PROGRAMMATION 2018/2019 · 2018. 9. 19. · sensibilisation au devenir de notre planète à travers deux temps forts qui marqueront la programmation 2018-2019. Avec la sortie d’un

Dossier de presse

PROGRAMMATION2018/2019

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P3. ÉDITO

P4. LE MUSÉUM S’ENGAGE

P5. LES TEMPS FORTS DU MUSÉUM

P6. FESTIVAL DES LUMIÈRES AU JARDIN DES PLANTES P7-8. SAISON “EN DROITS !” AU MUSÉE DE L’HOMMEP9. EXPOSITION “OCÉAN” AU JARDIN DES PLANTESP10. LE PARC ZOOLOGIQUE DE PARIS FÊTE LES 5 ANS DE SA RÉOUVERTURE

P11. LE CALENDRIER DU MUSÉUM

P12. LES EXPOSITIONS EN COURSP13-17. LE CALENDRIER DES EXPOSITIONS, FÊTES, ÉVÉNEMENTS…

P18. LES SITES DU MUSÉUM

P19. LE JARDIN DES PLANTESP20. LE MUSÉE DE L’HOMMEP21. LE PARC ZOOLOGIQUE DE PARISP22-23. EN RÉGION

Si les douze derniers mois furent remarquables par la richesse et le caractère innovant de la programmation - ouverture d’un cabinet de réalité virtuelle permanent, exposition pour la première fois en France d’un impressionnant fossile de T. rex -, la rentrée s’annonce intense au Muséum national d’Histoire naturelle avec une programmation qui fait plus que jamais écho à notre vocation d’émerveiller nos visiteurs pour mieux les instruire.

Ainsi, plusieurs temps forts sont programmés à commencer par l’exposition Océan, parrainée par l’UNESCO, qui s’installera dans la Grande Galerie de l’Évolution dès avril 2019. En consacrant une exposition aux mystères des océans, le Muséum propose une exploration loin du littoral et des figures les plus familières de sa biodiversité, au cœur d’un environnement méconnu, souvent invisible depuis la surface. Cette plongée en eaux profondes fera découvrir des facettes insoupçonnées des mondes marins tant dans les milieux les plus extrêmes que dans les mythes qu’ils ont suscités.

Parallèlement, l’exposition Néandertal se poursuivra au Musée de l’Homme jusqu’au 7 janvier 2019. Musée de l’Homme qui sera également le théâtre de la célébration des 70 ans de la Déclaration universelle des droits de l’Homme le 10 décembre prochain. Cet événement exceptionnel résonne avec l’esprit du lieu fondé par Paul Rivet dont le fil conducteur a toujours été d’appréhender l’humanité comme un tout indivisible dans l’espace comme dans le temps. Cette commémoration sera suivie durant le premier semestre 2019 de plusieurs événements dont l’invitation de street artistes venant illustrer les droits de l’Homme, ou l’exposition Tromelin, l’île des esclaves oubliés qui évoque une saisissante tragédie maritime et humaine du XVIIIe siècle.

Au-delà de son offre temporaire, le Muséum propose à ses visiteurs un large panel d’activités. Ainsi, nos jardins botaniques et zoologiques, à Paris comme en région, accueilleront ceux qui souhaitent explorer la biodiversité et amoureux de la nature. La Ménagerie du Jardin des Plantes, l’arboretum de Versailles-Chèvreloup, la réserve de la Haute-Touche ou encore le Parc Zoologique de Paris, qui fêtera en 2019 son cinquième anniversaire depuis sa réouverture, restent des lieux d’observation incomparables de la faune et de la flore de la planète.

Le mois de septembre verra l’installation des Tribunes du Muséum. Ce nouveau dispositif a vocation à explorer un sujet de société, cette fois « la nature, l’avenir des villes », en mobilisant des personnalités de tous les horizons. Cette initiative s’inscrit au cœur des activités qui constituent la raison d’être d’un Muséum au XXIe siècle, celle de porter une voix scientifique forte en direction du plus large public à travers le prisme de l’histoire naturelle pour comprendre la diversité du vivant et explorer les liens étroits qu’entretient l’Homme avec son environnement.

Bruno DAVIDPrésident du Muséum national d’Histoire naturelle

Avec la publication de son manifeste fondateur « Quel futur sans nature ? » à l’automne 2017, le Muséum investissait le débat public afin de faire entendre une voix scientifique forte fondée sur l’apport de l’histoire naturelle dans la manière d’appréhender les grands enjeux qui traversent la société contemporaine. C’est dans le prolongement de ce texte que le Muséum poursuit sa vocation de transmission des savoirs et de sensibilisation au devenir de notre planète à travers deux temps forts qui marqueront la programmation 2018-2019.

Avec la sortie d’un deuxième manifeste consacré aux migrations, il s’agit pour l’établissement de pérenniser un format qui a fait ses preuves en mobilisant une diversité de champs disciplinaires pour éclairer un phénomène complexe qui suscite aujourd’hui des passions de tout ordre.

Parallèlement, cette rentrée sera marquée par le lancement d’un nouveau dispositif : les Tribunes du Muséum. Pour cette grande première, la thématique choisie est la nature en ville. À travers une série de tables rondes associant scientifiques et acteurs de l’aménagement urbain, le Muséum contribue à une réflexion stimulante sur la place de la nature dans la ville à tous les niveaux, du sous-sol aux nuages, du cœur de la ville aux espaces péri-urbains.

Ces deux dispositifs répondent à la même ambition de positionner le Muséum comme un acteur essentiel du débat de société et de porter un message scientifique hors du champ strictement académique à destination du plus large public.

LE MUSÉUM S’ENGAGE

LES TRIBUNES DU MUSÉUM : LA NATURE, L’AVENIR DES VILLES

Elle grouille dans les caniveaux, creuse sous les parcs, remonte la Seine et chante dans les airs. Les citadins la fantasment, la cherchent ailleurs. Pourtant, la nature fait partie intégrante du quotidien en ville. Parce que la biodiversité des cités ne se résume pas aux pigeons et aux rats, parce qu’elle peut être un atout pour faire face aux changements climatiques et pour réinventer la ville et parce qu’il est grand temps de se débarrasser des idées reçues, le public est invité à venir écouter et échanger avec les chercheurs du Muséum sur le thème : « La nature, l’avenir des villes ».

Cette première édition des Tribunes du Muséum réunit des spécialistes de domaines variés - écologie, climat, évolution, architecture, urbanisme, politique… - sur un sujet au cœur des préoccupations citoyennes et des enjeux environnementaux de demain.

Samedi 29 septembre de 14h à 18hGrand Amphithéâtre du MuséumEntrée libre

MANIFESTE DU MUSÉUM MIGRATIONS

Avec le manifeste « Migrations », le Muséum national d’Histoire naturelle poursuit son engagement à l’interface entre l’Histoire naturelle et les grandes questions sociales. Il ne s’agit pas de produire un prêt à penser, mais d’offrir à nos concitoyens une réflexion scientifiquement argumentée qui pourra enrichir leurs points de vue. Partant de l’Histoire naturelle, et rassemblant des scientifiques de différentes disciplines des sciences humaines et sociales, le manifeste « Migrations » nous permet de cerner la diversité des enjeux scientifiques et sociaux de cette notion, qui est actuellement en proie à de nombreuses polémiques. Il apparaît que le couple déplacement/ sédentarité est inhérent et indispensable au vivant depuis ses origines. Les travaux pluridisciplinaires montrent que les migrations humaines se sont complexifiées et transformées à la fois quantitativement et qualitativement durant les dernières décennies. Toutefois, aujourd’hui très peu d’humains migrent effectivement. Par ailleurs, les migrations sont des objets politiques, dont l’un des enjeux est aujourd’hui de contenir les flux migratoires. Enfin, si l’humain partage avec beaucoup d’autres espèces sa propension à migrer, il se singularise par son hospitalité, qui ne peut être absolue. La commémoration des 70 ans de la déclaration universelle des droits de l’Homme, et notamment l’article 13 qui affirme la liberté de circuler, sera l’occasion de proposer des éléments pour en débattre.

Coédition Reliefs / Muséum national d’Histoire naturelle

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LES TEMPS FORTS DU MUSÉUM1ER FESTIVAL DES LUMIÈRES “ESPÈCES EN VOIE D’ILLUMINATION“ >> Jardin des Plantes >> 16 novembre 2018 / 15 janvier 2019

SAISON “EN DROITS !“ >> Musée de l’Homme >> 8 décembre 2018 / 30 juin 2019

EXPOSITION “OCÉAN“ (TITRE PROVISOIRE) >> Jardin des Plantes >> 3 avril 2019 / 5 janvier 2020

LE PARC ZOOLOGIQUE DE PARIS FÊTE LES 5 ANS DE SA RÉOUVERTURE >> Parc Zoologique de Paris

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1ER FESTIVAL DES LUMIÈRES “ESPÈCES EN VOIE D’ILLUMINATION“16 NOVEMBRE 2018 / 15 JANVIER 2019 JARDIN DES PLANTES

À l’approche des fêtes de fin d’année, les illuminations sont des évé-nements incontournables qui émerveillent chaque année parisiens et touristes, petits et grands, dans différents endroits clés de la capitale. Du 16 novembre au 15 janvier, le Jardin des Plantes propose un nouveau rendez-vous en accueillant pour la première fois son festival des lumières. Féérique et convivial, cet événement permet de découvrir le Jardin des Plantes autrement, chaque soir de 18h à 23h.

Pour la toute première fois de son histoire, le Jardin des Plantes pro-pose une promenade nocturne à la lueur de monumentales structures lumineuses, pouvant atteindre 15 mètres de haut. Ce festival des lumières propose une expérience aussi rare qu’insolite pour les visiteurs en quête d’enchantement ; une balade illuminée, qui invite à la flânerie mais aussi à éveiller les consciences, à travers l’évocation de la biodiversité passée et actuelle, sur l’importance de la préservation de notre faune et de notre flore.

Dès l’entrée Valhubert, près de la gare d’Austerlitz, des lanternes specta-culaires, représentant des animaux disparus il y a 65 millions d’années : tyrannosaure, tricératops et vélociraptor accueillent ainsi les visiteurs. Ensuite viennent les mammouths et les tigres à dents de sabre, disparus plus récemment sous la pression des premières civilisations humaines ainsi que d’autres comme le thylacine (loup de Tasmanie) qui n’ont pas survécu au XXe siècle. Après avoir croisé des espèces menacées, le visi-teur entre dans la Ménagerie en traversant un gigantesque requin blanc de 30 mètres de long. La déambulation dans le zoo du Jardin des Plantes permet de découvrir la diversité du monde animal, illustrée par des espèces emblématiques comme les pandas, les éléphants ou les girafes.

Le parcours est jalonné de spectacles vivants sur le thème de la nature et d’ateliers pour les enfants qui peuvent construire et décorer des lanternes à rapporter en souvenir chez eux. Des façades de bâtiments et les arbres sont décorés et illuminés de dispositifs dynamiques, ajoutant à la magie du spectacle qui sera l’un des grands rendez-vous des illuminations pari-siennes des fêtes de fin d’année.

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SAISON“EN DROITS !”8 DÉCEMBRE 2018 / 30 JUIN 2019 MUSÉE DE L’HOMME

Dès sa création en 1937, le Musée de l’Homme s’est engagé dans la prise en compte de la diversité humaine et l’absence de hiérarchie entre les êtres humains. 2018 est l’occasion de réaffirmer cet engagement en célébrant les 70 ans de la Déclaration universelle des droits de l’Homme signée le 10 décembre 1948 au Palais de Chaillot. Pour mieux réinterroger les droits humains, la saison En Droits ! prend différentes formes : deux expositions photo, une exposition et des performances de street art, une exposition d’histoire, des débats, des activités pour les enfants… Sebastião Salgado, JonOne, Zag & Sía, Swoon, Madame et beaucoup d’autres investissent le Musée de l’Homme de décembre à juin et interprètent à leur manière des articles de la Déclaration.

Week-end d’ouverture En Droits !8 et 9 décembre 2019Le Musée de l’Homme ouvre les festivités en partenariat avec le Théâtre national de la Danse le week-end des 8-9 décembre 2018. Au programme un accrochage exceptionnel d’œuvres d’Obey, de JoneOne et Pauline Ohrel illustrant les notions de liberté, d’égalité et de fraternité ainsi que des débats pour questionner la place actuelle des valeurs portées par la Déclaration universelle des droits de l’Homme...

Exposition photo : Déclarations de Sebastião Salgado8 décembre 2018 / 30 juin 2019 Cette exposition présente une trentaine d’images en grands formats de Sebastião Salgado, invité exceptionnel, dans le foyer de l’auditorium du Musée de l’Homme. Ces photographies illustrent certains des articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, tels que le droit à l’asile, le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, le droit au travail, et d’autres encore. Des articles qui font particulièrement écho aux valeurs humanistes portées par le Musée depuis sa création en 1937 et que le photographe illustre en portant un regard rétrospectif sur son œuvre. Les photographies présentées ont été prises au cours des 40 ans de la carrière de Sebastião Salgado dans une vingtaine de pays autour du monde. Des images comme autant de témoignages émouvants qui incarnent la nécessité de défendre au quotidien les droits énoncés dans la Déclaration, quelle que soit la région du monde concernée, soulignant la portée universelle de ce texte.

Accrochage photo : Hic et Nunc de Clarisse Rebotier 8 décembre 2018 / 30 juin 2019 « J’entends parler souvent des “gens différents”, mais je n’ai pas encore compris de quoi ils sont censés être différents ? ». Avec cet accrochage photographique, Clarisse Rebotier aborde au Musée de l’Homme un phéno-mène social d’actualité : l’accueil et l’intégration des populations immigrées. Pour réaliser cette série d’une trentaine de clichés, la photographe a rencon-tré des dizaines de personnes ayant fui, entre autres, la guerre. Ces portraits de personnes sereines et souriantes deviennent un véritable plaidoyer pour la solidarité.


Street art : « J’ai le droit d’avoir des droits ! »Trois performances, neuf street artistes, une exposition 13 janvier / 30 juin 2019Courant artistique emblématique, le street art est aussi l’art de la dénon-ciation des maux de notre société : sans-abris, abus politiques… Le Musée de l’Homme a souhaité amener ce geste revendicatif dans ses murs pour rappeler à chacun que nos droits ont souvent été acquis par des luttes. Artistes engagés, Zag & Sía, Dugudus, Lek & Sowat, Swoon, Goin, Ma-dame et Denis Meyers, réinterprètent des articles de la Déclaration dont les valeurs sont particulièrement chères au Musée de l’Homme : liberté de pensée et de conscience, attachement à la dignité humaine, droit à la l’éducation, à la santé et au bien-être. Chaque dimanche de mi-janvier à mi-février 2019, des œuvres de street art feront leur apparition dans les différents espaces du musée. Elles seront réalisées face public ou installées en présence d’un street artiste. Les œuvres seront ensuite exposées dans l’Atrium jusqu’au 30 juin 2019.

Exposition Tromelin, l’île aux esclaves oubliés 13 février / 3 juin 2019En 1761, un navire de la Compagnie des Indes parti pour l’île de France (actuelle île Maurice) fait naufrage en plein océan indien, au large de Madagascar. L’équipage regagne Madagascar sur une embarcation de fortune laissant 80 esclaves sur l’île, avec la promesse de venir bientôt les rechercher. Ils y resteront pendant quinze ans. L’exposition retrace l’incroyable histoire de la survie de ces hommes et ces femmes oubliés à partir de recherches historiques, archéologiques et environnemen-tales. Coproduite par le musée d’histoire de Nantes et l’Institut national de recherches archéologiques préventives, « Tromelin, l’île aux esclaves oubliés » poursuit son itinérance au Musée de l’Homme, complétée par les découvertes récentes des chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle.

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Moment de prière dans les grandes dunes de sable à Maor, Tadrart. Sud de Djanet. Algérie. 2009. © Sebastião Salgado Exposition Déclarations

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EXPOSITION“OCÉAN“ (TITRE PROVISOIRE)

3 AVRIL 2019 / 5 JANVIER 2020 JARDIN DES PLANTES, GRANDE GALERIE

L’océan occupe la plus grande partie de notre planète ; il abrite une vie fascinante et reste pourtant largement méconnu car difficile d’accès. L’expo-sition « Océan » propose aux visiteurs un voyage merveilleux et surprenant au cœur de cette biodiversité insolite, loin du littoral et des figures familières. Grâce à une scénographie immersive faisant la part belle aux grandes pro-jections et à l’iconographie, à une sélection d’objets dévoilant un bestiaire étrange et magnifique et à de nombreux dispositifs interactifs, l’exposition, qui s’appuie sur le travail des scientifiques, permet au public de mieux com-prendre la vie au sein de l’océan mais aussi les dangers qu’elle encourt.

Après une partie introductive consacrée aux contraintes du milieu marin et au challenge que représente son exploration, les visiteurs partent à la découverte de quatre facettes de la biodiversité marine.L’exposition propose tout d’abord une plongée dans une autre dimension, à la rencontre de la vie microscopique au sein du plancton. Celui-ci est constitué d’un grand nombre d’organismes de formes et de fonctions très diverses, invisibles à l’œil nu. Malgré leur taille, ces microorganismes jouent un rôle majeur à l’échelle de la planète : ils produisent notamment plus de 50% de l’oxygène que nous respirons !

Les visiteurs poursuivent leur périple dans les milieux extrêmes, des grandes profondeurs aux eaux glacées de l’océan Austral. Ces zones, longtemps considérées comme désertes, abritent en réalité des formes de vie originales adaptées à l’obscurité, au froid… Des spécimens, issus des collections du Muséum ou récoltés lors de missions récentes, permettent de mettre en avant les caractéristiques remarquables de cette faune insoupçonnée.

Puis l’exposition fait la lumière sur des ressources du monde marin peu connues du grand public. On découvre que l’océan abrite un grand nombre de molécules actives aux vertus prometteuses mais aussi qu’il est une formi-dable source d’inspiration dans des domaines très variés : santé humaine, architecture… Cette partie met l’accent sur une approche plus respectueuse de la nature qui ne se fonde plus sur ce qu’on peut en extraire mais sur ce qu’on peut en apprendre.

Les visiteurs font enfin une incursion dans un monde entre imaginaire et réalité, qui reflète l’émerveillement et la fascination que suscite le monde marin. Ils y croisent des figures marines légendaires - le calmar géant, le cœlacanthe et le regalec - qui sont présentées tantôt du point de vue du mythe tantôt du point de vue de la réalité scientifique.

Tout au long du parcours, l’exposition développe également un fil rouge sur les menaces que l’Homme fait peser aujourd’hui sur l’océan : sont abordés les dangers de la pollution plastique, de l’acidification de l’océan, de la pollu-tion chimique, des exploitations minières, ou encore de la surpêche.

L’exposition, bilingue français-anglais, s’adresse à tous les publics dès 5 ans. Elle est accompagnée d’une programmation riche et variée : rencontres, animations, projections…

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LE PARC ZOOLOGIQUE DE PARIS FÊTE LES 5 ANS DE SA RÉOUVERTURE

1934 – 2014 : D’UN ZOO NOVATEUR À L’AUTRE

Lors de l’Exposition coloniale de 1931, un petit zoo temporaire de 3 ha est créé dans le bois de Vincennes. Devant l’enthousiasme populaire, le Muséum national d’Histoire naturelle ouvre en juin 1934 un zoo innovant qui se déploie sur 14,5 ha. Il connaît un large succès jusqu’à sa fermeture en novembre 2008 en raison de la dégradation de ses structures. Après six ans de fermeture, c’est un zoo totalement métamorphosé et entièrement reconstruit - à l’exception du Grand Rocher - qui rouvre ses portes en avril 2014 : une première mondiale !

Site du Muséum national d’Histoire naturelle, il participe activement aux missions de connaissance et de préservation des espèces. La sélection des espèces animales représentées s’est faite selon leur intérêt attractif, pédagogique, scientifique et selon les critères de conservation de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le parc abrite des espèces emblématiques comme les girafes, les loups ou les otaries, des espèces moins connues comme les gloutons ou les lamantins, mais aussi des espèces menacées impliquées dans des programmes d’élevage européen à l’instar des manchots de Humboldt ou des rhinocéros blancs.

2014 – 2019 : 5 ANS D’OUVERTURE, 5 BIOZONES, 5 NOUVELLES ESPÈCES, 5 RENDEZ-VOUS SAUVAGES

Après cinq ans d’ouverture et plus de 4 millions de visiteurs, le Parc Zoolo-gique de Paris est l’un des plus fréquentés de France. Zoo de la capitale, c’est un lieu idéal de reconnexion à la nature apprécié par les visiteurs. Tout au long de l’année, sa programmation riche en événements et en ani-mations variées en fait un site de détente et d’apprentissage unique à Paris.

Le nouveau zoo offre ainsi aux visiteurs un riche panorama de la diversité du monde animal dans un paysage reconstitué selon les milieux naturels. A travers les 5 biozones qui restituent fidèlement les écosystèmes d’ori-gine des animaux et offrent la garantie de leur bien-être, le zoo propose un voyage immersif et une expérience de visite inoubliable. Ce dernier abrite aujourd’hui plus de 2 000 animaux de 180 espèces au cœur de la Patagonie, du Sahel-Soudan, de l’Europe, de Madagascar ou encore de la Guyane. (cf. p.21)

Le cinquième anniversaire de la réouverture du zoo est l’occasion de rele-ver un nouveau défi avec l’arrivée de nouvelles espèces dans chaque zone géographique. Une année 2019 festive, qui réservera son lot de sur-prises avec cinq rendez-vous sauvages sur les nouvelles espèces accueil-lies. Ces rendez-vous privilégiés permettront de tout apprendre sur leur mode de vie, leur environnement et la nécessité de les protéger. Déjà très appréciées du public les années précédentes, ces animations seront organisées dans une nouvelle formule qui garantira une immersion com-plète dans l’environnement de ces nouveaux animaux.

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LE CALENDRIER DU MUSÉUMLES EXPOSITIONS EN COURS

LE CALENDRIER DES EXPOSITIONS, FÊTES, ÉVÉNEMENTS

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LES EXPOSITIONS EN COURS

UN T. REX À PARIS Jardin des Plantes, Galerie de MinéralogieProlongation jusqu’au 4 novembre 2018

La Galerie de Minéralogie accueille depuis juin 2018 l’incroyable sque-lette de Trix, une femelle Tyrannosaurus rex, datant de 67 millions d’années. Découvert et exhumé en 2013 dans le Montana, aux États-Unis, ce squelette de T. rex est parmi les trois plus complets au monde ; il mesure 12,5 m de long et 4 m de haut. L’exposition propose aux visiteurs un véritable voyage à l’ère des tyrannosaures et permet d’en apprendre davantage sur leur mode de vie : leur alimentation, leur anatomie, leurs déplacements… mais aussi de vivre un tête-à-tête spectaculaire avec cet animal hors du temps. Fin août 2018, déjà plus de 200 000 visiteurs ont été conquis !

MÉTÉORITES, ENTRE CIEL ET TERRE Jardin des Plantes, Grande Galerie de l’ÉvolutionProlongation jusqu’au 6 janvier 2019

Pierres tombées du ciel, les météorites sont porteuses d’informations inestimables et restent une source constante d’inspiration et d’émotions. En présentant au public ces pierres extraterrestres à la lumière des toutes dernières avancées scientifiques, l’exposition Météorites, entre ciel et terre convie le visiteur à un voyage dans l’espace et le temps, à travers un parcours immersif mêlant vitrines de météorites, projections spectacu-laires, dispositifs innovants et œuvres d’art. Le visiteur peut ainsi admirer des objets âgés de 4,56 milliards d’années qui ont voyagé des centaines de millions de kilomètres et même toucher un fragment de Lune et un morceau de Mars !

NÉANDERTAL L’EXPOMusée de l’Homme – Jusqu’au 7 janvier 2019

Entre contemplation, questionnement et amusement, Néandertal l’expo plonge le visiteur dans le récit de la préhistoire, à la découverte de l’Homme de Néandertal. L’exposition, associant la rigueur du discours scientifique à une muséographie contemporaine, réunit pour la première fois les fos-siles originaux les plus remarquables de l’Homme de Néandertal. À la lumière des récentes découvertes archéologiques et des analyses que permettent de nouvelles technologies, le musée propose une nécessaire mise au point sur une espèce humaine qui a disparu il y a 35 000 ans, après quelque 350 000 ans de présence attestée ; un être singulier, plus proche de nous qu’on ne le croyait.

SECRETS DÉVOILÉS : VOIR L’IMPERCEPTIBLE Jardin des Plantes – Jusqu’au 30 mars 2019

L’exposition photo Secrets dévoilés met à l’honneur la recherche scien-tifique qui permet, grâce aux outils modernes de l’imagerie scientifique, de révéler les mystères des collections du Muséum. Les visiteurs peuvent ainsi admirer les beautés cachées d’une trentaine d’objets remarquables. Une manière inattendue, poétique et scientifique de découvrir les cou-lisses des collections et de la recherche au Muséum en parcourant les allées du Jardin du Plantes.C

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LE CALENDRIER DES EXPOSITIONS, FÊTES, ÉVÉNEMENTS…

JOURNÉES EUROPÉENNES DU PATRIMOINEJardin des Plantes / Musée de l’Homme – 15 / 16 septembre 2019

Le Muséum propose des animations originales au Jardin des Plantes, dans la bibliothèque du Muséum ainsi qu’au Musée de l’Homme. Au programme : parcours-découvertes, présentations de collections patrimoniales, projections, initiation à l’art japonais du gyotaku ou encore collecte d’objets autour de Néandertal…

FÊTE DES JARDINS ET DE L’AGRICULTURE URBAINEJardin des Plantes – 22 / 23 septembre 2018

Les jardiniers du Jardin des Plantes proposent visites guidées et ateliers pour faire découvrir leur métier et leur passion à tous les visiteurs curieux, petits et grands. Au programme, des animations à l’École de botanique, au Jardin écologique, au Jardin alpin et dans les jardins d’ornement, mais également des visites de la graineterie, du laboratoire de culture in vitro.

RENDEZ-VOUS SAUVAGE VAUTOURSParc Zoologique de Paris – 22 / 23 septembre 2018

Nourrissages commentés, accès aux coulisses, rencontres avec des ex-perts et animations pour tous sont organisés pour réhabiliter les rapaces de France : vautours fauves, vautours percnoptères et milans royaux.

LES TRIBUNES DU MUSÉUM “LA NATURE, L’AVENIR DES VILLES“Jardin des Plantes – 29 septembre 2018

Les Tribunes du Muséum sont un nouveau rendez-vous, ouvert à tous, où la science retrouve sa place au centre du débat politique et social. À travers des débats et échanges aux formes diverses et rythmées, ces Tribunes seront l’occasion de participer à un état des lieux des connais-sances sur une thématique, au croisement des idées et des disciplines. La première Tribune est construite autour du thème « La nature, l’avenir des villes », un sujet au cœur des préoccupations citoyennes et qui consti-tue l’un des grands enjeux environnementaux de demain. (cf. p.4)

NUIT BLANCHEParc Zoologique de Paris – 6 octobre 2018

Pour la première fois, Nuit Blanche investit le Parc Zoologique de Paris et offre au public une expérience unique de déambulation jusqu’aux en-trailles de la plus grande sculpture de la région parisienne, le fameux Grand Rocher du zoo. L’artiste et scénographe Philippe Quesne a imaginé une balade immersive, balisée d’une lumière mystérieuse et rythmée au son d’une bande mêlant voix et mélodies étranges, plongeant les prome-neurs dans une rêverie éveillée. Le public est également invité à chercher les œuvres dissimulées dans la serre par l’artiste Laurent Le Deunff, qui, en ravivant la mémoire des icônes de la télévision, prolonge les frictions entre le réel et l’imaginaire.


FÊTE DE LA SCIENCEJardin des Plantes et en région – 13 / 14 octobre 2018

Les chercheurs accueillent le public au Jardin des Plantes pour faire connaître leur métier et leurs travaux de recherche à travers des ateliers, des visites théâtralisées ou des mini conférences. Tardigrades, têtes de tatous, volcanisme, canopée ou chimie du XIXe siècle, autant de sujets que pourront aborder petits et grands avec les experts du Muséum.En région, l’abri Pataud propose des animations autour des fouilles pré-historiques, la station de biologie marine de Concarneau de nombreux ateliers et conférences sur le thème « La mer dans tous ses états : l’affaire de tous » et le centre d’écologie générale de Brunoy un atelier de ba-guage d’oiseaux à expérimenter en famille.

RENDEZ-VOUS SAUVAGE EXCEPTIONNELParc Zoologique de Paris – 13 / 14 octobre 2018

Pour ce week-end marquant la fin des Rendez-vous sauvages de l’année 2018, un festival d’activités est organisé pour la protection de la vie sau-vage - les fonds récoltés à cette occasion étant utilisés pour soutenir des projets visant à préserver la biodiversité.

HALLOWEEN AU ZOOParc Zoologique de Paris – 20 octobre / 4 novembre 2018

Effrayantes, repoussantes, intrigantes… une fois passés les premiers a priori, nombre d’espèces se révèlent surtout passionnantes. Le public est invité à les découvrir à travers des animations, des nourrissages et des activités spéciales…

FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM SCIENTIFIQUE PARISCIENCE – 14E ÉDITIONJardin des Plantes – 26 / 31 octobre 2018

Mordus de sciences et de cinéma, néophytes ou simples curieux peuvent y découvrir le meilleur du documentaire scientifique, français et inter-national, sur grand écran. Un moment privilégié où le public échange avec plus de 160 intervenants issus du milieu scientifique ou du monde audiovisuel. Tout au long du festival, la programmation donne place à un large éventail de sujets scientifiques : intelligence artificielle, conquêtes spatiales, biodiversité ou encore enjeux environnementaux. La 14e édition du festival Pariscience met également à l’honneur les rapports entre la science et le pouvoir, de la Seconde Guerre mondiale à aujourd’hui, en passant par mai 68.

37E FESTIVAL INTERNATIONAL JEAN ROUCHMusée de l’Homme (Auditorium Jean Rouch) – 2 nov. / 3 déc. 2018

Comme chaque année, le Festival International Jean Rouch investit le Musée de l’Homme pour rendre compte de l’originalité de la production mondiale du cinéma documentaire d’aujourd’hui et d’hier, sur l’homme, ses sociétés, son rapport à l’environnement.

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FESTIVAL DES LUMIÈRES - 1RE ÉDITION “ESPÈCES EN VOIE D’ILLUMINATION“Jardin des Plantes – 16 novembre 2018 / 15 janvier 2019

Le Muséum propose un nouveau rendez-vous annuel, nocturne et fes-tif, pour toute la famille : « Espèces en voie d’illumination ». Ce festival des lumières donne l’occasion au public de se promener la nuit dans les allées du Jardin des Plantes et de la Ménagerie à la lueur de sculptures lumineuses monumentales. Une balade illuminée pour célébrer les fêtes de fin d’année, invitant à la flânerie et à la découverte de la diversité animale passée et actuelle. (cf. p.8)

EXPOSITION PHOTO DÉCLARATIONS DE SEBASTIÃO SALGADOMusée de l’Homme – 8 décembre 2018 / 30 juin 2019 Cette exposition présente une trentaine d’images en grands formats de Sebastião Salgado, invité exceptionnel, dans le foyer de l’auditorium du Musée de l’Homme. Ces photographies illustrent des articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, tels que le droit à l’asile, à la liberté de pensée, de conscience et de religion, le droit au travail, et d’autres encore. (Saison En Droits ! - cf. p.7)

ACCROCHAGE PHOTOHIC ET NUNC DE CLARISSE REBOTIER Musée de l’Homme – 8 décembre 2018 / 30 juin 2019 Avec l’accrochage d’une trentaine de clichés de la photographe Clarisse Rebotier, le Musée de l’Homme aborde un phénomène social d’actualité : l’accueil et l’intégration des populations immigrées. (Saison En Droits ! - cf. p.7)

NOËL AU ZOOParc Zoologique de Paris – 22 décembre 2018 / 6 janvier 2019

En décembre, le Parc zoologique de Paris prend les couleurs de Noël. De nombreuses activités sont organisées - les visiteurs peuvent par exemple préparer avec les équipes du zoo les cadeaux qui seront distribués aux animaux.

STREET ART “J’AI LE DROIT D’AVOIR DES DROITS !“ Musée de l’Homme – 13 janvier / 30 juin 2019 Chaque dimanche de mi-janvier à mi-février, des œuvres de street art réinterprétant des articles de la Déclaration font leur apparition dans les différents espaces du Musée de l’Homme. Ces œuvres restent exposées dans l’Atrium jusqu’à la fin juin. (Saison En Droits ! - cf. p.8) • 13/01 : Performance de Zag & Sía • 20/01 : Performance de Lek & Sowat • 27/01 : Installation des œuvres de Swoon et de Goin en présence de Dugudus• 03/02 : Installation de l’œuvre de Madame en présence de l’artiste • 13/02 : Performance de Denis Meyers

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EXPOSITION TROMELIN, L’ÎLE AUX ESCLAVES OUBLIÉSMusée de l’Homme – 13 février 2018 / 3 juin 2019L’exposition aborde l’incroyable histoire d’esclaves abandonnés à leur sort pendant 15 ans sur l’île de Tromelin suite au naufrage d’un navire français. (Saison En Droits ! - cf. p.8)

EXPOSITION FLORALE MILLE ET UNE ORCHIDÉESJardin des Plantes (Grandes Serres) – 14 février / 11 mars 2019

Pour la 7e édition du rendez-vous incontournable des orchidophiles, le Jardin des Plantes propose aux visiteurs d’admirer des milliers d’orchi-dées en fleurs dans la grande serre tropicale. C’est dans ce bel écrin végétal que ces fleurs mythiques se dévoilent à la curiosité du public. Comme chaque année, une boutique éphémère est ouverte près de la serre et permet aux visiteurs d’y acquérir de beaux spécimens d’orchidées auprès de spécialistes compétents et passionnés.

EXPOSITION SCIENCE PARER ET RÉPARER LA PEAU Musée de l’Homme – 13 mars / décembre 2019

L’exposition est composée de deux parties. « Dans la peau » montre com-ment 40 ans d’ingénierie ont permis de reconstituer pour la première fois cet organe vivant (13 mars – 3 juin, Salle d’exposition temporaire). « Pier-cing » permet de mieux comprendre la démocratisation de ces pratiques et les met en perspective avec les pratiques traditionnelles à travers les âges et les cultures. Elle donne la parole aux acteurs contemporains : artistes, perceurs, percés (13 mars – décembre, Balcon des Sciences).

EXPOSITION PHOTO LARVES DE POISSONJardin des Plantes – Mars 2019

Durant leurs premiers stades de vie, les poissons présentent des carac-tères originaux, absents chez les adultes, qui leur donnent un aspect ex-ceptionnel. L’exposition regroupe 60 photos de larves de poissons de la collection du Muséum national d’Histoire naturelle, réalisées grâce à un microscope stéréoscopique dans le cadre d’un projet de recherche sur la morphologie larvaire des poissons. La très grande profondeur de champ des photos ainsi obtenues leur confère un intérêt scientifique indéniable mais également une certaine portée esthétique.

EXPOSITION ANNUELLE OCÉAN (TITRE PROVISOIRE)Jardin des Plantes (Grande Galerie) – 3 avril 2019 / 5 janvier 2020

L’océan occupe la plus grande partie de notre planète ; il abrite une vie fascinante et reste pourtant largement méconnu car difficile d’accès. Cette exposition propose aux visiteurs un voyage surprenant et merveil-leux au cœur d’une biodiversité insolite, loin du littoral et des figures familières (requins, baleines, poissons de nos côtes…), et les sensibilise aux menaces qui pèsent sur la vie sous-marine. Cette exposition est ac-compagnée d’une programmation d’actions culturelles riche et variée (rencontres, projections, animations...). (cf. p.9)


5E ANNIVERSAIRE DE LA RÉOUVERTURE DU PARC ZOOLOGIQUE DE PARIS Parc Zoologique de Paris – 12 avril 2019

Pour célébrer les cinq ans de sa réouverture, le Parc Zoologique de Paris organise une programmation spéciale qui s’étalera sur toute l’année. (cf. p.10)

NUIT EUROPÉENNE DES MUSÉESMusée de l’Homme / Jardin des Plantes (Grande Galerie) 18 mai 2019

Pour la Nuit européenne des Musées, le Muséum ouvre les portes de la Grande Galerie de l’Évolution et du Musée de l’Homme aux visiteurs pour une soirée d’exception. L’occasion de (re)découvrir la richesse et la diversité des collections permanentes !

LE PRINTEMPS DU MUSÉUMMai / Juin 2019

À travers cette thématique, le Muséum propose un nouvel éclairage sur la biodiversité et la nécessité de la protéger. Conférences et débats, expo-sitions, fêtes et événements, ateliers, films… invitent le public à réfléchir et réagir sur des phénomènes environnementaux actuels et à s’émerveiller sans cesse de cette nature à la fois fragile et éblouissante.

FÊTE DE LA NATUREJardin des Plantes – 25 / 26 mai 2019

Comme chaque année, le Muséum fête la nature au Jardin des Plantes. Tout au long du week-end sont proposées des activités ludiques et inte-ractives dans le Village de la Nature, des visites thématiques à travers le Jardin et de nombreux ateliers avec les jardiniers.

4E ÉDITION DES NOCTURNESParc Zoologique de Paris – Juin / Août 2019

Pendant l’été, le Parc Zoologique de Paris reste ouvert en soirée le jeudi pour proposer aux visiteurs une expérience unique : redécouvrir les ani-maux au soleil couchant et pour les plus noctambules, dîner, boire un verre et danser, en particulier lors des soirées « Silent Zoo ».

NUIT INTERNATIONALE DE LA CHAUVE-SOURIS Jardin des Plantes – 31 août 2019

Cette soirée consacrée à la chauve-souris est l’occasion d’assister à la projection d’un film, de rencontrer des chercheurs et de participer à un itinéraire nocturne dans le Jardin des Plantes.

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LES SITES DU MUSÉUM LE JARDIN DES PLANTES

LE MUSÉE DE L’HOMME

LE PARC ZOOLOGIQUE DE PARIS EN RÉGION

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LE JARDIN DES PLANTES

Écrin de verdure au cœur de Paris et jardin botanique à la pointe de la recherche, le Jardin des Plantes, créé il y a quatre siècles, a pour voca-tion de réunir et étudier des collections végétales et d’accueillir le public. Néophytes et amateurs peuvent y observer des milliers d’espèces et de variétés de végétaux rares ou communs en parcourant ses onze univers thématiques : École de Botanique, Jardin alpin, labyrinthe… Il propose éga-lement une programmation temporaire gratuite (animations, projections, conférences…) et abrite de nombreux lieux de visites : galeries, serres et zoo.

La Grande Galerie de l’Évolution présente une scénographie grandiose qui permet de découvrir l’histoire de l’évolution et la diversité de la na-ture, des océans aux milieux terrestres. Au 1er étage, dans la Galerie des Enfants, les 6-12 ans - et leurs parents - peuvent découvrir un lieu d’émer-veillement et d’apprentissage conçu pour eux. Au 3e étage, le nouveau Cabinet de Réalité Virtuelle propose aux visiteurs dès 12 ans une expé-rience originale et immersive à travers deux programmes : « Voyage au cœur de l’évolution » et « Géants disparus VR ».

Superbe bâtisse inaugurée en 1898, la Galerie de Paléontologie et d’Ana-tomie comparée embarque les visiteurs pour un voyage de 540 millions d’années. Dès l’entrée, le public est saisi par un troupeau impressionnant de squelettes, les vertébrés actuels peuplant la nature ; à l’étage, dino-saures, ammonites géantes et des centaines d’espèces fossiles témoignent de formes de vies aujourd’hui éteintes.

Dans la Galerie de Minéralogie et de Géologie, le public part à la dé-couverte de la richesse du monde minéral. 600 pièces d’une diversité exceptionnelle sont exposées - minéraux des cinq continents, météorites, gemmes brutes ou taillées, bijoux historiques, objets sculptés - autour d’un écrin central d’une vingtaine de cristaux géants.

La Galerie de Botanique héberge l’Herbier national, prestigieuse collec-tion constituée de huit millions de spécimens, et offre au public un espace d’exposition sur l’histoire de la botanique, des origines du Jardin du Roy aux recherches les plus actuelles. Spécimens et documents témoignent de l’aventure des naturalistes voyageurs du Muséum d’hier et d’aujourd’hui.

Dépaysement garanti dans les Grandes Serres… Les quatre serres abritent chacune un univers différent et dévoilent l’étonnante capacité d’adapta-tion des plantes : la forêt tropicale avec ses lianes, troncs géants et feuil-lages exubérants ; les zones désertiques et arides, attestant de la résis-tance des végétaux ; la Nouvelle-Calédonie, eldorado naturel où 75 % de la flore est endémique ; enfin un parcours retraçant l’histoire des plantes.

Havre de paix et de verdure, la Ménagerie abrite quelque 170 espèces, dont un tiers est menacé. Au fil de sa promenade dans l’un des plus anciens zoos du monde, le visiteur peut admirer, parmi les 1 000 occu-pants des lieux, orangs-outans, tapir malais, tortues des Seychelles… Ici, les espèces rares sont préférées à celles de grande taille, peu adaptées au site. De nombreuses naissances ont lieu au fil des saisons, témoignant de la politique de conservation des espèces et des activités de recherche.

57 rue Cuvier, 36 rue Geoffroy Saint Hilaire, Place Valhubert, 75005 Parisjardindesplantesdeparis.fr

LE CABINET DE RÉALITÉ VIRTUELLE

Le Muséum a ouvert fin décembre 2017 un espace dédié à la réalité virtuelle au sein de la Grande Galerie de l’Évolution. Cet espace propose actuellement deux expériences inédites. « Voyage au cœur de l’Évolution » permet au grand public de s’immerger dans l’arbre du vivant, de découvrir les espèces emblématiques qui le composent et d’interroger leur relation de parenté. « Géants disparus VR » propose un voyage immersif dans le passé sur plus de 60 millions d’années à la rencontre des animaux géants qui ont peuplé la Terre après l’extinction des dinosaures, tels le serpent Titanoboa ou le requin Mégalodon.


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LE MUSÉE DE L’HOMME

Trois ans après son ouverture, le Musée de l’Homme revendique son posi-tionnement singulier de Musée laboratoire où la recherche s’expose au public, où les débats de société trouvent une résonance…

LA GALERIE DE L’HOMME QUI SOMMES-NOUS ? D’OÙ VENONS-NOUS ? OÙ ALLONS-NOUS ? Spectaculaire galerie de 2500 m², ouverte sur la Seine avec une vue exceptionnelle sur Paris et la Tour Eiffel, la Galerie de l’Homme propose un voyage au cœur de l’évolution humaine, à la découverte des trésors de l’histoire de l’humanité : fossile de l’Homme de Cro-Magnon et de Néandertal, Vénus de Lespugue, cires anatomiques... Tout au long du parcours, des outils de médiation originaux, avec des expériences amusantes et des dis-positifs sensoriels, rendent la visite ludique, interactive et accessible à tous.

Une première partie « Qui sommes-nous ? », invite le visiteur à partir à la découverte de lui-même, à s’interroger sur sa nature d’être humain, à interroger ses points communs avec d’autres espèces et ce qui le rend unique : mettre le monde en mots, avoir conscience du temps, de la mort. Les différentes vitrines monumentales appréhendent l’unité de l’Humanité et la diversité des cultures, des sociétés et des êtres qui la composent. À partir des mêmes fonctions cognitives, les êtres humains ont construit des représentations différentes du monde, ont inventé des modes d’orga-nisations sociales, des cosmogonies, des langages…

Le visiteur est ensuite invité à entrer dans le temps long dans la partie « Où allons-nous ? ». Le découpage chronologique et thématique explique comment l’espèce humaine et les traits biologiques, sociaux, culturels et symboliques qui la composent se sont construits dans l’épaisseur des temps en suivant un chemin qui n’est pas linéaire, comment plusieurs lignées se sont développées, ont coexisté parfois, chacune apportant sa réponse aux défis posés par l’environnement. À partir des traces frag-mentaires du passé, l’histoire du buissonnement des lignées humaines est retracée jusqu’au bouleversement néolithique durant lequel certaines communautés se sédentarisent, certaines espèces animales sont domesti-quées, les interactions entre l’Homme et la nature changent.

Toujours centrée sur son sujet, l’Homme, la dernière partie du parcours « Où allons-nous ? » est ancrée dans le contemporain ; elle questionne l’avenir de notre espèce dans un monde que nous avons transformé. C’est un voyage dans le temps pour retracer l’histoire de la mondialisation et de l’anthropisation, à la découverte de l’état de la planète, des impacts écologiques des activités humaines, des rapports qu’entretiennent les sociétés avec leur environnement. Pour la première fois de son histoire l’Homme est confronté à la question de la compatibilité entre le mode de développement qu’il a lui-même induit et l’avenir de nos sociétés.

17 Place du Trocadéro, 75116 Parismuseedelhomme.fr


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LE PARC ZOOLOGIQUE DE PARIS

UN MONDE À EXPLORER Ici, émerveillement et dépaysement attendent petits et grands. Lieu de conservation et d’apprentissage, le Parc Zoologique de Paris entraîne le public dans un voyage unique aux portes de Paris. Immergés dans un univers sauvage embelli par une végétation aux essences variées, les visiteurs profitent d’un tour du monde des espèces animales. Ce sont plus de 2 000 animaux répartis en 180 espèces, un éventail exceptionnel d’espèces menacées - lémuriens, oryx algazelle, zèbres de Grévy -, emblématiques - girafes, loups, lions - ou moins connues - gloutons, lamantins, tamanoirs - qui peuvent être observés dans ce cadre végétal harmonieux et respectueux de leur bien-être.

Focus sur deux naissances : espèces extraordinaires mais menacées…Cette année, 150 naissances ont renforcé la population du zoo, confortant ainsi le rôle du parc dans sa mission de conservation. Deux naissances sont particulièrement remarquables : celles de deux jaguars, des femelles nommées Lenca et Aloha, et de trois fossas, deux mâles et une femelle nommés Telo, Mahani et Sakani. Le fossa et le jaguar sont des espèces menacées dont les populations sont gérées par des plans d’élevage eu-ropéens. Rares, les fossas forment le deuxième couple reproducteur en France. Ces naissances permettent de maintenir une diversité génétique au sein de la population européenne qui compte 65 animaux répartis dans 22 zoos. Seuls 4 à 8 fossas naissent chaque année dans toute l’Europe. Les jaguars quant à eux souffrent du trafic des peaux mais la grande menace reste la disparition des forêts primaires où ils vivent.

Des moments privilégiés pour le public au plus près des animaux • Petit-déjeuner avec les girafes Avant l’ouverture du zoo, les participants profitent d’un petit-déjeuner in-solite en assistant au premier nourrissage des girafes, avec les soigneurs et les médiateurs du parc. Constitué de 15 girafes, ce troupeau est le plus grand d’Europe.• Apprentis soigneursLors de ces rendez-vous, les visiteurs accèdent en exclusivité aux cou-lisses du Parc Zoologique pour aller à la rencontre des lamantins, des lémuriens ou encore des oiseaux de la grande volière africaine. Les visi-teurs découvrent le travail des soigneurs auprès des animaux : nourris-sage, entraînement médical, élaboration d’enrichissements, observation de leur comportement… Une expérience inoubliable en compagnie des animaux et de leurs soigneurs.

Parcours pieds nus : une aventure sensorielle Marcher pieds nus sur des sols identiques à ceux qui tapissent les enclos des animaux : une expérience unique pour le public citadin est proposée au niveau de la clairière du Parc Zoologique.

Croisement Avenue Daumesnil et Route de la Ceinture du Lac, 75012 Parisparczoologiquedeparis.fr


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EN RÉGION

Si son cœur historique se situe au Jardin des Plantes, le Muséum national d’Histoire naturelle déploie l’ensemble de son activité (recherche, enri-chissement et valorisation des collections, diffusion des connaissances…) sur dix sites en plus des trois parisiens. Tour d’horizon de ses implanta-tions en Île-de-France et en région.

Arboretum de Versailles-Chèvreloup // chevreloup.mnhn.fr30 route de Versailles – 78150 RocquencourtVéritable musée vivant de l’arbre, ce parc de plus de 200 hectares, dont la quasi-totalité est ouverte depuis 2018 au public, présente et conserve un nombre considérable d’essences : pas moins de 2 500 espèces et variétés en provenance du monde entier ! L’arboretum ne fait pas seulement le bonheur des flâneurs, il abrite aussi 8 000 espèces de plantes de serres (accès réservé) qui viennent notamment agrémenter le Jardin des Plantes. Il constitue aussi un terrain d’étude et de recherche pour les botanistes, généticiens, biologistes, physiologistes, en mettant à leur disposition ses collections végétales exceptionnelles

Harmas Jean-Henri Fabre // harmasjeanhenrifabre.fr445 Route d’Orange – 84830 Sérignan du ComtatNaturaliste passionné, Jean-Henri Fabre (1823-1915) reste célèbre pour ses observations sur les insectes et les plantes. Il fit de son mas, dans lequel il vécut 36 ans, et de la parcelle en friche (« harmas » en provençal) qui l’entoure un véritable laboratoire à ciel ouvert. Située à 40 km d’Avignon, la propriété conserve ses précieuses collections (coquillages, fossiles, mi-néraux, herbiers, ouvrages…) entourées du mobilier d’époque. Parmi les trésors, deux lettres de Darwin à Fabre et l’herbier que ce dernier com-mença à constituer dès l’âge de 18 ans.

Jardin botanique exotique du Val RhamehAvenue Saint-Jacques – 06500 MentonCréé à la fin du XIXe siècle, ce jardin d’environ un hectare, labellisé « Jardin remarquable », est très apprécié des promeneurs et des ama-teurs de botanique. Palmiers, bambous, agrumes, lotus..., il présente plus de 1 500 espèces de plantes subtropicales et tropicales venues d’Afrique, d’Asie, d’Amérique ou d’Océanie. Il constitue une oasis de détente pour le visiteur, mais aussi un lieu de conservation privilégié d’espèces rares ou menacées, comme le Sophora toromiro, une espèce d’arbre originaire de l’île de Pâques d’où elle a aujourd’hui disparu.

Jardin alpin La Jaÿsinia40 rue du Parc – 74340 SamoënsEn Haute-Savoie, on peut arpenter un autre « Jardin remarquable », qui s’étend sur 3,4 ha. Construit et légué en 1906 à la commune de Samoëns par les fondateurs de la Samaritaine, la famille Cognacq-Jaÿ, le jardin alpin La Jaÿsinia a vu sa gestion scientifique confiée au Muséum en 1936. Il pré-sente, au fil d’un kilomètre et demi de promenade bucolique, une collection de 4 800 plantes provenant des régions montagneuses et froides du globe.

Marinarium de la Station marine de Concarneau // concarneau.mnhn.frPlace de la Croix – 29900 ConcarneauCréée en 1859, la Station de biologie marine de Concarneau est la plus ancienne au monde encore en activité. Ce centre de recherche, d’expertise et de médiation scientifique dispose de plateaux techniques, de collec-tions, de salles d’enseignement ainsi que d’un espace public, le Marinarium.


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Résolument tourné vers la mer, ce site sensibilise le public, les scolaires et les acteurs de la société aux enjeux majeurs liés à la biodiversité et à sa préservation. Un parcours de visite jalonné d’aquariums, d’un grand bassin, d’expositions temporaires, de conférences et d’animations sont proposés aux visiteurs afin de mieux connaître, comprendre, gérer la mer… et la respecter.

Musée de l’abri Pataud20 rue du Moyen-Âge – 24620 Les Eyzies-de-TayacSitué à quelques kilomètres de la grotte de Lascaux, l’abri Pataud a été oc-cupé par les premiers Homo sapiens – les hommes de Cro-Magnon. Le visi-teur peut y découvrir les progrès de ces grands utilisateurs d’outillage très perfectionné mais aussi l’invention de l’art figuratif. Le site, qui conserve les traces de quelque 15 000 ans de préhistoire, est l’un des seuls de la région à montrer un chantier de fouilles et à présenter les techniques des archéo-logues. Ses réserves abritent une collection de référence internationale de deux millions de pièces.

Paléosite de Sansan // paleosite-sansan.comPlace de l’Église – 32260 SansanCe Paléosite situé dans le Gers, ouvert à la visite depuis mai 2018, avec l’appui de la Communauté de communes du Val de Gers et le soutien des scienti-fiques des Muséums de Paris et de Toulouse, offre au public un nouveau sen-tier paléontologique de 3 km. Les fouilles menées sur ce site, mondialement reconnu, ont conduit à des découvertes de fossiles remarquables, faites il y a plus d’un siècle par Édouard Lartet, avocat devenu paléontologue puis profes-seur du Muséum. Des spécimens de ce gisement sont visibles dans la Galerie de Paléontologie, tels que l’Archéobélodon et l’Anisodon.

Réserve zoologique de la Haute-Touche // zoodelahautetouche.fr36290 ObterreLoups, babouins, cerfs, tigres, antilopes, lynx, lémuriens… la variété prime à la réserve zoologique de la Haute-Touche ! En tout, plus de 1 300 animaux de 110 espèces différentes issues des cinq continents occupent ce zoo, situé en pleine forêt, aux portes du parc naturel de la Brenne. Seul établisse-ment zoologique ayant le statut de laboratoire de recherche, la réserve contribue à une meilleure connaissance de la faune sauvage et à sa conservation. Ainsi, une quarantaine d’espèces y sont élevées dans le cadre de programmes internationaux afin de les préserver, tandis que deux élevages conservatoires (cistudes d’Europe et outardes canepe-tières) permettent des réintroductions régulières.

Les centres de recherche (fermés au public)

• Stations de biologie marine : à Concarneau mais aussi à Dinard, les stations de biologie marine du Muséum s’attachent à comprendre, enseigner et faire connaître les liens entre la biodiversité des éco-systèmes marins, leur fonctionnement et les pressions humaines qui s’y exercent. Fortes de cette expertise, elles assurent la coordination scientifique (aux niveaux national et européen) de la surveillance et de l’évaluation de l’état écologique des milieux marins, ainsi que de la gestion d’espèces en danger.

• Centre d’écologie générale de Brunoy : les champs d’étude des cher-cheurs qui y travaillent portent sur les écosystèmes forestiers tropicaux, les réseaux trophiques du sol ou encore les mécanismes adaptatifs des organismes, avec des applications dans le domaine biomédical du vieillissement.

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CONTACTS PRESSE

Muséum national d’Histoire naturelle

FLORE GOLDHABER Tél . : +33 (0)1 40 79 38 [email protected]

SAMYA RAMDANETél . : +33 (0)1 40 79 54 [email protected]

Jardins botaniques et zoologiques

JÉRÔME MUNIERTél . : +33 (0)1 40 79 54 [email protected]

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CHRISTEL BORTOLITél . : +33 (0)1 44 05 73 23christel [email protected]

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Muséum national d’Histoire naturelle57, rue Cuvier - 75005 Paris+33 (0)1 40 79 56 01

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DIRECTION DE L A COMMUNICATION

FANNY DECOBERTDirectriceTél . : +33 (0)1 40 79 54 [email protected]

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Documents

PROGRAMMATION 2018/2019 · 2018. 9. 19. · sensibilisation au devenir de notre planète à travers deux temps forts qui marqueront la programmation 2018-2019. Avec la sortie d’un