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Bulletin miva Nº 1, printemps 2017 Le Centro de Formación y Capacitación para la Participación Ciudadana (FOCAPACI) promeut l’agriculture urbaine à travers un appui technique, des conseils et des formations. La ville est déjà très dense, mais les cours intérieures offrent des espaces de vie qui peuvent aussi accueillir des cultures. Malgré la rudesse du climat qui règne à plus de 4000 mètres d’altitude, l’agriculture urbaine permet aux habitants de produire des fruits et légumes sains pour leur propre consommation. Des tomates, des épinards, des blettes, de la salade, du quinoa, des carottes, du persil et de la coriandre poussent sous serre. Les familles vendent leurs excédents au marché, ce qui génère des revenus supplémentaires. Avec un nouveau véhicule tout-terrain, l’équipe de FOCAPACI peut se rendre auprès des producteurs habitant dans les quartiers périphériques éloignés et transporter du matériel. 650 familles, soient 2500 personnes, bénéficient directement de ce travail. 250 familles élèvent également des poules pondeuses et des cochons d’Inde. Vidéo: miva.ch/fr/projets/impressions/voyage-de-projet Des familles démunies d’El Alto améliorent leur alimen- tation et leurs revenus grâce à «l’agriculture urbaine» Projet 160047 Moyens financiers nécessaires: CHF 24 500.– Plus de 650 familles bénéficient de légumes, de fruits, d’œufs et de viande de cochon d’Inde issus de leur propre exploitation agricole. La Bolivie est l’un des pays les plus pauvres d’Amérique latine. La vie des paysans est dure et les sols sont peu fertiles. Ces conditions poussent les communautés andines, en particulier les jeunes, à l’exode rural. Des villes comme El Alto ne cessent de se développer. Cette agglomération compte environ 900 000 habitants, dont les deux tiers sont des migrants ori- ginaires de régions rurales. 67 % de la population d’El Alto n’est pas en mesure de subvenir à ses besoins élémentaires. Dans cettesituation, il est impossible de se nourrir de manière saine et équilibrée. La malnutrition et la dénutrition sont fréquentes et touchent particulièrement les enfants. «L’agriculture urbaine» assure une alimentation saine en Bolivie Doña Simona est fière de présenter sa serre, équipée d’un système d’arrosage simple. Les cours intérieures d’El Alto peuvent accueillir des plates-bandes. PROJET PRINCIPAL EN BOLIVIE

PROJET PRINCIPAL EN BOLIVIE «L’agriculture urbaine» assure … · 2018. 2. 27. · Projet 160047 Moyens financiers nécessaires: CHF 24500.– Plus de 650 familles bénéficient

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Page 1: PROJET PRINCIPAL EN BOLIVIE «L’agriculture urbaine» assure … · 2018. 2. 27. · Projet 160047 Moyens financiers nécessaires: CHF 24500.– Plus de 650 familles bénéficient

Bulletin miva Nº 1, printemps 2017

Le Centro de Formación y Capacitación para la Participación Ciudadana (FOCAPACI) promeut l’agriculture urbaine à travers un appui technique, des conseils et des formations. La ville est déjà très dense, mais les cours intérieures offrent des espaces de vie qui peuvent aussi accueillir des cultures. Malgré la rudesse du climat qui règne à plus de 4000 mètres d’altitude, l’agriculture urbaine permet aux habitants de produire des fruits et légumes sains pour leur propre consommation. Des tomates, des épinards, des blettes, de la salade, du quinoa, des carottes, du persil et de la coriandre poussent sous serre. Les familles vendent leurs excédents au marché, ce qui génère des revenus supplémentaires.

Avec un nouveau véhicule tout-terrain, l’équipe de FOCAPACI peut se rendre auprès des producteurs habitant dans les quartiers périphériques éloignés et transporter du matériel. 650 familles, soient 2500 personnes, bénéficient directement de ce travail. 250 familles élèvent également des poules pondeuses et des cochons d’Inde.

Vidéo: miva.ch/fr/projets/impressions/voyage-de-projet

Des familles démunies d’El Alto améliorent leur alimen-tation et leurs revenus grâce à «l’agriculture urbaine»Projet 160047Moyens financiers nécessaires: CHF 24 500.–

Plus de 650 familles bénéficient de légumes, de fruits, d’œufs et de viande de cochon d’Inde issus de leur propre exploitation agricole.

La Bolivie est l’un des pays les plus pauvres d’Amérique latine. La vie des paysans est dure et les sols sont peu fertiles. Ces conditions poussent les communautés andines, en particulier les jeunes, à l’exode rural. Des villes comme El Alto ne cessent de se développer. Cette agglomération compte environ 900 000 habitants, dont les deux tiers sont des migrants ori-ginaires de régions rurales. 67 % de la population d’El Alto n’est pas en mesure de subvenir à ses besoins élémentaires. Dans cettesituation, il est impossible de se nourrir de manière saine et équilibrée. La malnutrition et la dénutrition sont fréquentes et touchent particulièrement les enfants.

«L’agriculture urbaine» assure une alimentation saine en Bolivie

Doña Simona est fière de présenter sa serre, équipée d’un système d’arrosage simple.

Les cours intérieures d’El Alto peuvent accueillir des plates-bandes.

PROJET PRINCIPAL EN BOLIVIE

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De nouveaux mulets permettent aux «Madan Sara» de reprendre leur activité après l’ouraganProjet 160067Moyens financiers nécessaires: CHF 46 400.–

Une nouvelle catastrophe naturelle a touché Haïti de plein fouet. Le 4 octobre 2016, «Matthew», l’ouragan le plus puis-sant depuis plusieurs années, a balayé le sud-ouest du pays, semant sur son passage la destruction et la perte – de per-sonnes, d’animaux, de denrées alimentaires, de plantations, de rues, de ponts. Jusqu’à 95 % des cultures de la région ont été détruites. Parmi les victimes de la tempête, on déplore également 83 mulets que miva avait financés dans le cadre de son aide aux populations des montagnes. Aujourd’hui, ces bêtes de somme seraient pourtant bien utiles pour transpor-ter de la nourriture, des matériaux de construction, des se-mences et d’autres charges lourdes. Pour que les commerçantes touchées puissent reprendre leur travail, KOFIP (Kolektif Finansman Popilè) remplace les animaux perdus immédia-tement et sans formalités bureaucratiques.Le programme de crédit pour l’achat d’animaux lancé il y a tout juste 10 ans est destiné à aider les femmes vivant dans les montagnes. Il permet aux commerçantes d’acquérir un mulet pour transporter leurs marchandises plus vite et avec beaucoup moins de peine jusqu’au marché. Ces femmes peuvent ainsi gagner de l’argent pour leurs familles.

Une «Madan Sara» (nom donné aux commerçantes) en route pour le marché

NOUVEAU PROJET AU HAÏTIEDITORIAL

La mobilité crée toute une chaîne alimentaire

En Suisse, la mobilité va de soi. Un retard de train de cinq minutes, et Monsieur et Madame Tout-le-monde s’impatientent déjà. Mais dans les pays du Sud (Afrique, Amérique latine et Asie), là où miva «transporte l’aide», la mobilité est souvent un luxe. Les cata-strophes naturelles comme les tremblements de terre ou les cyclones provoquent des souffrances humaines, mais détruisent aussi des réseaux routiers, des ponts et des maisons. On a d’urgence besoin d’un véhicule tout-terrain robuste pour la reconstruction du système scolaire dans les régions du Népal touchées par le séisme. En Haïti, de nouveaux mulets permettent à des commerçantes de reprendre leur activité après l’oura-gan. Des perspectives s’ouvrent enfin pour des enfants et des jeunes kenyans en situation de handicap mental: grâce à un minibus, ils peuvent accéder à une forma-tion adaptée.

miva se concentre résolument sur l’«aide à l’entraide», et ce, depuis 85 ans! Les véhicules miva assurent des missions très variées. Ils démontrent l’importance d’une chaîne d’approvisionnement complète pour le développement. Un seul de ces véhicules manque, et c’est la nourriture, terrestre comme spirituelle, qui manque également. Pour continuer à «transporter l’aide» de manière effi-cace et en accord avec les besoins, miva Suisse dépend des dons privés. Nous sommes heureux de vous comp-ter parmi nos fidèles soutiens et vous remercions pour votre contribution.

Regula ErazoPrésidente de la commission de projets, miva SuisseFormatrice d’adultes

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Le minibus viendra chercher les enfants et les jeunes en situation de handicap mental chez eux.

Des écoliers apprennent comment utiliser une lampe solaire.

NOUVEAU PROJET AU NÉPAL NOUVEAU PROJET AU KENYA

Reconstruction du système scolaire dans les régions du Népal touchées par le séismeProjet 160061Moyens financiers nécessaires: CHF 26 000.–

Fin avril 2015, un violent séisme a frappé de vastes régions du Népal, causant d’énormes dégâts et d’immenses souffrances. Un très grand nombre de maisons, écoles et rues ont été dé-truites ou fortement endommagées. ECCA (Environmental Camps for Conservation Awareness) a apporté une aide humanitaire immédiatement après le séisme. Dans un deuxième temps, l’organisation se concentre sur la reconstruction et la réhabilitation du système scolaire. Les activités d’ECCA ciblent les populations rurales pauvres, en particulier les enfants des écoles, les jeunes, les femmes et les paysans.

Elles couvrent 117 écoles dans 25 communes et 11 districts. ECCA soutient les personnes démunies par des formations, une sensibilisation et des infrastructures de base. Pour mener à bien les travaux de reconstruction du système scolaire, il faut transporter des employés et des matériaux. Or, ECCA ne pos-sède pas de véhicule et doit actuellement en louer, ce qui lui coûte cher. La reconstruction demande une logistique com-plète; un véhicule tout-terrain robuste renforcerait considé-rablement l’efficacité de ces activités.

Offrir des perspectives à des enfants en situation de handicap mentalProjet 160057Moyens financiers nécessaires: CHF 25 900.–

Le district de Siaya, à l’ouest du Kenya, compte environ 850 000 habitants. Dans cette région, quelque 2500 personnes vivent avec un handicap mental. Elles n’ont pas accès à des solutions éducatives adaptées et sont souvent exclues de la société.La St. Dymphna Madiany Special School for the Mentally Han-dicapped offre aux enfants et aux jeunes en situation de han-dicap mental une formation axée sur leurs besoins. Elle les aide à acquérir plus d’autonomie et de confiance en eux, tout en favorisant leur acceptation dans la société. Une centaine d’élèves de 5 à 25 ans suivent un enseignement de base ou une formation professionnelle pratique, avec une offre de loisirs variée. Des membres de l’équipe se rendent également chaque mois dans près de 100 familles où vivent des enfants en situa-tion de handicap mental. Les enfants bénéficient d’un suivi compétent, tandis que les parents sont informés et sensibili-sés. Un minibus facilitera considérablement le travail de l’équipe. Il permettra par exemple de transporter les élèves à l’école, vers les centres de formation pratique ou les activités de loisirs, mais aussi de se rendre dans les familles ou d’assurer des examens médicaux.

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Vous trouvez d’autres projets sur www.miva.ch

Un pick-up pour transporter les patients et le personnel à l’hôpital et promouvoir la vaccination dans les villages

VOTRE DON FAIT LA DIFFERENCE

mivamoyens de transport pour l’entraidesur 3 continents

Chère donatrice, cher donateur,

Le Toyota Hilux permet d’assurer divers services de santé au nord du Cameroun. Sans votre soutien, l’engagement des mé-decins, bénévoles, infirmières, spécialistes et techniciens se-rait loin d’être aussi efficace. Votre don permet à nos équipes d’accomplir un meilleur travail, dans l’intérêt des malades de la région d’Adamaoua. Aujourd’hui simple centre de santé, l’hôpital de Galagala deviendra bientôt un hôpital de référence A. La formation des responsables techniques et de l’entretien du bâtiment a commencé. L’objectif est de familiariser tous les collaborateurs avec les nouvelles normes d’hygiène. D’autres professionnels de santé, des radiologues et des tech-niciens de laboratoire suivront des cours pour apprendre à utiliser les nouveaux appareils et équipements techniques.

Nous menons actuellement une campagne de distribution de moustiquaires gratuitement mises à disposition par le gou-vernement. Nous approvisionnons 12 villages et 5 quartiers de la ville de Ngaoundal, ce qui représente environ 16 700 personnes. Dès que l’hôpital sera fonctionnel, nous effectuer-ons d’autres interventions «dans la brousse». Notre lettre de remerciement ne donne qu’un petit aperçu de nos activités. Lorsque l’hôpital sera pleinement opérationnel, nos missions deviendront bien plus importantes et complexes.

Notre équipe de santé vous témoigne sa reconnaissance et vous remercie pour votre généreux soutien.

Sœur Marie Michelle CORNUT, Sœur de la Charité de Ste Jeanne Antide Thouret

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Entretien avec Nina Dimitri, membre du patronage de miva

1. Comment êtes-vous entré en contact avec miva et quelle est votre relation avec l’œuvre? «Un pensamiento en el universo» – «Une pensée dans l’uni-vers». La demande de miva est d’abord parvenue à mon papa, le clown Dimitri, avant d’arriver jusqu’à moi. Cela m’a tout de suite convenu car je m’engage déjà depuis de nombreuses années en faveur d’une aide au développement durable sous la forme de l’aide à l’entraide. Avec miva, je peux faire œuvre utile et donner en retour.

2. Pourqoui vous engagez-vous dans le patronage de miva? J’ai plaisir à m’impliquer car je suis déjà convaincue par l’ac-tion de miva. Lorsque j’étais jeune mère, j’ai habité pendant 4 ans dans une cabane isolée près de Cochabamba, en Bolivie. Les conditions étaient précaires (pas d’électricité, de w.c. ni d’eau) mais ce qui m’importait, c’était l’étude professionnelle du charango. Comme j’ai partagé la vie des habitants locaux, je connais concrètement leurs besoins et leurs problèmes. Par exemple, lorsqu’il était petit, mon fils a contracté une ami-biase à cause de l’eau souillée. Ce fut une période difficile! La mobilité est extrêmement importante car elle donne accès à une prise en charge médicale et sauve des vies.

3. Quel est votre vœu pour l’avenir de miva Suisse?Je souhaite de tout cœur à miva de se développer, avec de nombreux donateurs pour soutenir son travail important et lui permettre de continuer à transporter l’aide. C’est un fac-teur décisif pour une petite œuvre d’entraide de niche comme miva. Je m’engage aussi pour miva parce que je souhaite ren-forcer sa notoriété au Tessin et dans toute la Suisse.

L’aide axée sur les besoins en 2016

L’année dernière a été marquée par de nombreux foyers de tension et événements politiques à travers le monde. Ces phénomènes ont aussi eu un impact sur miva. Aide d’urgence ou aide à l’entraide? Cette question a été décisive pour beau-coup de donatrices et donateurs. miva a enregistré un produit d’exploitation de 1 662 000 francs imputable à une baisse des recettes issues des legs et des dons généraux. Avec ces moyens financiers, miva Suisse a pu fournir des prestations complètes dans le cadre de 52 projets à travers 18 pays et a cofinancé: 253 bêtes de somme, 320 vélos et tricycles, 6 motos, 2 voitures, 3 camions, 32 véhicules tout-terrain, 2 minibus et 2 bateaux. Concernant les moyens de communication, miva a contribué à financer 26 ordinateurs, 4 radios, 2 téléphones satellite et des enregistreurs. Nos partenaires dans les pays du Sud ont mis tous ces moyens au service de la lutte contre la pauvreté, de la santé et du travail social et pastoral.

Grâce à votre généreux soutien, chers donateurs, miva Suisse a une fois encore pu apporter des solutions variées, adéquates et adaptées au contexte local. Vous pouvez télécharger notre rapport annuel complet sur notre site Internet (www.miva.ch/ fr/documents) ou le commander auprès de notre secrétariat.

ACTUALITES

miva transporte l’aide … … dans 13 pays prioritaires.

Nina DimitriArtiste, Verscio

Financement par types de projets 2016

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Hubstrasse 32, case postale, 9501 WilTéléphone 071 912 15 [email protected], www.miva.ch

miva est synonyme de qualité et de confianceLa miva porte le label de qualité ZEWO. En sa qualité d’organisation d’utilité publique, elle est exonérée d’impôts. Les dons avec justificatifs peuvent être déduits des impôts.

Comité de directionFelix Bischofberger, gestion desPostes, Altenrhein, président; Victor Meyer, lic. en droit HSG, Associé de PricewaterhouseCoopers, Uitikon Waldegg, vice-président; Mauro Clerici, San Nazzaro TI; Gallus Eberle, Engelburg SG; Regula Erazo, éducateur adulte, Emmenbrücke; Dr. med. Yvonne Gilli, médecin, Wil SG; Josef A. Jäger, président du conseil d’administration CamionTransport AG, Wil SG; AbbéEmmanuel Rutz OSB, Abbaye St. Otmarsberg, Uznach; CarloSchmid-Sutter, avocat indépendant, Oberegg AI.

ImpressumLe bulletin miva paraît quatre fois par année et peut être abonnépour CHF 5.–.

Impression :Cavelti AG, 9201 GossauImprimé sur papier certifié FSC

Traduction :Interna Translations AG, Zurich

Rédaction / Conception:Gabriella Wiss et Esther Albisser

Editeur :miva SuisseCase postale, 9501 WilTéléphone 071 912 15 55Fax 071 912 15 57E-mail [email protected]

DirectriceGabriella Wiss, Wattwil

Le comité de direction s’engage à titre bénévole pour miva suisse.

AU SUJET DE MIVA

CH36 0900 0000 1900 6129 8

Gabriella Wiss quitte miva Suisse

Après près de sept ans de direction, les chemins de Gabriella Wiss et miva se séparent fin juin 2017 en raison de divergences de vues concer-nant l’orientation et le management.Le comité de direction et l’équipe de miva la remercient pour son bon travail et son grand engagement en faveur des personnes défavorisées des pays du Sud. Lors de ses voyages de projets annuels, elle a rendu visite aux bénéficiaires et aux partenaires de miva en Afrique, en Amérique latine et en Asie afin d’assurer l’utilisation responsable des dons et d’évaluer de nouveaux projets. Professionnelle chevronnée du marketing et de la com-munication, Gabriella Wiss a marqué activement miva de son empreinte au cours des 7 dernières années. Elle a poursuivi le développement de l’œuvre et renforcé sa notoriété par diverses activités, notamment en Romandie et au Tessin. Nous adressons à Gabriella Wiss tous nos vœux de réussite pour l’avenir, dans sa vie professionnelle comme privée.

My Happy End

L’association My Happy End regroupe 23 organisations suisses réputées, dont miva Suisse. L’objectif de My Happy End est d’inciter les Suissesses et les Suisses à donner une partie de leur futur héritage à des organisations d’utilité publique. Vous pouvez aussi effectuer un bilan de votre situation successorale personnelle en un clin d’œil grâce à l’outil d’analyse rapide.Analyse rapide: www.myhappyend.org ou demandez la brochure sur le legs directement auprès de miva.

Assemblée générale 2017

Chères bienfaitrices et chers bienfaiteurs, chers amis de miva, nous avons le plaisir de vous inviter à notre assemblée générale qui se tiendra le samedi 29 avril 2017 après-midi à Wil. Vous pourrez télécharger l’ordre du jour avec le bulletin d’inscription sur notre site Internet à partir de début avril (miva.ch/fr/documents) ou le commander par courrier postal ou par e-mail à notre secrétariat.

miva exerce ses activitésdepuis 1932 en qualité d’œuvre de bienfaisance suisse s’engageant pour les personnes défavorisées dans les pays du Sud. Elle soutient le financement et l’acquisition professionnelle de moyens de transport et de communication adéquats pour l’entraide. Elle collabore avec des partenaires à la base, qui s’investissent pour le développement local et dans le cadre de projets sociaux et pastoraux.

CCP 19-6129-8