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SUPERVISIONS FORMATIONS PROGRAMMÉES NOS PROPOSITIONS « QUAND LA SOUFFRANCE S’EXPRIME DU CÔTÉ DU SOCIAL» PROGRAMME 2012-2013 de et de

Programme de Formation La Clepsydre 2012-2013

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Formations destinées aux acteurs du champ social, éducatif, sanitaire, juridique, et au-delà tout public confronté aux différentes formes de précarité.

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Page 1: Programme de Formation La Clepsydre 2012-2013

s u p e r v i s i o n s

F o r m a t i o n s p r o g r a m m é e s

n o s p r o p o s i t i o n s

«Quand la souFFrance s’exprime

du côté du social»

programme 2012-2013

de

et de

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La Clepsydre est née d’un projet clinique et politique inscrit dans la lutte contre les phénomènes ségrégatifs et d’exclusion.

Axée sur la prise en compte des populations associant mal être et mal vivre, difficultés sociales et troubles psychiques, l’association s’est fondée en 1992. Pensée comme un organisme social implanté dans la Cité et accessible, La Clepsydre a créé un espace alternatif, intermédiaire entre le champ médico-psychologique et psychiatrique et le champ libéral, visant à accueillir et prendre en charge toute personne en détresse sans discrimination. Ses fondements relèvent de la psychanalyse comme un référentiel à une plura-lité d’approches thérapeutiques reposant sur le postulat de l’inconscient, au sens où « l’inconscient, c’est le politique » (Lacan).

L’association est essentiellement financée par les pouvoirs publics qui sont ap-pelés comme tiers sur la scène sociale, mais s’oriente aujourd’hui vers d’autres modes de mobilisation et de partenariat avec la sphère privée à la fois comme nouvel axe de ressources potentielles et comme extension du message qu’elle porte.

Trois axes moteurs et statutaires impulsent une dynamique collective : la cli-nique des personnes en détresse, la formation, la recherche.

Le Centre d’Action Socio-Psychologique La Clepsydre propose depuis 1995 des consultations à durée variable, adaptées à la singularité du sujet.

Sans exclure la gratuité, elle fait prévaloir une « participation financière » modu-lable au cas par cas, comme levier et cheminement vers la prise de conscience, l’autonomie et la responsabilisation.

Pour soutenir cette démarche, elle a tissé un maillage avec des organismes par-tenaires à la croisée des champs social, éducatif, juridique et clinique selon un choix éthique et politique initial.

L’Organisme de Formation et de Recherche.En appui sur cette clinique originale, l’association a développé depuis 1998 un ensemble de formations dans le prolongement et le fil de l’expérience pratique menée de longue date.

Elle est à cet égard un lieu permanent de recherche et de questionnement en interne comme à l’externe, ouvert à l’innovation exigible dans le contexte du nouveau « malaise dans la culture » (Freud).

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la clepsYdre, de l’Histoire à l’actualité

l’association

Valérie OSGANIANFondatrice

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Raymonde FERRANDICoordonnatrice pédagogique

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éditorial

Il y a bientôt un an paraissait notre première plaquette de formation. Les échanges avec les participants aux différentes actions réali-sées depuis nous confirment dans les orien-tations de travail adoptées. Dans un monde de plus en plus régi par la loi du chiffre et des procédures, y compris dans les domaines du soin et de la relation d’aide, il est important que demeurent des lieux où une autre repré-sentation de l’homme a cours : celle d’un être de sens.Nous accueillons sur nos formations des professionnels à qui, littéralement, «les bras en tombent », selon une expression qui revient souvent dans leur discours, face à la réalité de leur terrain : ils ne se sentent plus en capacité d’agir. Ces professionnels, souvent travailleurs sociaux, mais plus généralement en rela-tion avec des patients, des usagers, des clients,… décrivent les personnes qu’ils abordent non seulement comme « en diffi-cultés », mais comme de plus en plus « em-pêchées » par des contraintes objectives et insurmontables : si tel est le cas, à quoi peut désormais servir leur action ? Au mieux il semble que ces personnes « pourraient, si elles le voulaient » ; mais, justement, c’est comme si elles ne le voulaient pas, et l’aide proposée est souvent récusée. Par ailleurs les professionnels font remarquer qu’il leur est de moins en moins demandé de faire leur métier, mais plutôt de réaliser à travers leur travail des objectifs de nombre sans référence à l’éthique, à la déontologie et aux nécessités de leur pratique. Or cet « impossible » cède, dans une mesure non négligeable, à la parole et à l’échange, tous deux étayés par les outils d’analyse que

nous proposons : l’action professionnelle re-prend avec des perspectives nouvelles ; les patients, usagers, clients, trouvent des solu-tions inattendues à leur mal-être ; tout cela pour peu que les uns et les autres aient réussi à (re)créer, en formation d’abord, puis sur le terrain, des îlots de sens partagé. Il est clair qu’une formation s’inspirant de ces principes n’obéit pas à un modèle mécaniste et technocratique, générateur de protocoles que nous nous proposerions de communiquer, garantissant une réussite sans faille en toutes circonstances. Nous avons beaucoup plus modestement l’ambition de permettre aux participants de (re)trouver l’usage de leurs savoirs de métier, de pour-suivre leur construction, tout en sachant les interroger dans des situations de plus en plus complexes. L’enjeu est aussi de (re)trouver une relation vivante à l’autre, en assumant les risques et les défauts de pareille entreprise.La psychanalyse, qui fonde principalement notre approche, n’est pas une démarche d’ « explication », cherchant à établir des relations de cause à effet, sur le modèle des sciences de la nature, et les généralisant sous forme de lois pouvant être appliquées à une « ingénierie » de la situation. Elle appartient aux disciplines de la « compréhension », qui mettent à jour des significations cachées, et proposent donc une lecture renouvelée du monde. Celle-ci n’est pas sans effets, mais il s’agit d’effets symboliques, dont le repérage permet d’engager une action en respectant la place de l’autre et en s’éprouvant comme sujet.

à la recHercHe du sens perdu

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nos orientations de travail

publics et diFFérentes propositions

les publics

Historiquement, La Clepsydre a commencé par concevoir ses projets à l’intention de ses partenaires directs : les acteurs du champ social, éducatif, sanitaire, juridique, et au-delà tout public confronté aux différentes formes de précarité, de détresse sociale et/ou de souffrance psychique.

Mais le champ du travail lui-même étant de plus en plus traversé par des phénomènes de précarité, de violence et de souffrance, certains modules concernent tout professionnel, par rapport à son ancrage dans l’organisation.

Dans ce qui suit, le terme de « professionnel » est privilégié car c’est la situation la plus fréquente, mais nos formations s’adressent aussi aux bénévoles associatifs, pris en compte avec leur statut et leur positionnement propre.

les diFFérentes propositions

Créé en 1998 et agréé par l’Etat depuis 1999, l’Organisme de Formation et de Recherche développe des actions de formation continue, éligibles aux dispositifs existant à cet égard : plan de formation, CIF, DIF.

Des modules programmés ont le souci de proposer à la fois une introduction à l’approche des formes contemporaines de souffrance et de violence plus particulièrement liées à la pré-carité, et des approfondissements par rapport à des questions plus spécifiques aux différents « réseaux » de professionnels.

Des formations sur mesure peuvent être construites en lien direct avec nos partenaires pour répondre à un besoin précis : notamment des modules courts de sensibilisation.

Par ailleurs des supervisions des pratiques peuvent s’organiser, soit en groupe autour d’un intérêt commun, soit sous forme individuelle, à partir du questionnement spécifique d’un professionnel.

Enfin, à la demande, des groupes de parole de professionnels, des consultations d’équipes peuvent aussi être envisagés.

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une trans-Formation

Nous nous réclamons d’une « clinique » de la formation, au sens originel d’attention por-tée au « cas » : singularité et complexité des personnes et des situations, qui doit inspirer et questionner sans cesse la théorie.

Cette approche contient l’idée d’une évolution qui dépasse l’application docile de techniques éprouvées, tant il est vrai que toute formation est « transformation » : construction de savoirs nouveaux ou intégration de nouvelles dimensions de soi dans son acte professionnel, grâce aux effets de la parole.

une pédagogie de la découverte

La réflexion s’engage à partir de situations concrètes amenées tantôt par les participants, tantôt par l’intervenant, et progresse en plusieurs temps :

• Prise de conscience par l’acteur social de son implication, permettant de situer d’emblée la formation dans la prise en compte de la subjectivité et de l’intersubjectivité.

• Conceptualisation, étayée par des apports théoriques, faisant apparaître la relativité des mo-dèles proposés et invitant les participants à se construire leur propre « théorie de l’action ».

• Réinvestissement de ces «savoirs» dans les pratiques. Le but n’est pas d’aboutir à un protocole de prise en charge, mais d’aider chacun à inventer ses réponses.

Ce déroulement met en jeu tout au long l’interactivité entre les membres du groupe et avec l’intervenant, favorisée par un travail en petits groupes.

une Formation–recHercHe-action

La logique est celle d’une formation-recherche, les échanges avec les participants étant source de conceptualisation, pour les acteurs de terrain comme pour les cliniciens-formateurs. Ces élaborations partagées sont à leur tour source d’inspiration pour des pratiques renou-velées.

Toutes nos actions de formation et de supervision peuvent se réaliser sur site.Pour cela veuillez nous consulter par téléphone : 01 40 21 39 57

ou par mail : [email protected]

démarcHe pédagogiQue

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sommaire

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les supervisions

parcours d’introduction

inFormations pratiQues

modules d’approFondissement

les Formations programmées

• les « nouvelles pathologies », une affaire d’état ?

• souffrance et précarité

• les violences, une souffrance à déchiffrer

• le droit peut-il encore faire loi ?

• les violences conjugales, une trop belle rencontre

• remaniements de la personnalité et des relations familiales à la « sénescence »

• accompagner jusqu’où ?

• les nouvelles figures de l’addiction

• les nouvelles formes de souffrance au travail

• dans une société mondialisée, la différence culturelle est-elle encore un problème ?

bulletin d’inscription

calendrier et Horaires

nous contacter

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parcoursd’introduction

éléments pour une approche du sujet dans la nouvelle modernité,

quand la souffrance s’exprime du côté du social

les Formations programmées / parcours d’introduction

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Parcours d’introduction

3 modules : 2390€ 2 modules : 1690€ 1 module : 890€ Merci de nous faire connaître votre choix par le biais du bulletin d’inscription page 30.

Ce parcours d’une année est l’occasion d’une première rencontre avec les méthodes et concepts. Ceux-ci privilégient la référence psychanalytique, tout en faisant appel en contrepoint à toutes les disciplines qui aident à préciser l’articulation entre l’individuel et le social, et posent la question du « sujet » : comment chacun se sent-il acteur, habité par des intentionnalités multiples et bien souvent conflictuelles, qu’il cherche à assumer ?

Les questions abordées concernent au plus près le travail de La Clepsydre sur ses permanences, tout en répondant aux préoccupations des acteurs sociaux : souffrance psychique et « nouvelles pathologies », s’il en est ; situations de précarité et d’exclusion ; situations de violence.

Ces problématiques semblent caractériser une « nouvelle modernité ». Tantôt on la nomme « postmodernité », mettant ainsi l’accent sur la difficulté à intégrer dans nos représentations cette période troublée, dont force est de constater qu’elle succède à l’aboutissement supposé de la modernité. Tantôt les sociologues parlent d’ « hypermodernité» (Pagès), insistant davantage sur l’accentuation jusqu’à l’excès de traits déjà présents dans les décennies précédentes.

Toutes ces évolutions ne vont pas sans souffrance. Il y aurait donc un « au-delà du progrès », qui n’est pas sans évoquer l’« au-delà du principe de plaisir » (Freud) qui, sous l’effet de la « déliaison » entre forces de cohésion et forces de désintégration, peut conduire à la mort. La psychanalyse est donc peut-être fondée, elle aussi, à en dire quelque chose.

Les cliniciens-formateurs de La Clepsydre ont plus particulièrement l’expérience de personnes qui expriment une souffrance « du côté du social » plutôt que du côté du corps ou des troubles de la pensée : ressenti d’isolement, d’exclusion, difficultés à s’inscrire dans un travail, rester victime ou être auteur d’actes de violences,… Tels sont du moins les symptômes d’appel qui conduisent le plus souvent à consulter. Les 3 modules ci-après forment un ensemble permettant d’aborder par plusieurs entrées le malaise actuel du sujet, mais peuvent aussi être suivis séparément.

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les « nouvelles patHologies », une aFFaire d’état ? du « prendre soin » à la prise en compte du social et du politique

argument

Face à des personnes, de plus en plus nombreuses, en grande souffrance et aux symptômes atypiques, les professionnels du soin, de la relation d’aide et de l’écoute s’interrogent sur les problématiques auxquelles ils ont affaire : maladie mentale ou souffrance psychique ? Désordres personnels ou pathologie de la normalité ? Crise du sujet dans une société en mutation ou fin de l’humanité ?

Ils s’interrogent aussi sur leur fonction : si ces personnes sont malades, quel rôle pour le travailleur social, autre que celui d’orienter vers le champ sanitaire ? Plus généralement, à quoi bon s’attacher à l’individu si le problème est ailleurs ? à supposer que nous soyons dans une société malade, doit-on pour autant renvoyer tous les problèmes à ceux qui nous gouvernent ?

Les réponses données à ces questions ne relèvent pas d’une référence lointaine au politique : elles concernent au plus près, pour chacun, sa propre action auprès des personnes, l’orienta-tion vers les partenaires et au-delà le maintien de son désir de travailler.

Parallèlement à leur possible engagement dans des collectifs divers, souvent en réponse à de récentes dispositions législatives, ces professionnels se demandent enfin comment être citoyens (au sens de défendre la Cité, un vivre ensemble respectueux du sujet) dans l’exer-cice même de leur fonction.

objectiFs

• Mieux distinguer les notions de maladie mentale, souffrance psychique.

• Disposer de concepts permettant de penser la question de la rencontre entre l’individuel et le social.

• Explorer son propre rapport à ces différentes problématiques.

• Ajuster en conséquence son action auprès des personnes : repérage des problématiques ; intervention depuis son propre poste ; orientation et/ou accompagnement conjoint.

• Rester acteur face aux contradictions génératrices de souffrance au travail.

les Formations programmées / parcours d’introduction

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progression

• 1er cycle : Soin à une personne malade ou accompagnement d’un sujet en crise, pris dans une situation complexe ?

Présentations. Attentes.

à partir de situations ou d’exercices en sous-groupes, recueil des représentations et défini-tions : le normal et le pathologique ; la maladie mentale ; la souffrance psychique.

La relativité du normal et du pathologique en fonction des cultures et des époques (formes cliniques, nosographies, concept de « maladie » mentale).

Quelles conséquences sur les pratiques d’accompagnement et de partenariat ?

• 2ème cycle : L’enjeu du sujet et des pratiques sociales dans la nouvelle modernité

à partir de situations professionnelles ou de la vie quotidienne, recueil des représentations des relations entre l’individu et le social.

L’inconscient et le social selon la psychanalyse, depuis la définition du « malaise dans la culture » (Freud).

Regards croisés sur la nouvelle modernité entre psychanalyse et autres disciplines (psy-chiatrie et sciences humaines cliniques, dont la sociologie clinique ; sciences sociales et philosophie).

Les nouvelles figures de l’engagement du côté du sujet (la psychanalyse dans la cité ; les collectifs transdisciplinaires, associant psychanalystes et spécialistes du social).

Comment ces analyses et expériences peuvent-elles inspirer la créativité professionnelle des participants ? Comment résister à certaines entreprises déshumanisantes ?

• Journée d’approfondissement et d’évaluation

Retour sur les réinvestissements opérés ou envisagés dans les pratiques.

Réflexions et apports complémentaires à partir des questions qui se posent encore.

Bilan de la formation.

1er cycle : 20 septembre et 4 octobre 2012 2ème cycle :18 octobre et 15 novembre 2012 Journée d’approfondissement et d’évaluation : 6 décembre 2012 Tarif: 890€ Durée : 35h

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souFFrance et précaritéune « insoutenable légèreté de l’être* » ? (*milan Kundera)

argument

Les professionnels ont de plus en plus affaire à des personnes en situation de détresse sociale et en souffrance psychique plus ou moins apparente. Il est souvent difficile de savoir où est la cause et où est l’effet.

Or tout cela n’est pas indifférent s’agissant d’écouter ces personnes et de les orienter le cas échéant au sein des dispositifs existant aujourd’hui.

La précarité, sous son aspect socio-économique, n’est pas la seule forme de détresse so-ciale, mais elle en est actuellement une figure majeure d’où sa mise en exergue dans cette formation.

objectiFs

• Mieux identifier sous leurs différentes formes la précarité et la souffrance qui lui est généralement associée. Les replacer dans un champ conceptuel, permettant de faire à la fois des distinctions et des liens.

• Comprendre les processus qui peuvent mener de l’une à l’autre, non seulement grâce à une reconstruction intellectuelle, mais en éprouvant et en interrogeant son propre rapport à la précarité.

• Pouvoir repérer la souffrance, y compris dans ses manifestations non immédiatement visibles ou paradoxales.

• Concevoir une stratégie d’accompagnement adaptée et gérer la distance professionnelle avec les personnes reçues ou accompagnées.

• Connaître et savoir utiliser les possibilités de relais offertes par le réseau local.

les Formations programmées / parcours d’introduction

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progression

• 1er cycle : La rencontre avec une personne en situation précaire : de la souffrance de la personne à celle du professionnel

Présentations. Attentes.

à partir de situations ou d’exercices en sous-groupes, recueil des représentations et apport de définitions : précarité ; souffrance ; quelles relations entre elles ?

Seront ici développées des situations d’accueil ponctuel ou de première rencontre et des situations de rencontre critiques telles qu’elles peuvent survenir au cours d’un accompagnement (blocage, violence,…).

Quelle est la part des effets inhérents à la précarité et/ou à une souffrance d’une autre nature ? Quelle est la part entre la souffrance de la personne et les projections ou défenses du professionnel ?

La souffrance est-elle une constante nécessaire dans la rencontre ?

• 2ème cycle : Comprendre la genèse des situations associant souffrance et précarité ; rechercher sur ces bases des leviers pour l’intervention

Seront évoquées sur ce second temps des situations permettant d’identifier différents enchaînements possibles entre souffrance et précarité : relations de cause à effet mais aussi « effets de sens ».

En particulier identification de la précarité comme possible symptôme psycho-social (mal-être personnel et utilisation pour le signifier de formes sociales à disposition, telles que chômeur, bénéficiaire du RSA, SDF,…).

Que peuvent être un accueil, un accompagnement tenant compte des apports de la psychanalyse ? à partir de quand, et comment, orienter vers un professionnel de l’écoute « thérapeutique » ?

La précarité est-elle toujours un problème ou peut-elle être dans certains cas une solution, voire une philosophie ?

• Journée d’approfondissement et d’évaluation

Retour sur les réinvestissements opérés ou envisagés dans les pratiques.

Réflexions et apports complémentaires à partir des questions qui se posent encore.

Bilan de la formation.

1er cycle : 17 et 31 janvier 2013 2ème cycle : 14 et 28 février 2013Journée d’approfondissement et d’évaluation : 21 mars 2013 Tarif: 890€ Durée : 35h

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argument

Les professionnels abordent des personnes tantôt « victimes », tantôt dites « violentes ». Ils sont eux-mêmes souvent victimes, parfois auteurs, d’actes de violence.

La violence est souvent cachée par les victimes elles-mêmes. Quant aux auteurs, leur violence tend à être rapportée à une altérité radicale, appelant une réponse par la répression. Dès lors, comment aider ?

Tous nous agissons dans un contexte institutionnel et social qui peut lui-même être source de violence. Comment comprendre ce qui est souvent désigné aujourd’hui comme « montée de la violence », et les formes singulières que prend celle-ci dans la nouvelle modernité ?

Comment retrouver à travers ces différents détours le sens originel de la violence, qui est peut-être « vouloir vivre » ?

objectiFs

• Mieux repérer les différentes formes et degrés de souffrance psychique quand elle relève notamment de mécanismes de violence agie ou subie.

• Parvenir à une meilleure prise en charge, plus avertie et concertée, de ces publics.

• Disposer pour ce faire d’apports de La Clepsydre référés principalement au champ de la psychanalyse.

• Mutualiser des notions théoriques et pratiques relevant des savoir-faire des différents participants.

• Acquérir une meilleure connaissance des organismes œuvrant à la prise en charge des publics en détresse concernés par les phénomènes de violence.

les violences, une souFFrance à décHiFFrer

les Formations programmées / parcours d’introduction

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progression

• 1er cycle : En situation de violence

Présentations, attentes.

à partir de situations ou d’exercices en petits groupes, recueil des représentations et définitions relatives aux différents champs disciplinaires. Entre agresseur et agressé, quelle intersubjectivité peut-on repérer ? Rôle du contexte ?

En s’appuyant sur ces analyses, comment poser des actes susceptibles de ramener la tension à un niveau supportable ? Comment se protéger ? Mais aussi comment accueillir la violence, parfois nécessaire, toujours signifiante ?

Ce cycle sera consacré, en première approche, aux situations de violence directe (agression par un usager, harcèlement au travail, violence agie par un professionnel,…).Il abordera aussi des situations de violence indirecte (sentiment d’échec dans l’accompa-gnement, résonance avec un usager lui-même pris dans la violence, avec une équipe en dysfonctionnement,…).

• 2ème cycle : La «fabrique» de la violence

Quelle est l’origine lointaine de la violence (ancrage anthropologique, vécu dans l’enfance et la famille) ? Quelles sont les conditions plus actuelles de son déclenchement, ses formes plus spécifiques liées à notre société ? Comment reconsidérer en conséquence sa propre action ?

Ce second cycle abordera plus particulièrement les violences intrafamiliales et les violences anonymes liées aux aspects sociétaux (maltraitance institutionnelle ou bien rap-port toxique entre le public et l’institution, souffrance et violences liées à la précarité,…).

Il ne s’agira pas fondamentalement d’étudier chaque type de violence en lui-même, mais comment une intentionnalité signifiante peut organiser le passage d’une scène à l’autre.

• Journée d’approfondissement et d’évaluation

Retour sur les réinvestissements opérés ou envisagés dans les pratiques.

Réflexions et apports complémentaires en fonction des questions qui se posent encore.

Bilan de la formation.

1er cycle : 4 et 18 avril 2013 2ème cycle : 16 et 30 mai 2013 Journée d’approfondissement et d’évaluation : 20 juin 2013 Tarif: 890€ Durée : 35h

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modules d’approFondissement

les Formations / modules d’approFondissement

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modules d’approFondissement

Ces modules insistent sur une dimension particulière des problématiques abordées dans le parcours d’introduction.

Ils sont inspirés par les différentes permanences ou supervisions de La Clepsydre et concernent en particulier, parmi les partenariats dans lesquels des cliniciens sont engagés :

• Les acteurs de l’Accès au Droit, confrontés à la violence du quotidien, aux violences conjugales,…

• Les professionnels et volontaires des Points Paris Emeraude, dédiés aux personnes âgées, et au-delà de l’aide à domicile, souvent découragés face à une image uniquement néga-tive de l’avancée en âge, ou ébranlés par la question de décider à la place d’une personne vulnérable.

• Les professionnels et équipes traversant une situation de crise, dans un contexte de restructuration.

Leur accès est facilité par le suivi d’un au moins des modules du parcours d’introduction mais peut aussi s’envisager séparément.

organisation

S’agissant de modules courts de trois jours et pour une plus grande souplesse, les dates seront fixées en fonction de vos disponibilités. La formation sera donc programmée en lien avec vous dès qu’elle aura réuni un nombre suffisant de participants.

à titre indicatif, les journées de formation auront lieu de préférence sur les mardis pairs (2ème et 4ème mardis du mois), à partir de septembre 2012 ; les journées sont conçues pour être non consécutives afin de permettre une maturation de la réflexion et des réinvestissements sur le terrain entre deux temps de formation.

Merci de nous faire connaitre vos choix (modules et disponibilités) par le biais du bul-letin d’inscription page 30.

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les Formations programmées / modules d’approFondissement

les violences conjugales, une trop belle rencontre

Dans notre société de plus en plus complexe, plurielle et en mutation rapide, le droit écrit est de plus en plus invoqué (mais aussi détourné, amputé) comme le seul garant qui reste d’un pouvoir « vivre ensemble ».Usagers en situation d’exclusion, professionnels souvent dépassés et parfois agressés, politiques en mal de solutions, chacun a ses raisons d’y faire appel.Que cherchons-nous, parfois en vain, dans la lettre du droit ? Comment s’y référer, mais aussi s’en détacher pour que l’échange fasse à nouveau lien ?

Objectifs• Identifier l’existence d’enjeux symboliques et subjectifs liés au Droit.• Pouvoir les décoder à l’aide de quelques concepts de la psychanalyse tels que: loi sociale et

loi symbolique ; mécanismes de défense, notamment formation réactionnelle.• Repenser en fonction sa pratique professionnelle et citoyenne (en tant qu’une pratique pro-

fessionnelle peut être en elle-même citoyenne).• Se sentir plus à l’aise dans son travail.

le droit peut-il encore faire loi ?

• 1er jour : Le vécu des professionnelsPrésentations. Attentes.à partir d’études de situations, expression des représentations et ressentis des profes-sionnels face aux problèmes posés.Repérage de différentes dimensions, d’un côté juridique, de l’autre psychologique et psychosociale, impliquant des aspects in-conscients, dans les situations.• 2ème jour : L’usager en souffrance dans le sujet de droit : « porter plainte »à partir de situations-problèmes, mise en évi-dence de différentes significations possibles des comportements mis en exergue : désir de faire reconnaître une souffrance, a minima son humanité bafouée ; révolte contre un ordre considéré comme injuste, provocation liée à une recherche de limites,...

Significations largement partagées et signi-fications singulières liées au parcours de la personne.• 3ème jour : Le politiqueQue signifient et qu’entraînent au niveau subjectif et intersubjectif les deux mouve-ments actuellement constatés : - dérégulation : du droit du travail,…- règlementation/judiciarisation de l’ensei-gnement (rôle « positif » de la colonisa-tion,…), de la communication (le négation-nisme comme délit,...), du soin (soins sans consentement,...), de l’accompagnement social (« dispositifs » tels que le RSA).

Réinvestissements déjà effectués ou envisa-gés dans les pratiques.

Bilan de la formation.

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3 journées de formation Tarif : 550€ Durée : 21h

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« C’était trop beau », s’exclame cette femme qui pensait avoir enfin trouvé l’homme idéal,… avant que violence lui soit faite par son nouveau compagnon, comme par les précédents.

«Trop belle » occasion, peut-être, pour les deux membres du couple, de rejouer ensemble les scénarios inconscients hérités par chacun de son histoire.

Enfin, le rapprochement est souvent fait entre violences conjugales et inégalité homme-femme, mettant parfois en question, à ce propos, la culture de référence de l’un ou l‘autre des protagonistes. Là encore, la rencontre n’est-elle pas « trop belle », comme savent l’être les évidences trompeuses ?

Objectifs• Distinguer la violence conjugale de processus qui peuvent lui être liés sans pour autant se confondre avec elle, notamment la minorisation de la femme dans le droit ou la culture.

• Comprendre la répétition à l’œuvre au niveau de chaque membre du couple et dans la rencontre.

• Identifier comment cette répétition peut mettre à l’épreuve la relation d’aide et mieux ac-compagner dans la durée.

les violences conjugales, une trop belle rencontre

• 1er jour : Représentations et définitions

Présentations. Attentes.

Comment les participants se représentent-ils le phénomène des violences conjugales ? Comment vivent-ils le contact avec les vic-times ou les agresseurs ?

Définitions des termes-clés (violence, couple, culture,…) en fonction de diffé-rentes approches : juridique, psychologique, psychanalytique, interculturelle. Reposi-tionnements éventuels des participants. • 2ème jour : Chronique d’une violence annoncée

Rôle de l’histoire personnelle et familiale de chacun des membres du couple.

Les effets de la rencontre et les différents modèles de couples.

Prendre parti pour la victime ou accompa-gner la souffrance là où elle se trouve ?

• 3ème jour : Rôle du contexte

Précipitation des phénomènes de violence en fonction de situations troublées telles les différentes formes de précarité.

Rôle de la culture et/ou des situations de déculturation telles que la migration.Faut-il, en particulier, inciter les protago-nistes à s’ « acculturer » pour sortir de la violence ?

Bilan de la formation.

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3 journées de formation Tarif : 550€ Durée : 21h

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Contrairement aux Anciens, nos contemporains ont une image plutôt négative de la vieil-lesse. Nous connaissons certes ces situations douloureuses de retraite mal assumée, ou bien liées à l’entrée dans la dépendance.Mais la « sénescence », à l’instar de l’adolescence, ne peut-elle être aussi une « crise » au sens de moment fécond, pour la personne et pour ses relations avec l’entourage ?

Les symptômes déficitaires ou délirants pourraient-ils eux-mêmes avoir un sens, au-delà de la perte, et offrir la possibilité d’un nouveau dialogue ?

objectiFs • Apprendre à rechercher et décoder le sens possible de changements comportementaux habituellement considérés selon une approche biologique et instrumentale.• Porter un autre regard sur les symptômes habituellement considérés comme négatifs : recherche de la solitude / désinhibition sociale, pertes de mémoire / hallucinations,…• Saisir ces opportunités pour mieux accompagner et/ou (re)mobiliser la personne âgée et sa famille.• Enrichir sa motivation au travail.

remaniements de la personnalité et des relations familiales à la « sénescence »

les Formations programmées / modules d’approFondissement

• 1er jour : Quand Œdipe prend de l’âgePrésentations. Attentes.à partir de situations amenées par les par-ticipants, dégager leurs représentations du vieillissement et de leur rôle auprès des personnes âgées.

Mettre leurs observations en rapport avec des processus inconscients tels que : la réa-lité rattrape les fantasmes (d’abandon, de mort) ; réactivation de l’enfance des pa-rents ; recul des interdits devant l’évidence de l’impossible ; ...

La construction sociale de l’âge et sa réinterprétation par l’inconscient des per-sonnes.

• 2ème jour : Les paradoxes de la perteà partir de situations amenées par l’interve-nant, renversement de perspective par rap-port à des troubles invalidants habituelle-ment considérés sous l’angle organique et déficitaire : pertes de mémoire, symptômes locomoteurs,…

Exemples associés par les participants à par-tir de leur pratique.

• 3ème jour : RemobiliserComment utiliser les ressorts mis en évi-dence ? Travail sur des situations dans les-quelles l’accompagnement pourrait trouver un second souffle.Bilan de la formation.

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3 journées de formation Tarif : 550€ Durée : 21h

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Les personnes âgées posent aux travailleurs sociaux des défis déontologiques inédits : com-ment travailler à partir de la demande, quand une personne semble s’être retirée d’elle-même, comme dans la maladie d’Alzheimer ?

Les professionnels se défaussent souvent sur le médical, et en particulier la psychiatrie : si une personne est reconnue comme délirante ou démente, ils puisent dans ce diagnostic des arguments pour assumer d’imposer ce qui leur apparait comme « raisonnable ». Mais, si la « raison » n’y est plus, le sujet (désirant et souffrant) a-t-il pour autant disparu ?

Enfin le professionnel n’est pas seul avec la personne mais doit rendre des comptes à une équipe, une institution d’appartenance, qui elle-même intervient dans le cadre d’un disposi-tif. Les moyens manquent souvent pour aider les personnes en grande précarité. La famille de la personne aidée peut porter plainte pour abus ou pour négligence. Comment se situer ?

objectiFs • Exprimer et partager des questions lourdes, apaisant ainsi la honte et la culpabilité qui

empêchent de penser.

• Etayer sa réflexion sur des concepts clairs, tout en prenant en compte la subjectivité et l’intersubjectivité.

• Pouvoir faire des choix assumés de décision, individuellement et de façon collégiale.

accompagner jusqu’où ?rester présent sans basculer dans des pratiques « hors sujet »

• 1er jour : De quoi parle-t-on ?

Présentations. Attentes.

à partir des dilemmes dans lesquels sont habituellement pris les participants, quelles représentations de la personne aidée, du tra-vailleur social ?

Définitions : personne, sujet ; technique, déontologie, éthique ; désir, demande.

• 2ème jour : Comment repérer des inten-tionnalités chez une personne qui ne peut plus parler ou qui « déraisonne » ?

Différents niveaux de langage.

Aspect signifiant des conduites, même dans le cas de symptômes déficitaires.

• 3ème jour : Agir au sein de dispositifs

Comment sont pris en compte les différents éléments ? Quel rapport entretient-on avec eux, hésitant parfois entre démission et sou-mission?

Le dispositif peut aussi être un tiers apai-sant dans la relation duelle aidant-aidé. à quelles conditions ? Quelles pratiques de réseau ?

Bilan de la formation.

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3 journées de formation Tarif : 550€ Durée : 21h

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les Formations / modules d’approFondissement

Notre époque voit se développer de nouvelles formes d’addiction qui délaissent les produits bien connus pour se porter, sur le même mode, vers de nouveaux objets, tels que les nou-velles technologies, voire le travail.Depuis longtemps la psychanalyse a dissocié l’addiction du produit en parlant plutôt de conduite addictive de la part de telle ou telle personne, exprimant son être au monde. Ces conduites ne caractérisent peut-être pas non plus une « personnalité addictive », mais peuvent constituer un passage et un message.Comment ces différents niveaux d’analyse se rencontrent-ils aujourd’hui ? Quels peuvent être les objectifs des professionnels engagés dans la lutte contre la toxicomanie ? Mettre fin à l’addiction ou l’aider à s’exprimer autrement dans le social ?

objectiFs• Disposer d’un vocabulaire commun en ce qui concerne la définition et les processus de l’addiction.• Identifier ses contre-attitudes envers les personnes addictives.• Aller au-delà du comportementalisme dans ses objectifs et sa relation de travail, vers une

rencontre avec ces personnes.

Les nouvelles figures de l’addiction.dépendance à un produit ou produit de société ?

les nouvelles formes de souffrance au travail

• 1er jour : Les « toxicos », c’est les autres ?Présentations. Attentes.à partir d’exercices et d’études de situations identifier ses contre-attitudes et les enjeux de la relation qui se développe avec les per-sonnes accueillies ou suivies.Apports permettant de définir l’addiction et de la repérer comme figure extrême de la relation d’objet.• 2ème jour : Les nouvelles cliniques en consultationLes addictions déjà connues changent de visage : la consommation d’alcool, de stupé-fiants, notamment, concerne des publics nou-veaux, se passe selon d’autres modalités, et semble répondre à de nouvelles intentionna-lités (jeunes, milieux ruraux, chômeurs,…). De tout temps le « manque » a affecté les personnes exclues de l’activité et de la com-munication. Comment le travail, les nou-

velles technologies peuvent-ils devenir le support d’une addiction ?à partir de présentations de cas, identifier la logique associative à l’œuvre, permettant de considérer le « produit » comme à la fois nécessaire et contingent, renvoyant à autre chose que lui-même et pouvant être jusqu’à un certain point remplacé par un autre objet. Ce glissement prenant sens dans la société contemporaine.• 3ème jour : Vers une société addictive ?L’addiction semble passer du statut de patho-logie à celui de dimension de la normalité pour l’homme « hypermoderne » (Aubert), à travers les exigences actuelles d’immédiateté et l’exis-tence de moyens pour y parvenir : repérage de ces fonctionnements à partir de faits de société. Alors, quelle action possible pour les pro-fessionnels ?

Bilan de la formation.

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3 journées de formation Tarif : 550€ Durée : 21h

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Page 23: Programme de Formation La Clepsydre 2012-2013

La souffrance au travail a toujours existé, notamment à travers la pénibilité de ce dernier. Mais se manifestent aujourd’hui d’autres formes de souffrance qui menacent l’humanité même du travailleur : financiarisation de l’économie au détriment de la production, précarité, conditions d’exercice rendant impossibles les tâches confiées,… aboutissant à une perte de sens.

L’action sanitaire et sociale, l’économie solidaire n’échappent pas à ce mouvement, qui transforme d’autant plus leur positionnement que celui-ci était initialement fondé sur des valeurs humanistes fortes, qui semblent laminées par ces nouvelles exigences. Il en est de même pour les structures récemment privatisées exerçant des missions de service public. La souffrance peut être liée au contact avec des usagers ou clients difficiles, telles les personnes elles-mêmes en précarité, mais les professionnels font état désormais d’un malaise en rapport avec les conditions du travail lui-même.

La notion de « risques psychosociaux » est à interroger : pour l’employeur, pour le salarié, pour le « bien commun » ? à quelle échelle, depuis une organisation particulière jusqu’à la remise en question de la valeur travail dans la société contemporaine ?

En quoi la psychanalyse et autres disciplines orientées vers la mise à jour des significations de l’évènement peuvent-elles proposer une lecture de ces évolutions susceptible de rouvrir la perspective pour les acteurs ?

objectiFs• Disposer de concepts permettant d’identifier de façon fine ces nouvelles réalités : quelle dif-

férence entre souffrance et violence au travail, harcèlement et dysfonctionnement de l’orga-nisation du travail, problème institutionnel et évolution sociétale ?

• Pouvoir analyser ces situations en faisant la part des éléments objectifs et de sa propre implication.• Retrouver autrement du sens à ses missions et une capacité d’action.

les nouvelles formes de souffrance au travail

• 1er jour : La souffrance dans tous ses étatsPrésentations. Attentes.

à partir d’études de situations, identifier les différentes réalités en termes juridiques et psychosociologiques.En repérer les effets sur soi ou autour de soi.• 2ème jour : Harcèlement et violences ano-nymes dans l’organisationPrésentation de situations permettant de bien différencier ces deux modalités majeures et d’en analyser les processus, tant sur le plan

conscient qu’inconscient.

• 3ème jour : La question de la centralité du travail

Celle-ci est interrogée à la fois comme origine possible de la souffrance, comme nécessité pour l’existence psychosociale et comme élément de l’économie psychique de la personne.Réinvestissements déjà effectués ou envisa-gés dans les pratiques.Bilan de la formation.

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3 journées de formation Tarif : 550€ Durée : 21h

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Page 24: Programme de Formation La Clepsydre 2012-2013

Nous vivons de plus en plus dans un « village planétaire » (Mac Luhan). Pourtant de nom-breux auteurs parlent d’ « ethnicisation » croissante des rapports sociaux en France et ailleurs.Les professionnels et bénévoles intervenant auprès des personnes en précarité, dont beau-coup viennent d’autres pays, sont désormais souvent issus de l‘immigration et pourtant on entend presque toujours parler des usagers comme étant « autres » sans qu’une possible culture commune puisse faire lien.La sociologie et la psychosociologie se saisissent habituellement de ces problèmes. Que peut en dire la psychanalyse, et comment peut-elle aider à prendre en compte les différences réelles sans projeter sur l’autre notre peur de l’étranger ?

objectiFs• Affiner les notions de culture, différence culturelle, interculturalité au-delà des stéréotypes

du langage courant.• Identifier son positionnement spontané en situation interculturelle et ce qui s’échange alors

au niveau intersubjectif.• Pouvoir répondre aux messages que l’on reçoit sans être dupe de l’instrumentalisation sou-

vent faite de la différence culturelle.• Réintroduire quand cela est opportun la dimension culturelle dans l’échange sans l’oblitérer

comme le voudrait la perspective assimilationniste dominante.

dans une société mondialisée, la différence culturelle est-elle encore un problème ?

les Formations / modules d’approFondissement

• 1èr jour : La culture, les différences culturelles et l’interculturalité comme dimensions de la personne

Présentations. Attentes.à partir de situations dans lesquelles les par- ticipants sont impliqués, mise en évidence de leur vécu et de leurs « filtres » (Cohen-Emerique) éventuels à la communication.Apports concernant notamment la culture comme « contenant de pensée » (Gibello), la différence culturelle comme différence struc-turante «du 3ème type» (Kaes), l’intercultu-ralité comme constante de la vie humaine.

• 2ème jour : à chacun sa différenceà partir de situations amenées par les par-ticipants ou par l’intervenant, distinguer les différents cas : différences réelles non prises

en compte ou non acceptées, aboutissant au refoulement ou au clivage ; différences invo-quées voire fabriquées (la question du « voile intégral »,…) dans le cadre d’une recherche identitaire ou protestataire le plus souvent in-consciente, de la part de personnes en situa-tion de précarité psychique ou sociale.• 3ème jour : Vers un «choc des civilisations» (Huntington) ?à partir de faits divers et d’analyses d’auteurs, repérer métaphores et métonymies : la ques-tion du « voile » comme écran à d’autres pro-blématiques ; la culture peu à peu remplacée par la religion, après avoir elle-même rempla-cé la « race » dans la construction de l’autre.Réinvestissements déjà effectués ou envisa-gés dans les pratiques.Bilan de la formation.

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3 journées de formation Tarif : 550€ Durée : 21h

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accompagnement aux pratiQues :

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Au sens large le terme de « supervision » désigne un accompagnement à la réflexion des professionnels sur leurs pratiques, au fur et à mesure des situations vécues.

le principe

Un professionnel ou une équipe partagent avec un tiers, à l’occasion de rencontres régu-lières, leurs préoccupations de travail : celles-ci peuvent avoir trait aux tâches effectuées, à la relation avec les usagers ou clients, à l’institution ou organisation et à sa place dans un dispositif plus large, au rapport entre espaces professionnel et privé,... Cet exercice favorise le questionnement, l’intégration et l’enrichissement des apprentissages professionnels, enfin un recul par rapport à la pratique, permettant d’y revenir en étant plus conscient et en ce sens plus libre de soi.

La supervision individuelle permet de répondre aux besoins spécifiques du demandeur, et garantit une plus grande liberté de parole. Elle est le lieu d’une exploration du rapport intime du participant à son travail, très souvent impliqué dans les situations de blocage.Dans le cas d’une équipe, la supervision favorise l’écoute mutuelle et la création de réfé-rences communes permettant d’échanger plus aisément sans que le résultat soit forcément consensuel, laissant place à la différence de chacun. Le groupe de travail permet à des participants issus de plusieurs structures de se retrouver autour d’une problématique commune.

Le travail avec La Clepsydre s’attache à l’abord des publics concernés par la précarité sous toutes ses formes, au positionnement du professionnel et à la relation entre les protago-nistes de la situation. L’approche peut être plus technique (analyse des pratiques), portant sur ce qui sous-tend immédiatement les pratiques (références théoriques et méthodologiques, implicite des repré-sentations et ressentis) en vue de leur éventuel « recadrage », ou plus clinique (supervision au sens strict, psychanalytique), portant sur ce qui s’échange au niveau inconscient dans la rencontre en vue de dissiper la confusion toujours possible entre soi et l’autre.

Nous pouvons aussi répondre à des demandes de groupes de parole, destinés à des pro-fessionnels avant tout en nécessité de s’exprimer, en deçà de l’analyse, et de consultations d’équipes pour un questionnement sur leur projet ou une régulation de leurs échanges à l’interne.

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Dans tous les cas, ces projets se réalisant sur mesure, nous vous invitons à nous renvoyer la fiche projet page 28 ou à prendre autrement contact

avec nous pour recevoir une proposition circonstanciée ainsi qu’un devis :

tel : 01 40 21 39 57 - mail : [email protected]

organisation

• 1 / Les supervisions individuelles Elles s’engagent à partir d’une demande du professionnel. La coordonnatrice pédagogique le rencontre et envisage, compte tenu des compétences et disponibilités dans l’équipe, la façon la plus appropriée d’y répondre.

Les modalités peuvent varier avec l’intervenant. Actuellement elles se pratiquent le plus souvent par séances de deux heures, à raison d’une séance par mois.

• 2 / Les supervisions d’équipe Elles se mettent en place à la demande des organisations concernées. La coordonnatrice pédagogique rencontre autant que possible leur représentant et l’équipe pour aider à l’éla-boration du projet.

Le rythme et le lieu (en intra ou dans les locaux de l’association) sont à convenir en fonction des objectifs de travail et des disponibilités. En moyenne les réunions durent plus ou moins une demi-journée, à raison d’une réunion par mois.

• 3 / Le groupe de travail interinstitutionnelIl comporte 10 personnes au maximum.

Le travail se déroule sous forme d’une demi à une journée par mois.

Dès qu’un nombre suffisant de personnes a manifesté son intérêt pour un thème, le groupe se constitue lors d’une réunion initiale et décide des dates suivantes, dans la limite de 10 à 11 par an.

Ainsi peuvent être envisagés, en particulier, des regroupements de professionnels isolés dans leur propre structure : travail en réseau sur les situations de violence, l’accompagnement de personnes vulnérables,… ; groupes de psychologues, souvent seuls garants du sujet dans une institution aux missions adaptatives, de cadres confrontés aux nouvelles normes de gestion du social,…

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Dirigeants ou cadres intermédiaires, les cadres sont aujourd’hui nombreux à exprimer un malaise : pris entre les nouvelles exigences de gestion et les aspirations légitimes de leurs collaborateurs à exercer dans un travail qui ait du sens pour eux, ils se sentent parfois dans l’impasse.

Or ils sont souvent isolés dans leur structure, ou dans leur équipe, dans un contexte où la compétition entre équipes est volontiers promue. Ils apparaissent à leurs collaborateurs comme ceux par lesquels la souffrance arrive, alors qu’eux-mêmes peuvent être en souf-france.

Ils se retrouvent alors aux prises avec des représentations de la fonction cadre qui ne leur facilitent pas la tâche : qu’il s’agisse de l’autorité sans faille ou de la fonction d’ « enveloppe » de l’équipe, plus récemment identifiée, ces images sont de plus en plus difficiles à soutenir quand on se sent soi-même contraint ou dans l’insécurité.

Assurer et assumer son travail, en particulier quand il s’agit de prendre des décisions ou d’animer son équipe, nécessite à ce stade un temps de pause pour se retourner vers sa propre subjectivité. Démarche à laquelle nombre de cadres ne sont pas du tout préparés par leur formation initiale (comptabilité, école de commerce,…), qui a même parfois développé des idéologies défensives, aggravantes ou au mieux insuffisantes au regard des faits.

L’action de La Clepsydre ne se situe pas dans le registre du conseil, mais d’un accompa-gnement à l’expression et au partage, aidant à reconnaître sa propre subjectivité et celle des autres, et à imaginer avec le soutien du groupe des pistes de solutions que chacun puisse habiter.

Cette réflexion peut s’organiser sur 10 demi-journées annuelles de 3 heures, avec un groupe de 10 participants.

La progression du groupe suppose, malgré les responsabilités importantes des uns et des autres, une présence régulière sur l’ensemble des dix séances.

Tarif indicatif : 690€ Durée : 30h

exemple de groupe de travail interinstitutionnel :

les cadres entre le marteau et l’enclume

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Je souhaiterais travailler avec vous sur...

Mes coordonnées (nom, fonction, téléphone, mail,...) :

FicHe projetFormations sur mesure et supervisions

Mes disponibilités (jour de la semaine, mois, année,...) :

Vous pouvez nous retourner cette fiche par courrier à La Clepsydre - 33 rue Bouret - 75019 PARIS,

par fax au 01 40 21 39 30, ou par mail à [email protected]

SIRET : 404 230 088 00068 - APE : 8899B - N° d’agrément / Déclaration d’activité : 11753201375

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Parmi vos propositions, je suis intéressé(e) par :

Formation sur mesure Groupe de travail interinstitutionnel

Supervision d’équipe Supervision individuelle

Groupe de parole

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inFormationspratiQues

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inFormations pratiQues

Veuillez compléter et retourner ce bulletin par courrier à La Clepsydre - 33 rue Bouret - 75019 PARIS,

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bulletin d’inscription

ParticiPant Nom : Adresse : Ville : Fonction : E-mail :

Employeur OPCA Participant autre

Raison sociale et adresse de l’OPCA :

Parcours d’introduction : 3 modules (2 390€) 2 modules (1 690 €) 1 module ( 890 €)

Intitulé(s) :

Module(s) d’approfondissement :

Intitulé(s) :

Vos disponibilités :

Prénom :

Code postal :

Téléphone :

Service :Numéro SIRET :

Code postal : Téléphone :

Fait à le

Signature du participant :

Prise en charge de la formation

formations

Signature et cachet de l’employeur :

La signature du présent bulletin vaut acceptation des conditions générales figurant au verso

Pour toute situation particulière nous consulter au 01 40 21 39 57

SIRET : 404 230 088 00068 - APE : 8899B - N° d’agrément / Déclaration d’activité : 11753201375

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Veuillez compléter et retourner ce bulletin par courrier à La Clepsydre - 33 rue Bouret - 75019 PARIS,

par fax au 01 40 21 39 30, ou par mail à [email protected]

EmployEur Raison sociale :Interlocuteur : Adresse : Ville :E-mail :

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ObjetToute inscription à une formation implique l’adhésion sans réserve aux conditions générales de vente par l’employeur et le respect par le participant du règlement intérieur.

Inscription, tarifs, règlement et attestation• L’inscription à une formation se fait par l’envoi, par courrier, fax ou email, d’un bulletin d’inscription dûment rempli. Le nombre de places par groupe étant limité, les inscriptions seront retenues en fonction de l’ordre d’arrivée des bulletins d’inscription.• Dès réception du bulletin d’inscription, La Clepsydre adressera à l’employeur une confirmation d’ins-cription. Une convention de formation en double exemplaire vous sera envoyée par la suite. L’employeur s’engage à retourner un exemplaire dûment signé de la convention et portant son cachet avant le début effectif de la formation.• L’activité de formation de La Clepsydre n’est pas soumise à la TVA. Tous nos tarifs sont donc nets de taxes. Les frais de déjeuner et d’hébergement ne sont pas compris dans ces mêmes tarifs.• à la fin de chaque formation, une facture accompagnée d’une attestation de présence sera envoyée à l’em-ployeur. Les factures sont payables comptant sans escompte, au plus tard à la date d’échéance figurant sur celles-ci. Toute facture non payée à échéance porte intérêt, de plein droit et sans mise en demeure préalable, à un taux égal à une fois et demi le taux d’intérêt légal.• En cas de prise en charge du règlement de la formation par un OPCA, il appartient à l’employeur d’ indiquer dans le bulletin d’inscription les coordonnées complètes de celui-ci et de communiquer à l’OPCA tous les éléments nécessaires pour assurer ce règlement. En cas de prise en charge partielle par l’OPCA, le reliquat sera directement facturé à l’employeur. Si l’OPCA n’a pas notifié la prise en charge de la formation avant son démarrage, le coût sera facturé dans sa totalité à l’employeur.

Conditions d’annulation et de report• L’employeur peut annuler ou reporter l’inscription dans une formation si l’annulation ou le report sont notifiés par écrit à La Clepsydre au plus tard 15 jours ouvrés avant le début de la formation. Au-delà de cette date, toute formation ou cycle de formation sera entièrement dû par l’employeur. Par ailleurs, pour toute annulation moins de 30 jours francs avant le début de la formation, un dédit de 30 % du coût total de la for-mation pourra être exigé par La Clepsydre à titre d’indemnité forfaitaire. • La Clepsydre se réserve le droit exceptionnel d’annuler ou de reporter une formation notamment si le nombre de participants est insuffisant pour garantir la qualité pédagogique requise. Dans ce cas, La Clepsydre s’engage à prévenir le participant par écrit au plus tard 7 jours avant le début de la formation et de proposer une inscription prioritaire du participant sur la prochaine session de la formation concernée. Sinon, sur simple demande de l’employeur, l’intégralité des frais indûment perçus lui sera immédiatement remboursée.

Propriété intellectuelle • Il est strictement interdit d’enregistrer les formations sous quelque forme que ce soit et de dupliquer les programmes ou les supports originaux remis aux participants sans mentionner leur origine.• De la même façon, toute reproduction totale ou partielle de ce catalogue est interdite.

Confidentialité des données personnelles• Conformément aux dispositions de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, La Clepsydre garantit aux participants un droit d’accès, de rectification et de suppression des données les concernant. Aucune information à caractère personnel ne sera cédée à des tiers sans leur autorisation préalable.

Droit applicable et attribution de compétences• Les présentes conditions générales de vente sont exclusivement soumises à la loi française. Tout litige qui ne pourra être réglé à l’amiable sera de la compétence exclusive du tribunal de Commerce de Paris.

conditions générales

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calendrier et Horaires 2012/2013

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lieu

Les formations ont lieu dans les locaux de La Clepsydre sis 33, rue Bouret, 75019 PARIS.

nous contacter

Arrêts Jaurès, Stalingrad, ou Bolivar

26 - Marché Secrétan 48 - Jaurès54 - Quai de la Seine, Stalingrad

33

Gare du Nord, Gare de l’Est

contact

Nous sommes à votre disposition du lundi au vendredi de 9h à 19h et le samedi de 9h à 14h.

Vous pouvez nous contacter aux horaires ci-dessus par téléphone : 01 40 21 39 57, par fax : 01 40 21 39 30

et par mail : [email protected]

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notes

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