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BRGM L'INTMPIISI AU SIIVICI DI LA Till!
SYNDICAT INTERCOMMUNAL DES EAUX DES MOÏSES
POSSIBILITES DE MOBILISATION DE RESSOURCES
SUPPLEMENTAIRES A PARTIR DES SECTEURS
DE PESSINGES ET CURSINGES
R 33937 RHA 4S 91 NOVEMBRE 1991
par J .P . HOLE
BRGM - RHÔNE-ALPES 29, bouUvord du 1 l-Nov*mbra • B.P. 6083 - 69604 VHUurbonn* <«d»x. Franc« T*l.: (33) 78.89.72.02 - T.Ucopi.ur t (33) 78.94.12.64 - TtUx : 380 966 F
SYNDICAT INTERCOMMUNAL DES EAUX DES MOÏSES
POSSIBILITES DE MOBILISATION DE RESSOURCES SUPPLEMENTAIRES
A PARTIR DES SECTEURS DE PESSINGES ET CURSINGES
R 33937 RHA 4S 91
RESUME
A la demande du Syndicat Intercommunal des Eaux des Moisés, le BRGM/Rhône-
Alpes a étudié la possibilité de mobilisation de ressources supplémentaires
sur deux secteurs du territoire syndical :
- A Cursinges, des essais de pompage sur le forage de reconnaissance 3 creusé en 1966 montrent un débit d'exploitation de 50 m /h.
Mises à part des matières en suspension riches en fer et aluminium,
l'eau est de bonne qualité. Pour éviter des entraînements de particules
fines, le dimensionnement d'un ouvrage définitif devra être réalisé avec
le plus grand soin.
- A Pessinges existent deux écoulements représentant 0,77 1/s, soit le
double du captage actuel. L'eau, de mauvaise qualité bactériologique,
devra être contrôlée à nouveau avant d'engager des travaux de captage.
- 1 -
TABLE DES MATIERES
Pages
INTRODUCTION 3
1. SECTEUR DE CURSINGES 3
11. Historique des travaux 3
12. Essai de puits par paliers de débit 4
13. Essai de nappe 5
14. Exploitabilité du forage 5
15. Qualité de l'eau 6
16. Vitesses verticales de l'eau dans le forage 7
17. Recommandation sur l'exploitation du secteur de Cursinges 7
2. SECTEUR DE PESSINGES 8
21. Captage et proximité 8
22. A côté du premier bassin de décantation 8
23. Dans le coin SSE de l'herbage 8
24. A proximité d'un ancien captage 9
25. Captage abandonné de la cote 523 9
3. CONCLUSIONS 10
- 2 -
- PIECES PRESENTEES EN ANNEXES -
Annexe 1 - Rapport de R. DOUDOUX, du 19.07.1968.
Annexe 2 - Implantation des profils de sondages électriques.
Interprétation du profil P1.
Annexe 3 - Coupe technique et géologique du forage de Cursinges.
Annexe 4 - Résultat de l'analyse de l'eau du forage de Cursinges.
Annexe 5 - Mesures des vitesses verticales de l'eau dans le forage.
Annexe 6 - Pessinges : résultat de l'analyse de l'eau de la cote 546.
" : résultat de l'analyse de l'eau de l'ancien captage.
- FIGURES -
Figure 1 - Essai de puits par paliers de débit.
Figure 2 - Interprétation de l'essai de 48 heures.
Figure 3 - Exploitabilité du forage de Cursinges.
Figure 4 - Secteur de Pessinges : situation des venues d'eau.
- 3 -
SYNDICAT INTERCOMMUNAL DES EAUX DES MOÏSES
POSSIBILITES DE MOBILISATION DE RESSOURCES SUPPLEMENTAIRES
A PARTIR DES SECTEURS DE PESSINGES ET CURSINGES
INTRODUCTION
Le Syndicat des Eaux des Moisés a engagé en 1990 des études pour connaître
le potentiel des ouvrages qu'il exploite et des sites susceptibles de
fournir des débits intéressants.
Une première phase de travaux (*) a fait le point sur les nappes superfi
cielles et proposé, pour celles-ci, de chercher des compléments de res
sources là où les essais, prometteurs, n'avaient pas été menés à leur terme,
c'est-à-dire sur les secteurs de Cursinges et Pessinges.
Le présent rapport fait le point sur les investigations complémentaires
menées sur ces deux secteurs.
I. SECTEUR DE CURSINGES
II. Historique des travaux
11 nous est fourni dans le rapport de 1'hydrogéologue agréé, R. D0UD0UX, en
date du 11 juillet 1968, joint en annexe 1.
(*) Rapport du BRGH R.31711.RHA.4S/90.
- 4 -
Pour l'essentiel, ils ont consisté en :
- une campagne, en 1965, de géophysique électrique avec trois profils
transversaux au vallon de Cursinges, soit un total de 16 sondages
électriques (*) (voir annexe 2) ;
- un forage de reconnaissance en 1966, implanté sur le profil le plus en
aval (indice BSS : 629-8X-3. Voir coupe détaillée - technique et géolo
gique - en annexe 3) ;
- des essais de pompage à l'automne 1966 : les essais, qui présentent plu
sieurs anomalies dans les mesures de niveaux et/ou débits, sont diffici
lement interprétables.
Il y avait donc un doute sur l'exploitabilité de l'ouvrage qu'il convenait
de lever par d'autres essais. Ceux-ci ont eu lieu en août 1991.
12. Essai de puits par paliers de débit (date : 27.08.1991)
Les paliers ont duré une heure, entrecoupés d'arrêts de même durée.
* Principaux résultats :
n° palier
1
2
3
Durée
(heure)
1
1
1
Rabattement
s(m)
1,80
3,27
7,43
Débit
Q(m3/h)
35
52
68
s/q
(x10~2)
5,1
6,3
10,9
CQ2
(m)
0,83
1,83
CQ2/s
46 %
56 %
- Pour les deux premiers paliers : débits (Q) et rabattements (s) sont liés
par une relation du type
s = BQ + CQ2
avec B = 2,75.10~2
C = 6.76.10"4 (cf. fig. 1)
(*) Rapport du BEGG de novembre 1965.
- 5 -
BQ étant la part du rabattement due aux écoulements laminaires, 2
CQ celle liée aux écoulements turbulents à travers les crépines.
2 La perte de charge quadratique (terme CQ ) est importante puisqu'elle avoi-
3 sine 56 % du rabattement total observé pour le palier de 52 m /h.
- Entre le deuxième et le troisième palier, on note un net décrochement de
la courbe s = f(Q). On est au-delà des possibilités du forage.
13. Essai de nappe
* Principaux résultats :
. Durée : du 27.09.1991, 18 h 30, au 29.08.1991, 14 h, soit 43 h 30, au
débit moyen d'environ 50 m /h.
. Niveau initial : 7,31 m.
. Niveau final : 14,12 m (non stabilisé), d'où un rabattement de 6,81 m.
Les caractéristiques hydrodynamiques de la formation aquifère, calculés à
partir de cet essai, sont les suivantes (cf. fig. 2) : —3 2 2
. Transmissivité : T = 4,4.10 m /s (= 16 m /h).
. Emmagasinement : S = 0,05
Concernant la géométrie du réservoir, l'essai met en évidence deux limites
étanches situées à 40 m du forage.
14. Exploitabilité du forage
En admettant que :
- la recharge de la nappe ne se fasse pas pendant la période considérée,
- 1'aquifère ne présente pas d'autres limites que celles mises en évidence
pendant l'essai,
l'extrapolation de la courbe de la figure 2 donne les rabattements en fonc
tion du temps pour un pompage continu à 50 m /h (cf. fig. 3).
- 6 -
- Après un an de pompage, c'est-à-dire un cycle hydrologique (cycle pendant
lequel se produit normalement une réalimentation par les pluies), le
rabattement est de 13 m, équivalent à un niveau en pompage de l'ordre de
20 m (compte tenu du niveau piézométrique initial qui est de 7 m).
- Après deux ans, le rabattement est de 14 m, équivalent à un niveau en pom
page de 21 m.
Ces chiffres de rabattement sont compatibles avec l'épaisseur observée de la
formation aquifère.
A signaler enfin qu'un ouvrage neuf avec des équipements performants donnera
des pertes de charge quadratiques beaucoup moins importantes, donc un rabat
tement plus faible que celui observé sur le présent ouvrage.
15. Qualité de l'eau
Un échantillon d'eau a été prélevé à l'issue de l'essai de longue durée pour
analyse de potabilité (résultats présentés en annexe 4).
Sur un plan général, il s'agit d'une eau dure, bicarbonatée calcique et sul
fatée. Elle est très semblable à l'eau de Draillant.
Concernant la physico-chimie, trois anomalies peuvent être notées :
Paramètre
Turbidité
Fer
Aluminium
Valeur
21 NTU
0,3 mg/1
0,90 mg/1
Norme
2 NTU
0,2 mg/1
0,2 mg/1
Fer et aluminium sont très probablement à relier aux particules en suspen
sion responsables de la turbidité (l'échantillon n'a pas été filtré sur le
terrain) et qui seraient, dans ces terrains fluvio-glaciaires, des sili
cates.
- 7 -
La présence de matières en suspension après 48 heures de pompage montre que
l'équipement (crépine et massif de graviers), mis en place à l'époque, n'est
pas adapté à la granulométrie de ces terrains aquifères.
A ces réserves près, la qualité de l'eau est bonne pour ce qui concerne les
paramètres analysés.
On notera par ailleurs la bonne qualité bactériologique.
16. Vitesses verticales de l'eau dans le forage
Ces mesures servent à repérer les zones productrices dans un forage. Le
détail des résultats présentés en annexe 5 montre que la tranche supérieure
des terrains forés fournit l'essentiel de l'eau.
Cette indication constitue un guide supplémentaire pour le dimensionnement
d'un nouvel ouvrage de captage.
17. Recommandation sur l'exploitation du secteur de Cursinges
On a vu que, dans l'état actuel de nos connaissances sur le site de 3 ~
Cursinges, un débit de l'ordre de 50 m /h peut raisonnablement y être
obtenu. Cela suppose :
- un forage équipé de crépines à fil enroulé trapézoïdal, de type Johnson,
- un massif de graviers additionnels d'une granulométrie adaptée à celle
des terrains rencontrés pendant la foration.
- 8 -
2. SECTEUR DE PESSINGES (cf. fig. 4)
Le captage de Pessinges, à l'altitude 560 m, comporte deux drains, de lon
gueur indéterminée. De la chambre de captage, l'eau s'écoule par gravité
jusqu'au réservoir situé à 120 m à l'aval, à la cote 522.
Dans le léger vallonnement où se situent l'ouvrage et la canalisation de
transport existent un certain nombre de petites sources qui ont fait l'ob
jet, les 8 et 9 octobre 1991, de la reconnaissance décrite ci-dessous et qui
a concerné débit (Q en 1/s), température (t en °C), conductivité (C en
uS/cm).
21. Captage (Indice BSS 629-8X-17) et proximité (cote 560)
. Dans le captage, les drains débitaient respectivement :
- à l'E-SE : 0,15 1/s avec t = 8,3°C et C = 593 yS/cm
- au S-SW : 0,23 1/s avec t = 8,7°C et C = 592 uS/cm
donc un débit total de 0,38 1/s (1,37 m /h).
Ces valeurs vont nous servir de référence.
. A une quinzaine de mètres à l'ouest du captage, on a noté un suintement de
débit insignifiant, avec t = 8°C et C = 591 uS/cm.
22. A côté du premier bassin de décantation (cote 546).
A une vingtaine de mètres au S-SW existe un écoulement assez bien localisé
de débit égal à 0,1 1/s, avec t = 9,6°C et C = 599 uS/cm.
Température et conductivité s'accordent bien avec celle du captage.
Dans la mesure où un raccordement au bassin est facile à mettre en oeuvre,
il est intéressant de le réaliser.
23. Dans le coin SSE de l'herbage
11 n'y a pas d'écoulement net à l'amont de la zone marécageuse.
- 9 -
24. A proximité d'un ancien captage
Celui-ci est situé à 25 m au SE du bassin de décantation de la cote 532. 11
débitait 0,05 1/s avec t = 9,6°C et C = 606 yS/cm.
Les écoulements de ce site sont insignifiants.
25. Captage abandonné
A 17 m à l'est de la chambre de répartition de la cote 523.
On a noté ici, à l'aval du captage, un débit de 0,67 1/s avec t = 8,6°C et
C = 945 yS/cm ; dans la chambre de l'ancien captage t = 8,3°C et
C = 965 uS/cm. Sur ce site, la conductivité indique une minéralisation des
eaux plus forte que celle du captage en service.
Sur l'ensemble du secteur Pessinges existent donc deux points intéressants
(dans la mesure où les écoulements peuvent être dirigés gravitairement au
réseau) :
- l'un près du bassin de décantation supérieur (cote 546) débitant 0,1 1/s,
- l'autre étant le captage abandonné de la cote 523, avec un débit de
0,67 1/s.
L'ensemble faisant 0,77 1/s (2,77 m /h), soit deux fois le débit du captage
en service.
* Qualité des eaux :
Sur ces deux points, on a prélevé un échantillon d'eau pour analyse. Les
résultats sont présentés en annexe 6.
* Physico-chimie :
11 n'y a pas d'anomalie. Cependant, la source basse présente une forte
teneur en sulfate (235 mg/1) proche de la norme (250 mg/1). Elle expli
que les différences de conductivité entre les eaux.
Le mélange avec les eaux des sources hautes permettrait d'abaisser cette
teneur.
- 10 -
* Bactériologie :
Les échantillons sont très largement contaminés : présence de coliformes
thermotolérants dans les deux, et-de streptocoques fécaux à la source
haute. Cela est imputable, pour une large part, au caractère récent des
travaux.
En résumé, il existe à Pessinges une ressource non captée égale à deux fois
la ressource actuelle. 11 est nécessaire de procéder à d'autres analyses de
contrôle avant de mettre en oeuvre des travaux de captage.
3. CONCLUSIONS
Les essais de pompage effectués sur le forage de Cursinges mettent en
évidence :
3 - un débit d'exploitation de l'ordre de 50 m /h, pour autant que l'on
puisse extrapoler la courbe des rabattements en fonction du temps sur
une longue période. En d'autres termes, une inconnue subsiste concernant
la géométrie et l'extension du réservoir. Seul un forage d'exploitation
permettra de lever les derniers doutes ;
- une eau turbide contenant du fer et de l'aluminium. Cette légère pollu
tion peut être combattue par des équipements plus performants que ceux
mis en place sur le forage d'essai.
Un ouvrage neuf devra donc être équipé de telle manière qu'il réduise,
avec des vitesses de l'eau à travers les crépines les plus faibles
possible, les entraînements de particules fines à l'intérieur du tubage.
A proximité du captage de Pessinges existent deux écoulements qui totalisent
0,77 1/s, soit deux fois le débit du captage actuel. Ils peuvent être récu
pérés par gravité.
La qualité bactériologique des eaux est mauvaise. 11 faudra voir, à partir
d'autres analyses, s'il s'agit d'une contamination passagère, liée aux
- 11 -
premiers travaux, ou persistante, qui témoignerait alors de risques de
pollution non négligeables dans l'environnement de ces émergences.
A signaler que les teneurs élevées en sulfates de la source basse, sans
dépasser la norme, nécessitent cependant un mélange avec une eau moins riche
en cet élément.
Pour Pessinges, il y a donc lieu de refaire des analyses détaillées (type C3
+ B3) pour mieux juger de la qualité des eaux. On pourra ainsi prendre, en
connaissance de cause, la décision de capter cette ressource.
*
F I G U R E S
CURSINGES
ESSAI DE PUITS PAR PALIERS DE DEBIT
H +
8
À = f(Q)
w 20 30 W 50 60 70 Q(mVh)
À (/»)
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Figure 3
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Figure 4 SECTEUR DE PESSINGES
SITUATION DES VENUES D'EAU
Drain ES Ek
DrainSSW
DESSUS DE L' O T
A N N E X E 1
RAPPORT DE R. DOUDOUX DU 19.07.1968
H / - FQHAgE DE ODBSIMGES -,'
Une autre campagne de prospect loa électrique a été menée en septembre 1965 dans un vallon au N . W de Cursinges , entre Cursinges et Perrignier.
Trois profils transversaux ont été réalisés* Tous semblaient indiquer.
- En surface 4 à 5 m de formations dans l'ensemble peu résistantes mais assez hétérogènes (résistivité variant rapide DE nt de 5â à 180 ohms/m)
Vraisemblablement revêtement de sables et'graviers argileux.
Plus profondément couches beaucoup plus résistantes ( 450 ohms/m) de 35 à 20 m de puissance. Vraisemblablement graviers plus ou moins aquifèrea.
- Enfin un plancher peu résistant ( 50 ohms/m) sans doute ao rai nique.
Au total donc des résultats assez semblables à ceux de Dr aillant.
± la suite de ces résultats encourageants, un forage était établi à 500 m au N . W du carrefour situé sous Cursinges (point coté 603t9 ) BU voisinage du S.E.3 du Profil PI.
XI a révélé :
- En airface 4 m d'argile sablo-graveleuse d'étanchéité douteuse.
- Puis de — 4 n à — 26,10 nt des formations sabio graveleuses avec quelques blocs de calcaire« ou quartzite mais renfermant dans l'ensemble une forte proportion de produits fins (sable« plus ou moins argileux). Présence de quelques faibles lentilles argileuses. L'ensemble est assez oxydé (couleur marron) jusque vers 14 m, non oxydé plus bas (couleur grise ou noire). Cet ensemble est aquifère mais on n'a pas noté de remontées d'eaux en charge. Niveau statique à — 5t45 m . La graaulométrie assez faible correspond assez mal à la résistivité élevée indiquée par les S.E /
- Puis de - 26,10 à - 31,80 argile sableará blocs correspondant sans doute au plancher morainique imperméable«
Niveau statique à - 5t45 " • Eau non en charge . Forage crépine de - 7*50 m au fond.
Des essais de débit ont été effectués du TA Octobre 1366 au 2T Octobre 1966. La courbe obtenue présente de multiples anomalies«
La première consiste en un manque total de discontinuité dans le rabattement lors du passage de 95 *3/k à 73 »3/H.
La seconde en ma-effondreœnt de la nappe entre le dimanche lB Octobre U. heure et le lundi 17 Octobre U heures (rabattement passant de - 4 «87 m à - 35.78 m) et ce, malgré un retour de 73 " 3 A &• 66 *3/h«
Mais il faut noter qu'à l'issue de cette première phase des essais,l'appueil de mesure s'est révélé défectueux« Ces résultats sont donc sujets à caution. H n'en reste pas moins vrai qu'au cours d'une deuxième phase, après remise en service de l'appareil de mesare des irrégularités ont continué à se manifester toujours dans un sens défavorable, et qu'une stabilisation relative n'e pu finalement être obtenue que par retour à 53 n3/n. Encore le rabattement était -il très fort ( - 18,67 m)
L'alimentation d'ensemble paraît donc assez mauvaise. De fortes hétérogénéités paraissent se manifester dans le terrain. On peut craindre que le débit ne se maintienne pas et ne corresponde en partie au vidage de poches aquifères au sein de matériaux plus colmatés.
C'est pourquoi avant mise en service je préconiserais de nouveaux essais de débit correspondant à un soutirage plus modeste ( 40 m3/h par ex) mais poursuivis durant plusieurs semaines.
Un rabattement aussi fort que celui obtenu jusqu'ici risque par ailleurs de soutirer rapide œnt des eaux de surface donc d'entraîner une pollution. Le danger est d'autant plus réel que :
Io)- H n'existe pas de véritable toit protecteur • Les S.E indiquent en wirf ace dans toute la combe une couche d'épaisseur variable (moyenne 4 m) et assez heterogene. Ses resistivités ( 50 à 180 ohms/m) ne correspondent pas à des ^rgiles sabio graveleuses, d'étanchéité très douteuse.
2°)- Le forage est crépine dès - 7,50 m ce qui paraît trop réduit pour assurer une bonne filtration surtout si le rabattement est fort.
3°)- H existe dans la combe des causes de pollution (voir plus loin).
Des analyses effectuées le 20*10.1966 sont chimiquement convenables : Dureté totale 29 ( On note toutefois des traces de N H 4 et N 0 2 ) . liais les analyses bactériologiques sont suspectes (quelques Escherichia Coli)
PBOTBÇTIEN *
Le forage est situé dans des prairies sans doute fumée s t dans une combe située elle même à l*aval du village de Cur singe«.
Un aolaselet descend du village dans cette combe. H devait initialement sans doute gagner assez vite l'axe de la combe en direction du forage mais il est maintenant dévié le long de la route de Cgrsinges à Perrignier et ne rejoint plus l'axe qu'à l'aval du forage. Sur son nouveau tracé il est peu encaissé et domine l'axe de la combe. XL n'est donc pas exclu qu'il ait des fuites, ni neme qu'une partie de son eau ne continue souterrainement ou môme en surface en hautes eaux à suivre l'ancien tracé« ïl serait donc prudent de 1*étanchéifier et même de ne le laisser rejoindre l'axe que plus à l'aval qu'actuellement*
En outre à une trentaine de mètres au N.NE du forage prend naissance un petit thalvteg. Il était sec lors de ma visite, mais peut correspondre en liantes eaux à la réapparition au jour des eaux précédentes. Des dépôts d'ordures y sont effectués. Il conviendrait de les interdire.
Enfin un périmètre de protection immédiat devrait être instauré sur 70 m à l'amont, sur les côtés du forage et sur 50 m à l'aval« XI serait complété par-un périmètre de protection rapproché s'étendant
- sur IDO m à l'aval du forage - latéralement jusqu'à la route de Perrignier d'une part jusqu'au
pied du flanc ¥ de la combe de l'autre - à l'amont dans toute la combe jusqu'à la route Perrignier-Cursinges
d'une part, la route Cursinges -Pes3inges de l'autre.
Dans ce périmètre devraient être Interdits t
- tout épandage massif de produits polluants (purins,produits chimiques,eaux usées en particulier)
— toute construction ,à moins que ses effluents ne soient emmenés en canalisation étanche hors de la combe.
- tout ouvrage profond susceptible de créer une voie d'accès directe des eaux de surface dans la nappe.
Il serait par ailleurs très souhaitable que tous les effluents de Cursinges ( y compris le raisselet de la Combe) soient recueillis et emmenés à l'écart de la combef par execple plus à l'Est vers le ruisseau des l&oises.
¿es précautions devraient garantir le forage contre toute pollution chimique
•t toute pollution bactériologique massive. Mais il n'est pas exclue que per
siste malgré tout une certaine pollution bactériologique résiduelle. Il ne
resterait plus alors que la ressource de stériliser.
A N N E X E 2
IMPLANTATION DES PROFILS DE SONDAGES ÉLECTRIQUES
INTERPRÉTATION DU PROFIL PI
L E G E N D E
ç,lO" Courbes topographiques du toit i c. .f
du s u b s t r a t u m i m p e r m e a b l e , \o/
• — A x e d é c o u l e m e n t . °; / \
E C H E L L E 1 / 5000
-it sinqeje
B.E.G.G —BONNE SUR MENOGE
°VS Rapport. Cursinges Date Octobre 65 U 4 0 1
Profil _ PI
590 - ,
585
580 -
575
570-
565
560
555 -
550
545 _
540 •
4S0
Recouvrement argileux Alluvions anciennes
450
7///,v////////Á 4S0 4S0
Substratum impermeable
KO
Rle de Perrignier
Rcf: 540
A N N E X E 3
COUPE TECHNIQUE ET GÉOLOGIQUE DU
FORAGE DE CURSINGES
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A N N E X E i\
RÉSULTAT DE L'ANALYSE DE L'EAU DU
FORAGE DE CURSINGES
INSTITUT PASTEUR^DE LYON _ _ ^ _ _ _ _ _ _ _ ^ _ _ _ Laboratoire d'Hygiène Appliquée à l 'Homme et à son Environnement
Reconnu d'utilité publique (Décret du 22 juin 1903)
Avenue Tony-Gamier - 69365 LYON CEDEX 07 Tél. 72 72 25 00 - Télécopie 78 72 39 89 - Télex PASTLYO 380 697 F - C.C.P. Lyon 330.13 G
FEUILLE DE RESULTATS PAGE 1
B. R. G. M. 43 boulevard du 11 novembre r{ o A 013 ¿9604 VILLEURBANNE
N° DEMANDE : 710030021 éditée le: 10.09.91 N° bon de commande : Z1/7?
ORIGINE : Divers ~ eau Forage (après 40h de pompage) Perrignier COMMUNE : Cursinges DEPARTEMENT : 74
PRELEVEMENT : Effectué le : 29-08.71 T°échant. M O Par : M. Ho€e Circonstances atmos. : Temps sec ensoleillé
X X X M X X X X X X X X X X X X X X X X X * X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X- X X X X X X
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE COMPLETE ^ CHIMIE SANS GAZ
Analyse bactériologique complète (B3)
Bactéries aérobies 37*C 24H (NF T 70-401) 22 par ml Bactéries aérobies 22°C 72 M < Nr T70- 402) . 27 par ml Conformes totaux á 37°C (NF T70-414) ........ 0 par 100 m Califormes thermotolérants 44"C (NF T90-414) .. 0 par 100 m Streptocoques fécaux (NF T70-41Ó) 0 par 100 m Anaérobies sulfito- réductrices (spores) Nr T90- 415 0 par 20 ml
INSTITUT PASTEUR LYON Laboratoire d'Hygiène Appliquée à l 'Homme et à son Environnement
Reconnu d'utilité publique (Décret du 22 juin 1903)
N<
Avenue Tony-Gamier - 69365 L Y O N C E D E X 07
Tél. 72 72 25 00 - Télécopie 78 72 39 89 - Télex PASTLYO 380 697 F - C.C.P. Lyon 330.13 G DEMANDE : 910030021 (SUITE) éditée le 10.09.91 FACE
Caractéristiques physiques
Odeur Saveur ... .. Couleur Turbidité pH á 20°C au laboratoire Résistivité á 20 °C Conductivité «i 20°C
Caractéristiques générales
n L H H 1
NON DETER. 5
21 7,15
2005
499
* A
"standard N . T . U .
* Ohms cru
US/CITI
Résidu sec á 110°C Résidu sec a* 550°C Oxydabilité au KMn04 en milieu acide NF T 90- 050. Carbone orsanique total (C.O.T.) NF T 70-102 TU •• Titre Hydrotimétrique ou dureté totale...... TAC : Titre alcalimétrique complet TA : Titre alcalimétrique
Composition ionique : Cations
402 310
0,20 0,5
36,8 24,55
0
ma/1 1113/I ITI3/1 02 H13/I C
o o
í'ran(;: a i Franea i Franca i
Calcium .,
Magnésium
.Sodium —
Potassium
Ammonium .
123 6, 1 5
14,0 • 1 , . . . A -
7,3 0,3174
2 , 7 0,0690<i,
< 0,10 -
m g / 1 Ca >•••• iï.Fq/:i Ca<
iï.3/1 Mg-M
iTiEq/1 M3 !• 1V13/] Na-« m E q / 1 Na<
«.3/1 K ! PiEq/1 K-!
ir.3/1 NIM-:
lï.Eq/1 Ni 11
Total cations 7,75 mFq/1
'trefft* *?t .H'^V "
INSTITUT PASTEUR UR#DE LYON Laboratoire d'Hygiène Appliquée à l 'Homme et à son Environnement
Reconnu d'utilité publique (Décret du 22 juin 1903)
w
Avenue Tony-Garnier - 69365 LYON CEDEX 07 Tél. 72 72 25 00 - Télécopie 78 72 39 89 - Télex PASTLYO 380 697 F - C.C.P. Lyon 330.13 G
DEMANDE : 910C30021 (SUITE) éditée le 10.09.91 PAGE
Composition ionique : Anions
Carbonates
Bicarbonates - -,
Chlorures ,
Sulfates
Nitrates .......
Nitrites ......
Orthophosphates
Silice soluble .
Balance ionique >Cations :
Métaux
Total anions
7,75 Anions
her ...... Manganèse Aluminium Cuivre .., Zinc Argent ...
O.2.-
J,L
0 0
279,61 4,91 10,3 0,30456
64 1 ,33 9,3 0,15007
< 0,02 • •
0,1 0,00315 7 0,1169
6,33
6,C3
mg/1 C03-niEq/1 C03 mg/1 ÎIC03 mr^/lHCOS mg/1 Cl -m F s/1 Cl-mg/1 SQ4 rr.rq/1 SOA mg/1 N03 -iï.Eq/1 N03 mg/1 N02 -mEq/l N02 mg/1 PO4 mfq/l P04 mg/1 Si02 i7.Fq/ll¡S:i.O
,mEq/1
mEq/l
<
< < <
0,30 0,05 0,90 0,05 0,05 0,001
mg/1 mg/1 mg/1 mg/1 r.ig/1 mg/1
Fe Mn Al. Cu Zn Ag
Divers
Fluorures NF T90 004 ...'..-Phosphore Total NF T90-023
0,10 < 0,10
ing/1 I" mg/1 P
f de Service y Meunier
OD U
A N N E X E 5
MESURES DES VITESSES VERTICALES DE L'EAU
DANS LE FORAGE
CURSIN6ES:HESURE DES VITESSES VERTICALES DE L'EAU DANS LE FORAGE
PROFONDEUR TEMPS IMPULSIONS NOMBRE VITESSE DEBIT (H) (Sec) DE TOURS/Sec (L/S)
10 11 12 13 14 16 18 20 22 24 26 28 30
40 40 40 60 40 40 40 40 40 40 40 40 40
6 6 2 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0,15 0,15 0,05 0,02 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0,04 0,04 0,01 0,01 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00
1,43 1,43 0,55 0,26 0 0 0 0 0 0 0 0 0
A N N E X E 6
PESSINGES - RÉSULTAT DE L'ANALYSE DE L'EAU DE LA COTE 546 -
- RÉSULTAT DE L'ANALYSE DE L'EAU DE L'ANCIEN CAPTAGE -
INSTITUT PASTEUR LYON Département d'Hygiène Appliquée à l'Homme et à son Environnement
Reconnu d'utilité publique (Décret du 22 juin 1903)
Feuille de résultat Page 1 Editée le: 22.10.91
B.R.G.M. 43 boulevard du 11 novembre B. P. 6083 69604 VILLEURBANNE
Section Bactériologie et Chimie des Eaux Laboratoire de référence, départemental et régional, agrée par le Ministère des Affaires Sociales, au titre du contrôle sanitaire des eaux : eaux d'alimentations, eaux minérales, eaux de baignades, eaux usées. Laboratoire agrée, par le Ministère de l'Environnement pour les agréments du type 1,3,5,6,7 : ressources naturelles, eaux de rejets industriels et urbains.
IDENTIFICATION HAHE: 911009096
ORIGINE. Eau d'alimentation - ressource Captage - n° 2 Source basse COMMUNE : Fessinges DEPARTEMENT : 74
PRELEVEMENT: Effectué le : 9.10.91 T°échant. + 8°C Par : M. Hole Circonstances atmos. : Temps sec couvert
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE , PHYSICO-CHIMIQUE
Analyse bactériologique sommaire (B2)
Bactéries aérobies 37°C 24H (NF T 90-401) .. Bactéries aérobies 22°C 72 H ( NF T90-402) . Coliformes totaux à 37°C (NF T90-414) Coliformes thermotolérants 44°C (NF T90-414) Streptocoques fécaux (NF T90-416)
0 31 16 5 0
par par par par par
ml ml 100 100 100
ml ml ml
A V E N U E T O N Y - G A R N I E R 69365 L Y O N C E D E X 07 TÉL. 72./2.25.00 TÉLÉCOPIE 78.72.35.03 TÉLFXPASTLYO 360697 F C.C.P. LYON 330.13 G
INSTITUT PASTEUR *9 UR#DE
LYON Département d'Hygiène Appliquée à l'Homme et à son Environnement
Reconnu d'utilité publique (Décret du 22 juin 1903)
Feuille de résultat Page 2
Editée le: 22.10.91
IDENTIFICATION HAHE: 911009096
Caractéristiques physiques
Odeur (qualitatif) Saveur (qualitatif) Couleur Turbidité pH à 20°C au laboratoire Résistivité à 20 °C Conductivité à 20°C
Caractéristiques chimiques
Oxydabilité au KMn04 en milieu acide NF T 90-050.. Ammonium Nitrites TH : Titre Hydrotimétrique ou dureté totale Sodium TAC : Titre alcalimétrique complet Bicarbonates Nitrates Chlorures Sulfates
NEANT NON DETER. < 5
0,30 7,40
1470 680
0,25 < 0,10 < 0,02 49,9 9,7
21,55 262,90 2,6
28,2 235
• #
"standards N.T.U. ,
Ohms-cm uS/cm
mg/1 02 mg/1 NH4+ mg/1 N02-° français mg/1 Na+ ° Français mg/1 HC03-mg/1 N03-mg/1 Cl-mg/1 S 0 4 —
Eau non conforme à la réglementation des eaux de distribution publique en ce qui concerne les éléments suivants: Présence de conformes thermotolérants . Décret n°89-3 du 3 janvier 1989 (eaux destinées à la consommation humaine )
Présence de coliformes "totaux". 95% au moins des échantillons prélevés ne doivent pas contenir de coliformes dans 100 millilitres d'eau .
l.e Chef de Service leunier
L&> W
A V E N U E T O N Y - G A R N I E R 69365 L Y O N C E D E X 0 7 TÉL.72..2.25.00 TÉLÉCOPIE78.72.35.03 TÉLEXPASTLYO380697F C.C.P.LYON330.13G
Département d'Hygiène Appliquée à l'Homme et à son Environnement Reconnu d'utilité publique (Décret du 22 juin 1903)
Feuille de résultat Page 1 Editée le: 22.10.91
B . R . G . M . 43 b o u l e v a r d d u 1 1 n o v e m b r e B . P. 6 0 8 3 6 9 6 0 4 V I L L E U R B A N N E
Section Bactériologie et Chimie des Eaux Laboratoire de référence, départemental et régional, agrée par le Ministère des Affaires Sociales, au titre du contrôle sanitaire des eaux : eaux d'alimentations, eaux Minérales, eaux de baignades, eaux usées. Laboratoire agrée, par le Ministère de l'Environnaient pour les agréments du type 1,3,5,6.7 : ressources naturelles, eaux de rejets industriels et urbains.
IDENTIFICATION H A H E : 911009097
ORIGINE : Eau d'alimentation - ressource Captage - n° 1 Source haute COMMUNE : Pessinges DEPARTEMENT : 74
PRELEVEMENT: Effectué le : 9.10.91 T°échant. + 9°C Par : M. Hole Circonstances atmos. : Temps sec couvert
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE , PHYSICO-CHIMIQUE
Analyse bactériologique sommaire (B2)
Bactéries aérobies 37°C 24H (NF T 90-401) .. Bactéries aérobies 22°C 72 H ( NF T90-402) . Coliformes totaux à 37°C (NF T90-414) Coliformes thermotolérants 44°C (NF T90-414) Streptocoques fécaux (NF T90-416)
14 par ml 155 par ml 8 par 100 ml 2 par 100 ml 2 par 100 ml
A V E N U E T O N Y - G A R N I E R 69365 L Y O N C E D E X 07 TÉL. 72.72.25.00 TÉLÉCOPIE 78.72.35.03 TÉLEX PASTLYO380<W7F C C P . . Y O N 330.13 G
INSTITUT PASTEUR UR#DE LYON Département d'Hygiène Appliquée à l'Homme et à son Environnement
Reconnu d'utilité publique (Décret du 22 juin 1903)
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IDENTIFICATION HAHE: 911009097
Caractéristiques physiques
Odeur (qualitatif) Saveur (qualitatif) Couleur Turbidité pH à 20°C au laboratoire Résistivité à 20 °C Conductivité à 20°C
Caractéristiques chimiques
Oxydabilité au KMn04 en milieu acide NF T 90-050.. Ammonium Nitrites TH : Titre Hydrotimétrique ou dureté totale Sodium TAC : Titre alcalimétrique complet Bicarbonates Nitrates Chlorures Sulfates
NEANT NON DETER < 5 3,0 7,80
2180 459
0,40 < 0,10 < 0,02 27,4 16,6 19,65
239,81 2,9
42 44
• • "standards N.T.U. • Ohms-cm uS/cm
mg/1 02 mg/1 NH4+ mg/1 N02-° français mg/1 Na+ ° Français mg/1 HC03-mg/1 N03-mg/1 Cl-mg/1 S 0 4 —
Eau non conforme à la réglementation des eaux de distribution publique en ce qui concerne les éléments suivants: Présence de coliformes thermotolérants et de streptocoques fécaux. Décret n°89-3 du 3 janvier 1989 (eaux destinées à la consommation humaine )
Présence de coliformes "totaux". 95% au moins des échantillons prélevés ne doivent pas contenir de coliformes dans 100 millilitres d'eau .
de Service Meuniet^ f\
A V E N U E T O N Y - G A R N I E R 69365 L Y O N C E D E X 07 TEL 72.72.25.00 TÉLÉCOPIE 78.72.35.03 TÉLEX PASTLYO 380697 F C C . P . L Y O N 330.13 G
