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REMERCIMENTSREMERCIMENTS ::
AAPRESPRES 1 1 MOISMOIS DEDE STAGESTAGE DEDE FINFIN DD’’ETUDESETUDES
EFFECTUESEFFECTUES AUAU SEINSEIN DEDE AACIMACIMA M MARRAKECHARRAKECH, JE TIENS À, JE TIENS ÀREMERCIERREMERCIER MR. F MR. FAIÇALAIÇAL TAQUI, D TAQUI, DIRECTEURIRECTEUR DUDU MAGASINMAGASIN,,ETET
MMELLEELLE AMAL, AMAL,CHEFCHEF DEDE SECTEURSECTEUR CAISSECAISSE,,ETET MES MES TUTEURSTUTEURS
RESPECTIFSRESPECTIFS PENDANTPENDANT LALA DUREEDUREE DUDU STAGESTAGE; ; AINSIAINSI QUEQUE MRMR..CHARAF CHARAF CHEFCHEF DEDE SECTEURSECTEUR FRAISFRAIS, , MRMR JERMOUNIJERMOUNI CHEFCHEF DEDE
SECTEURSECTEUR PGCPGC ETET LL’’ENSEMBLEENSEMBLE DUDU PERSONNELPERSONNEL DEDE ACIMAACIMA
MARRAKECHMARRAKECH QUIQUI NOUSNOUS ONTONT AIDEAIDE AA ACCOMPLIRACCOMPLIR NOTRENOTRE STAGESTAGE..
NOUSNOUS TIENDERONSTIENDERONS EGALEMENTEGALEMENT AA EXPRIMEREXPRIMER
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MRMR. . BENDRISSBENDRISS MOHSSINEMOHSSINE ETET AA TOUTTOUT NOSNOS PROFESSEURSPROFESSEURS AA SUPSUPDE CODE CO..
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Depuis une décennie, le secteur de la grande distribution auMaroc a connu des changements importants liés au développement desgrandes surfaces.
En effet, avec l’ouverture en 1990 de la 1ére grande surface auMaroc, en l’occurrence Mar Jane Rabat; nous assistons à la naissanced’une nouvelle donne:
Le concept de la grande distribution.
Par la suite, plusieurs autres GMS (grandes et moyennessurfaces) ont vu le jour, participants ainsi à l’introduction d’unenouvelle forme de vente et au bouleversement des habitudes etcomportements des consommateurs.
Il est clair que la grande distribution au Maroc est en phasepréliminaire, et que le commerce traditionnel (souk, épicerie deproximité...) reste très dominant et ancré dans le tissu économique etsocial marocain.
Mais face aux changements conjoncturels, à l’évolution desmodes de vie et les habitudes de consommation, la modernisation dusecteur de la distribution s’avère une nécessité pour le développementéconomique du pays.
Dans ce cadre la chaîne de supermarchés ACIMA vientconcrétiser ce développement en offrant au consommateur marocainun service de proximité et de qualité supérieure.
LE GROUPE MAROCAIN ONA et le groupe françaisAUCHAN (détenteur de 49% du capital de COFARMA) comptentpoursuivre la stratégie de développement de la chaîne avec des projetsd’ouverture à travers l’ensemble du territoire marocain.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
L’implantation d’un supermarché ACIMA à Marrakech endécembre 2003, est un exemple concret de la détermination de lachaîne à conquérir de nouveaux marchés et de renforcer sa position dela distribution moderne.
Grâce à ce nouveau concept, les consommateurs marocainsauront la chance de découvrir plusieurs facteurs qui vont influencerleur acte d’achat.
Le libre- service : contrairement au commerce traditionnel, leclient est libre de se servir lui-même, de choisir ses produits de vérifierles prix, l’emballage,... etc. sans aucune contrainte.
Le choix: lié à un assortiment large et profond permettant auconsommateur un approvisionnement riche et varié, ACIMA restefidèle à cette promesse en offrant plus de 10000 références.
Le prix: élément très influent sur la décision d’achat favorisé par lebon positionnement des supermarchés en circuit intégré (absence desintermédiaires), la promesse de ACIMA étant l’achat gagnant: les prixsont toujours étudier pour permettre au client de réaliser les meilleurséconomies et de bien gérer son budget.
La qualité & la fraîcheur des produits
Le cahier de charge de ACIMA exige de ses fournisseursl’application de certaines conditions afin d’assurer un produit dequalité respectant les normes d’hygiène, de fraîcheur, deconditionnement, de composition et de conservation des produits.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Le service client: facteur déterminant pour la fidélisation d’uneclientèle en quête d’orientation, d’information et de conseil.
L’implication du personnel ACIMA à travers la formation etl’information quant au service client reste un atout considérable qu’ilfaudra conserver.
Les promotions : Actions marketing ponctuelles et ciblées, elles visentà créer de nouveaux comportements afin d’augmenter le volume desventes d’un produit. l’objectif ACIMA à travers ses actionspromotionnelles est de faire augmenter la fréquentation du magasin etdu panier moyen.
Le merchandising : Grâce à une meilleure organisation de l’espace devente, les responsables commerciaux à ACIMA ont pour rôled’optimiser les ventes et d’assurer la mise en place et la gestion desquantités nécessaires et suffisantes du bon produit, au bon endroit, aubon moment et au bon prix, l’objectif étant d’apporter un maximum desatisfaction à la clientèle dans la recherche et dans l’achat desproduits.
L’ambiance: L’une des particularités des hypermarchés ACIMA, c’estd’offrir un cadre chaleureux et conviviale (musique, décoration,luminosité, parking, ...etc.) permettant ainsi aux clients de prolonger etde rendre plus confortable leurs visites au niveau de la surface devente.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Dans cette étude nous allons essayer d’apporter des éléments deréponse à la question qui préoccupe tous les acteurs du secteur, qui estcelle de l’amélioration de la performance des magasins et ce enprocédant de la manière suivante :
Dans un 1er temps nous allons exposer les volets de gestiondu magasin pour les deux secteurs dans lesquels nous sommesaffectés.
Ensuite, nous allons passer à la mesure de la performancedu magasin et ce a l’aide d’outils qui nous semblentadaptés.
Enfin nous allons, à l’aide d’une étude de satisfaction,mesurer les attentes des clients envers le magasin afind’adapter les actions futures a ces attentes.
Le Maroc est devenu en très peu de temps une terre fertile pourle commerce moderne, ce qui est d’avantage une opportunitééconomique qu’un danger pour le commerce marocain. La grandedistribution génère de la richesse et des milliers d’emplois.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Néomoins, le secteur ne représente aujourd’hui que 5% ducommerce national ce qui laisse entendre que le territoire est loind’être saturé.
Quelles sont donc les atouts dont dispose le royaume et lesefforts qu’il devrait fournir pour soutenir le développement de cesecteur ?
I. Les atouts du Maroc
Le Maroc depuis quelques années est sujet à bon nombre deconvoitises de la part des enseignes européennes qui évoluentdésormais dans un marché presque saturé.
Le rapprochement économique avec l’Europe; la stabilitépolitique ; la proximité culturelle et géographique; ainsi que sarelative croissance économique sont autant d’atouts pour lesinvestisseurs.
De plus le marché étant peu structuré en matière defournisseurs, de logistique et de règles de marché en général,donne l’occasion aux distributeurs de décider eux même desfutures conditions de leur expansion.
II. Les freins au développement du secteur.
Toutefois un certain nombre de facteurs viennent freiner ledéveloppement de ce secteur dont : La cherté du foncier Le manque de ressources humaines qualifiées L’infrastructure peu développée dans certaines régions. Le faible taux de motorisation (17%) Le faible taux de bancarisation (15%).
III. Les conditions de développement du secteur
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Des efforts restent donc à fournir sur l’ensemble de ces niveauxet notamment Le soutien de la croissance économique. L’élargissement de la classe moyenne. L’assainissement du secteur commercial.
IV. Les points forts du concept ACIMA
Plusieurs facteurs laissent espérer un meilleur avenir pour leconcept supermarché basé sur la proximité et la qualité du service. le format est plus adapté à la réalité marocaine : entre
quelques hyper et plusieurs petit commerce le vide était àcombler.
Le concept de proximité et de fraîcheur (Tout Près, ToutFrais) est plus adapté aux habitudes des marocains basées surle produit du jour. (44% des ménages marocaines ne disposentpas de réfrigérateur).
Le nombre réduit et la taille importante des fournisseurs desproduit de base réduit les marges et les placent entre 0% et 3%ce qui explique le peu d’écart de prix qu’il y a entre leshypermarchés et le commerce de proximité.
Vu les conditions actuelles; le marché sera saturé à 15 ou 20hypermarchés selon une étude du cabinet C & O Marketing.
Plus de 3/4 de la population n’ont pas encore accès à lagrande distribution.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
En 43 ans, Auchan est devenu l'un des principaux groupes dedistribution dans le monde. Depuis le premier magasin ouvert àRoubaix en 1961, Auchan n’a cessé de se développer : il estactuellement présent dans 12 pays et compte 165 000 collaborateurs àtravers le monde.
Pionnier de la grande distribution au Maroc, ONAintroduit, dès 1990, le concept d'hypermarché, intégrant dans un mêmelieu de vie et d'échange un espace marchand en libre-service et unegalerie commerciale de boutiques.
Marjane est la première enseigne commerciale de Cofarma, holdinggrande distribution du Groupe ONA, aujourd'hui à la tête de huithypermarchés implantés à Rabat, Casablanca, Marrakech, Agadir,Tanger et Fès
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Le 12 janvier 2001, le Groupe ONA et Auchan, deuxième groupefrançais de distribution, ont signé un accord de partenariat pourdévelopper la grande distribution au Maroc. L'accord conclu par lesdeux groupes aboutit à la cession de 49% du capital de Cofarma àAuchan, ONA en conservant 51%.
Cette alliance entre les deux groupes s’est traduite par ledéveloppement d'une nouvelle chaîne de supermarchés, dans le pays. En 2002, les premiers supermarchés ouvrent, sous enseigne. Le petithypermarché de Twin Center (Casablanca) prend également cetteenseigne.
Ce partenariat traduit également la volonté de deux groupesd’accompagner le pays dans sa marche de développement socio-économique, par la création d’emplois et par l’amplification dusecteur de la distribution au Maroc.
ACIMA a pour vocation d’accroître en permanence la qualité etle niveau de vie des gens avec trois impératifs : le prix, le choix et leservice, en faisant bénéficier le consommateur d’une distribution dequalité et de proximité.
Actuellement, ACIMA poursuit son développement ens’implantant au cœur des centres villes des principales cités duRoyaume.Après six magasins ouverts en 2002 au centre de différents quartiersde Casablanca, ACIMA a réalisé son premier supermarché dans uncentre commercial avec un parking sur Fès, qui a ouvert ses portes le22 janvier 2003, avec la création prévue de 25 points de vente en 5ans, l’enseigne ACIMA continue de se développer, notamment avecl’ouverture de trois surfaces à Safi, Benimellal, et Casablanca, dèsoctobre 2004.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Le Directeur
Chef de secteurPGC
Chef de secteurFrais
Chef de secteurCaisse
Réception MarchandisesCollaborateurs PGC et bazar
Assistante commerciale PGC
Collaborateurs FraisHôtesse de caisse Superviseur ligne de caisse
Assistante commerciale Frais
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
PROCEDURES DE GESTION DU SECTEUR :
PRODUITS FRAIS
I. RECEPTION DE LA MARCHANDISE
a) Objectif de la procédure
-- Réceptionner la marchandise fournisseur suite à unecommande fournisseur passée par le magasin
-- Contrôler la marchandise et vérifier la cohérence de lamarchandise livrée par le transporteur avec:
Ce que le fournisseur annonce avoir expédié(avis de livraison fournisseur)
Ce que le magasin a commandé (bordereau deréception)
-- Informer le magasin des quantités reçues
b) Les règles de la réception.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Réception de la marchandise
Ne pas accepter de marchandise sans possession dubordereau de réception magasin. En cas d’absence dubordereau de réception magasin, contacter le chef derayon pour:
-- Demander l’accord de réception de lamarchandise
- Obtenir (par fax ou oralement) la liste desproduits commandés et les quantités commandées,référence par référence (nombre de colis).
Ne pas accepter de marchandise non accompagnée dubordereau de livraison (document fournisseur).
- En cas d’absence du bordereau de livraison, contacterle chef de rayon pour demander l’accord de réceptionde la marchandise.
- Emettre sur la souche de réception, la réservel’absence de bordereau de livraison fournisseur.
Contrôle de la marchandise
- Le contrôle des quantités se fait par rapport aubordereau de réception issu du magasin (bordereaude réception Gold).
- Toute référence non commandée estsystématiquement refusée.
Contrôler les dates limites de consommation et alerterle chef de rayon lorsque le délai de consommation estinférieur a un nombre de jours déterminé.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
- Au minimum 1 contrôle par référence
Toute réserve émise sur le bordereau de réception estco-signée:
- Par le réceptionnaire de la réserve déportée
- Par le chauffeur
A chaque réception physique de marchandise, leréceptionnaire remplit un exemplaire du carnet àsouches « Bordereau de Réception»
Information du magasin
A chaque fin de journée, le réceptionnaire retourne au magasin:
Le journal de réception
Les documents de réception par commande
Si une réception fournisseur est effectuée après que leréceptionnaire ait retourné l’enveloppe « dossier de réception »du jour, la réception fournisseur s’effectue sur le journal deréception du lendemain.
c) Description de la réception de marchandise
Arrivée du fournisseur:
Le réceptionnaire vérifie que le transporteur dispose du bon delivraison fournisseur et du n° de commande du magasin.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Le réceptionnaire vérifie qu’il dispose d’une copie du bon decommande et du bordereau de réception (Gold) et rapprocheles n° de commande.
Cf. exemple de bordereau de réception Gold
En cas d’absence d’un des documents (bon de livraisonfournisseur ou bordereau de livraison), le réceptionnairecontacte le chef de rayon
Déchargement et contrôle de la marchandise
Le réceptionnaire décharge physiquement la marchandise surla zone de réception.
A l’aide du bordereau de réception issu du magasin, référencepar référence, le réceptionnaire
Compte le nombre de colis reçus
Annote le bordereau de réception du nombre decolis reçus (exemple: 10 colis de 24)
Fait ressortir les écarts par rapport aux quantitéscommandées
Le réceptionnaire émet sur le bon de livraison et sur lebordereau de réception les réserves en cas:
D’écart entre le nombre d’UVC commandées et lenombre d’UVC livrées
De marchandise abîmée ou mouillée
De marchandise à DLC trop courte ou dépassée
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Cf.règles
Le réceptionnaire se munit du carnet à souches « Bordereau deréception» et remplit les données de la réception.
Cf. document « souche bordereau deréception»
Le réceptionnaire:
Tamponne les documents de réception
Date les documents de réception
Fait signer le chauffeur
Signe les documents
Le réceptionnaire remet un exemplaire des documents auchauffeur
Informer le magasin des quantités reçues
Après chaque réception de marchandise, le réceptionnaireconstitue le dossier de réception par commande en agrafant:
Le bordereau de réception Gold, complétémanuellement
Le bon de livraison du fournisseur
La souche «bordereau de réception»
Après chaque réception, il remplit manuellement le journal deréception
Cf. document «journal de réception»
En fin de journée, il constitue le dossier de réception du jour:
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Il reprend l’ensemble des dossiers de réception parcommande
Il les classe dans le journal de réception
Il date et signe le journal de réception
II met l’ensemble des documents dans uneenveloppe
Il ferme, cache et signe l’enveloppe
Il remet ensuite l’enveloppe «dossier de réception»au service administratif magasin
d) Documents associés
Bon de Livraison Fournisseur
Type de document : Document entrant
Origine : Fournisseur
Description du document : Document dépendant du fournisseurReprend l’ensemble des références annoncées livrées par lefournisseur avec au minimum les informations suivantes:
Code
LibelléRAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDES
SAHRAOUARDI Siham Août 2004
Quantités livrées
Utilisation du document : Le réceptionnaire pointe à l’aide dece document les écarts ente ce qui est annoncé livré et ce qui a étécommandé (document bordereau de réception)
Bon de Réception
Type de document : Document entrant
Origine : magasin
Destinataire : retour à l’administratif magasin
Description du document: Pour un n° de commandedonné, liste l’ensemble des références en attente de livraison:
Code produit
Libellé produit
Quantités attendues
Utilisation du document:
Document le plus important en terme de réception
Permet de rapprocher les quantités déclaréesannoncées par le fournisseur et les quantitéscommandées
Permet de rapprocher les quantités commandéesau fournisseur et les quantités réellement reçues ---pointage des quantités reçues.
Carnet à souches (Bordereau de réception)
Type de document: Document interne
Destinataire: RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDES
SAHRAOUARDI Siham Août 2004
1 exemplaire à l’administratif magasin
1 exemplaire au fournisseur
1 exemplaire conservé en réserve
Description du document:
Souche remplie manuellement à chaque réception magasin etpermettant de vérifier qu’un dossier de réception comprend tous lesdocuments nécessaires au paiement du fournisseur
Utilisation du document
1 feuille du carnet à souches complétée par réception
Journal de réception
Type de document : Document sortant
Origine : direction magasin
Description du document : Récapitulatif par jour ouvré del’ensemble des réceptions effectuées.
Utilisation du document:
A chaque réception, le réceptionnaire complète lejournal de réception à l’aide des informations de lasouche du bordereau de réception
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
A la fin de la journée, le réceptionnaire retourne aumagasin, le journal de réception dûment complété etsigné, accompagné de l’ensemble des dossiers deréception
II. LES REGLES D’IMPLANTATION
a) La charte linéaire
Cette charte nous donne le type d’assortiment à implanter enfonction du nombre d’éléments et des mètres linéaires au sol.
b) Les 7 règles d’implantation :
1)1) Adopter le verticalisme dés que possible.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
2)2) Positionner la MDD au meilleur endroit du segment.
3)3) Respecter la lisibilité
4)4) Rendre tous les produits accessibles.
5)5) Conserver la flexibilité des niveaux.
6)6) Respecter l’approche du consommateur.
7)7) Alterner les achats prémédités et d’impulsion.
1.1. ADOPTER LE VERTICALISME DES QUEPOSSIBLE.
Le client possède naturellement un mouvement horizontal dela tête, son regard balaie le linéaire et visualise les familles enpanoramique.
Le client repère les différentes familles avec alternance deverticalisme et semiverticalisme.
Une fois arrêté, le client déplace son regard verticalementpour trouver le produit qu’il recherche dans la famille quil’intéresse.
Le placement du produit dans la gondole a un impact sur lesventes (35% à hauteur des yeux et des mains, 8% en haut, 22% enbas). Le but et d’optimiser les ventes pour les 8% et 22%.
2.2. POSITIONNER LA MDD AU MEILLEURENDROIT DU SEGMENT
La MDD doit être positionnée à la hauteur des mains et desyeux, afin de :
Renforcer l’image prix du magasin, en proposant un produitintermédiaire entre le 1er prix et le leader.
Fidéliser les clients parce qu’ils ne retrouveront ce produitque chez nous.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Développer les marges en vendant plus de MDD car la margesur ces produits est plus importante.
3.3. RESPECTER LA LISIBILITER.
Afin d’améliorer l’image de l’offre.
Les meilleurs niveaux doivent être partagés par un nombreimportant de produits en respectant une lisibilité minimum de 25cmpar référence, car pour qu’un produit soit vendu il doit être vu cequi nous mène à calculer l’indice de lisibilité.
MLD/Nbre de référence = Représentation moy des produitsen linéaire.
On ne tient pas compte de l’étagère en haut de la gondole.
4.4. RENDRE LES PRODUITS ACCESSIBLES.
Aucun produit ne sera implanté à plus de 1.80m c’estpourquoi la dernière étagère sera uniquement de rappel.
Lorsque c’est possible les produits de la première étagèreseront rappelé sur la secondde de manière à éviter une rupturevisuelle , le but étant de :
-Faire gagner du temps aux clients.
-Satisfaire le client.
5.5. CONSERVER LA FLEXIBILITER DESNIVEAUX.
Ex : Produits de taille familiale ou économique (grosse taille)
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Ces produits ne sont pas implantés en descente car le formatest plus grand et cela donnerait des impressions de vide sur lesétagères, de plus on perdrait un niveau de vente .
Le but étant d’éviter l’impression de vide en linéarisation aumaximum, et d’optimiser le linéaire.
6.6. RESPECTER L’APPROCHE DUCONSOMMATEUR
En positionnant les produits selon les clés d’entée duconsommateur :
Ex L’ultra frais : 1-Nature du produit.
2-Marque
3-Prix
Les pâtes : 1-Le segment
2-Le dessin
3-La marque
7.7. ALTERNER LES ACHATS PREMIDITES ETD’IMPULSION.
Pour inciter les clients à balayer l’ensemble de la gamme,nous implanterons toujours les grandes familles de produits commeles pommes de terre et les pommes, les bananes en fin de parcours(produits toujours présents sur la liste des courses).
Il existe dans le rayon Fruits et Légumes des zones plusvendeuses que d’autres. Le client qui rentre dans le rayon regardenaturellement à droite et au centre: le zone la plus” chaude “ ou“vendeuse
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
De manière générale, les zones que le client aperçoit enpremier seront les zones chaudes. Nous y implanterons : lesproduits nouveaux et de début de saisons, les produits donnant uneimage de fraîcheur (salades, crudités) et les produits à forte marge.
-Favoriser le passage des consommateurs devant les produitsd’impulsion
-Assurer une fluidité de circulation des clients
III. GESTION DU RAYON
i. La gestion du permanent
ii. La gestion des promotions
iii. La tenue générale du rayon
1. LA GESTION DUPERMANENT
Ce qu’il ne faut pas faire
Bouger les facings des produits
Retourner les étiquettes prix
Remplacer un produit en rupture par une autre référence
Ce qu’il faut faire
Adapter les plans aux ventes du magasin en respectantune implantation verticale (au produit ou au segment)
Laisser I ‘étiquette prix en place (à gauche) même si leproduit est en rupture.
2. LA GESTION DESPROMOTIONS
La T.G
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
Une bonne tête de gondole, c’est:
- Deux produits maximum, voire un: lisibilité et clarté del’offre.
- Impression de masse : créer l’ambiance d’une offreexceptionnelle.
S’il n’y a pas assez de produits, il faut créer une fausse masse.(La masse fait vendre)
- Quinze jours maximum : ne pas lasser le client. (Le clientvient 2.5 à 3 fois par semaine, soit 6 fois en 15 jours)
- Balisage spécifique: bien différencier l’offre promotionnelledu permanent.
- Le bon produit au bon moment au bon prix.
3. LA TENUE GENERALE DURAYON
Un rayon de qualité c’est :
un rayon plein
un rayon propre
un rayon bien présenté
un rayon bien balisé
Un rayon plein
- Enlever ce qui n’est pas vendable: retirer les articlespérimés, abîmés.
- Ne pas surcharger le rayon : ne pas disposer de produits ausol, ne pas mettre en rayon plus de produits qu’il n’en contient.
- Attention à la limite de chargement; ne pas rompre la chaînedu froid; en surgelés, ne prendre pour la mise en rayon que ce quiest nécessaire.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
- Avancer les produits pour donner une impression de rayonplein.
Un rayon propre
- C’est l’image du magasin
- Nettoyer le mobilier: étagères, gondoles, fond de bacsurgelés
(ex: huile sur gondole, javel sur gondole, farine fuitée...) avecdes produits de nettoyage autorisés.
- Maintenir les allées du rayon dégagées pour faciliter lacirculation et l’accès aux produits.
- Vider et nettoyer les poubelles: au rayon fruits et légumesnotamment
Un rayon bien présenté
- Respecter le plan d’implantation:
• Nombre de facings (nombre d’unités de présentation d’unproduit vu
face)
• Placer le premier produit au début de l’étiquette et lesautres jusqu’au début de l’étiquette suivante
- Ne pas masquer les éventuelles ruptures
- S’assurer de la bonne lisibilité des produits : Marque desproduits face aux clients
- Vérifier les reliquats en haut de rayon: Rangement,propreté et stabilité (sécurité pour le client)
- Ranger les produits déplacés
Un rayon bien balisé
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
- 1 produit = 1 prix:
Chaque produit a bien son étiquette prix
Il y a concordance entre le libellé et le produit
lI ne faut pas retourner l’étiquette en cas de rupture
- Présenter les différents types de balisage : étiquettes siim,étiquettes MDD, 1er prix, étiquettes spécifiques pour opération àthème.
- D’une façon générale, vérifier la présence, la lisibilité et lapropreté du balisage.
IV. SYSTEMES D’INFORMATION
L’intérêt des procédures informatiques,
L’organisation du processus d’inventaire
La procédure d’inventaire.
1. L’intérêt des procédures informatiques,
Les procédures informatiques ont pour objet de développer:
L’autonomie quant à l’exploitation ressourcesinformatiques,
Faciliter, en conséquence, le travail quotidien et leséchanges avec l’équipe informatique.
2. L’organisation du processus d’inventaireRAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDES
SAHRAOUARDI Siham Août 2004
Les règles fondamentales,
Les responsabilités,
Détermination des dates,
L’inventaire de contrôle,
Le rôle de l’informatique.
a) Les règles fondamentales.
L’inventaire du secteur PGC s’effectue deux foispar an : à fin juin et à fin décembre.
L’inventaire du secteur frais se déroule chaque finde mois, et concerne l’ensemble des rayons de sesecteur.
Chaque fin de semaine un inventaire concernantles rayons boucherie, volaille, marée, et fleg est tenueen présence du chef de secteur frais.
L’inventaire se déroule le magasin fermé:
Il n’y a donc plus de mouvement demarchandises entre le magasin et sa réserve,
Les ventes et les réceptions sont arrêtées,
La marchandise doit être rangée en pilescomptables,
Les fournisseurs ne participent pas à l’inventaire.
b) Les responsabilités,
Le directeur de magasin est le garant de l’applicationrigoureuse de la procédure.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
c) Détermination des dates,
• Chaque début de semestre, le service de contrôle degestion, le service informatique et le magasin (le servicemarketing) arrêtent d’un commun accord la date de débutet de fin d’inventaire.
d) L’inventaire de contrôle,
En fonction des résultats de l’inventaire, le service de contrôlede gestion peut décider de faire refaire un inventaire magasin dontles résultats sont insatisfaisants.
• L’inventaire de contrôle concerne uniquement le ou lesrayons concernés par les résultats insatisfaisants,
• L’inventaire de contrôle devra être coordonné avec le serviceinformatique.
e) Le rôle de l’informatique.
• Assurer la disponibilité des ressources informatiquesnotamment:
L’application commerciale (Gold),
Les terminaux portables,
Les interfaces spécifiques.
• Constituer une astreinte pour le magasin.
3. la procédure d’inventaire
Dix phases sont nécessaires à la réussite de l’inventaire:
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004
* Vérification des pré- requis,
* Initialisation de l’inventaire,
* Copie du stock théorique,
* Chargement des portables (Programmes spécifiques),
* Comptage et Scanning,
* Déchargement des portables (au niveau du poste PC),
* Traitement du fichier déchargé (au niveau du poste PC),
* Correction de la table « inventaire ».
* Mise à jour du stock et valorisation de l’inventaire,
* Basculement du stock final, validation etcommunication par le Directeur de magasin du résultatde l’inventaire au contrôle de gestion.
Tout événement avant la date d’initialisation de l’inventaire doitêtre traité:
Les réceptions : doivent être saisies dans gold,
Les remontées des ventes : doivent être intégréesdans Gold,
Les corrections de stock: doivent être effectuéesdans GoId,
Les transferts: idem,
Les retours fournisseurs: idem.
RAPPORT DE STAGE FIN D’ETUDESSAHRAOUARDI Siham Août 2004