retour sur La mandature 2010/2013 - press-com.fr · - Élections CCI 6/7/8> dossier spécial - Y. Grosso : retour sur 3 ans de mandature - un mandat sous le signe de la communication

mandature 2010/20134 faits marquants.

dossier spécial

Yvon GrossoBilan sur 3 ans de mandature.

focusAccéder aux marchés publics ; Le mécénat d’entreprise.

retour sur La mandature 2010/20134 6 9

trIMestrIeLn ° 3 4 - j u i n 2 0 1 3

L E P A R T I D E L ’ E N T R E P R I S E www.upe06.com

sommaire4/5> mandature

2010/20134 faits marquants : - 10e Anniversaire des

entreprenariales ;- BA06 event et le

Fonds entrepreneurial ;- Performance Gobale 06 ;- Élections CCI

6/7/8> dossier spécial- Y. Grosso : retour sur 3 ans

de mandature- un mandat sous le signe

de la communication

9/10> actu- Le mécénat d’entreprise- Accéder aux marchés

publics

11> événements- Forum Networking 16/5- Les Candidats à la

Présidence du Medef en Campagne

- Colloque sport et culture 6/9

12/13> portraits- Michel PuY, Président de

la Chambre syndicale des Promoteurs Constructeurs Côte d’Azur et Corse

- tarek GHANDour, PDG de retIF

14> focus- Les 40 ans de l’uPe06

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Le magazine de l’union pour l’entreprise des alpes maritimes est édité par l’uPe 06 - Cap Var - Bâtiment C2 (2e étage) Avenue Georges Guynemer - 06700 Saint-Laurent-du-Var - Tél. 04 92 27 27 60 - Fax : 04 92 27 27 70 - www.upe06.com [email protected] - Direction de la publication et coordination : Philippe de Baudan - Secrétariat de rédaction : Nadine Bauer (Press & Com) - Rédaction : François Rosso - Conception graphique et mise en page : Éric Farge (Studio Virgule) - Crédits photos : Gettyimages, D.R. - Impression : NIS Photoffset - Les informations contenues dans ce document ne sont pas contractuelles et n’engagent pas l’uPe06. tous droits de reproduction interdits sans autorisation de l’éditeur. Imprimé sur papier recyclé 135 g. « imprim’vert » avec des encres végétales.

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ÉDITOun engagement interProfessionneL

Être président de l’UPE06 n’est pas un exercice facile quant il s’agit de mobiliser les entreprises, de toutes tailles et de tous secteurs d’activités, à s’engager dans une organisation interprofessionnelle.

La défense de plusieurs professions n’est possible que si après concertation, elle se fait au bénéfice d’un intérêt général pour notre territoire et non par intérêt corporatiste ou individuel.

Notre richesse vient de nos différences mais aussi de ce qui nous rassemble autour des points communs qui impactent la marche de nos entreprises : comme par exemple la législation sociale, fiscale, le coût du travail, la compétitivité, etc.… Autant de sujets pour lesquels nous devons nous battre et nous engager ensemble.

L’émergence de l’échelon régional ne doit pas être un échelon hiérarchique, bien au contraire, il doit être un facilitateur pour le développement de notre département. De ce fait, nous devons travailler ensemble et unis avec toutes les composantes patronales locales pour faire avancer nos projets communs.

Dans la période difficile que nous traversons, nous devons être force de propositions et faire entendre notre voix auprès de la puissance publique. Seules les entreprises pourront sortir notre pays de l’impasse où il se trouve et c’est avec elles que nos gouvernants devront conduire les réformes pour un nouveau modèle économique adapté à la nouvelle donne mondiale.

Engageons nous ensemble !

YvON GrOSSO, PréSiDENt DE L’UPE06Le parti de l’Entreprise

uP e 0 6 M A G A zINe juIN 2 013

8 décembre 2011 : 10e édition des entrePrenariaLes !

Le 10e anniversaire des entreprenariales, en 2011, restera comme l’un des temps forts de la mandature qui s’achève.

« Délocalisée » à Mandelieu-la-Napoule, l’édition « Anniversaire » avait accueilli 84 exposants et plus de 2 000 visiteurs autour du thème « Demain l’entreprise ». un parterre d’invités prestigieux donnait encore plus d’éclat à la manifestation. Luc Ferry, jean-Marc sylvestre, sophie de Menthon, Geoffroy roux de Bézieux avaient proposé des analyses pertinentes, alors que Denis Massiglia, président du CNosF, et Daniel Costantini, le « pape » du handball français, avaient évoqué les passerelles « sport / entreprises » et mettaient en avant les qualités nécessaires, souvent similaires, pour réussir. Cette journée rencontra un franc

succès qui n’a pas été démenti depuis. Les entreprenariales, événement incontournable de la vie économique azuréenne, ont en effet pour ambition de réunir en un seul lieu, sur une seule journée, les chefs d’entreprises, leurs interlocuteurs habituels et leurs partenaires potentiels, afin de favoriser les rencontres dans un contexte différent et de prendre de la hauteur par rapport à un quotidien stressant pour réfléchir autrement, discuter de modalités d’approches particulières, confronter les expériences... Prochain rendez-vous à l’automne à Nice Acropolis.

fonds entrePreneuriaL 06 : une Première azuréenne

dans le paysage économique azuréen, c’était un manque d’autant plus grand que notre territoire accueille des entreprises performantes au rayonnement national et international : le lancement du fcPr fonds entrepreneurial 06, premier fonds d’amorçage des alpes-maritimes, a comblé un vide et dégagé des perspectives à des chefs d’entreprise résolument engagés sur les pistes de l’innovation, là où les retombées économiques sont les plus attendues.

Le président Yvon Grosso, Christian tordo, délégué au développement économique au sein de la Métropole Nice-Côte d’Azur, Guillaume Pellery, directeur de Investissement equitis Gestion, et Georges Dao, président de BA06 Accompagnement ont porté sur les fonds... baptismaux ce nouveau service soutenus par 15 chefs d’entreprises de renom et 3 banques locales. Les fonds ainsi levés – contrôlés et agréés par l’autorité des marchés financiers – vont favoriser le “small business act” et le « made in Côte d’Azur » sur le marché de l’innovation. Ce marché a, en parallèle, son salon en propre, le BA06 event, dont l’objectif premier est de mettre en relation les jeunes entreprises innovantes, les donneurs d’ordre, les investisseurs et autres partenaires. Les réseaux, la facilitation des échanges, la proximité font la force de l’uPe06.

RETOuR SuR 4 ÉVÉNEmENTS CLEFS Au COuRS DE LA mANDATuRE 2010-2013uPE06 : DÉFENDRE, ACCOmPAGNER, PROmOuVOIR, INNOVER

Les 4 FA Its M A rquA Nts 2010/2013

FoCus dos sier spéc i a l ACtu Brè v es ser v ICes Portr A Its

4 uP e 0 6 M A G A zINe juIN 2 013

Performance gLobaLe 06 : L’aventure durabLe

initiative unique en france, Performance globale 06 est une action clairement en faveur du développement économique durable des Pme des alpes-maritimes, en lien direct avec la rse – responsabilité sociétale des entreprises, norme iso 26 000 – et la stratégie carbone, destinée à limiter les émissions de gaz à effet de serre.

20 PMe / PMI ont été séduites par l’aventure proposée par l’uPe06, accompagnées par des parrains au rayonnement international, avec le soutien de l’europe, l’etat, la région PACA et l’ADeMe. objectifs ? répondre aux nouvelles attentes des marchés en matière de rse et de développement durable. Au terme de 12 mois de mise en œuvre de ce programme, les résultats dans les domaines : environnemental (respect de l’environnement), social (bien-être au travail, parité, handicap, etc.) et économique (retombées concrètes) sont perceptibles. on retiendra l’obtention de nouveaux marchés pour un montant de 5,7 M€, la création de 9 emplois en CDI, l’économie de 29 000 tonnes de C02. un bilan définitif aura lieu fin 2013, avec l’espoir de faire des émules.

novembre 2010 : éLections à La cci nice côte d’azur. Le grand chéLem de L’uPe06

une fois encore, au cours des élections à la chambre de commerce et de l’industrie nice-côte d’azur, suivies de l’élection à la présidence de la cci régionale Paca, la liste de l’uPe06, conduite par bernard Kleynhoff a fait « carton plein », en remportant la totalité des sièges à pourvoir.

quant à Dominique estève, après avoir présidé aux destinées de la CCI azuréenne, il a été installé sans coup férir dans le fauteuil de président régional, à Marseille. Cette belle victoire a fait dire à Yvon Grosso que « l’uPe06 était bel et bien représentative de l’ensemble des entreprises des Alpes-Maritimes, car elle était le parti de l’entreprise ». et de féliciter les élus qui ont « la chance de participer activement au développement du territoire économique azuréen ».

Les 4 FA Its M A rquA Nts 2010/2013


5uP e 0 6 M A G A zINe juIN 2 013

À la fois gardien du temple et réformateur, le président Yvon Grosso, dont le mandat vient d’être renouvelé, évoque, sans langue de bois, les temps forts de son action et les défis qu’il a fixés à l’UPE06.

Cette réélection intervient au moment où l’état de santé des tPe et PMe des Alpes-Maritimes est préoccupant : 680 entreprises en liquidation au premier trimestre, 800 pertes d’emplois « sèches » dans les entreprises comptant de 1 à 24 salariés, plans sociaux à la hausse. « Nous sommes entrés en récession » avoue le président avec un courage certain et une lucidité louable. Mais la conjoncture ne l’incite pas à baisser les bras. Bien au contraire. Car des motifs de satisfaction existent. Pour l’économie locale, avec des secteurs en pointe – dans l’innovation et le secteur du développement durable notamment – et pour l’uPe06 qui enregistre depuis le début de l’année une dizaine d’adhésions par mois.

Depuis 2010, elle maintient, de surcroît, un chiffre d’affaires au-delà de la barre symbolique du million d’euros. C’est un chiffre d’affaires non négligeable d’autant que, l’année du 40e anniversaire de l’uPe06, le contexte économique local, national et international est plus que morose et contraint les entreprises à « réduire la voilure ». Leur engagement n’en est que plus louable !

entretien avec Le Président Yvon grosso.

il y a trois ans, dans quel état d’esprit étiez-vous, au moment d’aborder votre premier mandat ?Yvon Grosso. j’étais dans la continuité de la philosophie développée par mes prédécesseurs, qui constitue la sève de notre uPe06 : à savoir la défense des entreprises et la promotion des valeurs qui animent le chef d’entreprise.

Le contexte a changé, les mentalités aussi. ces valeurs ne sont-elles pas plus difficiles à promouvoir aujourd’hui ?Non. elles sont, de toute façon, dans nos gènes. Même si l’environnement, pour des raisons diverses, peut sembler hostile, nos valeurs doivent rester les mêmes. Il faut simplement les porter différemment.

est-ce, précisément, ce qui vous différencie de vos prédécesseurs ?L’uPe06 doit observer son environ-nement et agir en conséquence afin de ne pas se retrouver en marge de la société. j’ai voulu faire évoluer notre institution, la faire rentrer dans son temps afin qu’elle ne soit pas tentée par un repli sur soi, qu’elle ne devienne pas un club coupé du monde alors que son rôle est d’être présente et influente aux niveaux économique, social et sociétal.

avez-vous réussi ?680 mandataires de l’uPe06 siègent au sein de 66 organismes paritaires... C’est une force considérable dont dispose le monde de l’entreprise à condition qu’elle soit opérationnelle. Aussi, j’ai tenu à redéfinir les rôles, à affiner les postes et à former nos représentants au sein de l’Institut de Formation des Mandataires qui est désormais sur les rails et doit monter en puissance. j’ai également obtenu que l’uPe06 – ce qui est une première – et la CCI siègent es

RETOuR SuR TROIS ANS DE mANDATuREENTRETIEN AVEC YVON GROSSOPrésident, à la fois sortant et « entrant », de l’union Pour l’entreprise des alpes-martimes, Yvon grosso dresse bilan et perspectives à une époque charnière de son action et de l’uPe azuréenne qui fêtera au mois de novembre ses 40 ans.

Y voN Gros so, PrÉsIDeNt De L’uPe06



qualité au conseil d’administration de l’université de Nice-sophia Antipolis. Nous observons et faisons valoir notre point de vue car il me paraissait inconcevable que ces deux mondes, l’entreprise et l’enseignement supérieur, se côtoient sans véritablement se parler.

Y a-t-il d’autres opérations dont vous êtes fier ?Avant de citer des opérations, je souhaite mettre en lumière les femmes et les hommes, le plus souvent membres du bureau, qui se sont mobilisés pour l’entreprise et l’uPe06. Ils sont bénévoles et n’hésitent pas à donner du temps et de l’énergie pour défendre des valeurs et militer pour un état d’esprit. sans eux et sans les partenaires qui croient en nous, rien de significatif ne pourrait être mené à bien. Au-delà de l’engagement des uns et des autres, je retiendrai la poursuite des entreprenariales, la création de BA06 event qui est un accélérateur de business destiné à faire se rencontrer les donneurs d’ordre et les jeunes pousses à la tête d’entreprises innovantes, et enfin la création de Performance Globale 06, opération destinée à faire grandir les PMe au contact de parrains prestigieux et qu’illustrent

bien les vertus d’un partenariat public privé du “small business act” en favorisant une économie solidaire et durable. je suis convaincu qu’à l’ère de la mondialisation, l’économie de proximité a encore un rôle salvateur à jouer.Mais je pourrais tout aussi bien citer

d’autres points qui me tiennent à cœur comme la féminisation du bureau de l’uPe06 – où siège 40 % de femmes.

alors, fort de ces réussites, pourquoi un deuxième mandat qui n’était pas prévu ?Pour trois raisons dont je ne ferai pas mystère : achever ce qui a été entrepris et qui n’est pas encore finalisé ;

relancer l’idée d’une Maison des entrepreneurs même si elle est difficile à mettre en place ; porter les cinq défis que nous avons désignés avec l’équipe qui m’entoure :• le défi de la représentativité en élargissant la famille patronale ; • le défi de l’influence en combinant la convivialité et l’efficacité ; • le défi de la communication en relayant mieux nos prises de positions et nos actions ; • le défi des services en optimisant le retour sur investissement pour les adhérents ;

• le défi du syndicalisme patronal en nous positionnant comme une force de proposition et d’opposition si nécessaire.

vous lâchez le mot « opposition ». Quelle sera l’attitude de l’uPe06 face au gouvernement et à l’administration dont le Président hollande souhaite une simplification dans le fonctionnement ?je ne préjugerai pas de notre attitude et de celle des instances patronales nationales face aux décisions à venir. en revanche, je souhaite que le gouvernement, désormais face aux réalités, favorise un écosystème favorable au développement des entreprises et des tPe-PMe qui créent de la richesse pour l’ensemble de la société. je forme également le vœu que l’administration, au sens large, cesse d’être suspicieuse a priori à l’égard des chefs d’entreprise, qu’elle fasse preuve de pédagogie, que les fonctionnaires soient des partenaires pour contrôler, certes, mais aussi pour expliquer la loi. Ce n’est pas toujours le cas. enfin, je rêve que les mots « bénéfices », « flexibilité », « compétitivité » ne soient plus des mots tabous, que l’on comprenne qu’ils contribuent au bien-être de tous. Il y a, en France, un malentendu qui est d’un autre âge !

un mot de conclusion ?réussir nos défis, bien-sûr... Mais aussi imposer l’uPe06 au sein de la société civile, la faire connaître et la faire respecter en tant qu’institution influente et non en tant que tremplin pour une carrière. j’aimerai conclure, ce n’est pas habituel de ma part, sur un proverbe africain que je trouve particulièrement approprié à notre action et à l’état d’esprit que je veux insuffler à l’uPe06 : « seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ».

Mais je pourrais tout aussi bien citer d’autres points qui me tiennent à cœur comme la féminisation du bureau de l’UPE06 – où siège 40 % de femmes

Y voN Gros so, PrÉsIDeNt De L’uPe06



BruNo vA LeNtIN, v ICe-PrÉsIDeNt De L’uPe06



Le message est clair : « La création d’emplois est le plus efficace des actes sociaux que seuls les chefs d’entreprises peuvent mener à bien. » Bruno valentin insiste : « La prise de parole médiatique est indispensable primo pour défendre et promouvoir nos idées et valeurs, car il ne faut pas laisser aux détracteurs de l’entreprise le monopole de la parole ; secundo pour trouver des alliés objectifs ». La communication de l’uPe06 est également un relais des prises de position du Medef et de la CGPMe. elle doit enfin peser sur les décisions locales en matière de développement et de vie de la cité.

La communication de l’uPe06 passe, outre les canaux classiques – presse, documents et magazines – par la création d’événements : entreprenariales, BA06 event, Forum Networking de la Côte d’Azur, Performance Globale 06, etc… Car pour être efficace, la communication doit être événementielle.

Quelques faits marquants :• Création d’une nouvelle identité visuelle déclinée sur tous les supports de communication de l’uPe06 : uPe06 Magazine, Newsletter… « Le parti de l’entreprise » devient la nouvelle signature. Lancement d’une Campagne de recrutement presse et affichage urbain grâce à la mise à disposition gracieuse d’espaces par les médias locaux et les réseaux de diffusion.• Réactivation de l’annuaire annuel tiré à 2 500 exemplaires• Création et diffusion du nouveau support de communication

« Les 4 bonnes raisons d’adhérer à l’UPE06 », issu du travail en commun des commissions Adhérents et Communication.• On élargit le réseau : Le Club Business 06 intègre l’UPE06, signature de conventions avec les clubs d’entreprises.

relations avec la presseune politique de relations presse pro-active, avec l’organisation de conférences de presse autour des grands dossiers et événements initiés par l’uPe06, et l’envoi de communiqués de presse qui suivent son actualité.relais auprès de la presse des prises de position régulières du Président sur les sujets concernant les différents projets de loi affectant la marche de l’entreprise : réforme des retraites, fiscalité, tva sociale, réforme du code du travail, prime sur dividendes, rapport Galois, projet de loi de finance, ANI… mais aussi la défense du territoire, politique du transport, défense du Crt Côte d’Azur, Ligne Nouvelle Provence Côte d’Azur… Conférences de presse de présentation des propositions du Medef (besoindaire.com) et de la CGPMe (Cap France PMe) aux candidats à la Présidentielle de 2012.

En tout sur 3 ans : 703 articles de presse, 69 communiqués, 26 conférences de presse, 7 plateaux tv, 30 reportages tv, 24 ItW radio. Des conférences thématiques trimestrielles en partenariat avec la BPCA et L’avenir Côte d’Azur.

L’uPe06 intègre le Club de l’Éco du Groupe Nice Matin/var Matin et s’exprime lors des petits déjeuners thématiques mensuels.

uN mANDAT SOuS LE SIGNE DE LA COmmuNICATIONbruno valentin, vice-président de l’uPe06 et président de la commission communication, s’est employé à donner l’impulsion qu’il fallait à la communication de l’uPe06, son domaine d’activité.

ENTREPRISE ET CuLTuRE : OSEz LE RAPPROChEmENT !

Le sujet peut paraître décalé dans le contexte de crise actuel. C’est pourtant dans le nouveau temple de la culture et des spectacles azuréen, Anthéa, à Antibes-Juan-les-Pins, que l’UPE06 a posé une question qui, chiffres à l’appui, est d’actualité : « mécénat et parrainage culturels, comment valoriser votre entreprise ? ».Bruno valentin, vice-président de l’uPe06, est convaincu de la pertinence du sujet « qui ne concerne pas uniquement les grandes entreprises du CAC 40 ».« Les TPE / PME peuvent en tirer profit » dit-il, fort du dernier rapport qui constate que 93 % des mécènes viennent des PMe, privilégiant toutefois, au mécénat culturel, le mécénat social.Pourtant, il faut l’avouer, le mécénat et le parrainage(1) ne sont pas le point fort des entreprises du département, d’où l’intérêt de cette rencontre entre les dirigeants des sociétés des Alpes-Maritimes et des représentants de la sphère culturelle, comme Daniel Benoin, en charge des premiers pas d’Anthéa, ou du monde du mécénat, comme Caroline Derot, Les trois mondes, ou encore Patrick Bracco, PWC Audit.

Les raisons de se lancer dans l’aventure du mécénat culturel sont avancées par Caroline Derot : « améliorer l’image de l’entreprise, créer du relationnel avec les clients et les partenaires, fédérer les équipes autour d’un projet commun, alléger la fiscalité ».Pour les intervenants, pas de doute : « C’est une équation réussie entre la dynamique du travail et le plaisir des sens ».« Les dirigeants des entreprises locales ne doivent plus estimer que le mécénat est nécessairement une démarche très onéreuse, coûtant forcément des centaines de milliers d’euros et donc uniquement réservé aux banques et aux sociétés du CAC 40 » commente, de son côté, Gérard Prièbe, chargé de mission auprès de la Direction des Affaires Culturelles de la ville de Nice. « Ainsi, précise-t-il, dans les musées niçois, il y a de très belles opérations à accompagner à partir de 10 000 euros et qui sont synonymes, quand elles aboutissent, de retombées médiatiques sur le plan régional lesquelles contribuent à faire connaître le nom des entreprises donatrices et à bonifier leur image de marque. En outre, ces dernières, grâce aux soutiens financiers qu’elles apportent, peuvent bénéficier dans ces musées de la mise à disposition de lieux de prestige pour y organiser des réceptions à l’attention de leurs clients et de leurs collaborateurs : ce genre de contrepartie, qui fait partie d’une négociation, est parfaitement prévu par la loi Aillagon ».La conférence organisée par l’uPe06 à Antibes a démontré combien cette piste était à explorer pour envisager sous un autre angle le développement de l’entreprise, par le biais de son implication et de son enracinement dans un secteur autre que là où elle est attendue. et ce ne peut-être que « gagnant-gagnant » !

eNtrePrIse e t CuLture

FoCus Dos sIer sPÉCI A L ac tu Brè v es ser v ICes P ortr A Its


Les représentants des mondes de l’économie et des arts ont fait cause commune pour défendre et promouvoir le mécénat et le parrainage culturel, au cours d’une conférence-débat à antibes, au tout nouveau théâtre anthea. une aventure humaine ouverte à tous...

(1) Bien qu’il n’existe aucune définition légale, on considère que le mécénat est un soutien matériel, sans contrepartie directe, à une personne ou une œuvre pour l’exercice d’activité d’intérêt général ; alors que le parrainage est un soutien matériel apporté à une personne ou une manifestation pour un bénéfice direct, ne serait-ce qu’au niveau de la reconnaissance.

« Le problème est en amont ! Il est nécessaire, avant tout, d’informer les chefs d’entreprises, petites et moyennes »... en quelques mots, Honoré Ghetti, président de la CGPMe 06, posait clairement le problème en recevant son homolo-gue de la seine-saint-Denis, jean-Lou Blachier qui a coiffé la casquette de « médiateur des marchés publics » depuis décembre 2012.Invité par l’uPe06, jean-Lou Blachier, accompagné par Françoise rouquette, déléguée régionale, a convenu, de-vant des professionnels souvent désemparés face aux méandres du monde de la commande publique, que les rapports n’étaient pas aisés entre les dirigeants d’entre-prise et l’administration – et que dire de l’administration européenne ! – qui ne partagent ni les mêmes approches ni les mêmes impératifs.

retard dans les paiements, complexité des procédures, concurrence déloyale... trois points noirs visés par les Pme-tPe. trois points sont à retenir d’une réunion riche en échanges et informations.– Le retard dans les paiements, dès lors que les clients

sont l’État ou les administrations au sens large, semble être la règle. jean-Lou Blachier n’a pas nié une réalité qui affecte les entreprises. « Le temps de l’etat n’est pas celui des entreprises. or, les finances sont le sang de l’entreprise... » dit-il avant de souligner qu’une réflexion était menée avec oséo et la Banque Publique d’Investis-sements pour régler ce problème.

– La complexité des procédures est également pointée du doigt, tant au niveau de l’accès aux marchés que de celui du règlement des litiges. si une évolution du code est peu probable dans un avenir proche – les modifications se font à Bruxelles – jean-Lou Blachier s’est engagé à trouver des solutions « pour faire bouger les lignes » et simplifier les procédures qui, en l’état, n’encouragent pas les tPe-PMe à répondre aux appels d’offres.

– L’un des autres problèmes majeurs évoqués – spéciale-ment dans un département transfrontalier comme celui des Alpes-Maritimes – est la concurrence jugée déloyale des entreprises étrangères et, a contrario, paradoxale-ment, la grande difficulté des chefs d’entreprises français d’être en capacité de répondre aux appels d’offres ita-liens. « je souhaite ouvrir ce chantier » a encore affirmé le médiateur des marchés publics, allant dans le sens du président de l’uPe06, Yvon Grosso, qui plaide pour le dé-veloppement du « small business act », y compris trans-frontalier.

et de conclure en mettant en avant les trois missions qu’il s’est données :• Inciter les entreprises à répondre aux marchés publics ;• Faciliter le règlement des litiges ; • Inciter les acteurs publics à avoir une démarche

responsable.

Ce dernier axe d’une mission difficile n’est pas le moindre : la démarche responsable implique, en effet, une prise en compte des difficultés du chef d’entreprise isolé à ne pas baisser les bras face à des procédures opaques ; et un paie-ment, dans les temps, des travaux effectués. Car l’État, de son côté, ne souffre aucun retard dans l’argent qui lui est dû.Pour faciliter l’engagement des professionnels, jean-Lou Blachier, qui retrouvera les chefs d’entreprise azuréens le 26 juin lors de l’assemblée générale annuelle de l’uPe06, a annoncé en conclusion la parution avant l’été d’un guide pratique des entreprises. renseignements : http://www.mieist.bercy.gouv.fr

eNtrePrIse


COmmENT ACCEDER AuX mARChES PuBLICSjean-Lou blachier, le nouveau médiateur des marchés publics, était face aux chefs d’en-treprise azuréens pour écouter leurs doléances et mettre en avant sa volonté de « faire bouger les lignes ». un très, très gros chantier !


5E FORum NETwORkING DE LA CôTE D’AzuR : RÉuSSIR EN RÉSEAuX !

avec 343 participants, 252 opportu- nités d’affaires, autant de prises de rendez-vous, 19 réseaux profes-sionnels présents… le 5e Forum Networking de la Côte d’Azur aura tenu les promesses affichées dès les premières éditions de cette rencontre destinée aux dirigeants et cadres d’entreprises, aux porteurs de projets et à tous les acteurs du monde économique qui souhaitent développer et diversifier leurs contacts.Car il est bel et bien reconnu que pour réussir dans le monde des affaires – et principalement dans la net économie aux contours encore flous – l’essentiel est d’être visible, identifiable, reconnu, novateur et réactif… Autant dire que l’importance des relais est capitale et que la notion de réseaux est essentielle.La CCI Nice-Côte d’azur et son service Côte d’Azur ecobiz, en partenariat avec l’uPe06, MPI - Meeting Professionals International -, le Club Business 06, sKeMA Business school ont contribué à la réussite de cet événement.

LES CANDIDATS à LA PRÉSIDENCE Du mEDEF EN CAmPAGNE.geoffroy roux de bézieux a rencontré les adhérents de l’uPe06 le 28 mai dernier, Pierre gattaz et Patrick bernasconi étaient également attendus courant juin. or, le 13 juin un accord pour la candidature unique de Pierre gattaz est intervenu entre eux.

« Le MEDEF que nous voulons est un MEDEF ouvert, efficace, démocratique, au mode de fonctionnement parfaitement transparent. Le MEDEF comptera deux vice-présidents délégués pour assister le président élu. Nous proposons qu’aux côtés de Pierre GATTAZ, qui se présentera comme

candidat à la présidence aux suffrages de l’Assemblée Générale, Geoffroy ROUX DE BEZIEUX soit vice-président délégué et trésorier, en charge de l’économie, de la fiscalité, de l’innovation, et du numérique et Patrick BERNASCONI vice-président délégué en charge des mandats, ainsi que des branches et des territoires. » extrait de leur communiqué commun .

« SPORT ET CuLTuRE, LEVIERS DE CROISSANCE POuR LES TERRITOIRES »L’uPe06 avec le comité sport du medef organise vendredi 6 septembre un débat sur les bienfaits d’un rapprochement des mondes de l’entreprise, du sport et de la culture…

vendredi 6 septembre, de 17 heures à 18 h 30, sur le Campus de l’eDHeC, à Nice, le président de l’uPe06, Yvon Grosso, et le président du Comité sport du Medef, Philippe joffard, convient adhérents, chefs d’entreprises et partenaires à une conférence/débat au titre évocateur : « sport et culture, leviers de croissance pour les territoires ».trois tables rondes sont prévues en présence de sportifs de haut-niveau, de mécènes, d’entrepreneurs engagés : - sport et culture, facteurs de

cohésion sociale ; - sport et culture, créateurs de

richesses ; - sport et culture accélérateurs de

gouvernance.Dans les Alpes-Maritimes, le terrain est propice et les exemples ne manquent pas. un parmi d’autres : le marathon Nice-Cannes attire 12 000 participants et mobilise 240 entreprises…À voir avec un regard neuf à la veille des jeux Mondiaux de la Francophonie !

É v ÉNeMeNts



CH A MBre sY NDICA Le Des ProMoteurs e t CoNstruCteurs De L A Côte D’A zur

FoCus Dos sIer sPÉCI A L ACtu Brè v es ser v ICes p ortr a it s

michel Puy, président de la chambre syndicale des Promoteurs-constructeurs côte d’azur corse, tire la sonnette d’alarme, même si des lueurs d’espoir existent. il suffit de savoir souffler dessus pour attiser la reprise.

« Quand le bâtiment va, tout profite de son activité ! » Non, la formule ne date pas du « boom » des trente glorieuses. elle a été lancée à la Chambre par un maçon devenu député, le 7 mai 1850. Déjà… La construction et l’économie ont toujours fait cause commune. Il y a des réalités immuables.Avec le temps, la formule s’est contractée en un lapidaire : « Quand le bâtiment va, tout va ! »

or, rien ne va plus – ou si mal ! – et le bâtiment ne va plus, non plus. Même sur la Côte d’Azur, à l’exception des biens hors concours, l’immobilier de luxe, « un marché à part confidentiel » résume Michel Puy, président de la Fédération des Promoteurs-Constructeurs des Alpes-Maritimes et de la Corse, directeur régional de ICADe.

Le président aligne les chiffres : « En 2012, on avait enregistré dans le 06, 2 670 ventes de logements neufs, soit 33 % de moins qu’en 2011. Au premier trimestre 2013, nous sommes sur les bases de 2012, contre 3 600 à 4 000 logements les bonnes années. »

Les causes ? elles sont identifiées : l’attentisme des investisseurs face à la Loi Duflot dont on mesure mal les retombées ; la crainte des acheteurs qui ne prennent pas le risque, en dépit de taux historiquement bas, de contracter un prêt relais en attendant la revente de leur logement ; des propositions de prix qui ne sont pas en adéquation avec les revenus des clients ; la peur, générale, d’une baisse de pouvoir d’achat voire d’une perte d’emploi…

et, pour couronner le tout, l’absence des étrangers qui ne viennent plus ou… repartent.Au final, le brassage d’affaires propice au rebond économique n’existe plus et c’est tout un secteur qui se contracte.Michel Puy pointe du doigt deux autres difficultés. « Nous avons, dit-il, 1 000 logements bloqués devant le Tribunal Administratif à la suite de recours, ce qui représente un chiffre d’affaires de 300 millions € ! Il n’est pas question de remettre en cause le droit d’ester en justice, en revanche nous demandons au TA d’accélérer le rendu des décisions et de sanctionner les recours abusifs. Le gouvernement a promis de remédier à ce problème. »

La seconde difficulté est liée à l’obligation de réserver plus de logements sociaux au sein de chaque programme. « Or, explique le président de la fédération, il faut les financer. Lorsque le marché est porteur, nous arrivons à faire des pondérations pour absorber le coût du logement social. Aujourd’hui, au regard du contexte avec un marché qui se tend et des prix qui baissent, nous avons du mal à financer les quotas imposés… ce qui risque de bloquer des opérations. » et d’avouer : « Nous sommes préoccupés. »

en attendant une inversion des tendances qui dépasse le secteur du bâtiment et les frontières, les professionnels exhortent les collectivités publiques à favoriser les zones d’aménagements et maîtriser le foncier – ce qui paraît difficile sur le marché libre – afin de proposer des logements pour actifs à des prix inférieurs ou équivalents à 4000 €/m2.et pour conclure sur une note positive, on retiendra des propos de Michel Puy deux remarques : la plaine du var et l’oIN pourraient représenter un appel d’air non négligeable – mais insuffisant – et le marché des primo-accédants « ne se porte pas mal ».

Des fondations suffisantes pour repartir ? Peut-être. Mais quand ? C’est un autre programme...

chambre syndicale des promoteurs constructeurs de la côte d’azur et de la corse : 04 92 29 35 35

LE BâTImENT NE VA PLuS…

uP e 0 6 M A G A zINe juIN 2 01312

De ses origines – libanaises – il a gardé le sens du contact et la parole facile des Méditerranéens de sang et de cœur. De sa formation – HeC – il a gardé, et peaufiné, les techniques de stratégie commerciale et la trouvaille de l’idée juste, celle qui fait la différence sur la concurrence.A 53 ans, tarek Ghandour aime la bonne chère – « je suis un épicurien, » – le vélo – « sur le plat ! » – et le métier qu’il s’est fabriqué, comme il le souligne d’une jolie formule : « réveiller les belles endormies ».Autrement-dit « retrouver l’ADN qui a fait le succès d’origine d’une enseigne » qui, au fil du temps, s’est éloignée de ses bases, a oublié ses racines.sa première campagne est à flots. et c’est un succès fulgurant ! Directeur du marketing chez Danone, tarek Ghandour est chargé de relancer les ventes d’evian. C’était en 1998 et il invente, avec la société de communication BetC euro rsCG, la campagne des « bébés nageurs ». Il explique : « La marque s’était éloignée de ses fondamentaux,

oubliant que l’eau d’Evian était destinée aux personnes fragiles, aux femmes enceintes, aux bébés… »evian remise à flot – osons, osons ! – tarek Ghandour prend la présidence d’une filiale de La redoute, La Maison de valérie. elle était devenue cabane. Il en refait un palais. en 2005-2008, il récidive chez quelle-France, qui avait oublié sa clientèle traditionnelle.et en 2008, ce pilote des marques abandonne la lingerie pour s’engager dans le secteur très concurrentiel de l’agencement de commerces, chez retIF précisément, créé il y a un demi-siècle par André rétif, avant d’être cédé en 1992 à plusieurs actionnaires dont la Lloyd Banking Group . une fois encore rétif excellait dans son domaine avant de marquer le pas.

Dès 2009, le retour aux fondamentaux fut une réalité : face aux grandes chaînes, les clients de la marque – 600 000 – se voient proposer, en show-room, des magasins types suggérés et personnalisables pour améliorer leur offre de vente. « Nous proposons au commerçant, précise Tarek Ghandour, de répondre à l’intégralité de ses besoins, de l’étagère au fil électrique, du présentoir au mannequin, du relevé de mesures au plan en 3-D, de la livraison à l’installation, s’il le souhaite. »et comme, il n’est pas homme à laisser passer le train de l’innovation, retIF est omniprésent sur internet au point d’être « le site le plus regardé dans le B to B commercial ». en scandinavie – Danemark et Norvège – la marque n’est d’ailleurs présente que sur internet et sur catalogue, alors qu’en Angleterre, où elle possède 4 points de vente, 80 % des transactions se font sur catalogue ou par internet. Mais retIF est également présent en espagne, avec 15 points de vente, et au Bénélux, avec 12 points de vente.en France, retIF est installé dans une cinquantaine de villes – à Nice et villeneuve-Loubet dans le 06 – pour un chiffre d’affaires global de 150 M€, dont 100 M€ en France où sont employés 400 des 750 salariés du groupe.« Nous sommes sur une courbe ascendante » conclut tarek Ghandour qui n’est adepte du plat que sur son vélo !

retif : 04 92 13 52 30

TAREk GhANDOuR, L’hOmmE quI RETROuVE LES ADNce diplômé d’hec n’a pas son pareil pour réveiller les « belles endormies ». sa dernière conquête, retif, à nouveau leader dans le secteur de l’agencement des commerces.

tA reK GH A NDour - re t IF

FoCus Dos sIer sPÉCI A L ACtu Brè v es ser v ICes p ortr a it s



un grand rendez-vous à ne pas manquer pour tous les chefs d’entreprises azuréens. une occasion unique de se retrouver en parcourant les 4 dernières décennies et de se projeter vers le futur.Depuis toujours, l’union Pour l’entreprise a œuvré pour fédérer les actions et défendre les entrepreneurs, devant les institutions et les pouvoirs publics. Nombre de ses actions et initiatives ont contribué au développement économique et social de notre territoire.Dans un environnement économique difficile, il est essentiel de rassembler notre famille patronale, avec ses valeurs, autour d’une soirée emblématique.

Dîner d’exception rythmé par des temps forts, rétrospective ; l’équipe organisatrice est d’ores et déjà à pieds d’œuvre pour rendre cette soirée inoubliable !

Le mot du Président « Cette soirée parlera de vous, de ceux qui vous ont précédés, de ceux qui ont fait l’histoire de l’Union pour l’Entreprise des Alpes-Maritimes et de ceux qui l’amèneront sur les rives de demain. Ce sera surtout un temps de rassemblement militant autour de notre union patronale interprofessionnelle, j’espère vous y voir nombreux ! »

Pour participer à l’événement, plusieurs formules sont disponibles : • Table de 8 convives• Places à l’unité • Partenariatsinscription sur le blog à partir du 10 juin (un lien sera disponible sur la page d’accueil de l’uPe06)Pour tout renseignement, contactez les organisatrices : Marina Péré : 06 64 36 02 23 ou Laurence Billet : 06 50 34 21 69 - [email protected]

L’uPE06 A 40 ANS !Le 12 novembre 2013 le Parti de l’entreprise des alpes-maritimes fêtera ses 40 ans, à l’acropolis, salle des muses, à nice.

Les 4 0 A Ns De L’uPe06

foc us Dos sIer sPÉCI A L ACtu Brè v es ser v ICes P ortr A Its

bienvenue à nos nouveaux adhérentsentrePrises : active taLents, Formation continue, coaching, accompagnement individuel - agence Project : Créations et éditions publicitaires, objets publicitaires, sites internet - aLbon grouP : Activités des sociétés holding - atea : Conseil et formation aux entreprises - athena distribution : Fabrication et vente de sacs suivant process « SimpleBag » - azurLoc : Location-vente - benavent transPorts services : Transport de personnes - bg2c finances : Gestion de patrimoine pour chefs d’entreprise et particuliers - bianco invest : Courtier en assurances et crédit, gestionnaire de patrimoine - bLue rider deveLoPPement : Conseil en développement des PmE PmI - cabinet d’assurances Portet : Agent général d’assurances AVIVA spécialisé en entreprises - caP eXPertise conseiL et audit : Expert Comptable et Commissaire aux comptes - codemana : Conseil assistance dans le développement commercial, prise de mandats d’agent commercial - concePtriaL biomedicaL consuLting : Conseil et prestations de services en recherche biomédicale - cP consuLting : Consultant en gestion d’entreprise - crcc : Organisme professionnel - diagana sPort sante : Recherche, ingénierie, étude, conception, développement de concepts, projets et structure en lien avec le secteur du sport et de la santé - dordiLLY navigation sas : Bateau École - draKKar : Production de films institutionnels et publicitaires - eatb conseiL : Conseil et formation en entreprise dans le développement et l’amélioration de la performance commerciale - encre d’or creations : Édition de livres, brochures, supports de communication, diffusés en librairies et auprès d’entreprises - eureKaPP : Bureau d’études ingénierie électronique - eurofigest : Recouvrement de créances, gestion du poste clients - evaLuence : Formation et conseil en management, stratégie, recrutement, détection intentions cachées - faure & deudon avocats : Avocats - garden beach : hôtel 4 étoiles, restaurant, bar, plage privée, spa - jean-Luc grosman gan assurances : Assurances de biens et de personnes, épargne et banque - La difference rh : Formations, conseil, coaching visant à optimiser les ressources humaines - Laurence bevents : Organisation d’événements d’entreprise, séminaires, incentives, congrès, soirées de gala et privées - Le sis : Décontamination et assèchement après sinistres, rénovation bâtiment tous corps d’état, hygiène aéraulique - LP consuLtants : Agent commercial export industrie électrique pour le maghreb - LXa : Conseil et services informatiques - m2 concePt : Cabinet de coaching individuel et d’entreprise, formation, consulting - mc conseiL : Études et conseil dans les secteurs du tourisme, des loisirs et de l’hébergement - mc KonsuLting : Conseils en marketing et stratégie sponsoring spécialisée dans le sport et le divertissement - mhm : Transports - mon marbre : Rénovation et entretien des sols nobles, ponçage marbre,pierre, terre cuite... - nePhtYs : Accompagnement stratégique et financier d’entreprises innovantes - P&m assurances : Activités des agents et courtiers d’assurances - Patrice rochas : Transactions immobilières - r sas : Publicité sur internet - rafs formation : Formation dans le domaine de la sécurité - roseLYne amourette : Agent général d’assurances GAN - so nice hoteLs : holding Gestion de fonds de commerce hôtelier - Weddict : web marketing et web design, création de sites, référencement - Word media : Solutions digitales pour la gestion de l’e-reputation des marques et personnalités - Young entrePreneur schooL : Enseignement Supérieur Privé.

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