PROGRAMME DES COLLECTIVITÉS FORESTIÈRES … LE BOURDON 2009-2010.pdf · Le rapport annuel 2009-2010 couvre la période du 1er avril 2009 au 31 mars 2010. Sans ... Plan stratégique

PROGRAMME DES COLLECTIVITÉS FORESTIÈRES

RESSOURCES NATURELLES CANADA

SERVICE CANADIEN DES FORÊTS

RAPPORT ANNUEL 2009-2010

LE 30 OCTOBRE 2010

TABLE DES MATIÈRES

RAPPORT 2009-2010 DU PRÉSIDENT ............................................................................1

RAPPORT 2009-2010 DU COMITÉ DE MISE EN ŒUVRE.....................................................3

FAITS SAILLANTS.......................................................................................................4

RAPPORTS DE PROJETS...............................................................................................6

PROGRÈS FACE AUX RÉSULTATS ATTENDUS ................................................................64

RAPPORTS FINANCIERS ............................................................................................73

LISTE DU PERSONNEL, COLLABORATEURS ET PARTENAIRES..........................................78

LISTE DES TABLEAUX

TABLEAU 1 MESURE DE PERFORMANCE-PROJETS VERSUS RÉSULTATS IMMÉDIATS........65

TABLEAU 2 MESURE DE PERFORMANCE-PROJETS VERSUS RÉSULTATS INTERMÉDIAIRES69

TABLEAU 3 SOMMAIRE DES CONTRIBUTIONS ET DES DÉPENSES 2009-2010.................74

TABLEAU 4 LISTE DES CONTRIBUTEURS ET MONTANT DE LEUR CONTRIBUTION ($).......76

TABLEAU 5 SOMMAIRE DES DÉPENSES RÉELLES AU 31 MARS 2010 ET PRÉVUES EN

2010-2011 ..........................................................................................77

LISTE DES ANNEXES

ANNEXE 1 - MODÈLE LOGIQUE..................................................................................83

ANNEXE 2 - LISTE DES ACRONYMES ..........................................................................85

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RAPPORT 2009-2010 DU PRÉSIDENT

Avant même que ne débutent les premières activités du Projet Le Bourdon, les intendants de territoire de l’UAF 064-51 et leurs partenaires socio-économiques s’étaient dotés d’une vision stratégique dans laquelle tous se voyaient engager activement dans une démarche visant à développer des activités économiques basées sur les richesses du milieu naturel. Vision audacieuse. Surtout au moment où le gouvernement a entrepris d’adopter une loi qui modifiera en profondeur le régime forestier applicable en forêt publique et dans le contexte d’une crise forestière qui n’en finit plus de finir. Acquérir des connaissances, expérimenter de nouvelles approches, développer des outils, identifier, documenter et entreprendre des discussions concernant les valeurs, les enjeux et les objectifs d’aménagement durable des forêts pour l’UAF 064-51, voilà à quoi se sont consacrés plusieurs de nos membres durant la dernière saison d’activités du Projet Le Bourdon. Ces activités ont certainement contribué au développement d’un langage commun, une première étape à franchir afin de créer une synergie entre les acteurs.

La Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier, adoptée le 18 mars 2010, vient mettre en place un nouveau régime forestier. Les premiers effets de ce changement n’ont pas tardé à se faire sentir pour notre Projet. Le responsable du Projet Le Bourdon à la direction générale régionale de Laval-Lanaudière-Laurentides du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF), M. Georges Laferrière, annonçait, au cours du mois de mars 2010, que le ministère se retirait du Projet. M. Laferrière a indiqué que le MRNF considérait dorénavant la Commission régionale des ressources naturelles et du territoire des Laurentides (CRNTL) comme son seul interlocuteur en matière d’orientations, d’objectifs et de cibles régionaux liés à la conservation ou à la mise en valeur de la faune, de la forêt et du territoire. Il a par ailleurs invité le Projet Le Bourdon à se rapprocher de la CRNTL qui doit produire le Plan régional de développement intégré des ressources et du territoire (PRDIRT).

En 2007, dans un contexte où la responsabilité de la planification forestière relevait des bénéficiaires de Contrat d’aménagement et d’approvisionnement forestier, il fut décidé d’élaborer une stratégie intégrée d’aménagement forestier 2013-2018 pour ce territoire en vue de la proposer au Forestier en chef pour son calcul de possibilité forestière. Dorénavant avec la nouvelle loi, ce mandat est confié au MRNF qui devra planifier les interventions forestières pour la période 2013-2018. De plus, la CRNTL a également été désignée pour mettre sur pied les Tables locales de gestion intégrée des ressources et du territoire (TGIRT). Formées des personnes et organismes concernés par les activités d’aménagement forestier planifiées, les TGIRT visent à assurer une prise en compte de leurs intérêts et de leurs préoccupations, de fixer des objectifs locaux d’aménagement durable des forêts et de convenir des mesures d’harmonisation des usages. Ces comités seront consultés sur le contenu des plans d’aménagement forestier intégré. Plusieurs outils développés jusqu’à présent dans le cadre du Projet Le Bourdon pourront être utiles lors des discussions touchant la gestion intégrée des ressources et du territoire.

Il faudra certainement revoir la démarche du Projet Le Bourdon dans le contexte de l’application de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier. Nos travaux devront continuer à enrichir notre vision commune et collective de la mise en valeur optimale des ressources et de la maximisation des retombées économiques pour nos collectivités. C’est un des éléments qui, à l’origine du Projet, a suscité notre intérêt à travailler ensemble.

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Vous trouverez dans les pages qui suivent les faits saillants de la saison d’activités 2009-2010, les fiches synthèses de tous les projets réalisés résumant leurs résultantes, une description des progrès accomplis face aux résultats attendus et les détails concernant les rapports financiers.

Nous tenons à remercier Ressources naturelles Canada de la contribution financière mise à notre disposition pour la réalisation des activités du Projet Le Bourdon et du support offert par le Service canadien des forêts dans le cadre du Programme des collectivités forestières (PCF). Nous sommes également très reconnaissants envers les nombreux autres contributeurs financiers qui ont appuyé les projets inscrits dans notre programmation. Il me faut aussi souligner la contribution en biens et services des membres qui ont encore une fois accepté de donner bénévolement leur temps pour faire progresser nos travaux.

Finalement, nous remercions toutes les personnes qui ont contribué de près ou de loin aux résultats des travaux ainsi que tous les membres du Comité de mise en œuvre pour leur disponibilité afin d’assurer le bon fonctionnement du Projet et le suivi de la progression des travaux.

Au mois de mars 2009, la Table de concertation du territoire forestier public des Hautes-Laurentides (TCTFPHL) a été dissoute suite à la conclusion du Programme de partenariat régional. M. Jocelyn Séguin, représentant de la TCTFPHL, siégeant au Conseil de gestion du Projet Le Bourdon, a accepté de poursuivre son mandat à la présidence jusqu’au mois d’octobre 2009. Nous lui transmettons nos sincères remerciements pour sa précieuse contribution.

Denis Morin Président

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RAPPORT 2009-2010 DU COMITÉ DE MISE EN ŒUVRE

Au cours de la période se terminant le 31 mars 2010, le Comité de mise en œuvre (CMEO) s’est réuni 7 fois. Les budgets en provenance de trois différentes sources de contribution ont été suivis à chaque rencontre du comité, soit ceux des fonds provenant du Programme des collectivités forestières, de la Table de concertation du territoire forestier public des Hautes-Laurentides et du Volet II attribué à l’Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides. Selon le besoin, le plan de travail et le budget du Projet ont été ajustés afin de tenir compte, entre autres, de l’acceptation de six nouveaux projets et de l’abandon 9 projets originalement inclus.

Au mois de mai 2009, une proposition a été soumise au Comité de mise en œuvre afin d’améliorer le fonctionnement administratif et la gestion du Projet Le Bourdon. Le nouveau processus proposé pour l’élaboration de la planification annuelle, le suivi des activités et la production du rapport annuel a été adopté. Ainsi, une nouvelle procédure a été mise en application pour la présentation et la sélection des projets en vue de l’élaboration du plan annuel de travail. Un nouvel organigramme de gouvernance a été discuté. Le Comité de mise en œuvre a recommandé au Conseil de gestion que le poste de « chargé de projet » soit remplacé par celui de « directeur général » compte tenu de l’ampleur des activités du Projet Le Bourdon et la nécessité d’impliquer à plein temps un responsable pour la coordination des projets. Lors de la rencontre du Conseil de gestion du 7 octobre 2009, cette recommandation a été retenue et conséquemment le règlement administratif a été modifié. M. Raymond Barrette a été nommé directeur général du Projet Le Bourdon. Le directeur général de la Commission des ressources naturelles et du territoire (CRNTL), M. Jacques Supper, a été invité à siéger à titre de personne-ressource au Comité vu l’importance d’arrimer les travaux du Projet Le Bourdon et ceux de la CRNTL.

La modification du régime forestier a retenu l’attention du CMEO compte tenu des impacts appréhendés de la Loi 57 sur la démarche et les activités du Projet. Des informations concernant les activités du Réseau canadien des forêts modèles ont été communiquées aux membres du CMEO. Le CMEO a recommandé au Conseil de gestion l’adoption du rapport annuel 2008-2009, a déterminé les orientations et sélectionné les projets pour les activités 2010-2011.

Au cours de la période du 1er avril 2009 au 31 mars 2010, les personnes suivantes ont siégé au Comité de mise en œuvre :

M. Ghislain Clavel Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

M. François Lapalme Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

M. Yves Latour Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

M. Denis Morin Association des pourvoiries des Laurentides

M. Benoit Bisaillon Centre de formation professionnelle de Mont-Laurier

M. Gaétan Lefebvre Centre local de développement d’Antoine-Labelle

M. Pierre-Paul Niquay Conseil des Atikamekw de Manawan

M. Jean-Marc Bélanger Régionale des Zecs des Hautes-Laurentides

M. Jocelyn Séguin Table de concertation du territoire forestier public des Hautes-Laurentides

Mme Mélissa Thibault Table Forêt Laurentides

M. Sébastien Bergeron Table Forêt Laurentides

M. Jocelyn Séguin a agi à titre de président jusqu’au 7 octobre 2009. M. Denis Morin l’a remplacé à ce poste à compter de cette date et M. Ghislain Clavel a siégé comme vice-président du Projet Le Bourdon.

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FAITS SAILLANTS

Le rapport annuel 2009-2010 couvre la période du 1er avril 2009 au 31 mars 2010. Sans compter les activités de gestion et d’administration du Projet Le Bourdon, 26 projets ont produit des résultats intéressants touchant ces 4 grands domaines d’activités, soit 1) Acquisition de connaissances, développement d'outils et expérimentation de nouvelles approches 2) Plan stratégique intégré (PSIM) et stratégies d'aménagement forestier 3) Développement des partenariats et des opportunités d'affaires et 4) Communication, transfert des acquis et des connaissances et formation des travailleurs. De ce nombre, une dizaine de projets qualifiés de «multiphases» se poursuivent en 2010-2011.

La situation économique dans la MRC d’Antoine-Labelle s’est plutôt détériorée durant cette période. En effet, au 31 mars 2010, les trois usines de résineux des Laurentides étaient fermées. Deux d’entre elles étaient sous la protection de la Loi sur les faillites et la troisième faisait face à de sérieux problèmes financiers la menaçant de fermeture définitive. Les autres usines de sciage, présentes sur le territoire, fonctionnaient au ralenti ou étaient sur le point de fermer temporairement. Mis à part les travaux sylvicoles non commerciaux (reboisement, débroussaillage, éclaircies, etc.) qui ont permis à plusieurs ouvriers saisonniers de retourner au travail, les activités d’aménagement et d’approvisionnement forestier, effectuées en forêt, ont été réduites de beaucoup. Les pertes d’emplois se répercutent au-delà des travailleurs en forêt et en usine touchant le secteur du transport et des commerces au détail. Plusieurs travailleurs sont d’ailleurs sur le point d’épuiser leurs prestations d’assurance-emploi.

Le gouvernement du Québec a finalement adopté la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier, le 18 mars 2010. Celle-ci modifie en profondeur le fonctionnement du régime forestier spécifiant, entre autres, que la gestion intégrée et régionalisée des ressources et du territoire forestier sera favorisée. Les partenaires du Projet Le Bourdon ont été inspirés d’une vision de l’avenir somme toute assez réaliste lorsqu’ils ont décidé en 2007 d’entreprendre une démarche de concertation afin d’intégrer les préoccupations des intendants de territoire de l’UAF 064-51 dans la stratégie d’aménagement forestier. Cependant, la planification des interventions forestières ne relèvera plus des bénéficiaires de Contrat d’aménagement et d’approvisionnement forestier (CAAF) pour la période débutant le 1er avril 2013. Le Projet Le Bourdon doit maintenant s’assurer que sa démarche s’adapte à ce nouveau contexte.

La direction générale régionale du MRNF des Laurentides a annoncé que le ministère ne participera plus aux travaux du Projet Le Bourdon. Le représentant de la direction générale régionale a cependant invité le Projet Le Bourdon à se rapprocher de la Commission des ressources naturelles et du territoire des Laurentides (CRNTL) compte tenu du rôle qu’elle est appelée à jouer avec la mise en place du nouveau régime forestier. La CRNTL élabore le Plan régional de développement intégré des ressources et du territoire dans lequel seront identifiés les orientations et les objectifs d’aménagement durable des forêts pour l’ensemble du territoire des Laurentides. Elle est aussi responsable de la mise sur pied et du fonctionnement des tables de gestion intégrée des ressources et du territoire. Il apparaît important d’identifier avec la Commission régionale des ressources naturelles et du territoire des Laurentides les éléments d’intérêt pouvant servir à enrichir les travaux concernant les objectifs locaux d’aménagement durable des forêts et ceux touchant la gestion intégrée des ressources et du territoire dans la région. Dans l’attente de clarifier ces éléments, les travaux visant à élaborer une stratégie intégrée d’aménagement forestier pour l’UAF 064-51, à l’aide des logiciels Woodstock-Stanley, ont été suspendus.

Les travaux réalisés jusqu’à présent par le Projet Le Bourdon sont innovateurs. Quelques-uns des résultats de ces travaux ont été utiles à la CRNTL pour l’identification des enjeux

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écologiques. Les nouveaux outils développés peuvent également servir lors des discussions touchant la gestion intégrée des ressources et du territoire. Le Bureau du Forestier en chef s’y intéresse d’ailleurs. De plus, dans le cadre de la démarche entreprise par plusieurs bénéficiaires de CAAF de l’UAF 064-51 en vue d’obtenir un certificat d’aménagement forestier sous la norme Forest Stewardship Council (FSC), des échanges d’information avec le Projet se sont effectués sur une base régulière de sorte que chacun a pu enrichir sa démarche grâce aux avancés de l’autre. Cette collaboration revêt effectivement une certaine importance compte tenu que plusieurs critères et indicateurs du FSC recoupent les enjeux et objectifs consensuels identifiés à la suite des travaux du Projet Le Bourdon.

Au total, la réalisation des projets 2009-2010 a entraîné des dépenses s’élevant à 788 527 $. Le montant de l’aide financière provenant du Programme des collectivités forestières (PCF) a atteint 323 154 $. Les contributions de plusieurs autres bailleurs de fonds, s’élevant à 377 518 $, ont permis de compléter le montage financier des projets. Le nom de tous les autres organismes ayant contribué au projet est précisé dans la partie financière de ce rapport. La contribution en biens et services des membres, également considérée comme un apport important pour la réalisation des activités du Projet, a été estimée à 87 855 $.

Soulignons en terminant que la Table de concertation du territoire forestier public des Hautes-Laurentides a été dissoute au printemps 2009. Au total, le Projet Le Bourdon a perdu deux membres et partenaires au cours de la dernière année.

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RAPPORTS DE PROJETS

Pour chacun des projets réalisés, au cours de la saison 2009-2010, une fiche - rapport a été préparée afin de décrire brièvement les activités et les résultats obtenus. Ces fiches se retrouvent dans les pages suivantes. Les rapports complets des projets sont accessibles sur le site du Projet Le Bourdon http://notreforet.ca/projetlebourdon.aspx.

Le modèle logique joint à l’annexe 1 est la présentation graphique de la synthèse des résultats immédiats, intermédiaires et à long terme en lien avec les intrants, les activités et les extrants du Projet Le Bourdon, tel que prévu au Plan stratégique 2007-2012. Un numéro, débutant par une centaine différente, a été attribué à chacun des domaines d’activités (100, 200, 300, 400 et 500). Les extrants produits par les activités d’un domaine donné portent un numéro débutant par la centaine associée à ce domaine particulier (101, 102,… 201, 202,… etc.) Les liens entre les activités, les extrants et les résultats sont identifiés par les numéros spécifiques attribués aux extrants dans chacune des fiches synthèses des activités qui suivent. Il est ainsi possible de lier une activité ou un projet à un domaine, à des extrants et à des résultats immédiats, intermédiaires et à long terme.

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PROJET LE BOURDON RAPPORT 2009-2010

NNoo.. ddee pprroojjeett :: 2009_101 HHoorriizzoonn 2007-2010

SSttaattuutt Complété X Raison

Non complété

TTiittrree dduu PPrroojjeett

Portrait historique des interventions anthropiques et des perturbations naturelles

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) CFHL – Service de l’innovation et de l’expérimentation

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Pascal Gauthier, Frédérik Doyon

DDeessccrriippttiioonn

BBuutt dduu pprroojjeett

Ce projet vise à documenter l'évolution des forêts suite à des perturbations anthropiques et naturelles en vue de permettre:

� D'identifier des balises écologiques pour un aménagement écosystémique dans l'UAF 064-51;

� De caractériser les trajectoires de la succession de la végétation après perturbations afin de préciser les strates de retour lors de la planification stratégique de ce territoire;

� Au niveau opérationnel, de réaliser de meilleures prescriptions sylvicoles grâce à la connaissance de l'historique forestière.

LLiieenn aavveecc mmooddèèllee llooggiiqquuee 101

LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport

RRééaalliissaattiioonnss

Cette étude dresse un bilan de l’évolution du paysage forestier de quatre secteurs de 100 km² situés dans l’UAF 64-51.

Les résultats montrent que le paysage de l’UAF 64-51 a été fortement modifié par l’homme depuis les débuts de l’industrialisation. La forme de coupe la plus répandue a été la coupe partielle, et cela à toutes les périodes. Conséquemment, le paysage a fortement changé en composition depuis 1930.

La composition forestière a été abordée selon trois niveaux hiérarchiques : types de composition, sous types de composition et essences. L’âge et la densité ont, quant à eux, servi à définir la structure de la forêt.

En 1930, l’UAF était dominée par les peuplements mixtes et la présence de jeunes peuplements, dont beaucoup étaient issus des feux de 1922-1923. Au cours des 30 années subséquentes, un enfeuillement massif s’est produit, avec un gain en peuplements de feuillus tolérants au détriment des peuplements mixtes.

De 1960 à 2000, nos résultats montrent que ce premier type d’enfeuillement s’est poursuivi, voire accentué. Il s’est alors accompagné d’un deuxième type d’enfeuillement, soit des peuplements de feuillus intolérants. Cette augmentation a été causée par le vieillissement des jeunes peuplements et la transformation des sapinières. Les épidémies de 1940 et de 1970 de la tordeuse des bourgeons de l’épinette ont aussi contribué à réduire la densité moyenne des peuplements. Cependant, la quantité de perturbations naturelles et anthropiques ayant diminué de près de la moitié durant la dernière période, un effet de boisement a contrebalancé la diminution de la densité durant cette période et engendré un vieillissement considérable des

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peuplements.

Malgré des différences latitudinales associées à la composition des paysages, plusieurs des changements observés se reproduisent similairement dans le temps. Cette constatation laisse supposer que les mêmes forces de changements ont eu cours dans tous ces paysages incluant les méthodes de récolte.

La quantification de l’évolution de la végétation forestière, induit par l’exploitation de la forêt dans l’UAF 64-51, et l’identification des facteurs responsables de ces changements donnent aux aménagistes des connaissances utiles pour la réalisation d’un aménagement écosystémique de ce territoire. Sur la base des constats effectués, des objectifs de restauration écologique pourront être établis dans le cadre des orientations d’aménagement écosystémique. Ceux-ci viseront à redresser la composition et la structure des écosystèmes forestiers tout en permettant d’utiliser ses ressources de façon durable.

DDÉÉPPEENNSSEESS EETT CCOONNTTRRIIBBUUTTIIOONNSS

Sources de fonds MONTANT ($) BIENS ET SERVICES ($) TOTAL ($)

MNRF Volet I 10 201 $ 10 201 $

Total 10 201 $

Dépenses

Réalisation des activités 10 201 $ 10 201 $

Total 10 201 $ 10 201 $

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SSttaattuutt Complété Raison

Non complété X Multiphases


Établissement d'un réseau de veille faunique stratégique

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Association des pourvoiries des Laurentides

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Jonathan Leblond �



Établir un réseau de veille faunique stratégique à partir des principaux indicateurs fauniques afin de détecter des problématiques éventuelles associées à l'exploitation et à la mise en valeur de la faune en pourvoirie dans un contexte où les habitats sont modifiés par des travaux forestiers.

LLiieenn aavveecc mmooddèèllee llooggiiqquuee 102 - 109

LLiivvrraabbllee((ss)) Plan de travail détaillé (2008), rapports d'activités (2008, 2009, 2010), rapport final (2011) �


Le projet de veille faunique stratégique se veut un projet visant à faciliter la prise de données sur l’état des populations des principales espèces fauniques exploitées en pourvoiries dans le but de permettre aux gestionnaires de ces territoires de détecter les premiers symptômes indicateurs d’un problème potentiel associé à leur stratégie de gestion ou à l’état des populations fauniques. À terme, ce projet permettra d’obtenir une prise de données structurée et uniforme pour tous les intendants de territoire et facilitera l’interprétation de ces données et la gestion des ressources halieutiques, surtout, en favorisant la détection des premiers signes d’un problème sur un plan d’eau. Ces mesures permettent de poser les correctifs appropriés à un problème avant que ce dernier ne s’aggrave et que de lourdes pertes (économiques et fauniques) n’affectent les pourvoiries et la région. Cette stratégie se doit d’être simple tout en permettant l’atteinte des objectifs. Par la prise de mesures biologiques simples (ex : masse moyenne des poissons capturés, nombre, etc.) il est possible de déterminer, à moyen et long terme, l’état des populations exploitées. Cet outil de gestion simple permet donc de suivre l’évolution temporelle de la qualité des ressources sur un plan d’eau donné. Ce projet devient essentiel dans une perspective de développement régional durable, puisqu’une ressource en santé est gage d’une entreprise en santé et d’un développement économique régional sain.

En 2009, environ 40 diagnoses de lacs ont été réalisées sur une dizaine de pourvoiries. Ces diagnoses avaient pour but de pousser plus loin l’analyse des problématiques rencontrées à la suite des analyses de statistiques de pêche. Plusieurs recommandations ont été remises aux pourvoyeurs et ils ont tous été fortement encouragés de continuer à prendre les données de statistiques biologiques (masse et nombre des prises) sur leur territoire. En 2009, près de 500 questionnaires associés à l’exploitation des lacs nous ont été remis et la très grande majorité des poissons capturés ont été pesés (plus de 80 %). Ceci témoigne donc de l’intérêt des pourvoyeurs et de leur clientèle à contribuer à une bonne gestion des ressources présentes sur le territoire. Nous avons montré que des données biologiques, combinées aux statistiques de pêche, permettent d’obtenir le son de cloche nécessaire pour détecter un problème potentiel. Il nous reste

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à continuer d’encourager les pourvoyeurs à participer et à récolter les données pour confirmer nos résultats préliminaires et ainsi être en mesure de suivre l’évolution de la qualité de la ressource, suite aux changements apportés, sur une base de moyen à long terme. Au terme de ce projet, les pourvoyeurs auront un système rigoureux et structuré de prise de données qui leur permettront d’être à l’avant-garde des problèmes pouvant survenir sur leur territoire. Ils pourront ensuite avoir recours à des professionnels dans le domaine afin d’obtenir une analyse plus poussée de la problématique et avoir les recommandations adéquates et adaptées à chacun des problèmes rencontrés.

Pour la suite du projet, une formation sera donnée aux pourvoyeurs afin qu’ils puissent eux même reconnaître et aménager des habitats favorisant la reproduction de certaines espèces hautement recherchées par leur clientèle, de l’omble de fontaine. Cette étape est importante et favorise le maintien et l’augmentation de la productivité des plans d’eau tout en favorisant, par le fait même, le développement des pourvoiries et de la région. Évidemment, nous continuerons de faire le suivi des populations fauniques à l’aide des questionnaires et continuerons de sensibiliser les pourvoyeurs à les remplir le plus assidûment possible. Cette étape se fera, entre autres, en colligeant les données déjà récoltés et en présentant les résultats obtenus et anticipés aux pourvoyeurs. Finalement, il sera essentiel d’intégrer les effets des autres activités anthropiques (création de pont, ponceaux, coupe forestière, etc.) sur l’état de santé des populations de poissons et de leur habitat.



PFC 28 500 $ 28 500 $

Pourvoirie 5 196 $ 5 196 $

Volet II 5 000 $ 5 000 $

FFQ 4 000 $ 4 000 $

FPQs 450 $ 450 $

APL 4 715 $ 4 715 $

Total 42 696 $ 5 165 $ 47 861 $

Dépenses

Analyse de lacs 36 039 $ 36 039 $

Déplacements 1 964 $ 1 964 $

Achat de matériel 2 443 $ 2 443 $

Supervision 2 250 $ 450 $ 2 700 $

Prêt de matériel, hébergement, repas 2 875 $ 2 875 $

Temps des gestionnaires de pourvoiries 1 840 $ 1 840 $

Total 42 696 $ 5 165 $ 47 861 $

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Non complété X Abandonné


Établissement du bilan annuel de l’expérimentation du mode de gestion par objectifs


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Marie-Anne St-Amour



Compiler les indicateurs définis dans le cadre du projet expérimentation opérationnelle d’un mode de gestion par objectifs.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport 3e année et synthèse globale du projet


Aucun travail n’a été réalisé, la demande d’aide financière n’ayant pas été acceptée.

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SSttaattuutt Complété x Raison

Non complété


Utilisation d’outils d’aide à la décision en vue de l’élaboration de différents scénarios de stratégie intégrée d’aménagement forestier et de l’analyse de leurs effets sur la qualité de certains habitats fauniques


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Pascal Gauthier, Éric Lussier



Les travaux du groupe de travail portant sur les objectifs des intendants de territoire auront permis d'identifier les différents enjeux par consensus. Certains de ces objectifs devront être traduits en stratégies d'aménagement forestier en vue d'être intégrées dans les calculs de possibilité forestière 2013-2018 du FEC. Pour un objectif donné, on cherchera à identifier la stratégie d'aménagement forestier qui entraînera l'impact le moins important sur la possibilité forestière.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport et BAP Tool Box adapté à la 064-51


Des outils d’aide à la décision ont été développés suite à l’identification de différents enjeux. Ces outils permettent l’analyse et la comparaison de diverses variables suite aux simulations de différents scénarios réalisés dans le logiciel Woodstock. Certaines de ces analyses et méthodologies développées permettent également de répondre à certains principes et critères nécessaires à l’obtention de la certification FSC. Les analyses réalisées dans le cadre de ce projet traitent du calcul des aires équivalentes de coupe, du coût relié à la dispersion des chantiers de récolte, le maintien des modalités particulières s’appliquant aux paysages sensibles, de l’habitat des espèces fauniques, de la représentativité des classes de hauteur dans les territoires structurés et finalement de la forêt d’intérieur et de la fragmentation du couvert forestier.

Les principales conclusions sont les suivantes :

� Les analyses a posteriori permettent de quantifier l’impact des différents scénarios sur des indicateurs économiques et de biodiversité.

� La seule différence significative entre les scénarios se trouve au niveau des coûts de dispersion. Les scénarios avec la CMCD avec éligibilité accrue ont comme résultat un plus faible coût et le scénario spatial « Écono » diminue encore ces coûts.

� En fonction des analyses effectuées, les scénarios de récolte utilisés ne modifieraient pas significativement les valeurs associées au territoire par rapport à la situation actuelle (aire équivalente de coupe, maintien des paysages sensibles, forêt d’intérieur).

De nombreuses connaissances ont été acquises tout au long du projet, notamment au sujet de

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l’impact de l’aménagement forestier sur le milieu environnant. Il a donc été possible de mesurer l’impact de scénarios de récolte variés sur une multitude d’indicateurs reliés à la biodiversité, que ce soit la proportion de forêt d’intérieur par sous-bassins versants ou les aires équivalentes de coupe, l’abri d’hiver pour l’orignal ou reliés à des notions plus économiques telles que les coûts reliés à la dispersion des chantiers de récolte.



PCF 31 152 $ 31 152 $

Volet II 5 740 $ 5 740 $

CRNTL 2 700 $ 2 700 $

Total 36 892 $ 2 700 $ 39 592 $

Dépenses


Licence logiciel Stanley 2 235 $ 2 235 $

Licences logiciel Woodstock 2 700 $ 2 700 $

Total 36 892 $ 2 700 $ 39 592 $

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PPPRRROOOJJJEEETTT LLLEEE BBBOOOUUURRRDDDOOONNN

RRRAAAPPPPPPOOORRRTTT 222000000999---222000111000



Non complété x Modification du budget


Inventaire des ponceaux des pourvoiries


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Jonathan Leblond



Compléter l'inventaire des ponceaux des principaux chemins et sensibiliser les gestionnaires des pourvoiries au niveau de l'entretien du réseau routier. En combinant cet inventaire avec celui déjà réalisé dans les ZEC, en ajoutant l'information relative aux sections de chemins qui se trouvent en pourvoirie dans le but de mieux planifier l'entretien et de prévoir à l'avance les ressources nécessaires pour maintenir l'ensemble du réseau routier stratégique pour l'industrie récréotouristique, en bon état, à long terme.

LLiieenn aavveecc mmooddèèllee llooggiiqquuee 101 – 102 - 105

LLiivvrraabbllee((ss)) Portrait, Shapes, cartographie, rapport


La première phase du projet a permis de créer un portrait des problématiques rencontrées par les pourvoyeurs sur les tronçons importants du réseau routier au sein de leur territoire respectif.

La seconde phase devait servir à compléter la caractérisation du territoire. Les budgets ayant été modifiés, le projet 2009-128 a plutôt permis de fournir, avec l’aide du MRNF et du COBALI, une formation adéquate aux pourvoyeurs et à leurs employés sur les saines pratiques lors de l’installation d’infrastructures.

Des visites de sites problématiques ont été effectuées et des sessions de formation ont été données concernant la problématique des barrages de castors, l’importance d’avoir un bon réseau de drainage ainsi que l’installation de ponceaux circulaires et de ponceaux de bois.

100% des pourvoiries ayant reçu de l’APL une caractérisation de leurs tronçons principaux, ont participé à au moins une journée de formation comparativement à un taux de 50 % pour les pourvoyeurs n’ayant aucun portrait de leur territoire.

Cet outil de se révèle donc d’une importance capitale dans la conscientisation des pourvoyeurs à la problématique et aux coûts engendrés par un réseau routier défaillant.

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PFC 2 000 $ 2 000 $

FFQ 6 235 $ 6 235 $

APL 1 800 $ 1 800 $

Total 8 235 $ 1 800 $ 10 035 $

Dépenses Formation 8 235 $ 8 235 $ Gestion 1 800 $ 1 800 $

Total 8 125 $ 1 800 $ 10 035 $

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Évaluation de la performance et de l’atteinte des objectifs des mesures d’harmonisation

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Association des pourvoyeurs des Laurentides




Dans l’optique de la gestion par objectifs, l’Association des pourvoiries des Laurentides (APL) désire valider l’efficacité des différentes mesures d’harmonisation par rapport à leurs objectifs de départ et potentiellement obtenir des indicateurs de satisfaction de la clientèle ou du pourvoyeur pour diverses modalités d’intervention effectuées par le passé. Le projet s’emboîte très bien dans la GPO puisque la satisfaction de la clientèle est l’objectif premier des pourvoyeurs. Il importe pour les pourvoiries de poursuivre dans l’approche client.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport mesurant l’efficacité de différentes mesures d’harmonisation des usages par rapport à l’objectif fixé. Photos, cartographie, données de satisfaction à l’appui.



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Non complété


EPC faunique (détourage)


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Émilie Allard



Analyser et documenter les exigences du septième OPMV en fonction d’UTR typique du territoire de l’unité d’aménagement 064-51, puis déterminer en quoi le détourage permettrait d’atteindre ces objectifs.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport d’analyse et de consultation


Ce traitement vise à sélectionner entre 400 et 600 tiges de belle qualité pour les éclaircir sur un rayon de 1,5 m autour de la tige et laisse intact le reste du peuplement. Il préserve ainsi une partie de la biodiversité inhérente à ce type de peuplement. Un traitement similaire ainsi que des inventaires fauniques ont été réalisés dans la ZEC Boullé dans Lanaudière. Leurs résultats indiquent que les lièvres et les gélinottes fréquenteraient davantage le traitement alternatif que l’EPC conventionnelle.

Une comparaison de trois différents scénarios à l’aide d’un guide de gestion de la densité a été effectuée afin de mieux comprendre les différences entre les traitements. Il s’avère que l’EPC conventionnelle a la valeur actualisée nette (VAN) la plus élevée alors que le témoin a le taux de rendement interne (TRI) le plus élevé puisqu’aucune dépense initiale n’est nécessaire. En termes de valeur nette, l’EPC par puits de lumière se situe entre les deux scénarios, l’EPC conventionnelle étant la plus élevée. Compte tenu de la présence plus importante des feuillus qui diminue le rendement dans l’EPC par puits de lumière, des options alternatives à ce traitement ont été testées afin de mieux concurrencer l’EPC conventionnelle La meilleure de ces options consisterait en la sélection de 450 tiges résineuses. Toutefois, d’autres essais sur le terrain seraient nécessaires pour valider la faisabilité d’un tel traitement et s’il constitue effectivement la meilleure option.

En conclusion, il est possible de dire qu’un traitement alternatif à l’EPC conventionnelle comme l’EPC par puits de lumière permet de mieux conserver la biodiversité associée aux peuplements jeunes et denses. C’est aussi un traitement qui peut rivaliser avec l’EPC conventionnelle sous certaines conditions. Il permettrait de traiter des superficies qui normalement ne seraient pas traitées en raison de la biodiversité à conserver et de l’OPMV 7. Il permet notamment de diminuer l’impact sur la faune, attribué à l’EPC conventionnelle tout en maintenant un rendement théorique similaire sous certaines modalités.

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PCF 7 496 $ 7 496 $

Total 7 496 $ 7 496 $

Dépenses Documentation et consultation des intervenants 5 000 $ 5 000 $ Analyse et rapport 2 496 $ 2 496 $

Total 7 496 $ 7 496 $

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Non complété


Historique de la carte forestière UAF 064-51 provenant des cartes de MacLaren


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Émilie Allard



Poursuivre et approfondir les analyses du territoire en fonction des perturbations naturelles, notamment les feux de forêt, à partir des données des cartes forestières en format papier de MacLaren depuis le début du 20e siècle (1900) et des tesselles du système SIFORT du MRNF (données du 1er, 2e, 3e et 4e décennal).


LLiivvrraabbllee((ss)) Fichier informatique, base de données et rapport.


Les résultats indiquent un important problème d’enfeuillement présent sur l’ensemble du territoire, provenant à la fois d’une augmentation des feuillus que d’une diminution des résineux. Or, cet enfeuillement n’est pas seulement attribuable aux coupes forestières puisque la situation est également observée dans les forêts n’ayant jamais eu de perturbations humaines. Cependant, dans certains cas, les interventions humaines ont amplifié le phénomène d’enfeuillement par rapport aux perturbations naturelles, d’où la nécessité d’établir un enjeu. Ainsi, en s’inspirant des changements apportés par les différentes perturbations naturelles, nous avons établi des enjeux pour l’augmentation des FT, MFIF, MFTF et la diminution des MFTR et R dans l’érablière à bouleau jaune et pour l’augmentation des FT et la diminution des MFIR dans la sapinière à bouleau jaune. Les changements observés n’étaient pas suffisamment importants dans la sapinière à bouleau blanc pour en faire un enjeu.

La situation n’est pas problématique en ce qui concerne la quantité globale de vieilles forêts. Entre la période Maclaren et le 4e décennal, on observe une augmentation de cette quantité. Cependant, pour l’ensemble des régions, on observe un changement important en terme de la composition des vieilles forêts. Ainsi, il y a une diminution de la quantité de forêts mûres et surannées résineuses ou à dominance résineuse. À l’exception de la sapinière à bouleau jaune, un enjeu a été établi, basé sur un seuil historique de forêt surannée des années 1930, pour la quantité de forêts mûres et surannées résineuses. Un enjeu est également suggéré pour les MFTR dans l’érablière à bouleau jaune et la sapinière à bouleau jaune.

Au niveau de l’organisation spatiale des forêts, certains changements ont été constatés entre les deux périodes. Il y aurait une augmentation de la complexité et de la fragmentation selon un gradient latitudinal. Il en est de même pour la comparaison des effets de deux types de perturbations d’origine, les coupes totales et les feux. De façon générale, les coupes totales créent plus de peuplements et ils sont de plus petite taille. Il est cependant difficile de dire si cette

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fragmentation est nuisible pour la biodiversité présente sur le territoire.

Enfin, certaines des espèces fauniques sélectionnées ont vu la qualité de leur habitat varier considérablement à la hausse ou à la baisse, selon le type d’habitat auquel elles sont associées. Ces variations sont fortement reliées aux variations de composition observées précédemment.



PCF 14 099 $ 14 099 $

Total 14 099 $ 14 099 $

Dépenses Recherches archives nationales 780 $ 780 $ Numérisation, analyse et rapport 13 319 $ 13 319 $

Total 14 099 $ 14 099 $

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Non complété


Diagnostic et monitorage de l'expérimentation opérationnelle de la GPO


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Éric Doré-Delisle



Dédier une personne ressource en Gestion Par Objectifs (GPO) afin de s'assurer de la qualité de suivi et de contrôle afin d'obtenir une qualité d'exécution au moins équivalente aux normes en vigueur (instructions relatives).


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport d'exécution


Le temps du moniteur GPO a été consacré, en bonne partie, à des visites terrains lors de l’exécution des travaux prévus par les BCAAF, en mode GPO. Ces travaux sont parmi ceux prévus aux fiches techniques GPO contenues dans le cahier «Projet pilote d’expérimentation opérationnelle d’un mode de gestion par objectifs - Secteur des Hautes-Laurentides». Ces visites terrain ont pris la forme de vérifications techniques qui ont servi à faire les suivis et orienter les activités de formation des individus ainsi qu’à émettre des avis et recommandations au comité GPO. Une formation en classification de qualité de tiges feuillues et martelage Coupe Multi traitements avec Martelage a été donnée aux travailleurs en début de saison par le moniteur GPO et un officier du MRNF. Diverses réunions et rencontres avec les Bénéficiaires de Contrat d’aménagement et d’approvisionnement forestier et le MRNF ont eu lieu afin d’apporter des correctifs et des améliorations aux fiches techniques et aux méthodes GPO.

Un processus de demandes d’actions correctives (DAC) a été élaboré pour les cas qui auraient pu le nécessiter. Cela ne s´est toutefois pas produit. Un seul cas de DAC potentielle s’est présenté. Mais les actions correctives ont été rapidement mises en place par le personnel concerné, avant même qu’une DAC ne soit produite.

Un portail électronique (Base camp) a été créé afin de colliger et transmettre les besoins en formations constatés lors des monitorages GPO. Toutefois, ce portail s’est avéré être très peu utilisé par les personnes concernées. Il a donc été abandonné en cours de route. Le moniteur a continué de produire le fichier Excel dans lequel les constatations du monitorage ont été colligées. La transmission des avis et recommandations s’est faite par courriel aux individus concernés, par téléphone ou en personne.

Chez les entreprises rencontrées, le monitorage a permis de constater que les fiches techniques GPO sont connues, comprises et appliquées de façon conforme, à un niveau très satisfaisant, par les opérateurs, les contremaîtres, les contrôleurs de qualité ainsi que les

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formateurs. La méthode elle-même contribue à la motivation des individus du fait qu’elle les implique considérablement dans les processus de suivis et contrôles. Selon le moniteur, la méthode GPO aura permis aux différents sondeurs terrains impliqués dans les entreprises, d’acquérir davantage de rigueur dans l’exécution de leur inventaire.

Chez les officiers du MRNF rencontrés, les conclusions sont plus difficiles à porter et elles sont plus mitigées. Selon les commentaires recueillis sur le vif, ceux-ci semblent percevoir qu’ils ont plutôt une perte de pouvoir sur le contrôle qu’ils avaient vis-à-vis les suivis des résultats. Les raisons expliquant la position des officiers du MRNF vis-à-vis la GPO sont sans doute plus complexes et pourraient faire l’objet d’une étude et d’un rapport en soi.

Toutefois, même à travers les divergences de points de vue, la GPO et le monitorage GPO ont induit des échanges d’idées, d’opinions et de méthodes entre les individus et entre les organisations impliquées. Ces échanges ont été et continueront d’être bénéfiques, pour l’ensemble de la région et même au-delà.

DÉPENSES ET CONTRIBUTIONS

Aucune dépense n’est imputée à cette activité

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Répertoire des innovations, des essais et des harmonisations en région


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Marie-Anne St-Amour



Recenser les innovations, les essais et les harmonisations qui ont eu lieu sur le territoire par différents intervenants.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport (base de données)



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Non complété


Woodstock réseau routier


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Pascal Gauthier, Éric Lussier



Dans un contexte où le développement futur de l'UAF 64-51 passe inévitablement par le maintien d'un réseau routier adéquat, le modèle Woodstock réseau routier nous permettrait de se doter d'un outil d'aide à la décision tout en intégrant les préoccupations des différents utilisateurs du milieu.

LLiieenn aavveecc mmooddèèllee llooggiiqquuee 106 - 111

LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport et modèle numérique de l’évolution du réseau routier


Compte tenu de la superficie du territoire (10 680 km²), de la quantité de chemins (près de 15 000 km), de leur état, et considérant les besoins des usagers, des choix seront à faire quant à l’entretien du réseau routier afin d’en garantir l’accès. C’est ainsi que le développement d’un premier outil d’aide à la décision s’est imposé.

� Plus de 12 000 km de tronçons routiers sont « Non classifiés ou Sans usage reconnu » Aucun entretien n’y est prévu en fonction des hypothèses de départ. Le modèle simule donc l’entretien sur seulement 16.5 % des chemins de l’UAF 064-51 (2 445 km). Compte tenu de leur importance, une meilleure connaissance de ce type de route permettrait de :

� Mieux prédire la réduction réelle de la densité de chemins sur le territoire.

� Mieux limiter l’accès aux zones de forêt à haute valeur de conservation et aux aires protégées.

� Évaluer s’il est utile de remettre en production forestière ce type de chemins.

� Améliorer les estimations relatives à la connectivité;

� La diminution du budget d’entretien annuel de 4 à 1 million, tout en maximisant le transport forestier, entraîne une baisse de 369 km de chemins praticables (1 124 km contre 755 km). Cette faible diminution du réseau routier praticable (33 %) malgré une diminution de 75 % du budget laisse croire qu’il y a un potentiel d’optimisation très significatif. L’optimisation de cet entretien grâce à des outils d’aide peut permettre d’allouer plus adéquatement les ressources en fonction de l’objectif;

� La variation de la contrainte budgétaire de 4 à 1 million a de l’impact surtout sur les tronçons ayant une vitesse de déplacement de plus de 50 km/h (classe de vitesse 60-70 km/h et classe de vitesse 50-60 km/h) ainsi que pour les tronçons ayant une vitesse de déplacement variant entre 20 et 30 km/h;

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� Un achalandage plus élevé, exprimé par la classification fonctionnelle, implique une détérioration des chemins plus rapide;

� Selon le modèle employé, lorsqu’on ne réalise pas aucun entretien, la totalité des chemins de classe 4 et d’hiver devient impraticable après 5 ans tandis que les classes de chemin 1, 2 et 3 disparaissent après 15 et 10 ans;

� Une limitation de l’entretien en lien avec les surfaces prévues au PQAF est nécessaire pour obtenir des niveaux d’entretien plus probables et réalistes. En d’autres termes, la considération des interventions forestières prévues est incontournable. Un modèle performant d’optimisation de l’entretien devrait y accorder une place prépondérante.

Les résultats de validation présentés par l’intermédiaire des différents scénarios confirment que le modèle développé est adéquat en terme de modélisation de l’évolution du réseau routier ainsi qu’au niveau des coûts reliés à l’entretien. À partir de ce point, les hypothèses de départ au sujet de la dégradation par classe de chemins pourraient être raffinées afin de rendre le modèle plus précis.



Volet II 29 895 $ 29 895 $

CRNTL 700 $ 700 $

Total 29 895 $ 700 $ 30 595 $

Dépenses

Réalisation des activités 29 895 $ 29 895 $ Préparation et soutien technique 700 $ 700 $

Total 29 895 $ 700 $ 30 595 $

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Non complété X Retiré


Enquête socioéconomique auprès des ZEC des Hautes-Laurentides

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Régionale des ZECS des Hautes-Laurentides

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Jean-Marc Bélanger



À partir des données recueillies par sondage, établir le portrait socioéconomique des utilisateurs des six (6) ZEC des Hautes-Laurentides couvrant le territoire de l'unité d'aménagement 064-51.

LLiieenn aavveecc mmooddèèllee llooggiiqquuee

LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport (base de données)


Ce projet a été retiré de la programmation 2009-2010.

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Identification des problématiques et des besoins spécifiques à chaque pourvoirie en regard du territoire


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Étienne Lemieux



Identifier les problématiques relatives au territoire en fonction des attentes des clients et des besoins spécifiques à chaque pourvoirie. Cette approche vise à répondre concrètement aux besoins au niveau du territoire de chaque pourvoirie par rapport à leur offre de produits.





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Non complété X Retiré


L'économie dans la planification stratégique de l'aménagement forestier durable

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Bénéficiaires de CAAF

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett François Lapalme



Développer un modèle pour trouver les rotations optimales par peuplement forestier, un modèle multiobjectif pour la forêt et un modèle pour évaluer la durabilité économique d'une stratégie.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport de recherche, modèle multiobjectif, indicateurs économiques et outils d'aide à la décision liés à la possibilité forestière


Ce projet a été retiré de la programmation 2009-2010.

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Non complété


Analyse de fragmentation


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Étienne Lemieux



Effectuer des analyses de fragmentation des habitats et de la forêt d’intérieur de l’UAF 064-51.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport final et couche écoforestière


L’état des massifs forestiers quant à la fragmentation et au niveau de la forêt d’intérieur est deux éléments d’importance pour certaines espèces de notre forêt québécoise et il importe d’en évaluer leur état dans un objectif de maintien de la biodiversité notamment dans l’UAF 064-51. Ainsi, différentes analyses ont été effectuées afin d’évaluer ces éléments.

Nous nous sommes principalement basés sur les travaux de l’Observatoire de la foresterie du Bas-Saint-Laurent (OFBSL) qui a effectué de telles évaluations avec l’aide d’un comité scientifique en 2007 et sur certaines informations complémentaires fournies par le Centre d’étude de la Forêt concernant les massifs forestiers.

Nous avons évalué la fragmentation des forêts et le niveau de la forêt d’intérieur par sous-bassin versant à la période 0 (actuellement), ainsi qu’aux périodes 3 et 6, tel que simulé par le scénario Woodstock intitulé « $ rs REF » réalisé par la Coopérative forestière des Hautes-Laurentides.

Au niveau de la fragmentation des forêts, les résultats basés sur le nombre d’îlots moyens par sous-bassin versant démontrent qu’il n’y a pas de problématique majeure à l’échelle de l’UAF 064-51.

Au niveau de la forêt d’intérieur, deux inconnus demeurent quant à la méthodologie employée par l’OFBSL, soit la hauteur minimale des peuplements considérés et si les coupes partielles sont considérées comme étant des perturbations affectant la forêt d’intérieur. À cet effet, deux analyses différentes ont été effectuées afin de tenir compte de ces deux éléments (for_int1pX et for_int3pX). Pour ces deux analyses, les résultats ne démontrent actuellement aucune problématique au niveau de la forêt d’intérieur. Cependant à long terme (période 6), la hauteur considérée (soit 7 mètres ou 12 mètres) influence énormément les résultats. La première indiquant une proportion idéale de la forêt d’intérieur alors que la seconde nous indique une situation critique. À cet effet, il serait important de suivre l’évolution des recherches sur ces éléments et de se renseigner sur la hauteur

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considérée par l’OFBSL.

Toutefois, il nous apparaît clairement que peu importe les scénarios effectués, il y aura nécessairement à long terme une forte diminution des gros massifs non fragmentés et de la forêt d’intérieur de plus de 1 000 hectares selon les prévisions de récolte de Woodstock. Puisque ces gros massifs sont considérés comme très importants pour la communauté scientifique, nous sommes d’avis qu’il serait pertinent de retenir cet enjeu dans la stratégie d’aménagement forestier de l’UAF 064-51.



TCTFPHL 11 000 $ 11 000 $

Total 11 000 $ 11 000 $

Dépenses Réalisation de l’analyse 7 840 $ 7 840 $ Déplacement 27 $ 27 $ Consultant 2 880 $ 2 880 $ Supervision 253 $ 253 $

Total 11 000 $ 11 000 $

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Non complété x Multiphases


Vulnérabilité et adaptations aux changements climatiques pour les communautés forestières dépendantes du « Projet Le Bourdon »

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) AHL

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Raymond Barrette



L’objectif du présent projet sur les changements climatiques est d’essayer, par une volonté sociale et par des informations techniques, d’intégrer quotidiennement les risques et la vulnérabilité locale aux changements climatiques afin de développer les meilleurs outils d’adaptation avec les acteurs locaux et les institutions existantes.




Cette première phase d’un projet de trois ans consistait à mettre en place une mission de collaboration de recherche qui a eu lieu du 29 avril au 4 mars 2010 avec les chercheurs associés à la Forêt Modèle Bergslagen, en Suède dans le cadre de l’Initiative Circumboréale sur les Changements Climatiques du Réseau International des Forêts Modèles (RIFM)..

L’initiative Circumboréale vise à améliorer nos connaissances sur les effets des changements planétaires qui touchent les forêts afin d’aider les collectivités qui en dépendent à évaluer leur vulnérabilité et à adopter rapidement des stratégies d’adaptation. Dans ce projet, les chercheurs développeront des modèles basés sur la réponse des arbres et de la forêt au climat afin de prédire les risques de perte de valeurs dont dépendent les collectivités. Ce projet s’effectue sur le territoire de la Forêt Modèle du « Projet Le Bourdon », dans les Hautes-Laurentides, près de Mont-Laurier.

Le 10 février 2010, une conférence de presse a été organisée à l’Institut québécois d’Aménagement de la Forêt feuillue, Ripon, Québec dans le but d’annoncer l’obtention d’un important financement de recherche internationale pour l’étude des impacts des changements climatiques sur la forêt et sur leur choix de territoire d’étude la « Forêt Modèle du Projet Le Bourdon ».

Frédérik Doyon (UQO/IQAFF), Guy Chiasson (UQO) et Marie-Ève Roy (IQAFF) ont rencontré le directeur et les partenaires de la Forêt Modèle du Projet Le Bourdon, le 30 mars 2010, à

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Mont-Laurier. Cette rencontre avait pour but de démarrer les échanges sur les impacts, vulnérabilités et adaptations aux changements climatiques. La méthode mise de l’avant au cours de cet atelier est celle de l’étude «Ogden et Innis 2009», étude basée sur la prémisse « Les acteurs locaux ont une expertise ». Cette méthode associe information technique (modélisation du fonctionnement de la forêt) et volonté sociale i.e. vulnérabilité locale, perception des gens, scénario de gestion et leurs effets et mesures d’adaptation envisageables. La combinaison de ces deux éléments permettra d’établir, avec consensus, les scénarios gagnants.

F. Doyon (UQO/IQAFF) a travaillé avec P. Rochon (IQAFF) et R. Pouliot (IQAFF) durant l’hiver 2010 sur l’analyse de l’effet du gradient latitudinale sur la succession forestière. Pour ce faire, F. Doyon a utilisé les données sur l’évolution de la végétation forestière dans 10 paysages (Outaouais/Laurentides) durant le siècle dernier. Les résultats de ces études ont été présentés par M. Doyon à différents ateliers, congrès, séminaires et conférences.

Autres activités

Participation à l’atelier du Conseil canadien des ministres des forêts et des ressources naturelles du Canada sur la Vulnérabilité et les adaptations aux changements climatiques, tenu le 24-26 mars 2009 à Winnipeg.

Thème présenté: Impacts des changements climatiques sur la végétation des forêts tempérées et boréales situées sur le territoire d’intérêt du Projet Le Bourdon.

Communication scientifique présentée au 25e Congrès du US-International Association of Landscape Ecology à Athens, Georgie, É-U, du 5 au 9 avril 2010.

Thème présenté: Résultats des travaux réalisés dans le cadre du Projet Le Bourdon à l’hiver 2010 et portant sur l’importance de bien comprendre la dynamique entre la végétation et les perturbations au niveau du terrain afin de prédire l’impact du changement climatique sur les communautés dépendantes de la forêt.

Participation et présentation du projet à la Web-conférence « Adaptation aux changements climatiques et aménagement forestier écosystémique » organisée par l’initiative ICAR de Ouranos, le 5 mars 2010.

Présentation des résultats à date du projet au Séminaire d’Ouranos le 28 avril 2010 sous le thème « Identification des impacts potentiels des changements climatiques sur la forêt feuillue tempérée du Québec et évaluation de stratégies d'adaptation par modélisation "domaine-expert ».



RNCAN 14 000 $ 14 000 $

FONDS VERT 8 283 $ 8 283 $

UQO 20 000 $ 20 000 $

Total 22 283 $ 20 000 $ 42 283 $

Dépenses

Réalisation des activités 22 283 $ 20 000 $ 42 283 $

Total 22 283 $ 20 000 $ 42 283 $

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Développement d’un outil d’analyse de risques et d’aide à la décision lié à l’aménagement durable des forêts – Phase 1





Doter les intervenants de l’UAF 064-51 d’une méthode conviviale permettant de communiquer les résultats d’évaluation des impacts de l’application de divers scénarios d’aménagement forestier afin qu’il y ait consensus quant à l’établissement de la stratégie intégrée d’aménagement forestier.




Suite à la présentation du projet du bassin versant de la rivière Humber par Dr Brian Eddy à Mont-Laurier, il a été décidé d’explorer la possibilité d’un échange de connaissances entre le Projet Le Bourdon, du Programme des collectivités forestières, et le projet se déroulant dans le bassin versant de la rivière Humber à Corner Brook, en collaboration avec le Service Canadien des Forêts.

La première phase de cet échange a consisté en une visite du 21 au 26 février 2010 à Corner Brook pour explorer les possibilités de collaboration et pour commencer la planification d’une seconde phase. Outre les membres du Service canadien des forêts, cette visite a également permis d’établir des liens avec La Forêt modèle de Terre-Neuve et Labrador, un autre projet du Programme des collectivités forestières.

Activités réalisées au cours de la visite :

� Participation à la conférence de réseautage annuelle du Humber River Basin Project

� Rencontre avec Dr. Brian Eddy et son équipe (Service canadien des forêts)

� Rencontre avec Sean Dolter (Forêt modèle de Terre-Neuve et Labrador)

� Présentation du projet Le Bourdon à l’Université Memorial

� Participation à une entrevue radiophonique à Radio-Canada Corner Brook

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Suite à ces premiers échanges et compte tenu des objectifs et des projets passés de la forêt modèle, l’expertise développée au sein du Bourdon pourra difficilement leur être transférée. Cependant, il serait possible de partager au niveau des différents traitements sylvicoles pouvant être réalisés dans les forêts résineuses.

Par contre, il serait possible d’adapter à notre territoire certaines façons de faire développées par la forêt modèle. Le développement de l’autonomie financière par exemple, par le biais de la récolte de d’autres produits, pourrait être avantageux pour les communautés reliées au territoire du Bourdon. Le programme de formation permettant aux partenaires de se familiariser et d’augmenter leur compréhension des différents outils et logiciels utilisés est une autre possibilité.

Différentes pistes de collaboration ont été proposées par le Service canadien des forêts pour une seconde phase de cet échange de connaissances.

Quatre principaux thèmes pourront être explorés:

� Analyse comparative entre les deux projets sur la structure de l’aménagement écosystémique (réglementation, participation des intendants, échéanciers, mandat, …);

� Méthode de participation et de consultation des intendants et des décideurs;

� Analyse de risque intégrée et outil d’aide à la décision;

� Intégration des données, modélisation et analyse des écosystèmes



RNCAN 5 500 $ 5 500 $

Total 5 500 $ 5 500 $

Dépenses 5 500 $ Réalisation des activités 5 500 $

Total 5 500 $ 5 500 $

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Non complété


Groupe de travail portant sur les objectifs des intendants de territoire





Définir, selon une approche consensuelle, les enjeux, les objectifs et les stratégies d'AFD qui alimenteront les travaux visant à élaborer une stratégie intégrée d'aménagement forestier pour l'UAF 064-51.

Impliquer les intendants de territoire, incluant la communauté autochtone de Manawan, dans la gestion du territoire forestier et leur permettre de participer activement aux discussions et aux solutions concernant les enjeux liés à l’aménagement forestier durable et intégré du territoire.

LLiieenn aavveecc mmooddèèllee llooggiiqquuee 202 – 203

LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport résumant les résultats de la démarche, comptes-rendus


Le Groupe de travail sur les objectifs des intendants de territoire de l’UAF 064-51 a été mis sur pied en 2008. Au cours de la saison 2008-2009, les travaux de ce comité ont permis d’identifier les enjeux consensuels d’aménagement forestier pour ce territoire. La seconde étape du mandat a consisté, en 2009-2010, à identifier des pistes de solutions correspondant à ces derniers. Un processus a été développé dans le but de définir les grandes étapes à franchir pour l’élaboration de la stratégie intégrée d’aménagement forestier de l’UAF 064-51. L’application de ce processus a permis de s’assurer que les représentants des intendants de territoire et de la communauté de Manawan participent activement aux travaux et en comprennent le cheminement. Le modèle Woodstock, qui fut développé pour cet UAF comme outil facilitant la prise de décisions des participants, intègre plusieurs indicateurs relatifs aux enjeux et objectifs retenus.

Trois spécialistes indépendants et le MRNF ont fourni des avis concernant les enjeux de biodiversité. Quelques ajustements ont par la suite été apportés à ces enjeux à partir de certains commentaires issus de ces deux avis et des informations tirées des deux portraits historiques des perturbations naturelles et anthropiques qui ont été réalisés pour cet UAF.

On présente succinctement les éléments qui ont permis aux participants du comité de travail de s’entendre pour chacun des objectifs d’aménagement. Des indicateurs de performance qui peuvent être mesurés dans le modèle Woodstock-Stanley de l’UAF 064-51 ont été proposés. Pour certains objectifs, des cibles préliminaires ont également été déterminées afin de fournir une indication quant au niveau d’effort qui pourrait être requis pour ajuster les paramètres du modèle.

Les membres du Groupe de travail sur les objectifs des intendants de territoire ont adopté de

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manière consensuelle les objectifs relatifs aux enjeux qui furent identifiés pour l’unité d’aménagement forestier 064-51. L’utilisation des logiciels Woodstock et Stanley (W-S), comme outils d’aide à la décision dans l’évaluation des impacts de scénarios d’aménagement forestier, a contribué à franchir une étape importante du processus pour la détermination d’une stratégie intégrée d’aménagement forestier. Des propositions d’indicateurs de performance et de cibles préliminaires ont permis l’intégration des objectifs consensuels au modèle stratégique de l’UAF 064-51. Grâce aux analyses des résultats des simulations des scénarios d’optimisation W-S, les intendants de territoire disposent maintenant d’informations leur permettant de construire de façon plus éclairée des scénarios de compromis concernant les objectifs, les indicateurs et les cibles qui les intéressent.



PCF 18 127 $ 18 127 $

MRNF volet II 6 756 $ 6 756 $

APL 750 $ 750 $

BCAAF 600 $ 600 $

CFHL 900 $ 900 $

CRNTL 4 200 $ 4 200 $

IQAFF 150 $ 150 $

MRCAL-AL 3 100 $ 3 100 $

MRNF 5 700 $ 5 700 $

RZHL 1 500 $ 1 500 $

TCTFPHL 1 050 $ 1 050 $

Total 24 883 $ 17 950 $ 42 833 $

Dépenses Coordination et rencontres 24 619 $ 17 950 $ 42 569 $ Frais de déplacement du président 264 $ 264 $

Total 24 883 $ 17 950 $ 42 833 $

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Non complété

X Il reste l’élaboration et la réalisation de scénarios de compromis


Élaboration de la stratégie d'aménagement forestier intégrée (Phase 2)


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Pascal Gauthier



Élaborer des stratégies d’aménagement forestier qui mettent en valeur le plein potentiel du territoire.

Proposer au MRNF et au Forestier en chef une stratégie d’aménagement forestier afin que les calculs de possibilité forestière qu’il entreprendra pour la période quinquennale 2013-2018 prennent en compte les stratégies d’intégration développées par les intendants de l’UAF 64-51. La date butoir est décembre 2009.


LLiivvrraabbllee((ss)) Modèle numérique adapté au territoire, résultats de simulations, rapport


Le projet Le Bourdon, un projet du Programme des collectivités forestières du Service canadien des forêts, vise à favoriser le développement d’activités économiques basées sur les richesses du milieu naturel. Pour ce faire, il vise l’élaboration du Plan stratégique intégré de mise en valeur durable des ressources et du territoire et de stratégies d’aménagement forestier.

Toutefois, avant d’en arriver à une stratégie finale, l’analyse de certains scénarios devrait préalablement être réalisée pour se familiariser avec ce type de simulation et approfondir autant sa connaissance du territoire que ses réponses suite à une optimisation. Cette façon de faire permet également de s’assurer de la validité des hypothèses sous-jacentes et ainsi du modèle utilisé. Quatre différents scénarios d’optimisation, maximisant les profits ou le volume récolté, deux simulant l’évolution naturelle ainsi que plusieurs scénarios maximisant les habitats fauniques des espèces cibles ont été utilisés (logiciel Woodstock). Ces scénarios ont ensuite été combinés à différents scénarios spatiaux (logiciel Stanley) obtenus en faisant varier les paramètres dictant la spatialisation des opérations. Les principaux constats seront présentés ici de façon résumée.

� Simulation Woodstock

Profit net

� Deux scénarios maximisant le profit, avec ou sans rendement soutenu ($_rs_cmcd_8 (CMCD avec éligibilité accrue et $_no_rs) ont le meilleur profit net alors que le profit net du scénario maximisant le volume (Vol) est nul ou négatif.

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� Une maximisation du volume récolté n’est donc pas indicatrice d’un revenu élevé.

� Le profit net des scénarios maximisant l’habitat des espèces fauniques est toujours négatif.

Volume récolté

� Les scénarios de récolte génèrent un volume beaucoup plus important que les scénarios fauniques. Toutefois, ils ne sont pas si différents les uns des autres sur le plan du volume récolté (différences variant entre 4 et 14.2 % entre les scénarios les plus distants, Vol et $_rs_cmcd22).

� Les scénarios de coupe se maintiennent au-dessus du niveau du Forestier en chef. Cependant, les scénarios fauniques n’atteignent pas ces niveaux.

Habitats fauniques

� L’évolution naturelle, sans considération des enjeux écosystémiques, démontre qu’il y aurait une perte d’habitat pour certaines espèces : martre d’Amérique, orignal, sittelle à poitrine rousse et tétras.

� Pour certaines espèces comme la martre et le tétras, on retrouve une plus grande quantité d’habitats de qualité dans les scénarios avec récolte que dans le scénario d’évolution naturelle.

� Les scénarios visant la maximisation de l’habitat des espèces fauniques démontrent le potentiel faunique important du territoire, mais aussi les impacts probables de tels scénarios sur d’autres indicateurs (ex. : baisses importantes de volume récolté, de superficie traitée, de profitabilité).

� Il n’y a pas de solution optimale pour toutes les espèces, c'est-à-dire que l’optimisation de l’habitat d’une espèce en défavorise d’autres.

Stratégie sylvicole

� Les stratégies sylvicoles découlant des simulations sont très différentes d’un scénario à l’autre.

� L’impact d’une stratégie déployée à court terme se mesure souvent à long terme, d’où l’importance de la planification stratégique.

� Pour atteindre les contraintes d’enjeux écosystémiques, des traitements adaptés sont obligatoires telles des regarnies d’essences résineuses dans les coupes jardinatoires (CJ) et progressives (CMCD) dans des peuplements mixtes et feuillus.

� Simulation Stanley

Volume récolté

� Les contraintes spatiales affectent davantage les feuillus durs que le SEPM puisque les variations du niveau de récolte sont plus élevées.

� L’utilisation d’un scénario spatial visant à tripler la superficie moyenne des chantiers (Écono) amène un niveau de récolte inférieur au niveau du BFEC de 2008.

� Le scénario spatial « Réf », correspondant à la situation actuelle, atteint à peine les niveaux de récolte du BFEC de 2008.

Superficies traitées

� Les superficies simulées en coupes totales sont généralement supérieures à ce qui était en moyenne traitée entre 2000 et 2004 alors que celles en coupes partielles sont inférieures.

� Le scénario spatial « Écono » produit le minimum de blocs alors que le scénario « Val »,

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constituant un scénario de validation devant produire des blocs d’une superficie minimale de 1 ha, produit le maximum.

� Combinaison Woodstock et Stanley

Coût de dispersion

Pour un même scénario spatial, le scénario Woodstock a une influence sur les résultats de la spatialisation. Ainsi, le scénario avec une plus grande éligibilité à la CMCD a un coût de dispersion plus faible que le scénario maximisant les revenus. Il parvient donc à faire de plus grands chantiers.

Volume récolté

Une plus grande éligibilité à la CMCD minimise l’effet des contraintes spatiales puisque les niveaux de récolte atteignent ou surpassent les niveaux du BFEC contrairement au scénario maximisant le volume qui a plus de difficulté à les atteindre. Ainsi, des scénarios Woodstock répondraient de manière différente à de mêmes contraintes spatiales. De plus, le scénario ayant une plus grande éligibilité à la CMCD a un effet similaire aux autres scénarios sur les paysages et les habitats fauniques. Il y aurait donc lieu de s’y attarder lors de l’établissement des scénarios finaux.

Finalement, malgré le fait que ces projets aient apporté beaucoup d’information, il reste encore beaucoup de travail à faire pour cibler les éléments désirés par chacun des intervenants et convenir d’un scénario de compromis combinant adéquatement l’ensemble de ces éléments. En fait, les étapes réalisées et les résultats obtenus peuvent être considérés comme une étape préliminaire, mais nécessaire à l’obtention d’une stratégie d’aménagement intégrée. Ainsi, cela a permis aux nombreux intendants de comprendre l’évolution du territoire sous différentes hypothèses ou scénarios de même que les principaux facteurs dirigeant cette évolution.

Les travaux réalisés dans le cadre de ce projet ont aussi été faits dans l’optique de répondre à des besoins externes au projet Le Bourdon, notamment au processus de certification FSC. Certaines analyses et méthodologies développées et réalisées dans le cadre du Bourdon permettent donc de répondre à certains principes et critères nécessaires à l’obtention de la certification. Elles devaient aussi concorder avec la réalité légale québécoise de façon à ce que ce travail puisse être transféré aux autorités responsables à la fin du projet pour être éventuellement intégré dans les calculs de possibilité forestière 2013-2018 du Bureau du Forestier en chef (BFEC).



PCF 7 640 $ 7 640 $

TCTFPHL 25 980 $ 25 980 $

Total 33 620 $ 33 620 $

Dépenses Réalisation des activités 33 620 $ 33 620 $

Total 33 620 $ 33 620 $

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Expertise technique et scientifique de la RZHL

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Régionale des ZECS des Hautes-Laurentides

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Miguel Hatin



Permettre un réel échange d'expertises entre les partenaires du Bourdon.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport, comptes-rendus de participation par projet


Du 1er avril 2009 au 31 mars 2010, un total estimé à près de 17 journées a été consacré à des discussions touchant notamment l’identification des enjeux et des objectifs consensuels d’aménagement forestier. Le représentant de la Régionale des ZEC des Hautes-Laurentides a participé aux rencontres du Groupe de travail portant sur les objectifs des intendants de territoire et du comité de solutions.



PCF 16 352 $ 16 352 $

Total 16 352 $ 16 352 $

Dépenses


Total 16 352 $ 16 352 $

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Expertise technique et scientifique de l'APL


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett François Trottier, Jonathan Leblond



Participer directement aux divers projets du Bourdon, développer et faire connaître l’expertise de l’APL au niveau des connaissances acquises sur les pourvoiries et enjeux des pourvoiries des Laurentides.


LLiivvrraabbllee((ss)) Intrants relatifs aux besoins des pourvoiries qui sont requis dans les autres projets.


Le projet « Expertise technique et scientifique de l’Association des pourvoiries des Laurentides » a pour objectifs de participer directement aux divers comités du Bourdon, assurer la concertation et les communications avec les membres de l’Association des pourvoiries des Laurentides, s’impliquer dans les divers projets du Bourdon, développer et faire connaître leur expertise au niveau des connaissances acquises sur les pourvoiries et enjeux des pourvoiries des Laurentides et donner rétroaction au Conseil d’administration de l’APL des enjeux partagés par les différents intervenants qui ont un impact sur les pourvoiries. Ce projet a permis d’assurer une présence assidue des professionnels de l’APL aux multiples rencontres du Comité de mise en œuvre du Bourdon, aux groupes de travail et autres.

Pour la saison se terminant le 31 mars 2010, les ressources professionnelles de l’Association des pourvoiries des Laurentides ont participé à 26 rencontres liées au Projet Le Bourdon. Les travaux de recherches de ce projet ont permis de participer aux divers comités du Bourdon, de s’informer et se documenter sur ses divers projets; de déterminer clairement les objectifs de l’APL, de les documenter et de développer des pistes de solutions afin d’orienter nos efforts à mettre en œuvre dans le cadre de l’élaboration d’une stratégie d’aménagement forestier intégrée pour l’UAF 064-51. Plus particulièrement, les travaux documentés ont touché l’habitat de l’orignal, les paysages sensibles, la gestion par bassins versants et les enjeux de biodiversité. Ce projet a également fourni des outils qui permettront à l’APL de se concentrer davantage sur les problématiques précises reliées à l’aménagement du territoire ce qui réduira par le même fait les impacts potentiels de nos demandes sur l’industrie forestière

Cependant les enjeux à connotation plus fauniques semblent difficiles à concilier notamment, car iI est difficile d’évaluer l’apport financier dans l’amélioration des habitats ou de la biodiversité face à un coût de revient au m³, qui lui est établi et reconnu depuis longtemps par des recherches. Nous aurions également aimé pouvoir tester l’impact de nos besoins dans la stratégie d’aménagement par divers moyens de les atteindre (% de hauteur par territoire, habitat, etc.) ce

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qui n’a pu être effectué. Soulignons que la Fédération des pourvoiries du Québec est en mesure de trouver les solutions afin de simuler les impacts potentiels de nos demandes sur le calcul de possibilité forestière avec le logiciel Woodstock et Stanley



PCF 18 740 $ 18 740 $

AHL -Volet II - 2008 7 000 $ 7 000 $

TCTFPHL 18 588 $ 18 588 $

Total 44 328 $ 44 328 $


Total 44 328 $ 44 328 $

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Non complété


Expertise technique cellule Innovation & Expérimentation


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Pascal Gauthier



Apporter une expertise technique pour différents dossiers du Bourdon.


LLiivvrraabbllee((ss)) Données et rapport


L’expertise technique est réalisée à 44 % du temps par Pascal Gauthier lors des rencontres pour la planification organisationnelle ainsi que pour la coordination du projet. D’autres personnes ont contribué aux projets, dont Valéry Sicard (24%) et Émilie Allard (26%). Ces personnes ont principalement œuvré pour la préparation, la documentation et la présence aux rencontres. D’autres personnes ont aussi travaillé sur ce projet dont Éric Lussier et Marie-Anne St-Amour.



PCF 19 996 $ 19 996 $

MNRF Volet II 1 168 $ 1 168 $

Total 21 164 $ 21 164 $


Total 21 164 $ 21 164 $

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Expertise technique des bénéficiaires de CAAF


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Natacha Lamarche



Établir les enjeux et objectifs de l'UAF 64-51 dans le cadre du Projet Le Bourdon.

Participer à l'élaboration du Plan stratégique intégré de mise en valeur durable des ressources (PSIM).

Couvrir les frais associés à diverses réunions.




Le projet a contribué à l’avancement des différentes tables de travail représentant au total 27 rencontres entre le 1er avril 2009 et le 31 mars 2010.

Plus particulièrement, l’équipe s’est impliquée dans divers groupes de travail touchant la biodiversité, l’habitat de l’orignal et les paysages. Une rencontre d’information et de consultation a également eu lieu avec les bénéficiaires de CAAF ainsi qu’avec les intendants responsables des projets.

Une analyse de la proportion des hauteurs par zone de chasse - partie Nord de l’UAF 064-51 a été réalisée par Valéry Sicard.

Les participants au projet sont François Lapalme (Scierie Claude Forget), Natacha Lamarche et Valéry Sicard de la Coopérative forestière des Hautes-Laurentides.



PCF 4 842 $ 4 842 $

Volet II 8 400 $ 8 400 $

Total 13 242 $ 13 242 $

Dépenses

Préparation et participation aux rencontres 13 242 $ 13 242 $

Total 13 242 $ 13 242 $

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Expertise Atikamekw

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Clans Nehapiskak et Mazana

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Pierre-Paul Niquay



Apporter l'expertise de la communauté Atikamekw dans le cadre des travaux du projet «Le Bourdon».




Du 1er avril 2009 au 31 mars 2010, un total estimé à près de 24 journées a été consacré à des discussions touchant notamment l’identification des enjeux et des objectifs consensuels d’aménagement forestier.

Un des besoins exprimé par la famille Échaquan du clan Nehapiskak est la mise en place d’un camp multifonctionnel. Plusieurs activités touchant différentes valeurs Atikamekw pourront être développées autour de cette infrastructure : gouvernance, sécurité, patrimoine, faune, flore, foresterie, hébergement, éducation, loisirs, etc. La Régionale des Zecs des Hautes-Laurentides a invité M. Niquay à présenter le projet de camp multifonctionnel aux membres de cette organisation.

Dans le contexte où une deuxième cohorte de jeunes se mettait en place pour une formation en travaux sylvicoles, le représentant Atikamekw, M. Pierre-Paul Niquay, s’est impliqué afin de sensibiliser des jeunes et de les encourager à saisir cette opportunité. La perspective élargie d’un cheminement, à travers des formations dans le domaine de la foresterie, pouvant conduire ces jeunes à des emplois intéressants et valorisants a été mise de l’avant.

L’Association des pourvoiries des Laurentides a invité M. Niquay à venir présenter, lors d’une assemblée générale de ses membres, le potentiel de main-d’œuvre offert par la communauté de Manawan.

À la suite des démarches entreprises par M. Niquay dans le but de susciter l’intérêt et la motivation pour la mise en place d’une tannerie utilisant des produits biologiques, une formation sera donnée à deux jeunes de la communauté à l’automne 2010.

À tire de prévention et de conservation des sites potentiels de plantes médicinales, le représentant Atikamekw a fait valoir qu’il est important de pouvoir identifier ces zones sensibles et établir un protocole avec le MRNF et les planificateurs des interventions

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forestières.

Dans le cadre d’un atelier pour discuter des vulnérabilités et des adaptations aux changements climatiques, M. Niquay a décrit les changements climatiques comme un enjeu qui mérite l’attention puisqu’ils pourraient avoir des répercussions majeures sur la forêt et sur le mode de vie des Atikamekw.



PCF 15 750 $ 15 750 $

Volet II 9 263 $ 9 263 $

Total 25 013 $ 25 013 $

Dépenses


Total 25 013 $ 25 013 $

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Rédaction de la stratégie d'aménagement forestier intégrée


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Valéry Sicard



Réaliser la rédaction de la stratégie d'aménagement forestier intégré suite aux travaux réalisés à partir du modèle Woodstock et aux autres projets connexes. Proposer au MRNF et au Forestier en chef une stratégie d’aménagement forestier afin que les calculs de possibilité forestière qu’il entreprendra pour la période quinquennale 2013-2018 prennent en compte les stratégies d’intégration développées par les intendants de l’UAF 64-51. La date butoir est décembre 2009.




Aucun travail n’a été réalisé, car l’avancement des travaux ne permet pas encore d’établir une stratégie intégrée d’aménagement forestier

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Non complété


Plans de développement des pourvoiries des Hautes-Laurentides





Déterminer quelles sont les stratégies les mieux adaptées pour favoriser le développement des pourvoiries et les décliner en plan d’action pour 19 pourvoiries de la région des Hautes-Laurentides. Ces plans de développement permettront à la base d’identifier les potentiels de la demande actuelle, identifier les nouvelles tendances récréotouristiques et évaluer les perspectives d’avenir.




La phase 1 consistait en la réalisation d’un plan de développement général stratégique pour les pourvoiries des Laurentides. Le mandat incluait l’établissement d’un diagnostic de la performance touristique des pourvoiries, l’évaluation des perspectives d’avenir, l’identification des enjeux et opportunités et la formulation d’un plan de développement adapté.

Un rapport préliminaire a été réalisé par la firme DS 2007 pour le plan régional de développement des pourvoiries des Laurentides. La réflexion a été menée à deux niveaux : d’un point de vue général et spécifiquement à l’échelle de chaque pourvoirie participante. Une première étape a permis de préciser les enjeux de la démarche avec les représentants de la FPQ et de l’APL et les partenaires institutionnels régionaux. Une seconde étape a permis l’élaboration d’un diagnostic stratégique général et l’étude d’une formule de mise en marché collective. Ce document synthèse a été développé afin d’établir le plan de mise en œuvre régional du plan de développement des pourvoiries. Ces éléments généraux seront ensuite déclinés pour s’adapter à la réalité de chaque pourvoirie et à la vision entrepreneuriale de chaque pourvoyeur.

La phase 2, toujours exécutée par la firme DS 2007, consiste à réaliser des plans de développement personnalisés. Ainsi, une seconde vague de rencontres avec chaque pourvoirie aura lieu en septembre et octobre 2010 afin d’apporter certains ajustements, de pouvoir livrer des rapports personnalisés aux pourvoiries afin de les accompagner dans leur développement.

La phase 3 aura lieu en 2011 et 2012, soit la mise en application des plans de développement personnalisés pour chacune des pourvoiries. Cette phase devrait faire l’objet d’un nouveau projet et le rattachement des sommes nécessaires est déjà confirmé par plusieurs acteurs régionaux.

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DEC 30 000 $ 30 000 $

MDEIE 10 000 $ 10 000 $

SADC 10 000 $ 10 000 $

Pourvoiries 5 250 $ 5 250 $

APL 1 140 $ 1 140 $

Total 55 250 $ 1 140 $ 56 390 $

Dépenses Soutien technique, taxes, autres frais 8 250 $ 1 140 $ 9 390 $ Consultant 47 000 $ 47 000 $

Total 55 250 $ 1 140 $ 56 390 $

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Non complété


Planification d'un camp multifonctionnel

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Clans Nehapiskak

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Henman Niquay



Déterminer stratégiquement le déroulement du projet de camp multifonctionnel


LLiivvrraabbllee((ss)) Un descriptif de construction du camp multifonctionnel


Ce projet, voué à la gestion du territoire et au retour aux sources, se veut être un projet unificateur et rassembleur. Les principaux champs d’activités visés sont la gouvernance du territoire et sa sécurité, la conservation du patrimoine Atikamekw, de la faune et de la flore, l’éducation et les loisirs, la foresterie et l’hébergement ainsi que l’Ethno-Tourisme.

Cette première phase a consisté d’abord à identifier les champs d’activités du camp multifonctionnel, à déterminer sa localisation, ses modalités de réalisation, sa structure opérationnelle ainsi qu’à planifier les travaux de construction, et ce, selon les aspirations du clan.

Au cours de l’été et l'automne 2009, les services techniques du CNA ont effectué les travaux de planification et ont procédé à l’élaboration des plans et devis pour la construction du camp multifonctionnel Atikamekw. Les coûts de construction, estimés par Construction P3L, sont de l’ordre de 123 657 $.

Durant cette même période et suite aux ententes d’harmonisation, Claude Forget inc. a réalisé les activités de planification incluant la visite de terrain, l’obtention des diverses autorisations pour les travaux, la construction des accès, le nivelage du site et mise en place d’un espace de stationnement.

Les prochaines étapes consistent donc à former un Comité de mise en œuvre pour la recherche de financement pour la construction du camp multifonctionnel. Les efforts du comité seront concentrés sur la recherche de commanditaires, sur les appels de soumissions et l’octroi des contrats pour les travaux de construction et pour certains travaux exigeants des expertises spécifiques ainsi que sur l’exécution même des travaux.

Parallèlement, un projet concernant le développement d’un plan directeur et la mise en place d’un centre de présentation du mode de vie traditionnel des Atikamekw et des enjeux modernes et actuels, a été présenté et accepté par le Projet Le Bourdon pour 2010-2011. Un Conseil de gestion sera mis sur pied au cours des prochains mois pour la mise en place et le suivi du budget de fonctionnement et la réalisation des activités en relation avec les objectifs prédéterminés.

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PCF 12 800 $ 12 800 $

BCAAF-Scierie Forget 8 500 $ 8 500 $

Conseil de la nation Atikamekw 10 000 $ 10 000 $

Conseil des Atikamekw de Manawan 27 640 $ 27 640 $

Total 40 440 $ 18 500 $ 58 940 $

Dépenses

Salaire &BS&CSST 33 925 $ 33 925 $

Planification/visite terrain 5 200 $ 5 200 $

Accès, nivelage site et stationnement, etc. 6 000 $ 6 000 $

Plan devis et estimation des coûts 5 000 $ 5 000 $

Déplacement et dépenses 3 772 $ 2 300 $ 6 072 $

Équipement 1 689 $ 1 689 $

Honoraires 450 $ 450 $

Télécommunication 524 $ 524 $

Fournitures 80 $ 80 $

Total 40 440 $ 18 500 $ 58 940 $

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Projet de mise en valeur des champignons forestiers sur le territoire des clans Nehapiskak et Mazana de la communauté Atikamekw de Manawan

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Conseil de bande de Manawan

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett À déterminer



Procurer des retombées économiques à la communauté Atikamekw de Manawan en mettant en valeur des champignons forestiers commercialisables.

LLiieenn aavveecc mmooddèèllee llooggiiqquuee 102, 302

LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport et cartes de potentiel, formation



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Responsable Atikamekw des ressources humaines liées au secteur des ressources naturelles

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Table forêt des Laurentides

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Benoit Bisaillon



Mettre en place, en partenariat avec le Conseil Atikamekw de Manawan, une ressource Atikamekw responsable des ressources humaines pour le secteur des ressources naturelles.


LLiivvrraabbllee((ss)) Description de tâches, financement et dotation


Cette première phase de planification a permis de clarifier les besoins et objectifs de chacune des parties intéressées et les rôles du titulaire du poste, le tout basé sur la transparence et les buts avoués de chacun.

Un groupe de travail, regroupant des participants des deux promoteurs du projet, a été constitué afin de planifier et réaliser les étapes subséquentes soit la rédaction d’une description spécifique des tâches, la recherche de financement pour l’embauche de la ressource Atikamekw, la dotation ainsi que la validation du plan de travail. La seconde phase, soit celle du démarrage et de l’implantation du projet, est prévue pour avril 2010.

Le «Projet Le Bourdon» a grandement contribué à favoriser le développement d’ententes de collaboration entre différents partenaires sur l’unité d’aménagement 64-51 et même sur un territoire bien plus grand. Le climat de confiance et de respect senti tout au long de la démarche précitée laisse entrevoir facilement d’autres types de partenariats dans le temps. Toutefois, la stratégie du petit pas doit être respectée pour s’assurer des meilleurs résultats.



PCF 9 730 $ 9 730 $

TFHL 1 600 $ 1 600 $

Total 9 730 $ 1 600 $ 11 330 $

Dépenses

Réalisation des activités 9 730 $ 1 600 $ 11 330 $

Total 9 730 $ 1 600 $ 11 330 $

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Mise en œuvre du plan de communication

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Table forêt Laurentides

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Mélissa Thibault



Dans le cadre du projet Le Bourdon, un volet communication a été mis en place pour faciliter les échanges et la diffusion d’informations entre les mandataires du projet et pour assurer le transfert des connaissances et des savoir-faire développés par le projet ainsi que la mise en place de réseaux avec les collectivités forestières du Québec, celles des autres régions du Canada et à l’échelle internationale.


LLiivvrraabbllee((ss)) Stratégie de communication spécifique au projet Le Bourdon


Au cours de l’année 2009-2010, plusieurs activités ont été effectuées dans l’optique de la mise en œuvre de la stratégie de communication du projet Le Bourdon. Ainsi, de nombreuses représentations ont été effectuées lors d’activités et d’événements, du matériel promotionnel a été conçu afin de faciliter les échanges, un transfert d’information est effectué régulièrement via, par exemple, le bulletin électronique et une couverture médiatique est assurée via les journaux locaux afin de faire connaître les visées du projet et de s’assurer d’une visibilité adéquate. Cette année, le projet Le Bourdon s’est assuré de multiplier ces sorties auprès du grand public afin de faire valoir le projet et de le vulgariser auprès de nos publics cibles. L’objectif est atteint puisqu’au cours de l’année, près de 10 000 personnes ont été sensibilisées au projet via diverses activités sans compter les nombreux lecteurs du journal Le Choix d’Antoine-Labelle, l’Écho de la Lièvre, le Courant des Hautes-Laurentides et la revue Action-Forêt Hautes-Laurentides où de nombreux articles sont parus en cours d’année.



PCF 13 461 $ 13 461 $ MNRF Volet II 11 390 $ 11 390 $ TCTFPHL 2 700 $ 2 700 $

Total 27 551 $ 27 551 $ Dépenses

Mise en œuvre de la stratégie de communication par la responsable

27 551 $ 27 551 $

Total 27 551 $ 27 551 $

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Site Internet

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Table forêt des Laurentides

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Mélissa Thibault



Le portail de la forêt des Hautes-Laurentides (www.notreforet.ca) a été identifié comme étant l’endroit souhaité pour inscrire les informations relatives aux résultats des travaux du Projet Le Bourdon. Cet espace Internet se veut un outil promotionnel de choix d’une part pour l’ensemble des intendants de la forêt des Hautes-Laurentides, mais aussi pour les partenaires du Projet Le Bourdon.


LLiivvrraabbllee((ss)) Un site Internet fonctionnel et actualisé pour les partenaires, le public et les autres collectivités forestières.


Au cours de l’année, le travail effectué a principalement été au niveau de l’intégration bilingue du portail, de l’amélioration de l’environnement et de l’intégration d’une nouvelle section pour les rapports de projets. L’outil de gestion a été simplifié et l’intégration de nouveaux contenus est maintenant beaucoup plus efficace et moins coûteuse. Un nouvel outil a également été ajouté pour faciliter la gestion du portail; Google Analytics qui permet de nous fournir une large gamme d’informations sur les internautes visitant notre site. De nombreuses conclusions pourront être tirées à l’aide de ce logiciel afin d’améliorer la visibilité du portail pour mieux atteindre les différents publics cibles.



PCF 2 500 $ 2 500 $

VOLET II 3 015 $ 3 015 $

Total 5 515 $ 5 515 $

Dépenses Actualisation régulière du site web, soutien technique, frais d'hébergement 5 515 $ 5 515 $

Total 5 515 $ 5 515 $

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Non complété


Autochtones en formation

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Centre de formation professionnelle de Mont-Laurier

RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Robert Seuron



Contribuer au développement de compétences dans le domaine de la planification et de la réalisation des travaux forestiers dans la communauté Atikamekw de Manawan.

À court terme : Former 15 candidats en provenance de la communauté Atikamekw de Manawan en vue de l’obtention d’un Diplôme d’Études Professionnelles (DEP) en Travail sylvicole reconnu par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.

À moyen terme : Constituer une liste de candidats intéressés à poursuivre leur formation afin de décrocher un Diplôme d’Études.


LLiivvrraabbllee((ss)) Rapport de projet


La formation donnée par le CFP de Mont-Laurier, qui a débuté le 15 avril 2009, s’est déroulée à Manawan pour la partie théorique. La partie pratique en forêt s’est déroulée sur les chantiers de la Coopérative forestière des Hautes-Laurentides ainsi que ceux de Services forestiers Manawan.

Des 13 personnes inscrites initialement au cours, 5 ont obtenu leur DEP en travail sylvicole à la fin de leur formation et 3 autres ont réussi au moins 11 des 15 modules du programme de formation, ce qui constitue un taux de réussite tout à fait acceptable et comparable aux autres cohortes. Le CFP espère qualifier ceux qui n’ont pas obtenu leur DEP dans la prochaine formation qui sera offerte à Manawan.

La réussite par les participants du DEP Travail sylvicole s’inscrit dans un plan de formation à moyen terme pour la communauté de Manawan où des travailleurs sylvicoles seront formés sur 2 ou 3 années consécutives afin de constituer une liste de candidats intéressés à poursuivre leur formation dans un DEP en Aménagement de la forêt. Ce deuxième DEP permettra de former des contremaîtres forestiers, des vérificateurs de qualité des travaux sylvicoles et des employés qui travailleront à la planification et au suivi des travaux forestiers.

Plusieurs problèmes ont ralenti ou créé des difficultés pour le bon déroulement du projet. À partir de l’expérience vécue et en vue de s’assurer que des conditions optimales soient réunies pour faciliter le bon déroulement de la formation d’une deuxième cohorte d’étudiants Atikamekw en travail sylvicole, des suggestions d’amélioration ont été proposées.

La communauté Atikamekw de Manawan est intéressée à prendre en main son développement et celui de sa main-d’œuvre. Le potentiel d’un bassin de main-d’œuvre jeune est effectivement

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présent dans cette communauté. Le défi consiste à les motiver à s’investir dans une formation qui leur permettra à court terme de pouvoir obtenir un travail. La possibilité de suivre sur place une formation complète en travail sylvicole devrait pouvoir répondre à ce besoin. Le métier d’ouvrier sylvicole constitue souvent une porte d’entrée permettant d’accéder à d’autres professions dans des domaines connexes. De plus, la perspective de pouvoir approfondir par la suite leurs connaissances dans le domaine forestier grâce à une formation en aménagement de la forêt pourra susciter, pour plusieurs d’entre eux, une vision encourageante de l’avenir.

Malgré les difficultés éprouvées durant les 24 semaines de formation théorique et pratique, on peut affirmer que ce projet a été un succès. Il est important de renouveler l’expérience afin de pouvoir offrir la possibilité aux jeunes Atikamekw de Manawan d’avoir accès à des conditions de formation qui correspondent à leurs besoins et qui prennent en compte leur culture.



Ministère de l’éducation, du Loisir et

du sport

82 868 $ 82 868 $

CFHL 9 450 $ 9 450 $

Total 92 318 $ 92 318 $

Dépenses

Rémunération 43 312 $ 43 312 $

Contributions de l'employeur 7 487 $ 7 487 $

Frais de déplacement 1 705 $ 1 705 $

Fournitures et matériel 18 172 $ 18 172 $

Service, honoraires, contrats 2 670 $ 2 670 $

Autres dépenses 2 548 $ 2 548 $ Frais d'administration (conseiller et direction)

6 974 $ 6 974 $

Application pratique - terrain 9 450 $ 9 450 $

Total 92 318 $ 92 318 $

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Utilisation d'une plate-forme Internet réservée (Web collaboration)

OOrrggaanniissmmee((ss)) rreessppoonnssaabbllee((ss)) Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides




Le suivi d’un projet d’envergure comme « Le Bourdon » commande un système de communication efficace, moderne et spécifiquement adapté aux partenaires.

Cette activité vise à doter les partenaires du Bourdon d'un outil de gestion qui leur permettra, pour toute la durée du projet, d'échanger entre eux, d'élaborer des documents en mode de collaboration, de centraliser toutes les informations disponibles et les documents produits dans le cadre du projet, de communiquer efficacement avec tous les partenaires, etc.


LLiivvrraabbllee((ss)) Plate-forme Internet réservée


Au cours de la saison 2009-2010, deux nouveaux projets ont été créés :

Administration :

Réservé pour les dossiers touchant la gestion et l’administration du Projet

Résultats de simulations Woodstock :

Permet aux membres du Comité des solutions de rendre disponible et d’échanger différents documents relatifs aux simulations de scénarios d’aménagement de l’UAF 064-51. Cet outil est particulièrement utile étant donné la dimension importante des fichiers qui y sont transférés.

«Basecamp» permet de télécharger des fichiers comportant jusqu’à 100 Mo de données. Le forfait choisi permet de créer jusqu’à 35 projets différents. La liste des personnes pouvant accéder aux projets peut être différente d’un projet à un autre.

Le coût du forfait est de 50 $US par mois.

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PCF 658 $ 658 $

Total 658 $ 658 $

Dépenses Frais de service 658 $ 658 $

Total 658 $ 658 $

- 60 -






Participation au Réseau canadien des forêts modèles





Développer au niveau national et international un réseau d'échanges portant sur l'aménagement forestier durable et le développement des collectivités.


LLiivvrraabbllee((ss)) Comptes-rendus


Le Conseil d’administration du Réseau canadien des forêts modèles (RCFM) a mis sur pied cinq Groupes de travail afin de contribuer à la planification de son développement.

Le Groupe de travail 1 a complété la révision des règlements et du Manuel de politiques et de procédures du RCFM.

Le Groupe de travail 2 a développé une base de données complète de tous les projets en cours par des membres du RCFM. Le Comité des directeurs généraux a utilisé cette base de données pour développer et pour identifier les possibilités de partenariats futurs.

Le Groupe de travail 3 a effectué une révision du Plan stratégique du RCFM.

Les Groupes de travail 4 et 5 ont travaillé sur le développement de partenariats et le financement à long terme du RCFM.

À la demande du Secrétariat du Conseil canadien des ministres des forêts, le RCFM a préparé un rapport intitulé : « Aider les communautés à aborder la transformation du secteur forestier et les changements climatiques ».

Au mois de juin 2009, la Forêt modèle du Lac-Saint-Jean a été l’hôte de l’Assemblée générale annuelle du RCFM.

Au cours de la saison 2009-2010, huit « Initiatives stratégiques » étaient en cours :

Bioénergie ; circumboréale ; changement climatique et gestion du carbone ; indicateurs communautaires ; biens et services écologiques ; liaisons internationales ; produits forestiers non ligneux ; éducation et formation de la jeunesse.

Dans le cadre de l’Initiative stratégique Circumboréale/Changement climatique, le Projet Le Bourdon a présenté un projet en collaboration avec l’Institut québécois d’aménagement de la forêt feuillue et l’Université du Québec en Outaouais. Cette proposition de projet, qui vise à modéliser les changements dans la végétation de la forêt et le déplacement des limites des biomes

- 61 -

causé par les changements climatiques, a été acceptée par le Réseau international des forêts modèles.

Le Président du RCFM, M. David Winston, a pris sa retraite le 31 mars 2010. À la suite d’un appel de candidature annoncé au mois de février 2010, le conseil d’administration a retenu M. Daniel Ryan au poste de Président du RCFM. M. Ryan entrera en fonction le 1er avril 2010.



PCF 5 000 $ 5 000 $

Total 5 000 $ 5 000 $

Dépenses Cotisation du RCFM 5 000 $ 5 000 $

Total 5 000 $ 5 000 $

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NNoo.. ddee pprroojjeett :: 2009_501 à 506 HHoorriizzoonn 2008-2012


Non complété X MULTIPHASES


Gestion et administration


RReessppoonnssaabbllee((ss)) ddee pprroojjeett Francine Florant



Doter le projet d’un directeur général à mi-temps. Couvrir les dépenses de gestion et d’administration du projet.


LLiivvrraabbllee((ss)) Plans de travail, rapports annuels, comptes-rendus, factures


Les projets 2009_501 à 506 regroupent toutes les activités de gestion et d’administration du projet.

Ils couvrent en autres :

� Le salaire et les avantages sociaux du directeur général et de l’adjointe administrative

� Les frais lors de déplacements du DG (repas, hébergement, transport) ainsi que les frais de repas lors de réunions de conseil, des différents comités et du Groupe de travail

� Le loyer, les frais de bureau, la papeterie, les frais postaux et télécommunication

� Les frais de secrétariat, comptable, de vérification et honoraires professionnels

Ils couvrent également les dépenses relatives à la rencontre du Conseil de gestion et aux sept réunions du Comité de mise en œuvre.

Ces réunions représentent une contribution en biens et services des partenaires du «Projet Le Bourdon» équivalant à 57 jours de travail pour un montant total de 17 100 $.

Les principales tâches et responsabilité du directeur général ont été d’assurer la mise en œuvre du plan stratégique et du plan annuel du projet, le suivi budgétaire et la progression des travaux, la planification des activités ainsi que l’élaboration du budget pour l’exercice 2010-2011 et la production du plan annuel de l’exercice 2009-2010.

- 63 -



PCF 94 313 $ 94 313 $

Volet II 1 200 $ 1 200 $

APL 2 850 $ 2 850 $

BCAAF 2 850 $ 2 850 $

CFHL 1 950 $ 1 950 $

CFP-ML 1 350 $ 1 350 $

CLDAL-AL 1 200 $ 1 200 $

Communauté de Manawan 600 $ 600 $

CRNTL 1 200 $ 1 200 $

FPInnove 300 $ 300 $

MRC-AL 600 $ 600 $

MRNF 1 050 $ 1 050 $

RZHL 2 250 $ 2 250 $

TFHL 1 200 $ 1 200 $

TCTFPHL 1 800 $ 900 $ 2 700 $

Total 97 313 $ 18 300 $ 115 613 $

Dépenses

Salaires et avantages sociaux 65 795 $ 65 795 $

Frais de déplacement du DG 3 437 $ 3 437 $

Frais de réunions 953 $ 18 300 $ 19 253 $

Comptabilité 9 700 $ 9 700 $

Secrétariat, vérification comptable et honoraires professionnels 9 304 $ 9 304 $

Frais d’exploitation et entretien de bureau 8 124 $ 8 124 $

Total 97 313 $ 18 300 $ 115 613 $

- 64 -

PROGRÈS FACE AUX RÉSULTATS ATTENDUS

Cette section retrace les progrès réalisés au cours des trois dernières années en lien avec les résultats attendus et tel que présenté au modèle logique.

Le tableau 1 « Mesure de performance - Projets versus résultats immédiats » regroupe l’ensemble des projets et leur(s) extrant(s) respectif(s) ayant engendré un ou des résultats immédiats, concrets et tangibles. Ce tableau fournit une image quantitative de l’ensemble des extrants découlant des projets réalisés dont vous trouverez un bref résumé dans les fiches synthèses du rapport annuel de chacun des exercices concernés. Ce tableau synthèse affiche à l'horizontale les numéros des projets pour l’ensemble des trois années d’activités (2007 à 2009) et à la verticale, regroupés selon les résultats immédiats obtenus par ces activités, les extrants ainsi que leur nombre respectif. Chaque point sur le tableau indique que ce projet unique ou multiphases a généré un ou des extrants qui à leur tour ont engendré des résultats immédiats.

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TABLEAU 1 MESURE DE PERFORMANCE-PROJETS VERSUS RÉSULTATS IMMÉDIATS

101

102

106

108

109

110

111

112

113

114

115

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118

119

120

121

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128

129

130

132

134

135

139

145

146

154

201

202

203

204

205

206

208

209

301

303

306

308

401

402

403

404

405

406

407

411

501/

507

2009 x X x x X

2008 x X x x x x X x x x X X

2007 x X X X x x X X x

2009 x x

2008 x

2007 x x x x

2009 x

2008 x x x x x x x x

2007 x x x x

2009

2008

2007 x x

2009 x x x x x x x

2008 x x x x x x x

2007 x x x x x

2009 x x

2008 x

2007 x x x x

2009 x


2007 x x x x

2009 x x x

2008 x x x x x x x x x x x x x


2009 x x x x

2008 x

2007 x x x

301 Étude de faisabilité (3) 2009 x x x

302 Nouveaux produits et services (2) 2008 x x

2007

2009 x

2008

2007

2009 x x x x x x

2008 x x x x x x x x x x x x

2007 x x x x x x x x x x

2009 x x x

2008 x x x x x x x x x x x

2007 x x x x x x x

2009 x

2008 x

2007 x

Stratégie de communication, outils de communication (6)

Transfert des connaissances et des technologies et mise en valeur du modèle

développé dans le PCF ici et ailleurs (17)

WEB collaboration (3)

Plan de formation et sessions de formation des R.H. autochtones (4)

RÉSULTAT IMMÉDIAT: MISE EN ŒUVRE DE NOUVEAUX PARTENARIATS AVEC LES COMMUNAUTÉS AUTOCHTONES

500

Coordination opérationnelle, plans annuels de travail, suivis et rapports, évaluation

de la performance, vérification comptable, réunions du conseil de gestion, rencontres

avec les partenaires, ententes de financement

303Entente de participation des communautés Atikamekw à la mise en valeur des

ressources (1)

RÉSULTATS IMMÉDIATS: EFFICACITÉ ET TRANSPARENCE DE LA GOUVERNANCE

MOBILISATION DES PARTENAIRES ET DES COLLABORATEURS

RÉSULTATS IMMÉDIATS: PARTAGE DES CONNAISSANCES ET DES TECHNOLOGIES ACQUISES RÉSULTATS IMMÉDIATS: AMÉLIORATION DES PERCEPTIONS DE LA GESTION RESPONSABLE DES FORÊTS

RÉSULTAT IMMÉDIAT: DÉVELOPPEMENT DU RÉSEAUTAGE NATIONAL ET INTERNATIONAL

109 Procédé, méthode de mesures, de suivi, etc. (24)

RÉSULTAT IMMÉDIAT: DÉVELOPPEMENT DE CAPACITÉ À SAISIR LES OCCASIONS D'AFFAIRES

303 Entente de participation des communautés Atikamekw à la mise en valeur des

ressources (1)

106 Simulations de calculs de possibilité forestière (7)

107

108

110

Traitements sylvicoles novateurs intégrés (12)

Expérimentations opérationnelles (7)

Essai d'équipements adaptés (2)

MESURE DE PERFORMANCE - PROJETS VERSUS RÉSULTATS IMMÉDIATS

EXTRANTS

------------------------------------------------------------------------------------------------------------ PROJETS ---------------------------------------------------------------------------------

202

203

Valeurs, objectifs et stratégies d'AFD (17)

Stratégie d'aménagement forestier (14)

107

108

Traitements sylvicoles novateurs intégrés (12)

Expérimentation opérationnelle (7)

201 Modèles et processus pour l'élaboration du PSIM (2)

101

102

104

105

401

402

403

404

Stratégie de communication, outils de communication (6)

Transfert des connaissances et des technologies et mise en valeur du modèle

développé dans le PCF, ici et ailleurs (17)

401

402

RÉSULTATS IMMÉDIATS: AUGMENTATION DES CONNAISSANCES

IDENTIFICATION DE PROBLÈMES

DÉVELOPPEMENT D'UN LANGAGE COMMUN ET D'UNE SYNERGIE DES INTENDANTS DE TERRITOIRE

RÉSULTAT IMMÉDIAT: DÉVELOPPEMENT D'ÉLÉMENTS DE SOLUTIONS/OUTILS NOVATEURS (AFD, BIOMASSE ÉNERGÉTIQUE, GESTION PAR OBJECTIFS, ETC.)

Portraits (15)

Diagnostic (13)

États de situation (3)

Cartographies (7)

106 Simulations de calculs de possibilité forestière (7)

111 Outils informatiques (8)

- 66 -

- 67 -

Le tableau 2 « Mesure de performance - Projets versus résultats intermédiaires » regroupe quant à lui l’ensemble des projets dont la combinaison projets - extrants ont engendré des résultats intermédiaires. Cette représentation graphique affiche à l'horizontale l’ensemble des projets de 2007 à 2009 et à la verticale, regroupés selon les résultats intermédiaires obtenus par ces activités, les extrants respectifs. Chaque point sur le tableau indique que ce projet unique ou multiphases (2007-2009) a généré un ou des extrants qui à leur tour ont engendré des résultats à intermédiaires.

- 68 -

- 69 -

TABLEAU 2 MESURE DE PERFORMANCE-PROJETS VERSUS RÉSULTATS INTERMÉDIAIRES

101

108

113

114

117

119

123

128

129

134

135

202

203

204

205

206

208

209

401

403

406

501

502

503

504

505

506

2009 x x x x x x x x x x x

2008 x x x x X x X x x x x x

2007 x X x x x x x

2009 x x x

2008 x x X x X x x x

2007 x x X x X

2009 x x x x x x x x x x x x x x x

2008 x x x x x x x x x x x x x x x

2007 x x x x x x x x x x x x

500 Coordination opérationnelle, plans annuels de travail, suivis et

rapports, évaluation de la performance, vérification comptable,

réunions du conseil de gestion, rencontres avec les partenaires,

ententes de financement

2009 X X X X X x

2008 X X X X X x

2007 X X X X X x

RÉSULTAT INTERMÉDIAIRE: SAINE GESTION DES FONDS PUBLICS

500

Coordination opérationnelle, plans annuels de travail, suivis et

rapports, évaluation de la performance, vérification comptable,

réunions du conseil de gestion, rencontres avec les partenaires,

ententes de financement

Valeurs, objectifs et stratégies d'AFD

Stratégie de communication, outils de communication

Web collaboration

Plan de formation et sessions de formation des ressources

humaines autochtones

202

401

403

404

RÉSULTAT INTERMÉDIAIRE: DÉVELOPPEMENT DE RELATIONS POSITIVES AVEC LES PARTENAIRES ET LES UTILISATEURS

MESURE DE PERFORMANCE - PROJETS VERSUS RÉSULTATS INTERMÉDIAIRES

EXTRANTS

----------------------------------------------------------------PROJETS------------------------------------------------

RÉSULTAT INTERMÉDIAIRE: INFLUENCE DES INSTANCES DÉCISIONNELLES LOCALES, RÉGIONALES ET NATIONALES

101

102

104

108

109

111

202

Portraits

Diagnostic

États de situation

Expérimentation opérationnelle

Procédé, méthode de mesures, de suivi, etc.

Outils informatiques

Valeurs, objectifs et stratégies d'AFD

RÉSULTAT INTERMÉDIAIRE: ADOPTION DES SOLUTIONS DANS LES PRATIQUES DES INTERVENANTS

108

109

111

Expérimentation opérationnelle

Procédé, méthode de mesures, de suivi, etc.

Outils informatiques

- 70 -

- 71 -

Considérant les résultats immédiats attendus, on constate depuis les trois premières années de fonctionnement du Projet le Bourdon que les extrants produits par plusieurs projets ont permis effectivement d’augmenter les connaissances, d’identifier des problèmes et de développer un langage commun. Plusieurs éléments de solutions et outils novateurs ont également été développés. Jusqu’à présent, la synergie souhaitée entre les intendants de territoire de l’Unité d’aménagement forestier 064-51 (UAF 064-51) ne s’est pas encore manifestée concrètement.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer la difficulté de parvenir à établir une véritable collaboration et une certaine complicité entre ces acteurs du milieu forestier. Paradoxalement, le facteur le plus important est certainement celui lié à l’adoption de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier au mois d’avril 2010. En effet, cette loi institue un nouveau régime forestier qui s’appuie sur le concept d’aménagement écosystémique et qui favorise la gestion intégrée des ressources et du territoire forestier. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) se voit, entre autres, confier par cette loi les responsabilités de la réalisation de la planification forestière pour la période 2013-2018. De plus, des tables locales de gestion intégrée des ressources et du territoire se mettent en place dans le but d’assurer une prise en compte des intérêts et des préoccupations des personnes et organismes concernés par les activités d’aménagement forestier. Ces nouveaux changements font en sorte que la démarche entreprise par le Projet Le Bourdon afin d’élaborer une stratégie intégrée d’aménagement forestier pour l’UAF 064-51 ne semble plus convenir ni correspondre au processus de planification forestière dans lequel le MRNF s’engagera. Le ministère a effectivement déjà démarré ses travaux afin de produire les Plans d’aménagement forestier intégrés (PAFI) pour le 1er avril 2013. Ces travaux prévoient justement l’établissement d’une stratégie intégrée d’aménagement forestier pour chaque UAF. Au mois de mars 2010, le MRNF a annoncé qu’il se retirait du Projet Le Bourdon et qu’il privilégiait la Commission des ressources naturelles et du territoire des Laurentides comme interlocuteur en matière d’orientations, d’objectifs et de cibles régionaux liés à la conservation ou à la mise en valeur de la faune, de la forêt et du territoire.

A la suite du désistement du MRNF, les intendants de territoire de l’UAF 064-51 ont décidé d’un commun accord d’interrompre les travaux visant à établir une stratégie intégrée d’aménagement forestier pour cette UAF. Dans le contexte de l’application de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier, les membres du Projet Le Bourdon devront revoir la démarche entreprise en l’adaptant au contexte du nouveau régime forestier afin d’assurer l’atteinte de leurs objectifs.

Malgré ces difficultés, certains résultats intermédiaires commencent à se concrétiser notamment au niveau de l’influence des instances décisionnelles régionales. Les résultats des travaux relatifs aux portraits historiques des perturbations naturelles et anthropiques de l’UAF ont permis de cerner plusieurs enjeux écologiques importants. Plusieurs de ces enjeux ont été intégrés au Plan régional de développement intégré des ressources et du territoire (PRDIRT) en élaboration par la Commission des ressources naturelles et du territoire des Laurentides. Le Projet Le Bourdon a contribué à l’Expérimentation du mode de gestion par objectifs mis en œuvre par la Coopérative forestière de Hautes-Laurentides. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune s’intéresse aux résultats de cette expérimentation dans le cadre des contrats de service qu’il est à préparer en vue de la réalisation des interventions forestières à partir du 1er avril 2013. Le responsable du Service du calcul des possibilités forestières de l’Ouest du Bureau du Forestier en chef a manifesté son intérêt pour certains aspects techniques qui ont été développés dans le modèle Woodstock-Stanley de l’UAF 064-51.

- 72 -

L’adoption de certaines solutions dans la pratique des intendants de territoire constitue un autre des résultats intermédiaires obtenus grâce aux activités du Projet Le Bourdon. À titre d’exemple, le projet de développement de veille faunique par l’Association des pourvoiries des Laurentides a permis de doter plusieurs pourvoiries d’un outil de gestion visant à faciliter la prise de données sur l’état des populations des principales espèces fauniques. Grâce à l’application du logiciel de gestion des ponceaux développés par la Régionale des Zecs des Hautes-Laurentides, une aide financière importante du MRNF a pu être obtenue par les ZEC et les pourvoiries pour la réfection de plusieurs ponts.

Pour l’instant, il apparaît que le Projet ne pourra pas réaliser la mise en œuvre d'un plan d'action décrivant les potentiels, les objectifs et les stratégies d'intervention intégrés de tous les intendants de territoire en vue de mettre en valeur de façon durable ses ressources. Ce résultat intermédiaire attendu ne sera vraisemblablement pas atteint compte tenu que la détermination d’une stratégie intégrée d’aménagement forestier, qui relève du MRNF, ne sera pas disponible avant la fin de 2012 et que le Plan régional de développement des ressources et du territoire des Laurentides sera approuvé à l’automne 2011. Le Projet Le Bourdon n’élaborera donc pas un plan stratégique intégré de mise en œuvre durable des ressources et du territoire tel qu’il avait été prévu initialement.

Les activités réalisées jusqu’à présent afin de développer des partenariats et des opportunités d’affaires n’ont pas encore permis l’émergence de nouveaux projets de mise en valeur des ressources. La crise forestière continue à frapper durement les entreprises et les communautés dans la MRC d’Antoine-Labelle. Plusieurs scieries contraintes à une fermeture définitive sont maintenant à vendre. Du côté des organisations œuvrant dans le secteur récréotouristique, l’Association des pourvoiries des Laurentides et la Fédération des pourvoiries du Québec préparent actuellement des plans de développement individualisés pour les pourvoiries intéressées. Ces plans permettront possiblement de générer de nouvelles activités économiques sur le territoire. Par ailleurs, l’embauche d’un agent de liaison dédié au développement des ressources humaines liées au secteur des ressources naturelles dans la communauté Atikamekw de Manawan devrait favoriser la conclusion d’ententes entre cette communauté et de nouveaux partenaires.

- 73 -

RAPPORTS FINANCIERS

L’information financière, relative à la réalisation des projets qui se sont déroulés au cours de la période se terminant le 31 mars 2009, est présentée en trois tableaux.

Le tableau I présente le sommaire des contributions et des dépenses par projet et par domaine d’activité. Les contributions provenant du fonds du Programme des collectivités forestières y sont distinguées des autres sources et de celles en biens et services.

Le tableau 2 affiche les montants versés ainsi que les apports en biens et services de chacun des contributeurs.

Le tableau 3 résume l’utilisation des fonds du Programme des collectivités forestières au 31 mars 2009 et le budget par domaine d’activité et pour chacun des postes du domaine de la gestion et de l’administration pour la saison 2009-2010.

- 74 -

TABLEAU 3 SOMMAIRE DES CONTRIBUTIONS ET DES DÉPENSES 2009-2010

RAPPORT FINANCIER ANNUEL SOMMAIRE DES DÉPENSES 2009-2010

NUMÉRO DE PROJET

SCF-RNCan PARTENAIRES ET AUTRES TOTAL ($)

FONDS PCF ($)

COMPTANT ($) BIENS ET SERVICES ($)

THÈME 1 ACQUISITION DE CONNAISSANCES, DÉVELOPPEMENT D'OUTILS ET

EXPÉRIMENTATION DE NOUVELLES APPROCHES 2009-101 10 201 10 201 2009_108 28 500 14 196 5 165 47 861 2009_123 31 152 5 740 2 700 39 592 2009_128 2 000 6 235 1 800 10 035 2009_132 7 495 7 495 2009_134 14 099 14 099 2009_135 2009_139 29 895 700 30 595 2009_145 11 000 11 000 2009_146 22 283 20 000 42 283 2009_154 5 500 5 500

SOUS-TOTAL 83 246 105 050 30 365 218 661

THÈME 2 PLAN STRATÉGIQUE INTÉGRÉ (PSIM) ET STRATÉGIE D'AMÉNAGEMENT FORESTIER

2009_202 18 127 6 756 17 950 42 833 2009_203 7 640 25 980 33 620 2009_204 16 352 16 352 2009_205 18 740 25 588 44 328 2009_206 19 996 1 168 21 164 2009_208 4 842 8 400 13 242 2009_209 15 750 9 263 25 013

SOUS-TOTAL 101 447 77 155 17 950 196 552

THÈME 3 DÉVELOPPEMENT DE PARTENARIATS ET DES OPPORTUNITÉS D'AFFAIRES

2009_303 55 250 1 140 56 390 2009_306 12 800 27 640 18 500 58 940 2009_307 2009_308 9 730 1 600 11 330

SOUS-TOTAL 22 530 82 890 21 240 126 660

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THÈME 4 COMMUNICATION, TRANSFERT DES ACQUIS ET DES CONNAISSANCES ET FORMATION DES TRAVAILLEURS

2009_401 13 460 14 090 27 550 2009_403 2 500 3 015 5 515 2009_406 92 318 92 318 2009_407 658 658 2009_411 5 000 5 000

SOUS-TOTAL 21 618 109 423 131 041

THÈME 5 GESTION ET ADMINISTRATION

2009_501 65 795 65 795 2009_502 3 437 3 437 2009_503 953 18 300 19 253 2009_504 7 300 2 400 9 700 2009_505 8 704 600 9 304 2009_506 8 124 8 124 2009_507 SOUS-TOTAL 94 313 3 000 18 300 115 613

TOTAL 323 154 377 518 87 855 788 527

- 76 -

TABLEAU 4 LISTE DES CONTRIBUTEURS ET MONTANT DE LEUR CONTRIBUTION ($)

LISTE DES CONTRIBUTEURS ET DE LEURS CONTRIBUTIONS

CONTRIBUTEURS CONTRIBUTIONS TOTAL

COMPTANT BIENS ET SERVICES

PROGRAMME DES COLLECTIVITÉS FORESTIÈRES 323 154 323 154

ASSOCIATION DES POURVOIRIES DES LAURENTIDES 11 255 11 255

B-CAAF 11 950 11 950

CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE MONT-LAURIER 1 350 1 350

CENTRE LOCAL DE DÉVELOPPEMENT D'ANTOINE-LABELLE 1 200 1 200

CONSEIL DE LA NATION ATIKAMEKW 10 000 10 000

CONSEIL DES ATIKAMEKW DE MANAWAN 27 640 600 28 240

CONSEIL RÉGIONAL DES ÉLUS DE LAURENTIDES

COOPÉRATIVE FORESTIÈRE DES HAUTES-LAURENTIDES 9 450 2 850 12 300

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE CANADA 30 000 30 000

COMMISSION DES RESSOURCES NATURELLE ET DU

TERRITOIRE DES LAURENTIDES (CRNTL)

8 800 8 800

FONDATION DE LA FAUNE 10 235 10 235

FONDS VERT 8 283 8 283

FPINNOVATION 300 300

FÉDÉRATION DES POURVOIRIES DU QUÉBEC 450 450

EMPLOI QUÉBEC

IQAFF 150 150

MELS 82 868 82 868

MINISTÈRE DES RESSOURCES NATURELLES ET DE LA

FAUNE

6 750 6 750

MDEIE 10 000 10 000

MRCAL-AL 3 700 3 700

POURVOIRIES 10 446 10 446

RÉGIONALE DES ZECS HAUTES-LAURENTIDES 3 750 3 750

RNCAN 19 500 19 500

SOCIÉTÉ D'AIDE AU DÉVELOPPEMENT DES COMMUNAUTÉS 10 000 10 000

TABLE FORESTIÈRE DES HAUTES-LAURENTIDES 2 800 2 800

TABLE DE CONCERTATION DU TERRITOIRE FORESTIER

PUBLIC DES HAUTES-LAURENTIDES

60 068 1 950 62 018

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC EN OUTAOUAIS 20 000 20 000

VOLET 1 10 201 10 201

VOLET 2 88 827 88 827

AUTRES

700 672 87 855 788 527

- 77 -

TABLEAU 5 SOMMAIRE DES DÉPENSES RÉELLES AU 31 MARS 2010 ET PRÉVUES EN 2010-2011

BUDGET PRÉVISION ET SOMMAIRE

DOMAINE D'ACTIVITÉ RÉELLES RÉELLES RÉELLES PRÉVUES TOTAL

2007-2008 2008-2009 2009-2010 2010-2011 THÈMES

ACQUISITION DE CONNAISSANCES, DÉVELOPPEMENT D'OUTILS ET EXPÉRIMENTATION DE NOUVELLES APPROCHES

68 507 52 934 83 246 140 936 345 623

PLAN STRATÉGIQUE INTÉGRÉ (PSIM) ET STRATÉGIE D'AMÉNAGEMENT FORESTIER

42 993 136 949 101 447 23 670 305 059

DÉVELOPPEMENT DE PARTENARIATS ET DES OPPORTUNITÉS D'AFFAIRES

7 000 18 843 22 530 26 808 75 181

COMMUNICATION, TRANSFERT DES ACQUIS ET DES CONNAISSANCES ET FORMATION DES TRAVAILLEURS

23 611 44 467 21 618 36 510 126 206

GESTION ET ADMINISTRATION

SALAIRES ET AVANTAGES SOCIAUX 21 555 39 365 65 795 67 171 193 886

FRAIS DE DÉPLACEMENT 3 537 5 132 3 437 5 000 17 106

FRAIS DE RÉUNION 618 2 108 953 1 000 4 679

COMPTABILITÉ 2 400 7 200 7 300 7 200 24 100

SERVICES PROFESSIONNELS ET TECHNIQUES 930 8 002 8 704 6 800 24 436

DÉPENSES D'EXPLOITATION, D'ENTRETIEN, D'ÉQUIPEMENT ET DE MOBILIER DE BUREAU

3 849 9 241 8 124 9 905 31 119

IMPRÉVUS

SOUS-TOTAL 32 889 71 048 94 313 97 076 295 326

TOTAL 175 000 324 241 323 154 325 000 1 147 395

- 78 -

LISTE DU PERSONNEL, COLLABORATEURS ET PARTENAIRES

LISTE DU PERSONNEL

Raymond Barrette

425, rue du Pont

Mont-Laurier, Québec, J9L 2R6

Téléphone : (819) 623-5398

Télécopieur : (819) 623-7311

Louise Roy

83, Chemin du Boisé

Chute-Saint-Philippe, Québec, J0W 1A0

Téléphone : (819) 585-9468

LISTE DES PARTENAIRES ACTIFS

Membres actifs

Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

Association des pourvoiries des Laurentides

Centre de formation professionnelle Mont-Laurier

Centre local de développement de la MRC d’Antoine-Labelle

Commission des ressources naturelles et du territoire des Laurentides

Conseil des Atikamekw de Manawan

Fédération des pourvoiries du Québec

Fédération québécoise des Coopératives forestières

FPInnovations-Féric

Municipalité régionale de comté d’Antoine-Labelle

Régionale des ZECS des Hautes-Laurentides

Société d’aide au développement des communautés d’Antoine-Labelle

Table Forêt Laurentides

Membres associés

Syndicat des producteurs de bois de Labelle

Agence de mise en valeur des forêts privées des Laurentides

Ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation du Québec (MEDEIE)

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LISTE DES MEMBRES DE COMITÉ

Conseil de gestion (2 rencontres)

Agence de mise en valeur des forêts privées des Laurentides

- M. Michel Mongeau

Association des intervenants des Hautes-Laurentides

- M. Ghislain Clavel, directeur général, Coopérative forestière des Hautes-Laurentides

- M. François Lapalme, directeur de l’approvisionnement, Claude Forget et vice-président du projet Le Bourdon


- M. Denis Morin, président

Centre de formation professionnelle de Mont-Laurier

- M. Robert Seuron, directeur adjoint

CLD de la MRC d’Antoine-Labelle

- M. Stéphane Lapointe, directeur général

Commission sur les ressources naturelles et le territoire des Laurentides

- M. Jacques Supper, directeur général

Conseil des Atikamekw de Manawan

- Représentant à nommer


- M. Jonathan Leblond, directeur de la foresterie

Fédération québécoise des Coopératives forestières du Québec

- M. Jocelyn Lessard, directeur général

FPInnovations-FÉRIC

- M. Philippe MEEK, chercheur

Ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation

- M. Serge Thériault, directeur régional, Région des Laurentides

Ministère des Ressources naturelles et de la Faune

- M. Georges Laferrrière

MRC d’Antoine-Labelle

- M. Jean Labelle, directeur adjoint, Service de l’Aménagement


- M. Jean-Marc Bélanger, administrateur

SADC d’Antoine-Labelle

- M. Benoit Cochet, directeur général

- 80 -

Syndicat des producteurs de bois de Labelle

- M. Mario Lanthier, directeur général

Table Forêt Laurentides

- Mme Mélissa Thibault, directrice

Comité de mise en œuvre (7 rencontres)

- M. Denis Morin, Association des pourvoiries des Laurentides

- M. Robert Seuron, Centre de formation professionnelle de Mont-Laurier

- M. Jean-Marc Bélanger, Régionale des ZECS des Hautes-Laurentides

- Mme Mélissa Thibault, Table Forêt des Laurentides

- M. Ghislain Clavel, Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

- M. François Lapalme, Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

- M. Yves Latour, Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

- Représentant à nommer, Conseil de bande de la communauté Atikamekw de Manawan

Comité des communications (1 rencontre)

- Mme Anaïs Gasse, Association des pourvoiries des Laurentides

- M. Pascal Gauthier, Coopérative forestière des Hautes-Laurentides

- Mme Mélissa Thibault, Table Forêt Laurentides

- Mme Mélisa Robitaille, Table Forêt Laurentides

- M. Raymond Barrette, Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

Groupe de travail portant sur les objectifs des intendants de territoire (17 rencontres)

Bénéficiaires de CAAF de l’UAF 064-51

- M. François Lapalme, Claude Forget inc.

- Mme Natacha Lamarche, Coopérative forestière des Hautes-Laurentides

- M. Yves Latour, Max Meilleur et Fils


- M. Jean-Marc Bélanger


- M. Denis Morin

Conseil de bande de la communauté Atikamekw de Manawan

- M. Pierre-Paul Niquay

Municipalité régionale de comté d’Antoine-Labelle

- M. Jean Labelle

- 81 -

Personnes ressources

- M. Jacques Supper, Commission des ressources naturelles et du territoire des Laurentides

- Mme Annie Mercier, Commission des ressources naturelles et du territoire des Laurentides

- M. Étienne Lemieux, Fédération des pourvoiries du Québec

- M. Pascal Gauthier, Cellule Innovation et expérimentation, Coopérative forestière des Hautes-Laurentides

- M. Éric Jaccard, Ministère des Ressources naturelles et de la Faune

- M. Miguel Hatin, Régionale des ZECS des Hautes-Laurentides

- Mme Anaïs Gasse, Association des pourvoiries des Laurentides

- M. Jacques Robert, Service canadien des forêts

- M. Raymond Barrette, Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

Expertise technique et scientifique

Service Innovation et Expérimentation, Coopérative forestière des Hautes-Laurentides

- M. Pascal Gauthier, ing.f.

- M. Éric Lussier, ing.f.

- Mme Émilie Allard, ing.f.


- M. Miguel Hatin, ing.f.


- Mme Anaïs Gasse, biologiste

- M. François Trottier, ing. f.


- Étienne Lemieux, ing.f.

Expertise Atikamekw

- M. Pierre-Paul Niquay

- 82 -

- 83 -

ANNEXE 1 - MODÈLE LOGIQUE

DOMAINES D'ACTIVITÉS EXTRANTS

(100) Acquisition de connaissances,

développement d'outils et expérimentation de

nouvelles approches

(200) Élaboration du plan

stratégique intégré de mise en valeur durable des ressources et du

territoire (PSIM) et des stratégies

d'aménagement forestier

(300) Développement des partenariats et des

opportunités d’affaires

(400) Communication transfert

des acquis et des connaissances et

formation des travailleurs

(500) Gestion et administration

101 - Portraits 102 - Diagnostics 103 - Résultats de sondages, satisfaction 104 - États de situation 105 - Cartographies 106 - Simulations de calculs de possibilité

forestière

107 - Traitement sylvicoles novateurs intégrés

108 - Expérimentations opérationnelles 109 - Procédés, méthodes de mesures, de

suivis, de contrôle, de bilan d'évaluation de satisfaction

110 - Essai d'équipements adaptés 111 - Outils informatiques 112 - Incubateurs de produits

201 - Modèle et processus pour l'élaboration du PSIM

202 - Valeurs, objectifs et stratégies d'AFD PSIM

203 - Stratégies d'aménagement forestier

301 - Études de faisabilité 302 - Nouveaux produits et services 303 - Entente de participation des

communautés autochtones à la mise en valeur des ressources

401 - Stratégie de communication, outils de communication

402 - Transfert des connaissances et des technologies et mise en valeur du modèle développé dans le PCF, ici et ailleurs

403 - Web collaboration 404 - Plans de formation et sessions de

formation des ressources autochtones

500 - Coordination opérationnelle, plans annuels de travail, suivis et rapports, évaluation de la performance, vérification comptable, réunions du conseil de gestion, rencontres les partenaires, ententes de financement

Augmentation des connaissances Identification de problèmes.

Développement d'éléments de solutions/outils novateurs (AFD, biomasse énergétique, gestion par objectifs, etc.).

Développement d'un langage commun et d'une synergie des intendants de territoire et adoption de la stratégie intégrée des ressources et du territoire par les intendants de territoire.

Acceptation des stratégies *d'aménagement forestier comme intrants *dans les calculs de possibilité forestière 2013-2018.

Développement de la capacité à saisir les occasions d'affaires. Mise en œuvre de nouveaux partenariats avec les communautés autochtones.

Partage des connaissances et des technologies acquises.

Amélioration des perceptions de la gestion responsable des forêts. Développement du réseautage national et international.

Efficacité et transparence de la gouvernance Mobilisation des partenaires et des collaborateurs

Identification des sources de financement à long terme

Influence des instances décisionnelles locales, régionales et nationales

Adoption des solutions dans les pratiques des intervenants

Optimisation de la capacité de production du territoire dans une perspective d'AFD en respect de la biodiversité à l'échelle du paysage

Mise en œuvre d'un plan d'action décrivant les potentiels, les objectifs et les stratégies d'interventions intégrés de tous les intendants de territoire en vue de mettre en valeur de façon durable ses ressources

Croissance de l'économie relative aux secteurs forestier et récréotouristique

Émergence de projets de mise en valeur des ressources

Développement de relations positives avec les partenaires et les utilisateurs.

Accessibilité et disponibilité pour la collectivité d'outils développés par les gouvernements et les différents sites de Forêts modèles

Saine gestion des fonds publics

Stabilisation du financement des activités des partenaires

Collectivité forestière des Hautes-Laurentides mieux outillée et en mesure de réagir aux enjeux et aux possibilités liés aux ressources du milieu forestier

Participation active à des réseaux nationaux et internationaux d'échanges portant sur la gestion forestière durable et le développement des collectivités

RÉSULTATS IMMÉDIATS RÉSULTATS INTERMÉDIAIRES RÉSULTATS À LONG TERME

- 84 -

- 85 -

ANNEXE 2 - LISTE DES ACRONYMES ACSR Agriculture Canada secrétariat rural

AHL Association des intervenants forestiers des Hautes-Laurentides

APL Association des pourvoiries des Laurentides

BCAAF Bénéficiaires de CAAF

BFEC Bureau du Forestier en chef

CAAF Contrat d’aménagement et d’approvisionnement forestier

CDAM Conseil de bande de Manawan

CFHL Coopérative forestière des Hautes-Laurentides

CFP Centre de formation professionnelle de Mont-Laurier

CJ Coupe de jardinage

CLDAL Centre local de développement de la MRC d’Antoine-Labelle

CMCD Coupe multitraitement dans les peuplements de densité C et D

CNA Conseil de la Nation Atikamekw

CREL Conseil régional des élus des Laurentides

CRNTL Commission des ressources naturelles et du territoire des Laurentides

DEC Développement économique Canada

EPC Éclaircie pré-commerciale

EQ Emploi Québec

FEC Forestier en chef

FFQ Fondation de la faune

FPQ Fédération des pourvoiries du Québec

FSC Forest Stewardship Council

FT Forêt de feuillus tolérants

GPO Gestion par objectifs

IQAFF Institut d’aménagement de la forêt feuillue

MDEIE Ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation

MELS Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport

MFIF Forêt mélangée de feuillus intolérants à tendance feuillue

MFIR Forêt mélangée de feuillus intolérants à tendance résineuse

MFTF Forêt mélangée de feuillus tolérants à tendance feuillue

MFTR Forêt mélangée de feuillus tolérants à tendance résineuse

MRCAL Municipalité régionale de comté d’Antoine-Labelle

MRNF Ministère des Ressources naturelles et de la Faune

OPMV Objectif de protection et de mise en valeur

PCF Programme des collectivités forestières

PRDIRT Plan régional de développement intégré des ressources et du territoire

R Forêt résineuse

RCFM Réseau cana dien des forêts modèles

RIFM Réseau international des forêts modèles

RNCAN Ressources naturelles Canada

- 86 -

RZHL Régionale des ZECS des Hautes -Laurentides

SAA Secrétariat des affaires autochtones

SBL Signature Bois Laurentides

SC Service Canada

SIC Coopérative

TCTFPHL Table de concertation du territoire forestier public des Hautes-Laurentides

TFL Table forêt Laurentides

TFR Table faunique régionale

TGIRT Table locale de gestion intégrée des ressources et du territoire

UAF Unité d’aménagement forestier

UQO Université du Québec en Outaouais

ZEC Zone d’exploitation contrôlée

Documents

PROGRAMME DES COLLECTIVITÉS FORESTIÈRES … LE BOURDON 2009-2010.pdf · Le rapport annuel 2009-2010 couvre la période du 1er avril 2009 au 31 mars 2010. Sans ... Plan stratégique