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ETABLISSEMENT PUBLICREGIONAL RHONE-ALPES
AGENCE FINANCIEREDE BASSIN
RHONE - MEDITERRANEE - CORSE
AGENCE NATIONALEPOUR LA RECUPERATION ETL'ELIMINATION DES DECHETS
RECHERCHE DE FORMATIONS GEOLOGIQUES
TRES FAIBLE PERMEABILITE POUR LE DEPOT
DE DECHETS INDUSTRIELS DANS LA
REGION RHONE-ALPES
2jème P A R T I E
ESSAIS DE PERMEABILITE IN SITU DE NEUFFORMATIONS PEU PERMEABLES
2ième CAMPAGNE
-7.DfC.1983
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES
SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL
Sarvlc« géologique régional R H O N E • ALPES
Rapport du B . R . G . M .
03 SGN 729 RHA OCTOBRE 1983
ETABLISSEMENT PUBLIC AGENCE FINANCIERE AGENCE NATIONALEREGIONAL RHONE-ALPES DE BASSIN POUR LA RECUPERATION ET
RHONE. MEDITERRANEE -CORSE L'ELIMINATION DES DECHETS
RECHERCHE DE FORMATIONS GEOLOGIQUESA TRES FAIBLE PERMEABILITE POUR LE DEPOT
DEDECHETS INDUSTRIELS DANS LAREGION RHONE-ALPES
2!*^"^® PARTIE
ESSAIS DE PERMEABILITE IN SITU DE NEUF
FORMATIONS PEU PERMEABLES
2ième CAMPAGNE
par P.BEAUDUC
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES
SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6006 - 45060 ORLEANS CEDEX - Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.
Sarvic* géologique régional RHONE ALPES
B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX ~ TéL (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.
Rapport du B.R.G.M.
83 SGN 729 RHA octobre 1933
ETABLISSEMENT PUBLIC AGENCE FINANCIERE AGENCE NATIONALEREGIONAL RHONE-ALPES DE BASSIN POUR LA RECUPERATION ET
RHONE. MEDITERRANEE -CORSE L'ELIMINATION DES DECHETS
RECHERCHE DE FORMATIONS GEOLOGIQUESA TRES FAIBLE PERMEABILITE POUR LE DEPOT
DEDECHETS INDUSTRIELS DANS LAREGION RHONE-ALPES
2!*^"^® PARTIE
ESSAIS DE PERMEABILITE IN SITU DE NEUF
FORMATIONS PEU PERMEABLES
2ième CAMPAGNE
par P.BEAUDUC
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES
SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6006 - 45060 ORLEANS CEDEX - Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.
Sarvic* géologique régional RHONE ALPES
B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX ~ TéL (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.
Rapport du B.R.G.M.
83 SGN 729 RHA octobre 1933
RECHERCHE DE FORMATIONS GEOLOGIQUES A
TRES FAIBLE PERMEABILITE POUR LE; DEPOT DE DECHETS
INDUSTRIELS DANS LA REGION RHONE-ALPES.
2èmejgartie_
ESSAIS DE PERMEABILITE IN SITU DE NEUF FORMATIONS
PEU PERMEABLES.
2ème campagne
Par P. BEAUDUC
83 SGN 729 RHA
R^E_|_LLM_E
Modalités administratives : L'Agence Financière de Bassin Rhône-Méditerrànée-Corse,l'Agence Nationale pour la récupération et l'élimination des déchets et l'Etablisse¬ment Public Régional Rhône-Alpes, ont financé cette étude placée sous le contrôletechnique de la Direction régionale de l'Industrie et de la Recherche.
Le programme a été établi par le groupe régional du travail sur les déchets.
But ; L'objectif du groupe de travail est de préciser la perméabilité de formationsgéologiques peu perméables pour connaître quelles sont, parmi ces formations, cellessusceptibles de recevoir des déchets de la classe 1, définie dans l'instructiontechnique du 22 janvier 1980'
Consistance de l'étude ; L'étude s'est déroulée en 3 phases :. la première, consiste en un inventaire des formations géologiques peu per¬
méables (rapport N» 82 SGN 292 RHA).. La seconde, en une première campagne d'essais de perméabilité in situ de
sept de ces formations (rapport 82 SGN 987 RHA).. La troisième, objet du présent rapport, en une deuxième campagne d'essais de
perméabilité in situ de neuf autres formations,
Résultats : Les dix essais réalisés lors de cette deuxième campagne ont indiquédes coefficients de perméabilité compris entre 5.10' m/s et 2.10 m/s. Six essaisdonnent un résultat dans la tranche 5.10~^ m/s,/1.10~^m/s; 2 déterminent descoefficients de 2 et 4.10~* m/s et les 2 derniers 2.10~^ m/s.
Sur les seize formations ayant fait l'objet de vingt et un essais de perméabi¬lité réalisés lors des deux campagnes, deux frisent le seuil de 10 m/s imposépar la circulaire ministérielle pour le dépôt en classe 1. Ce, sont les argilestertiaires de la plaine du- Forez (Chalain-le-Comtal) et les marnes oligocènes deBresse (Viriat). Une troisième, les argiles pliocenes du Bas-Dauphiné (Beausemblant)peut être envisagée pour un tel dépôt en classe 1, si les critères secondairesprécisés dans la circulaire sont remplis (grande épaisseur et faible importancedes ressources aquifères) ce qui, a priori, semble être le cas.
Interlocuteurs de la D.I.I. RHONE-ALPES Messieurs GRAGEZ et DEBARNOTInterlocuteur de l'A.N.R.E.D. détaché à laD.I.I M. MOULY
Auteur du rapport P. BEAUDUCEssais de laboratoire P, CONFAISDessinateur JF. RIEUXSecrétaire G. BARROUE
Ce rapport comprend : 38 pages de texte, 22 figures, 2 annexes.
RECHERCHE DE FORMATIONS GEOLOGIQUES A
TRES FAIBLE PERMEABILITE POUR LE; DEPOT DE DECHETS
INDUSTRIELS DANS LA REGION RHONE-ALPES.
2èmejgartie_
ESSAIS DE PERMEABILITE IN SITU DE NEUF FORMATIONS
PEU PERMEABLES.
2ème campagne
Par P. BEAUDUC
83 SGN 729 RHA
R^E_|_LLM_E
Modalités administratives : L'Agence Financière de Bassin Rhône-Méditerrànée-Corse,l'Agence Nationale pour la récupération et l'élimination des déchets et l'Etablisse¬ment Public Régional Rhône-Alpes, ont financé cette étude placée sous le contrôletechnique de la Direction régionale de l'Industrie et de la Recherche.
Le programme a été établi par le groupe régional du travail sur les déchets.
But ; L'objectif du groupe de travail est de préciser la perméabilité de formationsgéologiques peu perméables pour connaître quelles sont, parmi ces formations, cellessusceptibles de recevoir des déchets de la classe 1, définie dans l'instructiontechnique du 22 janvier 1980'
Consistance de l'étude ; L'étude s'est déroulée en 3 phases :. la première, consiste en un inventaire des formations géologiques peu per¬
méables (rapport N» 82 SGN 292 RHA).. La seconde, en une première campagne d'essais de perméabilité in situ de
sept de ces formations (rapport 82 SGN 987 RHA).. La troisième, objet du présent rapport, en une deuxième campagne d'essais de
perméabilité in situ de neuf autres formations,
Résultats : Les dix essais réalisés lors de cette deuxième campagne ont indiquédes coefficients de perméabilité compris entre 5.10' m/s et 2.10 m/s. Six essaisdonnent un résultat dans la tranche 5.10~^ m/s,/1.10~^m/s; 2 déterminent descoefficients de 2 et 4.10~* m/s et les 2 derniers 2.10~^ m/s.
Sur les seize formations ayant fait l'objet de vingt et un essais de perméabi¬lité réalisés lors des deux campagnes, deux frisent le seuil de 10 m/s imposépar la circulaire ministérielle pour le dépôt en classe 1. Ce, sont les argilestertiaires de la plaine du- Forez (Chalain-le-Comtal) et les marnes oligocènes deBresse (Viriat). Une troisième, les argiles pliocenes du Bas-Dauphiné (Beausemblant)peut être envisagée pour un tel dépôt en classe 1, si les critères secondairesprécisés dans la circulaire sont remplis (grande épaisseur et faible importancedes ressources aquifères) ce qui, a priori, semble être le cas.
Interlocuteurs de la D.I.I. RHONE-ALPES Messieurs GRAGEZ et DEBARNOTInterlocuteur de l'A.N.R.E.D. détaché à laD.I.I M. MOULY
Auteur du rapport P. BEAUDUCEssais de laboratoire P, CONFAISDessinateur JF. RIEUXSecrétaire G. BARROUE
Ce rapport comprend : 38 pages de texte, 22 figures, 2 annexes.
- 1
TABLE DES MATIERES
1 - INTRODUCTION
61 - SITE DE BOUUESSE-QUIRIEU
62 - SITE DE FERRIERES
63 - SITE DE POISY
64 - SITE DE ST GENIS SUR MENTHON
65 - SITE DE UIRIAT
66 - SITE DU GRAND SERRE
67 - SITE DE ST ANTOINE
68 - SITE DE CHALAIN-LE-COMTAL
69 - SITE DE BARRAUX
6.10 - SITE DE POUILLY-SOUS-CHARLIEU
7 - |YyiHES|_DES_RE|yLIAT|_D|S_2_QAMPAGNES_D;ES§A|
8 - CONCLUSIONS
Paqes
11 - MODALITES ADMINISTRATIVES 3
12 - BUT ET OBJET DE L'ETUDE 3
2 - NgiigNS_DE_PERMEABILIIE 3
3 - ÇHgiX_Q|S_FgRMAIigNS_A_IESTER ^
^ - ÇbgîX_Q||_SII|5_DANS_y||_|gRMAIigp_pT|NyES '6
5 - EXEÇyîigN_QE§_|pAI| 9
51 - METHODE UTILISEE 9
52 - DIFFICULTES RENCONTREES 9
53 - ESSAIS DE LABORATOIRE 9
6 - FICHES D'ESSAI 9
10
14
18
23
28
33
38
43
48
53
à 13
à 1^
à 22
à 27
à 32
à 37
à 42
à 47
à 52
à 57
58
60
- 1
TABLE DES MATIERES
1 - INTRODUCTION
61 - SITE DE BOUUESSE-QUIRIEU
62 - SITE DE FERRIERES
63 - SITE DE POISY
64 - SITE DE ST GENIS SUR MENTHON
65 - SITE DE UIRIAT
66 - SITE DU GRAND SERRE
67 - SITE DE ST ANTOINE
68 - SITE DE CHALAIN-LE-COMTAL
69 - SITE DE BARRAUX
6.10 - SITE DE POUILLY-SOUS-CHARLIEU
7 - |YyiHES|_DES_RE|yLIAT|_D|S_2_QAMPAGNES_D;ES§A|
8 - CONCLUSIONS
Paqes
11 - MODALITES ADMINISTRATIVES 3
12 - BUT ET OBJET DE L'ETUDE 3
2 - NgiigNS_DE_PERMEABILIIE 3
3 - ÇHgiX_Q|S_FgRMAIigNS_A_IESTER ^
^ - ÇbgîX_Q||_SII|5_DANS_y||_|gRMAIigp_pT|NyES '6
5 - EXEÇyîigN_QE§_|pAI| 9
51 - METHODE UTILISEE 9
52 - DIFFICULTES RENCONTREES 9
53 - ESSAIS DE LABORATOIRE 9
6 - FICHES D'ESSAI 9
10
14
18
23
28
33
38
43
48
53
à 13
à 1^
à 22
à 27
à 32
à 37
à 42
à 47
à 52
à 57
58
60
- z -
TABLE DES FIGURES
TABLE DES ANNEXES
Paqes
PLAN DE SITUATION GENERALE DES SITES 8
PLANS DE SITUATION DE CHAQUE SITE 10-14-18-23-28-33-38-43-48-53-
GRAPHIQUES DES MESURES DE PERMEABILITE 13-17-21-26-31-DE CHAQUE SITE 36-41-46-51-52-56
ANALYSES GRANULOMETRIQUES 22-27-32-37-42-4757-
ANNEXE 1 - FICHES DE RECONNAISSANCE DES DIX SITES 61 à 71
D'ESSAI.
ANNEXE 2 - MESURE IN SITU DE LA PERMEABILITE DES FORMATIONS 72 à 77
SUPERFICIELLES TRES PEU PERMEABLES.
DESCRIPTION ET FONCTIONNEMENT DU PERMEAMETRE.
- z -
TABLE DES FIGURES
TABLE DES ANNEXES
Paqes
PLAN DE SITUATION GENERALE DES SITES 8
PLANS DE SITUATION DE CHAQUE SITE 10-14-18-23-28-33-38-43-48-53-
GRAPHIQUES DES MESURES DE PERMEABILITE 13-17-21-26-31-DE CHAQUE SITE 36-41-46-51-52-56
ANALYSES GRANULOMETRIQUES 22-27-32-37-42-4757-
ANNEXE 1 - FICHES DE RECONNAISSANCE DES DIX SITES 61 à 71
D'ESSAI.
ANNEXE 2 - MESURE IN SITU DE LA PERMEABILITE DES FORMATIONS 72 à 77
SUPERFICIELLES TRES PEU PERMEABLES.
DESCRIPTION ET FONCTIONNEMENT DU PERMEAMETRE.
1 - iNiBggyçiigN
11 - MODALITES ADMINISTRATIVES
L'Agence Financière de Bassin Rhône-Méditerranée-Corse, l'Agence
Nationale pour la récupération et l'élimination des déchets et l'Etablissement
Public Régional Rhône-Alpes ont financé, chacun pour un tiers, cette étude
réalisée par le Service géologique régional Rhône-Alpes du B.R.G.M., sous
le contrôle technique de la Direction régionale de l'Industrie et de laRecherche.
Le programme a été établi par le groupe régional du travail sur
les déchets.
12 - BUT ET OBJET DE L'ETUDE
L'objectif du groupe de travail est la recherche des formations
géologiques susceptibles de recevoir des déchets de la classe 1, définis
dans l'instruction technique du 22 janvier 1980. Le critère de perméabilité
de ces formations étant l'élément primordial, une série de 21 essais de
perméabilité in situ des formations peu perméables répertoriées dans un
premier rapport (N° 82' SGN 291 RHA), a été réalisée en deux temps. Le
présent rapport rend compte des essais réalisés lors de la deuxième campagne.
La première campagne (11 essais), fait l'objet du rapport N° 82 SGN 987 RHA.
2 - NOTIONS DE PERMEABILITE
De ces notions décrites et commentées dans le premier rapport, nous
ne rappellerons que les trois grandes classifications retenues :
1 - iNiBggyçiigN
11 - MODALITES ADMINISTRATIVES
L'Agence Financière de Bassin Rhône-Méditerranée-Corse, l'Agence
Nationale pour la récupération et l'élimination des déchets et l'Etablissement
Public Régional Rhône-Alpes ont financé, chacun pour un tiers, cette étude
réalisée par le Service géologique régional Rhône-Alpes du B.R.G.M., sous
le contrôle technique de la Direction régionale de l'Industrie et de laRecherche.
Le programme a été établi par le groupe régional du travail sur
les déchets.
12 - BUT ET OBJET DE L'ETUDE
L'objectif du groupe de travail est la recherche des formations
géologiques susceptibles de recevoir des déchets de la classe 1, définis
dans l'instruction technique du 22 janvier 1980. Le critère de perméabilité
de ces formations étant l'élément primordial, une série de 21 essais de
perméabilité in situ des formations peu perméables répertoriées dans un
premier rapport (N° 82' SGN 291 RHA), a été réalisée en deux temps. Le
présent rapport rend compte des essais réalisés lors de la deuxième campagne.
La première campagne (11 essais), fait l'objet du rapport N° 82 SGN 987 RHA.
2 - NOTIONS DE PERMEABILITE
De ces notions décrites et commentées dans le premier rapport, nous
ne rappellerons que les trois grandes classifications retenues :
- 4 -
* . "COEFFICIENT DE - . * CARACTERES MOYENS DE l CLASSIFICATION ^^ PERMEABILITE K en m/s ^ PERMEABILITE. ^ UTILISEE ^
*)(**
^ 10 ~ à 10" ^ Perméabilité faible ^ 3 ^* * * *
* 10"^ à 10"^ * Perméabilité très faible ^^ 2 ^* ^ à faible. ^ ^* i it *
* * -x- )(
* 10"^ à lO"-"--^ * Perméabilité nulle à * 1 ** * très faible. * *X- * * *
La circulaire du 22 janvier 1980 impose, dans sa classification des_9
décharges, une perméabilité égale ou inférieure à 10 m/s pour les déchets
industriels de classe 1.
3 - QHgiX_DE|_¿RMAÍig^S_A_ÍEpER
20 essais de perméabilité étaient prévus, 21 ont été réalisés, 11
sont effectués dans 7 formations différentes, lors de la première campagne.
Les 10 essais restants sont réalisés dans des formations choisies lors de
la réunion tenue le 21 juin 1983 (1). Les critères de ce choix ont été
les réponses apportées à la DRIR par les organismes et administrations
représentés à la réunion du sous-groupe "schéma Directeur régional" tenue
à la Préfecture le 2 janvier 1983.
Il ressort de ces réponses que les participants ont opté à la fois :
- pour un examen élargi à d'autres formations géologiques peu per¬
méables dans des zones peu urbanisées, mais aussi dans des zones à
contraintes écologiques et géographiques.
(1) - Etaient présents : DRIR Mr DEBARNOT - A.N.R.E.D. Mr MOULY -B.R.G.M. Messieurs RAMPON et BEAUDUC.
- 4 -
* . "COEFFICIENT DE - . * CARACTERES MOYENS DE l CLASSIFICATION ^^ PERMEABILITE K en m/s ^ PERMEABILITE. ^ UTILISEE ^
*)(**
^ 10 ~ à 10" ^ Perméabilité faible ^ 3 ^* * * *
* 10"^ à 10"^ * Perméabilité très faible ^^ 2 ^* ^ à faible. ^ ^* i it *
* * -x- )(
* 10"^ à lO"-"--^ * Perméabilité nulle à * 1 ** * très faible. * *X- * * *
La circulaire du 22 janvier 1980 impose, dans sa classification des_9
décharges, une perméabilité égale ou inférieure à 10 m/s pour les déchets
industriels de classe 1.
3 - QHgiX_DE|_¿RMAÍig^S_A_ÍEpER
20 essais de perméabilité étaient prévus, 21 ont été réalisés, 11
sont effectués dans 7 formations différentes, lors de la première campagne.
Les 10 essais restants sont réalisés dans des formations choisies lors de
la réunion tenue le 21 juin 1983 (1). Les critères de ce choix ont été
les réponses apportées à la DRIR par les organismes et administrations
représentés à la réunion du sous-groupe "schéma Directeur régional" tenue
à la Préfecture le 2 janvier 1983.
Il ressort de ces réponses que les participants ont opté à la fois :
- pour un examen élargi à d'autres formations géologiques peu per¬
méables dans des zones peu urbanisées, mais aussi dans des zones à
contraintes écologiques et géographiques.
(1) - Etaient présents : DRIR Mr DEBARNOT - A.N.R.E.D. Mr MOULY -B.R.G.M. Messieurs RAMPON et BEAUDUC.
- 5 -
- pour renouveler l'essai dans une ou deux formations déjà testéeset ayant donné de bons résultats ou laissé un espoir de résultat
meilleur que celui obtenu.
NOUVELLES FORMATIONS
Les 9 formations retenues sont les suivantes :
1 - Marno-calcaires lités de 1 'Oxfordien
(J6) dans le secteur compris entre leRhône et Belley.
2 - Molasse oligocène (m) région de Sillingy
Faciès courant et non plus recherche de
faciès marneux.
3 - Argile glaciaire (LZ) dans la zone im¬
médiatement au NW d'Annecy.
4 - Marnes de Bresse (Pml) entre Bourg et
Mâcon.
5 - Limons du plateau de Chambarran (OE)
6 - Molasse miocène (m) . Région de St Marcellin
Faciès courant et non plus recherche de
faciès marneux.
7 - Argiles et marnes de l'Oligo-miocène(gm)à Chalain-le-Comtal (Forez).
8 - "Terres Noires" callovo-oxfordien (JN)
près de Barraux.
9 - Argiles et marnes de 1' Oligo-miocène (gm)
MAIS SITUEE AILLEURS à Pouilly-sous-Charlieu. (Roannais).
FORMATIONS DEJA TESTEES
FORMATION DEJA TESTEE
GEOGRAPHIQUEMENT.
- 5 -
- pour renouveler l'essai dans une ou deux formations déjà testéeset ayant donné de bons résultats ou laissé un espoir de résultat
meilleur que celui obtenu.
NOUVELLES FORMATIONS
Les 9 formations retenues sont les suivantes :
1 - Marno-calcaires lités de 1 'Oxfordien
(J6) dans le secteur compris entre leRhône et Belley.
2 - Molasse oligocène (m) région de Sillingy
Faciès courant et non plus recherche de
faciès marneux.
3 - Argile glaciaire (LZ) dans la zone im¬
médiatement au NW d'Annecy.
4 - Marnes de Bresse (Pml) entre Bourg et
Mâcon.
5 - Limons du plateau de Chambarran (OE)
6 - Molasse miocène (m) . Région de St Marcellin
Faciès courant et non plus recherche de
faciès marneux.
7 - Argiles et marnes de l'Oligo-miocène(gm)à Chalain-le-Comtal (Forez).
8 - "Terres Noires" callovo-oxfordien (JN)
près de Barraux.
9 - Argiles et marnes de 1' Oligo-miocène (gm)
MAIS SITUEE AILLEURS à Pouilly-sous-Charlieu. (Roannais).
FORMATIONS DEJA TESTEES
FORMATION DEJA TESTEE
GEOGRAPHIQUEMENT.
- 6 -
^ - QHgiX_DES_|nES_DA^|_LES_Eg8MAÏigN|_REI|Nyp
La situation géographique des essais ayant été suffisamment précisée
lors de la réunion du 21 juin, il n'a pas été nécessaire de rechercher
plusieurs sites possibles par essai et de les soumettre au choix de la
DRIR.
La réalisation pratique de la recherche ponctuelle des sites (recherche
de la formation ... autorisation d'effectuer l'essai ... nécessite l'utili¬
sation d'un engin mécanique), fait l'objet d'une fiche récapitulative par
essai que l'on trouvera en annexe.
Il s'est avéré nécessaire d'effectuer 10 essais et non 9 comme prévu.
En effet, la formation "Marnes de Bresse" pose un problème particulier.
Elle n'affleure pratiquement jamais, sous son aspect bien connu de marnes
bleues, compactes, plastiques, et ne se trouve qu'au minimum à 3 ou 4 m,
souvent davantage, sous le sol. Cette tranche de quelques mètres qui sur¬
monte les marnes saines, est constituée d'argiles jaunes plus ou moins
sableuses, souvent rubéfiées (oxydation) qui est peut-être une altérationdes marnes de Bresse.
Il nous a semblé utile de tester ces deux horizons. En effet, la
profondeur des marnes saines détermine une très importante découverte
qui peut être un obstacle à l'implantation d'une décharge.
Le tableau suivant récapitule les formations, leur classement lithostra¬
tigraphique, la situation et le nombre des essais.
- 6 -
^ - QHgiX_DES_|nES_DA^|_LES_Eg8MAÏigN|_REI|Nyp
La situation géographique des essais ayant été suffisamment précisée
lors de la réunion du 21 juin, il n'a pas été nécessaire de rechercher
plusieurs sites possibles par essai et de les soumettre au choix de la
DRIR.
La réalisation pratique de la recherche ponctuelle des sites (recherche
de la formation ... autorisation d'effectuer l'essai ... nécessite l'utili¬
sation d'un engin mécanique), fait l'objet d'une fiche récapitulative par
essai que l'on trouvera en annexe.
Il s'est avéré nécessaire d'effectuer 10 essais et non 9 comme prévu.
En effet, la formation "Marnes de Bresse" pose un problème particulier.
Elle n'affleure pratiquement jamais, sous son aspect bien connu de marnes
bleues, compactes, plastiques, et ne se trouve qu'au minimum à 3 ou 4 m,
souvent davantage, sous le sol. Cette tranche de quelques mètres qui sur¬
monte les marnes saines, est constituée d'argiles jaunes plus ou moins
sableuses, souvent rubéfiées (oxydation) qui est peut-être une altérationdes marnes de Bresse.
Il nous a semblé utile de tester ces deux horizons. En effet, la
profondeur des marnes saines détermine une très importante découverte
qui peut être un obstacle à l'implantation d'une décharge.
Le tableau suivant récapitule les formations, leur classement lithostra¬
tigraphique, la situation et le nombre des essais.
*
*
x-
FORMATION* * Classe- * * ** Symbole *ment li- * Situation géogra- * Nombre ** *thostra- * phique dans la * d'essai ** *tigra- * région.* *phique; *
x-
*
-X--
Commune du lieu d'essai * Lieu-dit ou situation* dans la commune.X
X
M^
^ Marno-calcaires lités ^ J6 (1) ^ 2 (1) ^ Est lyonnais.de 1 'oxfordien. (1) Jura.
X
X
X
BOUVESSE-QUIRIEU (38) Carrières
Molasse oligocène *
X
* Hte SavoieX
*
*FERRIERES (74) 'Les Frassettes'
Argiles glaciaires (1) ^ LZ(1) 2(1) Hte SavoieX
X
*
X POISY (74) Macully "Le Monticule"
^ Marnes de Bresse (1) ^ Pml (l) ^ 1(1)*
*
X
Bresse*
*
* StGENIS S/MENTHON (01) * Nécudet "Les Falconettes! VIRIAT (01) ^ Vacagnole "Pelouzan"
X
Xi
X
Loess et limons derecouvrement. ( 1)
X
X
OE (1) ! 2/3 (1) *X
X
Bas-Dauphiné*
X
LE GRAND SERRE (26) ^ Champ de tir
Molasse miocène mX
Bas-DauphinéX
* ST ANTOINE (38) "La Maladière"
^ Argiles et marnes de ^ ^^ 1 'oligo-miocène (1) ^ gm (1) '^ 2 (1) ^ Plaine du Forez
*
*
X
*
X
*
XCHALAIN-LE-COMTAL (42) "Les Marmates"
*
X
X
"Terres Noires" duCallovo-oxfordien (1)
*
X
X
XJN (1) ^ 1/2 (1) ^ Région grenobloise BARRAUX (38) ^ "Les Bruyères"
X -x-x^ Argiles et marnes de ^ ^
^ 1-' oligo-miocène (1) ^ gm (1) ^
X
X2 (1) ^Plaine du Roannais ^ 1 * POUILLY-SOUS-CHARLIEU (42j Sorillard
(1) - Références à l'annexe 2 du premier rapport N° 82 SGN 292 RHA : Tableau de présentations des zones favorables.
*
*
x-
FORMATION* * Classe- * * ** Symbole *ment li- * Situation géogra- * Nombre ** *thostra- * phique dans la * d'essai ** *tigra- * région.* *phique; *
x-
*
-X--
Commune du lieu d'essai * Lieu-dit ou situation* dans la commune.X
X
M^
^ Marno-calcaires lités ^ J6 (1) ^ 2 (1) ^ Est lyonnais.de 1 'oxfordien. (1) Jura.
X
X
X
BOUVESSE-QUIRIEU (38) Carrières
Molasse oligocène *
X
* Hte SavoieX
*
*FERRIERES (74) 'Les Frassettes'
Argiles glaciaires (1) ^ LZ(1) 2(1) Hte SavoieX
X
*
X POISY (74) Macully "Le Monticule"
^ Marnes de Bresse (1) ^ Pml (l) ^ 1(1)*
*
X
Bresse*
*
* StGENIS S/MENTHON (01) * Nécudet "Les Falconettes! VIRIAT (01) ^ Vacagnole "Pelouzan"
X
Xi
X
Loess et limons derecouvrement. ( 1)
X
X
OE (1) ! 2/3 (1) *X
X
Bas-Dauphiné*
X
LE GRAND SERRE (26) ^ Champ de tir
Molasse miocène mX
Bas-DauphinéX
* ST ANTOINE (38) "La Maladière"
^ Argiles et marnes de ^ ^^ 1 'oligo-miocène (1) ^ gm (1) '^ 2 (1) ^ Plaine du Forez
*
*
X
*
X
*
XCHALAIN-LE-COMTAL (42) "Les Marmates"
*
X
X
"Terres Noires" duCallovo-oxfordien (1)
*
X
X
XJN (1) ^ 1/2 (1) ^ Région grenobloise BARRAUX (38) ^ "Les Bruyères"
X -x-x^ Argiles et marnes de ^ ^
^ 1-' oligo-miocène (1) ^ gm (1) ^
X
X2 (1) ^Plaine du Roannais ^ 1 * POUILLY-SOUS-CHARLIEU (42j Sorillard
(1) - Références à l'annexe 2 du premier rapport N° 82 SGN 292 RHA : Tableau de présentations des zones favorables.
- 8 -
SITUATION GENERALE DES SITES
Echelle l/l 750 0 0 0
Chafain-ie-Comtol \ \ PomMqs/charfiei/ \ \ St.Gem's s/Men'thon
WriatBeousemb/ont(Ancienne Tuilerte)
Chafain-le-Comtot ! (La Chañas)
I \St.Vtncenc de Barrés \ Lo Repars
' 1 \ \Arthemonay Montmiral xSt-Martin de C/e//es
\
âûrraux
\St-Antoine Sarraux
La Repara : Site de /o premiere campagne
| Barrauîr\ : Site de fa deuxième campagneSS SÛA/ 7S9 RHA
5 - EXECUTION DES ESSAIS
51 - METHODE UTILISEE
Elle est décrite dans le rapport N° 82 SGN 987 RHA auquel on
voudra bien se reporter.
On trouvera en annexe le croquis et le mode de fonctionnement
du perméamètre.
52 - DIFFICULTES RENCONTRES
En dehors de celles qui concerne le temps assez long nécessaire
pour mener à terme les essais lorsque le coefficient de perméabilité est_Q
très faible (proche de 1.10 ili/s,il s'est avéré que l'obtention de laparfaite étanchéité entre les deux anneaux, indispensable, est délicate
et assez souvent difficile à réaliser.
53 - ESSAIS DE LABORATOIRE
Comme pour la première campagne, une prise d'échantillons a été
faite dans chaque formation testée et le plus près possible des anneaux.
Les analyses granulométriques et sédimentométriques, le calcul
de la teneur en eau du terrain en place, de la densité, de l'indice de
plasticité et de la porosité, ont été réalisés sur les échantillons
permettant ces essais de laboratoire. Les faciès rocheux ou sableux
(calcaires, schistes, molasse), n'ont fait l'objet d'aucune identifi¬cation de laboratoire ou seulement d'identifications partielles; celles-
ci étant impossibles ou n'ayant pas grande signification (granulométrie,
plasticité, teneur en eau ...).
6 - EÎÇbES_DlESSAIS_( voire page H à page 55 ).
5 - EXECUTION DES ESSAIS
51 - METHODE UTILISEE
Elle est décrite dans le rapport N° 82 SGN 987 RHA auquel on
voudra bien se reporter.
On trouvera en annexe le croquis et le mode de fonctionnement
du perméamètre.
52 - DIFFICULTES RENCONTRES
En dehors de celles qui concerne le temps assez long nécessaire
pour mener à terme les essais lorsque le coefficient de perméabilité est_Q
très faible (proche de 1.10 ili/s,il s'est avéré que l'obtention de laparfaite étanchéité entre les deux anneaux, indispensable, est délicate
et assez souvent difficile à réaliser.
53 - ESSAIS DE LABORATOIRE
Comme pour la première campagne, une prise d'échantillons a été
faite dans chaque formation testée et le plus près possible des anneaux.
Les analyses granulométriques et sédimentométriques, le calcul
de la teneur en eau du terrain en place, de la densité, de l'indice de
plasticité et de la porosité, ont été réalisés sur les échantillons
permettant ces essais de laboratoire. Les faciès rocheux ou sableux
(calcaires, schistes, molasse), n'ont fait l'objet d'aucune identifi¬cation de laboratoire ou seulement d'identifications partielles; celles-
ci étant impossibles ou n'ayant pas grande signification (granulométrie,
plasticité, teneur en eau ...).
6 - EÎÇbES_DlESSAIS_( voire page H à page 55 ).
SITE DE BOUVESSE-QUIRIEU
PLAN DE SITUATION
Ech.1 / 25 000
** S@rier«sÄ.>ÖEn
Emplacement de l'essai //;.
- 11 -
FICHE D'ESSAI : B0UVE5SE - QUIRIEU (38).
GEOLOGIE ; Carte géologique : MONTLUELSymbole J6, symbole de la carte géologique : J6a.
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les affleurements sont nombreux et assez vastes sur le plateau deCrémieux à l'intérieur de la boucle du Rhône et également à l'Est du Rhône,en bordure occidentale du Jura plissé méridional où ils s'étendent enlambeaax étirés nord-sud.
Ce sont des calcaires gris jaune très pâles presque blancs sublitho¬graphiques avec grains de pyrite. Ils se présentent en bancs peu épais,intercalés dans des niveaux marneux et dans des niveaux de calcaires litésen plaquettes, également peu épais.
Cette série repose sur les marnes d'Ef fingen. Elle est assez complexeet subdivisée en couches portant des noms particuliers selon le lieu. Dansla butte de Quirieu, en limite est de l'Ile de Crémieu, zone de l'essai,l'épaisseur atteint 70 m.
L'essai a été réalisé vers la base de la série.
BIBLIOGRAPHIE : ENAY R. (1966). L'Oxfordien dans la moitié sud du Jurafrançais. Etude stratigraphique, Nouv. Arch. mus. Hist. nat.Lyon. fase. VIII, 2 vol., 624 p, 178 text. fig. 40 pl.
ENAY R. (1979). l'Ile Crémieu. Evolution morphologique etstructurale. Bull. Soc. limn. Lyon.
CROQUIS GEOLOGIE DU SITE
zones humides/ûca/ement sur imâ 2m <fe /ongeur
a tl'"
s>tm
^8/7»
Ca/ea/res gri's jaune trèspâ/es presque b/ancs, àgrairr fyn, sub/t'thograp/i/çues .¿oca/ement des grains depyrite p/us ou moins a/te'rgs .
Bancs variant de o,o5 â O.SOmavec irttercoiations de gq.niveaux marneux peu épais(i /0cm)
ibanc ca/ca/re
fond de /a /-r^carrière
Marnû- ca/caire
OBSERVATIONS
Rares très petites venuesd'eau au contact des niveauxmarneux. Ces zones humides nes'allongent pas sur toute lalongueur des niveaux marneuxmais apparaissent seulementsur 1 à 2 m en quelques points.
- 11 -
FICHE D'ESSAI : B0UVE5SE - QUIRIEU (38).
GEOLOGIE ; Carte géologique : MONTLUELSymbole J6, symbole de la carte géologique : J6a.
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les affleurements sont nombreux et assez vastes sur le plateau deCrémieux à l'intérieur de la boucle du Rhône et également à l'Est du Rhône,en bordure occidentale du Jura plissé méridional où ils s'étendent enlambeaax étirés nord-sud.
Ce sont des calcaires gris jaune très pâles presque blancs sublitho¬graphiques avec grains de pyrite. Ils se présentent en bancs peu épais,intercalés dans des niveaux marneux et dans des niveaux de calcaires litésen plaquettes, également peu épais.
Cette série repose sur les marnes d'Ef fingen. Elle est assez complexeet subdivisée en couches portant des noms particuliers selon le lieu. Dansla butte de Quirieu, en limite est de l'Ile de Crémieu, zone de l'essai,l'épaisseur atteint 70 m.
L'essai a été réalisé vers la base de la série.
BIBLIOGRAPHIE : ENAY R. (1966). L'Oxfordien dans la moitié sud du Jurafrançais. Etude stratigraphique, Nouv. Arch. mus. Hist. nat.Lyon. fase. VIII, 2 vol., 624 p, 178 text. fig. 40 pl.
ENAY R. (1979). l'Ile Crémieu. Evolution morphologique etstructurale. Bull. Soc. limn. Lyon.
CROQUIS GEOLOGIE DU SITE
zones humides/ûca/ement sur imâ 2m <fe /ongeur
a tl'"
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^8/7»
Ca/ea/res gri's jaune trèspâ/es presque b/ancs, àgrairr fyn, sub/t'thograp/i/çues .¿oca/ement des grains depyrite p/us ou moins a/te'rgs .
Bancs variant de o,o5 â O.SOmavec irttercoiations de gq.niveaux marneux peu épais(i /0cm)
ibanc ca/ca/re
fond de /a /-r^carrière
Marnû- ca/caire
OBSERVATIONS
Rares très petites venuesd'eau au contact des niveauxmarneux. Ces zones humides nes'allongent pas sur toute lalongueur des niveaux marneuxmais apparaissent seulementsur 1 à 2 m en quelques points.
- 12
HYDROGEOLOGIE
Il existe dans la région des lignes de sources, irrégulières, au contactdes niveaux marneux. C'est exactement ce qui a été observé sur le lieud'essai. Cependant, ces sources n'offrent que de faibles débits.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Très bien situé dans le contexte industriel régional, le site est prochede Lyon. Grenoble et St Etienne, un peu plus lointain es, restent cependantà des distances tout à fait acceptables et sont d'accès faciles.
ENVIRONNEMENT
Zone inhabitée aux alentours immédiats* L es 2 gros bourgs les plus prochesEgnieu et Bouvesse.. Quirieu, n'ont aucune vue sur la carrière qui est très peuvisible. Cette zone est occupée par des carrières, des bois, des prés et desroutes.
RESULTATS
La perméabilité trouvée est de : K = 3.10" rn/s.
COMMENTAIRES
la perméabilité des calcaires lités les place dans la classe 2 de la cir¬culaire ministérielle. Ils ne semblent pas karstifiés et sont entrecoupés pardes niveaux marneux assez nombreux, quoique minces.
Il est cependant évident que le niveau des marnes d'Ef fingen sur lesquellesils reposent, est beaucoup plus apte à recevoir une décharge.
- 12
HYDROGEOLOGIE
Il existe dans la région des lignes de sources, irrégulières, au contactdes niveaux marneux. C'est exactement ce qui a été observé sur le lieud'essai. Cependant, ces sources n'offrent que de faibles débits.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Très bien situé dans le contexte industriel régional, le site est prochede Lyon. Grenoble et St Etienne, un peu plus lointain es, restent cependantà des distances tout à fait acceptables et sont d'accès faciles.
ENVIRONNEMENT
Zone inhabitée aux alentours immédiats* L es 2 gros bourgs les plus prochesEgnieu et Bouvesse.. Quirieu, n'ont aucune vue sur la carrière qui est très peuvisible. Cette zone est occupée par des carrières, des bois, des prés et desroutes.
RESULTATS
La perméabilité trouvée est de : K = 3.10" rn/s.
COMMENTAIRES
la perméabilité des calcaires lités les place dans la classe 2 de la cir¬culaire ministérielle. Ils ne semblent pas karstifiés et sont entrecoupés pardes niveaux marneux assez nombreux, quoique minces.
Il est cependant évident que le niveau des marnes d'Ef fingen sur lesquellesils reposent, est beaucoup plus apte à recevoir une décharge.
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SITE DE FERRIËRES
PLAN DE SITUATION
Ech.l/25 OOO
FICHE D'ESSAI : FERRIERES (Haute-Savoie).
GEOLOGIE ; Carte géologique : SEYSSEL
Symbole m, symbole de la carte géologique m1 3
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE
La molasse aquitanienne que l'on trouve dans la partie orientale de larégion Rhône-Alpes, est dans l'ensemble moins sableuse que la molasse miocène.Les faciès y sont aussi très variés. Dans le bassin d'Annecy, lieu choisipour l'essai, il existe sur le flanc est de la montagne de Mandalloz, unevaste zone ou affleure un faciès appelé "série des Machurettes", c'est danscette série que l'essai a été effectué. Cette molasse se débite souvent enplaquettes avec muscovite, chlorite et biotite.
L'épaisseur est considérable, de 800 à lOGO mètres.
BIBLIOGRAPHIE GIGNOUX M. et MORET L. (1939). L'Oligocène du bassin duRhône entre Genève et Seyssel. Ed. Rhodan, vol. 15, p.l39-144.
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
C/ZOQUIS
A/f /sûrement de Mo/asse
La mise en place des anneauxa nécessité un gros travailpréparatoire.Une saignée au burin pourles 2 anneaux et leur cimen¬tation avec du ciment prompta été nécessaire.
ûrés asse} tendre, friab/e ,gr/s .forte/rzentmi'cocé,se débitant en p/aquettesde /'ordre de /cm.
O'î'^.-TO â 80 g. Pe3e: 2Ó à 30 gr S£
FICHE D'ESSAI : FERRIERES (Haute-Savoie).
GEOLOGIE ; Carte géologique : SEYSSEL
Symbole m, symbole de la carte géologique m1 3
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE
La molasse aquitanienne que l'on trouve dans la partie orientale de larégion Rhône-Alpes, est dans l'ensemble moins sableuse que la molasse miocène.Les faciès y sont aussi très variés. Dans le bassin d'Annecy, lieu choisipour l'essai, il existe sur le flanc est de la montagne de Mandalloz, unevaste zone ou affleure un faciès appelé "série des Machurettes", c'est danscette série que l'essai a été effectué. Cette molasse se débite souvent enplaquettes avec muscovite, chlorite et biotite.
L'épaisseur est considérable, de 800 à lOGO mètres.
BIBLIOGRAPHIE GIGNOUX M. et MORET L. (1939). L'Oligocène du bassin duRhône entre Genève et Seyssel. Ed. Rhodan, vol. 15, p.l39-144.
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
C/ZOQUIS
A/f /sûrement de Mo/asse
La mise en place des anneauxa nécessité un gros travailpréparatoire.Une saignée au burin pourles 2 anneaux et leur cimen¬tation avec du ciment prompta été nécessaire.
ûrés asse} tendre, friab/e ,gr/s .forte/rzentmi'cocé,se débitant en p/aquettesde /'ordre de /cm.
O'î'^.-TO â 80 g. Pe3e: 2Ó à 30 gr S£
- 16 -
HYDROGEOLOGIE
La molasse aquitanienne peut réceler de l'eau à la faveur de niveauxmoins conglomérés ou moins gréseux. Cependant, ces niveaux sont peu nombreuxet sans extension. D'autre part, la perméabilité ne permet pas des débitsappréciables. Dans la zone proche de l'essai, aucun renseignement ne permetde savoir si quelque nappe existe ni à quelle profondeur.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Excentrée dans le Nord-Est de la région Rhône-Alpes, le site est cependanttrès proche d'Annecy (quelques kilomètres) assez proche d'Aix-les-Bains etde Chambéry (à peine 50 kilomètres) et déjà assez loin de Grenoble (environ100 km). Ces centres sont cependant d'accès facile par autoroutes.
ENVIRONNEMENT
Le paysage, assez fortement vallonné, est composé de bois, de prairies et dequelques petites surfaces cultivées. L'habitat, dispersé, se compose de2 ou 3 fermes groupées et de villas.
RESULTATS
Le coefficient de perméabilité K obtenu est de : I.IO" m/s.
COMMENTAIRES
Le faciès gréseux de la molasse aquitanienne ne peut convenir que pourun site de classe 2 de la circulaire ministérielle.
- 16 -
HYDROGEOLOGIE
La molasse aquitanienne peut réceler de l'eau à la faveur de niveauxmoins conglomérés ou moins gréseux. Cependant, ces niveaux sont peu nombreuxet sans extension. D'autre part, la perméabilité ne permet pas des débitsappréciables. Dans la zone proche de l'essai, aucun renseignement ne permetde savoir si quelque nappe existe ni à quelle profondeur.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Excentrée dans le Nord-Est de la région Rhône-Alpes, le site est cependanttrès proche d'Annecy (quelques kilomètres) assez proche d'Aix-les-Bains etde Chambéry (à peine 50 kilomètres) et déjà assez loin de Grenoble (environ100 km). Ces centres sont cependant d'accès facile par autoroutes.
ENVIRONNEMENT
Le paysage, assez fortement vallonné, est composé de bois, de prairies et dequelques petites surfaces cultivées. L'habitat, dispersé, se compose de2 ou 3 fermes groupées et de villas.
RESULTATS
Le coefficient de perméabilité K obtenu est de : I.IO" m/s.
COMMENTAIRES
Le faciès gréseux de la molasse aquitanienne ne peut convenir que pourun site de classe 2 de la circulaire ministérielle.
- 17 -
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SITE DE POISY
PLAN DE SITUATION
Ech.1/25 000
" \Emplacement dé l'sssai
- 19 -
FICHE D'ESSAI : POISY
GEOLOGIE ; Carte géologique : SEYSSELSymbole LZ, symbole de la carte géologique : Gya
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
La moraine argileuse ou "argile à blocaux" est très largement représentéedans la région nord-ouest d'Annecy où elle recouvre presque partout la molasseburdigalienne (et aquitanienne aux environs d'Annecy) sur la quasi totalitéde la feuille Seyssel.
Elle se caractérise par l'irrégularité de la quantité d'éléments caillouteuxcontenus dans la matrice argileuse.
Cette quantité devient parfois importante, et l'on passe alors presqu'àune moraine caillouteuse, alors qu'ailleurs on a observé des niveaux d'argilevarvée ou d'argile compacte pratiquement sans galets.
A l'endroit de l'essai, la fraction caillouteuse est moyennement importante.
L'épaisseur est très variable, mais peut atteindre plusieurs dizaines demètres.
BIBLIOGRAPHIE ACHARD R.A. (1970). Dépôts glaciaires et terrasses du bassinde GENEVE. Thèse (texte condensé) Edit. "Médecine et Hygiène"GENEVE 18 p.JAYET A. (1966). Résumé de géologie glaciaire régionale.G. CHAPUIS, GENEVE, 56 p. 29 fig.
GEOLOGIE DU SITE
C/iOQU/SOBSERVATIONS
J?emb/a/
''^^>////^-'/
iHince manteau II a été nécessaire de faired'ebou//s /"y appel à un engin mécanique
pour creuser l'excavationdans le talus.
Un /ii très ca///outeuxde o. zo m d 'épaisseur
Argi/e g/ac/a/re brun jaunâtre, dure, compacteà /'état sec etp/ast/gue /orsgu'e//e est fyumide .
Ga/ets de /'ordre de 0 /ô iocm etqq. ga/etsde p/us granc/e ta///e f cimax/ 30 cm ) repart/sasse^ regu//érement.
- 19 -
FICHE D'ESSAI : POISY
GEOLOGIE ; Carte géologique : SEYSSELSymbole LZ, symbole de la carte géologique : Gya
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
La moraine argileuse ou "argile à blocaux" est très largement représentéedans la région nord-ouest d'Annecy où elle recouvre presque partout la molasseburdigalienne (et aquitanienne aux environs d'Annecy) sur la quasi totalitéde la feuille Seyssel.
Elle se caractérise par l'irrégularité de la quantité d'éléments caillouteuxcontenus dans la matrice argileuse.
Cette quantité devient parfois importante, et l'on passe alors presqu'àune moraine caillouteuse, alors qu'ailleurs on a observé des niveaux d'argilevarvée ou d'argile compacte pratiquement sans galets.
A l'endroit de l'essai, la fraction caillouteuse est moyennement importante.
L'épaisseur est très variable, mais peut atteindre plusieurs dizaines demètres.
BIBLIOGRAPHIE ACHARD R.A. (1970). Dépôts glaciaires et terrasses du bassinde GENEVE. Thèse (texte condensé) Edit. "Médecine et Hygiène"GENEVE 18 p.JAYET A. (1966). Résumé de géologie glaciaire régionale.G. CHAPUIS, GENEVE, 56 p. 29 fig.
GEOLOGIE DU SITE
C/iOQU/SOBSERVATIONS
J?emb/a/
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iHince manteau II a été nécessaire de faired'ebou//s /"y appel à un engin mécanique
pour creuser l'excavationdans le talus.
Un /ii très ca///outeuxde o. zo m d 'épaisseur
Argi/e g/ac/a/re brun jaunâtre, dure, compacteà /'état sec etp/ast/gue /orsgu'e//e est fyumide .
Ga/ets de /'ordre de 0 /ô iocm etqq. ga/etsde p/us granc/e ta///e f cimax/ 30 cm ) repart/sasse^ regu//érement.
- 20 -
HYDROGEOLOGIE
Le manque de renseignements concernant les eaux souterraines dans larégion, ne permet pas de savoir si des niveaux aquifères existent. Il estcependant probable que des circulations d'eau se produisent dans les horizonsplus caillouteux des argiles glaciaires. Elles ne sont probablement pas bienimportantes et sans doute circonscrites.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
On peut faire les mêmes observations que pour le site de Ferrières,situé à quelques kilomètres. La situation du site est favorable pour lesagglomérations d'Annecy, d'Aix-les-Bains et de Chambéry. Grenoble se situedéjà un peu loin. Cependant, les voies de communication sont commodes.
ENVIRONNEMENT
Région essentiellement agricole, de prairies et de bois sur les reliefs.L'habitat, dispersé, est cependant assez dense, nombreuses villas et hameaux.
RESULTATS
8La perméabilité de l'horizon testé est de 1,7.10 m/s.
COMMENTAIRES
Ce site est tout à fait valable, sous l'aspect de sa perméabilité, etprobablement sous ceux de l'épaisseur d'argile et de 1 'hydrogéologie, pourune classe 2.
- 20 -
HYDROGEOLOGIE
Le manque de renseignements concernant les eaux souterraines dans larégion, ne permet pas de savoir si des niveaux aquifères existent. Il estcependant probable que des circulations d'eau se produisent dans les horizonsplus caillouteux des argiles glaciaires. Elles ne sont probablement pas bienimportantes et sans doute circonscrites.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
On peut faire les mêmes observations que pour le site de Ferrières,situé à quelques kilomètres. La situation du site est favorable pour lesagglomérations d'Annecy, d'Aix-les-Bains et de Chambéry. Grenoble se situedéjà un peu loin. Cependant, les voies de communication sont commodes.
ENVIRONNEMENT
Région essentiellement agricole, de prairies et de bois sur les reliefs.L'habitat, dispersé, est cependant assez dense, nombreuses villas et hameaux.
RESULTATS
8La perméabilité de l'horizon testé est de 1,7.10 m/s.
COMMENTAIRES
Ce site est tout à fait valable, sous l'aspect de sa perméabilité, etprobablement sous ceux de l'épaisseur d'argile et de 1 'hydrogéologie, pourune classe 2.
souBjj NOSNvo saaidvd san -21-souBjj NOSNvo saaidvd san -21-
- 22 -
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Service Géologique RégionaiRHONE-ALPES
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SITE DE St GENIS sur MENTHON
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- 24 -
FICHE D'ESSAI ; SAINT GENIS SUR MENTHON (Ain)
GEOLOGIE : Carte géologique : MACON
Symbole Pml, symbole de la carte géologique : pA.
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les marnes et argiles de Bresse s'étalent sur une vaste surface continuedans toute la partie occidentale de la Bresse. Les affleurements sont rarescar, en plus de la couverture végétale, le plateau bressan est uniformémentrecouvert jen dehors des entailles créées par le réseau hydrographique, parun manteau de limons et de loess épais de 1 m ou plus.
Les marnes présentent toujours une altération de surface. Il n'est pascertain que cet horizon corresponde à une altération des marnes sous-jacentes,la datation en étant difficile et imprécise.
Cette tranche superficielle oxydée présente une couleur jaunâtre, alorsque les marnes saines trouvées en sondages sont bleues, compactes; elle estassez hétérogène. Le degré d'altération y est variable, de même que la fractionsableuse.
L'épaisseur de ce niveau altéré est variable. Il est difficile de lapréciser au mètre près. Elle entre dans une fourchette d'environ 3 à 6 mètres.
L'essai a été réalisé dans ce niveau.
Un 2ème essai a été effectué dans les marnes non altérées; bleues, com¬pactes et plastiques (voir fiche d'essai de Viriat 01).
BIBLIOGRAPHIE : LEFAVRAIS RAYMOND, A (1962) - Contribution à l'étude géolo-gique de la Bresse d'après les sondages profonds. Mémoire n° 16. B.R.G.M.
Evaluation des ressources hydrauliques Bresse-Sud. Région des Dombes (01).Essai de définition des formations aquifères sollicitées. Rapport BRGM N°75 SGN 391 JAL par H. GUDEFIN.
SENAC P. 1981 - Univ. de Dijon - le remplissage détritique plio-pleistocènede la Bresse du Nord - rapport avec la Bresse du Sud.
GEOLOGIE DU SITE
C/20QU/S
Couvertureve'géta/e
/iiarne jaunâtre, panach.ee , à fond b/euté.
Observations
L'essai a été réalisé dansles marnes assez' altérées del'horizon qui coiffe les marnesbleues de Bresse.Toutes les coupes fournies parles sondages de reconnaissancede l'autoroute Mâcon-Bourg,présentent cette tranche altéréede plusieurs mètres d'épaisseur.Cet horizon correspond sans douteà une oxydation des marnes sainessous-jacentes.
- 24 -
FICHE D'ESSAI ; SAINT GENIS SUR MENTHON (Ain)
GEOLOGIE : Carte géologique : MACON
Symbole Pml, symbole de la carte géologique : pA.
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les marnes et argiles de Bresse s'étalent sur une vaste surface continuedans toute la partie occidentale de la Bresse. Les affleurements sont rarescar, en plus de la couverture végétale, le plateau bressan est uniformémentrecouvert jen dehors des entailles créées par le réseau hydrographique, parun manteau de limons et de loess épais de 1 m ou plus.
Les marnes présentent toujours une altération de surface. Il n'est pascertain que cet horizon corresponde à une altération des marnes sous-jacentes,la datation en étant difficile et imprécise.
Cette tranche superficielle oxydée présente une couleur jaunâtre, alorsque les marnes saines trouvées en sondages sont bleues, compactes; elle estassez hétérogène. Le degré d'altération y est variable, de même que la fractionsableuse.
L'épaisseur de ce niveau altéré est variable. Il est difficile de lapréciser au mètre près. Elle entre dans une fourchette d'environ 3 à 6 mètres.
L'essai a été réalisé dans ce niveau.
Un 2ème essai a été effectué dans les marnes non altérées; bleues, com¬pactes et plastiques (voir fiche d'essai de Viriat 01).
BIBLIOGRAPHIE : LEFAVRAIS RAYMOND, A (1962) - Contribution à l'étude géolo-gique de la Bresse d'après les sondages profonds. Mémoire n° 16. B.R.G.M.
Evaluation des ressources hydrauliques Bresse-Sud. Région des Dombes (01).Essai de définition des formations aquifères sollicitées. Rapport BRGM N°75 SGN 391 JAL par H. GUDEFIN.
SENAC P. 1981 - Univ. de Dijon - le remplissage détritique plio-pleistocènede la Bresse du Nord - rapport avec la Bresse du Sud.
GEOLOGIE DU SITE
C/20QU/S
Couvertureve'géta/e
/iiarne jaunâtre, panach.ee , à fond b/euté.
Observations
L'essai a été réalisé dansles marnes assez' altérées del'horizon qui coiffe les marnesbleues de Bresse.Toutes les coupes fournies parles sondages de reconnaissancede l'autoroute Mâcon-Bourg,présentent cette tranche altéréede plusieurs mètres d'épaisseur.Cet horizon correspond sans douteà une oxydation des marnes sainessous-jacentes.
- 25 -
HYDROGEOLOGIE
Il n'existe pas de nappe aquifère de quelque importance dans cette frangealtérée qui surmonte les marnes de Bresse saines. Cependant, à la faveur deniveaux sableux ou caillouteux peu épais, et ceci particulièrement au contactdes marnes compactes non altérées, quelques lentilles aquifères sont utiliséesà usages domestiques. Volume et débit sont faibles et le niveau dans ces puitsfermiers se situe à 2 ou 3 m sous le sol.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
La situation de la Bresse dans la région Rhône-Alpes est très excentrée, enlimite nord. Parmi les grands centres industriels régionaux, seul celui deLyon se situe à moins de 100 km.
ENVIRONNEMENT
La vocation de la Bresse est essentiellement l'agriculture et l'élevage.Il existe d'assez nombreux villages ou gros bourgs et la campagne, constituéede cultures, de prairies et de bois, est parsemée de fermes isolées.
RESULTATS
8La valeur du coefficient de perméabilité trouvé est de 4,4.10" m/s.
COMMENTAIRES
Cette valeur, assez décevante, peut surprendre. Elle est supérieure à
celle de la formation profonde, compacte et non altérée. Cependant, le butde l'étude étant de tester les formations superficielles ou subsuperficielles;sans découverte d'épaisseur prohibitive, la profondeur de 1 mètre nous asemblé répondre à ce but. Une excavation de plusieurs mètres mettant à jourla formation non altérée, existe à VIRIAT (01). On y a donc effectué undeuxième essai qui a donné un résultat bien meilleur : (K = 2,3. 10" m/s).
Ce niveau superficiel altéré ne peut convenir que pour une déchargede classe 2.
- 25 -
HYDROGEOLOGIE
Il n'existe pas de nappe aquifère de quelque importance dans cette frangealtérée qui surmonte les marnes de Bresse saines. Cependant, à la faveur deniveaux sableux ou caillouteux peu épais, et ceci particulièrement au contactdes marnes compactes non altérées, quelques lentilles aquifères sont utiliséesà usages domestiques. Volume et débit sont faibles et le niveau dans ces puitsfermiers se situe à 2 ou 3 m sous le sol.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
La situation de la Bresse dans la région Rhône-Alpes est très excentrée, enlimite nord. Parmi les grands centres industriels régionaux, seul celui deLyon se situe à moins de 100 km.
ENVIRONNEMENT
La vocation de la Bresse est essentiellement l'agriculture et l'élevage.Il existe d'assez nombreux villages ou gros bourgs et la campagne, constituéede cultures, de prairies et de bois, est parsemée de fermes isolées.
RESULTATS
8La valeur du coefficient de perméabilité trouvé est de 4,4.10" m/s.
COMMENTAIRES
Cette valeur, assez décevante, peut surprendre. Elle est supérieure à
celle de la formation profonde, compacte et non altérée. Cependant, le butde l'étude étant de tester les formations superficielles ou subsuperficielles;sans découverte d'épaisseur prohibitive, la profondeur de 1 mètre nous asemblé répondre à ce but. Une excavation de plusieurs mètres mettant à jourla formation non altérée, existe à VIRIAT (01). On y a donc effectué undeuxième essai qui a donné un résultat bien meilleur : (K = 2,3. 10" m/s).
Ce niveau superficiel altéré ne peut convenir que pour une déchargede classe 2.
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ANALYSE GRANULOMETRIQUE
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SITE DE VIRIAT
PLAN DE SITUATION
Ech. 1/25 000
- 29 -
FICHE D'ESSAI : VIRIAT (AIN)
GEOLOGIE ; Carte géologique. MACON (1/80.000)Symbole Pml Symbole de la carte géologique : P>
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Cf. fiche d'essai de St Genis-sur-Menthon.
L'essai a été réalisé dans la formation saine, sous le niveau altérésuperficiel, à 6,50 m de profondeur sous le sol, dans un horizon aux élémentstrès fins, non sableux. Les marnes sont très compactes, plastiques et decouleur bleue typique de la formation.
Les marnes de Bresse sont plus ou moins sableuses et présentent despassées à débris végétaux ou ligniteux. Elles contiennent, dans les éléments
< 2 M de la montmorillomite en proportion la plus abondante (jusqu'à 50 %)de l'illite et de la kaolimite.
L'épaisseur est variable mais généralement très importante. Dans la zonesud de la Bresse qui nous intéresse ici, elle est de l'ordre de 250 à 300mètres.
BIBLIOGRAPHIE : Cf. fiche d'essai de St Genis-sur-Menthon (Ain)
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
CROQU/S
Soinaiurei: 22y. so /var
Limon argi/eux peusabieax,passages de nodu/esferro mangan iques
Argi/e jaune , panac/ie'e, àdominante rouiiie,très sabieuse
L'essai a pu être réalisé sur unaffleurement parfaitement sain grâceà l'importante excavation créée parl'autoroute en construction.L'horizon testé est bien représen¬tatif des marnes de Bresse.
A/ternance délitscentimétriques de sab/esfins, gris, faune, rouii/e
Cai//out/s dans matrice de sab/e f/n gr/s-jauneargi/eux de 0 max somm de roc/ies crista//op/iy/iennesavec très forte proport/on de quart^j , b/en rou/êRubé/aet/on importante
Sab/e f/ngr/s avec â /a base / t/t discont/nu, / grave/eux de que/çues cm avec très iégères
^ ' ^ venues d'eau circuíant surtes marnes b/eues"'>r7rrTTrrrxnj>^ y\°'^°. de BreSSe
\o.SO
Marne b/eue, compacte, p/ast/quef/aement //te'e
Cote 220.03 A/ûF toit marnes
2.0O £ssai /r
fond de foui//e
- 29 -
FICHE D'ESSAI : VIRIAT (AIN)
GEOLOGIE ; Carte géologique. MACON (1/80.000)Symbole Pml Symbole de la carte géologique : P>
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Cf. fiche d'essai de St Genis-sur-Menthon.
L'essai a été réalisé dans la formation saine, sous le niveau altérésuperficiel, à 6,50 m de profondeur sous le sol, dans un horizon aux élémentstrès fins, non sableux. Les marnes sont très compactes, plastiques et decouleur bleue typique de la formation.
Les marnes de Bresse sont plus ou moins sableuses et présentent despassées à débris végétaux ou ligniteux. Elles contiennent, dans les éléments
< 2 M de la montmorillomite en proportion la plus abondante (jusqu'à 50 %)de l'illite et de la kaolimite.
L'épaisseur est variable mais généralement très importante. Dans la zonesud de la Bresse qui nous intéresse ici, elle est de l'ordre de 250 à 300mètres.
BIBLIOGRAPHIE : Cf. fiche d'essai de St Genis-sur-Menthon (Ain)
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
CROQU/S
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Limon argi/eux peusabieax,passages de nodu/esferro mangan iques
Argi/e jaune , panac/ie'e, àdominante rouiiie,très sabieuse
L'essai a pu être réalisé sur unaffleurement parfaitement sain grâceà l'importante excavation créée parl'autoroute en construction.L'horizon testé est bien représen¬tatif des marnes de Bresse.
A/ternance délitscentimétriques de sab/esfins, gris, faune, rouii/e
Cai//out/s dans matrice de sab/e f/n gr/s-jauneargi/eux de 0 max somm de roc/ies crista//op/iy/iennesavec très forte proport/on de quart^j , b/en rou/êRubé/aet/on importante
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Marne b/eue, compacte, p/ast/quef/aement //te'e
Cote 220.03 A/ûF toit marnes
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fond de foui//e
- 30 -
HYDROGEOLOGIE
A Peronnas, en limite Dombes/Bresse, les marnes de Bresse ont ététouchées à 12 m de profondeur et reconnues jusqu'à 60 m. On y trouvequelques niveaux sableux d'une épaisseur de l'ordre de 1 m et un niveauaquifère de 39 à 45 m dans un cailloutis hétérométrique et polygénique.La nappe est captive, ascendante, et le niveau s'établit à 28 m.
Le niveau de cailloutis intercalés dans les marnes de Bresse (mais cecin'a été mis en évidence que dans la zone méridionale de la Bresse et dans larégion Dombisque) n'est pas généralisé. Les sondages ne l'ont pas tous ren¬contré. Souvent on n'observe dans cette région que des niveaux sableux fins,plus ou moins argileux, avec débris ligniteux et aux ressources aquifères dis¬continues et très médiocres (par exemple à Mézériat à l'Ouest de Bourg).
Les niveaux aquifères, au sein des marnes de Bresse sont en tous cas trèsdiscontinus et leur extension et leur localisation très mal connues.
Les puits fermiers aux alentours de l'essai sont peu profonds et leurniveau piézométrique s'établit entre 1,50 et 2 m sous le sol. De très petitesvenues d'eau ont été observées au toit des marnes de Bresse saines, dans unmince niveau caillouteux à 4,50 m de profondeur.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Cf. feuille d'essai de St Genis-sur-Menthon (Ain).
ENVIRONNEMENT
Cf. fiche d'essai de St Genis-sur-Menthon.
RESULTATS
La Perméabilité mesurée est de : K = 2,3.10 m/s.
COMMENTAIRES
Ce coefficient de perméabilité est très proche de celui imposé par lacirculaire pour les sites de classe 1. Il n'en est éloigné que d'un peu plusd'un dixième d'une puissance de 10.
Les marnes de Bresse, sous réserve que les conditions hydrogéologiques etd'épaisseur soient remplies, peuvent convenir pour un dépôt de déchets indus¬triels de classe 1. L'épaisseur, malgré les intercalations sableuses ou parfoiscaillouteuses, est plus que satisfaisante. Les aquifères discontinus et deproductivité très médiocre contenus dans ces niveaux sablo-argileux nedevraient pas poser de problème insurmontable.
Les deux points négatifs résident dans la situation excentrée de laBresse dans la région, loin des gros centres industrielsj et dans l'environ¬nement; sans parler des inévitables levées de boucliers des élus et deshabitants.
- 30 -
HYDROGEOLOGIE
A Peronnas, en limite Dombes/Bresse, les marnes de Bresse ont ététouchées à 12 m de profondeur et reconnues jusqu'à 60 m. On y trouvequelques niveaux sableux d'une épaisseur de l'ordre de 1 m et un niveauaquifère de 39 à 45 m dans un cailloutis hétérométrique et polygénique.La nappe est captive, ascendante, et le niveau s'établit à 28 m.
Le niveau de cailloutis intercalés dans les marnes de Bresse (mais cecin'a été mis en évidence que dans la zone méridionale de la Bresse et dans larégion Dombisque) n'est pas généralisé. Les sondages ne l'ont pas tous ren¬contré. Souvent on n'observe dans cette région que des niveaux sableux fins,plus ou moins argileux, avec débris ligniteux et aux ressources aquifères dis¬continues et très médiocres (par exemple à Mézériat à l'Ouest de Bourg).
Les niveaux aquifères, au sein des marnes de Bresse sont en tous cas trèsdiscontinus et leur extension et leur localisation très mal connues.
Les puits fermiers aux alentours de l'essai sont peu profonds et leurniveau piézométrique s'établit entre 1,50 et 2 m sous le sol. De très petitesvenues d'eau ont été observées au toit des marnes de Bresse saines, dans unmince niveau caillouteux à 4,50 m de profondeur.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Cf. feuille d'essai de St Genis-sur-Menthon (Ain).
ENVIRONNEMENT
Cf. fiche d'essai de St Genis-sur-Menthon.
RESULTATS
La Perméabilité mesurée est de : K = 2,3.10 m/s.
COMMENTAIRES
Ce coefficient de perméabilité est très proche de celui imposé par lacirculaire pour les sites de classe 1. Il n'en est éloigné que d'un peu plusd'un dixième d'une puissance de 10.
Les marnes de Bresse, sous réserve que les conditions hydrogéologiques etd'épaisseur soient remplies, peuvent convenir pour un dépôt de déchets indus¬triels de classe 1. L'épaisseur, malgré les intercalations sableuses ou parfoiscaillouteuses, est plus que satisfaisante. Les aquifères discontinus et deproductivité très médiocre contenus dans ces niveaux sablo-argileux nedevraient pas poser de problème insurmontable.
Les deux points négatifs résident dans la situation excentrée de laBresse dans la région, loin des gros centres industrielsj et dans l'environ¬nement; sans parler des inévitables levées de boucliers des élus et deshabitants.
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ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Service Géologique RégionalRHONE-ALPES
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SITE DU GRAND SERRE
PLAN DE SITUATION
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FICHE D'ESSAI : LE GRAND SERRE
GEOLOGIE ; Carte géologique : BEAUREPAIRE
Symbole = OE Symbole de la carte géologique : OE'
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les limons qui recouvrent sur de vastes surfaces les plateaux deChambarran, région de l'essai, sont fins, argileux et siliceux. Ils sontpanachés, à dominante jaune et on y observe des petits amas de manganèse.Ils recouvrent les cailloutis et argiles de la formation dite "formationde Chambarran".
De toutes les formations limoneuses ou loessiques fréquentes dans larégion, c'est une des plus épaisses. Dans la zone des plateaux de Chambarran,ce limon de surface atteint plusieurs mètres, parfois plus de 10 mètres(en particulier dans le champ de tir).
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
CROQU/S
L/mon jaune panac/iè avec des nuages etpetits amas mangana- ferreux ,gra/nsde quarts .
Sec. // seréduit e/i poudre; /lamtde,i/ devient extremenient co/iont
Les affleurements visiblessont assez rares sur le pla¬teau. Cet endroit a été chois;car il ne nécessitait pasl'emploi d'un engin mécaniqueet une simple excavation de30 cm environ a permis detrouver la formation peu al¬térée.
FICHE D'ESSAI : LE GRAND SERRE
GEOLOGIE ; Carte géologique : BEAUREPAIRE
Symbole = OE Symbole de la carte géologique : OE'
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les limons qui recouvrent sur de vastes surfaces les plateaux deChambarran, région de l'essai, sont fins, argileux et siliceux. Ils sontpanachés, à dominante jaune et on y observe des petits amas de manganèse.Ils recouvrent les cailloutis et argiles de la formation dite "formationde Chambarran".
De toutes les formations limoneuses ou loessiques fréquentes dans larégion, c'est une des plus épaisses. Dans la zone des plateaux de Chambarran,ce limon de surface atteint plusieurs mètres, parfois plus de 10 mètres(en particulier dans le champ de tir).
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
CROQU/S
L/mon jaune panac/iè avec des nuages etpetits amas mangana- ferreux ,gra/nsde quarts .
Sec. // seréduit e/i poudre; /lamtde,i/ devient extremenient co/iont
Les affleurements visiblessont assez rares sur le pla¬teau. Cet endroit a été chois;car il ne nécessitait pasl'emploi d'un engin mécaniqueet une simple excavation de30 cm environ a permis detrouver la formation peu al¬térée.
- 35 -
HYDROGEOLOGIE
Il n'existe pas de puits dans les environs proches du lieu 'de l'essai. Lelimon de recouvrement ne recèle pas de nappe aquifère. Les niveaux miopliocènessous-jacents peuvent présenter, dans les horizons moins argileux et plus cail¬louteux, des circulations d'eau.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Les plateaux de Chan barran sont bien situés géographiquement par rapportaux centres industriels de Lyon, de Grenoble et de la vallée du Rhône. Cescentres n'en sont distants que d'environ 60 km. Dès la sortie des plateaux,les circulations sont faciles par les routes nationales et autoroutes.
ENVIRONNEMENT
Le plateau est pratiquement inhabité. Les premières habitations etvillages se répartissent sur son pourtour, sur les pentes ou dans lesvallées. Le plateau est couvert en majeure partie par des bois.
RESULTATS
La perméabilité mesurée est de 2,5.10~ m/s
COMMENTAIRES
Il n'est évidemment pas question de rechercher un site de déchargede classe 1 dans ces limons de recouvrement.
Un site de classe 2, par contre, peut probablement y être implanté.La perméabilité, l'épaisseur de la formation, l'environnement et la situationconstituent autant d'éléments favorables.
- 35 -
HYDROGEOLOGIE
Il n'existe pas de puits dans les environs proches du lieu 'de l'essai. Lelimon de recouvrement ne recèle pas de nappe aquifère. Les niveaux miopliocènessous-jacents peuvent présenter, dans les horizons moins argileux et plus cail¬louteux, des circulations d'eau.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Les plateaux de Chan barran sont bien situés géographiquement par rapportaux centres industriels de Lyon, de Grenoble et de la vallée du Rhône. Cescentres n'en sont distants que d'environ 60 km. Dès la sortie des plateaux,les circulations sont faciles par les routes nationales et autoroutes.
ENVIRONNEMENT
Le plateau est pratiquement inhabité. Les premières habitations etvillages se répartissent sur son pourtour, sur les pentes ou dans lesvallées. Le plateau est couvert en majeure partie par des bois.
RESULTATS
La perméabilité mesurée est de 2,5.10~ m/s
COMMENTAIRES
Il n'est évidemment pas question de rechercher un site de déchargede classe 1 dans ces limons de recouvrement.
Un site de classe 2, par contre, peut probablement y être implanté.La perméabilité, l'épaisseur de la formation, l'environnement et la situationconstituent autant d'éléments favorables.
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- 37 -
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
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ANALYSE GRANULOMETRIQUE
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- 38 -
SITE DE St ANTOINE
PLAN DE SITUATION
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- 39 -
FICHE D'ESSAI : ST ANTOINE (ISERE)
GEOLOGIE ; Carte géologique : ROMANS SUR ISERE
Symbole m, symbole de la carte géologique m2bs.
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE :
La molasse miocène occupe de très vastes étendues. Elle existe dans unetrès vaste zone au Sud-Est de Lyon. Elle présente de nombreux faciès allantdu sable peu ou pas consolidé au conglomérat dur et très consolidé. Nous avonsrecherché, pour l'essai, un faciès sableux, peu consolidé, largement représen¬tatif de la formation.
Ce faciès, prédominant dans la partie nord-Ouest de la feuille Romainset sur la feuille voisine Beaurepaire, y est visible en de très nombreuxaffleurements.
Dnas la zone choisie pour l'essai, l'épaisseur du niveau sablo-gréseuxest très important, près de 500 mètres. A l'endroit précis de l'essai, lesniveaux gréseux sont pratiquement inexistants.
BIBLIOGRAPHIE DEMARCQ G. (1970). Etude stratigraphique du miocène rhodanienMém. BRGM N° 61.D. ROUSSELOT - H. GUDEFIN - J..PUTALLAZ . Etude hydrogéolo¬gique de la molasse du Bas-Dauphiné entre le Rhône et l'Isère.Rapport BRGM N° 78 SGN 225 JAL.
GEOLOGIE DU SITE
CROQU/S
Sab/e be/ge, peuconso//dê,suffisamment cependantpour obtenir un ta/ ussubvert/ca/ . On observeZ strat/f/cat/ons d/ffe'rentes :
_ /a par t/e supérieure ,sub/tor/¡onta/e , repose end/scordance sur /a part/einfér/eure , /e'gérement pente'eformant un b/seou
Un pet/ t banc de 5cm de pu/ssaace. unpeu p/usconso//dé, mois s 'écrasant cependant sous /apress/on de ta main
OBSERVATIONS
Malgré l'abondance des affleu¬rements, les endroits pro¬pices à l'essai sont peunombreux. La molasse affleureen effet sous la forme defalaises plus ou moins hautes.L'éperon assez plat formé àl'intérieur d'un virage serréde la petite route a permisune implantation facile del'appareil.
- 39 -
FICHE D'ESSAI : ST ANTOINE (ISERE)
GEOLOGIE ; Carte géologique : ROMANS SUR ISERE
Symbole m, symbole de la carte géologique m2bs.
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE :
La molasse miocène occupe de très vastes étendues. Elle existe dans unetrès vaste zone au Sud-Est de Lyon. Elle présente de nombreux faciès allantdu sable peu ou pas consolidé au conglomérat dur et très consolidé. Nous avonsrecherché, pour l'essai, un faciès sableux, peu consolidé, largement représen¬tatif de la formation.
Ce faciès, prédominant dans la partie nord-Ouest de la feuille Romainset sur la feuille voisine Beaurepaire, y est visible en de très nombreuxaffleurements.
Dnas la zone choisie pour l'essai, l'épaisseur du niveau sablo-gréseuxest très important, près de 500 mètres. A l'endroit précis de l'essai, lesniveaux gréseux sont pratiquement inexistants.
BIBLIOGRAPHIE DEMARCQ G. (1970). Etude stratigraphique du miocène rhodanienMém. BRGM N° 61.D. ROUSSELOT - H. GUDEFIN - J..PUTALLAZ . Etude hydrogéolo¬gique de la molasse du Bas-Dauphiné entre le Rhône et l'Isère.Rapport BRGM N° 78 SGN 225 JAL.
GEOLOGIE DU SITE
CROQU/S
Sab/e be/ge, peuconso//dê,suffisamment cependantpour obtenir un ta/ ussubvert/ca/ . On observeZ strat/f/cat/ons d/ffe'rentes :
_ /a par t/e supérieure ,sub/tor/¡onta/e , repose end/scordance sur /a part/einfér/eure , /e'gérement pente'eformant un b/seou
Un pet/ t banc de 5cm de pu/ssaace. unpeu p/usconso//dé, mois s 'écrasant cependant sous /apress/on de ta main
OBSERVATIONS
Malgré l'abondance des affleu¬rements, les endroits pro¬pices à l'essai sont peunombreux. La molasse affleureen effet sous la forme defalaises plus ou moins hautes.L'éperon assez plat formé àl'intérieur d'un virage serréde la petite route a permisune implantation facile del'appareil.
- 40 -
HYDROGEOLOGIE
La molasse dans son ensemble, constitue un très vaste réservoir. Cependant,il est discontinu et plus ponctuellement on distingue de petites nappeslocales qui donnent naissance à des sources de faible débit. Les niveauxaquifères contenus dans la molasse sableuse, sont à des profondeurs trèsvariables selon les endroits. A l'endroit de l'essai, aLCun renseignement nepermet de savoir si une nappe existe, ni a fortiori, sa profondeur.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Le site de l'essai se situe dans la partie méridionale de la régionRhône-Alpes. S'il est un peu éloigné de Lyon, il est proche de Romans,de Valence, de Tournon (moins de 50 kilomètres) et à environ 60 km deGrenoble. Les accès sont faciles par la plaine de Valence et la vallée del'Isère.
ENVIRONNEMENT
Les alentours du lieu de l'essai, accidentés, sont constitués de boiset de prairies. D'assez nombreuses fermes éparses, isolées, s'accrochentsur les pentes, la plus proche se situant à 150 mètres.
RESULTATS
La perméabilité est de 5,4.10" m/s
COMMENTAIRES
Ce résultat peut paraître surprenant, mais a été constaté en de nombreu X
sites (Lyon Part Dieu par exemple). La molasse a des perméabilités en pompage de
10 à 10 m/s, mais a des perméabilités apparentes en injection de 10~ à-8
10 m/s. Ceci est encore mal expliqué mais est dû vraisemblablement à des
questions d'arrangement des grains fins créant une sorte d'effet-clapet
auquel il ne faut pas se fier. Des recherches sur ce phénomène vont êtreentreprises par ailleurs.
- 40 -
HYDROGEOLOGIE
La molasse dans son ensemble, constitue un très vaste réservoir. Cependant,il est discontinu et plus ponctuellement on distingue de petites nappeslocales qui donnent naissance à des sources de faible débit. Les niveauxaquifères contenus dans la molasse sableuse, sont à des profondeurs trèsvariables selon les endroits. A l'endroit de l'essai, aLCun renseignement nepermet de savoir si une nappe existe, ni a fortiori, sa profondeur.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Le site de l'essai se situe dans la partie méridionale de la régionRhône-Alpes. S'il est un peu éloigné de Lyon, il est proche de Romans,de Valence, de Tournon (moins de 50 kilomètres) et à environ 60 km deGrenoble. Les accès sont faciles par la plaine de Valence et la vallée del'Isère.
ENVIRONNEMENT
Les alentours du lieu de l'essai, accidentés, sont constitués de boiset de prairies. D'assez nombreuses fermes éparses, isolées, s'accrochentsur les pentes, la plus proche se situant à 150 mètres.
RESULTATS
La perméabilité est de 5,4.10" m/s
COMMENTAIRES
Ce résultat peut paraître surprenant, mais a été constaté en de nombreu X
sites (Lyon Part Dieu par exemple). La molasse a des perméabilités en pompage de
10 à 10 m/s, mais a des perméabilités apparentes en injection de 10~ à-8
10 m/s. Ceci est encore mal expliqué mais est dû vraisemblablement à des
questions d'arrangement des grains fins créant une sorte d'effet-clapet
auquel il ne faut pas se fier. Des recherches sur ce phénomène vont êtreentreprises par ailleurs.
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- 42 -
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Service Géologique RégionalRHONE-ALPES
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SITE DE CHALAIN le COMTAL
PLAN DE SITUATION
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- 44 -
FICHE D'ESSAI : CHALAIN-LE-COMTAL (Loire)
GEOLOGIE ; Carte géologique : MONTBRISON
Symbole : gm Symbole de lacarte géologique : (gm)
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE :
Mêmes remarques que pour le premier essai de CHALAIN-LE-COMTAL.
(rapport N° 82 SGN 987 RHA).
On trouvera sur la fiche du 1er essai, les références bibliographiques.
GEOLOGIE DU SITE
CROQU/S
TV.
¿/;23,- Sab/e arg//o-^?r terreux brun
Arg//e verte, compacte . p/astique. tiomogene.Que/ques petits points ou amas /igniteu)e ,
Très rares petits ga/ets Ci^2cm > de roc/iescr/stallop/iy//ennes .
Pas destratif/cat/on v/s/bie à/'oe//nu.
OBSERVATIONS
Ce point précis n'a pas étéchoisi pour une raisonparticulière. Simplementles marnes vertes apparais¬saient au fond d'un petitfossé d'évacuation, dans unpré. Un décapage manuel à lapelle et la pioche suffisaitdonc.
- 44 -
FICHE D'ESSAI : CHALAIN-LE-COMTAL (Loire)
GEOLOGIE ; Carte géologique : MONTBRISON
Symbole : gm Symbole de lacarte géologique : (gm)
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE :
Mêmes remarques que pour le premier essai de CHALAIN-LE-COMTAL.
(rapport N° 82 SGN 987 RHA).
On trouvera sur la fiche du 1er essai, les références bibliographiques.
GEOLOGIE DU SITE
CROQU/S
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¿/;23,- Sab/e arg//o-^?r terreux brun
Arg//e verte, compacte . p/astique. tiomogene.Que/ques petits points ou amas /igniteu)e ,
Très rares petits ga/ets Ci^2cm > de roc/iescr/stallop/iy//ennes .
Pas destratif/cat/on v/s/bie à/'oe//nu.
OBSERVATIONS
Ce point précis n'a pas étéchoisi pour une raisonparticulière. Simplementles marnes vertes apparais¬saient au fond d'un petitfossé d'évacuation, dans unpré. Un décapage manuel à lapelle et la pioche suffisaitdonc.
- 45 -
HYDROGEOLOGIE
Les remarques notées sur la fiche du 1er essai sont applicables à celui-ci -
Les habitations sont très éloignées du site (la plus proche est à environ1 km), et l'eau dans leurs puits se trouve entre 3 et 5 mètres sous le sol.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Cf. fiche du 1er essai,
(rapport N^ 82 SGN 987 RHA)
ENVIRONNEMENT
Cf. fiche du 1er essai,
(rapport N" 82 SGN 987 RHA)
RESULTATS
.-9Le coefficient de perméabilité est de K = 2.10 m/s.
COMMENTAIRES
Corn me il est indiqué sur la fiche du 1er essai réalisé en janvier 1983, lesargiles oligomiocènes du 4ème étage (thèse Duelos) présentent une fractionsableuse plus ou moins importante selon les endroits et cela peut entrainerdes petites différences de perméabilité ponctuellement.
La perméabilité trouvée, 2.10 m/s, plus faible de 1/10 d'une puissancede 10 que celle du 1er essai, elle permet le dépôt des déchets de classe 2 defaçon plus que satisfaisante. Les argiles peuvent sans doute, sous réserve queles autres conditions (épaisseur, hydrogéoiogie ), soient remplies, recevoirmême des déchets industriels entrant dans la classe 1.
C'est en tout cas, un des deux essais dont le résultat est le plus prochede celui imposé par la circulaire ministérielle pour les déchets de classe 1.
- 45 -
HYDROGEOLOGIE
Les remarques notées sur la fiche du 1er essai sont applicables à celui-ci -
Les habitations sont très éloignées du site (la plus proche est à environ1 km), et l'eau dans leurs puits se trouve entre 3 et 5 mètres sous le sol.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Cf. fiche du 1er essai,
(rapport N^ 82 SGN 987 RHA)
ENVIRONNEMENT
Cf. fiche du 1er essai,
(rapport N" 82 SGN 987 RHA)
RESULTATS
.-9Le coefficient de perméabilité est de K = 2.10 m/s.
COMMENTAIRES
Corn me il est indiqué sur la fiche du 1er essai réalisé en janvier 1983, lesargiles oligomiocènes du 4ème étage (thèse Duelos) présentent une fractionsableuse plus ou moins importante selon les endroits et cela peut entrainerdes petites différences de perméabilité ponctuellement.
La perméabilité trouvée, 2.10 m/s, plus faible de 1/10 d'une puissancede 10 que celle du 1er essai, elle permet le dépôt des déchets de classe 2 defaçon plus que satisfaisante. Les argiles peuvent sans doute, sous réserve queles autres conditions (épaisseur, hydrogéoiogie ), soient remplies, recevoirmême des déchets industriels entrant dans la classe 1.
C'est en tout cas, un des deux essais dont le résultat est le plus prochede celui imposé par la circulaire ministérielle pour les déchets de classe 1.
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- 47 -
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Service Géologique RégionalRHONE-ALPES
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- 47 -
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
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SITE DE BARRAUX
PLAN DE SITUATION
Ech.1/25OOO
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- 49 -
FICHE D'ESSAI : BARRAUX (Isère).
GEOLOGIE ; Carte géologique : MONTMELIAN
Symbole JN, symbole de la carte géologique : J2-4
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Voir rapport N'' 82 SGN 987 RHA,
GEOLOGIE DU SITE
CROQ.U/S
Terre ie'gerement argi/eusegrfse avec petits èiémentssc/t/steux
Terres noires"Sc/tisies très orgiieuxgris noir en piaçuettesépaisses de qg.mm à 2cm;ie'ger pendage .
Observations
Le 1er essai a été réalisé les 293t 30 septembre 1982 sur un
terrain trop superficiel et tropa'.téré.
Le 2ème essai correspondant àl'endroit dessiné ci-contre a étéeffectué dans un terrain sain.
Ce deuxième essai a lui-même faitl'objet de 2 essais :
- le 1er, le 7 septembre 1983avec l'appareil à petits tubes.
- le 2ème, dans la nuit du 7 au8, et le 8 septembre avec l'ap¬
pareil équipé des gros tubes.
Une pelle mécanique a été néces¬saire pour creuser suffisamentjusqu'au terrain non altéré.
- 49 -
FICHE D'ESSAI : BARRAUX (Isère).
GEOLOGIE ; Carte géologique : MONTMELIAN
Symbole JN, symbole de la carte géologique : J2-4
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Voir rapport N'' 82 SGN 987 RHA,
GEOLOGIE DU SITE
CROQ.U/S
Terre ie'gerement argi/eusegrfse avec petits èiémentssc/t/steux
Terres noires"Sc/tisies très orgiieuxgris noir en piaçuettesépaisses de qg.mm à 2cm;ie'ger pendage .
Observations
Le 1er essai a été réalisé les 293t 30 septembre 1982 sur un
terrain trop superficiel et tropa'.téré.
Le 2ème essai correspondant àl'endroit dessiné ci-contre a étéeffectué dans un terrain sain.
Ce deuxième essai a lui-même faitl'objet de 2 essais :
- le 1er, le 7 septembre 1983avec l'appareil à petits tubes.
- le 2ème, dans la nuit du 7 au8, et le 8 septembre avec l'ap¬
pareil équipé des gros tubes.
Une pelle mécanique a été néces¬saire pour creuser suffisamentjusqu'au terrain non altéré.
50 -
HYDROGEOLOGIE
Voir rapport N° 82 SGN 987 RHA.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Idem.
ENVIRONNEMENT
Idem.
RESULTATS
La perméabilité obtenue oscille entre 1,5 et 2,8.10" m/s, soit environ
2.10"^ m/s.
COMMENTAIRES
Cette perméabilité est représentative de l'horizon testé car elles'applique à un terrain sain. Elle est plus faible de une puissance de10 de celle trouvée lors du premier essai.
Il n'en reste pas moins vrai que les terres noires ne peuvent convenirpour un site de classe 1, mais entrent dans les normes de perméabilité dessites de classe 2.
50 -
HYDROGEOLOGIE
Voir rapport N° 82 SGN 987 RHA.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Idem.
ENVIRONNEMENT
Idem.
RESULTATS
La perméabilité obtenue oscille entre 1,5 et 2,8.10" m/s, soit environ
2.10"^ m/s.
COMMENTAIRES
Cette perméabilité est représentative de l'horizon testé car elles'applique à un terrain sain. Elle est plus faible de une puissance de10 de celle trouvée lors du premier essai.
Il n'en reste pas moins vrai que les terres noires ne peuvent convenirpour un site de classe 1, mais entrent dans les normes de perméabilité dessites de classe 2.
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SITE DE POUILLY sous CHARLIEU
PLAN DE SITUATION
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Emplacement de fessai -Goda
- 54 -
FICHE D'ESSAI : POUILLY-SOUS-CHARLIEU (42) -;
GEOLOGIE : Carte géologique : ROANNE
Symbole gm, symbole de la carte géologique m'
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les argiles oligocènes s'étalent largement de part et d'autre de laplaine alluviale de la Loire au Nord de Roanne. Elles sont largement ex¬ploitées pour la tuilerie.
Ce sont des argiles à stratification entrecroisée, présentant desalternances décimétriques ou métriques d'argile et de sable plus ou moinsargileux. Dans la zone de l'essai, l'argile ne présente pas de stratificationet un niveau sablo-caillouteux existe entre 5 et 10 mètres de profondeur.
La kaolinite, la smectite et l'illite s'y trouvent en quantité à peuprès égale.
L'ensemble est puissant. Un sondage à Roanne l'a reconnu sur près de200 mètres d'épaisseur.
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
CROQUIS
Le site a été choisi en raison dela facilité de mise en oeuvre;argile affleurante, accès facile..Un simple décapage superficiel àla main a été suffisant.
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I a 60 m
L11
Un /it discontinu d'un paie'osoiferro-manganique de 5 à 20cm d 'ép. ,vers o.so m de prof, constitué denoduies noirs enrobés d 'argiie
Arg//e panac/iée , â dominante bieue, compacte,plastique . sans Utage ,rji stratif/cat/on
£xpio/tat/onen cours
- 54 -
FICHE D'ESSAI : POUILLY-SOUS-CHARLIEU (42) -;
GEOLOGIE : Carte géologique : ROANNE
Symbole gm, symbole de la carte géologique m'
CONTEXTE GEOLOGIQUE DE LA FORMATION TESTEE ;
Les argiles oligocènes s'étalent largement de part et d'autre de laplaine alluviale de la Loire au Nord de Roanne. Elles sont largement ex¬ploitées pour la tuilerie.
Ce sont des argiles à stratification entrecroisée, présentant desalternances décimétriques ou métriques d'argile et de sable plus ou moinsargileux. Dans la zone de l'essai, l'argile ne présente pas de stratificationet un niveau sablo-caillouteux existe entre 5 et 10 mètres de profondeur.
La kaolinite, la smectite et l'illite s'y trouvent en quantité à peuprès égale.
L'ensemble est puissant. Un sondage à Roanne l'a reconnu sur près de200 mètres d'épaisseur.
GEOLOGIE DU SITE
OBSERVATIONS
CROQUIS
Le site a été choisi en raison dela facilité de mise en oeuvre;argile affleurante, accès facile..Un simple décapage superficiel àla main a été suffisant.
£ssaiSoi decape de Sa T-i/-
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Un /it discontinu d'un paie'osoiferro-manganique de 5 à 20cm d 'ép. ,vers o.so m de prof, constitué denoduies noirs enrobés d 'argiie
Arg//e panac/iée , â dominante bieue, compacte,plastique . sans Utage ,rji stratif/cat/on
£xpio/tat/onen cours
- 55 -
HYDROGEOLOGIE
Dans la région au Nord de Roanne où les argiles sont présentes, lesniveaux d'eau dans les ouvrages sont à quelques mètres sous le sol, siles argiles sont elle-mêmes un peu profondes. Lorsque les argiles sontsub-affleurentes, comme ici^il peut exister des aquifères plus profondsà la faveur de niveaux sableux ou caillouteux. C'est le cas pour ce siteoù un niveau d'eau se stabilise à 20 m sous le sol.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Site assez mal situé en regard de la région. Les centres industrielsstéphanois et lyonnais, sont encore à des distances acceptables, maisceux situés dans les parties orientales et méridionales sont trop éloignés.
ENVIRONNEMENT
L'habitat est clairsemé, mais cependant assez dense. Nombreuses habitationsou groupes d'habitations éparses au milieu de prairies séparées par deshaies vives.
RESULTATS
Le coefficient de perméabilité obtenu est de : K = 2,1.10~ m/s
COMMENTAIRES
Ce coefficient n'est pas à considérer comme une valeur précise àappliquer à toute la formation. Des essais de perméabilité réalisés àMably, ont donné des valeurs de 5.10" ws dans ces argiles oligocèneset, toujours ¿sur ces mêmes argiles mais légèrement compactées, on aobtenu 6.10 . m/s.
Un dépôt de déchets de classe 2 est tout à fait envisageable danscette formation.
- 55 -
HYDROGEOLOGIE
Dans la région au Nord de Roanne où les argiles sont présentes, lesniveaux d'eau dans les ouvrages sont à quelques mètres sous le sol, siles argiles sont elle-mêmes un peu profondes. Lorsque les argiles sontsub-affleurentes, comme ici^il peut exister des aquifères plus profondsà la faveur de niveaux sableux ou caillouteux. C'est le cas pour ce siteoù un niveau d'eau se stabilise à 20 m sous le sol.
SITUATION DU SITE DANS LE CONTEXTE INDUSTRIEL REGIONAL
Site assez mal situé en regard de la région. Les centres industrielsstéphanois et lyonnais, sont encore à des distances acceptables, maisceux situés dans les parties orientales et méridionales sont trop éloignés.
ENVIRONNEMENT
L'habitat est clairsemé, mais cependant assez dense. Nombreuses habitationsou groupes d'habitations éparses au milieu de prairies séparées par deshaies vives.
RESULTATS
Le coefficient de perméabilité obtenu est de : K = 2,1.10~ m/s
COMMENTAIRES
Ce coefficient n'est pas à considérer comme une valeur précise àappliquer à toute la formation. Des essais de perméabilité réalisés àMably, ont donné des valeurs de 5.10" ws dans ces argiles oligocèneset, toujours ¿sur ces mêmes argiles mais légèrement compactées, on aobtenu 6.10 . m/s.
Un dépôt de déchets de classe 2 est tout à fait envisageable danscette formation.
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- 57
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Service Géologique RégionalRHONE-ALPES
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ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Service Géologique RégionalRHONE-ALPES
Référence :â.
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- 58
7 - SYNIHESE_DES_RESyLIAT|_DES_DEyX_.ÇA|ÇAGNES_D^|S|A|
Sur le tableau ci-après, apparaissent les résultats des perméabilités
mesurées et les identifications de laboratoire des différentes formations
testées.
Le seuil de 1.10 m/s; valeur de perméabilité requise par la circulaire
pour l'implantation d'une décharge de déchets industriels de classe 1,
n'est atteint par aucune formation.
Cependant, deux d'entre elles ont un coefficient de perméabilité très
proche de ce seuil; ce sont les argiles tertiaires de la plaine du Forez
(Chalain-le-Comtal), et les marnes oligocènes de Bresse (Viriat). Il s'en
faut d'à peine un peu plus du dixième d'une puissance de 10 pour que ce
seuil soit atteint. Une troisième formation, les argiles pliocenes testées
à Beausemblant (Le Chañas), n'en est éloigné que d'une demi puissance
de 10.
_9La circulaire précise que ce seuil de 10 peut être abaissé sous
réserve que les critères suivants existent : "grande épaisseur de la for¬
mation à faible perméabilité, faible importance des ressources aquifères
souterraines, topographie locale permettant un drainage et une évacuation
des eaux vers une zone non sensible".
Pour les 2 ou 3 formations précitées, 2 des critères nécessaires
paraissent être satisfaits en première analyse, le troisième critère
ne pouvant intervenir que lors du choix ponctuel du site.
- 58
7 - SYNIHESE_DES_RESyLIAT|_DES_DEyX_.ÇA|ÇAGNES_D^|S|A|
Sur le tableau ci-après, apparaissent les résultats des perméabilités
mesurées et les identifications de laboratoire des différentes formations
testées.
Le seuil de 1.10 m/s; valeur de perméabilité requise par la circulaire
pour l'implantation d'une décharge de déchets industriels de classe 1,
n'est atteint par aucune formation.
Cependant, deux d'entre elles ont un coefficient de perméabilité très
proche de ce seuil; ce sont les argiles tertiaires de la plaine du Forez
(Chalain-le-Comtal), et les marnes oligocènes de Bresse (Viriat). Il s'en
faut d'à peine un peu plus du dixième d'une puissance de 10 pour que ce
seuil soit atteint. Une troisième formation, les argiles pliocenes testées
à Beausemblant (Le Chañas), n'en est éloigné que d'une demi puissance
de 10.
_9La circulaire précise que ce seuil de 10 peut être abaissé sous
réserve que les critères suivants existent : "grande épaisseur de la for¬
mation à faible perméabilité, faible importance des ressources aquifères
souterraines, topographie locale permettant un drainage et une évacuation
des eaux vers une zone non sensible".
Pour les 2 ou 3 formations précitées, 2 des critères nécessaires
paraissent être satisfaits en première analyse, le troisième critère
ne pouvant intervenir que lors du choix ponctuel du site.
59
SITES Faciès de laformation.
*S d'argile 3ur la J Indice de JTeneur en J JK en m/s ^^courbe granulome- ^ plasticité^eau natu- ^^ Densité , Porosité
^jtriquè. ^ ^^relle. ^ sèche. , totale.
il
Beausemblant(ancienne tui¬lerie)
Argile limoneuse 2.5 1020 12 21,4 % 1,69
St Ours Marnes dans mo¬lasse argilo¬limoneuse.
5.8 10 22 % 12 23,5 1,57
36
Beausemblant(La Chañas)
Chalain-le-Comtal
* Argile limoneuse **
* Argile très plas- ** tique. *
5.5 10'
3.10"^
g-M-
*
*
*
36 %
78 %
*
*
*
*
19
82
*
*15,1%
49,6 %
1,58
1,12
40 %
58 %
41
Hontmiral Argile peu limo¬neuse.
2.4 10?T 40 S 21 13,2 S 1,85 30 %
Arthemonay * Argile limoneuse* peu plastique.
9 10 28 19,3 r. 1,67 37 %
La Répara Argile limoneuse 1.6 10 28 16 8,5 2,13 20
St Vincent deBarrés.
* Marno-calcaire 2.2 10" 3,4 S 2,37
?T
11
Barsac Schistes argi¬leux.
9.7 10 10,1 % 2,11 20 %
St Martin deClelles
Schistes argi¬leux.
2.10
Barraux ^schistes argileux ^ 2.10"
4,2 S
5,7 %
2,41
2,26 15
Bouvesse -Quirieu
* Calcaires lités3.10-7 Identification en *laboratoire/ non justifié matériaux rocheux.
4-
i*-
-f
4
*
*
-f
+
*
1
1
Ferrières
Poisy
St Genis surMenthon.
Uiriat
Le Grand Serre
St Antoine
Chalain-le-Comtal
Barraux
Pouilly-sous-Charlieu.
Gris tendre, légè-*rement friable.
Limon sableux
* Limon argileux* peu plastique
* Marne. argileuse^ glastiguS.
Limon peu argileux
Sable gréséifiéfriable.
*
*
*
*
*
Argile plastique *légèrement sableuse*
Schistes argileux
Limon argileuxplastique.
*
*
*
I.IC
1.7
4.4
2.3
2.5
5.4
-^
10-^
10-^
10-^
10"'
10"'
_92.10
2.10"'
2.1 10"^
*
*
#
*
*
*
*
*
*
*
»
PasSt
d'analyse en ^laboratoire^Antoine, davantdge consolidé.
23 %
35 %
57 %
24 %
-c 10 S
46 %
43 %
*
*
^
*
*
*
*
10
7
28_
12
32
20
*
*
«
*
*
*
*
*
*
matériau
10,7 %
18,5 %
30,3 %
15,1 %
4,1 %
23,6 %
1,7 Si
24,7 %
similaire à*
*
-II-
*
*
4*-
*
*
*
*
*
2,02
1,75
1,48
1,53
1,79
1,60
2,26
1,'-H
i^c
*
*
*
*
*
*
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^
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24 %
34 %
44 %
42 %
32 %
40 %
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47 %
*
*
*
*
*
*
*
59
SITES Faciès de laformation.
*S d'argile 3ur la J Indice de JTeneur en J JK en m/s ^^courbe granulome- ^ plasticité^eau natu- ^^ Densité , Porosité
^jtriquè. ^ ^^relle. ^ sèche. , totale.
il
Beausemblant(ancienne tui¬lerie)
Argile limoneuse 2.5 1020 12 21,4 % 1,69
St Ours Marnes dans mo¬lasse argilo¬limoneuse.
5.8 10 22 % 12 23,5 1,57
36
Beausemblant(La Chañas)
Chalain-le-Comtal
* Argile limoneuse **
* Argile très plas- ** tique. *
5.5 10'
3.10"^
g-M-
*
*
*
36 %
78 %
*
*
*
*
19
82
*
*15,1%
49,6 %
1,58
1,12
40 %
58 %
41
Hontmiral Argile peu limo¬neuse.
2.4 10?T 40 S 21 13,2 S 1,85 30 %
Arthemonay * Argile limoneuse* peu plastique.
9 10 28 19,3 r. 1,67 37 %
La Répara Argile limoneuse 1.6 10 28 16 8,5 2,13 20
St Vincent deBarrés.
* Marno-calcaire 2.2 10" 3,4 S 2,37
?T
11
Barsac Schistes argi¬leux.
9.7 10 10,1 % 2,11 20 %
St Martin deClelles
Schistes argi¬leux.
2.10
Barraux ^schistes argileux ^ 2.10"
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2,41
2,26 15
Bouvesse -Quirieu
* Calcaires lités3.10-7 Identification en *laboratoire/ non justifié matériaux rocheux.
4-
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4
*
*
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*
1
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Ferrières
Poisy
St Genis surMenthon.
Uiriat
Le Grand Serre
St Antoine
Chalain-le-Comtal
Barraux
Pouilly-sous-Charlieu.
Gris tendre, légè-*rement friable.
Limon sableux
* Limon argileux* peu plastique
* Marne. argileuse^ glastiguS.
Limon peu argileux
Sable gréséifiéfriable.
*
*
*
*
*
Argile plastique *légèrement sableuse*
Schistes argileux
Limon argileuxplastique.
*
*
*
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1.7
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*
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d'analyse en ^laboratoire^Antoine, davantdge consolidé.
23 %
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*
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*
*
*
*
*
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matériau
10,7 %
18,5 %
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15,1 %
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23,6 %
1,7 Si
24,7 %
similaire à*
*
-II-
*
*
4*-
*
*
*
*
*
2,02
1,75
1,48
1,53
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2,26
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*
*
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*
*
*
*
*
*
*
- 60
8 - CONCLUSIONS
Sur les 16 formations ayant fait l'objet d'une recherche de leur
perméabilité, 2, ou à la rigueur 3, sont, a priori, susceptibles de
recevoir des déchets industriels de classe 1. Leur situation géographique
dans la région Rhône-Alpes, en regard des plus importants centres indus¬
triels producteurs de déchets, n'est malheureusement pas des plus fa¬
vorables.
Si, cependant, une recherche de sites de décharge est entreprise dans
ces formations, il sera bien évidemment nécessaire d'effectuer de nouveaux
essais de perméabilité in situ, sans parler des travaux complémentaires
indispensables (sondages, études de faisabilité et d'impact ...) sur le
ou les sites ponctuels choisis.
- 60
8 - CONCLUSIONS
Sur les 16 formations ayant fait l'objet d'une recherche de leur
perméabilité, 2, ou à la rigueur 3, sont, a priori, susceptibles de
recevoir des déchets industriels de classe 1. Leur situation géographique
dans la région Rhône-Alpes, en regard des plus importants centres indus¬
triels producteurs de déchets, n'est malheureusement pas des plus fa¬
vorables.
Si, cependant, une recherche de sites de décharge est entreprise dans
ces formations, il sera bien évidemment nécessaire d'effectuer de nouveaux
essais de perméabilité in situ, sans parler des travaux complémentaires
indispensables (sondages, études de faisabilité et d'impact ...) sur le
ou les sites ponctuels choisis.
- 61 -
ANNEXE
FICHES DE RECONNAISSANCE DES DIX
SITES D'ESSAI-
- 61 -
ANNEXE
FICHES DE RECONNAISSANCE DES DIX
SITES D'ESSAI-
Cl-TT.* ...^...AJ
<ID
CO
- 62 -
DEPARTEMENT î I^HRGCOMMUNE: ^ouVE'sJe -c?*^<f<ieULIEU DIT : C<wu'tAe>iCOORDONNEES : X = S i 3 - 6 f
CARTE AU 1/25.COO :
êJ^i-J-AV __ _ ZOP_ _/_5 _ _
Y= "35.-^^ Z= ¿53^:-
§";
a:oCO
a.
NATURE DU SITE : CoJ\Mth.t, ;\et£/vw~vv,*..^ir £jMv,wU.,,w^tû.
ACCÈS : l^ir^t- (A^üLcc-t/k CI- Cüv. LOJv<S.¿f^Ji~
i -
q:LU
o
by^
PROPRIÉTAIRE : NOM l^î'v^t.Ve^AA. cU^
Adresse : j^^^o mohtacie-i/
Prénom :
Tel : (^4) -5? -15-^^3
Utilisateur : Nom
Adresse :
l ol8--v.^>^Prénom :
Tel :
, AyiQBlSÔIlQtLDlltlIEByELJllQbl : Alct^X v^t^M^.? ¿lt. n"^ ftftáf^cUfe 4 io j^v^'-* l^Xi
Carte géoudgique : Nom CH>^r\^ç R)^ N" :_A63__ Echelle :_Vai>_cLûii._.Formation étudiée : iU^tuiACA ¿«'H-e/> fíi^ Ji^oU^c^ >vvM|4VeA^) . .
Symbole : J6 f36cc:UlttJ¿íí^Wi'^e^) Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : t«aai. \yt'^>iJc épaisseur : 0,05 m.
Niveau piézométrique : ^]^-Jl^Y"*4^ nxuw^ v<vKMe/» el '<uv^ 'w/vÍía oU-^^M^t; yt^^'i^^
LU
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- 62 -
DEPARTEMENT î I^HRGCOMMUNE: ^ouVE'sJe -c?*^<f<ieULIEU DIT : C<wu'tAe>iCOORDONNEES : X = S i 3 - 6 f
CARTE AU 1/25.COO :
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Y= "35.-^^ Z= ¿53^:-
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NATURE DU SITE : CoJ\Mth.t, ;\et£/vw~vv,*..^ir £jMv,wU.,,w^tû.
ACCÈS : l^ir^t- (A^üLcc-t/k CI- Cüv. LOJv<S.¿f^Ji~
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PROPRIÉTAIRE : NOM l^î'v^t.Ve^AA. cU^
Adresse : j^^^o mohtacie-i/
Prénom :
Tel : (^4) -5? -15-^^3
Utilisateur : Nom
Adresse :
l ol8--v.^>^Prénom :
Tel :
, AyiQBlSÔIlQtLDlltlIEByELJllQbl : Alct^X v^t^M^.? ¿lt. n"^ ftftáf^cUfe 4 io j^v^'-* l^Xi
Carte géoudgique : Nom CH>^r\^ç R)^ N" :_A63__ Echelle :_Vai>_cLûii._.Formation étudiée : iU^tuiACA ¿«'H-e/> fíi^ Ji^oU^c^ >vvM|4VeA^) . .
Symbole : J6 f36cc:UlttJ¿íí^Wi'^e^) Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : t«aai. \yt'^>iJc épaisseur : 0,05 m.
Niveau piézométrique : ^]^-Jl^Y"*4^ nxuw^ v<vKMe/» el '<uv^ 'w/vÍía oU-^^M^t; yt^^'i^^
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i-I
co
2:o
uco
63 -
CARTE AU 1/25. COO :
DEPARTEMENT : l-\f\UrE b^VO^ECOMMUNE : FEafllEJfteslieu dit : ^'^ Fn^u^v^a î^e^ ^''
COORDONNEES : X = ^'i>^' BO
SET/SSÈ-L ^77/â
Y = >i^ ¿1 . ^o Z= ?'S¿"-
NATURE DU SITE :
USAGE :
ACCÈS :
CCLU
u
Q
U
luCO<
PROPRIÉTAIRE : NOM ^, \JH^^ Ir MCtR^lPRÉNOM : buwlAdresse : ro\A^'tr^t^ Tel : {^'Sa) ^ 6 > 0 ^ . sb
Utilisateur : Nom u. C^-^^x
Adresse :
Prénom :
Tel i
AuTQBiSmOtl-DlltlIEByEmQiil :
i\ft>>U \MjJUJI ôu tl'^ Vlb^T'iPiL 4 -i*^ wiii-H^gili
LU
CD
3oLU
Sa:Q>X
LU
CD
3oLULû
t/i
LU <CO ?>PQO
Carte GÉOLOGIQUE : Nom SE'ys.sTL N" :__&JJL_ Echelle -..^¿1.^2^^,Formation ÉTUDIÉE : l^o-ÎWe o^^ <^o-cL>^e. [A'w;i'« :c>*j . .
Symbole : /wu (^-^«'3 pW^ ¿^fe ^'<j¿)Classe lithostratigraphique : I i^ I
Formation de découverte : tLvu víto^U^ épaisseur :oa'¿),i m.
Niveau piézométrique : p..^ ^ .^..w^^^^..^.*^^?^5
Croquis
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CARTE AU 1/25. COO :
DEPARTEMENT : l-\f\UrE b^VO^ECOMMUNE : FEafllEJfteslieu dit : ^'^ Fn^u^v^a î^e^ ^''
COORDONNEES : X = ^'i>^' BO
SET/SSÈ-L ^77/â
Y = >i^ ¿1 . ^o Z= ?'S¿"-
NATURE DU SITE :
USAGE :
ACCÈS :
CCLU
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PROPRIÉTAIRE : NOM ^, \JH^^ Ir MCtR^lPRÉNOM : buwlAdresse : ro\A^'tr^t^ Tel : {^'Sa) ^ 6 > 0 ^ . sb
Utilisateur : Nom u. C^-^^x
Adresse :
Prénom :
Tel i
AuTQBiSmOtl-DlltlIEByEmQiil :
i\ft>>U \MjJUJI ôu tl'^ Vlb^T'iPiL 4 -i*^ wiii-H^gili
LU
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Carte GÉOLOGIQUE : Nom SE'ys.sTL N" :__&JJL_ Echelle -..^¿1.^2^^,Formation ÉTUDIÉE : l^o-ÎWe o^^ <^o-cL>^e. [A'w;i'« :c>*j . .
Symbole : /wu (^-^«'3 pW^ ¿^fe ^'<j¿)Classe lithostratigraphique : I i^ I
Formation de découverte : tLvu víto^U^ épaisseur :oa'¿),i m.
Niveau piézométrique : p..^ ^ .^..w^^^^..^.*^^?^5
Croquis
¿^.-Vn t Aiv-¿itft,uiAV^C?
1 , c /?
CO
- 64 -
CARTE AU 1/25.000 :
DEPARTEMENT : Hl^V^Tf- SAVOIE
commune : Po\s.ylieudit: ïlotc^JJl/ ^UrWv^i-i'cJt",
COORDONNEES : X = 88^^. ¿,?
i
g
ceuco
nature DU site : U mV<l
USAGE : t^ioco-wsAiWovA- /v^n¡s.<> Cc^^^..^,, -vwt t»-Vtn- c^ Çma/C-s^^
ACCÈS : e»trujUA^ ^ - V^ ÎH-té Ao-v*. bt
LU
ta
3oLU
g
X
LU
LD
3oLULD
propriétaire : Nom ^' ^ Va/uTî^a. eU. Prénom :
Adresse : Tel :
ce
aspect foncieUtilisateur ; Nom _ ;oU^._
Adresse :
AuiQBiSÔIlQtl_DlltlIEByEmQN : ^
Carte géologique : Nom s.6y«»SE
ttv^.cL
L
Prénom :
Tel : .
w^JUl cU ^^AiL^cu^ Sl i v^Oiir l'^ai
N° : 6 T'i; ECHELLE : -^/^OooûFormation étudiée : H^>\aà^-^ o^^^'^Uma^^ ^Symbole : LzC^/"- -^^^ «^^ ^'î^) Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : f^'u--V- épaisseur : ô^a m.
Niveau piézométrique : P^ oV sm.^^z V^^ >.
Croquis
lt;«A«. Y-J^ ( Rí~-Xiw^ ' J
LUCO
CO
^
u A^ Y^ 'CV ^*_ Ê'Vt- ^-<, CXA*v .<M- *vû-V
WlaA, û^ c*0^^«.t^_ ^ fjiCH.-'Ua.'S
CO
- 64 -
CARTE AU 1/25.000 :
DEPARTEMENT : Hl^V^Tf- SAVOIE
commune : Po\s.ylieudit: ïlotc^JJl/ ^UrWv^i-i'cJt",
COORDONNEES : X = 88^^. ¿,?
i
g
ceuco
nature DU site : U mV<l
USAGE : t^ioco-wsAiWovA- /v^n¡s.<> Cc^^^..^,, -vwt t»-Vtn- c^ Çma/C-s^^
ACCÈS : e»trujUA^ ^ - V^ ÎH-té Ao-v*. bt
LU
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3oLU
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X
LU
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3oLULD
propriétaire : Nom ^' ^ Va/uTî^a. eU. Prénom :
Adresse : Tel :
ce
aspect foncieUtilisateur ; Nom _ ;oU^._
Adresse :
AuiQBiSÔIlQtl_DlltlIEByEmQN : ^
Carte géologique : Nom s.6y«»SE
ttv^.cL
L
Prénom :
Tel : .
w^JUl cU ^^AiL^cu^ Sl i v^Oiir l'^ai
N° : 6 T'i; ECHELLE : -^/^OooûFormation étudiée : H^>\aà^-^ o^^^'^Uma^^ ^Symbole : LzC^/"- -^^^ «^^ ^'î^) Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : f^'u--V- épaisseur : ô^a m.
Niveau piézométrique : P^ oV sm.^^z V^^ >.
Croquis
lt;«A«. Y-J^ ( Rí~-Xiw^ ' J
LUCO
CO
^
u A^ Y^ 'CV ^*_ Ê'Vt- ^-<, CXA*v .<M- *vû-V
WlaA, û^ c*0^^«.t^_ ^ fjiCH.-'Ua.'S
I-cn
- 65 - :
carte au 3/25.000 :
departement : «^ i ncommune: ^TCENli %\JR KEMTHoh/ - b^^^i^NLIEU DIT ; UíCAAx>\e,r- "lí^: f^utct>^e.^iJ^"
coordonnées' : x' = SO^- i?0 Y= ^H- 21 Z= 'l^^'^oii
o
CCoCO
nature du 3ITE :
USAGE :
FoA'^ £a^Íae. ¿ cJ|k a/s.(v.Y-\
accès : PcxA,- (AA-^e, \rAÍ-ílÍ A-ü-<*.1J «^o-^oW'^'V'-^a-t-' J \i--\aX/\ à- 7-VC»-r-ÍA>^ e^Uu-yw^^^y-i
LD
3oLUCD
CO
propriétaire : Nom
Adresse :H e^ tM^oltr
Prénom
Tel :
ocLUH-4
2O
uLUa.
LU
LD
3oLU
X
Utilisateur :
Adresse :
le I Aj'UA*''^ YchCrtX. Prénom ;
Tel :
AyiQBlS^IlQOlltlIEByENIlQtJ : Art ^4 vîa^ oL j^Mj^'/b^Xt ^< i'="Lvu{C^^ -i^i'i.
Carte Géologique : Nom Mt^fOH N° :_A^_^__ , Echelle :_'Vi<e2£^___Formation étudiée : íI-^^^'-^í^ bA^sc (^?.w-c i-fi^-e>v>,). ^ ^
Symbole '. P-^^ î^^ ^^ If*^'/ Classe lithostratigraphique : j ^ I
Formation de découverte : io^^^^^y^ ^Jt^'^JU^ épaisseur : 0, lo m.
Niveau piézométrique : TeM^x^ ^¿,- O'^ -y*^ X' t,^ ^ítí-n-^ cu^ fv^^L oU.. ^oW'.
Croquis
_T.\/
Ú1- Y-.LU <S5 >o
I-cn
- 65 - :
carte au 3/25.000 :
departement : «^ i ncommune: ^TCENli %\JR KEMTHoh/ - b^^^i^NLIEU DIT ; UíCAAx>\e,r- "lí^: f^utct>^e.^iJ^"
coordonnées' : x' = SO^- i?0 Y= ^H- 21 Z= 'l^^'^oii
o
CCoCO
nature du 3ITE :
USAGE :
FoA'^ £a^Íae. ¿ cJ|k a/s.(v.Y-\
accès : PcxA,- (AA-^e, \rAÍ-ílÍ A-ü-<*.1J «^o-^oW'^'V'-^a-t-' J \i--\aX/\ à- 7-VC»-r-ÍA>^ e^Uu-yw^^^y-i
LD
3oLUCD
CO
propriétaire : Nom
Adresse :H e^ tM^oltr
Prénom
Tel :
ocLUH-4
2O
uLUa.
LU
LD
3oLU
X
Utilisateur :
Adresse :
le I Aj'UA*''^ YchCrtX. Prénom ;
Tel :
AyiQBlS^IlQOlltlIEByENIlQtJ : Art ^4 vîa^ oL j^Mj^'/b^Xt ^< i'="Lvu{C^^ -i^i'i.
Carte Géologique : Nom Mt^fOH N° :_A^_^__ , Echelle :_'Vi<e2£^___Formation étudiée : íI-^^^'-^í^ bA^sc (^?.w-c i-fi^-e>v>,). ^ ^
Symbole '. P-^^ î^^ ^^ If*^'/ Classe lithostratigraphique : j ^ I
Formation de découverte : io^^^^^y^ ^Jt^'^JU^ épaisseur : 0, lo m.
Niveau piézométrique : TeM^x^ ^¿,- O'^ -y*^ X' t,^ ^ítí-n-^ cu^ fv^^L oU.. ^oW'.
Croquis
_T.\/
Ú1- Y-.LU <S5 >o
CO
- 66 -
DEPARTEMENT
COMRINE :
LIEU DIT :
COORDONNEES
Vi
AIM
v'iaiiRT
CARTE AU J/25.000 :
ST AMt?u RPei
X = SiS.'So
O-Vv-l^'Ol/'wv
Y= i^^.10
LJcoLuQ
NATURE DU SITE ; T>im^<^'¿, e^ îAz'RuT -
USAGE : i/9w/tft*w»-wfe -
ACCÈS : P«-^ ^ '\<o-wfe & £>-uA.A _ Tc>-^ouv>-«^ ( N - ^ Çj
CCLUt »
LJ
O
o
PROPRIÉTAIRE : NOM SctÍ'c;u*/ve-^tS: . Prénom :
Adresse : Tel :
Utilisateur ;
Adresse :
loivüíe^/v^Prénom :
Tel :
AyiOBlsmON-DlltJIEBVEmotl : g ^ ocfToU^ -l 'b 8 3 ,
LU
CD
3oLU
CCQ>-X
LU
53oLULD
Carte GÉOLOGIQUE : Nom /^A^ors N" \_ú^3 . Echelle \.^Jà^oqp_ f
Formation étudiée : ^'>^vvie^ oU, ^^o/^vi. [pu><¿-v^ i^^íXí^íaaa.^, . . . ;
Symbole :P'>^^ {"^^ ^^^ 'é'^^Y^^) Classe lithostratigraphique : I ^ I ;
Formation de découverte \X-^vt^,>^'^ ^r^^^t^ s».Wq>u^^. épaisseur : a^s m.
Niveau piézométrique^; ''^ «'y^i/</v\^iA 4'*^ «** -^i/toM, #u.to-cV oitA, wvka*«L'\ tk. b.-*uhvi. . t
Croquis
-r-\A- S22SS2S
^
E-vv».i ^ «k.t e^.oA.^e-^T \r\Jiy\)*^
Fo-.M?V. «U * t)tt»/\»«Ticav.
co
uu <
o
CO
- 66 -
DEPARTEMENT
COMRINE :
LIEU DIT :
COORDONNEES
Vi
AIM
v'iaiiRT
CARTE AU J/25.000 :
ST AMt?u RPei
X = SiS.'So
O-Vv-l^'Ol/'wv
Y= i^^.10
LJcoLuQ
NATURE DU SITE ; T>im^<^'¿, e^ îAz'RuT -
USAGE : i/9w/tft*w»-wfe -
ACCÈS : P«-^ ^ '\<o-wfe & £>-uA.A _ Tc>-^ouv>-«^ ( N - ^ Çj
CCLUt »
LJ
O
o
PROPRIÉTAIRE : NOM SctÍ'c;u*/ve-^tS: . Prénom :
Adresse : Tel :
Utilisateur ;
Adresse :
loivüíe^/v^Prénom :
Tel :
AyiOBlsmON-DlltJIEBVEmotl : g ^ ocfToU^ -l 'b 8 3 ,
LU
CD
3oLU
CCQ>-X
LU
53oLULD
Carte GÉOLOGIQUE : Nom /^A^ors N" \_ú^3 . Echelle \.^Jà^oqp_ f
Formation étudiée : ^'>^vvie^ oU, ^^o/^vi. [pu><¿-v^ i^^íXí^íaaa.^, . . . ;
Symbole :P'>^^ {"^^ ^^^ 'é'^^Y^^) Classe lithostratigraphique : I ^ I ;
Formation de découverte \X-^vt^,>^'^ ^r^^^t^ s».Wq>u^^. épaisseur : a^s m.
Niveau piézométrique^; ''^ «'y^i/</v\^iA 4'*^ «** -^i/toM, #u.to-cV oitA, wvka*«L'\ tk. b.-*uhvi. . t
Croquis
-r-\A- S22SS2S
^
E-vv».i ^ «k.t e^.oA.^e-^T \r\Jiy\)*^
Fo-.M?V. «U * t)tt»/\»«Ticav.
co
uu <
o
- 61 -
in
DEPARTEMENT : I^Í^OKbCOMMUNE : Le. îWa^^~^ S>eAn.c-
LIEU DIT : CivA/w^ «^ ^^COORDONNEES : X =
CARTE AU 1/25.000 :
Y = Z =
I t
uco
NATURE DU SITE : U->--'tr cU-^ «U iV. t.f A..>^lr 3>- CS
USAGE : rU"«^V«
ACCÈS : ^v^ loL ^'Q^ -
CCai» *
u
o
PROPRIÉTAIRE : NoM ^lJu. -^^^^'.a.^ - PRénom :
Adresse : Tel :
Utilisateur :
Adresse :
Prénom :
Tel :
AyiQBlsmQb!-D!lNIEByÊtJIlQùj : ?.'JL^ 04, «>'i.^^^ i^^- 0il il,. I Êivw.A-^ n-Êhy^iA-^ ^l^^^^w -
LU
CD
3oLLI
8
X
LU
53oLULO
Carte géologique : Nom BEai;^Fvñi<?EN° :_^iJ__ Echelle :_'!/^û 000Formation étudiée : - £l-.-.«>-s oU
Symbole : ^ (^- Cci^t «j^'Ay^^^N Classe lithostratigraphique : ^/5Formation de découverte : t^^u. VeatfJi, épaisseur : Viiv*^. c^^-Niveau piézométrique : p , l
V-'
Croquis
Îw^rC»-"-^*'"-»^!' ''^ ^ ^^^ .'tAn*. 'f.t AJ ry<>
1
'
¿1 LU1 in
CQ0
coz0h-4
<>
T-r^- «l^ ^, -,-- ^
- 61 -
in
DEPARTEMENT : I^Í^OKbCOMMUNE : Le. îWa^^~^ S>eAn.c-
LIEU DIT : CivA/w^ «^ ^^COORDONNEES : X =
CARTE AU 1/25.000 :
Y = Z =
I t
uco
NATURE DU SITE : U->--'tr cU-^ «U iV. t.f A..>^lr 3>- CS
USAGE : rU"«^V«
ACCÈS : ^v^ loL ^'Q^ -
CCai» *
u
o
PROPRIÉTAIRE : NoM ^lJu. -^^^^'.a.^ - PRénom :
Adresse : Tel :
Utilisateur :
Adresse :
Prénom :
Tel :
AyiQBlsmQb!-D!lNIEByÊtJIlQùj : ?.'JL^ 04, «>'i.^^^ i^^- 0il il,. I Êivw.A-^ n-Êhy^iA-^ ^l^^^^w -
LU
CD
3oLLI
8
X
LU
53oLULO
Carte géologique : Nom BEai;^Fvñi<?EN° :_^iJ__ Echelle :_'!/^û 000Formation étudiée : - £l-.-.«>-s oU
Symbole : ^ (^- Cci^t «j^'Ay^^^N Classe lithostratigraphique : ^/5Formation de découverte : t^^u. VeatfJi, épaisseur : Viiv*^. c^^-Niveau piézométrique : p , l
V-'
Croquis
Îw^rC»-"-^*'"-»^!' ''^ ^ ^^^ .'tAn*. 'f.t AJ ry<>
1
'
¿1 LU1 in
CQ0
coz0h-4
<>
T-r^- «l^ ^, -,-- ^
- 68
cn
DEPARTEMENT
COMMUNE :
LIEU DIT :
COORDONNEES
CARTE AU 1/25.000 :
ce
co
NATURE DU SITE :
USAGE :
ACCÈS : i*A_
ceLU
U
ou.
u
PROPRIETAIRE
Adresse :
: Nom ^ u?w\.^^<.\/m/v\^ Prénom :i
Tel :
Utilisateur :
Adresse :
Prénom
Tel :
AyiQBiS^IlQN-DlltilEByElfflQt! : A-^tvvxvii'^^ .MS^h cl* M'^^ ^'^ ^ A'^ie^yf. ^^^^ ^
LU
LD
3oLU
Sce
X
geolog obser¬ vationsCarte géologique : Nom 1?^^.-'*^ Viw^ N° :_?'_^3__ Echelle :_J/!?.?.i<LFormation ÉTUDIÉE : n.u^'Vys^ ^.vx^^cè-^ Symbole : wv.("'v>^aÇ-^ c*^t «jf t^o-y'.^^) Classe lithostratigraphique : I ? I
Formation de découverte : i^^'ic^f- épaisseur : ù,û m.
Niveau PIÉZOMÉTRIQUE : Pf^.^W ^jt^^^^^o^^o^^r-
CroquisU"£m, »'^í/v-^<- L.V-vW Í ¿\*v*V.,
yjuHi'li tv-^»-
- 68
cn
DEPARTEMENT
COMMUNE :
LIEU DIT :
COORDONNEES
CARTE AU 1/25.000 :
ce
co
NATURE DU SITE :
USAGE :
ACCÈS : i*A_
ceLU
U
ou.
u
PROPRIETAIRE
Adresse :
: Nom ^ u?w\.^^<.\/m/v\^ Prénom :i
Tel :
Utilisateur :
Adresse :
Prénom
Tel :
AyiQBiS^IlQN-DlltilEByElfflQt! : A-^tvvxvii'^^ .MS^h cl* M'^^ ^'^ ^ A'^ie^yf. ^^^^ ^
LU
LD
3oLU
Sce
X
geolog obser¬ vationsCarte géologique : Nom 1?^^.-'*^ Viw^ N° :_?'_^3__ Echelle :_J/!?.?.i<LFormation ÉTUDIÉE : n.u^'Vys^ ^.vx^^cè-^ Symbole : wv.("'v>^aÇ-^ c*^t «jf t^o-y'.^^) Classe lithostratigraphique : I ? I
Formation de découverte : i^^'ic^f- épaisseur : ù,û m.
Niveau PIÉZOMÉTRIQUE : Pf^.^W ^jt^^^^^o^^o^^r-
CroquisU"£m, »'^í/v-^<- L.V-vW Í ¿\*v*V.,
yjuHi'li tv-^»-
co
DEPARTEMENT
COMMUNE :
LIEU DIT :
COORDONNEES
- 69 -
CARTE AU V25. 000 :
Lo IRÊ
X = ^41-^3 Y= ^^-97 z= 5^0"-^-
I-a.
q:oco
NATURE DU SITE :
USAGE : ' Pa hvuîc^e-
ACCÈS : P^w,-£. y^"^"^ ^^^tt c^j>,.UA.r- *^,]p^ ^ -tií^-^íAA Xw,^ v*~X-^ ^^'^^
LUI t
o
p
o
co<
PROPRIÉTAIRE : NOM H' bEB/^^G/ PrÉNOM :
Adresse : ''V^*/vwa^.»^ " Tel ;
;Y«
Utilisateur :
Adresse :
l oU/VvVPrénom :
Tel :
AyiQBlSôIlQOlltlIEByEmQM : Hcc^^ ^^ oU ,^^-.r.-.v. ?. ¿^ ^,f. ^^ ^2
LU
OLU
Q>-X
LU
3oLUCD
Carte géologique : Nom r1oNrBR»sor/ N° :_?AP__ Echelle : _1Z5.Q.^j?p_Formation étudiée : f\A.<^'fjü^ th rlojwte^ ^o^^. wcoct^v^) __-Symbole : ^>n, p^i-^)^ u*ír^',^¿] Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : rtf^A^^tatcVJU. + ^«-Hfe- épaisseur : û>^o m.
Niveau piézométrique : A«-tu^ ^v^-.-.v^jrcj^e-.^, .,r~^-« ^^^^..^ . , o>_ .^^/^
Croquis
COz.o
co
DEPARTEMENT
COMMUNE :
LIEU DIT :
COORDONNEES
- 69 -
CARTE AU V25. 000 :
Lo IRÊ
X = ^41-^3 Y= ^^-97 z= 5^0"-^-
I-a.
q:oco
NATURE DU SITE :
USAGE : ' Pa hvuîc^e-
ACCÈS : P^w,-£. y^"^"^ ^^^tt c^j>,.UA.r- *^,]p^ ^ -tií^-^íAA Xw,^ v*~X-^ ^^'^^
LUI t
o
p
o
co<
PROPRIÉTAIRE : NOM H' bEB/^^G/ PrÉNOM :
Adresse : ''V^*/vwa^.»^ " Tel ;
;Y«
Utilisateur :
Adresse :
l oU/VvVPrénom :
Tel :
AyiQBlSôIlQOlltlIEByEmQM : Hcc^^ ^^ oU ,^^-.r.-.v. ?. ¿^ ^,f. ^^ ^2
LU
OLU
Q>-X
LU
3oLUCD
Carte géologique : Nom r1oNrBR»sor/ N° :_?AP__ Echelle : _1Z5.Q.^j?p_Formation étudiée : f\A.<^'fjü^ th rlojwte^ ^o^^. wcoct^v^) __-Symbole : ^>n, p^i-^)^ u*ír^',^¿] Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : rtf^A^^tatcVJU. + ^«-Hfe- épaisseur : û>^o m.
Niveau piézométrique : A«-tu^ ^v^-.-.v^jrcj^e-.^, .,r~^-« ^^^^..^ . , o>_ .^^/^
Croquis
COz.o
.70 -
§CO
DEPARTEMENT : XS£Î^ÇCOMMUNE : ÍS D-R/^í^^L^XLIEU DIT : " ic^ îi-'wyèA^COORDONNEES : X = S&S. }h
CARTE AU 1/25.000 :
Y= â^S >.s-1. z = ?3S '^ü
NATURE DU SITE : Sc^^t lpU fV^- .U. Tt^JU-^ .U'u.i.>^^ "^ ^^^USAGE : ' Bm>W^ f ^ílfíu.^c^
ACCÈS : pA"^ w^t*-CJco .J^
PROPRIÉTAIRE : NoM n*(?RPkT\rft.
Adresse : ^îouu<u-^^
Prénom ;
Tel :
ceLU
LJZ.O
u
co<
Utilisateur :
Adresse :
L oWvvA-Prénom ;
Tel :
AyiQBlSÔIIQN-DllblIEByENIIQtJ : Act>^ ^^<Ai^'>^ iLt y.wy/i'K*'-^ 1 'i'/oy-t^^i
Carte géologique : Nom \1t>HTnei-mN N° :_13:^ Echelle \llL^ys±Formation ÉTUDIÉE : "TcAAj«^ AA^'-Njus" oW cj¿<,^. í>x{.i>^"í^Symbole : Trt ii^-^ta^vte ^'t>^). Classe lithostratigraphique : V2Formation DE Découverte :TÊ;^^iVt^f-Jti.i~ur^Suw^'o^. épaisseur: 0,^0 m.
Niveau piézométrique : 7
LUH-
CD
3oLU
8
X
LU
LD
3oLUiS
Croquis
6~^*v(,»L ÜA~«A«.r ^)'^J^.vK.
v^ AAt
\ .-^>i) - ~ . , ^ -"-' "^ >. I lAA.<>*/vw
co
LU .<ÍÍ3 >CQo
U t/wl vf # . £a<v1r oXC
.70 -
§CO
DEPARTEMENT : XS£Î^ÇCOMMUNE : ÍS D-R/^í^^L^XLIEU DIT : " ic^ îi-'wyèA^COORDONNEES : X = S&S. }h
CARTE AU 1/25.000 :
Y= â^S >.s-1. z = ?3S '^ü
NATURE DU SITE : Sc^^t lpU fV^- .U. Tt^JU-^ .U'u.i.>^^ "^ ^^^USAGE : ' Bm>W^ f ^ílfíu.^c^
ACCÈS : pA"^ w^t*-CJco .J^
PROPRIÉTAIRE : NoM n*(?RPkT\rft.
Adresse : ^îouu<u-^^
Prénom ;
Tel :
ceLU
LJZ.O
u
co<
Utilisateur :
Adresse :
L oWvvA-Prénom ;
Tel :
AyiQBlSÔIIQN-DllblIEByENIIQtJ : Act>^ ^^<Ai^'>^ iLt y.wy/i'K*'-^ 1 'i'/oy-t^^i
Carte géologique : Nom \1t>HTnei-mN N° :_13:^ Echelle \llL^ys±Formation ÉTUDIÉE : "TcAAj«^ AA^'-Njus" oW cj¿<,^. í>x{.i>^"í^Symbole : Trt ii^-^ta^vte ^'t>^). Classe lithostratigraphique : V2Formation DE Découverte :TÊ;^^iVt^f-Jti.i~ur^Suw^'o^. épaisseur: 0,^0 m.
Niveau piézométrique : 7
LUH-
CD
3oLU
8
X
LU
LD
3oLUiS
Croquis
6~^*v(,»L ÜA~«A«.r ^)'^J^.vK.
v^ AAt
\ .-^>i) - ~ . , ^ -"-' "^ >. I lAA.<>*/vw
co
LU .<ÍÍ3 >CQo
U t/wl vf # . £a<v1r oXC
CO
- 71 -
CARTE AU 1/25.000 :
DEPARTEMENT : L O I R ECOMMUNE : î>ou\uLy <^Oo<^ CV4ARLieL/_£EBJ3LL.ie^y____6_ájViL lieu dit : So^'WtvtctCOORDONNEES : X = ^A0-5â Y= "i^^- 85 Z= a¿0"'-
q:LJco
NATURE DU SITE : Cc0^v\*- (A oiA\Â\ii- c«/N_ eç^ y^j-l Ttt iTio-vv
USAGE : hujSLNxuxFit)-^ Á£, í2>cn-S.^<touA;><r
ACCÈS : Pt^"^ -^^n>^ WoHA-tflvo'
PROPRIÉTAIRE : NOM oU el-vU'jii.s,..e^\:^ PrÉNOM :
Adresse : Pi>^ej)y .^^ dLo^tZ. Tel : tff) 60-2^. ig
LU14
CJ-Z.
£
LJ
Utilisateur : Nom tK ^t:;^^*^ ^
Adresse :
l^lc^Mc -Prénom :
Tel :
Autorisation d'intervention : ^-"^«^^^-^'^ l/^vWí^ oU. n\ Hw^c.^u ^-(v'^y^à
LU
CD
3oLU
8DCQ:vX
LUH- 4
LD
3oLULD
Carte GÉOLOGIQUE : Nom ^of^MMe N° :_-lsa Echelle :^y8úooo Formation étudiée : B^"^'?»^ oUv ^o^^^.^t^ .%o.,^.y^ok%i<u^
Symbole : 3'^ f^*"" oL ««. uaU; íjj¿«^^. Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : TvvAt. \«'cy:hJ»_ épaisseur :¿?;05* o^^, m.
Niveau piézométrique : ^^^ ^'«^^ y»^ti ^ î>Ux^ u^ ^^^^ Ax. U c^j^usax, , »., >v<r
/Vmj^Ùa./^ ».on.»¿-t/> tA'<»>q^. ^'
Kjwvyinlr, H^^jL=, .-_ ,_^
co
ckLU <î5 >PQo
CO
- 71 -
CARTE AU 1/25.000 :
DEPARTEMENT : L O I R ECOMMUNE : î>ou\uLy <^Oo<^ CV4ARLieL/_£EBJ3LL.ie^y____6_ájViL lieu dit : So^'WtvtctCOORDONNEES : X = ^A0-5â Y= "i^^- 85 Z= a¿0"'-
q:LJco
NATURE DU SITE : Cc0^v\*- (A oiA\Â\ii- c«/N_ eç^ y^j-l Ttt iTio-vv
USAGE : hujSLNxuxFit)-^ Á£, í2>cn-S.^<touA;><r
ACCÈS : Pt^"^ -^^n>^ WoHA-tflvo'
PROPRIÉTAIRE : NOM oU el-vU'jii.s,..e^\:^ PrÉNOM :
Adresse : Pi>^ej)y .^^ dLo^tZ. Tel : tff) 60-2^. ig
LU14
CJ-Z.
£
LJ
Utilisateur : Nom tK ^t:;^^*^ ^
Adresse :
l^lc^Mc -Prénom :
Tel :
Autorisation d'intervention : ^-"^«^^^-^'^ l/^vWí^ oU. n\ Hw^c.^u ^-(v'^y^à
LU
CD
3oLU
8DCQ:vX
LUH- 4
LD
3oLULD
Carte GÉOLOGIQUE : Nom ^of^MMe N° :_-lsa Echelle :^y8úooo Formation étudiée : B^"^'?»^ oUv ^o^^^.^t^ .%o.,^.y^ok%i<u^
Symbole : 3'^ f^*"" oL ««. uaU; íjj¿«^^. Classe lithostratigraphique : I ^ I
Formation de découverte : TvvAt. \«'cy:hJ»_ épaisseur :¿?;05* o^^, m.
Niveau piézométrique : ^^^ ^'«^^ y»^ti ^ î>Ux^ u^ ^^^^ Ax. U c^j^usax, , »., >v<r
/Vmj^Ùa./^ ».on.»¿-t/> tA'<»>q^. ^'
Kjwvyinlr, H^^jL=, .-_ ,_^
co
ckLU <î5 >PQo
- 11 -
ANNEXE 2
MESURE IN SITU DE LA PERMEABILITE
DES FORMATIONS SUPERFICIELLES TRES PEU PERMEABLES
DESCRIPTION ET FONCTIONNEMENT DU PERMEAMETRE
- 11 -
ANNEXE 2
MESURE IN SITU DE LA PERMEABILITE
DES FORMATIONS SUPERFICIELLES TRES PEU PERMEABLES
DESCRIPTION ET FONCTIONNEMENT DU PERMEAMETRE
- 73 -
MESURE IN SITU DE LA PERMEABILITE
DES formations SUPERFICIELLES TRES PEU PERMEABLES
description et FONCTIONNEMENT DU PERMEAMETRE
1 - PREAMIBULE
Le Service géologique régional RHONE-ALPES du B.R.G.M. a réalisé en 1962,
un perméamètre appliquant le principe du double anneau de MUNTZ.
On trouvera dans la note descriptive de cet appareil, tous les rensei¬
gnements concernant l'objet, le champ d'application et le principe qui
consiste en la mesure de la vitesse d'infiltration sous une charge cons¬
tante.
Son usage a permis de déterminer sa limite de fiabilité. Il est parfai¬
tement adapté aux mesures des perméabilités supérieures à I.IO" m/s /-8
5.10 m/s. Pour les perméabilités plus faibles, il s'avère nécessaire de
prolonger prohibitivement le temps de l'essai et l'interprétation des
résultats devient imprécise.
Aussi a-t-on apporté quelques modifications à cet appareil et conçu un
aiJtre, toujours basé sur le même principe et utilisant les mêmes anneaux.
L'appareil modifié a montré à l'usage la grande précision des mesures quelle
que soit la perméabilité, mais son inadaptation pour les perméabilitésinférieures à I.IG" m/s. Nous verrons plus loin les raisons de cette inadap¬
tation.
- 73 -
MESURE IN SITU DE LA PERMEABILITE
DES formations SUPERFICIELLES TRES PEU PERMEABLES
description et FONCTIONNEMENT DU PERMEAMETRE
1 - PREAMIBULE
Le Service géologique régional RHONE-ALPES du B.R.G.M. a réalisé en 1962,
un perméamètre appliquant le principe du double anneau de MUNTZ.
On trouvera dans la note descriptive de cet appareil, tous les rensei¬
gnements concernant l'objet, le champ d'application et le principe qui
consiste en la mesure de la vitesse d'infiltration sous une charge cons¬
tante.
Son usage a permis de déterminer sa limite de fiabilité. Il est parfai¬
tement adapté aux mesures des perméabilités supérieures à I.IO" m/s /-8
5.10 m/s. Pour les perméabilités plus faibles, il s'avère nécessaire de
prolonger prohibitivement le temps de l'essai et l'interprétation des
résultats devient imprécise.
Aussi a-t-on apporté quelques modifications à cet appareil et conçu un
aiJtre, toujours basé sur le même principe et utilisant les mêmes anneaux.
L'appareil modifié a montré à l'usage la grande précision des mesures quelle
que soit la perméabilité, mais son inadaptation pour les perméabilitésinférieures à I.IG" m/s. Nous verrons plus loin les raisons de cette inadap¬
tation.
74
2 - description de L'APPAREIL MODIFIE (voir fig. 2)
Sur les deux anneaux concentriques sont fixés deux tubes de lectures,
transparents et gradués directement en millimètres d'infiltration, dont
le diamètre intérieur, très inférieur à celui des tubes du premier appareil,
a été calculé pour permettre la lecture du 1/500 de millimètre d'infil¬tration.
La deuxième transformation consiste en la mise en place d'un amplifica¬
teur de niveau, dans l'anneau central. Rappelons que seules les mesures
obtenues sur l'anneau central, sont prises en compte. En effet, seul cet
anneau permet l'infiltration verticale. L'eau infiltrée sous l'anneau
extérieur descend verticalement sous sa partie la plus centrale,, mais se
disperse latéralement sous sa partie externe et la divergence des infil¬
trations est importante à la périphérie de l'anneau extérieur.
Cet amplificateur est une sorte de couvercle à l'envers qui est main¬
tenu enfoncé à la surface de l'eau par trois tiges filetées, fixées sur une
plaquette rigide solidaire d'une barre rigide fixée sur les bords de l'anneau
extérieur. Cette barre (en aluminium en L), sert également de support à la
planchette contre laquelle sont fixés les tubes de lectures.
Un orifice de petit diamètre dans lequel est soudé un petit tube de la
hauteur des bords de l'amplificateur, a été aménagé dans l'amplificateur
au droit du tube de lecture.
Les deux tubes de lecture sont dotés d'un bouchon hermétique à leur
partie supérieure et d'une vanne, prolongée par un petit tube transparent
qui arrive au contact de l'eau dans les anneaux, à leur partie inférieure.
74
2 - description de L'APPAREIL MODIFIE (voir fig. 2)
Sur les deux anneaux concentriques sont fixés deux tubes de lectures,
transparents et gradués directement en millimètres d'infiltration, dont
le diamètre intérieur, très inférieur à celui des tubes du premier appareil,
a été calculé pour permettre la lecture du 1/500 de millimètre d'infil¬tration.
La deuxième transformation consiste en la mise en place d'un amplifica¬
teur de niveau, dans l'anneau central. Rappelons que seules les mesures
obtenues sur l'anneau central, sont prises en compte. En effet, seul cet
anneau permet l'infiltration verticale. L'eau infiltrée sous l'anneau
extérieur descend verticalement sous sa partie la plus centrale,, mais se
disperse latéralement sous sa partie externe et la divergence des infil¬
trations est importante à la périphérie de l'anneau extérieur.
Cet amplificateur est une sorte de couvercle à l'envers qui est main¬
tenu enfoncé à la surface de l'eau par trois tiges filetées, fixées sur une
plaquette rigide solidaire d'une barre rigide fixée sur les bords de l'anneau
extérieur. Cette barre (en aluminium en L), sert également de support à la
planchette contre laquelle sont fixés les tubes de lectures.
Un orifice de petit diamètre dans lequel est soudé un petit tube de la
hauteur des bords de l'amplificateur, a été aménagé dans l'amplificateur
au droit du tube de lecture.
Les deux tubes de lecture sont dotés d'un bouchon hermétique à leur
partie supérieure et d'une vanne, prolongée par un petit tube transparent
qui arrive au contact de l'eau dans les anneaux, à leur partie inférieure.
- 75 -
SCHEMA D£T/\ILLS-Da Pê'R/fBAMSr/^S
APPLICAT (orf ùu pfKirfCiPjT
ùu £>oí/B¿.£' .A/v/yí/^.y os- mvntz
Fig. 2 -
tuses )>e-trcTunc ^bfPL6y ictm^
VANNES ?o\i^ReN\PLIiS46S'
NIVEAU D'EAU
SQUCHOI^S i>e- f^e-H PLtiSAG
/supportant -la PlflMCHETTTf iUfPûi^T
t>lqcjL/ETrC SUPPORT t>ES T\6E¿ HLETErS
PE L-AMPLlFICATEU R
IftUPLlMCrtTíTUf^ PE niygÂU
r~rr- ,jn)i I ¡XicgMTRAL
HWCAU j^'EA^J
AMNETAa g>TEft.lgOR.
Echelle ^/io
AILFTTE SOWJige A L'AilWPfly
- 75 -
SCHEMA D£T/\ILLS-Da Pê'R/fBAMSr/^S
APPLICAT (orf ùu pfKirfCiPjT
ùu £>oí/B¿.£' .A/v/yí/^.y os- mvntz
Fig. 2 -
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VANNES ?o\i^ReN\PLIiS46S'
NIVEAU D'EAU
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Echelle ^/io
AILFTTE SOWJige A L'AilWPfly
- 76
3 - MISE EN place DU DISPOSITIF
Les anneaux sont enfoncés dans la formation à tester, préalablement
décapée et nivelée, de 3 ou 4 centimètres. Il est indispensable d'assurer
une étanchéité parfaite entre les anneaux et le sol. Il ne doit y avoir
aucune fuite entre les deux anneaux.
Les anneaux sont ensuite rempli d'eau (aux 2/3 environ). On place
l'amplificateur dans l'anneau central et l'on visse la traverse supportant
les tubes et la plaquette, support des tiges filetées. Les tiges filetées
sont vissées de façon à enfoncer suffisamment l'amplificateur dans l'eau.
C'est à ce moment que l'on met au même niveau l'eau dans l'anneau ex¬
térieur et l'eau apparaissant dans l'orifice de l'amplificateur.
On règle ensuite les deux petits tubes inférieurs , situés sous les
vannes pour qu'ils affleurent respectivement l'eau dans l'anneau extérieur
et l'eau dans l'orifice de l'amplificateur.
Vannes fermées, on remplit les tubes de lectures et on visse herméti¬
quement les bouchons. On ouvre ensuite les vannes et il ne reste plus qu'à
noter l'heure et le niveau dans les tubes de lecture gradués. Ces niveaux
seront la mesure 0 des infiltrations. C'est le début de l'essai.
A - FONCTIONNEMENT
L'eau s 'infiltrant dans le sol provoque la baisse du niveau dans les
anneaux. Les petits tubes affleurant la surface se décollent de l'eau.
Par cet orifice, l'eau descend dans les tubes de lecture en même temps que
l'air y pénètre. Lorsqu'une quantité d'eau suffisante s'est écoulée, les
petits tubes sont à nouveau au contact de l'eau.
On lit alors le nouveau niveau dans les tubes de lectures et on note
l'heure.
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3 - MISE EN place DU DISPOSITIF
Les anneaux sont enfoncés dans la formation à tester, préalablement
décapée et nivelée, de 3 ou 4 centimètres. Il est indispensable d'assurer
une étanchéité parfaite entre les anneaux et le sol. Il ne doit y avoir
aucune fuite entre les deux anneaux.
Les anneaux sont ensuite rempli d'eau (aux 2/3 environ). On place
l'amplificateur dans l'anneau central et l'on visse la traverse supportant
les tubes et la plaquette, support des tiges filetées. Les tiges filetées
sont vissées de façon à enfoncer suffisamment l'amplificateur dans l'eau.
C'est à ce moment que l'on met au même niveau l'eau dans l'anneau ex¬
térieur et l'eau apparaissant dans l'orifice de l'amplificateur.
On règle ensuite les deux petits tubes inférieurs , situés sous les
vannes pour qu'ils affleurent respectivement l'eau dans l'anneau extérieur
et l'eau dans l'orifice de l'amplificateur.
Vannes fermées, on remplit les tubes de lectures et on visse herméti¬
quement les bouchons. On ouvre ensuite les vannes et il ne reste plus qu'à
noter l'heure et le niveau dans les tubes de lecture gradués. Ces niveaux
seront la mesure 0 des infiltrations. C'est le début de l'essai.
A - FONCTIONNEMENT
L'eau s 'infiltrant dans le sol provoque la baisse du niveau dans les
anneaux. Les petits tubes affleurant la surface se décollent de l'eau.
Par cet orifice, l'eau descend dans les tubes de lecture en même temps que
l'air y pénètre. Lorsqu'une quantité d'eau suffisante s'est écoulée, les
petits tubes sont à nouveau au contact de l'eau.
On lit alors le nouveau niveau dans les tubes de lectures et on note
l'heure.
- 11 -
5 - COMMENTAIRES
Le rythme des déclenchements est évidemment fonction de la vitesse
d'infiltration.
Compte tenu de l'effet de ménisque au contact petit tube/eau, chaque
déclenchement correspond, pour l'anneau central, à une infiltration
variant de 1/20 ème à 1/10 ème de millimètres. Quand on sait que pourg
une perméabilité de 1.10 m/s, il s'infiltre 1 millimètre en 28 heures,
cela correspond à 10 à 20 déclenchements en 28 heures. Pour une perméabi-
lité de 1.10 m/s on obtient 1 à 2 déclenchements en 28 heures*
-9L'appareil est bien adapté jusqu'à 10 m/s; ce qui malheureusement
est le cas des formations de lâ région Rhône-Alpes.
Lorsque la valeur de perméabilité descend en-dessous de 1.10" m/s,
il devient nécessaire de prolonger l'essai de façon beaucoup trop impor¬
tante. Pour ces valeurs inférieures il peut être envisagé un enregistrementdes données qui permettra une indication qualitative de l'inférieur à
-910 m/s, ou d'utiliser d'autres méthodes telles que. les essais en forages(type Auriat 10"-^^ m/s).
6 - CALCUL DU COEFFICIENT DE PERMEABILITE
Chaque déclenchement observé est reporté sur un papier millimétré.Sur l'axe des abcisses, on note les temps en heures et en ordonnée les
quantités infiltrées en millimètres. Si le terrain est homogène, on
obtient au début de l'essai, une courbe qui s'aplatit et devient une
droite. La pente de cette droite détermine le coefficient de perméabilité K.
4^
2 - 01 -8§ K=2.10 m/s
Temps en heures
8H Î2H ?8H i^ÂH ÍH Ï5h"
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5 - COMMENTAIRES
Le rythme des déclenchements est évidemment fonction de la vitesse
d'infiltration.
Compte tenu de l'effet de ménisque au contact petit tube/eau, chaque
déclenchement correspond, pour l'anneau central, à une infiltration
variant de 1/20 ème à 1/10 ème de millimètres. Quand on sait que pourg
une perméabilité de 1.10 m/s, il s'infiltre 1 millimètre en 28 heures,
cela correspond à 10 à 20 déclenchements en 28 heures. Pour une perméabi-
lité de 1.10 m/s on obtient 1 à 2 déclenchements en 28 heures*
-9L'appareil est bien adapté jusqu'à 10 m/s; ce qui malheureusement
est le cas des formations de lâ région Rhône-Alpes.
Lorsque la valeur de perméabilité descend en-dessous de 1.10" m/s,
il devient nécessaire de prolonger l'essai de façon beaucoup trop impor¬
tante. Pour ces valeurs inférieures il peut être envisagé un enregistrementdes données qui permettra une indication qualitative de l'inférieur à
-910 m/s, ou d'utiliser d'autres méthodes telles que. les essais en forages(type Auriat 10"-^^ m/s).
6 - CALCUL DU COEFFICIENT DE PERMEABILITE
Chaque déclenchement observé est reporté sur un papier millimétré.Sur l'axe des abcisses, on note les temps en heures et en ordonnée les
quantités infiltrées en millimètres. Si le terrain est homogène, on
obtient au début de l'essai, une courbe qui s'aplatit et devient une
droite. La pente de cette droite détermine le coefficient de perméabilité K.
4^
2 - 01 -8§ K=2.10 m/s
Temps en heures
8H Î2H ?8H i^ÂH ÍH Ï5h"