GENERATIONS COBAYES - STOP BPA - DOSSIER DE PRESSE! 1

EN PARTENARIAT AVEC

Campagne de sensibilisationdu collectif Appel de la jeunesse

DOSSIER DE PRESSE

GENERATIONS COBAYES - STOP BPA - DOSSIER DE PRESSE! 2

3 Communiqué de presse

4 La campagne « Générations Cobayes Non Merci ! »

5 L’action STOP-BPA

8 BPA – perturbateur endocrinien quesaco ?

9 Le collectif Appel de la jeunesse, le Réseau Environnement Santé

10 Les soutiens de la campagne « Générations Cobayes Non Merci ! » et du collectif Appel de la jeunesse

DOSSIER DE PRESSEsommaire

CONTACTOlivier Mainnemard, coordinateur

olivier@appeldelajeunesse.org • 06 86 56 68 82

* - Déclaration de l’OMS Europe (11 Septembre 2006) : « les maladies non transmissibles (chroniques) causent 86 % des décès et 77 % de la charge de morbidité » (…) il est possible de les réduire fortement (80 % pour les principales MCV et le diabète, 40 % pour les cancers)- Selon le National Institute of Environmental Health Sciences, 2 cancers sur 3 sont liés à l’environnement, Rapport « Cancer and the environment » 2003 NCI NIEHS (Lichtenstein 2000)

31 mars 2011  - 12h30 Happening place Edouard Herriot - Assemblée Nationale : Lancement de la campagne « Générations Cobayes Non Merci  ! » du collectif Appel de la Jeunesse sous le signe de la demande d’interdiction du BPA

Apres avoir participé à la conférence de l’OMS en mars 2010 sur la santé et l’environnement de l’enfant, le collectif Appel de la Jeunesse a démarré une série d’actions visant à accélérer la prise en compte des déterminants environnementaux, qui expliquent en grande partie les maladies chroniques actuelles*. D’autant qu’un grand nombre de ces maladies chroniques affecte de plus en plus de jeunes. Le collectif Appel de la jeunesse a ainsi mis en place une campagne de sensibilisation à destination du grand public et des politiques  : «  Générations Cobayes Non Merci ! ».

Pourquoi « Générations Cobayes Non Merci ! » démarre sous le signe de la demande de l’ interdiction du Bisphénol A dans les plastiques alimentaires ?Le BPA est un des perturbateurs endocriniens les plus répandus dans notre environnement puisqu’on le retrouve dans de nombreux objets de consommation courante et également dans notre organisme. Or les perturbateurs endocriniens sont une clé d’explication importante de la progression des maladies chroniques.

Pourquoi demander son interdiction ?Les preuves scientifiques de la toxicité du BPA sont accablantes chez l’animal depuis plus d’une décennie et se confirment chez l’Homme depuis plus d’un an. Ces dernières études montrent une altération de la qualité du sperme, des troubles du comportement chez les enfants et un lien de plus en plus avéré entre BPA et puberté précoce. A un tel niveau de preuves des études scientifiques, interdire le BPA dans les plastiques alimentaires est un principe de Prévention.

L’exposition au BPA ne relève pas d’un choix individuel (contrairement au tabac ou à l’alcool par ex). Demander l’interdiction du BPA dans les plastiques alimentaires et ainsi prévenir la source de contamination principale au BPA, contribuent à un  meilleur état de santé de notre génération et celles à venir. Nous demandons l’interdiction du BPA afin de protéger en priorité les populations les plus vulnérables (enfants et personnes qui ont difficilement accès à l’information). De part et d’autre de l’Atlantique, des politiques se sont engagés pour demander la limitation de la pollution chimique affectant notre environnement (Convention Ospar, page 8) et notre santé (projet de loi Kerry sur les Perturbateurs endocriniens, page 8).Nous ne voulons plus être exposés à la pollution chimique à notre insu. Nous ne voulons plus faire partie des générations cobayes. Nous demandons à celles et ceux qui décident de notre avenir de passer des intentions aux actes !

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

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La campagne 2011 «  Générations Cobayes Non Merci  ! » est la première des campagnes de sensibilisation du collectif Appel de la Jeunesse. Ces campagnes visent à sensibiliser l’opinion publique au niveau national et européen aux liens entre la santé et l’environnement et d’influencer les responsables politiques afin qu’ils mettent la question santé-environnement au cœur des politiques publiques.

L’objectif de la campagneLa campagne «  Générations Cobayes, Non Merci ! » a pour but d’alerter les responsables politiques sur les liens connus et suspectés entre la santé et les nouvelles technologies au s e n s l a r g e ( O G M , n a n o m a t é r i a u x , radioactivité, pollution chimique, etc.) lors d’échéances politiques européennes et nationales pour influencer leurs décisions. N o u s s o u h a i t o n s q u ’ u n e e x p e r t i s e indépendante, transparente et sérieuse voit le jour pour encadrer ces technologies.

Les premières thématiques choisies pour cette campagne sont : le BPA et les perturbateurs endocriniens, les OGM et les pesticides. Ces thématiques sont déclinées en trois actions spécifiques dont STOP BPA est la première.

D’autres thématiques sont prévues pour poursuivre la campagne  : Ondes électro-magnétiques et Nanotechnologies, notamment.

Les Moyens de la campagne Nos actions de sensibilisation s’appuient sur des outils de communication élaborés en partenariat avec une organisation qui a autorité sur le fond de chaque problématique choisie :- le Réseau Environnement Santé au sujet

des perturbateurs endocriniens et notamment du BPA

- le Criigen au sujet des OGM- Générations Futures concernant les

pesticides.

Po u r c h a q u e a c t i o n , l e s o u t i l s d e communication identifiés sont :- un happening prévu sur la place

publique afin d’interpeller les pouvoirs publics et l’opinion générale (le happening du 31 mars aura lieu à 12h30 à côté de l’Assemblée Nationale),

- une vidéo (en francais et en anglais) diffusée à l’échelle nationale et européenne,

- un événement festif à destination du grand public pour sensibiliser sans dramatiser.

LA CAMPAGNE " GÉNÉRATIONS COBAYES NON MERCI ! "

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Pou rquo i commence r l a Campagne Générations Cobayes Non Merci par la demande d’interdiction du Bisphénol A dans les plastiques alimentaires ?

On trouve du BPA partout :

Le Bisphénol A est un composé chimique utilisé dans la fabrication de très nombreux objets de notre vie quotidienne : lunettes, CD, papiers thermiques et également dans des récipients alimentaires tels que les canettes, boîtes de conserves, film étirable, petit électroménager (notés ci-après plastiques alimentaires)...

Du BPA dans les plastiques jusqu'à notre organisme et dans notre environnement :

Selon les scientifiques, la principale source de contamination au BPA est la voie alimentaire. 93 % de la population américaine est imprégnée; les enfants étant plus imprégnés que les adultes. (Exposure of the U.S. population to bisphenol A and 4-tertiary-octylphenol: 2003-2004. Calafat AM, Ye X, Wong LY, Reidy JA, Needham LL. Environ Health Perspect. 2008 Jan;116(1):39-44).

91% des canadiens sont imprégnés en BPA (étude de Santé Canada menée sur 5 600

volontaires entre 2007 et 2009).

Notre mode de vie étant comparable, il est évident que nous sommes tout autant exposés au BPA qu’outre-atlantique, malgré l’absence d’un programme de biomonitoring comparable en Europe.

Des traces de BPA sont retrouvées dans les aliments en contact avec ces emballages, nous exposant ainsi à des niveaux comparables à ceux qui déclenchent des effets chez l’animal. Notre santé est en jeu.

En 2007, 38 scientifiques de la communauté internationale (USA, Japon, Allemagne, Espagne, GB, Italie) ont signé la déclaration de Chapel Hill (Caroline du Nord) qui affirme sur la base d’une analyse de plusieurs centaines d ’ é t u d e s e x p é r i m e n t a l e s ( s u r l e s animaux),  que  le BPA est suspecté d’être impliqué dans un grand nombre de maladies chroniques actuels  : cancer du sein, cancer de la prostate, diabète de type 2 et obésité, atteinte de la reproduction, problèmes neuro-comportementaux…  (Source  : reproductive Toxicology 24 (2007) 131-138).

Depuis, des dizaines d’études menées a travers le monde montrent que les effets du BPA suspectés chez les animaux se confirment chez l’Homme et dans notre environnement (eau, plantes, animaux sauvages…).

L'ACTION STOP-BPA

Voici quelques résultats d’études menées chez l’Homme :- Le taux de BPA retrouvé dans le sang des jeunes filles ayant une puberté précoce est plus élevé que celui des jeunes filles ayant une puberté normale. Ces résultats sont également en corrélation avec un volume accru de l’utérus et des ovaires. http://reseau-environnement-sante.fr/2010/06/09/dossiers-par-themes/effets-cocktails-perturbateurs-endocriniens/bpa/bulletin-de-veille-bpa-n°6/

- Les concentrations urinaires de bisphénol A (BPA) sont plus élevées chez les femmes donnant naissance prématurément. www.reseau-environnement-sante.fr/2011/02/14/dossiers-par-themes/effets-cocktails-perturbateurs-endocriniens/bpa/bulletin-de-veille-scientifique-bpa-n°8

- Confirmation chez un groupe d’hommes suivis en consultation de fertilité de la baisse de la qualité du sperme en fonction de l’imprégnation en BPA, mais aussi mise en évidence des lésions de l’ADN des spermatozoïdes.http://reseau-environnement-sante.fr/2010/11/03/dossiers-par-themes/effets-cocktails-perturbateurs-endocriniens/bpa/bulletin-de-veille-scientifique-bpa-n°7-3/

- Altération de la qualité du sperme chez des hommes exposés professionnellement au BPA (Etude dirigée par l’Institut Kaiser Permanente, Californie). http://reseau-environnement-sante.fr/2010/11/03/dossiers-par-themes/effets-cocktails-perturbateurs-endocriniens/bpa/bulletin-de-veille-scientifique-bpa-n°7-3/

- Etude en population générale montrant des troubles du comportement chez l’enfant de 2 ans liés à l’exposition maternelle pendant la grossesse (Réf Braun) http://reseau-environnement-sante.fr/2009/11/13/dossiers-par-themes/effets-cocktails-perturbateurs-endocriniens/bpa/bulletin-de-veille-bpa-n°-3/

DERNIERE MINUTE !

Une étude américaine publiée le 30 mars 2011 dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives montre que l’arrêt de la consommation d’aliments en conserve ou emballés dans des plastiques alimentaires à base de polycarbonate (PC) permet de

réduire le taux d’imprégnation du corps humain au BPA de 60% en moyenne.

Source EHP : http://ehp03.niehs.nih.gov/article/info:doi/10.1289/ehp.1003170

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Agir sur la législation maintenant !

Au vu des effets du BPA, il est urgent d’agir et de relancer la volonté politique dans notre pays ainsi que dans l’Union Européenne pour protéger l’ensemble de la population (pas seulement les enfants nourris au biberon).

En plus de l’interdiction du BPA dans les plastiques alimentaires au niveau national, nous demandons au gouvernement français d’oeuvrer à une décision similaire au niveau européen. Au sein de l’UE, la France doit aussi défendre une meilleure prise en compte des perturbateurs endocriniens dans le règlement REACH, en particulier pour que ceux-ci soient soumis systématiquement et prioritairement aux exigences de substitution de la procédure d’autorisation.

Par ailleurs, l’interdiction du BPA en contact alimentaire doit s’accompagner d’un service de collecte auprès des particuliers de leurs emballages obsolètes et d’une interdiction d’exporter les produits non commercialisés vers des pays qui ne sont pas encore dotés de législation sur le BPA. Les professionnels doivent organiser une filière de récupération de ces produits afin de mettre en place un recyclage respectueux de la santé et de l’environnement.

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La législation du BPA à travers le Monde

Au Japon, l’utilisation du BPA a été considérablement revue à la baisse de 1998 à 2003 dans l’ensemble des contenants alimentaires. Les scientifiques, le gouvernement et l’industrie au Japon ont les premiers adopté une série de mesures volontaires pour diminuer l’exposition du BPA de l’ensemble des consommateurs. En 2005, un rapport (RCCRM) indiquait qu’il n’y avait presque plus de traces de BPA dans la majorité des contenants alimentaires.

L’Australie n’a pas interdit le BPA mais a obtenu des principaux distributeurs (Woolworths, Big W, Aldi and Westfarmes Group) qu’ils retirent volontairement du marché les biberons depuis mi-2010.

En Allemagne, l’agence fédérale de l’environnement (UBA) recommande aux fabricants, importateurs et utilisateurs de BPA de chercher à utiliser des substances alternatives qui posent moins de risque pour la santé humaine et l’environnement.

L’Autriche est en train de planifier une interdiction du BPA dans le matériel de puériculture (pour les enfants de moins de 3 ans). La Suède suit la même voie.

En 2010, le Danemark a décidé d’interdire le BPA des biberons et du matériel de puériculture (enfants de – de 3 ans concernés), le Costa Rica également a pris une décision similaire concernant le matériel a destination des enfants en bas âge, Le Canada a confirmé sa décision prise 2 ans plus tôt d’interdire le BPA dans ce type de matériaux également.

Si au niveau fédéral, les Etats-Unis n’ont pas encore pris de décision d’interdiction, des états comme le Vermont, Minnesota, Connecticut, Wisconsin, Washington, Massachusetts, Maryland, New York ont d’ores et déjà acté l’interdiction du BPA dans différents plastiques alimentaires pour les – de 3 ans. A noter, le Connecticut va plus loin puisqu’il interdit le BPA dans les plastiques alimentaires également à destination des adultes.

L’Union Européenne a décidé en novembre dernier l’interdiction de la fabrication et de la vente de biberons avec du BPA.

En France, en juin 2010, députés et sénateurs ont voté à l’unanimité l’interdiction du BPA dans les biberons après avoir envisagé une interdiction plus large. En parallèle, le gouvernement s’est engagé à mener une campagne d’information à destination des femmes enceintes sur les risques du BPA et a demandé un rapport d’expertise collective (INSERM) sur le BPA. Le gouvernement a aussi confié à l’ANSES une mission d’expertise sur les alternatives et a promis de rendre compte au Parlement au premier trimestre 2011. Aucune de ces démarches n’a encore abouti.

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!?

BPA, PERTURBATEUR ENDOCRINIEN, QUESACO ?Comme vu ci-dessus, le Bisphénol A (BPA) est un des perturbateurs endocriniens (PE) les plus répandus dans notre environnement puisqu’on le retrouve dans de nombreux objets de consommation courante et également dans notre organisme.

Les perturbateurs endocriniens constituent un groupe de substances chimiques très vaste dont la structure permet à celles-ci d’interférer avec la régulation hormonale. Quelques exemples : - pesticides tels que le linuron ou l’amitrole (présents sous forme de polluants ou de résidus dans nos assiettes), - phtalates (présent dans de nombreux articles en PVC souple - à l’exception des jouets où ils sont interdits - et les cosmétiques notamment), - perfluorés (présents dans des revêtements antiadhésifs, comme le teflon des poêles),- ...

Par leur mode opératoire (effets cocktails, faibles doses, périodes critiques d’exposition), les PE sont une clé d’explication importante de la progression des maladies chroniques.

D’après la Société d’Endocrinologie (lors du congrès qui a réuni 7500 experts internationaux en juin 2009), un PE est une substance naturelle ou de synthèse, qui, à travers une exposition environnementale ou une exposition inappropriée durant le développement, altère le système hormonal et le système homéostatique qui permettent à l’organisme de communiquer et de répondre à son environnement. Les enjeux clés pour comprendre les mécanismes d’actions et de conséquences de l’exposition à des PE incluent l’âge d’exposition, le temps écoulé entre l’exposition et ses effets, les interactions entre les substances chimiques, la dynamique réponse à la dose et les effets latents à long terme. Les effets des PE peuvent être transmis a posteriori aux futures générations à travers les modifications épigénétiques sur les cellules germinales ou à travers une exposition environnementale continue de la descendance (+ d’info : http://reseau-environnement-sante.fr/?p=96).

Plusieurs listes de substances potentiellement perturbatrices du système endocrinien ont été dressées. La Commission européenne a notamment répertorié 562 substances qui devront être analysées à cet effet.http://ec.europa.eu/environment/docum/01262_en.htm#bkh

Pour autant, malgré le constat de données scientifiques suffisantes, la réglementation de ces substances et la mise en application de mesures concrètes de prévention évoluent trop lentement au niveau national, européen et mondial.

Aux Etats-Unis, un projet de loi du Sénateur démocrate John Kerry, ancien candidat à la présidence des Etats-Unis, préconise de :Promouvoir la santé de la famille et la perpétuation de l'espèce humaine en tant qu'objectif national primordial, tout en reconnaissant que, pour protéger l'embryon, le fœtus et le nourrisson pendant leurs phases de développement les plus vulnérables, le corps des parents doit être exempt de Perturbateur endocrinien avant la conception, pendant la gestation et durant la lactation ; http://reseau-environnement-sante.fr/wp-content/uploads/2010/05/projetloikerry.pdf

Dans la zone de l’Atlantique du Nord-Ouest (dont la France fait partie), la convention Ospar a acté l’engagement des Etats à la prévention et la suppression de la pollution chimique :http://www.ospar.org/content/content.asp?menu=30340108070000_000000_000000

Quand ces engagements politiques seront-ils mis en œuvre ?Passons des intentions aux actes maintenant !Agissons donc maintenant pour pousser les politiques à accélérer la réglementation, la mise en application de mesures concrètes de prévention et ainsi prévenir l’accroissement des maladies chroniques qui touchent de plus de jeunes.

Le collectif Appel de la jeunesse

« Parce que nous ne pensons pas que notre génération et celles à venir puissent être en bonne santé sur une planète malade »

C’est sur ce constat qu’en 2009 l’Appel de la jeunesse a été lancé.

Le collectif Appel de la jeunesse est une organisation intergénérationnelle créée par des jeunes. Le collectif Appel de la jeunesse a vu le jour suite au décès d’un étudiant d’un cancer. Il souhaite contribuer à l’amélioration de l’état de santé tel qu’il est défini par l’Organisation Mondiale de la Santé, c'est-à-dire «  un état de bien-être physique, psychique et social et non l'absence de maladie». Il rassemble des organismes qui s’intéressent aux liens entre la santé et l’environnement et agit pour que se généralisent des modes de vie et de consommation respectueux de la santé, des Hommes et des écosystèmes.

Pour réaliser ses ambitions, le collectif Appel de la jeunesse met en place différentes actions  : débats en milieux scolaire et universitaire, formations aux liens entre la santé et l’environnement, des interventions médiatiques, publication d’ouvrages (« Vous avez dit cancer ? Des causes environnementales à la prévention » Ed Jouvence), événement festif [la GreenP:)ride] et campagnes de sensibilisation [la 1e : Générations cobayes Non Merci !].

Plus d’informations sur www.appeldelajeunesse.org et www.generationscobayes.org

Le Réseau Environnement Santé« Parce que notre environnement, c’est notre santé »

Le Réseau Environnement Santé (RES) a été créé en 2009 pour mettre les questions d’environnement et de santé au cœur des politiques publiques.Il regroupe 4 groupes d’associations : ONG, scientifiques, professionnels de santé et malades.A contre-courant des conservatismes, le RES agit pour une meilleure prise en compte du principe de précaution sur une base scientifique solide, qui s’appuie sur des études validées et indépendantes des intérêts privés.En 2010, la 1e campagne lancée par le RES a abouti à l’interdiction dans les biberons du Bisphénol A, une molécule toujours employée par l’industrie chimique malgré les nombreux risques sanitaires associés : cancer, diabète, obésité, troubles de la reproduction et du système nerveux. Comme l’illustre cette campagne, le RES cherche à mettre dans le débat public les connaissances scientifiques disponibles et faire en sorte que les acteurs institutionnels et économiques mettent en œuvre le principe de précaution pour établir les réglementations et transformer les procédés industriels.

Plus d’informations sur www.reseau-environnement-sante.fr et www. stop-bpa.fr

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LE COLLECTIF APPEL DE LAJEUNESSE

REMERCIE LES ASSOCIATIONS PARTIES PRENANTESDE LA CAMPAGNE GÉNÉRATIONS COBAYES NON MERCI !

LES PARTENAIRES SOUTIENS DU LANCEMENTDE LA CAMPAGNE GÉNÉRATIONS COBAYES NON MERCI !

LE PARTENAIRE PRESSE DE LA CAMPAGNE GÉNÉRATIONS COBAYES NON MERCI !

ET LES SOUTIENS DU COLLECTIF APPEL DE LA JEUNESSE

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LES SOUTIENS DE LA CAMPAGNE" GÉNÉRATIONS COBAYES NON MERCI ! "