REVUE DE PRESSE

AOÛT 2017

sommaire

De plus en plus de gros chantiers en bois 2 Belgique : Des kots de luxe aux kots à bas prix, le logement étudiant à la loupe - Immo 2 Logement: mises en chantier en hausse de 7% 4 Nice: Face aux prix des loyers, des étudiants créent des logements solidaires 5 Logement étudiant : 200 000 places manquent à l’appel - freemium 6 Le Premier ministre au chevet des étudiants 6 Bonne nouvelle, le coût de la vie étudiante à Nice va baisser pour la rentrée 2017 7 Troquer son lit chez ses parents 8 Les plus beaux campus de France 9 Une résidence étudiante « hyper-connectée » va bientôt sortir de terre, à Toulouse 10 Le casse-tête estudiantin de la recherche de logement 11 Allemagne : Découvrir des logements étudiants différents : le Bungalowdorf 13 À Toulouse, il faut débourser 450 euros en moyenne pour un studio 14 Quel budget étudiant pour résider à La Rochelle ? 15 Chambéry, une ville étudiante dynamique 16 Trouver un logement : le casse-tête de la pré-rentrée étudiante - Nevers (58000) 17 Les chiffres-clés du logement étudiant à Lille et Villeneuve-d’Ascq 18 Un étudiant consacre en moyenne 583 € par mois pour son budget logement 19 Comment se logent les étudiants à Tours ? 20

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De plus en plus de gros chantiers en bois https://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/030515883339-de-plus-en-plus-de-gros-chantiers-en-bois-2110678.php

Aux plates-formes logistiques, le créneau traditionnel de la construction en bois,

s'ajoutent un nombre croissant de bureaux et d'immeubles.

Pour les constructeurs en bois, les chantiers se suivent et ne se ressemblent pas. Chez Arbonis (Vinci), l'Aqualagon avait représenté le chantier phare de 2016, avec 14.900 heures d'études. Début 2017, la fabrication et la livraison sur site de l'ensemble des pièces étaient achevées. Cette année, Arbonis a livré mi-juillet la structure en bois de la plus grande plate-forme logistique de France (140.000 m2 de surface au sol), réalisée à Poupry (Eure-et-Loir) et destinée au groupe Carrefour. Si Aqualagon a marqué les esprits par sa technicité et sa visibilité par le grand public, ses 800 m3 de bois sont loin des 7.000 m3 mis en oeuvre à Poupry.

Les plates-formes logistiques sont le créneau traditionnel de la construction en bois et les réalisations de grande taille y sont nombreuses. Aujourd'hui s'y ajoutent des bureaux et des immeubles résidentiels, où le bois permet de réduire les délais de chantier sur site, les éléments étant préfabriqués en usine.

« Il y avait très peu d'appels d'offres il y a dix-huit mois, aujourd'hui il existe une cinquan-taine de projets de plus de 7 étages en bois, ainsi que des grands projets portant sur des programmes de bureaux en bois de plus de 50.000 m2, par exemple le projet Origine, mené par Icade à Nanterre, près de Paris », remarque Jean-Christophe Terrier, respon-sable de la région Centre-Est chez Vinci Construction.. Il surveille aussi de près l'appel d'offres de l'hôpital de Salanches, en Savoie (un projet de construction modulaire en bois ou en métal) ou encore la surélévation à l'étude de l'hôpital de Genève.

Construit en trois mois

Le dernier chantier d'ampleur achevé par la filiale de Vinci est d'ailleurs sur ce créneau émergent puisque « Arbonis, en groupement avec Travaux du Midi, livre cet été au CROUS de Marseille une résidence étudiante 100 % bois (hormis le noyau béton de la cage d'escalier et de l'ascenseur), indique Jean-Christophe Terrier. Ses sept étages (200 chambres) ont été construits en trois mois à partir de la livraison de la dalle du rez-de-chaussée ». Le délai avait été le même pour les 140.000 m2 de la plate-forme de Poupry.

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* * * * * Belgique : Des kots de luxe aux kots à bas prix, le

logement étudiant à la loupe - Immo http://trends.levif.be/economie/immo/des-kots-de-luxe-aux-kots-a-bas-prix-le-logement-etudiant-a-la-loupe/article-normal-713289.html

"Des kots fleurissent à Namur pour un loyer de 500 euros (qui offrent) plein de services", témoigne Vincent Bourtembourg, responsable du service logements de l'Université de Namur. "Avant, il n'y avait que des résidences strictes et monacales. Maintenant, elles se développent avec des salles de sport, de détente, etc. Les étudiants peuvent se rencon-trer, c'est plus convivial. Cela favorise les études et les rapports sociaux", ajoute Bénédicte Lampin, responsable de l'Office du logement et chargée du développement du logement à l'Université libre de Bruxelles (ULB).

Cette évolution, vers des résidences plus confortables et donc plus chères, est constatée dans les principales villes universitaires francophones du pays. Un changement vu positi-vement. "C'est bienvenu parce que ces résidences de luxe, en présence limitée, ré-pondent à une demande", explique Vincent Bomal, directeur du service des logements de l'Université catholique de Louvain (UCL).

Pour Bénédicte Lampin, cet apport du privé "permet de lever la pression foncière et donc de donner du temps pour développer d'autres logements". Car s'il n'existe pas de pénurie en logements étudiants, la plupart des universités constatent une forte pression sur les kots à loyer modéré qu'elles mettent à disposition de leurs étudiants.

Les logements confortables "répondent à une demande qui n'était pas couverte aupara-vant", observe le fondateur et gestionnaire du site web BruKot, dédié à la recherche de kots. Cette demande de confort se répercute aussi sur les kots plus classiques, surtout à Liège qui dispose d'une offre privée excédentaire. "Quand un logement n'a pas un bon rapport qualité-prix, il doit s'adapter. (...) C'est un peu grâce aux résidences qui ont mis un coup de pied dans le marché."

Résidences-services

Génération Campus, de la société immobilière Eckelmans, met à disposition ce type de logements, à Louvain-la-Neuve, Woluwe, Liège et Namur. Elle totalise 3.000 logements, qui ne sont pas tous des kots de luxe. Bien souvent, la société travaille en partenariat avec les universités, demandeuses de places supplémentaires.

Génération Campus a commencé à construire des "résidences-services", plus confor-tables, en 2008, explique Hélène Cambier, responsable communication de la société.

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"Cela vient initialement d'une demande de la part des étudiants mais aussi des parents. On sentait qu'on devait aller dans ce sens", raconte-t-elle. Il s'agit de logements privatifs (studios) avec à disposition des espaces communs, de rencontre. Il existe aussi des stu-dios deux personnes.

Résidences services plus "luxueuses" obligent, le loyer minimun atteint 350 euros, toutes charges comprises, pour des logements partagés. Pour un logement privatif, il faudra dé-bourser au moins 500 euros, toutes charges comprises.

Outre le besoin de confort, la sécurité de ces résidences attirent les étudiants et surtout les parents. "Nous avons une grande population d'étudiants français dans nos logements et les parents ont d'autres exigences étant donné qu'ils sont loin de leurs enfants", sou-ligne Hélène Cambier.

Autre critère des étudiants: la proximité des campus. "Les étudiants refusent de marcher... même un quart d'heure", affirme Joëlle Tilmant, à la direction des affaires étudiantes de l'Université de Mons.

Logement intergénérationnel

A côté de ces kots plus classiques, des alternatives existent, comme le logement intergé-nérationnel. L'ASBL Un toit deux âges, créée en 2009, met en relation des étudiants et des seniors. Ces derniers désirent être accompagnés essentiellement pour des raisons de sécurité et de solitude, explique Peggy Dubar, responsable des relations presse de l'asso-ciation. Pour les étudiants, l'attrait principal du logement intergénérationnel est qu'ils ne vivent pas seuls. "Ils aiment l'idée d'être accueillis. Ils se sentent comme s'ils étaient chez leurs grands-parents."

L'ASBL fournit un logement à 250 étudiants à Bruxelles et à une centaine en Wallonie. Depuis sa création, elle a créé plus de 1.000 binômes.

Deux formules existent, la "classique", la plus prisée, accessible pour 300 euros en moyenne. L'étudiant est alors libre de son emploi du temps. La formule "services" est, elle, fixée à un loyer de 180 euros par mois. L'étudiant doit, en échange, rendre 5 heures de services par semaine. "Cela permet à des seniors de rester chez eux le plus longtemps possible."

Un toit deux âges constate chaque année une croissance de 30% de ses logements. "Les chambres proposées sont un lieu idéal pour étudier. On a la garantie que la chambre sera plus grande que dans des kots classiques. Aussi, le calme sera au rendez-vous. C'est une ambiance très studieuse et très chaleureuse." Autre avantage: les chambres sont souvent à proximité de l'université.

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Cette formule ne peut toutefois convenir à tout le monde. "C'est financièrement avanta-geux mais il faut en avoir envie, le choisir", insiste Peggy Dubar.

* * * * * Logement: mises en chantier en hausse de 7% http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/08/29/97002-20170829FILWWW00060-logement-mises-en-chantier-en-hausse-de-7.php

Les mises en chantier de logements neufs ont progressé de 7% de mai à juillet en France, comparé aux trois mêmes mois de 2016, à 101.800 unités, a annoncé mardi le ministère de la Cohésion des territo...

Les mises en chantier de logements neufs ont progressé de 7% de mai à juillet en France, comparé aux trois mêmes mois de 2016, à 101.800 unités, a annoncé mardi le ministère de la Cohésion des territoires. De leur côté, les permis de construire ont augmenté de 10,6% à la même période, à 129.200, toujours sur un an, précise un communiqué.

Par type de logement, les mises en chantier de logements ordinaires affichent une pro-gression de 8,1% à 95.900, de mai à juillet. Quant aux logements en résidence (pour sé-niors, étudiants), un segment de niche plus instable, ils ont reculé de 7,1% à 5.900, sur la même période.

Sur les douze mois écoulés à fin juillet, le nombre de logements neufs commencés a pro-gressé de 14,5% à 402.500 unités. Sur ces mêmes douze mois, les permis de construire ont vu leur nombre augmenter de 13,3% à 482.800, selon les chiffres rendus publics par le ministère en charge du Logement.

Nice: Face aux prix des loyers, des étudiants créent

des logements solidaires http://www.20minutes.fr/nice/2122519-20170828-nice-face-prix-loyers-etudiants-creent-lo-gements-solidaires

Venir étudier à Nice, c’est avoir rendez-vous avec la mer, les galets et le soleil. Mais aussi avec les loyers élevés. Première dépense d’argent pour les étudiants, le logement peut représenter un frein au bon déroulement de leur scolarité. Sur la Côte d’Azur, des étu-diants développent un concept anti-précarité : des appartements solidaires et à loyer mo-déré. Regroupés au sein de la Face 06 (fédération des associations et corporations étu-diantes des Alpes-Maritimes), ils ont lancé le plan Apparté, garantissant des mensualités inférieures à 350 euros.

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A Nice, sur les 2.500 euros que devront débourser les futurs diplômés pour leur rentrée 2017, 600 euros (en moyenne) seront engloutis chaque mois dans leur appartement. « Le logement est le coût le plus important dans la vie d’un étudiant, confirme Juliette Marty de la Face 06. Nice est un cas particulier. Elle est la ville la plus chère de la côte : on paye l’image de la Côte d’Azur, la plage et le fait d’être dans une grande ville. »

Pour combler le gouffre financier que peut représenter un loyer pour certains étudiants, la Face 06 gère cinq appartements individuels et une colocation, tous d’une surface de plus de 30 m2. Depuis trois ans, l’association les attribue a des étudiants avec des critères de revenu, d’investissement scolaire et d’implication sociale.

Ainsi, début septembre, ce sont deux nouveaux jeunes qui ont pu emménager dans ces appartements, des logements sociaux appartenant à la métropole et situés avenue Cyrille-Besset dans le centre-ville de Nice, pour moins de 350 euros par mois. « Le plan Apparté que nous avons créé répond au manque de places dans le logement étudiant, fait remar-quer Juliette Marty. Passé le mois d’août, il faut se tourner vers le parc privé, où il est im-possible de trouver des loyers à moins de 450 euros. »

En plus de ce plan logement créé de toutes pièces, l’association niçoise avait inauguré en 2012 son épicerie solidaire Agorae. Au cours de l’année 2016-2017, elle a enregistré 1.600 passages en caisse. « La situation ne s’améliore pas. De plus en plus d’étudiants sont en situation de précarité », regrette l’étudiante membre de la Face 06 qui espère ob-tenir les clefs d’autres appartements pour les mettre sur le marché social et solidaire étu-diant.

* * * * * Logement étudiant : 200 000 places manquent à

l’appel - freemium http://www.lemoniteur.fr/article/logement-etudiant-200-000-places-manquent-a-l-appel-34783896

Plus d’1,5 million d’étudiants feront leur rentrée universitaire dans les semaines à venir. Malgré les efforts publics et privés en matière de construction, il manque toujours 200 000 places.

Quelque 1 623 500 étudiants feront leur rentrée à l’université en septembre. Et comme chaque année, ils rencontreront des difficultés pour se loger. Surtout que selon une étude de CBRE publiée en septembre 2016, « deux tiers des étudiants résident en dehors du domicile familial pendant la période universitaire », soit près d’1,1 million de jeunes. Avec cette forte masse estudiantine, CBRE estime que près de « 80% de demandes de loge-

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ments étudiants » ne sont pas satisfaites par l’offre publique et privée de résidences col-lectives. « Les besoins en logements pour étudiants seraient aujourd’hui estimés à plus de 200 000 lits pour les 15 plus grandes agglomérations françaises ».

* * * * * Le Premier ministre au chevet des étudiants http://www.journaldeleconomie.fr/Le-Premier-ministre-au-chevet-des-etudiants_a5061.html

Dès le début de la semaine prochaine, Frédérique Vidal la ministre de l'Enseignement su-périeur et de la Recherche va entamer des rencontres avec les organisations étudiantes afin de déterminer ensemble les différents points à améliorer. « On va avancer sur ce plan très vite parce que c'est essentiel de pouvoir sortir de ce plan une meilleure orientation », a expliqué Edouard Philippe. Premier levier sur lequel le gouvernement entend appuyer : celui du pouvoir d'achat. Le locataire de Matignon convient que la baisse des aides au logement, les fameux 5 eu-ros en moins des APL, a été « évidemment » une mesure pas « intelligente ». On prête à Emmanuel Macron un nom d'oiseau plus évocateur encore, le chef de l'État ayant évo-qué… une « connerie ». Frédérique Vidal aura pour mission de redonner du pouvoir d'achat aux étudiants, par exemple pour permettre à l'État de se porter caution pour le lo-gement ; les loyers du CROUS seront gelés à partir du mois de septembre. Et le gouver-nement veut accélérer la construction des 60 000 logements promis par le candidat Ma-cron.

Le Premier ministre veut également faire en sorte que les étudiants puissent mieux s'orienter, ce qui passe par un « certain nombre de compétences pré-requises » dans cer-taines filières. Voilà qui mettrait fin au tirage au sort… mais le risque est la mise en place d'une sélection « déguisée ». Quant au calendrier, il est d'ores et déjà bien établi : la concertation va se prolonger jusqu'au mois d'octobre. Les orientations du plan devront elles être mises en œuvre à partir de la rentrée 2018.

* * * * * Bonne nouvelle, le coût de la vie étudiante à Nice

va baisser pour la rentrée 2017 http://www.nicematin.com/jeunesse/bonne-nouvelle-le-cout-de-la-vie-etudiante-a-nice-va-baisser-pour-la-rentree-2017-161138

L'Unef, un syndicat d'étudiants, vient de dévoiler une enquête montrant que le coût de la vie étudiante augmentera à la rentrée de 2,09%. Le point sur l'évolution du coût des loyers et des transports dans cinq métropoles du Sud-Est.

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Après la réduction de l'aide personnalisée au logement (APL) annoncée par le gouverne-ment, le syndicat étudiant Unef a publié son bilan annuel sur le coût de la vie étudiante.

En termes de loyers et transports quotidiens, la vie sera globalement 2,09% plus chère que l'année passée en France. La région parisienne est la plus touchée avec une hausse d'environ 2,12% contre 1,53% en province.

Alors que dans certaines villes comme Lille et Toulon, le prix des loyers pour les petites surfaces est en baisse, le syndicat étudiant voudrait voir cette tendance généralisée à toutes les communes étudiantes, selon le Journal du dimanche.

Concernant les transports, les quatre villes de province les plus chères -proposant des abonnements supérieurs à 300 euros par an comme en région parisienne- sont Lyon, Di-jon, Tours et Rennes.

Dans le Sud, l'enquête de l'Unef tire des conclusions assez variées, présentant d'un côté des diminutions du coût de la vie importantes, de l'autre une augmentation significative. Ces changements sont essentiellement relatifs aux logements. Du côté des transports, les tarifs ont évolué à la hausse de 0,82%.

NICE ET TOULON PRÉSERVÉES

Bonne nouvelle pour les étudiants vivant à Nice et Toulon, les logements sont en baisse. Pour les transports, les tarifs restent les mêmes. Le prix moyen d'un loyer à Nice est de 570 euros, ce qui représente une petite chute de 0,08%.

A Toulon, les changements sont plus impressionnants avec une évolution de moins 3,40%. Ce qui représente un loyer moyen de 445 euros.

A AIX: SE LOGER SERA PLUS CHER

Du côté des autres gros foyers étudiants: Marseille, Aix-en-Provence et Avignon, tous connaissent l'inflation dénoncée par l'Unef. Il n'y aura pas d'augmentation des tarifs des transports. La ville la moins touchée des trois est Avignon avec une évolution de 0,15%, soit un loyer moyen de 402 euros.

Ensuite à Marseille, les prix ont augmenté de 1,47% sur les locations, soit environ 482 eu-ros mensuels.

Aix-en-Provence est la plus touchée des trois villes. Le coût des logements a augmenté de 2,15%. Cela équivaut à un loyer de 532 euros. On est bien loin des 824 euros par mois que paye un étudiant parisien, mais c'est supérieur à la moyenne en région de 412 euros.

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* * * * * Troquer son lit chez ses parents http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/chasse-au-toit-troquer-son-lit-chez-ses-parents-5195408

Un appart pour la rentrée. Dernière ligne droite pour trouver un logement. Pour les étu-diants, des solutions économiques s'inventent. Comme le site collaboratif StudyEnjoy.

Pourquoi ? Comment ? Qui a eu le déclic ?

L'un des cofondateurs de StudyEnjoy. « Son fils devait partir à Caen pour ses études, résume Audrey Boubé Dinam, la directrice générale du site. Immédiatement, il a été confronté au problème du coût du logement. » Ce père inventif a alors rêvé d'un sys-tème qui permettrait à l'étudiant de troquer sa chambre chez ses parents contre une autre, de même type, proposée par un autre étudiant dans la ville de destination.

« Quand il m'a soumis l'idée, ça m'a tout de suite parlé, confie la jeune femme. Il faut dire que j'ai fait une école de management à Bordeaux. Mais impossible de partir en Argentine finir mon double diplôme : le billet d'avion, la chambre là-bas... Mes pa-rents ne pouvaient pas assumer une telle dépense. Finalement, j'ai atterri à Madrid, où j'ai été logée chez ma meilleure amie. »

Le principe.

Studyenjoy a ouvert son site collaboratif en 2015. Il fonctionne de la manière suivante : l'étudiant intéressé s'inscrit sur la plate-forme. Pour être accepté, il doit mettre un loge-ment à disposition. Sa chambre chez ses parents, chez un oncle, ou encore chez ses grands-parents, par exemple. Mais il peut également proposer son appartement. Ou sa place en co-location. Une équipe technique vérifie son identité, son justificatif de domicile, son téléphone et son adresse mail, pour StudyEnjoy.

Une fois l'inscription validée, le nouveau membre a accès à toutes les offres de logement et peut discuter avec l'ensemble de la communauté via une messagerie sécurisée. Seul frais : 1 € par nuit pour un toit prêté via la plate-forme, pour les frais de mise en relation. L'inscription et le dépôt d'une annonce, c'est gratuit. Cette initiative est née à Nantes, mais elle a vocation à rayonner dans le monde entier.

S'adapter à la mobilité étudiante

Stages, échanges universitaires, Erasmus... « En réalisant notre étude de marché, nous avons compris que seulement 7 % des étudiants ont une place en résidence

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universitaire. Et que la majorité sera amenée à changer de logement tous les six mois en moyenne, détaille Audrey Boubé Dinam. De plus en plus, les parcours uni-versitaires obligent à valider une partie de son diplôme à l'étranger. Alors, plutôt que de payer des cautions, des frais d'agence, plutôt que d'organiser des déména-gements compliqués, à chaque déplacement, nous proposons ce système plus souple. »

La mécanique est fluide, en effet : pas d'échange d'argent entre locataires. Pas de sous-location. Seulement une invitation chez soi, couvert par la plupart des assurances habita-tions par la clause villégiature. Celle qui permet d'héberger un ami, par exemple.

Engranger 15 000 offres

Et si personne ne veut venir chez moi ? « Pas de problème, précise Nicolas Barthe, le président. L'étudiant peut aller vivre chez un Espagnol parti chez un Finlandais, qui lui-même ira chez un Londonien. » Toutes les formules sont possibles, réciproques ou non. Et pas d'obligation de dire oui à la première proposition : « Il est possible de refuser une fois, deux fois... Au bout de trois fois tout de même, on regarde ce qui se passe. »

Problème : le système ne fonctionnera qu'avec un volume d'offres suffisant. Le seuil opé-rationnel est fixé à 15 000 chambres proposées dans le monde. Contre seulement 250 au-jourd'hui, presque un an après le démarrage. Pour passer à la vitesse supérieure, Study-Enjoy lance une collecte sur https ://www.kickstarter.com/projects/315879479/ studyenjoy-the-student-housing-solution.

Objectifs : faire connaître le service à grande échelle et « créer un maillage avec les écoles et les universités ».

* * * * * Les plus beaux campus de France https://www.location-etudiant.fr/actualites/Les-plus-beaux-campus-de-France-501.php

Résidences étudiantes, commodités diverses, espaces verts… Plusieurs critères sont à considérer pour classer un campus universitaire parmi les « meilleurs ». Pour la France, en voici cinq qui sortent du lot !

Campus de Grenoble

Considéré comme l’un des plus beaux campus de France, le campus de Grenoble se trouve dans un environnement singulier. Sa superficie de plus de 175 hectares compte 3000 arbres, plusieurs salles de spectacles et de sports, et une quarantaine d’œuvres

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d’art. En somme, il s’agit d’un endroit calme, plaisant et vert, à l’image de la cité greno-bloise, connue pour ses activités de plein air et ses magnifiques paysages.

Campus de Paris, Sciences Po

Cœur historique de Sciences Po, le campus de Paris se distingue par son emplacement. Localisé à Saint-Germain-des-Prés, au cœur de la Ville lumière avec un accès direct aux installations et commodités urbaines. Le Louvre et le Quartier Latin ne sont qu’à cinq mi-nutes ! Le campus s’illustre entre autres par ses 80 associations d’étudiant autour des-quelles s’organise la vie du campus.

Campus de Beaulieu, Université de Rennes 1

Ce campus de 60 hectares a été bâti dans les années 60. Il abrite plusieurs infrastructures destinées à la recherche et à l’enseignement, mais également aux sports et à la culture. Une vingtaine d’unités de recherche appuyées par de grands organismes comme l’INRA ou le CNRS, ainsi que l’espace culturel de Rennes 1, le Diapason, sont présents sur le campus.

Campus de Lyon Tech-la Doua

Regroupant 40 % du potentiel lyonnais, ce campus de 100 hectares compte 80 labora-toires de recherche, 1500 chercheurs et plus d’un millier de doctorants. L’endroit comprend plusieurs structures, dont l’université de Bernard Lyon I, trois écoles d’ingé-nieurs, des IUT, des bibliothèques et des lieux dédiés à la culture. Côté transport, les étu-diants peuvent circuler librement sur le site grâce aux vélos mis à leur disposition gratui-tement.

Campus de Brest, IMT Atlantique

Plus de 24 000 étudiants fréquentent l’université, les 9 écoles d’ingénieurs et les centres de recherche du campus. Son atout principal étant sa localisation, puisqu’il se trouve dans une ville plutôt centrée : Paris, Londres et Bruxelles ne sont qu’à une heure de vol. De plus, il existe plusieurs liaisons quotidiennes entre ces villes, dont 10 vers la Capitale fran-çaise. Pour ce qui est de la vie étudiante, tout a été pensé : équipe pédagogique, équipe-ments modernes, contact privilégié avec les entreprises…

* * * * * Une résidence étudiante « hyper-connectée » va

bientôt sortir de terre, à Toulouse � /�11 23

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https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/un-residence-etudiante-hyper-connectee-va-bien-tot-sortir-terre-toulouse_11550426.html

Il doit sortir de terre pour la rentrée 2018, et il sera le premier bâtiment du genre à Tou-louse. Baptisé « le Newton », cet immeuble de six étages, actuellement en construction en août 2017, se situera à 100 mètres à peine de la station de métro Borderouge. Imagi-née par la société LP Promotion, un promoteur basé à Toulouse et à Bordeaux, cette rési-dence va proposer 166 logements étudiants et une nouvelle séries de services jusque là peu répandus dans l’immobilier collectif.

Des gadgets pour se faciliter la vie

Les 166 appartements prendront la forme de studios allant de 16 à 27m2. Ils auront tous un balcon. Le loyer moyen est estimé à 360 euros par mois.

Pour ce tarif, les étudiants profiteront :

• de radiateurs et thermostats intelligents : chaque locataire pourra en temps réel consulter sa consommation d’énergie grâce à une application smartphone. Les données seront envoyées en permanence par une borne de son réseau élec-trique, ce qui l’aidera à savoir ce qui consomme le plus dans son logement.

• de boîtes au lettres et écrans connectés. Avec la participation de La Poste, les boîtes aux lettres seront connectées, elles enverront un sms au locataire pour lui avertir de la réception d’une lettre. Un écran interactif sera à l’entrée du bâtiment pour informer sur les horaires de bus/métro (exactement le même écran que ceux de la station Borderouge). La laverie sera également connectée. Depuis son ap-partement, l’étudiant pourra savoir si une machine à laver est disponible.

• d’ascenseur jamais en panne, équipé d’une batterie alimentée grâce aux mouve-ments de va-et-vient de l’élévateur. En cas de panne, l’ascenseur aura en théorie une autonomie de plusieurs heures.

• de recharges pour véhicules électriques. Ces bornes seront aussi ouvertes aux non-habitants de la résidence. Un libre accès qui complète un besoin dans le quar-tier car, selon LP Promotion, Borderouge ne possède pas encore de bornes pour ce type de véhicules.

Ces futurs « habitats intelligents » n’ont pas comme objectif premier d’émerveiller les loca-taires qui y prendront place. Convaincu qu’il s’agit de « l’avenir du bâtiment », Pierre Aoun, directeur général de LP Promotion, espère plutôt qu’il va aider à faire des écono-mies d’énergie :

L’idée de base pour nous ce n’était pas d’être les plus innovants, mais de donner une transparence au coût de l’énergie via l’application qui reçoit les informations en temps

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réel. On espère que cela pourra aider les résidents à améliorer leur comportement et leur consommation.

LP Promotion prévoit d’appliquer de type de connexions dans toutes ses résidences étudiantes. À Toulouse elle en possède trois déjà construites, et deux autres devraient sortir de terre en plus du « Newton ».

* * * * * Le casse-tête estudiantin de la recherche de loge-

ment http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Economie-social/n/Contenus/Ar-ticles/2017/08/16/Le-casse-tete-estudiantin-de-la-recherche-de-logement-3194688

Bientôt, les étudiants entameront une nouvelle année scolaire. L’été est alors l’occasion de trouver son futur lieu de vie : en passant par une agence ou non.

Sans vouloir virer au verbeux, il faut se résoudre aux nécessités de l'énumération : Institut de formation en soin infirmier (IFSI), Institut universitaire de technologie (IUT), Institut na-tional des sciences appliquées (INSA), antenne de l'Université François-Rabelais ; sans parler des différents lycées professionnels qu'ils soient hôteliers ou non. Il est logique de voir en Blois la destination la plus prisée par les étudiants, en tout cas dans le départe-ment. Ils sont quelque 3.600 à en franchir les frontières pour s'établir le temps de quelques semestres.

Malgré quelques différences en fonction des écoles, la rentrée scolaire prend place en septembre et par conséquent, « la période estivale de juin à août est un moment privilégié pour la recherche d'appartement », assurent les différentes agences immobilières.

" En août c'est le temps des retardataires "

Plusieurs temps de la recherche peuvent être dégagés, constate Corinne Maeght, char-gée de location à l'agence La Forêt dont le parc en gestion compte 280 biens : « en juin, les plus prévoyant commencent à chercher. En juillet, encore davantage, c'est le mois où les visites sont les plus nombreuses. En août, c'est le moment des états des lieux ou celui des retardataires ». Pour ces derniers, nulle équivoque : « on est forcé de leur faire com-prendre qu'il sera difficile d'être exigeant ». Certaines restent néanmoins prégnantes : celles du prix – « entre 300 et 400 € pour un studio, et jusqu'à 600 € pour une colocation » –, puis de la situation géographique.

Une même logique se dévoile chez Mail Immobilier, une petite agence du centre-ville, ex-plique Noémie Benchimol. Bien qu' « il n'y a [it] pas tant de colocation que ça, commence-

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t-elle, ce qui est dû à la situation de Blois à mon avis : les gens ont investi dans des T1 et des T2, au dessus, ce sont des logements d'habitation ».

Une tendance de ces dernières années semble se dessiner : la « concurrence » de la pla-teforme Airbnb qui a eu tendance à tarir pendant la période estivale (tourisme blésois oblige) « le nombre de logements meublés pourtant très prisés par les étudiants qui res-tent souvent un an avant de repartir et qui préfèrent ne pas acheter de mobilier », analyse Noémie.

Si le passage par des agences concerne toutes les couches sociales malgré les frais, ils sont de plus en plus nombreux à leur préférer les sites de référencement comme lebon-coin.fr afin de trouver leur bonheur.

* * * * * Allemagne : Découvrir des logements étudiants

différents : le Bungalowdorf https://vivreamunich.com/decouvrir-des-logements-etudiants-differents-le-bungalow-dorf.html

Munich offre un ensemble architectural unique au monde : le Bungalowdorf. Ce sont des mini-villas pour étudiants en béton, que chacun peut peindre à sa guise. Construits pour les Jeux Olympiques de 1972, les Bungalows pour étudiants ont été rasés en 2007, pour cause d’insalubrité, et reconstruits en 2009. Le Bungalowdorf héberge 1250 étudiants, contre 800 auparavant. Les Bungalows d’aujourd’hui poursuivent l’objectif original : dispo-ser d’un logement étudiant individuel, bon marché et personnalisable.

Chacun affiche sa couleur au Bungalowdorf

Les murs extérieurs des Bungalows sont peints selon le goût de chacun, avec des restric-tions concernant les messages qui ne doivent être ni sexistes, ni racistes, entre autres…. Naïfs pour certains, plus artistiques pour d’autres, en tout cas, chacun peut afficher sa couleur. Et, parce qu’on est en Allemagne, pinceaux et peintures, neutres pour l’environ-nement, sont fournis !

Chaque étudiant dispose en outre d’une petite vitrine en format panoramique pour présen-ter des objets qui lui tiennent à coeur : d’une collection de dentiers (si, c’est vrai !), à des colombes en terre cuite en passant par des souvenirs bavarois, les sources d’inspiration sont variées !

Un logement optimisé

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Les logements sont tous les mêmes : quadratisch, praktisch. Avec 16m2 sur deux niveaux, les étudiants ont une pièce de vie qui fait office de salon/salle à manger/cuisine, petite mais qui offre la possibilité de recevoir des amis, et, à l’étage, un lit/bureau/douche, sans aucune place perdue. Les grands gabarits ont intérêt à se séparer du bureau pour pou-voir placer un lit approprié…A cela s’ajoute une petite terrasse, pour prendre le soleil ou entreposer linge et vélo…

Si les étudiants apprécient cette solution, c’est non seulement pour l’autonomie supérieure à celle d’une colocation (WG) mais aussi, bien évidemment, pour le loyer, très abordable. Il est en effet de 300 € (tarif 2016), tout compris, WiFi inclus, une rareté dans Munich. Au-tant dire que la liste d’attente est longue !

Un village à découvrir

Le Bungalowdorf se laisse volontiers observer. Il est ouvert et partage avec les visiteurs ses murs et ses décorations. Il occupe une vaste superficie au milieu des immeubles de standing et des villas pour les familles. Situé à côté de la station de métro Olypiazentrum, il est proche du parc olympique et de ses nombreuses offres de loisirs, mais aussi de l’université et de centres commerciaux.

L’ensemble, appelé Olympisches Dorf, était conçu à la base pour héberger les quelque 12.000 sportifs présents pour les J.O de 1972. 45 ans plus tard, il a plutôt bien traversé le temps. Planté de nombreux arbres, bien entretenu, il témoigne d’une certaine qualité de vie, d’une jolie reconversion.

* * * * * À Toulouse, il faut débourser 450 euros en

moyenne pour un studio http://toulouse.latribune.fr/immobilier/2017-08-10/a-toulouse-il-faut-debourser-450-euros-en-moyenne-pour-un-studio-746051.html

Un studio à Toulouse coûte 45% moins cher qu'à Paris où il faut débourser 824 euros en moyenne. Un studio à Toulouse coûte en moyenne 45% moins cher qu'à Paris selon une étude réali-sée par un site d'annonces entre particuliers. Les loyers dans la Ville rose sont également moins onéreux qu'à Bordeaux et Montpellier, les métropoles voisines. Toulouse accueille chaque année près de 110 000 étudiants, soit un quart de la population intramuros de la Ville rose. Au-delà du climat et des établissements universitaires renom-més, Toulouse dispose d'un autre atout pour attirer les étudiants : des loyers relativement modérés. Selon une étude réalisée par Locservice (site de location entre particuliers), sur

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35 000 annonces déposées sur le site à travers la France, un studio (le type d'apparte-ment recherché par 57% des étudiants) coûte en moyenne 450 euros à Toulouse.

13% des étudiants toulousains viennent d'Île-de-France

C'est moins cher que dans les grandes villes universitaires du Sud de la France : Montpel-lier (477€), Bordeaux et Marseille (482€), Lyon (511€) ou Aix-en-Provence (532€).

Un studio à Toulouse coûte 45% moins cher qu'à Paris où il faut débourser 824 euros en moyenne. D'ailleurs même si plus de la moitié des étudiants de la Ville rose sont origi-naires de Toulouse, 13% d'entre eux vivaient auparavant en Île-de-France, (3% en prove-nance de Bordeaux, Lyon ou Montpellier).

Sans surprise, il faut sortir des métropoles pour décrocher un studio à moins de 400 eu-ros. Dans la région Occitanie, un logement de ce type entre 20 et 30 m2 coûte en moyenne 391€ à Perpignan, 387€ à Nîmes, 357€ à Montauban et 337€ à Tarbes.

D'après les annonces analysées par Locservice (1 353 sur Toulouse), il faut débourser en moyenne 364€ pour une chambre indépendante ou chez l'habitant. Une chambre en colo-cation se trouve à des prix quasi similaires (368€). Une chambre en résidence privée coûte plus cher qu'un studio (467€). Enfin, il faut compter 491€ en moyenne pour un T1 et 596€ pour un T2.

* * * * *

Quel budget étudiant pour résider à La Rochelle ? https://www.location-etudiant.fr/actualites/Quel-budget-etudiant-pour-resider-a-La-Ro-chelle--500.php

La Rochelle fascine par son cadre de vie et son patrimoine naturel et culturel. Capitale his-torique de l’Aunis, La Rochelle est la troisième ville la plus visitée de France et se classe en top 3 des villes moyennes où il fait bon étudier.

Pour accueillir les étudiants, il y a 1 résidence étudiante à La Rochelle et plusieurs offres de location d’appartement dans le parc immobilier privé. L’étudiant dispose d’un large choix pour se loger à petit prix dans la préfecture du département de la Charente-Maritime où le loyer moyen est 47 % moins cher qu’à Paris.

Parc locatif rochelais : quels appartements pour quels budgets ?

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Le marché locatif à La Rochelle est semblable à celui des villes où réside une impor-tante population étudiante. La location de logements d'une pièce prédomine avec une part de 43 % pour les studios et les appartements T1. Pour rappel, ces logements qui dis-posent tous deux d’une seule pièce principale et de sanitaires séparés, diffèrent au niveau de leur configuration : dans un studio la cuisine est incluse dans la pièce de vie tandis que dans un T1, elle est cloisonnée. Compter 450 € de loyer moyen pour louer un une-pièce d’environ 28 m².

La Rochelle est également active sur le marché locatif d’appartements deux et trois pièces. 28 % des locations réalisées sont des appartements T2. Cela s’explique par le bon rapport confort prix : pour 584 € l’étudiant dispose de deux pièces en plus d’une cui-sine et d’une salle d’eau contenant ou non les toilettes (environ 39 m²). Par ailleurs, la lo-cation d’appartements T3 (trois pièces hors cuisine, salle de bains et toilettes) est en plein essor avec 11 % de parts de marché. De plus en plus de jeunes les occupent en co-location afin de partager le loyer qui s’élève à 770 € pour une surface 60 m².

13 000 étudiants comblés par le cadre de vie rochelais

La cité rochelaise réunit commodités et environnement préservé pour offrir à ses habitants la meilleure qualité de vie. L’offre diversifiée de transports publics se combine avec les ins-tallations commerciales, culturelles et sportives (marchés, musées, piscines, stade…) ain-si que les parcs et jardins urbains pour faciliter le quotidien au cœur de la ville. Tout au-tour, la myriade d’activités permises par l’ouverture sur l’océan ravit également les Roche-lais (plages, thalassothérapie, aquarium, visites du port et du phare...).

* * * * * Chambéry, une ville étudiante dynamique https://www.location-etudiant.fr/actualites/Chambery-une-ville-etudiante-dynamique-498.php

Chambéry se trouve dans le top 5 des villes moyennes où il fait bon étudier d’après le palmarès des villes étudiantes françaises pour l’année 2016-2017.

La capitale des Ducs de Savoie située entre le massif des Bauges et les parcs de la Char-treuse offre un cadre idéal pour les étudiants. Il est par exemple facile d’accéder à un lo-gement étudiant à Chambéry. En effet, en plus des logements disponibles dans le parc privé, l’on compte 4 résidences étudiantes à Chambéry. Par ailleurs, les loyers moyens généraux y restent aux environs de 599.5 euros (tous types de logements confondus) par mois.

Studios, T1, T2… à disposition

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Avec une demande globalement inférieure à l’offre, le marché locatif à Chambéry reste ouvert. Cela signifie que les étudiants chambériens ont le choix quant à leur logement. En revanche, selon le sondage réalisé par le site locservice.fr, 55 % des locations réalisées à Chambéry tous les ans concernent les logements de moins de 30 m². Il s’agit surtout des chambres, des studios, des appartements de type T1 et T2 qui se louent respective-ment à 313 euros, 398 euros, 476 euros et 565 euros en moyenne par mois (cf Baromètre Loyers 2016).

Dans la plupart des cas, ces logements comprennent des bâtiments situés à quelques mi-nutes d’un arrêt du bus ou d’une gare de la SNCF, d’un stationnement local, d’un espace collectif tel qu’une laverie et d’une sécurité assurée par un gardien ou un veilleur. Pour l’étudiant, le choix se limite alors entre le calme d’un studio avec une cuisine (kitchenette, réfrigérateur, évier), des sanitaires et des mobiliers individuels et la convivialité d’une co-location dans un appartement de type T4 qui propose un loyer moyen mensuel de 946 euros.

Chambéry, la métropole rayonnante

Comptant actuellement 13 000 étudiants, dont 1500 étudiants internationaux, la métropole rayonne grâce à ses nombreux établissements d’enseignement supérieur comme l’École Nationale des Arts et Métiers (ENSAM), l’ESC Chambéry, l’Université Savoie Mont Blanc (USMB), l’Institut de Formation en Soins infirmiers… et à ses nombreuses acti-vités municipales, à l’instar du Salon de l’étudiant, de la journée « Job étudiant », des Ca-fés logements…

* * * * *

Trouver un logement : le casse-tête de la pré-ren-

trée étudiante - Nevers (58000) http://www.lejdc.fr/nevers/social/education/2017/08/06/trouver-un-logement-le-casse-tete-de-la-pre-rentree-etudiante_12508163.html

Les vacances d’été ne sont pas forcément de tout repos pour les futurs étudiants. Surtout lorsqu’ils sont affectés à une formation à l’autre bout de la France

Poursuivre des études supérieures implique souvent pour les Nivernais de s’éloigner de son foyer. De nombreux paramètres sont alors à prendre en compte. La distance implique-t-elle de prendre un appartement ? Avec quel budget ? Comment constituer un bon dossier de location ?

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La chasse aux appartements

Il ne faut pas négliger les autres frais et imprévus : la caution, l’ameublement, le trans-port… Il faut surtout faire attention aux pièges. Et ne pas se faire avoir par le temps. Un vrai casse-tête pour les étudiants et leur famille.

Barka, 23 ans, entre en première année de master. Après le lycée Alain-Colas, à Nevers, et un diplôme des Beaux-Arts, à Clermont-Ferrand, elle a pris une année sabbatique afin de s’ouvrir à de nouvelles expériences et de se donner le temps de réfléchir, à 19.000 km d’ici, en Nouvelle-Zélande ! Forcément, tout est plus compliqué quand, au printemps, elle décide de postuler dans des universités françaises depuis l’autre bout du monde.

Après l’envoi des dossiers de candidature, une faculté accepte de la recevoir pour un en-tretien. « Par chance, aujourd’hui, certaines universités acceptent de faire passer les en-tretiens par vidéoconférence », raconte-t-elle. Malgré « la mauvaise connexion et les bruits alentours », sa candidature est retenue. En septembre, elle rejoindra donc Aix-en-Pro-vence.

La chasse aux appartements peut commencer. Mais « attention aux arnaques, comme avec certaines annonces sur Le Bon Coin qui demandent, par exemple, d’envoyer les cautions par La Poste » conseille-t-elle. De même, il faut faire un tri des annonces aux prix gonflés pour des studios dans un état douteux ou aux messages qui ne décrivent pas fidè-lement l’appartement.

« En ce moment, tous les étudiants cherchent un studio. Les logements disponibles partent du jour au lendemain. » Il faut donc se montrer réactif. Et ce n’est pas toujours fa-cile, surtout pour organiser des visites au plus vite depuis la Nièvre. Souvent plusieurs (coûteux) allers-retours sont nécessaires.

Barka se sait chanceuse d’avoir ses parents à ses côtés, ainsi que des aides de l’État, comme les bourses du Crous ou l’APL qui finance une partie du loyer. Ce n’est pas le cas de tous les étudiants. Certains ont des difficultés à trouver un logement dans leur budget, à avancer un mois de loyer, à régler la caution et les potentiels frais d’agence ou encore à monter un dossier sans garant solide.

Soyez bien entouré, cela facilite les démarches

Barka s’est décidé pour un logement à Marseille, car les prix sont plus abordables, quitte à faire trente minutes de bus tous les jours pour aller à l’université. Il faut souvent faire des sacrifices sur certains critères. Trouver le logement qui réunit toutes les critères idéaux re-lève du miracle.

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« Il y a aussi ma petite sœur, qui part effectuer sa première année d’études supérieures dans une autre ville, c’est un deuxième loyer à financer », ajoute Barka. Cela promet une bonne dose de stress pour organiser les déménagements et tout ce qui s’en suit.

* * * * * Les chiffres-clés du logement étudiant à Lille et Vil-

leneuve-d’Ascq https://blog.locservice.fr/chiffres-cles-logement-etudiant-a-lille-villeneuve-dascq-4339.html

Alors que la course au logement étudiant a démarré, LocService.fr dévoile quelques statis-tiques pour mieux comprendre le marché locatif étudiant en région lilloise dans le parc privé en 2017. L’occasion de faire le point notamment sur les loyers, les types de loge-ments les plus loués ou les garants utilisés.

La moitié des étudiants lillois préfère se loger dans un studio ou un T1

Sur les 887 demandes de locataires étudiants analysées par LocService.fr, un étudiant sur deux recherche en priorité un studio ou un appartement T1 (une pièce). L’appartement avec une chambre (T2) est le choix de 14 % d’étudiants en couple ou plus aisés. La chambre étudiante, indépendante ou chez l’habitant, recueille seulement 11 % des re-cherches alors qu’un logement en colocation est plébiscité par 24 % des étudiants. Ce chiffre est équivalent à celui de la capitale. Le budget moyen d’un étudiant à Lille est de 565 €, ce qui est supérieur à la moyenne provinciale (515 €) mais nettement moins élevé que le budget d’un étudiant parisien (802 €).

Les loyers moyens des logements étudiants à Lille et Villeneuve-d’Ascq

Ce graphique permet de situer le loyer moyen charges comprises d’un logement étudiant sur Lille par rapport à Villeneuve-d’Ascq. Selon le type de bien, les loyers de Villeneuve-d’Ascq sont de 2 à 7 % moins chers environ que Lille, à l’exception des résidences privées qui sont, elles, un peu plus chères qu’à Lille.

Bien entendu, ces données ne sont que des moyennes. Sachant que le studio est le type de bien le plus recherché par les étudiants, il est intéressant de comparer les loyers prati-qués pour les studios dans les principales villes universitaires de la région. Avec 466 €, Lille est la ville universitaire la plus chère des Hauts-de-France du fait de son importance. Elle est suivie par Villeneuve-d’Ascq puis Beauvais, qui affiche 430 € en raison de sa proximité de la capitale. Les autres villes, plus abordables, permettent à un étudiant de se loger dans un studio pour un loyer moyen de 400 € ou moins.

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Les loyers moyens, charges comprises, observés dans la région des Hauts-de-France pour un studio étudiant.

Qui sont les garants des étudiants à Lille ?

Beaucoup de propriétaires de Lille apprécient de louer à des étudiants en raison de la caution des parents. Sans surprise, la famille assure donc dans 94 % des cas le rôle de garant. D’autres étudiants (1 %) se tournent vers des amis alors que 2 % ne disposent d’aucun garant. A noter que seulement 1 % des étudiants en recherche sur Lille s’appuient sur le dispositif CLE (Caution Locative Etudiant) garanti par l’état.

D’où viennent les jeunes qui étudient à Lille ?

Voici le top 5 des origines des étudiants cherchant un logement à Lille :

• Lille : 47 % • Paris : 18 % • Lyon : 3 % • Bordeaux : 2 % • Toulouse : 2 % Il y a ainsi presque 1 candidat locataire sur 2 qui habite déjà à Lille.

* * * * * Un étudiant consacre en moyenne 583 € par mois

pour son budget logement https://www.agecor.fr/2017/08/un-etudiant-consacre-en-moyenne-583-e-par-mois-pour-son-budget-logement/

57 % des étudiants recherchent en priorité un studio ou un appartement T1.

Après avoir analysé plus de 35 000 dossiers, le site Internet www.LocService.fr a publié une étude sur les principaux chiffres du logement étudiant en France en 2017. Cette étude nous apprend notamment que 57 % des étudiants recherchent en priorité un studio ou un appartement T1, 14 % s’orientent vers un appartement avec une chambre (T2), 9 % sont en quête d’une chambre indépendante ou chez l’habitant et 20 % plébiscitent la formule de la colocation. Autre information, en moyenne, les étudiants consacrent un budget de 583 € par mois pour leur logement. En province, ce montant tombe à 515 € alors qu’en petite et grande couronne parisienne, il est respectivement de 723 € et de 667 €. Ceux qui

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ont la chance de pouvoir accéder à un logement dans la capitale déboursent environ 802 €.

Soulignons également que les chambres étudiantes se louent 391 € pour une surface de 14 m², les studios 496 € pour 24 m², les appartements T1 489 € pour 30 m² et les appar-tements T2 641 € pour 43 m².

Enfin, il faut noter que les étudiants privilégient bien évidemment les grandes villes pour s’installer, là où les offres de formations sont les plus attractives ou les plus nombreuses. Les villes privilégiées étant Paris, Lyon, Bordeaux, Toulouse et Montpellier.

* * * * * Comment se logent les étudiants à Tours ? http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2017/08/01/Comment-se-logent-les-etudiants-a-Tours-3181990

Le site LocService.fr a analysé 300 demandes locations étudiantes : studios et T1 concentrent deux tiers des locations pour un budget moyen de 449 €.

Depuis le jeudi 5 juillet et la parution des résultats du bac, les familles ont débuté la re-cherche de logements pour la rentrée.

Entre les résidences Crous, les locations avec frais d'agence ou les résidences étu-diantes, le choix est large. Une autre option existe : la location de particuliers, spécialité du site locservice.fr qui a analysé plus de 300 demandes de location d'étudiants en re-cherche à Tours.

Quel type de logement ? Sans surprise, les studios ou T1 concentrent la majorité des demandes (65%).

La colocation (14%, contre 23 à Paris) suit, devant l'appartement de type 2 (11%) et la chambre (10%).

En moyenne, l'étudiant tourangeau doit débourser 449€ par mois pour se loger. C'est un peu moins que la moyenne en province (515€) et très loin de Paris (802€).

Loyers moyens par logement (charges comprises). Sans surprise, la chambre reste le moyen le plus économe (302€), devant la chambre en colocation (346€), le studio (386€), le T1 (429€), le T2 (563€). Sur l'offre studio, la plus recherchée, Tours se situe au 3e rang de la ville la plus chère en région Centre Val de Loire, derrière Orléans (390€) et Chartres (395€). A Paris, louer un studio revient en moyenne à… 824€

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Qui sont les garants et d'où viennent les étudiants ? Un quart des étudiants en re-cherche de logements habitent déjà à Tours. Les autres viennent de Paris (15%), Bor-deaux (9%), Nantes (6%), Angers (4%)…

La famille assure dans 95% des cas le rôle de garant. Très peu d'étudiants (1%) se tournent vers des amis alors que 2% n'ont pas de garant.

A Tours, seulement 2% des étudiants utilisent le dispositif CLE (caution locative étudiant) garanti par l'État. La CLE permet à tout étudiant âgé de moins de 28 ans, disposant de re-venus, mais ne pouvant se porter garant, d'obtenir le versement d'une caution.

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