QUI OSERA Refuter La Synergétique

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  • 8/12/2019 QUI OSERA Refuter La Synergtique

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    QUI OSERARFUTERLA SYNERGTIQUE?Alors que le premiergnrateur synergtique vientde fonctionner, la science of-ficielle continue ignorer lestravaux du Pr. Valle. Ceciest d'autant plus grave queles travaux mnent l'ind-pendance nergtique. Aussidemandons-nous aux cher-cheurs de se prononcer sans

    quivoque sur la valeur de lathorie synergtique.

    Puisqu'une thorie n'a de valeur que sil'exprience vient la confirmer, la syner-gtique a t mise l'essai cet t en Bel-gique. Les rsultats sont positifs. Pour la

    premire fois, un amplificateur de puissance afonctionn avec pour seul apport extrieurd'nergie l'univers qui nous entoure et appartient tous. Le gnrateur construit Morstel parric d'Hoker a restitu le quadruple de la puis-sance qu'on lui avait donne, ce qui constitue soi seul un rsultat dconcertant, et tout faitinexplicable dans le cadre des thories ancien-nes de la physique. Car rien ne se perd, rien ne

    se cre, et il a bien fallu que l'nergie suppl-mentaire trouve la sortie vienne de quelquepart.

    Or cette nergie supplmentaire apparemmentvenue de nulle part vient confirmer de manireindniable la thorie synergtique du Pr. Valledont l'hypothse de base est la suivante: les es-paces interatomiques, interstellaires et inter-galactiques de l'univers, habituellement consi-drs comme vides, sont en ralit

    le sige d'une activitlectromagntique in-tense, et non matrielle, rpartition continue, et qui rsultede la superposition d'ondes l-mentaires distinctes se propageantdans toutes les directions desvitesses gnralement peu diffrentesentre elles. On peut traduire cettehypothse sous une forme plus com-mode en disant que la structure de l'espa-ce est nergtique. La matire peutdonc changer de l'nergie avec l'espace,et c'est ce que vient de confirmer I'expriencede Mortsel. Qui plus est, cette nergie estsans limite, et l'appareil qui permet de la cap-ter est relativement simple.

    Pour nos lecteurs, cette information n'est paschose nouvelle. II y a maintenant un an et demique nous avons sommairement expos les gran-des lignes de la thorie synergtique (numro defvrier 1974). Plus rcemment, au dbut de cetteanne (numro de janvier 1975) nous avons re-pris le sujet propos des checs de la fusionnuclaire contrle par le systme Tokamak,checs prvus et expliqus par la synergtique.

    Avant de revenir sur celle-ci et sur l'exp-rience belge de cet t, i l faut se pencher surun problme tout de mme assez curieux : le si-lence absolu avec lequel a t accueillie cettethorie nouvelle. Certes, elle remue bien desconnaissances acquises et choque bien des dog-mes; mais que personne, parmi les spcialistesde la physique fondamentale n'ait os donnerune opinion pour ou contre laisse rveur.Car les articles dans lesquels nous avons mis encause, non seulement le CEA, mais aussi quel-ques nom clbres de la science franaise,n'ont pas suscit la moindre rponse. Cas uniquedans les annales de notre revue.

    Si demain nous rdigions un article pour ex-pliquer que l'EDF gaspille son temps, son ner-gie et l'argent des usagers btir des lignes

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    haute tension alors qu'un ingnieur a russi mettre le courant en bouteilles, nous recevrionsimmdiatement un rectificatif publier nous ex-pliquant, soit que le procd est connu maisinapplicable, soit qu'il est valable mais tropcher, soit encore qu'il s'agit d'une pure affabula-tion. Il en irait videmment de mme si nouscrivions que les laboratoires pharmaceutiquesse payent la tte des gens puisque l'eau de mergurit tout, ou qu'il est drisoire de construiredes voitures 4 roues alors qu'avec deux chenil-les cela irait tellement mieux.

    Avec la physique nuclaire, qui pourtant mobi-lise temps, nergie et argent des contribuables,rien de tout cela. Apparemment, personne n'osedonner la rplique au Pr. Valle; car enfin, lathorie synergtique ouvre des perspectives sivastes, dans un cadre mathmatique si simple,qu'elle mrite d'tre prise en considration. Ouelle est vraie, et il faut le dire, et modifier tousles programmes nuclaires en consquence; ouelle est fausse, et il faut le prouver. C'est l sansdoute que commencent les difficults: pour ap-porter la preuve qu'une thorie est inexacte, ouerrone, il faut dj se donner le mal de l'tudier,et, de plus, possder les connaissances ncessai-res cette tude critique. Le silence qui entourecette thorie ne s`explique donc que de deux fa-ons: ou les responsables de la recherche fon-damentale ne se donnent mme pas le mal d'tu-dier la synergtique, et ils manquent leurmission; ou ils ne possdent pas les connais-sances requises, et c'est encore plus grave.

    Ce qui rend la chose difficilement admissible,c'est que la thorie du Pr. Valle est connuedans les milieux scientifiques de haut niveau ;elle y rencontre bien sur des sympathisants. Ap-paremment, elle n'y rencontre pas le moindre

    opposant puisque personne jusqu'ici n'a os d-clarer officiellement que cette thorie taitinexacte, fausse, entache de contradictions oumme tout fait absurde. Il est vrai que celuiqui nous crirait cela se devrait de le prouver,donc aurait dbattre le problme avec le Pr.Valle.

    Et il faut dire que ce dernier est un rhteurredoutable, qui a dj retourn certains adver-saires, pourtant du plus haut niveau, ne serait-cequ' propos des paradoxes de la relativit gn-rale. On comprend mieux alors pourquoi per-sonne n'ose plus lui apporter la contradiction,mais videmment cela ternit la belle image quela science officielle veut donner d'elle-mme.Son silence n'est plus celui de l'indiffrence,mais celui de la gne et d'un certain manque de

    courage : si aprs tout Valle avait raison,comme semble bien le prouver l'exprience, quedirait-on aprs coup de ses opposants?

    Nous allons donc commencer par rappeler lesbases de la synergtique, avant de voir les pers-pectives tonnantes qu'elle ouvre au problmede l'nergie. Au dpart, le principe de cohrencequi s'nonce ainsi: tous les phnomnes de lanature susceptibles d'tre apprhends expri-mentalement dans l'univers sont cohrents; cequi signifie qu'ils dpendent tous, de faon plusou moins troite et par des relations plus ou

    moins complexes, les uns des autres en se mani-festant, chacun, comme la rsultante localed'une dynamique universelle. Ils ne peuventdonc, en aucun cas, dans l'espace et dans letemps, se trouver en contradiction avec l'tat del'univers tel qu'il doit tre cet endroit et en cetinstant.

    Cet nonc permet de distinguer clairementun phnomne physique de tout modle math-matique qu'on peut en donner. On ne peut, eneffet, reprsenter les lois qui gouvernent lesphnomnes physiques connus que par des ex-pressions mathmatiques d'quivalence, dans leslimites permises par les mesures, en essayant au-tant que possible de les rduire des fonctionsimplicites simples o ne peuvent figurer que desparamtres quantitativement dfinis, effective-ment mesurables et physiquement reproducti-bles. En principe, le progrs se traduit, lorsqueles rsultats exprimentaux l'exigent, par l'ad-

    jonct ion d'un certa in nombre de par a-mt resnouveaux, ncessaires une expression plusexacte et plus fine des lois dcrites. La scienceirait vers plus de complexit, thse qui s'oppose la recherche d'une unit.

    La thorie synergtique ralise la synthseentre ces deux tendances opposes en introdui-sant et cela dcoule du principe de coh-rence la notion quantitativement dfinie desynergie, tendant ainsi le principe de conserva-tion aux systmes ouverts. Nous allons rsumercette notion de manire assez courte, car sa des-cription complte ncessite une bonneconnaissance de l'lectromagntisme. Cette fois,nous ne pouvons mme pas renvoyer nos lec-teurs comptents l'ouvrage du Pr. Valle, carcelui-ci est actuellement puis.

    Voici donc l'nonc restreint: Tout phno-

    mne physique peut tre considr isolmentcomme rsultant de l'interaction de deux mi-lieux nergtiques ainsi dfinis: l'un de ces mi-lieux localis dans l'espace et dans le tempspeut, quantitativement, s'exprimer par une mas-se quivalente m, appele masse maupertui-sienne, associe au domaine limit o se circons-crit la manifestation du phnomne tudi; l'au-tre milieu, li l'espace physique de rfrence,qui contient par consquent le phnomne lui-mme, peut se dfinir, dans son interactionglobale avec le milieu de masse m, par le po-tentiel synergtique c, carr de la vitesse de lalumire dans le milieu de rfrence.

    L'nergie totale S, ou synergie (puisqu'elletient compte de toutes les nergies), qui peuttre associe au phnomne tudi est alors

    donne, par la relation fondamentale de la thoriesynergtique (tablie en 1905 par Einstein, maismalheureusement rduite un concept troitd'quivalence nergtique de la matire). S =mc2. La vitesse de la lumire caractrise donc lemilieu de rfrence physique; elle ne peut parconsquent, tant lie un potentiel d'interac-tion, reprsenter un invariant universel malgrdes variations trs faibles qui chappent, dans laplupart des cas, la prcision de nos appareilsde mesure.

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    Le vide estplein d'nergie

    Pour revenir des schmas plus faciles sai-

    sir, l'hypothse synergtique conduit consid-rer l 'espace physique comme un substrat cons-titu de vibrations lectromagntiques, au sensde Maxwell, formant la trame de l'univers nonmatriel; ce qui revient dire que chaque ondese propage dans un milieu non matriel consti-tu par toutes les autres et qui, par la logiquemme des choses, est ternel. A l'ensemble deces ondes cosmiques diffuses qui composent lemilieu, doit correspondre une densit d'nergieconsidrable. Grce au calcul que permetd'effectuer l'approximation newtonienne, il esten effet possible de dterminer une diffrencede 16 000 kWh dans un volume de 1 m3,vide de matire, pris la surface de la terre et lemme volume appartenant l'espace intersidralvoisin de notre systme solaire.

    Mentionnons que ces rayonnements qui cons-ti tuent l 'nergie diffuse sont de trs courtelongueur d'onde (2 3 fois 10 14 GHz) et que lamatire prend naissance au sein du milieu cos-mique diffus lorsque le champ lectrique, au ha-sard de ses fluctuations statistiques, atteint la va-leur limite de 38,67 V/m. La matire n'est doncque de l'nergie diffuse localement pige etmaintenue sous cette forme par un phnomnede rsonance avec l'nergie diffuse libre. Celle-ci ne peut donc crotre indfiniment en un pointquelconque de l'espace, la cration de matire

    jouant un rle de rgulateur d'ne rgie.L'interaction entre matire et nergie tait

    connue depuis la relativit, mais elle trouve lune explication beaucoup plus satisfaisante.Tout d'abord le vide, au sens gomtrique,

    n'existe pas; ce n'est qu'un concept commodeen mathmatiques. En ralit tout l'espace esttravers sans cesse par une pluie de rayonne-ments venant de toutes les directions et trans-portant beaucoup plus d'nergie que le rayon-nement solaire, bien qu'tant fondamentale-ment de mme nature, c'est--dire lectroma-gntique.

    On sait qu'une onde est caractrise par deuxparamtres: son amplitude et sa frquence. Parexemple les ondes sonores sont fortes ou fai-bles, graves ou aigus; les ondes de l'nergiediffuse sont de mme plus ou moins fortes, cer-taines frquences transportant plus d'nergieque d'autres, et il est intressant de tracer lacourbe indiquant la quantit d'nergie trans-porte pour chaque frquence. Tout comme on

    pourrait, par exemple, jouer ensemble toutes lesnotes d'un piano, mais pas toutes la mme for-ce et on tracerait la courbe donnant la puissancesonore pour chaque note, c'est--dire chaque

    frquence. Et quand on trace la courbe de dis-tribution de l'nergie diffuse, on obtient un pro-fil montagneux dont les pics les plus hauts cor-respondent aux frquences du neutron ou duproton, les deux particules lmentaires les plusmassives. Rien d'tonnant cela puisque, nousl'avons dit, la matire ne reste sous cette formeque par rsonance avec certaines frquences del'nergie diffuse; les deux frquences les plusnergtiques assurent donc la cohsion des deuxparticules fondamentales les plus lourdes.L'lectron et le deutron (un proton, un neutron,formant le noyau du deutrium) correspondent deux autres pics de la courbe, dont tous les au-tres sommets assurent la cohsion des noyaux deplus en plus lourds. Mais ces sommets de lacourbe sont de moins en moins hauts mesureque les frquences augmentent, ce qui expliqueque la stabilit des lments soit de moins enmoins bonne lorsqu'on s'achemine vers descorps lourds.

    La stabilit d'un noyau atomique est donc lieaux interactions lectromagntiques plus oumoins intenses entre la frquence propre cenoyau et celle de l'nergie diffuse correspon-dante. Or l'agitation du milieu diffus au coursde ses fluctuations statistiques, peut amener unnoyau passer d'un tat de rsonnance un au-tre en librant au passage de l'nergie sousforme lectromagntique sous forme de parti-cule, ou sous les deux formes la fois. Ce quilaisse entrevoir une possibili t d'util isationdirecte de l'nergie diffuse de gravitation dontles rserves disponibles sont trs simplementinpuisables.

    Pour pomper un peu dans ces rserves, il ap-parat que les ractions nuclaires faisant inter-venir la radioactivit semblent les plus aptes.

    Les considrations nergtiques montrent en ef-fet que lors d'une dsintgration , c 'est lemilieu diffus qui fournit le travail. La cl detout l'ensemble d'extraction d'nergie rsidedans la reconstitution d'un lment radioactif . D'aprs la charte des temps de dcroissancemoiti et des nergies libres par dsintgra-tion des lments et des isotopes, le carbone 12apparat parmi les lments de base l'un des plusintressants puisque son isobare (mme poids dunoyau) le bore 12 donne des nergies de 10MeV en moyenne. En terme plus classique,avec un coefficient d'efficacit de 10-5 (1atome sur 100 000 entre en raction) et unrendement global de 20%, la reconstitutioncontinue du carbone 12 par dsintgration debore 12 fournit 8 kW par gramme. Une ving-

    taine de grammes fourniraient donc 160 kW, ou217 chevaux ce qui est la puissance d'une Pors-che Carrera.

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    C'est donc le carbone qui a t retenu pourle premier gnrateur synergtique d au BelgeE. d'Hoker. Comment produire du bore 12 par-tir du carbone ? Par une raction simple prvuepar la thorie et confirme par les essais de fu-sion nuclaire contrle; nous avons dj traitle sujet (janvier 1975). Normalement les lec-trons libres au sein de la matire sont attirs parles noyaux positifs et tendent se mettre en or-bite autour ; en physique classique, c'est d'ail-leurs leur seul comportement possible.

    On dmontre par contre en synergtiquequ'on peut russir quelque chose de beaucoup

    plus intressant: faire retomber l 'lectron surle noyau par l'intermdiaire de champs magnti-ques intenses, parallles et de sens contraire des champs lectriques. Cette retombe d'lec-trons sur le noyau du carbone 12 le transformeen bore 12, radioactif, qui revient l'tat decarbone 12 en librant une partie de l'nergiediffuse prleve sur le mil ieu par la ra-dioactivit . Reste t irer sous une formepratique cette nergie . On sait, depuis les tra-vaux de Lee et Yang, que l'mission se faitdans une direction prfrentielle, celle du

    champ magntique. Le courant supplmentaireainsi cre peut tre utilis par effet Joule, oumieux encore en freinant les lectrons dans unenroulement secondaire qui fournira directementun courant alternatif.L'exprience mene en Belgique avait pour butde vrifier ce schma; un condensateur lectri-que tait charg par une batterie puis

    dcharg travers un court bton de carbone sous forme de graphite. Ce premier circuitconstituant le primaire d'un transformateur clas-sique dont le secondaire tait reli un galva-

    nomtre balistique. De plus, le graphite tait lo-g dans un enroulement destin crer le champmagntique de mme direction que le champlectrique. En l'absence de courant dans cet en-roulement on rcuprait au secondaire l'nergielance dans le carbone, avec les per-tes habi-tuelles propres tout transformateur. Par contre,en envoyant en plus le courant dans le bobinageentourant le carbone, donc en crant le champmagntique ncessaire d'aprs la thorie, onmodifie la puissance reue au secondaire d'unfacteur 4. On reoit donc 4 fois plus d'nergie

    En ralisant ce montage, le Belge Eric d'Hoker a prouv qu'il tait possible de puiser de l'nergie dansce rservoir illimit que constituent le ondes lectromagntique de l'univers. Il ouvrait ainsi la voie desgnrateurs synergtiques, vritables piles inpuisables de haute puissance. Dans le dispositif schmati-s ici, le courant d'une batterie charge un condensateur, lequel est ensuite dcharg travers du gra-phite scell dans le verre entre 2 lectrodes de fer. En l'absence de courant dans le bobinage d'orien-tation, on ne recueille au secondaire que l'nergie envoye au primaire, moins les pertes habituelles,soit environ 1/2 CV. Si on lve le courant dans le bobinage avec le rhostat, on note partir d'un cer-tain seuil que le courant recueil l i par le galvanomtre est 4 fois plus fort , soit 2 CV. Ce surcrotde puissance vient du milieu diffus sur lequel on a prlev l'nergie par l'intermdiaire du carbone,comme prvu par la thorie synergtique. La contre-exprience faite en remplaant le carbone par un au-tre lment conducteur ne montre plus la moindre multiplication de puissance au secondaire.

    IMPORTANT : le montage prsent ici na jamais eu lagrment de RLValle. On pourra se rfrer aux expriences de JL Naudin ralise enfvrier 2005 cf. http://www.jlnlabs.org

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    qu'on en met l'entre, le milieu diffus tantbien entendu l'origine de cette multiplicationdes watts.

    Pour l 'instant, ce n'est qu'une machine delaboratoire de puissance rduite; mais elle ren-ferme tout le principe d'un gnrateur pompantl'nergie diffuse qui nous entoure. Il suffit deprlever au secondaire le courant ncessairepour entretenir la raction dans le carbone eton aura un gnrateur lectrique ternel dontle seul prix sera celui de sa construction: ducharbon, du fil de cuivre et du fer; ajoutons unmontage lectronique simple pour piloter lecourant d'entre et celui ncessairee au champd'alimentation de faon obtenir la frquencevoulue ; et c'est tout.

    Il y a mme une exprience encore plus sim-ple mais que le Pr. Valle dconseille aux pro-fanes car elle risque d'tre aussi alatoire que detoucher en chambre un petit mlange de glyc-rine, acide nitrique et acide sulfurique. La voici:prendre un bton de carbone comme il y en adans toute pile ronde ordinaire et le brancher lesdeux extrmits dans la prise de courant en in-terposant une ampoule sur le circuit pour fairersistance. Faire un enroulement de fil conduc-teur autour du carbone et le brancher aussi laprise de courant en interposant un montage telque le champ magntique cr par l'enroule-ment soit en phase, mais oppos, au champ lec-trique. Si on tombe juste sur les valeursconvenable du couple champ lect r ique-champ magntique, on recueillera la modestepuissance de 8 kW par gramme de carbone,avec quelques dizaines de watts l 'entre.

    C'est donc une exprience tenter avec cer-taines prcautions, car si elle est dans son prin-cipe exactement similaire l'exprience belge,

    amplifier une centaine de fois la puissance dusecteur 220 V risque de crer des surprises. Res-tons en donc pour l'instant au petit gnrateurexprimental, en y voyant l'amorce de la plusgrande rvolution du sicle ; l'indpendancenergtique. Il suffira en effet au niveau indi-viduel, de possder un modeste gnrateur de100 kW pour assurer clairage et chauffage detoute une maison. Le mme gnrateur suffiraa entraner bien au-del des 130 km/h n'importequelle grosse voiture. Adieu ptrole, charbon,uranium et chutes d'eau; adieu aussi fortunesimmenses et bnfices colossaux. Alors, finale-m e n t , q u i f r e i n e l a d i f f u s i o n d e l asynergtique?

    Renaud de la TAILLE

    SYNERGTIQUE DE PUISSANCEPOUR BRICOLEURS AVERTIS

    C'est un montage facile faire: un bton de car-bone prlev sur une pile ronde est relie au sec-teur en interposant une ampoule qui sert de rsis-tance. Autour du carbone, un bobinage en fil decuivre reli lui aussi au secteur travers unmontage D qui assure la mise en opposition dephase le champ magntique ainsi cr et duchamp lectrique dans le graphite. Si le couplechamp lectrique/champ magntique est bienchoisi, on multiplie une centaine de fois au moins

    la puissance prise au secteur. A manipuler, donc,avec attention, la hasard pouvant trop bien faire

    les choses.