18
Signatures québécoises à l’église Saint-Roch Image fournie par la Ville de Québec REVUE DE PRESSE

Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Citation preview

Page 1: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Signatures québécoises à l’église Saint-Roch

Image fournie par la Ville de Québec

REVUE DE PRESSE

Page 2: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

Mission: promouvoir le design d’ici Par Véronique Voyer, dans Le Devoir (cahier Plaisirs) | 29 octobre 2011

Anne de Shalla | Photo: Seydou Coulibaly

Anne de Shalla coud des kimonos. En visitant sa boutique au Marché Bonsecours, on est loin de se douter que son prochain projet va inspirer le Vatican! La force créatrice de la designer se reflète dans la mise en marché de produits faits ici. À la tête de la Grande Braderie de mode québécoise qui vient de se terminer à Montréal et qui se transporte à Québec ce week-end, elle prépare l'ouverture de Signatures québécoises dans la capitale. En 34 éditions, la Grande Braderie de mode québécoise est passée de 100 à 25 000 visiteurs. Cette vente propose des marques québécoises réduites de 50 à 80%. Prêt-à-porter, accessoires et bijoux, la diversité des griffes présentées se décline en mode enfantine, féminine et masculine. «C'est un

Page 3: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

rendez-vous pour le public et les designers, explique Anne de Shalla, une occasion pour les créateurs d'avoir directement accès aux commentaires des clients, de savoir ce qu'ils préfèrent et ce qu'ils n'achètent pas.» Pour la première fois à Québec, la Grande Braderie se tient jusqu'à dimanche à l'Espace Dalhousie. La boutique Novo y sera, de même que plusieurs marques locales comme Autrefois Saïgon, Blanc Mouton, Jak's et Collections Liam. Mme de Shalla profite de l'événement pour prendre le pouls de la demande en mode dans la capitale, la ville de son nouveau projet: l'église Saint-Roch et les griffes québécoises vont s'allier au sein du projet Signatures québécoises. Il s'agit de transformer le sous-sol du lieu de culte pour promouvoir la mode faite au Québec. «Un sous-sol d'église? Ça va faire friperie!», avait dit la designer, très réticente au départ. Puis elle a embarqué, avec des conditions bien précises: une vitrine sur la rue, des plafonds hauts, un look New York avec du béton et du blanc partout... Le maire Labeaume lui a alors demandé à combien elle estimait les travaux pour le réaménagement de l'église. La designer n'avait pas fini sa liste qu'il acceptait ses conditions. «Je connais très peu Québec, mais j'aime le maire; il n'a pas peur de défoncer des portes», confie-t-elle. Et l'idée a fait son chemin jusqu'au... Vatican. L'administration de l'église Saint-Roch a en effet informé Mme de Shalla que le Vatican s'inspirera de l'idée pour aider des églises qui ont des problèmes financiers: «Des centaines d'entre elles sont en déficit. Qu'une municipalité y investisse pour conserver le patrimoine et pousser la mode locale? C'est brillant», lance-t-elle. Plus qu'une boutique, Signatures québécoises fera aussi de l'événementiel: «Il y a mille possibilités de partenariat avec d'autres corps de métiers, comme, par exemple, les artistes-peintres ou les chocolatiers.» Mme de Shalla laisse aussi planer la possibilité de créer une Semaine de la mode à Québec. Les braderies et Signatures québécoises ont le même objectif: promouvoir le design d'ici. Qu'est-ce qui rend la mode québécoise unique pour la créatrice originaire de France? «Ici, pas de fabriques de tissu, pas de soierie. Ici, c'est

Page 4: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

la fourrure. Il n'y a pas si longtemps, les grands-mères fabriquaient des catalognes avec de vieux vêtements pour recouvrir les lits. Il a fallu inventer à partir de rien, ce qui fait que nos designers sont extrêmement créatifs. Friper, trouer, plier, brûler: ils sont toujours en train de réinventer et le marché de l'écomode est très diversifié.» L'ouverture de Signatures québécoises est attendue pour le printemps prochain. n

Sacrée mode Par Julie Bouchard, dans Voir (cahier Voir la vie) | 6 octobre 2011

La magistrale église Saint-Roch revampera son sous-sol cet automne pour accueillir, d’ici l’été 2012, une vingtaine de designers québécois. Ce projet de mixité sociale et commerciale a comme mission de fusionner l’art du textile et du vêtement au développement du quartier, et permettra de financer la fabrique et de préserver les bâtiments et les services en place. Les locaux actuels seront divisés en deux parties: les organismes communautaires prendront place du côté de la rue Saint-François, tandis que les designers, chapeautés par l’organisme Signatures québécoises, occuperont les ateliers-boutiques à aire ouverte donnant sur Saint-Joseph, d’où l’on pourra admirer quelques créations en vitrine. n

Page 5: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

La mode à l’église Saint-Roch Par Daniel Blanchette Pelletier et Marie-Ève Rochon, sur le blogue La Passerelle | 30 septembre 2011

Le sous-sol de l’église Saint-Roch de Québec aura une nouvelle vocation: les ateliers-boutiques d’une vingtaine de griffes québécoises y seront aménagés d’ici l’été 2012.

Sur les 12 000 pieds carré du sous-sol de l’église Saint-Roch, la moitié de l’espace sera consacré aux designers québécois et aura maintenant une vocation commerciale. Les organismes communautaires, déjà présents au sous-sol, occuperont pour leur part le reste de l’espace.

Cliquez ici pour écouter Anne de Shalla parler de son nouveau projet (à partir de 16 minutes 30 secondes)

La vingtaine de designers est réuni sous l’organisme à but non-lucratif Signatures québécoises, chapeauté par Anne de Shalla, déjà bien connue pour l’organisation de la Braderie de la mode québécoise. En plus de participer à la revitalisation du Quartier Saint-Roch, elle veut amener la mode à Québec. L’organisme y fera aussi de l’évènementiel.

Implanter la mode dans une église

Le patrimoine religieux est de plus en plus difficile à conserver. Les bâtiments religieux coûtent très chers à entretenir et les sources de revenu diminuent, tout comme le nombre de fidèles. L’église Saint-Roch conservera ainsi sa vocation religieuse, tout en allant chercher une source de revenu supplémentaire.

Quant aux griffes qui s’installeront au sous-sol de l’église, l’organisme Signatures québécoises ira chercher des designers de Québec et de Montréal.

Page 6: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

Preuve que Québec et la mode se rapprochent: une première Braderie de la mode québécoise y est organisée les 28, 29 et 30 octobre. n

«Un projet très audacieux» Par Marc-André Gagnon, dans Le Journal de Québec | 23 septembre 2011

En attendant l’arrivée des designers de mode à l’église Saint-Roch, la designer Anne de Shalla (à droite) rassemblera une soixantaine de créateurs à l’Espace Dalhousie, lors de « La Grande

Braderie de Mode Québécoise », du 28 au 30 octobre. | Photo: Didier Debusschère

Afin de redresser la situation financière «difficile» de la paroisse, des travaux de 500 000$ ont débuté au sous-sol de l’église Saint-Roch pour y faire cohabiter des organismes communautaires et... des designers de mode.

Entièrement couverts par une subvention d’un demi-million de dollars octroyée par la Ville de Québec, les travaux de réaménagement devraient se terminer vers la fin décembre.

Une fois le réaménagement complété, le sous-sol sera carrément séparé en deux.

«C'est un projet très audacieux» a déclaré le maire Régis Labeaume, ce matin, en conférence de presse.

Page 7: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

Ateliers-boutiques

C’est l’organisme Signatures québécoises qui, avec une vingtaine de designers, occupera la nouvelle portion commerciale, avec vitrine sur la rue Saint-Joseph Est.

L’espace de création, d’une superficie de près de 6 000 pieds carrés, sera à aire ouverte et offrira un décor moderne. Dès l’ouverture de la boutique, prévue en mai 2012, le public pourra également s’y procurer les vêtements des créateurs tout en découvrant leur environnement de travail. Des ateliers seront également offerts en collaboration avec l'École de mode du Campus Notre-Dame-de-Foy.

«On va travailler très fort avec les forces existantes du quartier», a fait valoir la présidente de Signatures québécoises, Anne de Shalla, qui mène un projet similaire au marché Bonsecours, près de l'Accueil Bonneau, à Montréal.

Il est donc question d’impliquer d’autres designers qui ont déjà pignon sur rue dans le quartier, tout comme les clientèles des organismes communautaires qui logent déjà au niveau du sous-sol de l’église Saint-Roch.

Ces derniers se verront quant à eux attribuer des nouveaux locaux, rassemblés dans l’autre moitié du sous-sol de l’église, c’est-à-dire la portion accessible par la rue Saint-François Est.

Nouvelle étape

Pour le curé Jean Picher, après une décennie de déficit à l’église Saint-Roch, l’arrivée d’un nouveau locataire commercial se veut une «nouvelle étape».

Le budget d’opération de l’église est d’environ 350 000$ annuellement, a expliqué le curé, mais les revenus tirés de la quête et des dons correspondent à peine au tiers de ce montant.

«On a une population qui fréquente nos activités qui est moins nombreuse qu'avant, et généralement elle est de revenu modeste», a indiqué M. Picher.

Page 8: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

«Notre objectif, c’était de trouver une solution permanente», a indiqué le maire Labeaume. n

Page 9: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

Église Saint-Roch: la boutique de mode sera une «plus-value» selon Labeaume Par Valérie Gaudreau, dans Le Soleil| 23 septembre 2011

La moitié des 12 000 pieds carrés du sous-sol de l'église Saint-Roch, du côté de la rue Saint-François, seront occupés par les organismes communautaires déjà présents et l'autre moitié par

une vingtaine de créateurs de mode. | Image fournie par la Ville de Québec

Les designers québécois entrent officiellement à l'église! Les travaux sont lancés pour la nouvelle boutique qui réunira dès le printemps une vingtaine d'entre eux au sous-sol de l'église Saint-Roch. Une «plus-value» pour le quartier Saint-Roch, selon le maire Labeaume.

Page 10: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

«Ça va donner la capacité d'amener ici une nouvelle clientèle», a expliqué Régis Labeaume lors d'une conférence de presse confirmant un investissement de 500 000 $ pour rénover le sous-sol de l'église construite entre 1914 et 1923.

«Je le dis souvent, Saint-Roch n'est pas encore rendu à maturité», a-t-il poursuivi en allusion notamment à la rue Saint-Joseph, artère névralgique du quartier revitalisée. «Dans le fond, ce qu'on veut est que les commerçants sur cette rue-là vivent. Il en va de la stabilité dans l'offre commerciale.»

Les travaux de réaménagement ont été confiés à l'architecte Gilles Duchesneau, et l'ouverture de ces ateliers-boutiques à aire ouverte est prévue en mai.

La moitié des 12 000 pieds carrés, du côté de la rue Saint-François, seront occupés par les organismes communautaires déjà présents et l'autre moitié par une vingtaine de créateurs de mode. L'entrée de la boutique sera sur la rue Saint-Joseph, où une vitrine présentera des créations.

Financer la fabrique

Ces travaux permettront aussi de faire d'une pierre, deux coups, puisqu'ils visent aussi à financer la fabrique Notre-Dame-de-Saint-Roch, aux prises avec une grave précarité financière.

«On pense avoir fait le meilleur choix pour l'avenir de nos bâtiments et notre mission», a soutenu le curé de la paroisse, Jean Picher.

Le prix des loyers payés par les nouveaux locataires n'est pas encore officiellement déterminé, mais la fabrique espère aller chercher des revenus d'au moins 350 000 $ par an nécessaires à la poursuite de ses activités.

La conseillère du district des Faubourgs, Chantale Gilbert, qui a piloté le projet, a aussi souligné que le loyer des organismes communautaires ne sera pas augmenté.

Page 11: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

Pour Anne de Shalla, la présidente de Signatures québécoises, l'organisme qui chapeautera le regroupement d'une vingtaine de designers, ce nouveau concept est un grand pas pour la diffusion du travail des créateurs d'ici. «On va faire de ce petit quartier un château fort de la mode, comme il y en a à Paris ou à New York.» n

Page 12: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

Une première braderie de la mode à Québec Par Véronique Demers, dans Québec Hebdo| 23 septembre 2011

Jean Picher (à gauche), curé de la Fabrique St-Roch, voit d'un bon œil l'arrivée prochaine des designers québécois dans le sous-sol de l'église Saint-Roch. À ses côtés: le maire de Québec Régis Labeaume, la conseillère municipale porteuse du dossier Chantal Gilbert, ainsi qu'Anne de Shalla,

présidente de Signatures québécoises. | Photo: Véronique Demers

En lien avec l’arrivée prochaine de créateurs de mode québécois dans le sous-sol de l’église Saint-Roch, une première braderie de la mode verra le jour à Québec, du 28 au 30 octobre à l’Espace Dalhousie, un peu comme celle de Montréal, se tenant deux fois par année au marché Bonsecours.

«Certains designers seront exclusifs à Québec, car il n'y a plus de place à Montréal. Quant au projet dans l'église Saint-Roch, nous allons favoriser la diversité et les créateurs locaux. On aimerait faire du quartier Saint-Roch

Page 13: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

un château fort de la mode», a précisé la présidente de Signatures québécoises, Anne de Shalla, lors de la conférence de presse vendredi matin.

L'événement (…) recevra la collaboration de [l’École de mode] du Campus Notre-Dame-de-Foy. Il permettra de faire connaître notamment la vingtaine de designers québécois qui devraient avoir pignon sur rue dans le quartier Saint-Roch dès mai 2012.

Solution permanente de 300 000$

Puisque la Fabrique Saint-Roch éprouvait de sérieux problèmes financiers et n'arrivait pas à subvenir à ses besoins de fonctionnement – le Diocèse de Québec aidait depuis six ans la Fabrique –, la Ville de Québec lui a prêté main-forte en versant 500 000$, afin d'entamer des travaux de réaménagement du sous-sol de l'église Saint-Roch (lire «La mode s'installe dans le quartier Saint-Roch»).

Le projet à vocation mixte, social et commercial permettra aux designers d'occuper près de la moitié des 12 000 pieds carrés disponibles. Le prix de la location des espaces commerciaux devrait générer des revenus suffisants pour combler les 300 000$ annuels nécessaires au fonctionnement de la Fabrique Saint-Roch.

Les quelque 6 000 pieds restants seront quant à eux occupés par les organismes communautaires déjà en place, qui seront relocalisés du côté de la rue Saint-François. Le début des travaux débutera sous peu pour se terminer au printemps 2012.

«Au départ, on voulait aider la Fabrique à subvenir à ses besoins et que l'église puisse continuer d'être un lieu de culte. On ne voulait pas être taxés de vendeurs du temple», a commenté la conseillère municipale Chantal Gilbert, porteuse du dossier. Jean Picher, curé de la Fabrique Saint-Roch, voit d'un bon œil le projet, «qui peut être en tout temps réversible», a souligné Mme Gilbert. n

Page 14: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

Des designers à la rescousse de l’église Saint-Roch Sur Radio-Canada.ca| 23 septembre 2011

Aux prises avec un déficit budgétaire récurrent, l'église Saint-Roch obtient 500 000 $ de la Ville de Québec pour restaurer son sous-sol. Les organismes communautaires continueront d'occuper une partie de l'espace tandis que l'autre moitié sera transformée en local commercial réservé aux designers de mode québécois.

La Ville de Québec a annoncé vendredi matin les détails au sujet de l'important réaménagement qui sera effectué au sous-sol de l'église Saint-Roch.

Les travaux, qui devraient se terminer au printemps 2012, permettront donc de donner une vocation mixte aux locaux sous l'église.

Le montage financier assure à la paroisse des revenus suffisants pour couvrir ses frais d'exploitation. Pour Jean Picher, curé de la paroisse, le virage commercial d'une partie de l'église n'est pas incompatible avec sa mission.

«On est content que le type d'activité commerciale qui s'installe ici, ça va être une activité au fond qui promeut des designers québécois, des créateurs de chez nous. On se dit que c'est tout de même compatible, il nous semble, avec la mission générale de l'église», indique-t-il.

Les locaux seront prêts en mai 2012, mais Signatures québécoises, un regroupement de créateurs, lancera dès cet automne sa première opération de promotion. Il s'agira d'une gigantesque braderie.

Page 15: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

«Elle va être à l'Espace Dalhousie les 28, 29 et 30 octobre. À date, on a à peu près 63 inscriptions. Donc, pour une première fois, c'est énorme», indique Anne de Shalla, présidente de Signatures québécoises.

Les travaux de réaménagement dans le sous-sol de l'église Saint-Roch commenceront en octobre prochain. n

Première Braderie de la mode à Québec Par Calixte, sur QuébecTOP| 23 septembre 2011

Québec va accueillir sa première "Braderie de la Mode", fin octobre à l’Espace Dalhousie. Cet événement est bien sûr calqué sur celui de Montréal qui se tient deux fois par an. [Anne de Shalla, productrice de l’événement,] promet la participation de designers exclusifs, qui n'avaient plus de place à Montréal. Parallèlement à cette Braderie, le sous-sol de l'Église Saint-Roch est en cours de rénovation, afin de permettre à des créateurs québécois de disposer d'une vitrine, dès mai 2012. Pour la présidente de Signatures québécoises, le quartier Saint-Roch deviendra ainsi, à terme, un haut lieu de la mode, et les designers locaux seront mis en valeur. Ce projet a pu voir le jour grâce à un appui financier de la Ville de Québec, qui a versé un demi-million de dollars au Diocèse, afin de rénover tout le sous-sol de l'église. La vingtaine de designers, qui s'y installeront, occuperont la moitié de l'espace, le reste restant à la disposition des organismes communautaires. Les commerçants du quartier espèrent également beaucoup de l'arrivée de

Page 16: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

ces créateurs, qui devraient drainer une nouvelle clientèle, plus jeune et plus branchée. n

Église Saint-Roch: des créateurs québécois à la rescousse Par Marie-Claude Boileau, dans Le Carrefour de Québec| 23 septembre 2011

Sur la photo, le maire Régis Labeaume, la conseillère du district des Faubourgs et le curé Jean Picher sont en compagnie des créatrices de Jak's, KarKass, Le Blanc Mouton et Autrefois Saïgon pour l'annonce de l'arrivée de la boutique Signatures québécoises au sous-sol de l'église St-Roch.

L'avenir de l'église Saint-Roch est maintenant sécurisé grâce à la transformation de son sous-sol. La Ville de Québec a dévoilé les détails concernant les rénovations de 500 000$ qui commenceront bientôt et qui feront place à un commerce de créations québécoises.

Page 17: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

C'est l'organisme à but non lucratif, Signatures québécoises, qui occupera les 6 000 pieds carrés au sous-sol de l'église réservé pour du commerce. Les designers auront pignon sur la rue Saint-Joseph Est. Selon le maire RÉGIS LABEAUME, ce changement sera «une plus-value énorme» pour le quartier Saint-Roch. «On n'est pas rendu à la maturité. C'est une situation encore fragile. Il faut être à l'affût pour investir au bon endroit pour amener Saint-Roch à la maturité», explique-t-il.

Signatures québécoises est un projet initié par les Montréalais ANNE DE SHALLA et ÉRIC COUTURE. «Il est né de la volonté de créateurs québécois de se rassembler», fait-savoir Mme de Shalla qui (…) organise la Grande Braderie de la mode qui se tient deux fois par année. D'ailleurs, ils organiseront la première braderie à Québec, les 28, 29 et 30 octobre à l'Espace Dalhousie. Les créatrices de Jak's, KarKass et Autrefois Saïgon ont confirmé leur participation.

Une vingtaine de créateurs québécois pourront louer un emplacement pour vendre leur collection dans la nouvelle boutique du quartier Saint-Roch. «Nous voulons accompagner les designers québécois en leur offrant notre expertise en mode et en événement», mentionne Mme de Shalla. Elle ajoute qu'ils souhaitent aussi organiser des activités telles que des défilés ou des ateliers pour mettre en valeur les créateurs et la relève. L'ouverture est prévue pour mai 2012.

Le reste de l'espace accueillera les organismes communautaires déjà présents à dans l'établissement religieux. Ceux-ci auront leur entrée sur la rue Saint-François Est.

Ces rénovations permettront de stabiliser la rentabilité de l'église dont les activités nécessitent un budget annuel de 350 000$. «Ça va nous permettre de continuer à poursuivre notre mission. On est à une nouvelle étape. La location des locaux à des groupes communautaires continue d'être importante et de rapporter des revenus supplémentaires, mais il y avait une limite à leur capacité de payer un loyer», indique le curé JEAN PICHER qui s'est dit content de cette solution. Au cours des dernières années, c'est le Diocèse de Québec qui a dû résorber le déficit de l'église.

Page 18: Revue de presse: Signatures québécoises à l'église Saint-Roch (annonce du 23 septembre 2011)

Relations de presse: Gaspard Amée | [email protected]

L'architecture du projet est Gilles Duchesneau. Les travaux commenceront en octobre et se termineront en décembre. n

[Reportage au Téléjournal Québec de Radio-Canada] Par Julie Marceau |23 septembre 2011

À REGARDER ICI (début du sujet minute 06 :07)