Revue Vegetarienne 81 Edition Mail

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Revue Vegetarienne 81 Edition Mail

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  • n 81 n 81 n 81 n 81

    En 23 e anne

    de notre Revue

    au 2 e trimestre 2012

    6970 Tenneville

    en Belgique.

    RevueRevueRevueRevue

    Maile gratis sur Maile gratis sur Maile gratis sur Maile gratis sur

    francophonie mondiale francophonie mondiale francophonie mondiale francophonie mondiale

    Association Vgtarienne asbl, Ed.Resp. : Michel Grand'Henry, 3, Wyompont, 6970 Tenneville, Belgique +32(0)84456165

    - Victoire Wimbledon grce son vgtavgtavgtavgtaLLLLisme isme isme isme joint au crudivorisme joint au crudivorisme joint au crudivorisme joint au crudivorisme p 3

    ---- Beau fruit de voyage de noce Beau fruit de voyage de noce Beau fruit de voyage de noce Beau fruit de voyage de noce p 10

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    Cru ou lactoCru ou lacto--ferment congel = ferment congel = idal de vitalit et respect de l'aliment,idal de vitalit et respect de l'aliment, mais mais plus difficile atteindre que le vg plus difficile atteindre que le vg

    il meurt." Ceci est un argu-ment massue sur la vitalit des jus crus; argument hlas non rf-renc, et donn probablement sans le vouloir, par un anti-vgtarien notoire comme Robert Masson, ex-enseignant Fac. Mdecine Paris XIII, Dpartement Naturothrapie(voi r sa Revue "Sant Nature", Toulouse janvier 2004). Ci-contre : ou-vrage explicatif argument, clair, concis et simple du doc-teur USA en Sciences (Ph.D.) Norman Walker, prface mde-cin R.D. Pope. T raduction : Nadine Gassier. Editions Diffusion diffrente/Utovie, 40320 Bats, France. 12 - 20 % pour nos Membres en stand ou runion. MG'H

    Voir Revue 49 : jus de fruits et lgu-mes sont pres-ser vous-mmes, car pasteuriser pour conserver tue les enzymes. Mme en bonne sant, vous nas-similez que 35 % de ce que vous mastiquez (le reste est brl en nergie transfor-matrice). Donc, par les dents on trans-forme lentement des quantits normes d'ali-ments, pour assi-miler peu ! Gas-pillage de vitali-t ! Mais les jus, on les assimile vite (en 5 20') et jusqu 92 %...

    Economie pr-cieuse, car "cha- que humain nat avec une pro-grammation d-termine de divi-sions cellulaires, au-del de la-quelle (suite : cf. co-lonne de droite)

    Pressez vos jus vous-mmes, car quasi tous les jus vendus sont pasteuriss, cuisson dpassant 40 et tuant donc les enzymes, partie VIVANTE de l'aliment

    Ne lisez que nos mots en couleur : vous avez ainsi l'essentiel.

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    ferment congel = ferment congel = Superbe Solidarit SantSuperbe Solidarit Sant entre les 2 surs Williamsentre les 2 surs Williams

    Serena a rduit sa consomma-tion de poulet et de poisson, et mange plus d'aliments crus, car vit avec Venus devenue depuis 8 mois vgtaLienne + crudi-vore, pour s'aider surmonter le syndrome de Gougerot-Sjgren diagnostiqu l'poque. Mala-die auto-immune causant chez Venus fatigue et douleurs articu-laires. Rgime qui a exig une grande adaptation de Venus (NDLR : videmment, car cumul

    soudain de 2 dtox nergiques). Serena : pas trop de drange-ment dittique pour elle (bien sr, car elle a peu modifi sa propre assiette, ndlr). Serena encore : "J'ai toujours mieux (qualitativement, ndlr) mang que Venus, mme si (NDLR : "mme si" quivaut ici "par consquent") je suis beau-coup plus costaude qu'elle", dixit Serena qui, depuis sa coha-bitation avec sa sur, Palm Beach Gardens, en Floride, veille consommer des aliments n'tant pas source de tentation dfavorable pour Venus. "Je ne veux pas qu'en rentrant la maison, Venus se dise devant un morceau de poulet Oh, je le veux, alors qu'elle ne peut pas en manger. Ce serait comme

    une pierre d'achoppement pour elle", ajoute Serena. (Qui cons-tate donc l'efficacit du vg-taLien + cru pour la maladie de Venus. De fait efficace car auto-immune contre en plus par soutien affectif, ndlr). Serena et Venus nanties de 20 titres du Grand Chelem en sim-ple, ont rcemment repris la comptition aprs problmes de sant. Chez Serena : pied puis cheville. Egalement embo-lie pulmonaire ! NDLR : maladie auto-immune est non gurissable par mde-cine classique. Venus adopte donc les 2 remdes naturels pr-cits + soutien affectif . 3 rem-des cumuls qui ont aussi guri du cancer du sein la chirur-gienne Lorraine Day (prof Ecole de mdecine l'univ de Califor-nie, voir Revue Vg 54 et Web). Day y prcise le minimum de cru alors ncessaire : 85 %. Gu-rie, Day n'exerce plus qu'en m-decine naturelle. Rsultat concret pour Venus aussi : a gagn rcemment Wimbledon en double avec sa sur ! (Photo page de couv.)

    SELON LAPRESSE.CA, 27.4.2012

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    Vous vous sentez concern par : Votre Sant Celle de la Terre Le Bien-tre des animaux Une alimentation non-violente Moins de rchauffement climatique

    Infos pratiques de fonctionnement REVUE et ASSOCIATION VEGETARIENNE ASBL : 1.- Les articles dfendent un droit humain non encore reconnu, celui de ne pas tuer... Mais nous publierions avec plaisir tout article du lobby de la viande qui oserait essayer de dmontrer que le rgime carn - bien plus que le vgtarisme - fait gran-dir la sant corps-cur-raison. Nos articles : reproduction autorise et apprcie, moyennant citation prcise des sources. Lasbl ne fournit pas de conseils mdicaux : voir des mdecins pouvant vous aider prendre votre sant en main et vous rendre souverain cet gard, comme dit Johanne, p. Dr Christian Tal Schaller. 2.- Le remboursement ne pourra tre effectu une personne se dsistant moins de 16 jours dune activit.

    SOMMAIRE, EDITION MAIL, 7041 EXEMPLAIRES, 2e TRIM. 2012

    - Edition mail de notre Revue : gra-tuite, quoique complte. - Edition papier arrte (cf. p. 30-31). - Si vous n'avez pas d'ordi dispo, SVP allez voir la revue sur ordi public en nous demandant de l'y mailer.

    La "REVUE VGTARIENNE" se rclame dun vgtarisme pluraliste, sans parti pris de mthode ou d'cole, mais sans concession avec aucune violence. Elle annonce et relate nos activits et recher-ches sur le vgtarisme et le vgtalisme, no-tre intrt pour cette thique pratique par diffrents mouvements. Nous ne retenons que les groupes et personnes qui respectent et prnent une socit moins violente. Tout comme notre mouvement "Association Vgtarienne", la "Revue Vgtarienne" est un acte concret dans le mme sens. Tout affi-li peut y crire. Tout article est prsenter un mois minimum avant le trimestre de paru-tion. Les tmoignages vcus y sont privil-gis. La Revue est une activit permanente de LIEN. Vous y trouverez des rubriques con- nexes : dittique, bio, ado, vgtalisme,

    ducation non-violente la sant physique et culturelle; galement annonces et rcits dautres activits : repas, fte vgtarienne (quand un cadre nature pour une telle r-ception peut tre trouv gratuitement). Stand expo et vente de livres ducation sant holis-tique, d'extracteurs et pressoirs vgtaux. En salons bio, nature ou sociaux. Ce stand est un lieu de (re)trouvailles, dinformation et de rayonnement. Livres vendus au prix public, avec ristourne de 20 % pour les Membres. Lors de nos activits, on peut saffilier tarif rduit (voir pp. 30-31). Mme vente par un magasin dittique (sans ristourne). Nous aidons les dbutants accder au v-gtarisme et changer connaissances et exprience. Tous nos intervenants, collabora-teurs et responsables sont bnvoles.

    L'vidence du cru p. 2-3

    Sens et essence du cur voluent bien. ... p. 5-15

    Pages de propositions... p. 16-18

    Pages de scandales... p. 19-29

    Changez d'alimentation, par Acadmicien de md. H. Joyeux. p. 35

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    Sens et essence du cur voluent bien ! Voici 6 articles sur ces progrs humains

    1.- Deux femmes de got qui ont vcu des injustices. Puis ont vaincu la btise par leur immense modestie. La ministre Clinton est mre de vgtaLienne,

    tandis que la Nobel de la Paix Aung San Suu Ki aux cheveux

    fleuris est elle-mme vgtarienne : donc diffrence de peau des 2 visages !

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    2. A l'ONU du 3 au 27 juillet : congrs de 193 pays pour rdiger

    un trait sur le commerce des armes

    Les 193 pays membres de l'ONU ont ngoci du 3 au 27 juillet un trait rglementant pour la pre-mire fois le commerce des ar-mes conventionnelles (TCA). Ce futur texte doit empcher les transferts d'armes qui pourraient tre utilises contre les popula-tions civiles ou alimenter un conflit, une tche rendue d'au-tant plus urgente par les com-bats en Syrie ou les conflits r-gionaux en Afrique. "Il y a aujourd'hui un sentiment d'urgence propos du TCA",

    estime le ministre finlandais des Affaires trangres Erkki Tuomioja. "Nous assistons dans de nom-breuses rgions du monde des conflits o des armes lgres qui ont initialement t transfres lgalement tombent entre les mains de criminels, de groupes terroristes ou d'autres acteurs qui les utilisent aveuglment" . "Chaque jour 2 000 personnes meurent cause d'armes lg-res ou de faible calibre transf-

    res illgalement", a soulign le ministre des affaires trangres

    australien Bob Carr, prconisant un "trait solide et prcis per-mettant aux pays de reprer et de rpertorier les transferts et les ventes" .

    Les Europens Ils militent eux aussi pour un trai-t large et juridiquement con- traignant. "Nous pensons qu'un trait sur le commerce des armes doit cou-vrir tous les types d'armes classi-ques, y compris notamment les armes lgres et de petit cali-bre, tous les types de munitions et les technologies associes" , crivent les ministres des affaires trangres franais, britannique, allemand et sudois dans une tribune libre publie lundi 2 juil-let.

    Rglementer un march de 70 milliards de dollars

    Le chef de la diplomatie finlan-daise s'est dclar "relativement confiant de pouvoir aboutir un accord dans les semaines

    venir" , avant la date butoir du 27 juillet fixe pour ces ngocia-

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    tions, qui ont t prcdes de cinq runions prparatoires. Mais si la plupart des pays re-connaissent qu'il faut rglemen-ter cet norme march (70 mil-liards de dollars par an, dont 40% pour les seuls Etats-Unis), il n'y a pour l'instant aucun ac-cord formel sur l'objectif priori-taire - lutte contre le trafic d'ar-mes ou moralisation des ventes lgales - ni sur la porte du trait ou sur les critres respecter pour accepter ou refuser une vente. Le contrle des armes incomberait aux tats qui se fon-deraient sur des critres prcis et tiendraient un registre des transactions.

    Russie, Iran, pays arabes gros importateurs

    La Russie a vendu pour 13,2 mil-liards de dollars d'quipements militaires en 2011, met l'accent sur la lutte contre le trafic d'ar-mes et souhaite des critres peu contraignants, de mme que l'Iran ou des pays arabes gros importateurs.

    USA, Chine, Inde, Pakistan, Japon, Arabie saoudite

    Les USA veulent exclure du trait les munitions, et la Chine les ar-mes lgres. L'Inde, le plus gros

    importateur mondial d'armes, le Pakistan, le Japon ou l'Arabie saoudite font valoir le droit pour un pays d'quiper ses forces de scurit.

    Outre les ventes directes

    Il existe une zone grise consti-tue par les transferts de tech-nologie, la fabrication sous li-cence ou la vente de pices dtaches et de composants (un march de 10 milliards de dollars). Dans ces conditions, les associa-tions de dfense des droits de l'homme comme Amnesty inter-national ou Oxfam redoutent un affaiblissement du texte, rgle du consensus oblige. NDLR : l'impuissance feinte des pays vendeurs rglementer ce commerce sanglant rend ces pays responsables d'une bonne partie de la criminalit envers humains, animaux et na-ture. Merci par contre ce jour-nal catho de parler ici de ce congrs, ce que doit faire toute philosophie porte-parole d'amour. Nous y compris.

    12 JUILLET 2012

    SELON LA-CROIX.COM AVEC AGENCE FRANCE PRESSE

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    3.- C'est confirm, les femmes sont plus intelligentes que les hommes

    Les donnes scientifi-ques rcoltes ces 100 dernires annes prou-vent que le QI des fem-mes est en constante augmentation. Et cette anne, la gent fminine a pour la pre-mire fois dpass son vis--vis masculin, es-time le psychologue no-zlandais James Flynn, dans le quotidien The Sunday Time.

    Depuis que des tests de QI sont effectus il y a un sicle, les femmes restaient en moyenne cinq points derrire les hommes. Les psychologues ont longtemps suggr que cet cart tait

    "gntique". Ce foss se serait rduit ces derniers temps et, cette anne, les fem-mes ont remport la guerre des sexes. "Ces 100 dernires an-nes, les rsultats QI augmentaient chez les hommes et chez les femmes mais un peu plus rapidement pour ces dernires", explique James Flynn, un spcia-liste de la recherche sur le QI. Le profil multitche d'une femme active pour sa famille et au tra-vail, pourrait justifier ce constat. Une autre explication serait que les femmes

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    ont toujours eu un po-tentiel de QI plus impor-tant mais ne l'exploite-raient sa pleine capa-cit qu' notre poque. M. Flynn, qui doit pro-chainement publier un livre sur ce dpasse-ment historique, soutient toutefois que des re-cherches scientifiques supplmentaires sont ncessaires pour clair-cir cette tendance. L'histoire des recherches sur le QI est controver-se, rvlant des diff-rences entre les sexes et les peuples. Une des tapes phares de ces recherches a cependant t la d-couverte de l'effet Flynn dans les annes '80, se-lon lequel le QI de l'tre humain moyen aug-mente de trois points

    par dcennie. Il a galement t prou-v que le QI n'tait pas dtermin gntique-ment et qu'il pouvait donc tre amlior.

    SELON JAV 15.7.12 LE VIF L'EXPRESS.BE AGENCE BELGA

    GENERIQUE, ET AXEL CONSTANTINOFF 17.7.12 TF1 NEWS

    NDLR : la lumire de cette dcouverte, nous es-prons : - qu'un lobby conservateur (soit moral, soit religieux, soit conomique) de la domi-nation mle ne va pas r-munrer quelqu'un d'autre pour dmontrer le contraire; - que le monde politique professionnel va compren-dre qu'il est temps de stimu-ler et duquer la parit de sexe dans les assem-

    bles lues par scrutin di-rect et indirect.

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    4.- Greniers naturels au Sahel par captation de la fracheur nocturne. Acte d'amour

    couronnant voyage de noce !

    Nuit dans le dsert : la temprature baisse, produisant une fracheur natu-relle idale pour conserver et stocker fruits et lgumes. Ds lors, un Franais a invent une technique de produc-tion de froid pour alimenter des "gre- niers". Trs utile, car on souffre plus du rchauffement climatique en Afrique qu'en Europe.

    "La nuit, la temprature baisse par le rayonnement vers l'espace, et la rose au petit matin n'est qu'une condens1ation de la temprature atmosphrique", dixit l'AFP Pascal Fayet, crateur d'ITerrae, socit pion-

    nire du refroidissement radiatif.

    "Restait trouver un moyen de capter cette condensation", dit-il. Il raconte donc son projet de contribution la lutte contre la dramatique pnurie alimentaire frappant plus de 18 mil-lions d'humains dans les 8 pays du Sa-hel, selon le dernier bilan Onu.

    Aprs leur voyage de noces en 2006 dans la rgion de Niayes (Sngal), Yasmina, ex-chanteuse, et Pascal, ex-officier suprieur de marine mar-

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    Acte d'amour chande, dcident d'aider ainsi les villa-ges du Sahel.

    "Le problme numro 1, c'est la faible disponibilit des denres alimentaires, l'origine d'une grande mortalit in-fantile", indique Pascal Fayet, qui est donc devenu chercheur. Des projets existent dj, mais leur faiblesse rside dans la production du froid.

    Pascal tudie les publications concer-nant le refroidissement radiatif sur la vote cleste, appel aussi "effet de serre inverse". Il invente une mthode de captation de la fracheur nocturne dans une rserve thermique efficace. Cela pour installer cette fracheur la journe dans un local de stockage graines et produits frais.

    Aid gratis par 2 laboratoires de spec-tromtrie du CNRS, Pascal Fayet russit raliser des plans pour son prototype de "grenier du Sahel" au Burkina Faso.

    20 l'intrieur, et mme 15 Le hangar en pis (terre crue sche au soleil, comme en empire romain, jusque vers 1900, ndlr), est construit en forme de votes de 3 m de haut avec toit de 100 m2 sur lequel trois pan-neaux solaires fournissent l'nergie n-cessaire l'clairage et la ventilation ! Rservoir thermique : intgr au bti.

    "Temprature intrieure : stable autour de 20. Dehors : plus de 40. En jouant sur la vitesse de circulation de l'air, on peut descendre 15", dit Pascal.

    Dans ce grenier naturel : produits lo-caux (oignons, aubergines, pommes de terre et carottes), placs sur claies

    en eucalyptus recouvertes de paille. Isolant : la typha, plante aquatique invasive. Pascal utilise aussi les milliers de sacs plastiques chasss par le vent dans les arbres autour des villages ! "Ces sacs comprims fournissent un bon isolant bulles d'air" !

    Consommation nergie de ces gre-niers naturels : zro !

    Emission de gaz effet de serre et de rejet de chaleur : zro, contrairement aux systmes classiques de rfrigra-tion.

    Laurat du concours du ministre de la Recherche en 2008, Pascal Fayet a test son invention plus grande chelle au Niger.

    "Structure de 900 m2 avec fatage de 12 m et murs en terre de 5 m d'pais-seur", se souvient-il. Mais la dgrada-tion de la scurit des trangers au Niger oblige les Fayet se replier au Sngal.

    Avec l'aide de la Fondation Albert II de Monaco, le projet devient "grenier pilote" install en avril dernier dans l'co-village de Mbakombel, 80 km au sud de Dakar.

    Objectif ultime : quiper les 14.000 co-villages du Sngal de tels gre-niers naturels, pour rduire les pertes aprs les rcoltes. NDLR : meilleur avenir vg en Afrique !

    SELON GABRIELLE GREINZ AGENCE FRANCE PRESSE

    20 JUILLET 2012

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    5. Interdiction du foie gras en Californie depuis ce 1er juillet 2012

    Plus aucun restaurant ne peut servir de foie gras ! Une loi interdit en effet le gavage des oies et des ca-nards assimil de la tor-ture.

    NDLR : selon tout vgta-rien complet, le gavage est le mme dlit, la mme violence que selon cette nouvelle loi californienne.

    Les radios de France ont cependant relay le choc subi par les producteurs franais, dont certains pr-tendent mme que l'ani-mal gav ne souffre pas, car son oesophage est ex-tensible. Or le problme principal est que le foie de ces canards et oies est terriblement gon-fl par cette opration. Et donc malade.

    On sait que le foie gras est un symbole de la gastrono-mie franaise. Pour les Cali-

    forniens amoureux du foie gras, il faudra changer d'Etat s'ils veulent encore consommer ce plat. Dans les cuisines, les grands chefs se dsesprent et ne com-prennent pas la dcision qui remonte 2004 mais n'est applique qu'aujour-d'hui.

    Victoire du lobbying

    C'est un long combat ga-gn par les dfenseurs des animaux. Leur lobby a t intensif, l'ancien gouver-neur Arnold Schwarzeneger a valid la loi. Une cen-taine de restaurateurs ont nanmoins dcid de faire pression via une ptition. Mais tout contrevenant s'expose une amende de 1000 dollars.

    1er JUILLET

    F.L. AVEC E. LABYE MEDIA PUBLIC RTBF.BE

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    1er JUILLET

    6. Drapeau insurgs syriens la tour Eiffel par Association France Syrie Dmocratie

    Deux opposants au rgime syrien ont d-ploy vendredi matin, sur un chafaudage de la tour Eiffel, le drapeau symbole de la rvolution contre le rgime de Bachar el-Assad, a-t-on constat sur place. Les deux militants ont escalad vers 10h un chafaudage situ sous la tour Eiffel, grim-pant presque jusqu'au premier tage de l'difice, pour y dployer un drapeau large de 5 6 mtres et long d'une trentaine de mtres, aux couleurs vert, blanc et noir, frapp de trois toiles rouges en son cen-tre, en scandant "Bachar assassin!". Il s'agit en fait d'un ancien drapeau syrien, en vigueur pendant une partie du XXme sicle avant le coup d'Etat de 1963 et l'arri-ve au pouvoir du parti Baas. Il a t adopt comme couleur de l'opposition par les insurgs de l'Arme syrienne libre (ASL) et le Conseil national syrien, l'un des grou-pes de l'opposition.

    Les manifestants sont rests une dizaine de minutes en hauteur, avant de redescendre d'eux-mmes, alors que plusieurs policiers et pompiers avaient mis en place un pri-mtre de scurit. Les deux grimpeurs ont t interpells pour un contrle d'identit, selon la prfecture de police, tandis qu'une dizaine de mani-festants qui les accompagnaient ont pu repartir. L'action tait organise par un collectif intitul France Syrie Dmocratie, regrou-pant des militants franais de dfense des droits de l'Homme et des opposants syriens.

    GOD/SB

    27.7.2012, PARIS (SIPA) LE NOUVEL OBSERVATEUR

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  • 15

    Tl. : 0477/92.74.11 et 02/647.47.38

    Rue Dautzenberg 7 1050 BRUXELLES (IXELLES)

    Gastronomie bio, vgtarienne, vgtalienne

    Commodits : la rservation par Internet Chiens accepts. Salle prive. Terrasse Capacit groupe : 60. Budget : 25 Mode de paiement : Bancontact On cuisine midi-14 h 30, 19-22 h Fermeture : dimanche et lundi

    Seul resto la fois vg,

    bio et ayurvdique en Belgique

    Rue jolies faades de caractre, en pierres natu-relles. Plusieurs maisons de matre XIXe, dbut XXe s.

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    Pages de propositions

    Les Belges consomment 2 fois trop de sel. Le Conseil suprieur de la sant (CSS) et le Comit scientifique de l'Agence fdrale pour la s- curit de la chane alimentaire (Afsca) veulent sensibiliser l'industrie alimentaire sur

    la teneur en sel des produits prpars.

    Le Conseil suprieur de la Sant (CSS) et le Comit scientifique de l'Agence fdrale pour la scurit de la chane alimen-taire (Afsca) tirent la sonnette d'alarme. Consommation :10,5 gr par jour. Maximum recommand : 5 gr.

    Aliments dont il faut se mfier

    Cette surconsommation, provo-quant de nombreuses maladies cardio-vasculaires, est 75% due la consommation de pro-duits prpars l'extrieur du domicile. Ceux-ci contiennent un taux trs lev en sel : pain, charcuterie, sauces, soupes, et fromages ou plats prpars.

    CSS et AFSCA prcits souhai-tent sensibiliser l'industrie alimen-

    taire. "La premire dmarche que nous recommandons est une diminution trs progressive de l'apport en sel en s'alignant sur les produits alimentaires exis-tants et se trouvant en bas de

    l'chelle (de teneur en sel)", a recommand le professeur de mdecine Jaroslaw Kolanowski, pour le CSS au micro de notre consur Amlie Schildt.

    Lire les tiquettes

    Comme le mentionne notre journaliste, "dans un mme type de produits, la teneur en sel va-rie du simple au triple".

    Et en l'absence de normes ta-blies, exception faite du pain, le conseil suivre est de bien lire les tiquettes et de comparer les produits avant de les ache-ter. D'autant plus, conclut Am-lie Schildt, "qu'en consommant 1 gr de moins chaque jour, des effets positifs pourraient dj se faire sentir sur la sant".

    24 MAI 2012

    SELON RTL INFO.BE

    1.- Manger moins de sel

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    consur Amlie Schildt.

    Un cancer de l'estomac sur sept peut tre vit en mangeant moins de sel, ressort-il d'une tude du World Cancer Research Fund (GB), cite ce 24/7 par De Morgen. "Nous sa-vons depuis dj quelque temps que manger trop de sel augmente les risques de contracter de tels cancers de l'estomac", prcise le prof. Eric Van Cutsem (Hp. Univ. Leuven).

    "Chaque anne, 2.000 3.000 cas de cancer de l'estomac sont diagnosti-qus. Etant donn que les premiers symptmes sont des plaintes assez imprci-ses, telles que des douleurs au ventre ou un manque d'apptit, le cancer n'est en gnral pas dtect un stade prcoce. Les chances de survie sont ds lors trs minces". Une trop grande concentration de

    sel dans l'estomac fonc-tionne comme une subs-tance corrosive et affecte-rait les muqueuses. La consommation est plus leve en Belgique que dans les pays voisins. En moyenne, le Belge ingur-gite 12 grammes de sel par jour, tandis que l'apport journalier recommand se situe entre 5 et 6 grammes. Les 3/4 du sel absorbs se retrouvent dans les plats prpars. Il s'agit souvent de produits qui ne parais-sent pas tellement sals. Nous mangeons donc da-vantage de sel que ce que nous pensons. Le sel n'augmente pas seu-lement les risques de can-cer de l'estomac, mais galement ceux des mala-dies cardio-vasculaires.

    24 JUILLET SELON AGENCE BELGA

    2.- Un cancer de l'estomac sur sept est provoqu par l'excs de sel

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    3. Autre moyen individuel que le vgta-risme, pour lutter contre le rchauffement

    climatique : le vlo pliable !

    Ministres reconnaissent dangers publics du rchauffement cli-mat, mais ne mdiatisent que des remdes accessibles

    aux nantis Ces remdes promus par nos politiques veills : olien, volta-que, voiture hybride ou lectri-que. Certes, ce choix des pouvoirs publics rapporte des taxes l'Etat. Et a le mrite de cons-tructions trs visibles, donc effi-caces en politique. Ces ralisations laissent cepen-dant frustre la partie du peuple qui est consciente de la ncessi-t de l'apport de "chacun sa mesure", si on veut avancer dans cette lutte non-violente. Vlo pliable : remde trs peu rpandu chez les latins en gn-ral. Or il cumule de nombreux avantages pour protger le cli-mat : - pas de carburant ni d'nerve-ment, mais musculation fiable et viable ; - l'emmener gratis en tous trans-ports publics avec un sac choisi

    ailleurs pour placement sur le porte-bagages avec des lasti-ques ; - courses en ville sans problmes de parking : gain de temps. Uti-lisez trottoirs sans problmes : vlo non dangereux car peu vo-lumineux, lent, charg d'un gros sac, suscite l'tonnement et le respect car discret; - devant magasin, attachez v-lo par cble lger en acier, avec cl, plus sre que chiffres; - vlo le plus lger, le plus com-pact (le seul pouvant se placer en train dans le rayonnage au-dessus de votre tte) et le plus rapide plier efficacement : le Brompton, 360 versions ; - pices dtaches dans le monde entier ; - videmment plus cher que ceux des supermarchs, pesant 5 kgs de plus, moins compacts aprs pliage, sans pices de re-change assures ; - moins de risques de chute en cas de sol glissant, car vous tes prs du sol et pouvez plus rapi-dement mettre pied terre sans dsquilibrer le vlo ; - stockage ais chez vous.

    MG'H

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    Pages de scandales

    1.- Au-del des frontires, les dictateurs se soutiennent mutuellement

    Le monde non-violent est scan-dalis et mme effray du sou-

    tien russo-chinois au dictateur syrien

    C'est la solidarit classique entre dictateurs, donc sur les plans moral, psy, philo, conomique, juridique, politique, journalisti-que, etc. Indiffrence la souffrance po-pulaire, et la destruction invi-table de la nature par la guerre. Une vritable torture humaine et climatique pratique par des sadiques, des opportunistes fi-nanciers courte vue. Et par des dbiles affectifs, bien sr. Dictature ncessite en effet in-diffrence et froideur envers au-trui. Et mme envers soi-mme et son quilibre affectif moyen et long terme, qui dbouche souvent sur des ennuis corporels. En effet, le corps se rvolte par le bien connu phnomne de somatisation. Cela quand la conscience n'arrive pas tra-duire en mots sa propre auto-

    maltraitrance. Voyez par exemple le visage actuel du Prsident el-Asad : il se dnature de plus en plus par rtraction et rvle aussi des phobies, selon la thorie mor-phopsy cyberntique de Fernand Lecat (voque dans notre Revue 79 en p 9 et 10). El-Asad prendra la fuite d'une faon ou d'une autre, car un dictateur ne prend pas ses res-ponsabilits, vit dans un dni permanent, galement envers lui-mme. Par rigidit. Trois jeunes femmes russes punks ayant chant une prire contre Poutine dans la cathdrale or-thodoxe principale sont incar-cres de ce fait depuis 6 mois. Grce la pression d'Amnesty, ce ne sera que jusque janvier ? Envers ces femmes : colre des autorits orthodoxes russes, car lies cette dictature. Lien pro-bablement passif et faisant par-tir du dcor d'or local...

    MG'H

  • 20

    2. USA : tuerie par doctorant en mdecine. En neurologie, selon d'autres sources.

    C'tait l'avant-premire d'un film de la srie Batman

    Ce drame courant aux USA dmontre que la conta-gion de la violence y est as-sez facile, tant donns - les 30 km seulement de distance avec la ville o a dj eu lieu une autre tue-rie de masse ; - la violence est favorise par ces films frquents par des fanatiques qui se d-guisent mme selon cette obsession ; - les USA sont les premiers producteurs mondiaux d'ar-mes et ont une lgislation permissive sur la dtention de ces engins de mort ; - ce mme pays est le plus gros consommateur de viande dans le monde ; production industrielle ; - cette violence touche galement les intellectuels, on le constate dans le cas prsent.

    Ce tueur n'a aucun pass dlinquant, mais a bien

    mri sa tuerie - il portait un masque gaz car savait que ce type de film attire comme specta-teurs des individus travestis selon les mythes du film; - cela lui a permis d'entrer dans la salle sans susciter de mfiance malgr son masque; - Il a donc pu jeter dans la salle une grenade lacrimo-gne, que beaucoup de spectateurs ont interprte comme une gniale mise en scne d'accompagne-ment du film; - Il a attendu une squence mitraillage dans le film, et alors dclench sa propre fusillade dans la salle. Conclusion souvent prne par nous : il faut aider par lois et coles la non-violen- ce envers tres et nature.

    MGH

  • 21

    ce envers tres et nature.

    3.- A la suite de la tuerie de masse dcrite ci-contre, rares parlementaires aux USA

    s'opposent au lobby des armes

    Une poigne d'lus du Congrs amricain ont d-fi ce 24/7 le lobby des ar-mes feu, la puissante NRA, en appelant la classe politique, largement inerte, durcir la lgislation sur les ventes d'armes, aprs la tuerie dans un cinma du Colorado (ouest).

    Quatre lus dmocrates ont sonn "l'alarme" ce 24/7 lors d'une confrence de presse au Capitole, en r-clamant l'interdiction des chargeurs de grande ca-pacit. Mais moins de quatre mois des lections prsidentielle et lgislative de novembre, les lus prts prendre le risque politi-que de dnoncer les armes feu ne sont pas nom-breux.

    Un tueur quip d'un fusil d'assaut avec un magasin

    de 100 cartouches a fait 12 morts et 58 blesss ce 20/7 lors d'une premire du film "Batman" Aurora, dans la banlieue de Denver. Mais ce drame ne parat pas suf-fisant pour crer un lectro-choc.

    L'administration Obama en tout cas ne semble pas prte mener la bataille. "L'avis du prsident est que nous pouvons prendre des mesures pour faire en sorte que les armes ne tombent pas entre de mauvaises mains, via les lois existan-tes", a dclar ce 22/7 le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney.

    Le 24/7, le prsident rpu-blicain de la Chambre des reprsentants, John Boehner, s'est rjoui que "le prsident ait clairement in-diqu qu'il n'utiliserait pas

  • 22

    cet vnement horrible pour encourager de nou-velles lois sur les armes"(!).

    Qu'importe, a expliqu ce 24/7, le snateur Frank Lautenberg, "nous ne pou-vons pas laisser la NRA faire barrage des rformes de bon sens". "La NRA et ses allis assurent qu'ils veulent protger la libert. Quid de la libert face la peur, au danger et la terreur", a lanc le snateur.

    "Silence assourdissant"

    "Le silence est presque as-sourdissant quand on voit ce qui se passe", a dplor l'lu, qui estime qu'il est "temps pour notre pays de faire quelque chose" au su-jet de la violence lie aux armes.

    A ses cts se trouvait la re-prsentante Carolyn

    McCarthy, dont le mari a t tu en 1993 par un ti-reur fou qui a aussi grive-ment bless son fils.

    "Je ne sais pas et je ne comprends pas pourquoi la NRA ne travaille pas avec nous", a regrett l'lue en rclamant des enqutes sur le pass des acheteurs d'armes, ce quoi la NRA s'oppose. Mme McCarthy a aussi dplor que la puis-sante organisation "lve de grosses sommes d'argent" et s'emploie "intimider" les lus du Congrs.

    "Cela n'a rien voir avec le 2e amendement" de la Constitution amricaine qui garantit le droit de porter des armes, a-t-elle dit.

    Egalement prsent la confrence de presse ce 24/7, le snateur Robert Menendez a espr que le drame d'Aurora allait pro-voquer un "dbat national"

  • 23

    concernant les ventes d'ar-mes. L'lu a plaid pour des lois "responsables" et "rai- sonnables" sur la question.

    La Chambre des reprsen-tants et le Snat ont obser-v des minutes de silence pour les victimes de la tue-rie d'Aurora, comme elles l'avaient fait pour la tuerie de Tucson (Arizona, ouest) en janvier 2011 qui avait fait six morts et au cours de laquelle la reprsentante dmocrate Gabrielle Giffords avait t grave-ment blesse.

    Mais Mme McCarthy a ob-serv que depuis son en-tre au Congrs la fin des annes 1990, elle avait ob-serv 23 minutes de si-lence. "Combien de minutes de silence devrons-nous avoir ?", s'est-elle insurge.

    Ce 23/7, les deux snatrices de Californie, Barbara

    Boxer et Dianne Feinstein, ont publi un ditorial dans le San Jos Mercury News pour rclamer une interdic-tion des fusils d'assaut, rap-pelant que 31.000 person-nes par an taient tues aux Etats-Unis par armes feu.

    NDLR : ceci montre que dans certaines civilisations, la culture de l'argent l'em-porte sur celle de la sensi-bilit la souffrance d'au-trui. Souffrance humaine, et encore davantage ani-male. L'humain dans ce cas est objet de consommation de biens. L'animal : objet tout court. Donc destin l'ex-ploitation, la tuerie pour se distraire (chasse, corrida, etc) ou pour se remplir le ventre.

    24 JUILLET 2012 NOUVEL OBS, SOCIETE

  • 24

    4. Prvisible dans notre page prcdente : ONU choue en ngociation

    commerce des armes

    NDLR : de mme, chacun pouvait deviner que les pays les plus gros vendeurs d'armes allaient nous demander de patienter !

    Ces ngociations l'ONU sur la mise en place du premier trait sur le commerce des armes conven-tionnelles : chec ce 27.12 New York aprs des semaines de ngo-ciations, mais elles devraient re-prendre ultrieurement.

    Les 193 Etats membres devaient se mettre d'accord le 27 avant minuit heure de New York (samedi 28 04H00 GMT) sur les rgles du jeu. Celles-ci devaient obliger chaque pays valuer si les armes vendues risquent d'tre utilises pour com-mettre des "violations graves des droits de l'homme" ou des atten-tats, ou d'tre dtournes par le crime organis.

    Mais, selon plusieurs participants la confrence, les Etats-Unis et la Russie ont demand davantage de temps pour se prononcer, imits par plusieurs autres pays (Chine, Inde, Indonsie et Egypte notam-ment).

    "Le texte que j'avais propos tait un projet de trait, certains pays ne l'aimaient pas mais l'immense ma-

    jorit tait d'accord", a regrett le prsident de la confrence, l'Ar-gentin Roberto Garcia Moritan. "Nous allons continuer de travailler sur cette base".

    Interrog sur la suite des vne-ments, M. Moritan a indiqu qu'une des possibilits tait "de demander l'Assemble gnrale (de l'ONU) de prendre une dcision", c'est--dire de dcider s'il doit y avoir de nouvelles ngociations et quand.

    La prochaine session de l'Assem-ble se tient fin septembre New York.

    Selon un diplomate, le rapport que M. Moritan va transmettre l'As-semble gnrale propose de re-prendre les ngociations pendant deux semaines dbut 2013.

    M. Moritan s'est dclar "certain que nous aurons un trait rapide-ment" mais n'a pas donn de dlai. Peut-tre faudra-t-il "peaufiner le texte" auparavant, a-t-il ajout.

    "Manque de courage"

    Le principal ngociateur franais, l'ambassadeur Jean-Hugues Simon-Michel, a qualifi cet chec de "plus mauvais scnario possible"

  • 25

    sur cette base".

    deux semaines dbut 2013.

    car il ne donne pas de perspective claire. "Le risque est de repartir de zro" quand la ngociation repren-dra, a-t-il dclar l'AFP. "Le bilan est assez frustrant et la balle est d-sormais dans le camp de l'Assem-ble gnrale".

    90 pays, dont tous ceux de l'Union europenne et des Etats d'Amri-que latine, des Carabes et d'Afri-que, ont sign un texte se dcla-rant "dus mais pas dcourags" par cet chec et "dtermins ob-tenir bientt un trait sur le com-merce des armes".

    Le projet de trait propos jeudi par M. Moritan "fournit une base pour poursuivre notre travail" et il bnficiait "d'un trs large soutien dans la communaut internatio-nale", ajoute le communiqu.

    Des diplomates avaient aupara-vant rendu les Etats-Unis responsa-bles de l'chec des pourparlers. Selon eux, Washington a refus de se prononcer sur le projet de trait avant la date limite (vendredi 04H00 GMT), demandant plus de temps pour peaufiner le texte et disant craindre un blocage au Congrs. La Russie et d'autres pays ont immdiatement embot le pas aux Amricains, rendant impossible d'arracher temps un consensus.

    "C'est la faute des Etats-Unis si nous avons chou", a affirm un diplo-mate. "Ils ont fait drailler le proces-sus et il faudra attendre l'lection

    prsidentielle amricaine" de no-vembre pour sortir de l'impasse.

    Une opinion partage par des res-ponsables d'associations. "Aujourd'hui les Etats-Unis n'ont pas saisi une occasion en or : un trait international qui aurait renforc leur rputation de leader dans le domaine des droits de l'homme", a dplor Scott Stedjan, responsable d'Oxfam America, qui a critiqu "le manque de courage de la Maison blanche".

    Les Etats-Unis reprsentent prs de 40% du commerce mondial des armements qui est valu 70 mil-liards de dollars annuels.

    "C'est un recul" aprs plusieurs an-nes de travaux prparatoires et quatre semaines de ngociations, a dplor le secrtaire gnral de l'ONU Ban Ki-moon. "Mais cela ne signifie pas l'aban-don" de ce trait car les Etats membres "ont accept de poursui-vre ce noble objectif". NDLR : ce sont surtout les popula-tions, animaux et nature des pays sous la coupe d'une dictature, qui devront le plus patienter que la rai-son, la sensibilit et l'intelligence l'emportent...

    28.12.2012 LIBERATION

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    5. Calotte glaciaire du Groenland dj fondue 97 % mi-juillet !

    La surface gele du Groenland a fondu en juillet sur une ten-due jamais atteinte en plus de 30 ans d'observation satellitaire. Selon les

    donnes de 3 satellites analyses par la NASA et des scientifiques uni- versitaires, environ 97 % de la calotte glacire a

    dj dgel la mi-juillet.

    La situation est si inattendue que les chercheurs ont d'abord cru une erreur. "C'est tellement sans prcdent que je me suis d'abord interrog sur le rsultat : tait-ce bien rel ou tait-ce d une erreur de donnes ?", explique un expert de la NASA (agence spatiale USA), Son Nghiem. Il prcise avoir remarqu la dis-parition de la majorit de la glace du Groenland au 12 juillet en analysant les donnes d'un premier satellite. Les rsultats des deux autres sa-tellites ont confirm cette d-couverte. Les cartes satellitaires de la

    fonte montrent que la calotte glaciaire avait fondu 40 % au 8 juillet et 97 % quatre jours plus tard.

    Un phnomne naturel ?

    En t, la moiti en moyenne de la surface glaciaire du Groenland fond naturellement. Habituellement, la plupart de l'eau issue de cette fonte regle rapidement en altitude ou est retenue par les glaces des r-gions ctires, pendant que le reste s'coule dans l'ocan. "Mais cette anne, l'ampleur de la fonte la surface ou prs de la surface a connu une hausse

    brutale", explique la NASA. Au cours des trois dcennies pas-ses, la plus importante fonte dtecte par satellite ne dpas-sait pas 55 % de la zone, prcise la BBC. Les chercheurs doivent mainte-nant dterminer si cet vne-ment, qui concide avec une forte pression inhabituelle d'air chaud au-dessus du Groenland, va contribuer une hausse du

  • 27

    Calotte glaciaire du Groenland

    A gauche, une vue du glacier de Pertermann le 5 aot 2010. A droite, la mme vue le 16 juillet 2012, avec le dcrochage d'un glacier plus grand que Paris. Agence Associated Press

    niveau des ocans. La NASA a prcis que mme le point le plus haut de la calotte glaciaire, situ plus de 3 kilo-mtres au-dessus du niveau de la mer, montrait des signes de dgel. Selon la glaciologue Lora Koenig, ce type de fonte inter-vient tous les 150 ans en moyenne, et il est difficile de d-terminer si elles sont le fait d'un phnomne rare, mais naturel, ou d'un rchauffement climati-que provoqu par l'homme. "La dernire ayant eu lieu en

    1889, cet vnement est bien

    au rendez-vous", explique-t-elle. "Mais si nous continuons obser-ver ce type de fonte au cours des prochaines annes, ce sera angoissant." (NDLR : ne vous tor-turez pas, mais devenez vg, contribution individuelle la plus forte contre le rchauffement climatique : cf. Revue Vg 69 p 29). "C'est dramatique, c'est dran-geant. Nous avons des donnes sur 150 annes et nous obser-vons des changements que nous n'avons jamais vus aupa-ravant (SUITE PAGE SUIVANTE).

  • 28

    C'est l'une des preuves que le Groenland est en train de chan-ger trs rapidement", explique Andreas Muendhow , professeur de l'universit du Delaware.

    La calotte glaciaire du Groen-land, dont la fonte contribue la monte du niveau de la mer, est plus sensible au rchauffe-ment climatique.

    Cela tait admis jusqu'ici, sug-gre une tude publie le 11 mars dans la revue scientifique Nature Climate Change.

    La seconde retenue d'eau du monde !

    De prcdentes tudes avaient tabli un seuil de rchauffement de + 3,1 C par rapport l'po-que pr-industrielle au-del du-quel les glaces qui recouvrent le Groenland pourraient avoir to-talement fondu d'ici des mill-naires.

    Cette nouvelle tude, partir de simulations numriques, abaisse ce seuil + 1,6 C (dans une plage allant de + 0,8 C + 3,2 C), sachant que la plante s'est dj rchauffe de 0,8 C

    L'iceberg qui s'est dtach du glacier de Pertermann. Reuters/NASA

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    depuis le milieu du XVIIIe sicle.

    Le temps que prendrait une fonte totale de la calotte (ou inlandsis) du Groenland dpend de la dure et de l'ampleur du dpassement de ce seuil.

    Cette calotte pourrait avoir dis-paru en deux mille ans en cas de rchauffement de + 8 C, mais en cinquante mille ans en cas de hausse contenue + 2 C, selon les chercheurs de l'Insti-tut de Potsdam (PIK) et de l'uni-versit Complutense de Madrid.

    Limiter la hausse 2 C est l'ob-jectif que s'est fix la commu-naut internationale mais, au regard des missions actuelles de gaz effet de serre, le monde semble davantage tre sur une trajectoire de + 3 + 4 C.

    Le Groenland constitue, aprs l'Antarctique, la seconde rete-

    nue d'eau sur Terre. Une fonte importante de la ca-lotte glaciaire, qui recouvre en-viron 80 % du territoire, pourrait contribuer une lvation de plusieurs mtres du niveau de la mer. Cette fonte de la calotte gla-cre pourrait dstabiliser la vie

    de millions de personnes, rap-pellent les auteurs. NDLR : cette monte de la mer qui s'effectue de faon plus ra-pide que prvue par le GIEC de l'ONU, menace dj plusieurs populations d'les et de ctes. Nos dirigeants s'en rendent sre-ment compte, mais craignent probablement de semer la pa-nique si elles bruitent trop la vrit sur le risque d'une vague d'immigration de rfugis dans nos pays pour raisons d'inonda-tions de plus en plus mortelles. Nos dirigeants craignent aussi la colre des multitudes majoritai-res vivant, ou survivant du com-merce ou de la consommation de produits toxiques ou destruc-teurs de la plante. Cette ma-jorit craint les prophtes un peu trop visionnaires qui emp-chent le consommateur de se voiler la face. Notre Revue 80 remerciait la Mi-nistre fdrale belge de la sant d'oser demander dans son plan sant 2012 la modration vian- de. D'o colre des leveurs.

    25.7.2012 SELON LE MONDE.FR PLANETE AVEC AGENCE FRANCE PRESSE

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    COTISATIONS LORS DES ACTIVITES (stand, runion, concertation, confrence, balade, etc.) Revue Vg uniquement Internet + quadrichromie.

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    Bulletin d'affiliation Bulletin d'affiliation Association sans but lucratif

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    Projet Bulletin mail international

    Nous avons dj publi dans la Revue V-gtarienne des articles en franais de plu-sieurs associations vgtariennes non belges (Luxembourg, Suisse, France, Canada, Ga-bon, Cte d'Ivoire, Cameroun, Argentine). Nous nous limitons essentiellement la fran-cophonie, car non explore internationale-ment dans le lien Non-Violence - Vgta-risme. Mais nous accepterons des articles en franais provenant d'associations non franco-phones faisant partie de notre Comit Fon-

    dateur, et plus tard du Comit organisateur. Nous voudrions stimuler un lien entre Vgta-riens et Non-Violents du monde francophone, ce qui nexiste pas encore ! Pour la Paix, car la plante est en danger. Toute association participant au prsent Co-mit fondateur aura sa page rserve dans chaque dition de ce Bulletin. Il y a 50 pays dans le monde, o le franais est langue officielle. Mais pratiquons tous une autre langue, cest une attitude de paix.

    Le Bulletin cit en titre ici plus haut pa-ratra quand son Comit Fondateur aura t davantage largi. Gratuit en tout. Ce Comit Fondateur est ouvert tout vgtarien ou autre artisan de paix ex-clusivement par la non-violence et donc avec respect du vgtarisme, avec indi-cation de la ou des associations qu'il reprsente, comme indiqu dans la liste actuelle des engagements fermes : 1) Vgtarisme Gabon; 2) Association camerounaise des Vgtariens; 3) V-gtarisme Cte d'Ivoire; 4) Association Vgtarienne (Belgique francoph.); 5) Association Fabienne, Prsidente-Fondatrice Marie-Jeanne Frdrique, bio, vgtalienne, refuge animaux res-caps de maltraitance, nourris en bio-vgtariens (longvit et sans maladies); 6) Mdecin vg. de naissance Henriette van der Hecht, Sec. Gn. Adj. Socit Thosophique belge, Conseillre de no-tre asbl ; 8) Terre et Eau (Belgique), d-veloppement communautaire tiers-

    monde par le vgtarisme (Asie, Afri-que), Conseillre de notre asbl ; 9) Amelvie-CI, non-violence Amaroli (Cte dIvoire) ; 10) Bertin Zanga, Coordina-teur Club artistique Les messagers de lUNESCO dAbidjan (Cte dIvoire); 11) une association vgtarienne Congo Brazza (non encore dnomme officiel-lement); 12) Club UNESCO, Libreville (Gabon); 13) Marjolaine Jolicoeur, v-gtalienne, Prsidente Ahimsa (Canada), Conseillre de notre association; 14) Joseph Betong, Mouvement vgta-rien (Bnin); 15) Georgia Henningsen, v-gtarienne, Arche de Lanza del Vasto/ Belgique, Conseillre de notre associa-tion; 16) Rpubl. Dmocratique du Congo, asbl Assoc. Vg pour le Dve-loppement et la Conservation de la Na-ture, Jeanne Kametiangwe, Prsidente. Michel Grand'Henry, animateur du projet.

    Dialogue Non-Violence avec Vgtarisme

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    Prsident : Michel Grand'Henry : toute info + 32 (0) 84 45 61 65 (fax-tl-rp 24 h/24). Adresse de facturation et visites de concertation : cf p. de couverture. Uniquement sur R-V. [email protected] TVA : BE 442 445 506 Vice-Prsidente : Batrice van Rossum Prsident dHonneur : sur R-V, Raymond Reniers 02 660 21 24 fax-tl-rp, 1346/13, che de Wavre, 1160 Bruxelles. Sige social : sur R-V Willy Leblanc, rue de Genve 115/38, 1140 BXL. [email protected] T : 02 705 35 65

    Mcne, chacun dans son domaine spcifique de Conseiller. En effet, aucune subvention publique ne nous est accorde. D'autres Conseillers aident aussi prcieusement, mais leur nom n'est pas indiqu, car dans leur milieu socioprofessionnel francophone (mme universitaire, contrairement la Chine), les vg. sont encore vus comme des gueux, alors qu'ils ont adopt une dittique princire (S.A.R. le Prince Laurent de Belgique notre stand, notre Revue 58 p. 1, 3, 30) et mme royale (Revue 66 p. 9).

    Membres d'honneur et Conseillers sont les nombreux Matres penser du Prsident

    MEMBRES D'HONNEUR : (les diffrentes sortes de membres, pp 30-31) lmprimerie Jean-Paul Debruxelles (des chevaliers de Bruxelles). Artiste encadreur Nicolas Dechamps. Famille Dekerckheer, Acadmicienne et artiste-peintre Suzanne Dufoing (des du Faing). Famille Philippe D'Hont. Jan -Jelle Keppler, Conseiller juridique, Secrtaire Gnral Socit Thosophique Belge, Nerlandais en Belgique. Conseiller rgional Christian Manesse. Jean Marechal. Jos Mosbeux. Monika Nve de Mvergnies. CONSEILLERS DU PRESIDENT : leur rgime vg. et/ou bio nest mentionn quune seule fois dans cette liste, et uniquement sil est complet. Tout Conseiller s'exprime au nom de sa spcialit, pas au nom de l'Association Vgtarienne ni de la Revue Vgtarienne. Conseiller scientifique en vgtarisme et vgtalisme : Dr. Christian-Tal Schaller, mdecin homopathe, holistique, chercheur en techniques ancestrales de sant, Fondateur des Editions Vivez Soleil. Sant : Dr Emile Plisnier, mdecin nutritionniste, Vice-Pt des homopathes. Vtrinaire : Dr. Eric Vanden Eynde, homopathe, biopsychologue. Conseils dittiques pour membres en rgle de cotisation : fax ou lettre Prsident d'honneur Raymond Reniers (voir haut de la prsente page). Juristes : Didier Vervloessem, Jos Mosbeux, Anne Questiaux, Jan-Jelle Keppler (vgtalien) et un avocat dsirant encore rester anonyme. Bio-construction : Emmanuel Dufrasnes, architecte, Matre europen en Architecture et Dveloppement durable. Belge en France. /...

    Association Vgtarienne, organisationAssociation Vgtarienne, organisation

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    Gobiologue : Andr Corbisier, ingnieur. Herboristerie : Nathalie Cosyns, vgtarienne. Cuisine vgtale : Vincent Olivier, bio et vgtalien, Informatique : Joseph Posschelle; Willy Leblanc, vgtarien bio. Relation d'accueil : Jacqueline Cosyns, vgtarienne. Photographie : Karl Gheeraert, dipl. herboristerie, dipl. arts visuels, bio; David DOrval, dipl. images imprimes (Acad. Beaux-Arts Lige), dipl. photo (IFPME Lige), vg.; Florence Leens, dipl. illustratrice; Willy Leblanc. Dessin : Jean-Marie Bursens, vgtalien, bio. Composition affiches asbl : famille vgtarienne DHont : Philippe (informaticien), Flavie (dessinatrice), Anal (modle photo informatique). Organisation ftes : Michel Grand'Henry. Jacques Pecher (vgtalien). Organisation salons : Christian Manesse (vg); Michel G'H. Rviseurs de rdaction : Anne Lesoil (vgtarienne bio); Willy Leblanc; Anne Questiaux; J. D. (vgtarienne) Relations avec Afrique vgtarienne francophone : Pierre-Eric Mbog Batassi, journaliste, Prs. Vgtarisme Gabon, Prsident Vgtariens d'Afrique franco-phone (vgtarien). Recherches Internet thories alternatives sant : Raymond Hauglustaine. Conseillers rgionaux : Paul Garsoux, Verviers (vg); Olivier Leroy, Mons (vg); Pascal Gerday, Huy; Jean-Marie Bursens-Lydie Hennebo, Philippeville (bio-vgL.); Marie-Madeleine Leclercq, Lige (vg); Christian Manesse, Gosselies (vg). Jacques Pecher, Bruxelles (vgLien). Vgtalisme Canadien : Marjolaine Jolicoeur, Prsidente association Ahimsa, crivaine, Rdac'Chef Revue Ahimsa (vgtaLienne). Philosophies et religions idal vgtarien : Adrian Anastasiu, roumain, philo sotriques (vg); Lon Ptr-Ruelle (philo humanistes); Dr en mdecine H. van der Hecht, Sec. Gn. Adj. Socit Thosophique de Belgique (vgta- rienne de naissance); Anne-Claire Despretz, Association Ching Hai MS, mdita-tion sur le son intrieur (vgtaL. bio); Patrick Olczyck, zen et bouddhisme (vg.); Jan Andr Dupont, chteau de Septon (Durbuy), krishna (vg); Georgia Henningsen, Arche de Lanza del Vasto/Belgique (vg); Georges Dematre, Prsident Centre Gandhi de Belgique (vg). Traduction : D.G., NL-Fr-NL; Danielle Foster, Fr-Angl.; Edith Garcia (Esp-Fr-Esp). Dialogue avec vgtarisme hispanophone en Amrique latine : Edith Garcia. Enfants vg et enf. vg artistes de France : Solanne Despretz-Henrion. Artistes vg de Belg. : Ijsselina, modle photo. Id. en France : Anne-Claire Despretz.

    Administrateurs, Responsables et Conseillers aident bnvolement l'asbl; ils aident de la mme manire les membres, si leur n de tl., e-mail ou adresse sont indiqus sur cette liste.

    Notre Association, organisation, suiteNotre Association, organisation, suite

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