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Revue de presse kylia semaine 16

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

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La revue de Presse KYLIA 1 

 

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 15 au 21 Avril 2013

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Immobilier : rebond des prix à Paris

Le 15/4/2013

A contre-courant des annonces de généralisation de la baisse des prix,

l'immobilier parisien a rebondi en mars selon Meilleursagents.com. Tout

comme certains marchés locaux en Ile-de-France. Etat des lieux.

Après un début d'année marqué par deux mois consécutifs de baisse des prix, le marché immobilier

parisien s'est ressaisi en mars selon la dernière livraison du baromètre Meilleuragents.com. Dans la

capitale, les logements anciens ont bénéficié d'un regain de 0,2% en mars après -0,3% en janvier et -

0,8% en février. Avec une reprise plus marquée sur le segment des studios et des 2 pièces (+0,4%),

alors que les grandes surfaces (3 pièces et plus) progressent plus modérément (+0,1%). Un marché

hésitant qui, selon le réseau, observe une pause en raison de la poursuite de la chute des taux

d'intérêt (3,07% en moyenne) ainsi que du renforcement de la demande saisonnière. " Cette remontée

s'inscrit dans un scénario d'érosion des prix, pas d'écroulement, précise Sébastien de Lafond,

président et cofondateur de Meilleursagents.com. Les acheteurs qui, à Paris, attendent le grand soir

des prix, c'est-à-dire une baisse de 15% cette année, vont en être pour leurs frais ! "

Un marché francilien contrasté

De l'autre côté du périphérique, la situation est plus contrastée. Notamment dans les départements de

la petite couronne (-0,2%). Contre toute attente, la Seine-Saint-Denis se démarque en affichant la plus

forte remontée des prix du baromètre. " Avec +1,7% en mars, il est intéressant de noter que le 93

progresse pour le quatrième mois consécutif grâce à un effet pouvoir d'achat, explique Sébastien de

Lafond. On l'explique par la proximité de Paris et un fort différentiel de prix. A l'opposé, le Val-de-

Marne (-0,6%) et surtout les Hauts-de-Seine (-0,8%) souffrent de la comparaison avec la capitale,

avec des écarts de prix beaucoup plus faibles ". Même constat en grande couronne (+0,1%) où les

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différences sont particulièrement marquées entre l'ouest et l'est du département : +0,4% en Seine-et-

Marne qui fait preuve d'un certain dynamisme sur les six derniers mois, -0,7% en Essonne où le

marché est grippé. " Contrairement à l'avis de certains observateurs, nous ne sommes pas entrés

dans une phase de franche baisse généralisée des prix, analyse Sébastien de Lafond. Le scénario qui

a émergé en début d'année va se poursuivre : baisse en pente douce dans un marché toujours rétréci

et hiérarchisation des prix en fonction de la qualité et de la situation des biens, avec des dynamiques

locales qui surprennent parfois. " Un marché qui devrait se fluidifier jusqu'à l'été selon le réseau, avant

de revenir au calme à la rentrée.

Source : L’Express.fr

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93% des copropriétaires estiment payer trop de

charges

Le 18/4/2013

Face au mécontentement de 9 copropriétaires sur 10, De Particulier A Particulier s’est associé

à l’Association des Responsables de Copropriété afin de leur permettre de mieux maîtriser leur

budget.

Face au mécontentement de 9 copropriétaires sur 10, qui estiment payer trop charges, De Particulier

A Particulier s’est associé à l’Association des Responsables de Copropriété.

SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Entretien des parties communes mais aussi dépenses d’énergie, honoraires des syndics ou encore

primes d’assurance… les charges de copropriété peuvent représenter un poste conséquent, dont il

est difficile d’évaluer la pertinence.

PAP (de Particulier à Particulier) s’est ainsi mobilisé avec l’ARC (Association des Responsables de

Copropriété) pour fournir aux copropriétaires de nouveaux outils d’évaluation des charges de

copropriété. «Nous voulons faire prendre conscience aux particuliers de l’importance de contrôler et

de maîtriser les charges de copropriété, souligne Jean-Michel Guérin, directeur général de PAP. Par

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le biais de cette initiative, nous souhaitons également alerter l’opinion sur l’état du parc de logements

en copropriété, dont la vétusté et le délabrement font baisser, à terme, la valeur patrimoniale ».

Donner aux particuliers les clés de la gestion de leur copropriété.

Au sein de leur partenariat, PAP et l’ARC ont créé deux étiquettes d’évaluation des copropriétés, l’une

dédiée au niveau des charges d’une copropriété et l’autre à sa gestion patrimoniale qui permettra de

définir sa valeur patrimoniale. Le partenariat propose dans un premier temps, et jusqu’à fin 2013, une

phase test dans trois villes de France : Paris, Nantes et Montpellier. Les particuliers résidant de ces

trois agglomérations pourront accéder gratuitement à l’outil « Oscar », un logiciel en ligne mis à

disposition par l’ARC, et qui permet l’évaluation des performances d’une copropriété via l’analyse des

annexes comptables. Les résultats de cette analyse se présentent sous forme d’une « Etiquette

Charges » correspondant à un barème allant de A à G (A étant la meilleure note et G étant la plus

basse). Ce partenariat vise à la généralisation de l’étiquette charges à une échelle nationale en 2014,

mais prévoit également la mise en place d’une « Etiquette Gestion Patrimoniale ». Bruno Dhont,

Directeur Général de l’ARC, souligne que « ce partenariat répond à un véritable besoin des

copropriétaires, souvent démunis face à la gestion de leur copropriété. Avec notre outil OSCAR, nous

apportions une réponse globale. Aujourd’hui, ce partenariat avec PAP va nous permettre d’élargir et

d’affiner notre base de données et de construire un référentiel à l’échelle d’une grande ville afin de

créer l’étiquette la plus fine, la plus précise, et donc la plus pertinente possible. »

9 copropriétaires sur 10 estiment payer trop de charges

Les charges de copropriété regroupent toutes les dépenses supportées par l’ensemble des

copropriétaires en contrepartie de l’usage de leur logement. Parmi les propriétaires que PAP a

interrogés, plus de 9 sur 10 (92,5 %) estiment que leur niveau actuel, dans leur propre copropriété, est

trop élevé. Les copropriétaires sont nombreux à s’intéresser à ces charges, puisque presque la totalité

des répondants (97 %) déclarent leur accorder de l’importance. Des propriétaires qui s’informent

donc, et se renseignent, car 67,5 % d’entre eux n’hésitent pas à comparer leurs charges à celles

d’autres immeubles, et 81 % assistent régulièrement aux assemblées générales de leur copropriété.

En revanche, seul un tiers (32,5 %) des propriétaires interrogés sont membres du conseil syndical de

leur copropriété. Bien qu’ils considèrent en majorité que leurs charges de copropriété sont trop

élevées, les propriétaires français ne sont pas pour autant résignés puisqu’ils estiment pour 73 %

d’entre eux qu’elles peuvent être réduites par des actions à court terme.

Source : LeNouvelObs.com

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Les Français dépensent en moyenne 633 euros

par mois pour se loger

Le 18/4/2013

Les Français dépensent en moyenne 633 euros par mois pour se loger et

environ un tiers d'entre eux éprouvent des difficultés à s'acquitter de cette

somme, selon une étude de l'institut OpinionWay pour l'établissement de crédit

Sofinco publiée ce jeudi.

L'étude relève que c'est en moyenne 16 euros de plus qu'en 2012, où l'institut avait réalisé une

enquête similaire.

REUTERS/Mal Langsdon

Les Français dépensent en moyenne 633 euros par mois pour se loger et environ un tiers d'entre eux

éprouvent des difficultés à s'acquitter de cette somme, selon une étude de l'institut OpinionWay pour

l'établissement de crédit Sofinco publiée jeudi 18 avril.

L'étude relève que c'est en moyenne 16 euros de plus qu'en 2012, où l'institut avait réalisé une

enquête similaire. Locataires et propriétaires ne sont toutefois pas logés à la même enseigne: les

propriétaires déboursent 6 euros de moins que l'an passé, soit 793 euros mensuels (14,5% de leurs

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revenus), alors que les locataires voient leur loyer moyen augmenter de 32 euros, à 551 euros (36,5%

de leurs ressources).

Ainsi, plus de la moitié des locataires interrogés (60%) estiment que leur budget logement est trop

important, contre 25% des propriétaires. Près d'un tiers (29%) des personnes interrogées disent en

outre avoir des difficultés à s'acquitter de leur loyer ou de leur emprunt immobilier, un niveau

comparable à l'année dernière.

Les dépenses de logement influent sur l'habillement et l'alimentaire

Pour garantir le paiement de leur loyer ou emprunt, 73% des personnes interrogées envisagent de

réduire leurs dépenses annexes, note l'étude, et 13% d'entre elles pensent à déménager. La capacité

d'épargne des Français s'en retrouve lourdement affectée pour plus de huit locataires sur dix (82%) et

pour près de la moitié (47%) des propriétaires.

Ils sont un peu moins nombreux (76% des locataires et 41% des propriétaires) à affirmer que les

dépenses de logement influent sur le budget des vacances. Autres domaines de consommation

touchés, l'habillement pour 67% des locataires et 35% des propriétaires ou encore l'alimentaire (66%

des locataires contre 34% des propriétaires).

Enfin, plus de la moitié des locataires interrogés (56%) rognent sur leurs dépenses de santé contre un

tiers (31%) des propriétaires, relève l'enquête. Cette étude a été réalisée en ligne les 3 et 4 avril,

auprès d'un échantillon de 1013 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Source : L’Expansion.com

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Immobilier : comment acheter en négociant le

meilleur crédit

Le 19/4/2013

© REA

Voilà bien longtemps que les candidats à l’achat n’avaient pas connu une conjoncture aussi favorable.

D’abord parce que la baisse des prix, entamée modestement en 2012 (selon les statistiques des

notaires, elle s’établit sur un an à 0,5% pour les appartements et à 1,5% pour les maisons), devrait

vivement s’accélérer d’ici l’été 2013, pour s’établir en fin d’année entre 5 et 12% selon les régions.

Ensuite parce que les taux de crédit ont atteint un point bas : 3,40% en moyenne sur vingt ans, du

jamais-vu depuis un demi-siècle ! Si vous avez un projet immobilier en tête, il n’y a donc aucune

raison de ne pas le mettre en route dès aujourd’hui. Sauf peut-être dans le neuf, où la cote ne devrait

refluer qu’à l’horizon 2014.

> Apprenez à détecter ₠les biens qui seront facilement négociables

De 4 à 5% sur le prix affiché : c’est la marge moyenne de négociation à la baisse dont vous disposez

aujourd’hui. Pas mal, mais il y a moyen d’obtenir davantage. Avant toute chose, tentez de connaître la

date à laquelle le vendeur a acquis son logement. Par exemple en l’interrogeant sur l’évolution de sa

taxe foncière ou du réseau de transports en commun… Il est propriétaire depuis au moins dix ans ?

Bingo ! L’envolée des prix enregistrée sur la période lui garantit déjà une jolie plus-value. «Il acceptera

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beaucoup plus aisément de consentir un rabais», conclut Olivier Alonso, le patron du réseau

d’agences Solvimo.

Evidemment, si l’achat a eu lieu après 2008, la discussion risque de tourner court : il n’est même pas

sûr que l’évolution de la cote fasse rentrer le vendeur dans ses frais… Autres types de biens qui

devraient pouvoir se négocier sans trop de peine : ceux construits (ou entièrement réhabilités) il y a

moins de cinq ans. En effet, depuis le 1er janvier 2013, leur vente n’est plus soumise au paiement de

la TVA sur la plus-value réalisée. Mais du coup, l’acheteur que vous êtes n’a plus droit aux frais de

notaire réduits. Soit un surcoût imprévu de 3 à 4% du prix d’acquisition, qu’un vendeur pressé de

signer acceptera souvent d’assumer (au moins pour moitié).

> Exigez une offre de prêt à prix cassé si vous avez un bon profil

On ne prête qu’aux riches, paraît-il. Difficile de dire le contraire en ce moment : afin de réduire les

risques d’impayés (qui suivent la courbe croissante du chômage), les banques concentrent leurs

offres de crédit sur les meilleurs dossiers. Profil type recherché : un salarié en CDI depuis au moins

trois ans, disposant de 50.000 euros de revenu annuel (80.000 euros pour un couple) et d’un apport

personnel d’au moins 10%. Mais une fois trouvé, elles lui déroulent le tapis rouge : le taux octroyé est

inférieur de 0,2 à 0,3 point à celui du barème standard. Toutefois, comme le montre notre enquête

menée auprès de dix grandes banques (lire le tableau), faire jouer la concurrence reste indispensable.

Ajoutons que, pour un bon client, un taux canon n’est pas le seul avantage à négocier. Il y a aussi la

modulation des mensualités (à la baisse, elle donne de l’oxygène, à la hausse, elle réduit le coût du

crédit), la suppression des indemnités de remboursement anticipé (3% du capital restant dû) et des

frais de dossier (autour de 1.000 euros). Faire baisser le coût de votre couverture décès sera plus

délicat : près de la moitié des banques de notre panel rechignaient à déléguer cette assurance auprès

d’une petite compagnie spécialisée, aux tarifs souvent ultracompétitifs.

Peaufinez votre -dossier d’emprunteur si vous êtes en CDD

Aujourd’hui, les profils fragiles (salariés en CDD ou intérimaires) sont souvent repoussés par les

établissements prêteurs. «Sauf à travailler dans un secteur d’activité épargné par la crise, comme la

santé», note Ludovic Huzieux, directeur associé chez Artemis Courtage. Peu d’espoir également pour

les couples où un seul est en CDI (le seuil d’endettement de 33% est alors calculé sur sa tête). Quant

à ceux dont l’emploi est menacé (les salariés de l’industrie automobile, par exemple), leur candidature

sera scrutée avec la plus grande vigilance… Vous relevez de l’un de ces cas limites ? Tout n’est pas

perdu, à condition de soigner votre dossier dans ses moindres détails.

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D’abord, en remboursant vos prêts à la consommation si vous en avez (les prêteurs n’apprécient

guère les clients déjà endettés). Montrez ensuite que vous savez épargner : 80 euros mis de côté

chaque mois depuis un an peuvent suffire à rassurer un banquier. Enfin, maximisez votre apport

personnel, en utilisant le prêt 1% logement de votre employeur ou celui du PEL, de manière à couvrir

au moins les frais de notaire. Et pour mettre toutes les chances de votre côté, sollicitez en priorité les

banques encore conciliantes, telles que la Caisse d’épargne ou le Crédit mutuel.

> Ne vous précipitez pas si vous souhaitez acheter dans le neuf

L’heure des soldes n’a pas encore sonné sur le marché du neuf ! En moyenne, les prix ont même

gagné 1,1% sur un an, à 3.800 euros le mètre carré en province et à 4.700 euros en Ile-de-France.

«Normal, contrairement à l’ancien, les stocks de logements neufs n’ont quasiment pas grossi en

douze mois», explique Guy Nafilyan, P-DG de Kaufman & Broad. Vu le plongeon du nombre de

ventes (–30% sur un an), le recul des prix est néanmoins programmé. Il ne devrait toutefois pas

intervenir avant le début de l’année 2014, le temps pour les promoteurs de resserrer leurs coûts de

construction et de négocier les prix des terrains à bâtir. Bref, si vous le pouvez, n’hésitez pas à différer

votre projet de quelques mois : le coût du crédit ayant peu de risques d’augmenter dans ₠les douze

mois à venir, les gains nets réalisés pourront atteindre ₠6 à 8%.

Charlotte Simoni

Source : Capital.fr

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A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

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