibilité à moyen terme, le coefficient de Pearsontait de r = 0,749, p < 0,0001 avec un CCI = 0,790 (allant de 0,567 à,861). CRP, TNF� et IL6 étaient stables au cours des évaluations.onclusion.— La mesure de la vitesse d’onde de pouls par laéthode du Complior® présente une bonne reproductibilité chezes patients BPCO stables. Cette estimation de la rigidité artérielleeut être utilisée comme mesure objective et comme base de calcul’effectif dans les études cliniques randomisées.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.223
98ffets de l’entraînement des muscles inspiratoiresssocié à un programme de réhabilitation
espiratoire sur la dyspnée