Cie Les Frères Duchoc

Revue deRevue dePressePresse

Grosse Pression

Site internet avignonmag.com p. 2Juillet 2006La Provence édition Avignon p. 310 juillet 2006

Midi Libre édition Montpellier p. 46 mai 2006

Le Journal du Centre édition Nevers p. 52 juillet 2004

Site Internet ctendance.com p. 625 novembre 2004

24 heures, supplément culturel édition Lausanne p. 72 juillet 2003

La Tribune - Le Progrès édition Saint-Etienne p. 826 mars 2003

Infos et contacts : www.duchoc.com

"Choc c'est du choc qui nous chauffe et nous choque". Je n'ai pas le texteexact. Ce n'est pas les mots qui les importent ces drôles de Frères Duchoc.A par le rythme, leur union parfaite, l'humour, la spontanéité, les sons, leursclowns respectifs, le sens du public, la générosité, le talent, l'énergie remar-quable et la dérision, ils ne maîtrisent pas grand chose. Ces deux "pîtres",qui ont l'avantage de porter avec classe aussi bien un jogging trop serré quedes pompons de majorette, qu'un costume de gospel pour deux, ont vrai-ment du talent. A voir absolument ! Invitez petits et grands sans aucuneségrégation car ces deux compères s'adaptent à toutes les situations ! Ce lieu magique, Villeneuve en scène, et ces 2 artistes, entre autres,devraient faire l'objet d'une commission spéciale afin que le public puisseêtre remboursé par la Sécu ! Les pieds dans l'herbe, la lueur de la guin-guette, les chapiteaux mythiques�Du vrai, du frais, de l'air et du bonheur�

Angélique Bochoire

Grosse PressionSous chapiteau, Villeneuve en scène, 20h00

Cie Les Frères Duchoc

Site Internet : avignonmag.comLe web-magazine de société du Grand Avignon

Juillet 2006

- 2 -

La Provence 10 juillet 2006Festival d�Avignon (84)

- 3 -

Midi Libre 6 Mai 2006

Festival Saperlipopettes, voilà enfantillages, Montpellier (34)

- 4 -

Le Journal du Centre2 juillet 2004

Festival Les Zaccros d�ma rue à Nevers (58)

- 5 -

La compagnie a été créée par ChristianNury et Jean-Francois Pascal en septem-bre 2001 pour la mise en place et l'inter-prétation d'un spectacle musical hors ducommun qu'ils ont intitulé "Grosse pres-sion". La compagnie "Les Frères Duchoc" (�) seproduit dans toute la France avec leurspectacle "Grosse pression" qui est tout àfait original et distrayant. Leurs qualitésartistiques indéniables leur a valu d'êtrecontactés et reconnus par le "Cirque dusoleil" quelques mois seulement après lelance-ment de leur spectacle. Les deux hommes-orchestres sont habillésde façon plutôt ridicule, mais voulue, pourdonner ainsi une constance particulière àleurs personnages. Ils présentent unesuite de numéros où ils enchaînent diffé-rentes performances circo-rythmiques,c'est à dire percus-sions vocales et corpo-relles, manipulations rythmiques d'objetset illusion gestuelle à l'unisson. Roger et Nico naïfs, encombrés, à fleursde peau, réactifs et maladroits, ont donnévie et joie à ces performances physiques ettechniques. Le duo fonctionne à merveille dans le soucide mêler univers musical et visuel aidés

dans leur tâche par un instrument originalqu'ils ont inventé et créé de toute pièce : LeDUCHOPHONE. Le Duchophone est une sorte deXylophone géant électronique (�). LeDuchophone est donc devenu un élémentincontournable du spectacle qui permetaux spectateurs de découvrir toutes sortesde possibilités musicales. Sans oublierl'admirable jeu de jambes des deux artistespour le faire fonctionner ce qui ne manquede surprendre toujours le public. " La diversité musicale de ce nouvel instru-ment et les performances proposées dansnotre spectacle lais-sent souvent le publicen question-nement. Certains spectateurspensent que nous utilisons des bandessonores or aucune n'est utilisée dans notrespectacle " tiennent à souligner la compa-gnie. Durant leurs représentations, chaque foisunique et adaptée au public du moment,les deux personnages habillés en vert pourl'un et en rouge pour l'autre sont toujoursen mouvement et savent parfaitementimproviser s'il le faut.

Ils sont par moment moqueurs, rieurs, tris-tes, en colère, avec l'intention d'éprouverle public à chaque fois, voir même de leprovoquer mais surtout de s'amuser aveclui. Avec eux tout est prétexte à faire du bruiten percutant, martelant, tambourinantcomme avec le concours de bruits et dejeu de chaises le tout ponctués par desbruits de bouche ou des sons incompré-hensibles et incompara-bles. C'est unmoment magique et unique en son genreque les spectateurs petits et grands pas-sent en compagnie des Frères Duchoc. La compagnie des Frères Duchoc consa-cre tout le mois de novembre à la prépara-tion d'une nouvelle création qui sera trèscertainement tout aussi originale et specta-culaire que "Grosse Pression". De nosjours le spectacle "Grosse pression" atrouvé sa vitesse de croisière et c'est donctout naturellement en raison du succès dece premier spectacle qu'ils ont décidésd'en monter un nouveau. C'est avec impa-tience que le public déjà nombreux conquitpar "Grosse pression" attend le lancementde la nouvelle création des Frères Duchoc,une équipe de choc qui mérite d'êtreconnue et reconnue.

Site Internet : ctendance.com25 novembre 2004

- 6 -

- 7 -

24 heures, supplément culturel 2 juillet 2003

Festival de la Cité, Lausanne (Suisse)

Les Frères DuchocLe bruit qui courtINTERVIEWINTERVIEW Grosse Pression, ou le premier essai théâtro-comique d'une paire depercussionnistes fous, faux frangins mais vrais clowns.

Une paire frappée pour un humour qui tape

François BARRASUn look improbable deDeschiens en training acryli-que, un arsenal d'ustensiles àfrapper, battre et martyriserd'abondance et un chapeletd'idées saugrenues remplis-sant la besace de ces deuxfrères Duchoc, frangins pourde rire, adeptes de temposfurieux et de débauchevisuelle. A l'origine de lacompagnie créée pour abri-ter leurs tribulations rythmées: Nico et Roger, alias Jean-François Pascal et ChristianNury. "C'est la belle histoiredes vieux potes, glisse cedernier au téléphone. On seconnaît depuis l'âge de 10ans� ça fait maintenantvingt-trois ans ! Après desexpériences au sein de plu-sieurs compagnies de specta-cles, nous avons décidé demonter ce duo sur la base denotre formation de percus-sionnistes. Le spectacle a étéprésenté pour la premièrefois en janvier 2002."

Basés à Valence, les Duchocbaladent leurs combinaisonsrouges et vertes à travers laFrance. Sur scène, les fauxfrères comptent sur leurspieds et leurs mains pourpallier une légère aphoniede circonstance : entre mime,comédie, explosion clownes-que et sonore, Nico et Rogerne choisissent pas. "On sesert parfois de mots oud'onomatopées, mais il n'y apas de textes. Le spectaclerepose sur le principe dumime et du duo comique :celui de deux gars un peugrotesques qui viennent pré-senter une dizaine de sket-ches et sentent confusémentleurs côté ridicule mais conti-nue vaille que vaille.L'improvisation vis-à-vis desréactions du public est essen-tielle. Roger c'est le petitfrère plutôt ringard, et Nicol'aîné le plus responsable. "Specatcle d'humour ou Showmusical? "C'est à la fois comi-que et musical. Mais ça restedans la famille des clownsavec ce côté particulierqu'apportent les percus-sions."

Dans les faits, plus d'uneheure de tempo soutenu batle pouls de Grosse Pression.Congas, chaises ouDuchophone ( ?) le duo faitrythme de tout bois et soumetsa prouesse instrumentale auservice d'une mise en scènebien rodée. " Le premierdéfie se situe au niveau despersonnages : il nous a fallucreuser notre âme de comé-dien et apprendre à faireentrer le public dans notreunivers. Nous avons beau-coup travaillé sur cet aspectsur les conseils de StéphaneClément, de la CompagnieAlbédo. En revanche l'aspecttechnique du spectacle nepose pas de problème : sipar hasard l'un de nous perdle rythme, on le récupèreaussi sec."Si l'héritage du théâtre derue ne semble pas loin, lesDuchoc ont conçu GrossePression pour le jouer sur unevraie scène - "il réclame unecertaine acoustique", noteChristian Nury, "et nous avonsbesoin d'un cadre "intime"

pour que les gens puissent seplonger dans son ambiance.Sans texte, on a besoind'avoir nitre public les yeuxdans les yeux". Avec plus deseptante représentationsdepuis janvier, les Duchocassurent un joli décollage àleur premier essai. "C'estréjouissant et étonnant : noussommes appelés dans descadres très différents, dessalles de 600 places commedes cafés-théâtres de 50chaises. Nous avons même eudes contacts avec le Cirquedu Soleil, mais nous préféronsdemeurer une compagnieindépendante. Paris ? Le cir-cuit national passe évidementpar la capitale mais nousattendons la bonne occasion,la bonne salle pour vraimenty penser. "

La Tribune - Le Progrès 26 mars 2003

Théâtre Le Triomphe, Saint-Etienne (42)

Un duo " Duchoc "Christian Nury et Jean-François Pascal, alias

"Les Frères Duchoc" ont fait trembler l'assistance duTriomphe vendredi soir.

Dommage que le public n'est pas été curieux de les découvrir parceque chez ces deux

clowns-percusionnistes,il n'y a rien à jeter !

Souvent, on parle de symbiosepour un duo réussi. Mais là, diffi-cile de trouver les mots pourcaractériser l'entent de cette unionartistique. Les Frères Duchoc sontbien mieux réglés que l'horloge deStrasbourg, incroyablement plusconcentrés qu'un Paco Rabane àla recherche de prédiction, et leurprécision est nettement supérieureà celle des missile de GorgesBush. Ils sont une machine à euxtout seuls. Bien au-delà de l'origi-nalité conceptuelle de leur specta-cle, Chritisan Nury et Jean-François Pascal font preuve d'unesynchronisation à peine croyable.Même la vitesse d'exécution neles perturbe pas : ces percussion-nistes-humoristes sont au point eton imagine, au fil du spectacle, lesheures de répétition nécessaires àla réalisation du récital de cesdeux trublions. Peu de paroles,beaucoup de percussions, quel-ques chants et cris bizarres sousle son de drôles d'instruments quipeuvent aller de la chaise de cui-sine à des morceaux de bois enpassant par cette espèce de plan-cher sonore sur lequel il n'ont qu'àsauter pour créer des sons numé-riques.

Faire de tout avec pas grand-chose est leur credo. Les sonsbuccho-préhistoriques, compara-bles à ceux du groupe lyonnais"Trio Led Crush", sont géniaux.Leurs airs naïfs en adéquationavec leurs clownesques tenues descène apportent toute la touchehumoristique de ce spectacle etcachent incroyablement bien laconcentration qu'ils s'imposent.Quand le mot " artiste " prendtoute sa signification

Le sérieux n'est aucunement trou-blé par leurs délires. Impres-sion-nant. Ce sont de vrais pros. L'unest vêtu de vert, l'autre de rouge,mais Les Frères Duchoc formentun duo qui rend daltonien de plai-sir, celui du visuel se confondantavec celui du son. Ce spectaclerassemble des comiques, desclowns, des percussionnistes, desfanfares, des musiciens�Pourtant on a tendance à oublierqu'ils ne sont que deux sur scène.L'illusion est parfaire. On est blufféjusqu'au bout, sauf qu'on en rede-mande. A voir absolument.

FREDERIC SAURON- 8 -