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ADIfIttle-tRATI011 neaeacmozs 88, Rika *centaines reacinsa orgerusitasHemseze e tee aumeuesosseseing IO ts. Ce qu'ils veulent niai Brigen s'est attH'e, boutre f,jda, d'une purioe ils la jour, non la meilleure pour les çrr5a qu'il eut r impudence de poser ,, -",j gouvernement. Elles venaient mal, ant, après le débat subira me- cg par M. Accumbnay. Et puis, elles nien-1 une telba allure de par, sens io dc8c et d'originalité qu'elles en dore- naiontpen Sympathiques. par les temps présents, ntest_pà pas être original que de ne pas chaque jour, les pir sottises Zionecur tout le mande Or, Brigun ex,coue dasts le genre. Le presse qui hurle contre la eensure, qui réclame pour -elle le droit, 'de toue discuter actes du gouvernement ent p /as décisions du Parlement, Équi approu- veau Biâille l'action diplomatfirme, De donc les verges à BrigOri EOrante à /01.18 ceux dos parlementaires qui tendent user du -droit qu'ils tiennent de la Constitution. a Les fantaisies Lie M. Besson e. a im- primé un journal de la région Fantai- sies ! Cher confrère, les louables préoc- cupations nées dune situation, redouta- ble pour le pays, dont le discours Lm miluslre de la guerne interne.. ne man- qua pas de souligner la, gravit ? Vous en avez de bonnes !... N'est-ce pue ainsi que vous qualité., d'ailleurs, il y a quelques mois, les in- fatue/Mens de M. Aconanbray 70v, voici qu'il culaient quo .oelui que vous avez bafoué prend une autorité qui grandit chaque jour et qu'a telles de ses ques- tions dont on se moquait, hier, ou ré- pond aujourd'hui en leur ac.rdant le plus grand SéldellX. Au surplus, il von vient de l'indiquer dès maintenant Ceux qui, .présentemeÉnt, accusent les députés de sbecnÉper de ce qui ne les regards 'pas seront les Mêmes 'qui, la guerre finie, pour les besoins de leur politique, reprocheront aux ,parlemen- !aires de n'avoir rien fait. Fantaisies !Mais ce n'est pas tant à la Chambre qu'elles s'étalent, Messients In presse, que dans los colonnes de vOS journaux. En /Meg-V.9 assez raconte depuis dix-dmit mois 7 La marche triom picole sur Berlin, les obus allemands qui n'explosaient pas, la, fuite de l'en- neeni devant les 'baionnettes, la lâcheté du soldat allemand. Kaanerad ! Enne- mi ! le pain K. K., l'Allemagne MT, m., le rouleau russe, les -cosaques ring étapes de Berlin. la mort du kron- prinz, la prisa Éprochaine de ConstultP- impie, le thermomètre des Dardanelles, I'Mtervention bulgare à nes oêlés, /a ma/adie du kaiser, etc etc. Vraiment, tin peu de réserve ne vans niessierait pas ! filais le jeu est clair. Il s'agit de 'pré- parer, pour la Fran., un régime favo- rable a8 pouvoir ipmpS01-11101, et la beso- mie préliminaire instiSpellgmble eamsistp d enlever tout crédit aux institutions parlementairen. ta séance au cours de laquelle se pro- duisit l'incident qui faillit aboutir au *part du -ministre de la guerre a fourni Les messie., une nouvelle matière. fiens doute, 'quelques députés de tons /es partis aubiers évent pus, à eMte occasion, la tenue qui Eurrvennit (jeu pu/Sb/g/1 .parler, puisque je Ong dis seau qui' de suite le lem dirent); mais as faut pan croire à tout oe qu' t ru- ., la presse stord', rie s'agissait pas de dé- fendre les bistros, mals les soldats per- Missionnaires, obligés de déambuler et rues quelque 'cordP5' fusse' ÉÉv a 14:u els la Chambre demandait red eave dans les e.apas et u- u_. .afis y boira d'alcool. Elle 'Pa s tort sans doute, ,puisque lo 1,,,..ico ne,,iîdastlisa pourtant dans son o11- Pll. promettra de 'donner nd'Anees.,td' riheident relatif au KédéraÉl 4,t,,,,,,,t1.=:dessus la prosse s'est in- Quoi, mement. nain il il est vrai qu'il eut mieux ?"qp ne se produisit -pas, il .5i. "n,IPL,,ople, exact que les eolges officiais heurtaient le sentiment relloqui,eermtment et qui sa- Iurs, les gens de bonne foi I-mcs pensé, depuis, qu'il était Mun- echef de si gr.et mécite eut P être: renvoyé, à l'intérieur 1 se un commandernent actlf J,'S."1, prie de noter, nu surplus, que ,welokrnalistes qui ont crig scan: Propos sont les mêmes qui pandarent les calomnies 05 sue vamminebles sur le général [coolCoupable à leurs yeux d cire aoreubbreain. p l'affaire est bien menée. Men- Insinuations et menaces rien 55f mrlxqUn. Je Éprends, par exemple, pub4, ..!'"fe- de M. Maurice Spronck, de- Paris ; on y lit de belles oh,- parlemembajee 47;2 ttat ratante, tout dloucement d 51beautes Lantaisies sur le co- IES eantInissions RUN mr- ermite de .lut public, qui le contraire dc la vérité. que M. Maurier: Barrès de », a jeté le masque L d ailleurs, 'croyant l'heure guerre, tout juste bon PH, eu les !mires, (11,filieus des N. 4520 r. que lui ont donnes nurifin, . /es iii Os de /Menti et dédaigneux de la loi Dabbiez, entre deux injures à l'a- dresse des deputés qui ne a veulent pas aller AI front 'pour des raisons sur lesquelles ils s'expliqueront bien un jour, sous &huile Egg buts e Il n'est pas douteux. dit-il, qu'a la mix le ,ptobletne sera do !mener la Coast lotion, c'est -a-dira É. le renfor- cer 1 autorite du chef d, Pfiltat ii, d'et, lilir la responsabilité de- vaut le chef PEtal, ehoisir plue volontiers les ministres a en délier; du Parlement n, die a restreindre l'autorité parlementai. a et de medifier le mode électoral. a Si avec cela nous ne comprenons pas c est que nous aurons l'entendement trop dur. Le jour où M. Bar., publia cet article la joie fut 'extrême dans certains milieux imondains et offleiele Le réve, depuis si longtemps caressé. ollait-il se réaliser ? Ainsi ene, c'est -à cela que ces mes- sieurs entendent nous conduire ; c'est pour ch-la que la France fait la guerre contre le militarisme prussien, ta guer- re du druil, la guerre de libération, la guerre des démocraties centre l'absoluo tien° ! -Entendez-vous, poilus des Iran- Mets, les poilus de l'arrière vous pré- parent un régime républicain avec un président empereur ! licol assez heureux que barbon", nous suit dite ace mette brutalité. Nous Lem- mes ainsi prévenus. Quelques nésemes que -noua ayons à faire sar Io mérite do nos instiÉtutions patÉleriwirtaires, nous les préférons un sLty doute la caricature de lié- publique m. certains entendent impo- ser à ce pays. Nous luttons pour la réa- lisation du Socialisme; nous lutterons uisis sil Le fout pour dlefendra la dé- nligratie menacée, Et .puisque l'ennemi étant encore à Noyon les réacitionnaires dressent déjà leurs batteries, osons dmii nous préparer pour la eontre-aLtaque. A. PRESSEMANE Deliisig de ka Ilutde-Vienne. UN NOUVEAU CONFRERE. None recevons le remisa numéro du 'Queue du Peuple grand hebdomadaire politique, litté- raire ' mtilque, social, paraissant tous les mer- credi, ;Nous avons le plaisir d'y retrouver ueo de larges t.,ches instimureusoment I Ils signatures amies dé George Ploch' lieur' Na- .bre, Marcello °me, Victor Snell, A. 1:lest/ois, O. Beuillard etc., ainsi que des caricatures dueS au crayo'n spirituel de A, d'Hampol, vidame, Bour, a-P. Sasser. un dessin de IL-P. Gosier représente m homme Littéralement coupe en moneaux D'Homme du Jouer avec cette légende t quoi ! mon pauvre monsieur, c'est la emmure qui vems amis dans cet Mat ? » 011 I non, c'est le régime apeurai pour la prese I régir. 1 Mais la Censure n'avait pas prévu le /mena/ du Peuple. mon., n notre n Mo, e an confrère, POUR CEUX DE L' ACTION FRANÇAISE Dontt TELEGRAWIE t ET rie. Notre excellent confrère Léo Poldès vient do publier éditions du la Brochure Populaire» un utile opuscule Engagez-y,. I s qui ddrine les renseignements les plus coralets sur les« engagements séciaux », aimé .mfrère a adressé paralt-il des exem- lains dédicacés à 5105,ire. Léon Daudet, et autres patriotes intégraux, incivils, mais im- mobilisés. LE TIGRE ET SA PROIE. Dans les couloirs du Sénat et dans le sein sa- cré des commissions M..Olemenceau fait preuve 1105e grande an/Mil/te po. M. Aristide Briand, Quand 0 l'appelle Mon cher Président », M. Briand observe t umnsia, l'Homme 01u_ murémn traitera simplement d'imbécile » Quand il l'appelle Gher ami M. 'Briand accentue le saurin L'Homme Encludné Ide dénon.ra demain vommo ua hialfOteur pool e,» LM. Briand a donne lui-même n la censure des 5005101formel de ne aines pratiquer une emmure dans les articles de M. //Mme.., Gin ument/ ne Id pardonne pie cette nos- LA GLOIRE ET LA POPULARITE. CY1 .Anatele Franee a quitte pair quelquesjoure sa c.amPagne des environs .de Tours. Il ont col ce moment à Parls où ses amis Pont retrouvé tou- jours jeune alerte et vaillant, abondant en pa- radoxes et fertM, en aneodotes Al l'un d'eux, ,1 rappelait eu/nment il alla ja- dis en compagnie de Taures faire une conférence Oses une petite ville tin Midi. L'organisateur de la réunion ne /es connes- sait IP Fun ni rentre Il ne se trompa pas eo- qumd ns débarquerent d la gare, il s approcha d'eux et dira Jaurès t more pas, voms êtes le eiteyen Mure, .,7ig Ou ir b/gbloire, gnon M. Anatole loVance Saures parla le prenne, Lorsque vint /e tour On M. Annule France le président de /a réunion ne put 15011eraiipeler que e prénom du grand écrivain Il annonça La parole est â M. Aneole Jaurès se pencha vers ni. AnatOle et murmura: Ça, c'est la popuFarité I esi LE SEL MARIN. La scene se passe dans la matin. d'un jour de cette semaine â PElysée dans le saMn où nuM1 00504 des ministres, tous les mi- nistres ne la marine. contre-amiral Laon est cependant la corn.. même et la précision en personne. Connaissrat bien ses habitudes on commençait clejià à s'étonner va peu de soli absence n Men a/Meer t quelles circonstances ...pilonne, Ms pouvaient bien le retenir ainsi loin de son fauteuil ,nour ne roosed ou, justement, on avait grand besoM nom, C'est alors que le citoyen sembat, 001 5000 fait jamais d'autr/s eut un mot de eirconstance: L'amiral, dit-H se sera peut-être ./noue... 11111.1.....1MIMIer I- vince, je fis observer Gustave Hervé qu'a Le/me de Saint-Just M. René Besnard, hom- précoce, avait dejà. beaucoup vieilli et Ou prétend que c'est Clemeneeau qi j'1 a abrégé Fexistenee ministérielle de m. René Begnard. J'ai autre idëe 1 c'est Hervé qui lui O porté malbeur. Tous les ministres, sOlisaninistreS, quart de ministres, que notre Gustave natinnal a pris sous sa protertion... Victorieuse sont, à l'heure q,ii1 est, dépolir,s de leur minis- tère. Il a mie Vive Delcassé ! n Mais M. ,Deleassé, rarahatatit Falfection que lui conserve le trop désetté et fidèle M. Rey- nald, a fortement Perdn du mn Progie dans l'aventure ,balkanique. Quant. à M. Mil- lerand, bien qu'if Fait parfois affectueuse- ment rudoyé, Hervé lui a néanmoins ternoi- -gné et prouvé son estime. L'a-t-il empeché de se faire rompre Io OS Par sa bure/Men.- Lie ? Pareille mésaventure est survenue â René Bernard. hnstnn Hervé avait cependant fondé sur sa jeunesse, de belles espérances ! eavait- il pas es oqué, pour .faer son avènement, les ombres glorieuses et propime de Danton et de Saint-dont ? Mince de eomparaison, I au- rait dit Cavreelle. Je le dis aussi, inca que plus poliment ! Timidement, ainsi qu'il con- vient I ou, très humble folliculaire de pro- 558' jour de la guerre. Conam:unicrués (Dfficieis C.1ereartectique F't-erlça.its Perm, 10 Ourler, 15 heures. EN ARTOIS, le duel d'artillerie s'est poursuivi depuis la dote 119 jusqu'au theirsin de Neuville n Thelus. Une lutte à coups de grenades nous a permis de ohasser l'ennemi de quel- ques boyaux °Coupés par lui, à l'ouest de la Folie jusqu'au chemin de Neu- ville ; les Allemandls, à la tombée de la nuit, ont dirigé sur nos positions, du chemin do Neuville, à la Folie, une forte, attaque, qui u été repoussée; i'mumni n'a pu 'prendre pied, que dans UR des entonneds que nous lui usions pepplg préCédemanÉent. AU SUD DE LA SOINEVIE, au cours ges actions de détail effectuées dans les journées d'avantaltier et d'hier, nous huons fait uneceinquantaine de pre scanners et pris dee mitrailleuses Ut un canon-revolver. Aucun événement important à ,signaler sur le reste dit front. Le Ccartreetaicree Sien le /lune gauche du secteur de nos troupes se sont portées sur la rive Riga, le feu cet amanil en boss' coup cuidentale dol DÉniester, d'endeoit8 notre artillerie a dispersé Au sud-ouest ae Samoussin, sur le les tras ailleurs allemande et provoque Draiester, on axai de Salosezisky Pén- urie forte explosion dans les lignes en- nenti u fait sauter inaladrotternent un nemies, dans là, eemon de la chamiée minou:fiel bexplosion s'est produite de Baldme. parmi les défenses d ei ennemi, nom- Oasis le secteur de la Dvina, it Lie- Ment unepartie de ses rettanchements. venlisarkani, entre ,Tacobstadt et Dvinsk Au sudeest de Salosczisky, l'aum0- et près de Dvinsk, la canonnade et la nier Alexandre laYimetzky est tombé [fusillade sant intenses et fo monstato Victime de son devoir, alors qu'il allait. Pactia fié de l'artillerie lourde, par-tien- la croix en main relever les blessés librement des deux côtés du chemin de près des défenses de, fil de fer, fer de Ponevidge. En mer Noire, nos torpilleurs ont En Galicie, au nord-ouest de Tarim- eould, dans la région houillère, un petit pol, I ennemis a taro contre le secteur de sapeur. GliadIvi-Horobievka avee des min, de Au Caucase, ams détachements ont gros -calibre; au nordecmcst de délogé les Turcs d'une, série de ,positions zisky. nous avons occupé Usieczke oit dans ta région de la rivière Arkhase Dans les Balkans L'offensive ennemie serait abandonnée Londres, 10 lévrier. On mande d'At/mues au Morning L'offe.ive ennemie contre Salonique semble définitivement abandonnée. La fore des défenses alliées a semble-t-il modifié les intentions de rétatmcqàr allemand.' Des régiments allemands 01101e places entre les lignes bulgares cois frontière pour empêcher Ms désertions bulgares, qui se multipliaient. L'opinion des milieux com- pétents est que l'ennemi r..tera inactif en Ma- cédene jusqu'à ce qu'une victoire importante mr un autre frmt permette de renforcer sun/sam. ment les lignes de Macédoine pour que l'attaque de Salonique puisse etre tentée aveu charme de sec.. s Une victoire de ce genre sera recherchée sur le front français ou de préférence, sur 50x1 italien 00 elle aurait un effet plue décisif sun Bada., » A la Chambre grecque A A In Chambre des dépult,''lese r or eisiont bondées -.M. les députés sont présents. M. akouloudis a lu une déclaration expout la politique elle programme du gouvernement qui consistent surtout à maintenir intactes los forces ta nation pour les utiliser exclusivement 5 la sam./are des intérêts du pets. Il a ajouté que l'évolution des événements a démontré que cette politique dont le bat était d'éviter ,clea malheurs ails Grice, avait reçu l'ap- probation de la majorité de la nation et qu'il continuerait a la radses malgré, les pressions, que le peuple supporterait avec courage .perent gne le droit et la justice ne tarderaient pas h ree trouver leur autorité. un député, m. Papp, a expose uue eenception différente, M. Crvitaalla a réoliena en développant longue- ment le programme du gouvernement. Le blocus des côtes grecques Milan, 10 renier. mande de Syra.. au Secolo Des voyageurs venus de Seonique et du Ki- rée O lord du vapeur Giatur de Gasoils rappor- tent que Minipoikantes oses.m franco-angle, se.s exercent as contrôle minutieux sur le trafic maritime belêniq., perd, avec ses idées, les eiftmonsiasines et les généreux emportements de la jeunesse. Je m'étonnais neme que, sachant son bis- taire, Clemenceau Fait trOuvé indigne du choeur des vieillard. v. On dit mais je l'ignore qu'il mam quait de compétence .pear l'aéronautique. Plaisanterie sans doute ? iSa carrière poli- tiqUe ne le prédestinait-elle pas, an con- traire, b ces délicates fondions ? N'avait-il pas abondrammut, fort à propos, le bagage 1/m'ombr5nt-4o opinions subversivo de sa prirne jeunesse, prouvé. son habileté à jeter Mt test, afin de mieux s'élever; de monter très vite et très haut ? Si -s.l. chute fut plus rapide -eneore que son ascension, à uni la faute ? Il ynhi'ues cette malheureuse et MArtriere randonnée des zeppelins sur Paris ! Mais qui doue osa eu parler ? Chuyez-0000 que 55. René Regnard puisse ea assumer la responsabi- lité ? II ma pas voulu sers ir de m. bouc émis- saire s, Il est parti. II a bien fait. Tant pis pOUP la Fiance si elle a des avions sans !... Quelqu'un a dit que '05.0000 Bemard était la dernière victime dos zeppelins. Je pro- teste. Sa ,MaleclianCe lui vient des louanges d'Hervé, car, je VOUS le dis en confidence Hervé a le InauVais 0011 ! C. MARCEL-Ln:MIT. » Cette surveillance équivaut 1 un blocus des côtes grecques. Le blocus s'étend de Mie de Corfno jusqu'au golfe de Gavela. Les denrées alimentaires commencent à faire défaut en Grecs. Les provisions de charbon sont completement épuisées de sorte que la flotte de mur-neer. hellénique sÉ oblige de rester inactive dans le sports Beaucoup esthnent quo la Grèce ne omit', Ida longtemps maintenir la neutre- Eté. » En Roumanie Un appel patriotique Londres, :0 février. On télégraphie de P,rne au Mo,ning Post que gouvernement roumain vent d'adresser à la ''PniaBeri nu sPPel l'engageant à. verser tout l'or dent elle dispose d la Banque nationale en oie Mathenenter la face financière du pays. La mobilisation Londres, 50 février, On mande de SaMnique Times quo les ré- ervistcs roumains résidant dans cotte ville ont té invités à rentrer 8.3 retard. Les Russes en Orient Londres, 10 février. De Petrograd au Igaraing POst On considère dans les sphères officielles rosses, que les niravement. de-s troupe. alle- mandes sur le front occidental n'indiquent pas que l'ennemi se prépare a manifester une grande activité contre la risme. En ce qui con.rne le front m'entai, on croit que les Russes negligenont Druerourn, pendent deux mois environ et qu'ils tenteront de frap- per des .ups impértants sur les poids on ils ont des chances serieuos d'obtenir d, Suce., mtamment en participant aux opérations de Md- mpotamie avec les armées afilées. Dans les Airs Un raid d'hydravions allemands sur l'Angleterre Iner, à u h 30 de l'après-midi, on a signale Tin deux hydt'avions allemands s'approchsientdu 101ornI dm Comté de Kent. Qtreques minutes apruo les deux hydravions jetaient trois bombes dans elamP des envi- rons de am:legato et quatre bombes près d'one Mole, I, Broadstairs, Trols de OeS dernie bombes out fait explo- sion On ne signale - amident de personne ni aucun dosai,' bris de vitres. Deux femmes et un enfant blessés Ramsgate 10 février. Les deux hydravions qui ont jeté des bombes, hies aptes midi sur .RamsgaM 'et Broadetairs, étaient de .uleur claire; ils avançaient en-em- ble, /entcment, à une grand altitude, entre Rams- gate et Broadsters, Arecs avoir parcouru une cent-lus de mètres en te.rritoire anglais ils ont lancé .precipitamment sixà huit bombes ei se sont enraie. Trois bombes ont éclaté près de ,eux Jeunes éootièree, qui n'ont pas été attentes. Une autre bembe s'enfouies profgndement, sans éclater dans le sol ai un 'jardin La One. sost ,nrecipitée sur tes lieux pour y rainasses des débris de bombes comme souvenirs. Sur Mer Une torpille de sous-marin a éclaté dans le port de Flessingue. Flessingue, IO février. Hier apres-rnidt, à deux heures, une tor- pille d'un sous-marin -mouillé dans le port a éclate accidentellement, frappant au sud du port, un .ponton sur lequie plusieurs per- sonnes avaient pris,place,.et notas/ment des marins débarqués vamseau de guerre hollandais i. Ifeemsker ; il y eut .plusieurs blessés. Le pmton coula. Toutes les vitres du voisinage furent bri- sées, liti caporal du Sous-marin fut tué et un sergent grievement blessé. On signale que les blessés qui se trou- vaient sur le ponton ont -été sauvés. Cà et 1_,à L'agaire duo Lusitania o est réglee Washington, 10 février. La controverse entre le gouvernement des Etats-Unis et PAlimnagne O propos du mm Lu- sitania a est arrangé, Jusqu'à midi, atijeurehu4, hadminishru- tion n'avait pas divulgué les termes par les- quels l'on est arrivé Étn ente entente C'est le président Wilson qui cède Washington, 10 février. L'affaire du e Lusitania I a été comple- te/mut réglée S midi. Le président Wilson a refusé de faire connaltre les 'candie... Il ne reste plus que quelques modifica- tions de style à apporter au libellé de la réponse américaine. Une des modifmations proposées par M. Lansing au texte de von Beenstorff est de -remplacer a assumer la responsabilité par reconnaître la responsabilité a ACTUALITÉS Le YOU8ge fi [1.I. Orion A ROME Les raisons. - La question du Prêt. Pour une unité de direction. M. Maurice de Valette donne, dam un journal pansien, /es raisons du voyage de notre Premier en Italie. Elles nous paraissent judicieuses. M. Briand est pmn ,pour Rome. Ce voyage est le corollaire naturel de son voyage à Londr., L'heure mt arrivée de traiter l'Italie d'égale à égaie. La nécessité s'en fait sentir avin plus de force depuis que la q.estion du ravitaillement de lie en Me et en Marbon a pris caractère urgent. L. journaux vaticanes.. ou giolittiens ne man- quent pas de moi, cam avoir 1', d'y toucher, que l'élévation du prix d. fret feest-à-dire du transPert Par mer) s capapta à la marine roam tint roq'r.er 111.rt lie a dû payer, pour son compte, une'milliard et demi. La presse gui obéit à M. Giolitti, va jusqu'à calotter que la Maison Runciman (père du minis- tre du commerce brits.nnique/, concessionnaire des transports du blé aux Alliés, gagne 2.400 000 f0. par mais avec un bateau qui, neuf, lui a milité nom,n Mn. Voilà pour le blé, Cest pis prof le charbon. Le blé est eher, Le charbon manque ou va manquer, immobilisant déjà des industries nussi importantes que la production du soufre. Et sans soufre, pas de vignes. réclame donc à grands cris, et mec juste raison, un mmité international de la marine mar- chande qui régularisera les prix do fret et décidera, mur commencer, que les Alliés doivent être sem, avant les neutres, et non en concurrence avec ceux-ci. Le test souple et onctueux de M. Briand s'em- ploiera à concilier c. desiderata italiens avec la liberté du COMMLSCE anglais. On peut supposer qu'en revanche 0 demandera à .. alliés italiens I» ,riCiser ieur situation militaire. Car, dans le sein du ministère italien, a mdste deux cimtrines. M Bat-allai est visiblement pour une rnisCe de l'armée italienne al service de tous les intérées alliés, et particulièrement pour une ac- tion vigoureuse en Albanie. M Martini voudrait, au contraire, ne pas se disperser et réserver toute M force italienne au 6e. front national, ce quI impliquerait l'abandon, ou du moins l'immobili- sation de Vallons. ele Après seoir envisagé, lui aussi, as question du charbon et du Me, sons lex mêmes aspects, Gus- tave Hervé écrit dans sa « Victoire : N'est-ce pas le moment aussi de voir que jue- qu'ici nous n'avons pas pu nous entendre pote faire en commun une notion vigoureuse dans les Ba/ka. 1 II est visible que nous avons sur notre front français beaucoup plus d'hommes qu'il n'en ne pour repousser msintenant n'importe quelle offensive allemande, pour peu que nous sachions nous prémunir intelligemment contre lm gas as- phyxiants il mt non ma. visible que sur 'e front iMlien, le général Cadorna a une armée très supérieure en nombre à celle des AutriMiem. Misant jouer les réserves du front italien sur I» front français, ou du front français sur le front iMlien, il semble bien qu'il n'y aurait aucun dan. ger d'être crevé, ni en Franm ni ea Italie et qu'en pourrttt sans impmdence, prélever en Angleterre, en France et en Italie assee de monde pour écraser les Bulgares, libérer la Serbie, donner la main aux Russes. et aux Roumains. Seulement, pour ce5 anci, fi faut..., avoir de un conseil de guerre Mternotionol, avoir un conseil gouvernemmt internationB. Cette unité de direction, ta presse italienne, gui est â elec ac Heu l'Eurom, . duo» 's à cor et à cti depuis plusieurs mas. Briand va y travailler : il trouvera en saler:id. et en Sonnino des hommes ERtat qui sauront le comprendre. VENDREDI 11 FEVR1ER 1015 beiem*Émitries De son côté, M. Aristide Briand a déclaré La présence à mss cédés es général Pellé et de mon collègue Thomas est une suffisante indication pour ce qui a rapport à la cooMination d. efforts, da. Pore. des faiM militaires. Mais comme la victoire est anasi un problème réSiSt,Ce CiVile, nous non. occuper.. macorv, M. Léon Bourgeois et moi (et la présence à nos cet1» de personnsa compétent»a l'indique- de tous les autr0 pmblèmm d'ordre ...vomique et finan- cier pour la solution desquels l'Italie doit pouvoir compter sur la sofidarité de se, alliés. LE VOYAGE Turin, 10 .février, Brimd Léon Bourgeois, Albert Tho.. et leur suite sônt passés ce soir en gare de Por- Mneova. Des oris de l è Vive la Fran. I Vive Briand I Vive Bourgeois 0 » ont été poussés par les mem- bres de la colonie française et par le rem., qui, malgré le caractère privé du voyage, avait pu pénétrer à l'intérieur 00 10 gare. M. Briand et ses compagnons ont nspondu en agitant kurs chapeaux, Au lèout de dla minutes les ministres français sont remontés dans le train fres applaudis par Pa.ssistame; lorsque le .n.,o1 s'est ébranlé, M. Briand paraissant g. la ,portiere, a crié m è Vive Turin foule a répondu par le cri de Iè Vive In France I Avant l'arrivée Pour l'arrivée Os él Briand une foule nom- breuse est mass. a gare; dés cordons de ca- rabiniers 01 00 soldats d'infanterie et d'artillerie tiennent libre na grand espace devant la sortie, qui est ornée de raocecuix en drapeaux Italiens et français; un tapis de velours cramoisi est étendu par terre et de chaque enté on a disposé do grandes plantes vertes, à l'intérieur de la gare sur le quai prés duquel le train s'arrêtera, O Y O Moi un tapis de ve/ours rougi; d. plan- tes et dee drapeaux, une compagnie de grena- .diere, ,avec la musique et les drapeaux attend Pour rendre les honneurs: Ms hôtea et bus me- 0000 en Pace la sortie de la gare mit leurs fe- netrà gaeni. de drapeaux; loue Ira balcons et les fenêtres sont bondés de curieux. Malgré le temps pluvieux la foule devient toujours phis nombreum, le's benne des hô- tels et des maisons de la place de 1 Mies sont pavoisés et remplis de ePecfatenis. L'arrivée Le train amenant MM Briand, Bourgeois, Thomas et /es autres Inernbres de la mission française, .rive 515 heures. Le président du conseil M. Salandra ral- ...reg MM. Sonnino et lé généra/ ZuPellt, sous-s.rétaires d'Etat nsM Bersarelli et I/elo- lio l'ambassadeur de Fr.ce M. ,Barrere et les satorités de la viBe étaient sur le quai pour les recevoir. 1I0e mmpagnie de grenadiers Mme drapeau et musique rendait les honneurs. -La foula vivement acclamé le cortège. 'sise, aubades, Sonnino Zupelli et le prince Golon. sortent de /a sàle Royale et se pla- cent sur le quai; le tren entre Lnl gare 5 51 heures peett.s; 51. Briand descend le premier; Pareba.adeur de France s'avance d sa rencon- tre et lof présente FM. Salandra et Sonnino; Puis descendent du train hie& Bourg.is Albert Thomas et les autres membres de /a 'anioion française; les présentations ont 11on dans la salle Boryale, 7.es .présentations terminées MM. Salandra et Briand sortent de la gare, L1 foule applaudit chaleureusement en eniant Vive la France I Vive l'Italie I è M. Briand et M. Salandra le chapeau la main saluent et remercient, /iule montent en anto atimc l'ambassadeur de Fugace, M Barrfee. Dans une deuxième auto prennent M'a. MM. Somano et Bourgeois; iia.us hae troisième MM, Zupeni et Albert Thomas; dans une quat'rième, MM. BorsareLli de Muerte et éL de ,Billy, censaler de l'amhassade de Fran- ce; les autres membro de 'a mission ,prennent plece dans quatre outres autos; la route ac- clame au passage les Mos, qui se dirigent tees lentement verS le Grnd-110tel La foule, se massant devant le Grand-Tinte, continue sa grande manifestation do sympathie envers In mission fiança/o. Pour répondre aux acclarnatio. MM. Briand et Salandra 50 présentent au balooll du premier Otage de Jaunet, ou ics drapeaux français et lia mens flottent, L'enthousiasme augmente. La foolo .ntinue de crier 'Vive la Sun.. I Vive l'Italie I Des fenêtres des maisons st- tuées en face le Orand-Hdte bondées de men- ., de, on applaudit longuement. Après quelques instants mn Briand et Sa- landra entrent, mais la foins contlnue la mani- Pesten. avec un enthousiasme pIes Vie, M. Briand se présente S nouveau ayant à ses oPtés DAM. Bourgeois et Albert Érhomas; aux Pris de Vive la Prame I pOu.és Par la foule, M.. Briand répond O v Vive l'Italie 1 ». Goy cris provoquent de nouveaux applaudis- sements. Bri.d et les membres de /a mission ren- trent ensuite toujours acclamée par la foule, qui continue 'de stationner devant rhntel. Peu après MM. Sa/andra et Sonnino sortent. Os l'hôtel alriles par de longues acc/amations da sympalhle. LIE PARIIENIENT 01-1A.MEirtE (Paris, 10 février. La séance est ouverte à Ils, ta, sous la présidence de M. Deschanel. M. le -président .pnonence l'éloge funèbre du citoyen Lublin, député socialiste de la k gare, II donne leeture du télégramme qu'il a adressé au président de la Chambre cana- dienne pour lui témoigner la sympathie de In Chambre française d l'occasion de l'in- cendie du palais- do Parlement du Panade (Applaudissements unanimo.) On yote ensuite une série de projets de loi -prorogeant des surtaxes sur Pa/cool, no- tamment b Alois, à /a Ciotat (Bene/Ms-du- Rhône) et à. Montpellier. Les adoubes de grossesse On adopte ensuite sans discussion les du. ocrearticles de la proposition de loi de M. Ra-meil et ,plusieurs de ses collègues, ten- dant a accorder une allocation cournaliere aux femmes en'eeintes qui Lénékoleat ac- tuellement des aliocations ordinaires. On décide ensuite qu'un concome d'ad- mission à Saint-cyr aura lien en juin pro. thain. Les admis seront nommés mpirants après six mois passes n rEcole et pourront gagner leurs galons au front.. L'ordre du jour appelle la discussion do projet de loi concernant Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ADIfIttle-tRATI011neaeacmozs

88, Rika *centainesreacinsa

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aumeuesosseseing

IO ts.

Ce qu'ils veulentniai Brigen s'est attH'e, boutref,jda, d'une purioe ils la

jour, non la meilleure pour lesçrr5a qu'il eut r impudence de poser,,-",j gouvernement.

Elles venaient mal,ant, après le débat subira me-cg par M. Accumbnay. Et puis, elles

nien-1 une telba allure de par,sens iodc8c et d'originalité qu'elles en dore-

naiontpen Sympathiques.par les temps présents,

ntest_pà pas être original que de ne paschaque jour, les pir sottises

Zionecur tout le mande Or, Brigunex,coue dasts le genre.

Le presse qui hurle contre la eensure,

qui réclame pour -elle le droit, 'de toue

discuteractes du gouvernementent p

/as décisionsdu Parlement, Équi approu-

veau Biâille l'action diplomatfirme,

De donc les verges à BrigOri EOrante à

/01.18 ceux dos parlementaires quitendent user du -droit qu'ils tiennent de

la Constitution.a Les fantaisies Lie M. Besson e. a im-

primé un journal de la région Fantai-sies ! Cher confrère, les louables préoc-cupations nées dune situation, redouta-ble pour le pays, dont le discours Lmmiluslre de la guerne interne.. ne man-qua pas de souligner la, gravit ? Vous

en avez de bonnes !...N'est-ce pue ainsi que vous qualité.,

d'ailleurs, il y a quelques mois, les in-fatue/Mens de M. Aconanbray 70v, voiciqu'il culaient quo .oelui que vous avezbafoué prend une autorité qui granditchaque jour et qu'a telles de ses ques-tions dont on se moquait, hier, ou ré-pond aujourd'hui en leur ac.rdant leplus grand SéldellX. Au surplus, il vonvient de l'indiquer dès maintenantCeux qui, .présentemeÉnt, accusent lesdéputés de sbecnÉper de ce qui ne lesregards 'pas seront les Mêmes 'qui, laguerre finie, pour les besoins de leurpolitique, reprocheront aux ,parlemen-!aires de n'avoir rien fait.Fantaisies !Mais ce n'est pas tant à la

Chambre qu'elles s'étalent, MessientsIn presse, que dans los colonnes de vOSjournaux. En /Meg-V.9 assez racontedepuis dix-dmit mois 7 La marche triompicole sur Berlin, les obus allemandsqui n'explosaient pas, la, fuite de l'en-neeni devant les 'baionnettes, la lâchetédu soldat allemand. Kaanerad ! Enne-mi ! le pain K. K., l'Allemagne MT,m., le rouleau russe, les -cosaquesring étapes de Berlin. la mort du kron-prinz, la prisa Éprochaine de ConstultP-impie, le thermomètre des Dardanelles,I'Mtervention bulgare à nes oêlés, /ama/adie du kaiser, etc etc. Vraiment,tin peu de réserve ne vans niessieraitpas !filais le jeu est clair. Il s'agit de 'pré-

parer, pour la Fran., un régime favo-rable a8 pouvoir ipmpS01-11101, et la beso-mie préliminaire instiSpellgmble eamsistpd enlever tout crédit aux institutionsparlementairen.

ta séance au cours de laquelle se pro-duisit l'incident qui faillit aboutir au*part du -ministre de la guerre a fourniLes messie., une nouvelle matière.fiens doute, 'quelques députés detons /es partis aubiers évent pus, àeMte occasion, la tenue qui Eurrvennit(jeu pu/Sb/g/1 .parler, puisque je Ong dis

seau qui' de suite le lem dirent); maisas faut pan croire à tout oe qu' t ru-., la presse

stord', rie s'agissait pas de dé-fendre les bistros, mals les soldats per-Missionnaires, obligés de déambuleret rues quelque

'cordP5' fusse'ÉÉv a

14:u els la Chambre demandaitred eave dans les e.apas etu- u_. .afis y boira d'alcool. Elle

'Pas tort sans doute, ,puisque lo

1,,,..ico ne,,iîdastlisa pourtant dans son o11-Pll. promettra de 'donner

nd'Anees.,td' riheident relatif au KédéraÉl4,t,,,,,,,t1.=:dessus la prosse s'est in-Quoi, mement.

nain ilil est vrai qu'il eut mieux

?"qp ne se produisit -pas, il .5i."n,IPL,,ople, exact que les eolges officiaisheurtaient le sentiment

relloqui,eermtment et qui sa-Iurs, les gens de bonne foiI-mcs pensé, depuis, qu'il était Mun-

echef de si gr.et mécite eutP être: renvoyé, à l'intérieur

1

se

un commandernent actlfJ,'S."1, prie de noter, nu surplus, que,welokrnalistes qui ont crig scan:

Propos sont les mêmes quipandarent les calomnies

05 sue vamminebles sur le général[coolCoupable à leurs yeux d cire

aoreubbreain.p

l'affaire est bien menée. Men-Insinuations et menaces rien

55f mrlxqUn. Je Éprends, par exemple,pub4, ..!'"fe- de M. Maurice Spronck, de-Paris ; on y lit de belles oh,-

parlemembajee47;2 ttat ratante, tout dloucementd 51beautes Lantaisies sur le co-

IES eantInissions RUN mr-ermite de .lut public, quile contraire dc la vérité.que M. Maurier: Barrès de

», a jeté le masqueL d ailleurs, 'croyant l'heureguerre, tout juste bon

PH, eu les !mires, (11,filieus des

N. 4520

r. que lui ont donnes nurifin,

.

/es iii Os de /Menti et dédaigneux de laloi Dabbiez, entre deux injures à l'a-dresse des deputés qui ne a veulent pasaller AI front 'pour des raisons surlesquelles ils s'expliqueront bien unjour, sous &huile Egg buts

e Il n'est pas douteux. dit-il, qu'a lamix le ,ptobletne sera do !mener la

Coast lotion, c'est -a-dira É. le renfor-cer 1 autorite du chef d, Pfiltat ii, d'et,lilir la responsabilité de-vaut le chef PEtal, ehoisir pluevolontiers les ministres a en délier; duParlement n, die a restreindre l'autoritéparlementai. a et de medifier le modeélectoral. a

Si avec cela nous ne comprenons pasc est que nous aurons l'entendementtrop dur. Le jour où M. Bar., publiacet article la joie fut 'extrême danscertains milieux imondains et offleieleLe réve, depuis si longtemps caressé.ollait-il se réaliser ?

Ainsi ene, c'est -à cela que ces mes-sieurs entendent nous conduire ; c'estpour ch-la que la France fait la guerrecontre le militarisme prussien, ta guer-re du druil, la guerre de libération, laguerre des démocraties centre l'absoluotien° ! -Entendez-vous, poilus des Iran-Mets, les poilus de l'arrière vous pré-parent un régime républicain avec unprésident empereur !

licol assez heureux que barbon", noussuit dite ace mette brutalité. Nous Lem-mes ainsi prévenus.

Quelques nésemes que -noua ayons àfaire sar Io mérite do nos instiÉtutionspatÉleriwirtaires, nous les préféronsun sLty doute la caricature de lié-publique m. certains entendent impo-ser à ce pays. Nous luttons pour la réa-lisation du Socialisme; nous lutterons

uisis sil Le fout pour dlefendra la dé-nligratie menacée,

Et .puisque l'ennemi étant encoreà Noyon les réacitionnaires dressentdéjà leurs batteries, osons dmii nouspréparer pour la eontre-aLtaque.

A. PRESSEMANEDeliisig de ka Ilutde-Vienne.

UN NOUVEAU CONFRERE.None recevons le remisa numéro du 'Queue

du Peuple grand hebdomadaire politique, litté-raire

'mtilque, social, paraissant tous les mer-

credi, ;Nous avons le plaisir d'y retrouverueo de larges t.,ches instimureusoment IIls signatures amies dé George

Ploch'lieur' Na-

.bre, Marcello °me, Victor Snell, A. 1:lest/ois, O.Beuillard etc., ainsi que des caricatures dueSau crayo'n spirituel de A, d'Hampol, vidame,Bour, a-P. Sasser.

un dessin de IL-P. Gosier représente mhomme Littéralement coupe en moneauxD'Homme du Jouer avec cette légende t

quoi ! mon pauvre monsieur, c'est la emmurequi vems amis dans cet Mat ? »

011 I non, c'est le régime apeurai pour laprese I

régir. 1 Mais la Censure n'avait pasprévu le /mena/ du Peuple. mon., n notren Mo, e an confrère,

POUR CEUX DE L' ACTION FRANÇAISEDontt TELEGRAWIE t ET rie.

Notre excellent confrère Léo Poldès vient dopublier éditions du la Brochure Populaire»un utile opuscule Engagez-y,. I s quiddrine les renseignements les plus coralets surles« engagements séciaux »,

aimé .mfrère a adressé paralt-il des exem-lains dédicacés à 5105,ire. Léon Daudet,

et autres patriotes intégraux, incivils, mais im-mobilisés.

LE TIGRE ET SA PROIE.Dans les couloirs du Sénat et dans le sein sa-

cré des commissions M..Olemenceau fait preuve1105e grande an/Mil/te po. M. Aristide Briand,

Quand 0 l'appelle Mon cher Président »,M. Briand observe t umnsia, l'Homme 01u_murémn traitera simplement d'imbécile »

Quand il l'appelle Gher ami M. 'Briandaccentue le saurin L'Homme Encludné Idedénon.ra demain vommo ua hialfOteur pool e,»

LM. Briand a donne lui-même n la censuredes 5005101formel de ne aines pratiquer une emmuredans les articles de M. //Mme..,

Gin ument/ ne Id pardonne pie cette nos-

LA GLOIRE ET LA POPULARITE.CY1 .Anatele Franee a quitte pair quelquesjoure

sa c.amPagne des environs .de Tours. Il ont col cemoment à Parls où ses amis Pont retrouvé tou-jours jeune alerte et vaillant, abondant en pa-radoxes et fertM, en aneodotes

Al l'un d'eux, ,1 rappelait eu/nment il alla ja-dis en compagnie de Taures faire une conférenceOses une petite ville tin Midi.

L'organisateur de la réunion ne /es connes-sait IP Fun ni rentre Il ne se trompa pas eo-

qumd ns débarquerent d la gare, ils approcha d'eux et dira Jaurès t

more pas, voms êtes le eiteyenMure,

.,7igOu

irb/gbloire, gnon M. Anatole loVance

Saures parla le prenne, Lorsque vint /e tourOn M. Annule France le président de /a réunionne put 15011eraiipeler que e prénom dugrand écrivain Il annonça

La parole est â M. AneoleJaurès se pencha vers ni. AnatOle et murmura:

Ça, c'est la popuFarité I

esiLE SEL MARIN.

La scene se passe dans la matin. d'un jourde cette semaine â PElysée dans le saMn où

nuM1 00504 des ministres, tous les mi-nistres ne la marine.

contre-amiral Laon est cependant lacorn.. même et la précision en personne.Connaissrat bien ses habitudes on commençaitclejià à s'étonner va peu de soli absence n Mena/Meer t quelles circonstances ...pilonne,Ms pouvaient bien le retenir ainsi loin de sonfauteuil ,nour ne roosed ou, justement, on avaitgrand besoM nom,

C'est alors que le citoyen sembat, 001 5000fait jamais d'autr/s eut un mot de eirconstance:

L'amiral, dit-H se sera peut-être ./noue...

11111.1.....1MIMIer

I- vince, je fis observer Gustave Hervé qu'aLe/me de Saint-Just M. René Besnard, hom-

précoce, avait dejà. beaucoup vieilli et

Ou prétend que c'est Clemeneeau qi j'1 aabrégé Fexistenee ministérielle de m. RenéBegnard.

J'ai autre idëe 1 c'est Hervé qui luiO porté malbeur.

Tous les ministres, sOlisaninistreS, quartde ministres, que notre Gustave natinnal apris sous sa protertion... Victorieuse sont, àl'heure q,ii1 est, dépolir,s de leur minis-tère. Il a mie Vive Delcassé ! n MaisM. ,Deleassé, rarahatatit Falfection que luiconserve le trop désetté et fidèle M. Rey-nald, a fortement Perdn du mn Progiedans l'aventure ,balkanique. Quant. à M. Mil-lerand, bien qu'if Fait parfois affectueuse-ment rudoyé, Hervé lui a néanmoins ternoi--gné et prouvé son estime. L'a-t-il empechéde se faire rompre Io OS Par sa bure/Men.-Lie ?

Pareille mésaventure est survenue âRené Bernard.

hnstnn Hervé avait cependant fondé sursa jeunesse, de belles espérances ! eavait-il pas es oqué, pour .faer son avènement, lesombres glorieuses et propime de Danton etde Saint-dont ? Mince de eomparaison, I au-rait dit Cavreelle. Je le dis aussi, inca queplus poliment ! Timidement, ainsi qu'il con-vient I ou, très humble folliculaire de pro-

558' jour de la guerre.

Conam:unicrués (DfficieisC.1ereartectique F't-erlça.its

Perm, 10 Ourler, 15 heures.

EN ARTOIS, le duel d'artillerie s'est poursuivi depuis la dote 119 jusqu'autheirsin de Neuville n Thelus.

Une lutte à coups de grenades nous a permis de ohasser l'ennemi de quel-ques boyaux °Coupés par lui, à l'ouest de la Folie jusqu'au chemin de Neu-ville ; les Allemandls, à la tombée de la nuit, ont dirigé sur nos positions, duchemin do Neuville, à la Folie, une forte, attaque, qui u été repoussée; i'mumnin'a pu 'prendre pied, que dans UR des entonneds que nous lui usions pepplgpréCédemanÉent.

AU SUD DE LA SOINEVIE, au cours ges actions de détail effectuées dansles journées d'avantaltier et d'hier, nous huons fait uneceinquantaine de prescanners et pris dee mitrailleuses Ut un canon-revolver.

Aucun événement important à ,signaler sur le reste dit front.

Le CcartreetaicreeSien le /lune gauche du secteur de nos troupes se sont portées sur la rive

Riga, le feu cet amanil en boss' coup cuidentale dol DÉniester,d'endeoit8 notre artillerie a dispersé Au sud-ouest ae Samoussin, sur leles tras ailleurs allemande et provoque Draiester, on axai de Salosezisky Pén-urie forte explosion dans les lignes en- nenti u fait sauter inaladrotternent unnemies, dans là, eemon de la chamiée minou:fiel bexplosion s'est produitede Baldme. parmi les défenses d ei ennemi, nom-

Oasis le secteur de la Dvina, it Lie- Ment unepartie de ses rettanchements.venlisarkani, entre ,Tacobstadt et Dvinsk Au sudeest de Salosczisky, l'aum0-et près de Dvinsk, la canonnade et la nier Alexandre laYimetzky est tombé[fusillade sant intenses et fo monstato Victime de son devoir, alors qu'il allait.Pactia fié de l'artillerie lourde, par-tien- la croix en main relever les blesséslibrement des deux côtés du chemin de près des défenses de, fil de fer,fer de Ponevidge. En mer Noire, nos torpilleurs ont

En Galicie, au nord-ouest de Tarim- eould, dans la région houillère, un petitpol, I ennemis a taro contre le secteur de sapeur.GliadIvi-Horobievka avee des min, de Au Caucase, ams détachements ontgros -calibre; au nordecmcst de délogé les Turcs d'une, série de ,positionszisky. nous avons occupé Usieczke oit dans ta région de la rivière Arkhase

Dans les Balkans

L'offensive ennemieserait abandonnée

Londres, 10 lévrier.On mande d'At/mues au Morning

L'offe.ive ennemie contre Salonique sembledéfinitivement abandonnée. La fore des défensesalliées a semble-t-il modifié les intentions derétatmcqàr allemand.' Des régiments allemands01101e places entre les lignes bulgares coisfrontière pour empêcher Ms désertions bulgares,qui se multipliaient. L'opinion des milieux com-pétents est que l'ennemi r..tera inactif en Ma-cédene jusqu'à ce qu'une victoire importante mrun autre frmt permette de renforcer sun/sam.ment les lignes de Macédoine pour que l'attaquede Salonique puisse etre tentée aveu charme desec..

s Une victoire de ce genre sera recherchéesur le front français ou de préférence, sur50x1 italien 00 elle aurait un effet plue décisifsun Bada., »

A la Chambre grecque

AA In Chambre des dépult,''lese r oreisiontbondées

-.M. les députés sont présents.M. akouloudis a lu une déclaration expout la

politique elle programme du gouvernement quiconsistent surtout à maintenir intactes los forces

ta nation pour les utiliser exclusivement 5 lasam./are des intérêts du pets.

Il a ajouté que l'évolution des événements adémontré que cette politique dont le bat étaitd'éviter ,clea malheurs ails Grice, avait reçu l'ap-probation de la majorité de la nation et qu'ilcontinuerait a la radses malgré, les pressions, quele peuple supporterait avec courage .perentgne le droit et la justice ne tarderaient pas h reetrouver leur autorité.

un député, m. Papp, a expose uue eenceptiondifférente,

M. Crvitaalla a réoliena en développant longue-ment le programme du gouvernement.

Le blocus des côtes grecquesMilan, 10 renier.

mande de Syra.. au SecoloDes voyageurs venus de Seonique et du Ki-

rée O lord du vapeur Giatur de Gasoils rappor-tent que Minipoikantes oses.m franco-angle,se.s exercent as contrôle minutieux sur le traficmaritime belêniq.,

perd, avec ses idées, les eiftmonsiasines etles généreux emportements de la jeunesse.Je m'étonnais neme que, sachant son bis-taire, Clemenceau Fait trOuvé indigne du

choeur des vieillard. v.On dit mais je l'ignore qu'il mam

quait de compétence .pear l'aéronautique.Plaisanterie sans doute ? iSa carrière poli-tiqUe ne le prédestinait-elle pas, an con-traire, b ces délicates fondions ? N'avait-ilpas abondrammut, fort à propos, le bagage1/m'ombr5nt-4o opinions subversivo de saprirne jeunesse, prouvé. son habileté à jeterMt test, afin de mieux s'élever; de montertrès vite et très haut ?

Si -s.l. chute fut plus rapide -eneore que sonascension, à uni la faute ? Il ynhi'uescette malheureuse et MArtriere randonnéedes zeppelins sur Paris ! Mais qui doueosa eu parler ? Chuyez-0000 que 55. RenéRegnard puisse ea assumer la responsabi-lité ? II ma pas voulu sers ir de m. bouc émis-saire s, Il est parti. II a bien fait. Tant pispOUP la Fiance si elle a des avions sans

!...

Quelqu'un a dit que '05.0000 Bemard étaitla dernière victime dos zeppelins. Je pro-teste. Sa ,MaleclianCe lui vient des louangesd'Hervé, car, je VOUS le dis en confidenceHervé a le InauVais 0011 !

C. MARCEL-Ln:MIT.

» Cette surveillance équivaut 1 un blocus descôtes grecques. Le blocus s'étend de Mie deCorfno jusqu'au golfe de Gavela.

Les denrées alimentaires commencent à fairedéfaut en Grecs. Les provisions de charbon sontcompletement épuisées de sorte que la flotte demur-neer. hellénique sÉ oblige de rester inactivedans le sports Beaucoup esthnent quo la Grècene omit', Ida longtemps maintenir la neutre-Eté. »

En RoumanieUn appel patriotique

Londres, :0 février.On télégraphie de P,rne au Mo,ning Post quegouvernement roumain vent d'adresser à la

''PniaBeri nu sPPel l'engageant à. verser toutl'or dent elle dispose d la Banque nationale enoie Mathenenter la face financière du pays.

La mobilisationLondres, 50 février,

On mande de SaMnique Times quo les ré-ervistcs roumains résidant dans cotte ville ontté invités à rentrer 8.3 retard.

Les Russes en OrientLondres, 10 février.

De Petrograd au Igaraing POstOn considère dans les sphères officielles

rosses, que les niravement. de-s troupe. alle-mandes sur le front occidental n'indiquent pasque l'ennemi se prépare a manifester une grandeactivité contre la risme.

En ce qui con.rne le front m'entai, on croitque les Russes negligenont Druerourn, pendentdeux mois environ et qu'ils tenteront de frap-per des .ups impértants sur les poids on ilsont des chances serieuos d'obtenir d, Suce.,mtamment en participant aux opérations de Md-mpotamie avec les armées afilées.

Dans les AirsUn raid d'hydravions allemands

sur l'AngleterreIner, à u h 30 de l'après-midi, on a signale

Tin deux hydt'avions allemands s'approchsientdu101ornI dm Comté de Kent.

Qtreques minutes apruo les deux hydravionsjetaient trois bombes dans elamP des envi-rons de am:legato et quatre bombes près d'oneMole, I, Broadstairs,

Trols de OeS dernie bombes out fait explo-sion

On ne signale - amident de personne niaucun dosai,' bris de vitres.

Deux femmes et un enfant blessésRamsgate 10 février.

Les deux hydravions qui ont jeté des bombes,hies aptes midi sur .RamsgaM 'et Broadetairs,étaient de .uleur claire; ils avançaient en-em-ble, /entcment, à une grand altitude, entre Rams-gate et Broadsters,

Arecs avoir parcouru une cent-lus de mètresen te.rritoire anglais ils ont lancé .precipitammentsixà huit bombes ei se sont enraie. Trois bombesont éclaté près de ,eux Jeunes éootièree, quin'ont pas été attentes.

Une autre bembe s'enfouies profgndement, sanséclater dans le sol ai un 'jardin

La One. sost ,nrecipitée sur tes lieux pour yrainasses des débris de bombes comme souvenirs.

Sur MerUne torpille de sous-marin a éclaté

dans le port de Flessingue.Flessingue, IO février.

Hier apres-rnidt, à deux heures, une tor-pille d'un sous-marin -mouillé dans le porta éclate accidentellement, frappant au suddu port, un .ponton sur lequie plusieurs per-sonnes avaient pris,place,.et notas/ment desmarins débarqués vamseau de guerrehollandais i. Ifeemsker ; il y eut .plusieursblessés. Le pmton coula.

Toutes les vitres du voisinage furent bri-sées, liti caporal du Sous-marin fut tué etun sergent grievement blessé.

On signale que les blessés qui se trou-vaient sur le ponton ont -été sauvés.

Cà et 1_,àL'agaire duo Lusitania o est réglee

Washington, 10 février.La controverse entre le gouvernement des

Etats-Unis et PAlimnagne O propos du mm Lu-sitania a est arrangé,Jusqu'à midi, atijeurehu4, hadminishru-

tion n'avait pas divulgué les termes par les-quels l'on est arrivé Étn ente entente

C'est le président Wilson qui cèdeWashington, 10 février.

L'affaire du e Lusitania I a été comple-te/mut réglée S midi. Le président Wilsona refusé de faire connaltre les 'candie...

Il ne reste plus que quelques modifica-tions de style à apporter au libellé de laréponse américaine.

Une des modifmations proposées par M.Lansing au texte de von Beenstorff est de-remplacer a assumer la responsabilitépar reconnaître la responsabilité a

ACTUALITÉS

Le YOU8ge fi [1.I. OrionA ROME

Les raisons. - La question du Prêt.Pour une unité de direction.

M. Maurice de Valette donne, dam un journalpansien, /es raisons du voyage de notre Premieren Italie. Elles nous paraissent judicieuses.

M. Briand est pmn ,pour Rome. Ce voyage estle corollaire naturel de son voyage à Londr.,L'heure mt arrivée de traiter l'Italie d'égale àégaie.

La nécessité s'en fait sentir avin plus de forcedepuis que la q.estion du ravitaillement delie en Me et en Marbon a pris caractère urgent.L. journaux vaticanes.. ou giolittiens ne man-quent pas de moi, cam avoir 1', d'y toucher,que l'élévation du prix d. fret feest-à-dire dutransPert Par mer) s capapta à la marine roam

tint roq'r.er 111.rtlie a dû payer, pour son compte, une'milliard etdemi. La presse gui obéit à M. Giolitti, va jusqu'àcalotter que la Maison Runciman (père du minis-tre du commerce brits.nnique/, concessionnaire destransports du blé aux Alliés, gagne 2.400 000 f0.par mais avec un bateau qui, neuf, lui a militénom,n Mn.

Voilà pour le blé, Cest pis prof le charbon. Leblé est eher, Le charbon manque ou va manquer,immobilisant déjà des industries nussi importantesque la production du soufre. Et sans soufre, pasde vignes.

réclame donc à grands cris, et mec justeraison, un mmité international de la marine mar-chande qui régularisera les prix do fret et décidera,mur commencer, que les Alliés doivent être sem,avant les neutres, et non en concurrence avecceux-ci.

Le test souple et onctueux de M. Briand s'em-ploiera à concilier c. desiderata italiens avec laliberté du COMMLSCE anglais. On peut supposerqu'en revanche 0 demandera à .. alliés italiensI» ,riCiser ieur situation militaire.

Car, dans le sein du ministère italien, a mdstedeux cimtrines. M Bat-allai est visiblement pourune rnisCe de l'armée italienne al service de tousles intérées alliés, et particulièrement pour une ac-tion vigoureuse en Albanie. M Martini voudrait,au contraire, ne pas se disperser et réserver touteM force italienne au 6e. front national, ce quIimpliquerait l'abandon, ou du moins l'immobili-sation de Vallons.

eleAprès seoir envisagé, lui aussi, as question du

charbon et du Me, sons lex mêmes aspects, Gus-tave Hervé écrit dans sa « Victoire :

N'est-ce pas le moment aussi de voir que jue-qu'ici nous n'avons pas pu nous entendre potefaire en commun une notion vigoureuse dans lesBa/ka. 1 II est visible que nous avons sur notrefront français beaucoup plus d'hommes qu'il n'enne pour repousser msintenant n'importe quelleoffensive allemande, pour peu que nous sachionsnous prémunir intelligemment contre lm gas as-phyxiants il mt non ma. visible que sur 'efront iMlien, le général Cadorna a une armée trèssupérieure en nombre à celle des AutriMiem.

Misant jouer les réserves du front italien surI» front français, ou du front français sur le frontiMlien, il semble bien qu'il n'y aurait aucun dan.ger d'être crevé, ni en Franm ni ea Italie et qu'enpourrttt sans impmdence, prélever en Angleterre,en France et en Italie assee de monde pour écraserles Bulgares, libérer la Serbie, donner la mainaux Russes. et aux Roumains.

Seulement, pour ce5 anci, fi faut..., avoirdeun conseil de guerre Mternotionol, avoir un conseil

gouvernemmt internationB.Cette unité de direction, ta presse italienne, gui

est â elec ac Heu l'Eurom, .duo» 's à cor et à cti depuis plusieurs mas.

Briand va y travailler : il trouvera en saler:id.et en Sonnino des hommes ERtat qui sauront lecomprendre.

VENDREDI 11 FEVR1ER 1015

beiem*Émitries

De son côté, M. Aristide Briand a déclaréLa présence à mss cédés es général Pellé et de

mon collègue Thomas est une suffisante indicationpour ce qui a rapport à la cooMination d. efforts,da. Pore. des faiM militaires.

Mais comme la victoire est anasi un problèmeréSiSt,Ce CiVile, nous non. occuper.. macorv,

M. Léon Bourgeois et moi (et la présence à noscet1» de personnsa compétent»a l'indique- de tousles autr0 pmblèmm d'ordre ...vomique et finan-cier pour la solution desquels l'Italie doit pouvoircompter sur la sofidarité de se, alliés.

LE VOYAGETurin, 10 .février,

Brimd Léon Bourgeois, Albert Tho..et leur suite sônt passés ce soir en gare de Por-Mneova.

Des oris de l è Vive la Fran. I Vive Briand IVive Bourgeois 0 » ont été poussés par les mem-bres de la colonie française et par le rem., qui,malgré le caractère privé du voyage, avait pupénétrer à l'intérieur 00 10 gare.

M. Briand et ses compagnons ont nspondu enagitant kurs chapeaux,

Au lèout de dla minutes les ministres françaissont remontés dans le train fres applaudis parPa.ssistame; lorsque le .n.,o1 s'est ébranlé, M.Briand paraissant g. la ,portiere, a crié m è ViveTurin

foule a répondu par le cri de Iè Vive InFrance I

Avant l'arrivéePour l'arrivée Os él Briand une foule nom-

breuse est mass. a gare; dés cordons de ca-rabiniers 01 00 soldats d'infanterie et d'artillerietiennent libre na grand espace devant la sortie,qui est ornée de raocecuix en drapeaux Italienset français; un tapis de velours cramoisi estétendu par terre et de chaque enté on a disposédo grandes plantes vertes, à l'intérieur de lagare sur le quai prés duquel le train s'arrêtera,O Y O Moi un tapis de ve/ours rougi; d. plan-tes et dee drapeaux, une compagnie de grena-.diere, ,avec la musique et les drapeaux attendPour rendre les honneurs: Ms hôtea et bus me-0000 en Pace la sortie de la gare mit leurs fe-netrà gaeni. de drapeaux; loue Ira balcons etles fenêtres sont bondés de curieux.

Malgré le temps pluvieux la foule devienttoujours phis nombreum, le's benne des hô-tels et des maisons de la place de 1 Mies sontpavoisés et remplis de ePecfatenis.

L'arrivéeLe train amenant MM Briand, Bourgeois,

Thomas et /es autres Inernbres de la missionfrançaise, .rive 515 heures.

Le président du conseil M. Salandra ral-...reg MM. Sonnino et lé généra/ ZuPellt,sous-s.rétaires d'Etat nsM Bersarelli et I/elo-lio l'ambassadeur de Fr.ce M. ,Barrere et lessatorités de la viBe étaient sur le quai pour lesrecevoir.

1I0e mmpagnie de grenadiers Mme drapeau etmusique rendait les honneurs.-La foula vivement acclamé le cortège.'sise, aubades, Sonnino Zupelli et le prince

Golon. sortent de /a sàle Royale et se pla-cent sur le quai; le tren entre Lnl gare 5 51heures peett.s; 51. Briand descend le premier;Pareba.adeur de France s'avance d sa rencon-tre et lof présente FM. Salandra et Sonnino;Puis descendent du train hie& Bourg.is AlbertThomas et les autres membres de /a 'anioionfrançaise; les présentations ont 11on dans lasalle Boryale,

7.es .présentations terminées MM. Salandra etBriand sortent de la gare, L1 foule applauditchaleureusement en eniant Vive la France IVive l'Italie I è M. Briand et M. Salandra lechapeau la main saluent et remercient, /iulemontent en anto atimc l'ambassadeur de Fugace,M Barrfee. Dans une deuxième auto prennentM'a. MM. Somano et Bourgeois; iia.us haetroisième MM, Zupeni et Albert Thomas; dansune quat'rième, MM. BorsareLli de Muerte etéL de ,Billy, censaler de l'amhassade de Fran-ce; les autres membro de 'a mission ,prennentplece dans quatre outres autos; la route ac-clame au passage les Mos, qui se dirigent teeslentement verS le Grnd-110tel

La foule, se massant devant le Grand-Tinte,continue sa grande manifestation do sympathieenvers In mission fiança/o.

Pour répondre aux acclarnatio. MM. Briandet Salandra 50 présentent au balooll du premierOtage de Jaunet, ou ics drapeaux français etlia mens flottent, L'enthousiasme augmente. Lafoolo .ntinue de crier 'Vive la Sun.. I

Vive l'Italie I Des fenêtres des maisons st-tuées en face le Orand-Hdte bondées de men-.,de, on applaudit longuement.

Après quelques instants mn Briand et Sa-landra entrent, mais la foins contlnue la mani-Pesten. avec un enthousiasme pIes Vie,

M. Briand se présente S nouveau ayant à sesoPtés DAM. Bourgeois et Albert Érhomas; auxPris de Vive la Prame I pOu.és Par lafoule, M.. Briand répond O v Vive l'Italie 1 ».

Goy cris provoquent de nouveaux applaudis-sements.

Bri.d et les membres de /a mission ren-trent ensuite toujours acclamée par la foule,qui continue 'de stationner devant rhntel.

Peu après MM. Sa/andra et Sonnino sortent.Os l'hôtel alriles par de longues acc/amationsda sympalhle.

LIE PARIIENIENT01-1A.MEirtE

(Paris, 10 février.La séance est ouverte à Ils, ta, sous la

présidence de M. Deschanel.M. le -président .pnonence l'éloge funèbre

du citoyen Lublin, député socialiste de lak gare,

II donne leeture du télégramme qu'il aadressé au président de la Chambre cana-dienne pour lui témoigner la sympathie deIn Chambre française d l'occasion de l'in-cendie du palais- do Parlement du Panade(Applaudissements unanimo.)

On yote ensuite une série de projets deloi -prorogeant des surtaxes sur Pa/cool, no-tamment b Alois, à /a Ciotat (Bene/Ms-du-Rhône) et à. Montpellier.

Les adoubes de grossesseOn adopte ensuite sans discussion les du.

ocrearticles de la proposition de loi deM. Ra-meil et ,plusieurs de ses collègues, ten-dant a accorder une allocation cournaliereaux femmes en'eeintes qui Lénékoleat ac-tuellement des aliocations ordinaires.

On décide ensuite qu'un concome d'ad-mission à Saint-cyr aura lien en juin pro.thain. Les admis seront nommés mpirantsaprès six mois passes n rEcole et pourrontgagner leurs galons au front..

L'ordre du jour appelle la discussion doprojet de loi concernant

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: reacinsa I-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1916/B315556101_MIDSOC_1916_02_11…ADIfIttle-tRATI011 neaeacmozs 88, Rika *centaines reacinsa orgerusitasHemseze e tee aumeuesosseseing

1. L'ouverture et l'annulation de ru/ditssur l'exercice 1916 au aire du budget gint/-rat ;

L'établissement dune contribution ex-traordinaire sur les bénéfices exceptionnelsréalises pendant la guerre

3. Certaines dispositions ,dérdre fiscal re-latives à la législation des paten.tes et auxderlarations en matière de -mutations pard.écès.

Le .eiteyen Prison a Pm parole sua le pa-ragraphe fer.

Le citoyen Brizon. connaissez lesSemmes pereues par Les journaux pour lapublicité de l'emprunt; je &mande aisjournaux de faire abandon de ces surenten

l'Etat; vous n'avez pas ou, Monsieur leMinistre, faire de l'épargne française ungrand commerçants.

Des voix -- A l'ordre I A l'ordre 5Le .président, Messieurs, assez d'inci-

dents; voua savez combien ils sont .exagérêset comment nua ennemis en tirent Parti /lefais appel h votre raison.

Le citoyen Prison Mes collagues et moinous sommes ici b notre vrai poste de com-bat.

M. Ribot. Lersqu'ort voudra engagerune di.ussion sur la politique financièredu gouvernement, selui-ei ne se déroberapas; peur le. moment., je réponds à

celui-fil veut que le gouvernement in-vite les journaux a rembourser les frais depublicité; je n'en ferai rien ; il n'est pas unParlement aui accepterait de discuter cettequestion; je rends .hommage aux servicespatriotiques rendus par les journaux.

TA paragraphe premier est adopté.M. tomme Veiller a la parole sur le'

deuxième paragraphe relatif aux bénéficesde Laguerre.

Il prétend qu'il sera difficile d'établis lesbénéfices de la guerre

'aussi e, l'extrême-

gauche on lui crie qu'il parle pour ses af-faires

L'orateur doline lecture de_quelques do-leomients au hue des dispositions quecompta prendre Ealleinagne relative.mentiaux benêt/sesa de guerre.La suite de la discussion est renvoyéedemain 2 heures.

Séance levée à 6 5.

1\1" .A.u

La séance est ouverte â I havres et demie,sous la présidence de M. Dubost.

Au banc du gouvernement : MM. Malt'. etMétis.

Aussitôt apres la lecture du procès-ver-bal, le président lit use adresse qu'il a en-voyée au président du Parlement canadienet la reponse qu'il en a reçue.

.51. Strauss dépose ensuite un rapport re-latif â t'attribution de certains emplois auxrefermés et aux militaires et niches at-teints de blessures dii cours de la tmerre;actuelle, que est renvoyo à. la commissiondes 4Mances.

La séance est levée h 5 fi 40 Séance jeudi17 février à 4 'hrures.

Autour d'une démission3f. René Bossard est démissionnaire. Le sous-

secrétaire dEtat à l'aviation a, dans une lettreadressée à 32, Briand, président du conseil, don-né I. raisins qui lui faisaient résilier ses fone-tiens.

Au murs do /a session de la commission del'armée du Genet Pont M. René Besnard /Im'est apparu clairement que l'on voulait niefaire prends de.s esponsabiliMs qui dépa.e,st debeaucoup les pouvoirs qui me sont conférés,.

ottelquea jours mparavant dans one note of-ficieuse communiquée d la juge de la dernièrevisite des zeppelins M. Besnard avait déMaré

Mes foactio.'consistent niquement b livrerd l'armée les avions nécessaires. Mais la livrai,son faite, je nia point a m'Osmium; dans lesquestions de commandement..

Cent ce .point de une gara de muveau déve-loppe le sous-secrétaire ildEat à l'aéronautiquedevant la oommission de l'armée dr, Sénat, on IIaccompagnait le ministre de la guerre,

.0n est rai droft de .penser que- les membres decette commission n'ont point admis cette thèse,puisque M. Dossard, malgré /sa instances de M.Briand, a .donné sa démission. Le .général Gal-liéni a bien Isti au.i délivré un satisfecit, maisil ne semble pas quai ait couvert lit. Dossard.

-

Un rédacteur de Pgarnanité 'lois eu un entre-tien avec en membre de lu commissien ac Par-mée, le rapporte en ms terni.

l'audition mo.vementéeMais non 1 se récrie l'honorable sénateur.

Vous savez bien qu'as Sénat, .fluas sommeslob et meme psrotecolnires. Se.lement les aptes-lins pesées elsient à la tais précises Mt pressas-

- Cependant, dans lamatinée assereit aucabinet de l'aviation que le sus-Secrétalp d'Etatn'avait nullement l'intention de se retires

J'ai appris COMIne SOUS ne qu'an disait dson ealsrset. Mais il était difficile d M. Baenardde rester le milaborateur du ministre dont Il seplaint 0011 ait l'autorité tandis que lui eg res-pensable, Relises etteneement aa lettre et vouevous rendrez eocapte pua 55..E.nerel ait donnéas démi.inai dès que le ministre ne eouvraitgs. lo mes-séc.-taire DEtat..

Le ministre de la eters°, en effet, assistaitl'auelition..,

anus laisse pas achever.,Les séances de la commipion sénatoriale

de l'armée sont .orétes eigoure.emont .cra-tes vous ne m'en ferez Pas die davantage..,

Le sourire de NI, .., le nommer I)s'est fait énigmatique

Je n'inhale pas, j'avais compris. Vote aussi.

Capnet MilitaireLa main-d'oeuvre agricole

Paris, 10 février.Le ministre de la guerre adte.é aus généraux

commusdeni, de régions la clrmaire ei-aprea« La péaode des tablars et aplatitss au prin-

temps, si importas. au poin tde vue de l'agace:-tu. commence, d'une man.. générale, le 15 fé-vrier.

n rappelle toute votre attention sur l'intérêt quin'attache à la mise en eepre de lins lep moyensdont nous disposons aour ve, en aide à gagriemtues pendant cette période, afin d'assurer t'ense-mencement de totoes las mima arables, dont mal-heureusement une am grande portion reste enfriche depuis la moi.on

« Pop augmenter epore les ressoumes en mai.--.net" disppibiles, j'ai érodé qu'il serait faitépt, soit pur Pattribution de permission. agrico-le., sou pour P formation d'équipes de tees lesmilitaires, mobilisables on non, mi ne sont passous les ordrp u, général en enef, à la 5,01, ex-ception de la Misse WW.

« C'est ainsi que les permissions agricoles ,nr..

ront être accordées aux hommes mobilisables, activeet réserve de l'infanterie ce du génie, auxquels lebénéfMe en avait Dé refusé jusqu'à u jour, aishommes de la c/asse 1O10 restés dans la zone del'intérieur, etc.

a Je vous prie de enner immédiatement dminstructions, dans le se. dm directives qui précè-dent, aux autorités u' laissa sous vos ordres et enpartimfier au. officiers généraux ou supérieurs,membres des commissions départementales demain -Rouvre agricole, Goaméni. o

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CHRONIQUE LOCALEConcours pur meula administratifs

Le Ministre de la Guerre étant revenu surdiscisiou de laisser dans les ,Préfectures

et les Sous4Préfectures les soldats du- ser-vice auxiliaire qui étaient détachés, vientd'arnôter que ces militaires surent rendusdans lents ddiffIt aux dates suivantes I untiers le 15 .slass; us tiees te ter avril, etM dernier tires le lb avril.

Le Préfet de la Haute-Garonne a d-oneabonnons d'informer tous lee intéresses quele concours Meilen/ à l'effet do recruter/es employés destinés au remplacement deces- militaires qui devait avoir lieu le 27

décembre 1015 et dont la date avait êta dit'fém., est définitivement 1Ixée au mercrediter mars, à 9 heures du matin, à la Préfec-ture.

Les candidat, civils, les mutilés, les veu-ves de militairea tués aux armées, las an-ciens retraites qui ont déjà adressé avantle 22 déCem-bre a la Préfecture les piècesrequises, semant informés de la Mite don-née k leur defnande sans qu'ils aient deatnevelles formalités â remplir.

De plue, dans le but d'étendre au, plongrand nombre de persOnnes possible, les

°myetl d'obtenir les emplOiS qui vOnt atrevacants. le Préfet a décidé que toutes lesnouvelle. demandest qui parviendront à laPréfecture jusqu'au 20 février inclus se-ront examinéeS â eendition qu'elles men-tionnent la date et le lieu de naissance, ledomicile, les .profeSsiOns précédemmentexercées et 11'01eu attieut accerrepagnéesdes pièees suivantes

4. Un extrait du casier judiciaire.Z. Un certificat de bonne vie et rimeurs.3. Un certificat de médecin assermenté at-

testant que le candidat n'est atteint dou-ce. maladie contagieuse.

Il est toutefois rappelé que le Préfet seréserve le dreit d'admettre ou, de ne pasadmitca les signataires des (Islandr.v à pren.dre part au tumeurs.

Le con.use comprendra : 5. Dellar epreu-N-es écrites compostant t 1. Rédaction d'unelettre eu rapport administratif, sur un Mé-mo très radie: 2. Deus problèmes, portentSne des notions de calcul élémentaire.

Z. tue épreuve esssle aveu interrogationsur les nriusipes de l'organisation adminis-trative, judiciaire et utilitaire de In n'OMO,et sur les règles de la comptabilité publi-que.

L'examon keit sera éliminatoire.Les candidats agréés seront nommés à ti-

tre .auxiliaire et essentiellement ternPorai-se et .pou.r la durée de la guerre.

Les nominations ne créeront au.curt drodâ entrer dans les cadres du personnel à laOu des ;hostilités. Le traitement mensuel dedébut est fixé à 100 fracs.

Quatre places devenant vacant. deux

à la sous-préfecture de Saint-Gaudens etdeux h celle de -Muset les employés char-ges d'Ouata/am ers posMs peradamt la duréede la guerre seront désignés parmi les can-didats admis is la suite du commua.

Conférence de M. BulhProfesseur âge Faculte des sciences

Les conférences se suivent et ne se Ces-sumbleut pas. Vendredi dernim, Mur Mo-rello et allie Colette Willy sous avaientraconté dans un dialogue alerte, .inouve-mente, aimable, la vie de Paris aux .pre.osiers jours de la mObilisation. Aujourd'hui, jM. Bulh, pref.seur à la Faculté des Scien-ces, nous a présenté une anal.yse très fine j

et très intéressante d'un excellent roman : j

« La Guerre des Monden s, da littérateuranglais Wells.

La province succède à la eapitale. Maisc'est en vain qu'os voudrait donner- sa pré-férence. Le sujet traité se nosdifle, les per-manages changent; le Plaisir élerduvé inc Ile public reste le ffiêffiff ipatiOe que la eau-serie des uns et des aotres su.ite au mêmedegrés l'enthousiasme el Paditurtaion.

Le distingué conférencier a établi un rap-prochement entre la guerre des Mondru etla guerre actuelle. Il /10116 a montré cons-nient les plus fantastiques englua, enfantéspar la folle imagination d'un humoriste an-glais, out été réaliséeu imr la suavagerieboche, et nomment Wells, pour nous fairecomprendre combien herriblo serait uneguerre actuelle, n'a pas hésité à. imaginerun conflit intesp/anétaire salve Mass et teTerre.

M. Bubl a analysé le roman de Wells.« En tout point, dit-il, Wells a été prophé-tique a En effet, il a predit l'emploi de for-midables canons en imaginant ces foudroyantes « rnaohines de guerre a des ;Martiens ;

il a prédit l'emploi de ,gas asphyxiants, etDieu sait si les boches sen sont servis co-pieusement. Par la bouche d'un des hérosde sen livre, Wells prephetise radinfaut lutter jusqu'au bout contre la barbarieteutonne et qu'il Midi, chasser l'apitoyasse-Ment de notre société les faibles, gmt-à-dire les affaiblis Moralement, cet qua s'ontpas confiance dans le suCega final, ceux quiraisonnent. trop.

M. Bubl a eu quelques Saillies .hurrioristi-qu. ents'autres « Les Martiens,dit-il, se reproduisent, d'après Wells, parbourgeonnement, Ils ne perdent Mne Pointdie force dans le tearbillOn sentimental. linesociété ions ne devrait es se laisser en-trailles dans ce tourhillen, biais toutes lesconférences à ce sujet ne changeront eurien l'état des choses, gjOure-t.il en Sou-

LriamIl a conclu par qUelqunu mots vibrants.

Nuls pou..uiu ètrn fiers d'etre Français,car ne. sommes la tete de la rédiSianCOet il/osque, après la victoire, le bonheurremoudre dans les foyers, il nous faudracicatriser nes blessures glOrieuses. Et M.Buld finit par cos mots, que. Marc-A mêle,vatorieux des Barbares, promnçail en«semant et que nous devrons toua promu-eor après la .paix victerieuse « Nunc la-borem.us

M. Balla été Mandement applemli. Onparticulièrement goûte sa diction éléganteet charmeuse.

Dais nos éloges aux artistm qui ont bienvoulu prêter lent concouss à la spire, Une Iréserve cependant ; il est regrettable quedaon la piles de Coppée Mlle Ihrbec nuitpas tenu le mole de lienri, comme l'annon-çait l'affiche.

r. Marie.

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Obsèques MilitairesLes personnes libres de leur temps, dontle imm commenta, par 51 à 45, sent priées

iiklitSaiStsr aman tiMaisque.e ritt »Mat Besésoma, du 23,, d'artillerie, décédé tit l'hôpi-tal 05 (Ectde Berthelot), qui aurontaujourd'hui a 15 lu. 30.

Les personnes libres de leur temps, dontle nom ...imam par Oh â Or sont priéesd'assister aux obsOgues dti soldat Martin.N.01, du hibt d'Infanterie, décédé à l'hô-pital 35 (Fonte Berthe/et), qui auront lieu/e 12 février, à 8 ileures.

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Du 9 février 1916Pierre noyer, soldat mobilisé au In colohh,

et Anna Carrère line. rue Sainte Famille.Enna Mandreljer mobilisé au 25e d'artillerie,

et Léonie Lassau, sans professioff, à Castelnau-dary. ia,

.12... Barde soldat stabilisé au 9e <PPM-lerio et Marie 114aao papetière eue Debax

lseqneu Serres ooMptali/O mie 5.1-Georges,et AdrienneLat.% sans prédession, meme rue

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_A L'ILARIMUDECUNOIaLA (Grand-Rond). Ah. 45.La m.:motte comédie_vaudevMe; Peas sa

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Samedi et dimanche, grande soirée de galaDigo le COMOOUIS de la troqpe l'Eton° Artistique

Bernai.,d'HEAMBO DES WMILEMOS. La première de

la Belle liélêne fixée au mmedi 12, s'am:roncevraiment commé sensationnelle; jamais emoresans naseau eu une semblable réminion de ve-dettes Mme Mariol-Bauge, la talentueuse di-vette isienne dans le Iule d-Hé/Me, qu'ellea chanté an. Vaitiétés de Paris, /e ténor de Pou-mayrac chantera le cals de Parts; le -barytonCestrix celui d'Agamemnon et Saint-Léon c'estnatts qu'il Men faut peler ..édire sin grfia suc-

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Soirée 4.8 h. 30, spmtacle redemande ph, leconmeri de M. Murés, /es ténor léger, Si fêtaisBol.

Pmellainhisent, le Voyage en Chine, opéra en3 actes de J. Basin

Lpatlen ouverte de 10 heures a b.

(IRONIQUE REGIONALE

Petite Correspondance

Vayre, de,ssoellue. Ne possédons pas cet.auvrage. Le ournal doit Sous .parvenir chaquemann.

AUDErNAILIONXI

AUX OUVRIERS CULTIVATEURSDevant les nécessités et I. conséquences

de l'époque que nous traversons, notre cor-poration a été dans l'obligation de deman-der une augrnentati.on de salaires.

.Convoqués â cet effet par .M. le Maire.M. M. /es propriétaires ont .repondu favo-rablement â nos revendicatiens.

.A ceux d'entre voua maintenant quin'aver pas encore obtenu satisfaction, devous faire payer au tarif suivant, acceptépar la généralité des propriétaires.

Art. 1 Pour les h.oenmes il doit êtredonné 4 francs et deux litres de vin naturelpar une journée de 7 heures de travail, avecun repos de 15 minutes pour le cassecroûte ho heuroo du soir, usage local main-tenu.

Art. 2 Peur les femmes 2 francs et unlitre de vin naturel, pour 7 .heures de tra-vail et le même temps de repos.

Art. 3 Pour le soufrage et le sulfatageil est consenti une indemnité de 0 fr. 25d'.usuee d'effets, pour les nommes et lesfemmes.

Art. 4 Les heures supplémentairesdoivent être payées ô fr. 60.

La paye doit être faite tons les Samedis.Le Syndicat des Ouvriers Cultivateurs

AVIS DE SA MAME. Le nommé .flneneDamas ex-soldat au 24e régiment d'MMnterieploniejle est prié de passer a la mhrie (bure.militaire; pour une affaire qui l'intéresse

LMAT twa.. Déces : Pierre Ferrier, on.ouatine 7 6a..

VOYAGEURS Solos BILLET. Trois Hidal-gos, Francois Ilaudista, Garcia Bauliste et son

et un mjet américain nommé Maxime Par-rognaStan, ont été mie b la disposition de m. lecommisse/Te spécial pour avoir voyagé sansbillet

THOUVIAJLLE. Par le brigadier de policeAlgides., une épingle de cravate.

CARCASSONNE.EalliENDIE adandi dernier, à S h. 20 du

soir, en inwInlie a éclate k la métairie Neuve del'eh.. appartenant k M. Oprges Cambriele,propriétaire, demeurant b oe hameau. L'écurieet le grenare à foin, situés an milieu deenculais, et où le fou a .pris naissance, ont étéen q.elques instants la proie d. flammes. Leshabitants da hameau de Grèves, accourus à lapremire alarme n'ont pu que faire la part dafeu en présertimt les deux maisons d'h...-liait qui se trouvent à droite et à gauche de ré-ogre et du grenier à foin.

Les .pompiers de la ville avisés d 3 h. 45 desoir sont partis immedialement escompegnésd. détachement ds, 3e d'artaleiXe. Arrisitsles lieux, Ils n'ont eu qu'a achever d'éteindre

Les dégâts, assez Importants, sont couvertspar ane Compagnie d'assurances. On n'a pu

s MEUBLES les Plus avantageux de France

sont vendus par le TEMPLE

élablir, jusqu'à prése,st, les causes du Maistre.ustoatis cimes et militaires sont allées

mr /es lieux.ACCIDENT Dar TRAVAIL. Le nommé Ray-

monei.Latehé Se de 8 mu, demeurant boule-vard Barbés, Ld homme d'équipe I la gare ma-nutentionnant des sacs de /Méu ressenti .edéchira. musculaire à la par 4 abdomi aMdroite gai entraînera mie incapacité de travailde 0 3o es

RERAULTBEZIERS,

.1301,111BERIE MI:WIGWAM. No. cui-r-nes heureux de constater que notre con-fites° le « Petit Méridienal o se joint à nousmiur préconiser la création dune Bouche-rie ,Munieipale.

Nosa souhaitons que toUs nul autres con-Mères se joindront à cette" campagne dedéfense .prolétarienne et de proteotion en-vers les humbles.

Nous croyons savoir que notre munici-palité se préoccupe également de la qms-tion.

L'intérêt publie étant en jeu, le concoursde toute la population .biterroise est assurépour la crée. et la vitalité dune Bou-cherie Municipale, seul et unique moyenpour amener une diminution de la viandeet arrêter les oriminels agissements des ac-capareurs indigmou au mem de pierre. Il

LE SOPA BEZIERIS 321 CH-AMPIONNAT.Ainsi que nous Pavons annoncé hier,

C'est dimanche .pruehain que commence-ront dans toute la France les matchescomptant pom. la C.Ipe Nationale. service

Dans le Languedoc, cinq grande équipessont engagées dam cette coupe lo Sois,/es Green Devils, Carcassonne, Narbonne et d eBéziers.

Pendant que Carcassonne se déplacera à.Perpignan pour y rensootrer les Green De-vils (A S P), l'A. S. Biterroise disputera la

en.paro au Stade Olympien 'Perpignanaisdont la réputation est esses connu,

iBeziers a match," déjà au cours de Insaison le team catalan; /a dernière fois Lesbleu et rouge ne furent battus que d'unpoint as les redoutables sopistem que le-ront,ils cette fois ? Eu prouostio est dif-ficile da. .de pareilles circemstances.

Nous sommes assurés que Catalans et, Bi-terrois en donneront furieusement pours'adjuger la victoire.

701111LNEE PAREIL Prochainement, laTourne. Baset nous donnera, un grand gala« Vous n'avez rien à déclarer ? m qui con-rail en se moment Même â Paris une mu-velte et extramdinaire fortune.

Nous reviendrons sur ee spectacle gai etreposant.

'THEATRE DES VARIETE6. L'ExpérhieScott. C'est vendredi 25 février que Pa Bi-terrois pourront voir dénier, devant Purs yeuxémerveillés, le plus beau ,film do monde l'ex-pédition de ppilaine Scatt au POP Sad Tousceux qui ma l'amom da courage et de li. ean-deur sont profondément remués par l'épopéetragique du capitaine Scott et de ses compa-gne..

-Le film Scott est mmmenté au fer et â mesure

qu'd se déroule, par M. Jean Froment, te 111E-11re °orphies, lettré dea.plu Es distingués et mreincomparables

TARN:GRANDS ARRIVAGES DE CIDRES de la

Sarahe et de la Normandieb 0 fr. 30 le litre.Allez vite remplie vos fûts et vos bonbonneschu M. OODLOilMA, négociant à Saint-Sulpice (Taush

CABRAS'COMITE DES REFUGIES. Une réunion ci-

nérale aura neu dimanche 13 février, salle d. laMairie de Carnsaus, pop tous 1. Bugles du Pas-de 0010k.

Motif Constitution du Comité.CONVOCATION. Les Hopliers et Limons-

die. de Carmaux e da Bois-Reden, qui assistaientà la réunion do PIM 7 février, prient tousm es

leursilègu d'essarter à ln réunien qui aura lieu is

Itordi 14 Mea., à 8 heures prkises chi mir, dansune des salles de la Mairie Frisera indispen-sable.

En cas d'empêchement, prihre de se faire repré-sente,

EDEM-THEATRE. Samedi, 12 février 1916,représentation extraordinaie La Fille de MmeAuget, opéra comique en trois actes, mpique deLep, 00 tmnissera par « Fais ce que Dois deFrançois Censé.

TARN-ET- GARONNEMONTAUBAN

PEUM-00 DIRE. Encil vrai que la Mais,}Rupp, de Villemur Grau.-Goonne), succosaled'une MaPon émanes Osé-s, soit sous séquestreM administrée ph M. F.., déségné du Ministre dei'mtérieur o

Es1-0 vrai que le représenta. à Montauban detette Marren soit mobilisé sur place au grade etas. aPPeistementa de chef de bataillon, soit plusO. 700 trucs par mois 7

A. G.

BIBLIOGRAPHIEJEAN-BERNARD. Histoire générale et

..dotique de la guerre de 1914, parais-sant par fascicules, grand in-8, de 64 pa-ges. 4e et 5e fascicules, av. 42 illustra-lions, portraits et faasiennés. Berger-Levraut}, éditeurs, 5-7, rue des Beaux-Arts, Paris. Pris du fa.icule 75 cen-times.

craie el anecdotique de laquer.Si oe n'était .blasphémer on --qu'av. lui, cette guerre

loteparaitrajamais trop longue iaet engsoignante Paliure de hmgag--.fascieules 4 et 5 qui viennenten sont use n.ouvelle .preuve,tons à l'héroïque défense de L.m.7première offensive

foudroyanenu tenace recul en Lorrai getd-_,eonséqueum, aux batailles éqq....du grand Couronné de Nancy egurrançon neeeSsaire de la victoire dag.nms y voyons le doulounewGerbév 11100, ei aussi ceux damsnard, de Douvain, d'Ancienne, ceIotas- ne citer que ces vedetteshératembes et les destruction,Allemands se sont rendus coupimnsables d'ans toutes les régions opOUSsda leur sauvage invasron. 44,1,rêvèle l'art de Thistmienaussi le den qu'il O. de .rompreque pourrait être pour le murininterrompue de tant d'atmincidentes toujours placées au, borget qui provoquent à .ppopos 'usedétente ; tels, par exemple les @pu:,Guillaume Cl et de son intére.ante tou ceux des grands chamelier- sue.,souteneurs de la grande ,pensee iDans le détail comme dans Peconstate .partOut une riche doenumetet.qui smwent est inédite. Une gesd'illustrations ornent les deux famicrg-4,de nouveau, on ne ,pent qu'es adeurgchoix judicieux.ilsessatessg.,...

RenseignementAllocations - Moratorium - Des%des de pensions, secours, sui-L.4et jurisprudence militaires -d'assistance sociale-Réfugiés,':sa

ses, orphelins de la guerre,

AdreeSer les lettres au Direeteur j,Service des Renseigner/lesta du Midi assih.lista e, Jumeaux du journal, en ayant'sei.de numéroter les questions et d'indiquer itiMliai os et résidence pour la répome.

Inutile d'ajouter un Urnbre, lesgisements n'étant donnés que par lajourml.

Notre service est absubunent gratuiL

lie Conunnnignd de 23 lie

Paris, 10 ferle%En Artois, au cours de le journée,

avons continué ft progresSer à coupagrenades dans les boyaux à l'ouest deFolie.

Deux attaques allemandes dirigées enos p.itiOns, h I ouest de la ote 1été eue-entêtement repoussées.

Au nord du chemin de Nem'. à T/es Allemands ont fait exploser ma, adent nous avons .cum l'entonnais.

Au sud de la &Mme, une fr.non d'fdsterie ennemie qui tentait de da Md rejetée dans ses tranchées partirs de barrage.

Dam la région de Ideuvraignes, nOtretillerie a détruit un blockhauss etbardé les cantonnements de l'ennemi.

En Champagne, un tir de destructionIve ouvrages D.I.-lands "ers la butteMesnil a donné .de bonemésultats.

En Wray., nous avens exêcute dans.f.êt de Moritmert.re, sur le saillaat deligne ,ennemie, un bombardement si01quo A provoqué l'explosion d'un dépôtmunitions.

Aujourd'hui, les Allemands ont lanodnouveau deux obus de gros calibre dansdirection de Belfort. Notre artillerie aimmédiatement sous sou fourepéré hier de la batterie ennemie NffY0119, en même temps, exécuté un tirles établissements militaires de D.'sud-ouest de Mulhouse.

Communiqué ImolgeActhité de l'artillerie assez grmde e

les secteurs do Dixmude, de goordschereide la Maison du Passeur lutte écueilsbombes vers Steentraete.

DEMANDEZ

AIIRIDAPAue"UT. .. Toute'

0015Brune et Blonde, Hors Cone..LA BIERE D

Ampose sur machirsus iinro't'vvps'eerals''aex/fr.om. de Itome)Le conteur .preatigieux qu'est 1M. Jean- la Presse... rue

---Bernard ne s'est jamaisrévele d'une manièreplus éclatante que dans nos, Histoire gêné- vésrassuerautr-Streià

Les MALADIES de la PO/TE110,Toux. Rhume, Ostaprhe, 13ronchlts chronique. eet0Grippe. Crachements persistants, P htls le à toue,» dr»s011trapidement soulages et guérie part'emp/el du

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AVIS !ESSENTIEL : Acheteurs:ne voue trompez pas'eadresse

Conseil de Guerrevus. seldat Justin D.., du 17e escadroc

ER train des équipages militaires, détaché à l'usine

condamné à un an de prison avec circonstancesmétallurgique de C.telsarrazin, prévenu de vol, est

atténua., es.t Abandon de poste. Le soldat Marins Ca, 34

ans, du lue régiment d'infaaterie, ,prévenu d'abau-don de poste sur un territoire en état de guerre,est condamné à trois mois de prison.

Désertion à l'intérieur. cavalier DominiqueD..., 29 .ans, du 10e régiment de draguas, prévenude désertion à l'intérieur, est condamné à deux ansde travaux publiais.

Le Gohlat L..., 83e régiment d'infan-terie, détaché à la Poudrerie nationaR de ToDouse,29 ans, prévenu de désertion à PitztérieUr en tempsde guerre est condamné à deux ans de travauxpublies.

Ivresse .publique. Le soldat Florimond V...,Os be régiment d'infanterie territoriale, détaché mixusines de Fumel (Lot-et-Garonne), prévenil d'ivres-se pubriqee et manifeste, est condamné à six joursde prisOn,

Faux et usage de faux. Juan A.-, employé àla chefferie du génie, prévenn de fada et d'usagede faux en écriture privée, est condamné à cinq ansde réclusion, à la dégradation civique, à 100 francsd'amende et à dix ans d'interdiction de séjour.

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