Upload
florentin-miquel
View
106
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
Revenu (Y)
Consommation (C)
EntreprisesMénages
Travail
Achats biens consommation
Équilibre macroéconomique
• Ménages :Revenu = Consommation (Y = C)
• Entreprises : Vente des biens de consommation = revenus distribués (C = Y)
Revenu (Y)
Consommation (C)
Épargne (S)
Entreprises
Marché financier
Ménages
Investissement (I)
Équilibre macroéconomique
• Ménages : Revenu (Y) = Consommation (C) + Épargne (S)
• Entreprises : C + I = Y
• Marché financier : S = I
Propensions moyennes :- à consommer en 2009 :
- à épargner en 2009:
Propensions marginales :- à consommer : 28/40 = 0,7
- à épargner : 12/40 = 0,3
c = CY
= 7501000
= 0,75
s = SY
= 2501000
= 0,25
Année Revenu Consommation Épargne 2009 1000 750 250 2010 1040 778 262
Propensions moyenne et marginale à consommer et à épargnerPropensions moyenne et marginale à consommer et à épargner
Le multiplicateur d’investissement (I = 1000 et c = 0,8)Le multiplicateur d’investissement (I = 1000 et c = 0,8)
800 2001000
I Y C S
640 160800
512 128640
409,6 102,4
512
etc.
Total =
1000
= ?5 000
Y = I (1 + c + c2 + c3 + …) = I x 1/s
I
c
s
?
•Au niveau des ménages : Y = C + S•Au niveau des entreprises : Y = C + I
Soit : C + I = C + S I = S I = s Y
D’où :
Le multiplicateur d’investissementLe multiplicateur d’investissement
Y = 1s I
YC
S
I
Y
S
C
Réinjection
Fui
te
Le multiplicateur est égalà l’inverse du « coefficientde fuite » :
k = 1ss
c
Le multiplicateur d’investissementLe multiplicateur d’investissement
Impots (T) Dépenses publiques (G)
Déf
icit
(D
ef)
État
Revenu (Y)
Consommation (C)
Épargne (S) Investissement (I)
Entreprises
Marché financier
Ménages
• Ménages :Y = C +S + T ou encore : Y - T = C + S
(revenu disponible)
• Entreprises :Y = C + I + G (dépenses privées + dépenses publiques)
• Marché financier :S = I + Def(Ressources d’épargne = besoins de financement privés et publics)
• État :T + Def = G soit Def = G - T
Équilibre macroéconomique
• Au niveau des ménages : Y = C + S +T
• Au niveau des entreprises : Y = C + I + G D’où : C + S +T = C + I + G Soit : I + G = S + T
S - I = G – T = Def (le déficit de l’État est égal à la différence entre l’épargne et l’investissement)
Ou encore : S = I + Def (voir effet d’éviction)
Diapo 11Diapo 11
Quelques égalités macroéconomiquesQuelques égalités macroéconomiques
• Revenu disponible des ménages (RD) :RD = revenus d’activité , de la propriété, de transferts – (impôts et cotisations)
Qu’est-ce que l’épargne ?Qu’est-ce que l’épargne ?
RD
Consommation
Épargne(partie du RD qui n’est pas consommée)
Placement
Investissement
Thésaurisation
I YC
c
t ?
De l’égalité : I + G = S + T (et G exogène)On déduit : I = S + TSoit : I = s (Y - T) + t You encore : I = s ( Y - T) + t Y = (1 - c) Y (1 - t) + t Y
I = Y [(1 - c)(1 - t) + t] = Y (1 - t - c + ct + t)D’où :
S
T
s1 - t
Y = 11 - c + ct
I
Le multiplicateur d’investissementLe multiplicateur d’investissement
I
Y
C
T
Réinjection
Fui
te
t c
S
s
Le multiplicateur est inversement proportionnel à l’importance des fuites :
Y - T)
Fui
te
1 - t
k = 11 - c + ct
ou k = 1s + ct
Le multiplicateur d’investissementLe multiplicateur d’investissement
IFE X
Revenu (Y)
Consommation (C)
Épargne (S)Investissement (I)
Impôts (T) Dépenses publiques (G)
Déf
icit
(D
ef)
État
Ménages Entreprises
Marché financier
MÉtrangerIEF
C
• Ménages : Idem Y = C + S + T
• Entreprises : Y = C + I + G + X - MDonc : S + T = I + G + X – MOu encore : S – I = (G – T) + (X – M)
écart S/I = déficit budgétaire + solde de la balance commerciale
Donc si S – I est constant, alors si (G – T) (X – M)
• Marché financier : S + IEF = I + Def + IFE (IEF = Invest. & placements étrangers en France, IFE = Invest. & placements français à l’ étranger)
• État : Idem T + Def = G• Étranger : M + IFE = X + IEF ou : X - M = IFE - IEF
Équilibre macroéconomiqueÉquilibre macroéconomique
I Y Ss
t ?
De l’égalité : C + S + T = C + I + G + X - MOn démontre, comme précédemment :
C
T
c1 - t - m
Mm
Y = 11 - c + ct + m
I
Réinjection
Le multiplicateur d’investissementLe multiplicateur d’investissement
Le multiplicateur est inversement proportionnel aux fuites, liées aux impôts, à l’épargne et aux importations.