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La Mondiale générale
MDVA—Boulevard des Lices 13200 ARLES
Production / Diffusion : Mélanie VADET—06 63 11 87 87
www.lamondialegenerale.com
REVUE DE PRESSE
Le 11 janvier 2017
La Provence
18-31 janvier 2017
Ventilo
Le 22 janvier 2017
La Provence
Le 23 janvier 2017
La Marseillaise
Le 1 février 2017
EnvraK
Du 21 janvier au 19 février la deuxième Biennale Internationale des Arts du Cirque bat son plein. Commencée en fanfare à la Friche Belle de Mai elle a connu d’entrée un record d’af-fluence, malgré une météo quasi polaire et un vent glacial. Tous les spectacles étaient gratuits sauf un, on le constate chaque fois à Marseille, les marseillais aiment la culture sous toutes ses formes. Mais ils peinent à boucler les fins de mois: les spectacles gratuits sont toujours très fréquentés, en entrée libre le premier dimanche de chaque mois, le MUCEM bat des records d’affluence. Pour ce week-end d’ouver-ture l’offre y était si riche et l’affluence telle qu’il était impossible de tout voir, sauf à avoir le don d’ubiquité. […]
La Mondiale Générale n’est plus une inconnue, ses duos ont fait le tour de la région et bien au delà, pour cette nouvelle fantaisie ils s’y mettent à quatre et ajoutent à leurs tours d’équilibres impossibles sur des bastaings de chantier -qui imposent une lenteur lancinante qui vous tient en haleine- un numéro de hula hoop ébouriffant. Toujours aussi graves que Buster Keaton ils font éclater de rire les enfants fas-cinés. A suivre encore et encore, ils n’ont pas fini de nous surprendre!
Crédit photo : Jean Barak
Le 5 octobre 2017
La Provence
Le 5 octobre 2017
La Marseillaise
Le 31 octobre 2017
Mouvement
Le 22 mars 2018
Ouest France
Ay-Roop ouvre, tout en équilibre avec Sabordage
« Sabordage » en ouverture du festival, ce vendredi. | Pierre Pretot
Agnès Le Morvan. Festival Ay-Roop. Le temps fort arts du cirque ouvre, vendredi, avec Sabordage. Cinq acrobates de la compagnie arlésienne La Mondiale générale évoquent l'autodestruction du monde. Le rendez-vous C'est une jeune compagnie, créée fin 2012, mais dont les artistes sont des vieux briscards de l'acrobatie, « on a 15ans d'expérience, on se connaît tous depuis longtemps. Du coup, dans le travail tout est allé très vite », raconte Alexandre Denis, co-fondateur de la compagnie. Il y a d'abord eu Braquemard, un duo entre Alexandre Denis et Timothée Van Der Steen, qui a aussi été menuisier. Le spectacle s'articule autour des équilibres sur bastaings, des poutres en bois, de différentes tailles, « que l'on consi-dère comme agrès et objets. Ce n'est pas que de l'équilibre pur ». Poutres et cerceau Forts de cette première création, les deux circassiens ont eu envie d'élargir, et d'inviter d'autres artistes, « qui sont venus avec leurs propres obsessions ». C'est ainsi qu'est né Sabordage, avec une forme courte, plus légère, qui voyage facilement qui se joue aussi bien en intérieur qu'en extérieur et une forme adaptée aux théâtres qui, elle, demande deux jours de montage. Avec toujours des bastaings et un cerceau, « qui fait émerger quelque chose d'inédit », et des questions d'équilibre. Sabordage s'est écrit au plateau, autour de la thématique de l'autodestruction de l'humanité. « En termes de sensibi-lité, ça me saute aux yeux, et c'est la seule légitimité qui me pousse à venir me produire devant un public. » Quand il regarde son parcours, Alexandre Denis pense avoir toujours parlé de ça, même sans l'avoir nommé. Selon lui, « tout le monde est d'accord avec le constat. Du coup, dans le spectacle, on se concentre sur le processus et les mécanismes qui font que l'humanité, brillante, éveillée, est capable de construire des choses sublimes, mais fait le choix de l'orienter vers la destruction ». Situations improbables Sabordage est un spectacle sans parole, tout passe par le corps et la situation.« Mais sans porter de jugement, ni apporter de solution. Ce que l'on met en scène, c'est un rapport de domination. Le cirque a cette force d'aller chercher dans l'exploit des situations improbables, qui nous dépassent et qui permettent des mises en abyme. On fait émerger des situations, on laisse aux spectateurs le soin de les décrire ! » Et si la thématique peut apparaître sombre, « on adore rire, et l'humour n'enlève rien à la gravité du discours. Il faut de la légèreté. » Vendredi 23mars, à 20 h 30, à l'Antichambre, à Mordelles (complet) ; samedi 24mars, à 16 h 30 et 20 h 30, salle po-lyvalente, à Melesse, 0299132634, de 7 à 9 € ; dimanche 25mars, à 16 h 30, au Volume, à Vern-sur-Seiche (complet). À partir de 5ans, durée 35 minutes. www.festivalayroop.com
Le 25 mai 2018
La Montagne
Un cirque tout en équilibre à la Coloc' Cournon-d'Auvergne
Publié le 29/05/2018
une question d’équilibre. © Droits réservés
Du cirque, une farce comico-dramatique de la société, Le Gros sabordage, dernier spectacle de la saison culturelle à la Coloc',
donné jeudi 24 est inclassable.
Créateur d'interrogations, Le gros sabordage présenté par la Mondiale Générale est une pièce de cirque qui s'adresse à tout pu-
blic et permet de nombreux niveaux de perception, d'appréciation et de compréhension.
En silence, au ralenti les cinq Circassiens, Marie Jolet, Sylvain Julien, Frédéric Arsenault, Alexandre Denis et Timothé Van der
Steen entrent en scène et s'installent sur d'étroits plots de plus en plus hauts.
Dans ce fragile équilibre, le spectacle trouve son équilibre. Un équilibre fragile qui prouve combien l'autre est essentiel pour
trouver sa stabilité, réalité de la scène, réalité de la vie ?
Un spectacle original qui interroge en distrayant.
Le 4 juin 2018
La Provence
Le 6 septembre 2018
La Vie
Le 25 décembre 2018
La Montagne
