Richard Glenn - Opération Cheval de Troie [FR]

O PE R A T IO N

C H EV A L D E T R O IE

La terre aux mains des Petits Gris

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Si vous dsirez recevoir notre catalogue gnral, prire de complter ce aui suit:

Nom..............................................................Adresse.........................................................Ville............................................Code postal

OPRATION

CHEVAL DE TROIE

Louise Courteau, ditrice C.P. 481 Lac Saint-Louis, Est Saint-Znon, Qc.JOK 3N0

O randia inc.C.P. 187Belil, Qc., Canada J3G 5S9Tl. : (514) 467-5606(rpondeur inform ant des confrences de Richard Glenn)

Traduction : Andr Lonard Glen

Typographie : Tapal'oeil inc.

D pt lgal : prem ier trimestre 1995 Bibliothque nationale du Q ubec Bibliothque nationale du Canada Bibliothque nationale de France Library o f Congress, W ashington, D.C.

ISBN: 2-89239-110-5

T o u te re p ro d u c tio n m m e p a r tie lle de ce d o c u m e n t est form ellem ent et rigoureusem ent interdite, par quelque procd que ce soit, sous peine de poursuites lgales.

TABLE DES MATIRES

PRSENTATION 5

AVANT-PROPOS 7

DEUX MESSAGES DE RONALD REAGAN 9

TAXINOMIE GNRALE DES ALINIGNES 10

MUTILATIONS DANIMAUX 17Chronologie gnrale 17De mystrieux hlicoptres 18Hlicoptres et ovnis 22Dviations gomagntiques et cycles lunaires 26Un appareil antigravitationnel 27

LINVASION 29 Point de vue dun Grand Blond sur

linvasion des Petits Gris 30Dbut de la saga 32LAgence de scurit nationale (N.S.A.) 34LAgence centrale de renseignements (C.I.A.) 35Un incident la station KNBC 37Les contacts 38

LOCCUPATION 40La conspiration 42Les bases souterraines 43Le dossier Dulce 45Un Centre de technologie extranenne 47

RAPPORTS ENTRE GRANDS BLONDS,PETITS GRIS ET HOMMES EN NOIR 49

Shamballa et l Oeil dHorus 50tat psychologique actuel des Petits Gris 51

UN MONDE PARALLLE 52Un phnomne de rflectivit 54Une dmonstration de Fatima 57Lopration Cheval de Troie 59

CONCLUSION 61

Toute reproduction formellement interdite.

PRSENTATION

Ce deuxime document dune srie portant sur le phnomne ovni fait suite au Gouvernement secret de William Milton Cooper paru en dcembre 1989. Ces deux rapports constituent une traduction des feuillets dactylographis qui nous taient parvenus des tats-Unis au dbut de lautomne. En collaboration avec Louise Courteau, ditrice, j ai jug bon de vous les faire connatre parce que la situation actuelle y est dcrite en termes directs, la manire non quivoque dont j ai eu moi- mme la persvrante audace de vous la dpeindre, depuis une quinzaine dannes, souvent au risque dtre, tort, tax dalarmiste.

Ceux dentre vous qui ont dj lu le premier document auront lavantage de pouvoir tablir des recoupements significatifs sans pour autant tre ennuys par dimportunes rptitions. Ces deux auteurs, au contraire, se compltent merveille, car le second dveloppe des lments occultes auxquels le premier stait content de faire allusion en se concentrant surtout sur les aspects officiels du problme extranen. Ainsi, la cohrence mme de ces deux documents tend confrer chacun pris sparment une crdibilit dautant plus grande quils sont le fruit de recherches indpendantes.

L auteur du prsent rapport qui a prfr conserver lanonymat ne dveloppe pas ici un thme unique. Il cherche plutt couvrir lensemble de la question, allant jusqu baucher des hypothses dexplication et dbordant mme souvent du sujet pour relater des expriences connexes. Pour pallier laspect forcment dcousu de cet expos, nous navons pas hsit dsigner ces nombreuses digressions par des titres et des sous-titres qui vous serviront de points de repre en consultant la table des matires.

Quant aux nombreuses interrogations que ce dossier ne manquera srement pas de faire surgir dans votre esprit, je me rserve lagrable

privilge dy rpondre dans mes futures confrences et missions ainsi que dans le prochain document de cette srie.

En terminant, permettez-moi de vous rappeler les deux nologismes que nous avions utiliss dans le premier document pour traduire le vocable anglais alien:

Extranen (n. et adj.) Nologisme cr partir du latin extraneus (tranger) et dsignant tout tre ou toute ralit qui n appartient pas la culture humaine.

Alinigne (n. et adj.) Nologisme cr partir du latin alienigenus (qui appartient une autre race) et dsignant tout tre dont lorigine et le dveloppement ne correspondent pas ceux des races volution- naires de lhumanit terrestre.

Richard Glenn

Toute reproduction formellement interdite.

AVANT-PROPOS

Notre civilisation sintresse activement au phnomne ovni depuis une quarantaine dannes et, tout au long de cette priode, une foule dobservations ont t recueillies. Cependant, un grand nombre de donnes relatives certains aspects du phnomne ont souvent t supprimes. Ce clivage de linformation a eu pour effet de fragmenter notre culture en plusieurs niveaux de ralit qui, tout en coexistant, sopposent nanmoins les uns aux autres. Cest ainsi quune partie de notre culture ne croit pas ou ne veut pas croire lexistence dautres espces, alors quune autre partie reconnat leur existence ou tout au moins en admet la probabilit, tandis quune troisime partie va mme jusqu entretenir des liens rels avec ces autres espces. Or, le fait que ces divers points de vue existent simultanment contribue provoquer la situation dextrme confusion dans laquelle nous nous trouvons actuellement.

Les ufologues suivent videmment la mme tendance. Les uns abordent le sujet dun point de vue purement empirique; les autres cherchent tablir des modles et des rapports fonctionnels partir des vnements; dautres encore se risquent poser les bonnes questions au bon moment, et ceux-l obtiennent des rponses, parmi lesquelles il en est de fort troublantes qui semblent tenir du conte de fes.

En dfinitive, tant sur le plan de la psychologie que de la physique, nous avons affaire de tout nouveaux concepts. Nous sommes de plus en plus conscients non seulement de ne pas tre seuls ici-bas, mais de ne lavoir jamais t. Et, comme si cette rvlation ne nous suffisait pas, nous dcouvrons du mme coup que des factions de notre socit le savaient dj. Apparemment, elles entretiennent des rapports avec ces espces alinignes depuis fort longtemps.

La conclusion de ceci est que depuis toujours lhumanit a t oriente dans une fausse direction et conduite sur une voie tortueuse jonche

dun agrgat de conspirations et entrave par un amoncellement dinformations biaises. Du ct humain, le motif en est le savoir technologique et le pouvoir absolu. Du ct extranen, le mobile semble tre la survie, du moins pour ce qui concerne une certaine race de spationautes.

Le propos du prsent document est dexposer au grand jour les dtails de cette conspiration. Il ne vous est pas demand dy croire, mais simplement den observer la manifestation la lumire de ce qui sest produit dans le pass, de ce qui arrive actuellement et de ce qui est en train de se tramer juste sous votre nez. Par contre, si vous n estimez pas avoir lestomac assez solide pour assimiler ces notions ou si vous ne pensez pas pouvoir en supporter les consquences, nallez pas plus loin.

8 Toute reproduction formellement interdite.

DEUX MESSAGES DE RONALD REAGAN

Pour ceux dentre vous qui ont appris dcrypter les messages des hommes politiques, voici un extrait particulirement intressant dune allocution que le prsident Reagan a livre aux tudiants de lcole secondaire de Fallston, au Maryland, le 4 dcembre 1985:

Un jour que je mentretenais en priv avec le secrtaire gnral dU.R.S.S., monsieur Gorbatchev, je n ai pu mempcher de lui dire songeant tout coup que nous sommes tous des enfants de Dieu, peu importe o nous sommes ns et o nous vivons combien faciles seraient sa tche et la mienne lors dune rencontre comme celle-l si notre monde se trouvait subitement menac par quelque espce provenant dune autre plante de lunivers. Nous ferions aussitt fi des petits diffrends locaux qui opposent nos pays et nous comprendrions enfin une fois pour toutes que nous appartenons vraiment tous ensemble, ici- bas sur terre, une seule et mme humanit! Or, je ne crois pas quil nous faille attendre larrive dalinignes menaants...

Que dire, maintenant, de cet autre passage tir de son discours la 42e Assemble gnrale des Nations unies le 21 septembre 1987:

Nous sommes tellement obsds par nos antagonismes du moment que nous ne songeons presque jamais aux puissants liens qui unissent tous les membres de lhumanit. Peut-tre y penserions-nous davantage si nous tions exposs une menace extra-terrestre. Il marrive, loccasion, de mditer l-dessus et de contempler avec quelle promptitude nous mettrions fin nos conflits internationaux pour dfendre notre existence face un ennemi commun. Or, je vous demande un peu, cette force trangre nest-elle pas dj infiltre parmi nous? Y a-t-il rien de plus tranger, en effet, aux aspirations universelles de nos peuples que

la guerre et la menace quelle reprsente pour la survie mme de lhumanit?...

Ronald Reagan aurait-il eu vent de ce qui se prpare dici les cinq prochaines annes?

TAXINOMIE GNRALE DES ALINIGNES

Il a t dnombr ce jour une quarantaine de races dalinignes. La nomenclature qui suit dcrit celles qui frquentent le plus souvent notre plante.

Les Grands Blonds

Semblables aux tres humains, ils ont les cheveux blonds et les yeux bleus. Ils ne briseront pas la loi de non-ingrence pour nous venir en aide; ils interviendront seulement si les activits des Petits Gris risquent daffecter dautres parties de lunivers.

Les Grands Blonds se rpartissent en deux types selon le mode de transmission de leur pense. Les uns, comme nous, font usage de la parole pour sexprimer tandis que les autres peuvent communiquer directement entre eux par tlpathie. Sils sont attaqus ou menacs, les premiers riposteront avec violence, mais les seconds ragiront pacifiquement.

Les Grands Blonds ne semblent jamais vieillir. Ils conservent perptuellement lapparence dun homme ou dune femme de 27 35 ans. Dans les sicles anciens, ils ont quelquefois t confondus avec les anges.

Les gants

Allis aux Grands Blonds, ils ont aussi la mme apparence que nous mais peuvent mesurer jusqu 3 m.

Les tres interdimensionnels

Foncirement pacifiques, ils peuvent revtir une grande varit de formes.


Les nains velus

Leur taille slve 1,20 m et leur poids 15 kg environ. Neutres, ils respectent les formes de vie intelligentes.

Les mini-androdes

Mesurant de 45 75 cm et ayant le teint bleut, ils ont t frquemment aperus prs de Chihuahua au Mexique.

Les clones de type aryen

Crs par les Petits Gris, ils nous ressemblent mais ont la peau gristre et le niveau mental dun mongolien.

Les Petits Gris

La physiologie de cette race est la mieux connue parce que de nombreux spcimens ont pu tre tudis au dbut des annes cinquante par suite de lcrasement de plusieurs de leurs astronefs. Ils constituent ces entits biologiques extra-terrestres dont labrviation est E.B.E.

La taille moyenne de la plupart des individus observs se situait entre 90 et 115 cm. Selon les standards humains, la tte tait proportionnellement plus grosse par rapport au corps et les yeux taient plus loigns lun de lautre, plus grands, plus creux, plus allongs et lgrement inclins vers le haut, de type mongolode. On na remarqu ni orifices ni pavillons doreilles sur les cts de la tte. Le nez tait indfini, laissant peine voir un ou deux trous en guise de narines. La bouche se rsumait le plus souvent une mince fente, et parfois mme il ny en avait pas du tout, ce qui porte croire quelle ne sert ni la communication ni la manducation.

Le cou tait si frle quil tait peine visible lorsque, dans certains cas, les vtements taient trs ajusts au col. La plupart des alinignes rcuprs taient chauves, quoique certains prsentaient une petite touffe sur le sommet du crne alors que dautres semblaient avoir une calotte crnienne en argent. Labsence de canal respiratoire et dappareil phonateur laisse supposer chez eux lapanage dune intelligence suprieure et lexercice de facults tlpathiques. Cette hypothse sest trouve renforce par la dcouverte, dans le lobe frontal droit de lun des sujets,

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dune ouverture qui recelait un dlicat rseau cristallin suggrant le dveloppement dun troisime cerveau.

Les bras taient minces et longs, stendant jusquau niveau des genoux. Les mains ressemblaient des serres doiseau rapace et taient dpourvues de pouce. Chacune tait munie de quatre doigts mais, au total des deux mains, trois doigts taient nettement plus longs que les cinq autres, mme trs longs chez certains individus et beaucoup plus courts chez dautres.

Il n a t fourni aucune description dtaille des jambes et des pieds, si ce nest quils taient trs peu dvelopps. Les pathologistes ont indiqu que cette atrophie des membres infrieurs, lie lexistence de palmures interdigitales dans la majorit des cas, tait le propre des espces adaptes la vie aquatique.

La plupart des observateurs ont not que la peau tait grise, parfois teinte dune nuance beige, ocre ou rose. Labsence de phallus et dutrus confirmerait la thse que cette espce, nayant pas la facult de se reproduire gnitalement, doive recourir au clonage pour se perptuer, comme certains informateurs lont mentionn. Ceci expliquerait donc le fait que ces alinignes prsentaient tous des caractristiques raciales et biologiques identiques, comme sils taient forms dans un mme moule. En outre, ce nest pas du sang qui circulait en eux, mais un liquide gristre.

Les Petits Gris se divisent en trois types:

Type 1:Ils vnrent la technologie et ne nous respectent gure. Ce type dtres a t popularis par Whitley Streiber dans son rcit Communion.

Type 2:Ils ont une allure gnrale qui sapparente au type 1, quoique leur visage soit lgrement diffrent, de mme que la disposition de leurs doigts. Plus raffins que les Petits Gris de type 1, ils font preuve dun certain degr de bon sens et sont quelque peu passifs. Nous ne savons pas sils ont besoin de se nourrir des mmes scrtions que ceux du type 1.

12 Toulc reproduction formellement interdite.

Type 3:Ils prsentent les mmes caractristiques fondamentales mais occupent une position subalterne face aux deux autres types.

Les Hommes en noir

Tout bien considr, le phnomne ovni a plutt pris des allures de cirque depuis quelque temps, et Tune des attractions les plus intrigantes et les plus controverses nous en est certainement fournie par ces acteurs de coulisse que sont les mystifiants Hommes en noir. Les tmoignages de leurs visites attisent fortement la suggestibilit de limaginaire collectif. On se reprsente de mystrieux personnages aux vtements sombres qui cherchent rduire au silence les tmoins dovnis. Or, je puis confirmer ce fait puisquils mont effectivement rendu visite, et pas seulement moi mais aussi dautres personnes que je connais.

Le scnario habituel est le suivant. Quelquun voit un ovni ou vit une exprience associe au phnomne. Peu aprs, il reoit la visite dun ou de plusieurs hommes lapparence insolite qui lui relatent son exprience dans le menu dtail, alors mme quil nen a gliss mot personne par crainte du ridicule ou pour toute autre raison. Ils le mettent en garde de ne pas raconter son histoire la vole, allant mme parfois jusqu le menacer personnellement, tantt mots couverts, tantt sans dtour. Par un moyen ou un autre, ils effectuent, sil y a lieu, la saisie de toutes les preuves. Quelquefois, ils se prsentent sans motif valable et font peine allusion aux ovnis, si tant est quils en parlent. Mais, dans tous les cas, ils restent fidles leur image.

La conception classique des Hommes en noir est celle dindividus sans ge et de taille moyenne, entirement de noir vtus, toujours coiffs dun chapeau et portant frquemment un chandail col roul. Leur apparence est surtout dcrite comme trange ou insolite. Ils parlent dune voix monotone et sans me, comme des machines. Ils ont le teint fonc, les pommettes saillantes, les lvres minces, le menton pointu et les yeux lgrement inclins vers le haut, avec des pupilles verticales, comme les chats. Il faut toutefois prciser que quelques-uns ont t rapports avec le teint ple et la peau gristre, et certains avec les cheveux blonds. Quant aux autres caractristiques, elles demeurent les mmes. Leur comportement gnralement mcanique leur a valu dtre quelquefois compars des robots ou des androdes.


Les prtextes quils invoquent pour justifier leurs intrusions sont souvent absurdes. Ils sintroduisent titre de vendeurs itinrants, de techniciens pour la compagnie de tlphone ou de reprsentants pour des organismes quelconques, officiels ou non. Ils se dplacent habituellement dans de grosses voitures de luxe des Buick, des Lincoln, parfois des Cadillac toujours noires, videmment. La nuit, ils circulent tous feux teints, lexception dune lueur blafarde de teinte pourpre ou verdtre qui claire lintrieur de ces automobiles dont les portires affichent parfois des insignes inconnus et dont les plaques portent une immatriculation impossible identifier ou retracer.

Certains de ces bonshommes ont maintes fois rvl des aspects deux-mmes fort curieux, tel ce visiteur la carrure exceptionnelle qui stait rendu au domicile dun homme daffaires de Wildwood au New Jersey. Quand il stait assis, la jambe de son pantalon stait releve en laissant apparatre un fil vert greff la peau et courant le long de la jambe. Dans un autre cas, des Hommes en noir se tenaient aux abords dun champ couvert de boue la suite dune averse; leurs souliers luisants taient pourtant exempts de toute trace de salet. Ailleurs encore, par des froids mordants, ils surgissaient de nulle part, vtus seulement dun paletot lger.

Leurs chaussures et leurs mallettes semblent toujours neuves, comme si elles navaient jamais servi. Leurs vtements seraient confectionns, semble-t-il, dans un tissu dun nouveau genre, trangement luisant et mince sans tre soyeux.

Il est vident quils nagissent pas seuls. Ils auraient apparemment des complices au sein des grandes socits nationales comme la poste et le tlphone. Les chercheurs et les tmoins remarquent quune quantit anormale de leur courrier est gare et quils sont souvent incommods par des appels importuns dont les auteurs sont plutt bizarres, avec des voix inhumaines, la sonorit mtallique. force de percevoir des bruits inhabituels, chaque fois quils font rfrence aux ovnis, et dentendre des voix qui interfrent au beau milieu de leurs conversations tlphoniques, ils en sont venus souponner que leurs lignes taient places sur table dcoute.

Selon toute vraisemblance, nous avons affaire des individus dont le rle est indniablement li, dune manire directe et dfinie, aux ovnis eux-mmes ou la source de ces objets. Nanmoins, ces mmes hommes


semblent parvenir se fondre avec discrtion dans le cadre mme de nos existences quotidiennes.

La premire fois o Ton a fait mention des Hommes en noir remonte lincident de lle Maury en 1947. Ils avaient t aperus prs dun endroit o des dbris avaient t jects dun appareil en forme de disque. Peu aprs, des fonctionnaires avaient donn ordre de charger ces dbris bord dun bombardier. Or, celui-ci scrasa au dcollage!

J ai rassembl quelques lments qui illustrent un peu laspect insolite de certains incidents o entrent en scne les Hommes en noir:

un vtran de lArme de lair est interrog par des Hommes en noir aprs avoir appris le contenu de documents classs secrets par la N.A.S.A.;

un adolescent se voit saisir des photographies dovnis prises au tlobjectif et subit dpres menaces de la part des Hommes en noir;

des gens voient des Hommes en noir quitter le hall du Dpartement dtat amricain en y laissant un objet de fabrication mystrieuse;

des Hommes en noir rduisent des tmoins au silence en tant quofficiers de laviation militaire;

un Homme en noir essaie dacheter du Coca-Cola avant les heures douverture et chante aux oiseaux perchs dans les arbres;

un Homme en noir dsintgre une pice de monnaie place dans la main dun tmoin et le menace den faire autant avec son coeur sil raconte ce quil a vu.

On ne saurait parler des Hommes en noir sans mentionner le nom de John Keel, sans doute lcrivain le plus prolifique sur le sujet. Il avance lhypothse que les ovnis feraient partie intgrante de notre propre environnement mais surgiraient dun autre continuum espace-temps. La plupart de ces phnomnes seraient dordre psychique ou psychologique plutt que physique. Quant moi, je ne dfinirais pas la question tout fait de cette manire, mais il est certain que ces deux composantes y tiennent un rle important.

Des alinignes miniatures

Dans linnombrable lot dinformations qui sest amoncel relativement au phnomne ovni, une grande quantit a t nglige ou simplement


ignore, et les publications spcialises y font rarement rfrence, sans doute parce quelles ne veulent pas mettre leur crdibilit en cause, car ces descriptions semblent sortir tout droit des contes de fes. Dans ce lot, nanmoins, apparaissent des centaines de tmoignages concernant tous un mme type dalinignes. Il sagit de personnages minuscules qui font penser aux farfadets et aux lutins.

En plus des effets secondaires habituellement dcels dans la plupart des cas conventionnels, les tmoins de ce genre particulier de visites subissent dautres dsagrments, parmi lesquels des conjonctivites, une paralysie temporaire et de lamnsie. J. Russell Jenkins a tudi, entre autres, un cas survenu la fin du mois daot 1965, dans lequel une citoyenne de Seattle, dans ltat de Washington, aprs stre rveille vers deux heures de la nuit, stait rendu compte quelle ne pouvait plus bouger ni mettre un son.

Aussitt aprs, par la fentre ouverte tait entr un objet gris terne de la grosseur dun ballon de rugby. Cet astronef miniature flotta doucement vers la descente de lit, puis dploya trois pieds et se posa dlicatement sur le sol de la chambre. Il droula ensuite un petit escalier, que descendirent bientt cinq ou six tres minuscules vtus dune combinaison moulante. Ils saffairrent quelque temps de menus ajustements sur leur appareil avant de remonter bord et de senvoler par o ils taient arrivs. Cest alors seulement que la dame put retrouver lusage de ses membres et de la parole.

Vous comprenez sans doute, maintenant, pourquoi de tels rcits sont trs rarement publis ailleurs que dans les ouvrages occultes. Nanmoins, si nous tenons faire toute la lumire sur la question extranenne, nous ne pouvons pas nous permettre de ngliger lun ou lautre aspect sous prtexte quil nous semble invraisemblable, et nous ne pourrons jamais connatre la vrit en nous limitant aux seuls phnomnes que notre raison peut accepter ou que nos motions peuvent supporter.


MUTILATIONS DANIMAUX

Chronologie gnrale

Au milieu de lanne 1963, une srie dattaques contre du btail a t signale dans le comt de Haskell au Texas. Un cas typique fut ce boeuf Angus que lon retrouva avec la gorge tranche et une blessure circulaire lestomac, denviron 15 cm de diamtre. Les citoyens attriburent ces assauts une quelconque bte sauvage, une sorte de loup-garou, et, comme celle-ci ritra ses razzias un peu partout dans le comt, la crature assoiffe de sang prit bientt des proportions quelque peu mythiques et se vit affuble dun sobriquet destin lui rester: le Haskell Rascal (le gredin de Haskell).

Des assauts du mme genre furent sporadiquement rapports durant une dizaine dannes. Le plus clbre des rares comptes rendus de ce que lon dcrivait parfois en termes de mutilations concerna Snippy, un cheval du sud du Colorado qui fut ainsi abattu en 1967. La presse mondiale couvrit lvnement et la commission Condon institua une enqute parce que des tmoins avaient signal la prsence dun ovni dans la mme rgion au moment du massacre.

Cest en 1973 que lactuelle vague de mutilations danimaux a vritablement commenc dferler. Cette anne correspond la priode quil est gnralement convenu de considrer comme la dernire attaque concerte de la part des ovnis, quoiquil soit justifi de mettre en doute cette affirmation si lon tient compte des vnements qui surviendront deux ans plus tard.

En 1973 et 1974, la majorit des cas classiques de mutilations sont rputs provenir de la rgion centrale des tats-Unis.

En 1975, un massacre sans prcdent stend aux deux tiers de lOuest amricain. Les comptes rendus, qui atteignent alors un sommet, mentionnent aussi la prsence dovnis et dhlicoptres banaliss.

En 1978, les assauts augmentent.

En 1979, de nombreuses mutilations de btail sont rapportes sur le territoire canadien, particulirement en Alberta et en Saskatchewan, et continuent de survenir aux tats-Unis.


En 1980, leur nombre saccrot aux tats-Unis. Depuis cette date, les mutilations semblent moins frquentes, mais cette baisse apparente sexplique en partie par la rpugnance de plus en plus marque des fermiers et des leveurs les signaler. Ces massacres nont toutefois pas cess. Plus de dix mille btes ont t tues aux tats-Unis seulement, et le mme scnario se rpte partout dans le monde.

Si lon veut dmontrer que ces mutilations rsultent dune opration systmatique, il nous faut dabord tablir que certains facteurs lis aux actes eux-mmes ont t dirigs intentionnellement. Or, lablation dorganes externes et internes et leur subtilisation ont t mthodiquement pratiques sur des milliers danimaux depuis 1960, et ce principalement sur du gros btail. Linquitante prcision de ces rsections laisse supposer le recours des techniques et des quipements hautement sophistiqus. Sajoutant la quantit et la constance des interventions, lapparente dsinvolture avec laquelle les carcasses sont abandonnes tmoigne de loutrecuidance, voire de larrogance, des mutilateurs, comme si ces derniers jouissaient dune pleine libert daction dont ils pouvaient se prvaloir impunment dans la poursuite de leurs oprations.

De mystrieux hlicoptres

En tudiant minutieusement la question, j ai dcouvert un dtail des plus intressants concernant un phnomne dont la persistance permet dcarter l hypothse dune simple concidence. Il sagit de mystrieux hlicoptres ayant t aperus en train de survoler la rgion des mutilations au moment mme o celles-ci taient constates. Le plus souvent, ces appareils ne portent aucun signe didentification ou parfois les inscriptions ont t repeintes. On signale les voir frquemment voler des altitudes inhabituelles sans respecter les normes rglementaires de scurit. On remarque aussi quils sesquivent ds quils se savent reprs tant par un civil que par un agent de la paix. Certains tmoins oculaires relatent mme avoir t victimes dune attitude agressive de la part de ces quipages qui les prenaient en chasse en planant au-dessus deux avant de les engourdir ou, pis encore, douvrir le feu.

Quelques hlicoptres ont t surpris alors quils effectuaient des vols stationnaires au-dessus des troupeaux. Ils prenaient la fuite en laissant derrire eux le cadavre mutil dune bte. Il est gnralement possible de les apercevoir dans les jours qui prcdent ou qui suivent une mutilation.


Cet expos sur les mystrieux hlicoptres a simplement pour but de dmontrer que cet aspect du problme mrite examen. Depuis dj de nombreuses annes, on rapporte lexistence de ces hlicoptres banaliss aux caractristiques tranges. Ils volent trs basse altitude et le bourdonnement des hlices est imperceptible de loin. En outre, lorsquils se rapprochent, ce bruit parat artificiel.

Ce n est toutefois pas en liaison avec les mutilations danimaux quils ont dabord t mis en lumire. Ils taient alors associs un phnomne encore plus rpandu, celui des avions fantmes ailes fixes. Ils avaient mme t vus, dans plusieurs pays, lintrieur de zones parcourues par les ovnis. Selon certains comptes rendus parmi les plus intressants, ces mystrieux hlicoptres apparaissaient en mme temps que les ovnis ou aussitt aprs leur passage.

Le cas le plus pertinent qui me vient lesprit et ce nest certainement pas un cas isol est celui que Virgil Armstrong dcrit dans sa confrence sur ce que la N.A.S.A. ne nous a pas dit propos de la Lune, dans laquelle il effleure la question des hlicoptres et des ovnis.

Armstrong relate une msaventure quil a vcue avec des amis. Lun deux avait mis au point un appareil spcial en vue dobtenir de meilleures photographies dovnis. Lappareil tait mont sur un canon laser. Le principe consistait mettre le rayon en direction dun ventuel ovni dans lespoir que le jet de lumire lamnerait simmobiliser. Cest alors quil pourrait prendre, tout son aise, des photos de qualit.

Peu aprs ils se rendirent dans le dsert et y aperurent effectivement un ovni. Le laser ayant produit leffet escompt, le disque sarrta en flottant au-dessus du sol. Ils eurent ainsi le loisir de prendre quantit de bonnes photos avant que lastronef ne sloigne.

peine quelques minutes plus tard, ils entendirent le roulement typique dune escadrille dhlicoptres qui se rapprochait. Ces derniers atterrirent en formation stratgique autour du groupe de chercheurs. Il en surgit aussitt un peloton de Brets noirs, ce corps de lArme de lair charg dassurer la scurit stratgique. Le capitaine en chef savana en leur demandant la raison de leur prsence cet endroit. Le responsable du groupe rpondit sur un ton ironique: Nous sommes ici pour photographier des objets volants. Dailleurs, nous venons tout juste de


prendre de trs bonnes photos dune soucoupe volante. Le commandant lui demanda alors sil connaissait cette rgion et, devant sa rponse ngative, ajouta: Je vous conseille de dguerpir tout de suite! Le chef du groupe rtorqua: De quel droit nous ordonnez-vous de partir dici ? Sagit-il dune zone gouvernementale? Le capitaine des Brets noirs rpliqua: Cest en effet la base militaire dAndrews de la Dfense arienne et, si vous ntes pas partis dans dix minutes, vous serez mis aux arrts. Tout en parlant, le commandant avait ouvert lappareil- photo et en avait retir la pellicule. Le groupe neut dautre choix que dobtemprer.

Cette anecdote nillustre pas seulement la relation entre hlicoptres et ovnis; elle nous rvle aussi deux possibilits inquitantes: ou bien ces disques nous appartiennent, ou bien nous entretenons des rapports militaires et gouvernementaux avec ceux qui les pilotent. (Les hlicoptres dont il est question ici ne correspondent toutefois pas aux nigmatiques appareils mentionns plus haut; ils font partie du matriel rgulier de larme amricaine.)

Un autre cas dassociation entre les hlicoptres militaires et ce genre de disques nous est donn par Wendelle Stevens dans son livre intitul UFO Crash at Aztec (crasement dun ovni Aztec). Il relate un incident qui sest produit proximit de la zone 51, au lac Groom, sur la base militaire de Nellis de la Dfense arienne, situe au nord de Las Vegas.

Un Amrindien y faisait une excursion en montagne lorsquil perut un bruit dhlicoptres. Ceux-ci diffusaient un avertissement public tous les citoyens de la rgion leffet quun dangereux exercice militaire tait sur le point davoir lieu. En retournant leurs installations du lac Groom, ils survolrent, sans le voir, lAmrindien qui stait tapi dans les rochers. Aprs quelques instants, celui-ci vit remonter du canyon deux hlicoptres qui encadraient un disque noir slevant lgrement au-dessus deux. Tous trois survolrent la montagne, puis les deux appareils militaires firent demi-tour vers leur base, suivis peu aprs par le disque.

Les situations qui impliquent des hlicoptres banaliss semblent plus pernicieuses. preuve cet vnement qui sest produit dans le comt de Madison, au Montana, entre juin et octobre 1976, priode durant laquelle on a dnombr vingt-deux cas de mutilations de btail. Des

20 Toulc reproduction formellement inlerdile.

rapports provenant de tous les coins du comt faisaient tat de silencieux hlicoptres noirs dpourvus de tout signe didentification. cela sajoutait la description de lumires insolites aperues dans les airs ou au sol, des sortes de clignotants ou de balises lumineuses. Il tait aussi question davions banaliss, ailes fixes, ainsi que de fourgons blancs se trouvant dans des lieux loigns et jusque-l inaccessibles.

Un jour, vers la fin de cette priode au dbut de lautomne, un chasseur venant de Bozeman, au Montana, se promenait seul dans la rgion des Red Mountains prs de Norris, aux environs de 15 heures, quand il aperut un hlicoptre noir non identifi qui alla se poser derrire une colline avoisinante. Piqu de curiosit, le chasseur ne put sempcher de gravir le coteau. Lappareil tait au sol depuis un moment dj et pourtant le moteur roulait toujours. Notre observateur crut quil sagissait dun Jet Ranger Bell. Sept hommes en taient vraisemblablement descendus et marchaient maintenant dans sa direction. Le chasseur savana vers eux en les saluant du geste et de la voix. Cest alors quil se rendit compte que tous ces hommes sapparentaient au type oriental, avec les yeux en amande et le teint olivtre. De plus, ils se mirent baragouiner entre eux dans un dialecte tranger. Ils ne portaient pas duniformes mais des vtements de tous les jours. Soudain ils firent volte-face et sloignrent. Le chasseur se lana leur poursuite en gesticulant et en vocifrant. Les Orientaux pressrent le pas. Quand il les eut rejoints moins de deux mtres, ils se prcipitrent perdre haleine et sengouffrrent dans lhlicoptre qui dcolla aussitt.

Lors dune vague dobservations en Angleterre, il est fait mention de passagers lapparence orientale aperus dans un hlicoptre non identifi. Depuis des annes ces personnages aux yeux brids et la peau olivtre sont au coeur du phnomne ovni. En outre, un nombre significatif de ces individus mal fams que sont les Hommes en noir ont la mme apparence, cependant quils sont trs souvent dcrits comme tant maigres, ayant le teint ple et portant des verres fums en raison de la sensibilit de leurs yeux la lumire.

Le 8 avril 1983, un journal de Denver, au Colorado, publia une lettre anonyme dans laquelle lauteur prtendait que les mutilations taient loeuvre dune section gouvernementale secrte appele DELTA. Selon ce correspondant, les animaux servaient exprimenter des substances toxiques telles que le cyanure et la dioxine en vue de mettre au point des armes bactriologiques contre les citoyens amricains. Les


hlicoptres noirs attachs ce programme serviraient, entre autres, transporter de lhrone et de la cocane. Les bases Delta consisteraient en installations souterraines amnages dans les rserves indiennes. La majeure partie de la flotte serait stationne au quartier gnral des oprations, lequel serait situ sur la rserve Laguna une soixantaine de kilomtres au nord-est dAlbuquerque au Nouveau-Mexique.

Quand lagent Rommel du F.B.I. institua une enqute au cot de 50 000 $ relativement aux mutilations frquemment rapportes dans une certaine rgion du Nouveau-Mexique, celles-ci cessrent aussitt.

Hlicoptres et ovnis

4 h 30 le matin du 21 aot 1975, un shrif pilotait son avion dans le sud-ouest du Nebraska quand il aperut un hlicoptre banalis. Il le prit en chasse, mais l'hlicoptre teignit aussitt ses feux et disparut. Le shrif fut intrigu de constater quil survolait alors une base de missiles.

Il n est pas rare que des ovnis soient signals dans le voisinage des sites de lancement de missiles nuclaires. De plus, aprs leur passage, on a remarqu que lorientation des rampes est souvent modifie de sorte que les missiles ne visent plus les mmes cibles. Parfois mme, ces changements ncessitent le remplacement des ogives.

Les ovnis semblent avoir la proprit de se rendre visibles et invisibles volont. Ils sont vraisemblablement capables de passer d une dimension une autre en se matrialisant et en se dmatrialisant. En outre, ils peuvent se transformer au sein dune mme dimension, comme cet autre hlicoptre quun leveur a vu se changer en soucoupe volante avant de sintroduire dans un immense vaisseau spatial de plus de cent mtres de long sur vingt mtres de haut.

Dans le N 5 de Stigmata (automne-hiver 1978), Tom Adams propose une srie dhypothses pour expliquer la relation entre les mutilations et les hlicoptres. Sur ces derniers il retient, entre autres, les suivantes:

1) ce sont des ovnis trafiqus de telle sorte quils soient pris pour des appareils terrestres; ou

2) ce sont des proprits du gouvernement amricain oprant pour le compte de la Dfense nationale, et


a) ils sont directement impliqus dans laffaire des mutilations, oub) ils ne sont pas impliqus dans cette affaire mais font enqute

son sujet, ouc) ils connaissent l identit et les motifs des mutilateurs, et cher

chent, par leur prsence, dtourner lattention du public sur la possibilit dune implication militaire.

Selon Tom Adams, la rponse pourrait bien rsider dans une combinaison de ces diffrentes hypothses. Dautres ont avanc que ces oprations pourraient faire partie dun programme exprimental sur les armes biochimiques ou dun projet de prospection gophysique sur les dpts de ptrole et de minerai, mais j en doute.

On a un jour trouv, sur le site dune mutilation, un bistouri dun modle courant dans larme. tant donn que les disques ont t largement impliqus dans cette affaire, je suis port croire quil sagit l dune manoeuvre de diversion.

Certains ovnis peuvent quelquefois atteindre des proportions gigantesques. Le 22 juin 1980, un appareil de plus de 15 km de diamtre fut aperu au-dessus des gisements ptrolifres du Kuweit. Le 30 juillet 1985, un ovni semblable volant vers le sud fut signal par le pilote dun chasseur chinois au-dessus de la Mongolie. L dition japonaise du Times mentionna lincident mais les tats-Unis ny accordrent aucun intrt.

Le 14 septembre 1978, un astronef aussi gros quun paquebot transatlantique survola lItalie et plus prcisment la ville de Rome au cours des deux nuits suivantes, concidence pour le moins insolite si lon songe que le pape Jean-Paul I sest teint deux semaines plus tard dans des circonstances plutt douteuses. Le fait que les autorits aient refus lautopsie tend confirmer lhypothse voulant que Jean-Paul I ait t assassin pour faire chec son intention de dvoiler le message de Fatima.

Dautre part, les tudes de Trevor James Constable ont dmontr que les ovnis prsentaient parfois la forme de cellules vivantes, telles des amibes qui voyageraient dans latmosphre comme les globules se dplacent dans le sang. Ds lors, nest-il pas logique de se demander si certains virus ne seraient pas simplement la matrialisation microdimensionnelle dorganismes unicellulaires que lon peroit


macrodimensionnellement comme tant des ovnis protoplasmiques? Il ne faut pas oublier que la propension humaine viter de faire franchement face aux faits lorsque ceux-ci savrent dplaisants constitue peut-tre la meilleure faon de permettre toutes sortes dentits parasitaires davoir prise sur nous.

Dans les rgions rurales, les apparitions dovnis semblent commencer vers 22 h tandis que, dans les zones populeuses, elles dbutent plus tard, soit entre 2 h et 4 h. Pour une raison quelconque, le mercredi est le jour de la semaine o, avec un taux de 20,5%, les vagues dovnis se produisent le plus frquemment. Or, si ce phnomne tait purement psychologique, je pense bien que la majorit des cas se rapporterait au samedi plutt quau mercredi, alors que les gens ont statistiquement tendance tre davantage sur la route tard le soir. Il y aura toujours, bien sr, quelques exceptions pour confirmer la rgle, telle cette vague du mardi 16 aot 1966.

Si lapparition dovnis constituait un phnomne fortuit, naurait-on pas russi depuis longtemps dj les filmer ou les photographier? Je ne vois quune seule explication plausible au fait quils soient toujours parvenus prserver le mystre de leur prsence: pour matriser aussi compltement la situation, il faut que ces entits connaissent parfaitement davance tous les facteurs qui interviendront dans ces incidents.

Sil sagit de phnomnes naturels inconnus, comme daucuns le soutiennent, comment alors expliquer que ces passages se confinent lintrieur de frontires gopolitiques dtermines? Les statistiques cet gard tendraient plutt corroborer les dires de certains contacts leffet que les alinignes ont convenu entre eux et peut-tre de concert avec les gouvernements terrestres de se partager lexploitation de notre plante selon notre propre dcoupage politique de la carte mondiale. Voil qui expliquerait que leur mode dexploration soit aussi mthodique. Leur itinraire prsente le plus souvent la forme dun triangle isocle, mais des milliers dobservations faites le long de trajectoires apparemment circulaires se suivent chronologiquement, ce qui donne penser que les ovnis procdent systmatiquement de point en point.

Chaque tat amricain semble compter de deux dix fentres, des zones o les ovnis apparaissent rgulirement anne aprs anne et


autour desquelles ils se dploient dans un rayon de deux trois cents kilomtres. Des centaines de ces fentres sont dissmines lintrieur dun immense cercle qui stend des Territoires du Nord-Ouest jusquau centre des tats-Unis. Un autre cercle est focalis dans le golfe du Mexique et englobe le Mexique, le Texas et les tats du centre sud. Il est bon de noter que plusieurs fentres correspondent des zones de dviation magntique et que le plus haut promontoire y sert de point de ralliement des ovnis1. Cest habituellement l quils se rendent visibles avant dentreprendre leur ronde dexploration, au bout de laquelle ils disparaissent nouveau.

Nous savons que les ondes visibles loeil nu noccupent quune troite bande dans le spectre lectromagntique. Il est tout fait probable que les ovnis se manifestent des frquences suprieures lultraviolet et infrieures linfrarouge. Cependant, lorsquils se stabilisent dans le champ visible de notre dimension, ils semblent briller dun clat blanc, car ils intgrent alors les frquences de toutes les couleurs prismatiques, dont la composition rsulte en lumire blanche. Par contre, ds quils veulent effectuer des changements de direction, par exemple, ils doivent oprer une modification de frquence qui se rpercute aussitt en une varit de couleurs.

Ce nest srement pas sans raison si, dans le rapport XIV du projet Blue Book (Livre bleu), le terme lectromagntique a t remplac par lpithte inconnu pour dcrire la majorit des cas o il tait fait allusion ce phnomne. Cette prcaution tend confirmer lhypothse dune ralit plusieurs niveaux et, chose certaine, nous navons pas affaire des visiteurs de hasard mais des tres qui agissent, au contraire, avec des intentions fort prcises. Dans cet ordre dides, les mutilations danimaux reprsentent bien lune des constantes matrielles dont le cadre de rfrence a t le plus stable depuis la premire fois, en avril 1897, alors que plusieurs tmoins avaient assist lenlvement dun veau appartenant Alexander Hamilton.

1. Ce commentaire n est pas sans nous rappeler notre clbre mont Saint- Hilaire, qui domine la valle du Richelieu quelques kilomtres au sud de Montral.


Dviations gomagntiques et cycles lunaires

Un certain Lew Tery sest pench sur la relation entre le phnomne ovni et les anomalies gomagntiques. L ide nest pas neuve, mais ses dcouvertes valent dtre mentionnes ici. Quoi quil en soit, je vous en laisse juges.

Monsieur Tery se procura, au Bureau des relevs gologiques des tats- Unis, des cartes illustrant les dviations gomagntiques et gravitationnelles. Lexamen lui rvla aussitt une relation vidente entre les ovnis et certaines rgions. Aprs avoir donn une confrence sur le sujet en Arizona, il fut harcel par des agents du F.B.I. parce que, selon eux, il saventurait dans un domaine trs dlicat. Monsieur Tery comprit lallusion et vita dornavant den parler publiquement en dtail.

Les deux types de cartes indiquent les champs de force fondamentaux ainsi que le degr de chacun selon les rgions. Il est intressant de noter que les zones correspondant des maximums et des minimums prsentent les caractristiques suivantes:

a) toutes sont frquemment visites par les ovnis;b) toutes sont situes soit sur des rserves indiennes, soit sur des terrains du gouvernement, soit sur des emplacements que celui-ci est en voie dacqurir;c) la plupart, et surtout l o plusieurs sont regroupes, sont susceptibles dtre des bases ou sont historiquement considres comme des zones de mutilations et denlvements.

Non satisfait de ces premires conclusions, qui ne manquent dj pas dintrt, monsieur Tery poussa plus avant ses observations. Une recherche assidue le conduisit tablir des paramtres spatio-temporels des apparitions dovnis, ainsi que des mutilations et des enlvements signals dans ces zones, au regard des cycles lunaires. Cest ainsi quil parvint conclure que ces phnomnes surviennent plus frquemment:

a) la nouvelle lune ou dans les deux jours qui la prcdent;b) la pleine lune ou dans les deux jours qui la prcdent;c) au prige de la Lune son point le plus prs de la Terre ou dans les deux jours qui le prcdent.


Aucune raison concrte ne semble avoir t trouve pour expliquer la concidence de ces vnements dans le temps, mais le fait nen est pas moins vridique. Aussi sommes-nous en droit de prtendre srieusement la thorie des bases lunaires dont certains chercheurs nous ont certifi lexistence.

Un appareil antigravitationnel

Quand je songe, dautre part, aux prodigieuses possibilits que reprsenterait ltude des phnomnes lectromagntiques pour lavancement de la connaissance humaine, je suis stupfi de voir quon ne sintresse pas davantage certaines dcouvertes dans les milieux scientifiques officiels. Car, enfin, comment ne pas tre impressionn par lclatant rsultat dune exprience comme celle qui suit, alors quun simple amateur a russi avec brio mettre en application les principes apparemment complexes de thories aussi hermtiques que celle de la relativit dAlbert Einstein ou celle de la ralit des mondes suprasen- sibles de Rudolf Steiner, et est parvenu en donner une preuve concrte en dmontrant quil suffit de provoquer une tension infinitsimale dans les forces thriques de lespace pour que celles-ci produisent en retour, sur le plan physique, des effets littralement incommensurables?

Monsieur J.R. Searl, que j ai le bonheur de compter parmi mes amis, habite en Angleterre. En 1949, pendant quil travaillait pour la Commission des Midlands comme simple assembleur dappareils lectroniques, il dveloppa une vritable passion pour ltude des phnomnes lectriques. Nayant pour toute formation officielle que les aptitudes requises pour exercer son mtier, il aborda la question avec la libert des autodidactes, dont la vision nest pas limite par les oeillres quune ducation spcialise finit trop souvent par imposer.

Il assura donc son propre apprentissage en tudiant le mcanisme des gnratrices et des moteurs lectriques, et constata bientt que le mouvement rotatif des pices de mtal engendrait une faible force lectromotrice dont la polarit ngative tendait sloigner de laxe de rotation tandis que la polarit positive cherchait sen approcher.

En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant dune dynamo rotative compose de bagues collectrices et, laide dun conventionnel appareil de mesure lectrique, il enregistra la force lectromotrice de


faible intensit quelle gnrait. Ayant remarqu que ses cheveux avaient tendance se hrisser lorsquil se tenait proximit de la dynamo en mouvement, il en dduisit que des lectrons libres, de charge ngative, produisait un champ de force centrifuge alors que llectricit statique du mtal engendrait un champ de force centripte. Il dcida alors de construire une gnratrice fonctionnant sur ce principe.

Il acheva, ds 1952, la fabrication de sa premire magnto, dun diamtre de un mtre. Le rotor tait constitu dun disque segment qui, en tournant, transmettait lnergie un stator priphrique form dlectroaimants, lesquels contribuaient produire la force lectromotrice. Avec laide dun ami, monsieur Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en marche au moyen dun petit moteur. Comme prvu, sa gnratrice produisit de llectricit, mais un taux qui dpassa largement ses attentes. une vitesse relativement basse, lnergie potentielle tait de lordre de 100 000 volts, valeur estime daprs llec- trisation des objets environnants.

Cest alors quil se produisit un phnomne tout fait inattendu. Le rotor se mit acclrer, puis lappareil commena slever de terre, rompit le cordon dalimentation qui le rattachait au moteur et continua de grimper jusqu une altitude de quinze vingt mtres, laquelle il se stabilisa quelque temps. Leffluve ros de leffet couronne indiquait que lair ambiant se trouvait ionis une pression atmosphrique rduite moins de 0,1 Pal. Mais leffet secondaire le plus tonnant concernait les rcepteurs radiophoniques de la localit, qui se mirent tous en marche automatiquement. Finalement, le rotor de la gnratrice semballa une vitesse fantastique et lappareil tomba dans lespace comme si la gravitation terrestre tait inverse.

Depuis lors, monsieur Searl en a fabriqu une dizaine dautres, mais il en a perdu plusieurs de la mme manire avant darriver en contrler quelques-uns. Certains mesuraient prs de quatre mtres de diamtre, et il en a construit deux denviron dix mtres.

Aussitt que la gnratrice franchit un certain seuil dnergie potentielle, estim ici quelque dix billions de volts (1012 V), la puissance fournie se met dpasser celle qui est absorbe et continue de monter vers un niveau virtuellement illimit. Les mesures que nous en avons

1. La pression atmosphrique normale est de 101 325 Pa ou 101,325 kPa.


prises la situaient aux alentours de dix dix mille billions de watts (1012 1015 W). ce niveau de puissance, la gnratrice et toutes ses composantes paraissent saffranchir de la force dinertie; mais, en se librant de lattraction terrestre, elles semblent aussi attirer elles des morceaux de matire puisquelles ont tendance, en slevant, arracher des mottes de gazon.

En dernire analyse, il y a tout lieu de croire que la gnratrice provoque une tension dans lespace qui lentoure. Leffort fourni par lespace pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme dun champ magntique dont lnergie est absorbe nouveau par la gnratrice qui, ainsi alimente, fournit encore plus de tension lespace environnant, lequel ragit par un accroissement du champ magntique qui, son tour, relance la gnratrice dans une interaction sans fin, crant par le fait mme une sorte de mouvement perptuel. Ce processus dmontre lvidence que, de la quantit dj trs minime de tissu spatial qui traverse lappareil, seule une infime proportion est convertie en nergie.

Plus rcemment, en 1987, mon ami monsieur Searl a eu maille partir avec la Commission des services publics parce quil avait russi mettre au point sa propre gnratrice autonome. Les autorits craignaient videmment que la nouvelle de son invention ne fasse boule de neige et finisse par constituer une menace leur monopole, quand bien mme il ne possdait quune modeste maison. Pour viter leurs tracasseries, il dmnagea, tout simplement, et sinstalla Birmingham o il vit depuis... sous un nom demprunt.

LINVASION

La narration de ces vnements na t jusquici quune entre en matire. Nous pouvons maintenant passer la rvlation des vritables mobiles dans laffaire des mutilations, cest--dire lacquisition, par des entits biologiques extra-terrestres (E.B.E.), de tissus vivants destins leur usage personnel. Pour faire la lumire sur ces interventions, il nous faut dabord tablir une squence logique au regard de ce que nous savons aujourdhui et mettre au jour une ralit qui na pourtant cess de se manifester juste sous nos yeux, savoir que des tres humains et extranens entretiennent dtroites relations rciproques.


Point de vue dun Grand Blond sur linvasion des Petits Gris

En octobre 1987, lufologue George Andrews russit, par lentremise dune Californienne dote de pouvoirs psychiques, entrer en communication avec un Grand Blond qui avait russi chapper lemprise des Petits Gris et, ce faisant, prserver son pouvoir de voyager dans lespace-temps. Voici quelques-uns de ses commentaires:

Si vous vous apprtiez envahir une civilisation trangre, vous ne le feriez sans doute pas en dployant une armada daronefs qui sillonneraient le ciel au risque dtre abattus ce sont les tres moins volus qui ont recours ce genre de tactique. Au contraire, vous ne feriez que suggrer votre prsence et, en semant ainsi le doute, vous produiriez une telle confusion parmi les assigs que chacun finirait par ne plus croire en personne ni en rien.

Les Petits Gris sont dinsidieux faux frres. Ils ont dj fait (envers nous) exactement la mme chose quils font ici (envers vous). Vous ntes pas sur le point dtre envahis ni mme en train de ltre; linvasion a dj eu lieu, et elle en est au stade final.

Comment procderiez-vous? [Il dcrit ici le plan de nettoyage des Petits Gris depuis les dbuts,] Vous iriez dabord dans les organismes secrets. Aux tats-Unis, par exemple, vous infiltreriez la C.I.A. et, en U.R.S.S., le K.G.B. Vous feriez en sorte de diriger des agences en partie ou en totalit.

Vous creriez une dissension au sein de la population en gnral, les uns saccrochant leur certitude davoir vu des ovnis, les autres senfonant obstinment dans leur incrdulit.

Vous provoqueriez une ridicule et continuelle msentente idologique entre deux superpuissances comme lUnion sovitique et les tats-Unis et, pendant que ces deux pays se discuteraient constamment le partage des territoires en envahissant qui lIran, qui lAfghanistan, et quoi encore... et pendant quils se perdraient en palabres savoir qui devrait dsamorcer telle ogive nuclaire et qui telle autre... eh bien! pendant tout ce temps mais encore faut-il que vous soyez dots de cette facult! vous clateriez de rire.

Vous vous prsenteriez quelques membres de groupes adverses (C.I.A. ou MJ-12, par exemple, et K.G.B.) qui dissimuleraient volontiers votre prsence en se croyant les seuls sur terre qui vous ayez offert le privilge dtre dans le secret. Et, comme ces gens vous convoiteraient, vous


pourriez vous appuyer sur leur propre convoitise pour les piger dans les deux camps, tout en comptant sur la btise des masses pour les voir se dchirer mutuellement.

Pour ce faire, vous apparatriez quelques citoyens de faon inciter des factions gouvernementales les faire taire. Pendant que vous garderiez ainsi les dirigeants occups les rappeler Tordre, les masses populaires en viendraient se dsaffilier dun gouvernement qui ne cherche qu leur dissimuler toute information sur les ovnis. Vous commenceriez entendre des clameurs telles que: Pourquoi refusent-ils de nous croire?... Ne comprennent-ils pas que ces phnomnes se produisent rellement?... Nous ne sommes pourtant pas fous!...

Vous verriez les gouvernants et les citoyens se quereller sans cesse sur l'existence des ovnis. Vous smeriez des germes dinsatisfaction gnralise en excitant partout les haines, dune part entre deux superpuissances et, dautre part, entre les gagne-petit et les nantis dont la fortune saccommoderait fort bien de ltat de crise.

Vous sous-entendu les Petits Gris pourriez offrir le spectacle dun ou deux atterrissages de votre flotte avant la fin du sicle, au moment o vous seriez assurs de possder dj le plein contrle de la situation. Vous commenceriez effectuer des croisements gntiques dont le rythme augmenterait progressivement au fil des gnrations.

Vous appteriez le gouvernement avec un gros hameon tel le programme de la Guerre des toiles et taquineriez les chercheurs sovitiques avec un dispositif au laser mille fois plus raffin que tous ceux quils auraient pu inventer. Et ce, toujours avec la mme subtilit, la lisire de la conscience, de sorte que les ovnis ne paraissent pas tout fait invraisemblables mais dfiant tout de mme le bon sens. Vous vous arrangeriez pour quon en parle timidement et qu la rigueur le phnomne semble suffisamment insens pour que personne ne veuille y croire. la limite, vous les envahisseurs dchaneriez un tel fanatisme que la vie mme des contacts serait mise prix par la C.I.A. de peur que ne soient divulgues les transactions que celle-ci effectue dj avec les mmes forces occultes dont les sujets sont prcisment victimes.

Dici cent ou deux cents ans peut-tre, par suite des mlanges raciaux que les Petits Gris auront raliss, vous verrez dambuler parmi vous des cratures hybrides formes partir de votre propre race mle la leur. Pour linstant, tout ce qui bouge autour de vous est revtu de votre apparence pour viter de causer une panique gnrale. Cest tellement plus simple!


Tout individu qui vit des expriences avec les Petits Gris sera en brouille avec le gouvernement et, qui plus est, la plante subira des bouleversements complets. Les tremblements de terre et les soulvements de la crote terrestre se succderont sans relche.

Les Petits Gris se sont infiltrs jusquau coeur mme de la C.I.A., laquelle peroit son interaction avec eux comme un moyen de conforter son avance technologique. En outre, ils ont noyaut non seulement les agences de renseignements, mais aussi les groupes que ces agences traitent de bandes de cingls.

Une des raisons pour lesquelles vous tes actuellement tmoins dune telle quantit et dune telle varit dovnis est larrive massive de nombreux observateurs scientifiques provenant dautres cultures, aux yeux desquelles la vtre est dun extrme intrt.

Le mal suprme consiste en cette forme masque de suffisance psychologique qui conduit un tre adhrer un groupement idologique plutt qu largir ses horizons par lui-mme. Une fois que vous avez acquis la croyance dappartenir un groupe spcialement choisi, vous tes en voie de perdition. Ces associations, qui renferment le germe de la destruction de toute socit, minent votre culture et la rendent vulnrable. Aussi entraneront-elles du mme coup la chute future des Petits Gris, qui ne voient pas leur erreur, car cette faiblesse chez vous dont ils tirent avantage constitue leur propre faiblesse par inhrence. Il est futile dessayer de changer un tre qui prtend venir des toiles et qui srige en objet de culte, peu importe quil sagisse dun Petit Gris ou dun membre de la C.I.A. Le changement devra se faire, mais seulement quand le moment sera venu, car cest lEsprit daider quiconque se tenir debout pour dnoncer le mensonge et la fausset, ce mme Esprit de Vrit qui constituera une pine dans le pied des Petits Gris et de leurs complices.

Dbut de la saga

Cette pope a vraisemblablement commenc il y a des milliers dannes mais, pour les besoins de notre expos, nous nous en tiendrons ici des vnements plus rcents. En 1947, deux ans aprs la premire explosion nuclaire ralise au cours de notre civilisation, survint l incident de Mantell, le premier conflit arm entre forces terrestres et extranennes avoir jamais t consign. Lescarmouche se solda par la perte dun de nos pilotes. Il est aujourdhui vident que notre gouvernement dalors ne savait absolument pas comment faire face la situation. En


1952, la capitale nationale fut survole par des objets en forme de disques. Cest alors que les forces de scurit des tats-Unis C.I.A., N.S.A., D.I.A., F.B.I. dcidrent dintervenir en essayant de contrler la situation jusqu ce quils en connaissent les tenants et les aboutissants.

Cest cette poque que le gouvernement institua un premier groupe de coordination qui allait donner naissance MJ-12 (Majority 12 ou Ma- jestic 12), lequel existe encore de nos jours. Les membres en sont remplacs quand ils meurent, lexemple du secrtaire dtat James Forrestal qui, pour stre indign de voir de quelle manire on avait vendu les tats-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, fut suicid en se jetant par la fentre de sa chambre dhpital avant mme que des membres de sa parent aient pu communiquer avec lui. La plupart de ses proches sont convaincus que son prtendu suicide est une machination. Il fut remplac par le gnral Walter B. Smith.

En dcembre 1947, le projet Sign (Signe) fut mis en place dans le but de recueillir le plus dinformations possible sur les ovnis quant leurs caractristiques techniques et leur mission. Par mesure de scurit, la liaison entre le projet Sign et le groupe de coordination fut limite deux agents du service des renseignements au Commandement du matriel arien. Leur rle consistait transmettre certains types dinformations par lintermdiaire de filires organises.

Le projet Sign se mtamorphosa pour devenir le projet Grudge (Rancune) en dcembre 1948. Celui-ci donna naissance sa contrepartie civile qui porte le nom de projet Blue Book (Livre bleu), lequel nous est forcment plus familier puisquil n est pas cach la population. Dailleurs, seuls les rapports sans danger sont transmis au Blue Book. En 1949, on commena laborer un plan durgence qui prvoyait, le cas chant, la divulgation de certains secrets au grand public.

Le gnral George C. Marshall fut charg denquter sur lcrasement dovnis Roswell et Magdalena en juillet 1947 en vue den rcuprer les dbris. Directeur de la C.I.A. de mai 1947 septembre 1950, lamiral Roscoe H. Hillenkoetter anima le Jury de Robertson, dont la consigne tait de diriger les groupes civils de recherche en ufologie qui commenaient clore un peu partout au pays. Il entra la N.I.C.A.P. en 1956 et fut lu membre du conseil. De la position quil occupait, il lui tait loisible de tenir lieu de taupe pour le compte de MJ-12. De


concert avec son quipe dexperts dissimuls, il put orienter la N.I.C.A.P. dans la direction quil voulait. En rservant MJ-12 le contrle complet sur le Programme des soucoupes volantes et en jetant le voile sur les vidences physiques, le gnral Marshall pouvait confortablement savourer les avantages dune situation aussi bizarre. Cest ainsi queux- mmes et leurs successeurs ont pu berner la majeure partie de lOccident pendant une quarantaine dannes. Il leur a suffi de former des prtendus spcialistes et de les appuyer de leur influence pour assurer le succs de leur plan jusqu maintenant.

Le 3 avril 1947, au lendemain de lcrasement dun ovni Roswell, on dcouvrit les dbris dun autre appareil du mme type dans les plaines de Saint Augustine prs de Magdalena, au Nouveau-Mexique. Les six mois suivants donnrent lieu une importante rorganisation des agences et une considrable raffectation de leur personnel, le tout dans le but dassurer la discrtion la plus absolue. La premire et vritable raison de telles mesures de scurit tait lexamen minutieux de ces astronefs en forme de disques biconvexes en vue de sen approprier la technologie.

Les recherches taient chapeautes par les organismes suivants: le Conseil de recherche et de dveloppement (R.D.B.); Recherche et Dveloppement de la Dfense arienne (A.F.R.D.); le Bureau de recherche de la Marine (C.N.R.); le Bureau des renseignements scientifiques de la C.I.A. (C.I.A.-O.S.I.); le Bureau des renseignements scientifiques de la N.S.A. (N.S.A.-

O.S.I.).

Pris isolment, aucun de ces organismes ntait cens tre au courant de lensemble du programme. Chacun ne devait en connatre que des aspects, ceux que MJ-12 voulait bien lui laisser savoir. MJ-12 a aussi toujours exerc son action au sein des diverses associations civiles de recherche et de renseignements. La C.I.A. et le F.B.I. sont tous deux manipuls par MJ-12 pour servir les fins de ce dernier.

LAgence de scurit nationale (N.S.A.)

La N.S.A. fut mise sur pied dans le but premier de protger le secret entourant la rcupration des ovnis; elle acquit ventuellement le contrle complet de tous les services de communications et de renseignements. Ce contrle permet aujourdhui la N.S.A. dpier loisir les

34 Touie reproduction formellement interdite.

communications prives de tous les citoyens au moyen de la poste, du tlphone, du tlex, du tlgramme et, depuis peu, de la tlinformatique. En fait, la N.S.A. est actuellement le principal organe de MJ-12 en ce qui a trait au Programme des soucoupes volantes, et la dsinformation bat son plein dans le domaine de la recherche ufologique.

Tous les candidats assigns lun ou lautre aspect du programme sont asserments. Du moment quils ont sign leur promesse de respecter les critres de scurit, ils sont soumis une surveillance de tous les instants. Si l un deux, tant militaire que civil, droge son serment, il sexpose aux consquences suivantes:

1) Recevoir un avertissement verbal accompagn dun rappel des clauses de son contrat.2) Essuyer une rprimande plus svre, parfois renforce de mesures disciplinaires destines lintimider.3) Subir des manoeuvres psychologiques dans le but de provoquer une dpression et, la rigueur, son suicide. Le plus souvent, il sera victime dun assassinat dguis en suicide ou en accident.4) tre enferm lasile pour y tre trait par des techniques de dprogrammation mentale. Il en sera relch avec une nouvelle identit et une personnalit altre, et ses souvenirs seront confus.5) tre incarcr dans des centres de dtention ad hoc.6) Mourir dans des circonstances tranges et imprvisibles.7) tre emmen lintrieur pour y travailler leur service sous troite surveillance. Il sagit le plus souvent dinstallations souterraines fermes au monde extrieur.

Le mme traitement attend tout individu quils jugent trop prs de la vrit. Les membres de MJ-12, en effet, sont prts tout pour prserver le secret de leur complot. Mais, comme nous le verrons plus loin, la nature mme de leur pacte se trouvera radicalement remise en question lorsque surviendra un vnement que mme les conjurs navaient pas prvu: la divulgation de leur conspiration un chercheur civil par les alinignes eux-mmes.

LAgence centrale de renseignements (C.I.A.)

La C.I.A. joue aussi un rle prdominant dans cette affaire, et son action est dautant facilite que cette agence bnficie de la pleine couverture de ltat pour mener ses activits clandestines. cet gard,


il est effarant de voir que lActe de protection sur lidentit des services de renseignements, promulgu en 1981, accorde tout citoyen la libert dexprimer ouvertement ses opinions sur nimporte quel sujet, SAUF sur la C.I.A.

Il ne faut pas oublier que lorigine de celle-ci remonte lpoque qui suivit immdiatement la Seconde Guerre mondiale. Son premier directeur, Allan Dulles, de connivence avec Reinhard Gehlen, en a tabli les fondements en 1947 partir de la structure mme de la Gestapo1 nazie, quil a transplante telle quelle aux tats-Unis linsu des citoyens amricains. Peut-tre comprendrez-vous mieux, maintenant, la raison de certains gestes symboliques poss par nos chefs dtat. Vous souvenez-vous, par exemple, de Ronald Reagan quand, loccasion du quarantime anniversaire de la Seconde Guerre mondiale, il a dpos une couronne funraire au pied du cnotaphe rig la mmoire des combattants allemands enrls dans les sections dassaut?

Dans un autre ordre dides, il est de plus en plus vident que John F. Kennedy est tomb sous les feux croiss des sbires de la C.I.A. et des tueurs gages de la maffia. Il y a tout lieu de croire, dailleurs, que ces derniers ont prfr tre pays en hrone plutt quen argent. Or, lun des objectifs majeurs des oprations clandestines de la C.I.A. consiste justement approvisionner les stocks de stupfiants de la maffia, et la prtendue lutte aux trafiquants de drogue se rsume en fait neutraliser les barons indpendants tel Manuel Norriega dont les activits reprsentent une menace au monopole de la maffia et de la C.I.A.

Le meurtre dguis en suicide est sans doute la procdure expditive la plus exploite par la C.I.A. Faisant rfrence la panne gnrale qui avait paralys la ville de New York le 13 juillet 1965, le professeur James E. McDonald reprocha la Commission fdrale de llectricit dluder le rle vident que les ovnis y avaient tenu, et il osa len accuser devant un comit du Congrs. Le 13 juin 1971, il fut retrouv mort dune balle dans la tte, avec le pistolet ses cts.

Dans le cas de Karen Silkwoods, cest en accident dautomobile que son meurtre fut camoufl. Morris K. Jessup mourut aussi dans des circonstances mystrieuses aprs avoir fait parvenir un exemplaire de

1. Gestapo est lacronyme de GEheime STAats POlizei: Police dtat secrte.


son livre intitul Case for he UFO (Arguments lappui du phnomne ovni) au directeur du Bureau de recherche navale (O.N.R.) Washington.

Un incident la station KNBC

En octobre 1987, il se produisit un incident quelque peu inusit la station de tlvision KNBC de Los Angeles. Un certain Gary Stollman surgit dans un studio en braquant une carabine air comprim sur David Horwitz. De toute vidence, il se croyait seul dtenir certains renseignements et avait dsesprment rsolu de les faire connatre au public. Examinons brivement lessentiel de ses allgations et de ses revendications.

Son pre biologique est en ralit un clone cr par les alinignes avec le concours de la C.I.A.

La C.I.A. maintient des cliniques de rhabilitation mentale.

Les lignes tlphoniques furent coupes durant les deux jours qui ont suivi son admission lhpital psychiatrique Rohlman Cincinnati.

Un ancien agent de la C.I.A., lors dune interview quil accorda la station radiophonique KPFK devant un auditoire dtudiants de niveau collgial, dclara que la C.I.A. avait fait haler dans le port de New York des chalands infests de microbes.

La C.I.A. pourrait bien avoir cr le virus du sida en vue de dcimer la population gay.

La C.I.A. se mfie des adeptes de linformatique.

La C.I.A. a ourdi lassassinat de John F. Kennedy et, dans les deux annes qui suivirent, a fait disparatre quelque vingt-deux tmoins oculaires.

LArme de lair devrait rendre publique toute information relative aux ovnis en gnral et au hangar 18, Wright Patterson, en particulier.


Une tudiante de Floride soutient que sept de ses amis ont t remplacs.

Des garons de lcole Optimiste de Pasadena, en Californie, ont t recruts par des individus qui leur ont fourni de fausses cartes didentit et de faux certificats de naissance.

Le Cabinet prsidentiel dirige un groupe secret.

Il existe des tres dots du pouvoir de se dplacer instantanment, de tlporter les personnes et les objets, de lire dans les penses et de les diriger, de transmuter la matire en dautres formes dnergie et, partant, de la manipuler volont.

Il termina en rclamant du Congrs quil institue une enqute fdrale et ajouta quil n avait certes pas lintention de blesser qui que ce soit puisque sa carabine ntait mme pas charge.

Un ufologue connu sous le nom de code de MUFON communiqua avec lavocat de ce monsieur Stollman en dcembre 1987 pour lui confirmer que son client avait dit vrai dans une large mesure. L avocat sest aussitt clips.

Les contacts

Les statistiques rvlent que, parmi les victimes denlvements, deux sur trois se trouvent seules au moment du rapt, et une sur trois arrive reconstituer les vnements sans avoir besoin dtre place en tat dhypnose.

Par contre, plusieurs individus ont disparu tout jamais aprs avoir tabli un contact avec certains types dalinignes, ou ont t retrouvs sans vie. Apparemment pour des raisons de protection civile, le 5 octobre 1982, le professeur Brian T. Clifford, du Pentagone, annonait quil est illgal pour tout citoyen amricain davoir des contacts avec des alinignes ou mme de sapprocher de leurs vhicules.

la clause 14 de larticle 1211 du Code de rglementation fdrale adopt le 16 juillet 1969, quatre jours avant le premier atterrissage lunaire de la mission Apollo 11, il est stipul que tout citoyen contact


est automatiquement coupable et que son geste constitue un acte criminel passible dun an de prison et de 5000 $ damende. Ladministration de la N.A.S.A. a plein pouvoir de dterminer, avec ou sans audience, si une personne a t expose au phnomne et peut lui ordonner une quarantaine indfinie, sous surveillance arme, quaucune cour de cassation ne peut abroger.

En outre, l article de loi JANAP-146 prvoit une peine demprisonnement de dix ans et une amende de 10 000 $ dans le cas o un employ gouvernemental ferait, sans autorisation, des dclarations publiques sur le phnomne ovni. L Acte britannique sur les secrets officiels prescrit une sanction quivalente.

En gnral, les personnes qui ont dj t contactes le sont encore une ou plusieurs fois par la suite, et il nest pas rare que leur tat de sant soit affect aprs de tels contacts avec certaines entits extranennes.

En 1979, une dame ge vivant en Arkansas stait inflig des coupures en tombant. Elle a racont quelle avait t aussitt gurie par deux alinignes qui lui avaient remis un objet en mtal serti de pyramides et dtoiles six pointes. Ces tres lui avaient confi quils consommaient une potion que nous, les tres humains, ne buvons pas.

Un mois et demi plus tard, alors quelle tait sortie chercher son chien, elle aperut dans un champ voisin un cheval allong sur le ct. Deux hommes portant une blouse blanche de chirurgien semblaient prodiguer des soins la bte immobile. Deux hlicoptres de lArme de lair taient stationns un peu plus loin. Ils taient gards par deux militaires en uniforme et par les deux mmes alinignes qui lui avaient prt secours.

Elle continua marcher en direction du groupe mais, ds que celui-ci se rendit compte de sa prsence, elle fut frappe par un clair bleu jaillissant de lun des hlicoptres. Aprs le dpart des intrus, elle dut tre transporte lhpital pour cause de lsions par brlure.

Pendant toute la dure de son sjour, une foule de visiteurs impromptus ne cessrent de la harceler. Mme aprs son retour la maison, elle fut importune sans arrt par des inconnus qui lui posaient toujours les mmes questions. Elle eut beau dmnager dans un autre tat, le mange se poursuivit malgr tout. Depuis 1980, MUFON fait enqute sur ce cas mais na toujours pas publi ses conclusions.


LOCCUPATION

Les mthodes conduisant au premier contact entre le gouvernement dalors et les alinignes nous sont inconnus. Par contre, nous savons que nos dirigeants actuels ont t mis au courant, par le professeur Paul Bennewitz, de la possibilit dy parvenir laide dun quipement adquat, car lhomme de sciences les a informs quil y tait lui-mme arriv en se servant dun ordinateur. Mais ce civil ignorait alors en 1983 que le gouvernement tait depuis longtemps dj en relation troite avec les alinignes, et ce sont justement ses propres communications avec eux qui le lui ont rvl.

Le professeur Bennewitz habitait Albuquerque, au Nouveau-Mexique, prs de la zone de Manzano o sont entreposes des armes. Il eut lide de mettre au point un systme cod pour communiquer avec les pilotes des ovnis parce quil estimait que leurs constantes alles et venues proximit des entrepts constituaient une menace la scurit du secteur, et sa tentative russit. Il apprit bientt que, lors de premiers contacts plusieurs annes auparavant, nous avions convenu de leur amnager des bases souterraines aux tats-Unis en change de certains secrets technologiques quils nous rvleraient, et quil leur serait permis de procder sans tracas diverses oprations, tels des enlvements et des mutilations.

Il apprit vaguement que ces premiers contacts entre le gouvernement et les entits biologiques extra-terrestres (E.B.E.) avaient eu lieu entre 1947 et 1971. Certains gouvernants savaient donc dj que les Petits Gris jouaient un rle dans les mutilations danimaux et parfois dans celles dtres humains et quils faisaient usage des substances scrtes par les organes quils avaient prlevs, soit pour se nourrir en les absorbant travers la peau , soit pour reproduire, par clonage, dautres entits semblables eux-mmes dans leurs laboratoires souterrains. On savait donc aussi que les Petits Gris se procuraient du matriel gntique en commettant des rapts. Le Conseil de scurit nationale (N.S.C.) aurait toutefois exig deux quils lui en fournissent linventaire aux fins de vrification. Dans tout ceci, le gouvernement aurait jug que, malgr une allure un peu dplaisante, ces cratures taient nanmoins supportables et que le public finirait par shabituer leur prsence.


Vers la fin des annes soixante, on aurait formul le projet de librer graduellement de linformation sur le sujet pendant une vingtaine dannes au cours desquelles une srie documentaire nous aurait livr lhistorique et les intentions des Petits Gris. Mais, lorsque ceux-ci nous certifirent que les enlvements avaient pour but rel la surveillance de notre civilisation, et quand ces rapts savrrent beaucoup plus frquents et insidieux quon avait voulu nous le laisser croire, alors le gouvernement commena salarmer. Son inquitude reposait en outre sur un supplment dinformation lgard des sujets enlevs, savoir que: un moniteur crbral tait insr dans leur bote crnienne par les

cavits nasales; des suggestions subliminales leur avaient t induites par hypnose

de faon quils soient programms poser un geste dtermin un moment donn entre deux et cinq ans plus tard;

des implants en forme de disques ou daiguilles leur taient greffs dans les tissus musculaires (ce qui fut confirm par lanalyse radio- graphique);

des croisements gntiques taient oprs entre les Petits Gris et des tres humains.

Les Petits Gris navaient dautre intention que de rester sur notre monde et den prendre le contrle; mais, avant que nous ayons pu dcouvrir leurs desseins, il tait trop tard. Nous avions dj vendu lhumanit. (Peu importe, en ralit, puisquils taient ici pour faire ce quils ont fait et quils lauraient fait de toute manire.)

En 1983, un historique de notre volution biologique nous fut relat, dans les grandes lignes, dans un communiqu de source gouvernementale. Il semblerait que les Petits Gris aient manipul la chane dA.D.N. des primates qui peuplaient dj notre plante il y a fort longtemps et quils aient modifi notre code gntique des intervalles de plus en plus rapprochs ayant eu lieu, selon ce rapport, il y a 25 000, 15 000, 5 000 et 2 500 ans. lorigine, le gouvernement croyait que les Petits Gris ne nous voulaient aucun mal, mais le tableau a commenc en 1987-1988 rvler une image entirement diffrente, celle dune gigantesque conspiration destine nous duper sur plusieurs fronts la fois.


La conspiration

Dune part, nous avons t berns par les supercheries de MJ-12 depuis que celui-ci a combin ses forces aux leurs, il y a quatre dcennies, en se faisant leur cheval de Troie. Dautre part, nous avons t tromps au sujet des ovnis par la propagande mensongre dun gouvernement qui cherchait tenir le grand public lcart de ses tractations avec les Petits Gris. De plus, ceux-ci ont menti aux personnes mmes quils kidnappaient alors que, de manire continue, ils sadonnaient des enlvements dindividus et des mutilations danimaux aux seules fins den rcolter des enzymes, du sang et dautres tissus pour leurs besoins personnels de survie, sans parler des croisements gntiques quils avaient oprs entre leur race et celle des Grands Blonds pour faciliter leur future fusion avec lespce humaine... par le biais de la race aryenne! (Voil le vritable motif cach derrire la thse nazie de la soi-disant supriorit des blonds aux yeux bleus.)

Selon une source dinformation mergeant dune base militaire situe dans le Sud-Ouest amricain, cette conspiration du mensonge existe rellement. En fait, le programme de la Guerre des toiles prvoit lventualit dune offensive qui serait mene, l instigation des Petits Gris, contre les Grands Blonds au moment o, dici 1992, ceux-ci effectueront un dbarquement massif. Ce calendrier correspond, du reste, la programmation post-hypnotique des sujets prpars pour agir entre 1989 et 1992 dont nous avons parl plus haut.

Cette mme source dcrit la suprmatie des Petits Gris et leur empire sur le monde en termes trs semblables ceux de la srie tlvise V. Ces tres ne sintressent qu leur survie; aussi drobent-ils sans vergogne aux autres formes de vie de notre plante les substances biologiques dont ils ont besoin pour assurer leur propre survivance.

Leurs agissements sont apparemment imputables au fait que, n ayant pas de tube digestif, ils doivent absorber les aliments et rejeter les dchets directement travers la peau. Ils assimilent les lments nutritifs essentiels en mlangeant dabord avec du peroxyde dhydrogne les substances quils se sont procures, puis en badigeonnant de cette mixture certaines parties de leur corps. Leur inquitude sexplique donc si lon songe au parti que leurs ennemis pourraient tirer de cette lacune.


Les autopsies pratiques sur plusieurs E.B.E. ont dmontr que les entits biologiques extra-terrestres ne comportaient ni tube digestif ni glandes. Le 2 fvrier 1984, un article transmis par lagence U.P.I. annonait la dcouverte du professeur James Womack de lUniversit A & M du Texas. Ce gnticien avait russi isoler le chromosome surnumraire de la vingt et unime paire, correspondant la trisomie 21 responsable du syndrome de Down, ou mongolisme, caractris par rarriration mentale. Ce faisant, il avait constat la parfaite similitude de ce chromosome la fois chez lhomme et chez le boeuf. Cette ressemblance lui fit dire que nous partagions avec les bovins beaucoup plus de caractristiques que nous ne lavions dabord cru.

Cest ainsi que, depuis quelques annes, le domaine paramdical des supplments alimentaires en est venu sintresser de plus en plus lhormonothrapie. Certaines glandes de bovins nous fournissent des scrtions hormonales, ou protomorphognes, qui sont aussi efficaces dans le traitement du cancer que les hormones scrtes par les glandes des foetus humains. Ces hormones sapparentent tellement celles de lhomme que leur absorption finit par crer un phnomne de dpendance chez les sujets qui en consomment rgulirement, en ce sens que leur propre organisme, la longue, cesse den scrter.

Cette dcouverte du professeur Womack semble clairer dun jour nouveau le phnomne des mutilations. Daprs Gabe Valdez, celles-ci ne peuvent tre perptres que par des individus hautement organiss qui bnficient de ressources quasi illimites. Par exemple, une vache Heifer, ge de sept ans, tait sur le point de mettre bas quand elle fut trouve morte, mais son veau avait t subtilis sans mme que lenveloppe placentaire nait t endommage. Lanalyse des chantillons de tissus prlevs sur certaines carcasses danimaux mutils a en outre rvl la prsence de chlorpromazine, un neuroleptique.

Les bases souterraines

Au cours de leur occupation, les Petits Gris ont tabli un nombre impressionnant de bases souterraines dans le monde entier et spcialement aux tats-Unis. Une des quelques installations situes au Nouveau- Mexique se trouve sous la msa dArchuleta, 4 km environ au nord- ouest de Dulce. Des dtails sur cette base nous sont provenus de deux sources. La premire est constitue par le tmoignage dune femme et de son fils qui assistrent lenlvement dun veau qui avait t captur sous leurs yeux dans le but den extraire des substances biologiques.


Ce cas eut lieu en mai 1980 dans le nord du Nouveau-Mexique. La mre et le fils roulaient sur une route de campagne non loin de Cimarron quand leur regard fut attir par deux aronefs dont les membres dquipage taient en train de procder lenlvement dun veau. Stant arrts, ils furent eux-mmes emmens, chacun sparment dans lun et l autre aronef, vers une installation souterraine o la mre assista la mutilation du veau. Il lui fut aussi donn de voir des cuves remplies dun liquide dans lequel baignaient des parties de bovins, et mme un bassin o flottait le corps dun homme. Aprs examen, il fut dmontr que cette femme et son fils avaient subi limplantation dun petit objet mtallique. Plus dune source nous a informs que la prsence de ces implants avait t confirme par des radiographies.

Cette citation est extraite de la transcription dune conversation entre monsieur Jim McCampbell et le professeur Paul Bennewitz datant du 13 juillet 1984. Celui-ci rapporte quil a soumis la mre et lenfant une rgression hypnotique laquelle nest requise que dans 30% des cas denlvement environ et quil a poursuivi sa propre enqute par le biais, entre autres, de son systme informatique qui lui a fourni des renseignements de premire main. Cest ainsi quil russit localiser les installations, enfouies un kilomtre de profondeur, sous le site de la msa dArchuleta sur la rserve indienne des Apaches de Jicarilla prs de Dulce au Nouveau-Mexique. Cette zone reprsente, depuis 1976, une des rgions des tats-Unis les plus durement touches par les mutilations. Le professeur Bennewitz en est venu la conclusion quil sagit l dune entreprise conjointe faisant partie dun programme de coopration continue entre ltat et les alinignes.

(Des installations souterraines existent aussi sous les bases militaires de Kirtland et de Holloman, de mme que sous des dizaines dautres travers le monde, dont celle de Bentwaters, en Angleterre.)

Aprs avoir confi ses trouvailles des reprsentants officiels de lArme de lair, le professeur Bennewitz fut invit visiter la base. Situe 4 km au nord-ouest de la ville de Dulce, quelle surplombe lgrement, elle est accessible par une autoroute gouvernementale large dune dizaine de mtres et construite la surface du sol. On peut y voir des caravanes pourvues dquipements tlmtriques ainsi que des immeubles pentagonaux surmonts dune coupole prs desquels sont posts des limousines noires des vhicules de la C.I.A. qui vous prendront en chasse si vous essayez de pntrer cette zone. Plus au nord stend une aire de lancement o sont rives au sol les paves de deux


aronefs longs de dix onze mtres et mus lnergie nuclaire partir de grains de plutonium dont le ravitaillement tait effectu Los Alamos. Ils comportent des ailes ainsi que des rservoirs doxygne et dhydrogne. (Certains appareils en forme de disques seraient pilots par des membres la N.S.A.!)

La base, longue de 1,2 km, existe depuis 1948. Des hlicoptres y vont et viennent sans interruption. Le jour o lon apprit que le professeur Bennewitz tait au courant de leurs activits, les mutilations cessrent dans la rgion.

Le dossier Dulce

Un jour, la base fut temporairement ferme la suite dun diffrend que les alinignes avaient rgl par les armes, tuant soixante-six de nos gens. Parmi les quarante-quatre autres qui en avaient rchapp se trouvait un agent de la C.I.A. ayant russi emporter dans sa fuite des notes, des photographies et des films. Il se terre depuis lors et, tous les six mois, donne signe de vie cinq personnes de confiance qui conservent par-devers elles un exemplaire de ces documents. Suivant ses directives, sil devait lui arriver de sauter quatre rencontres conscutives, ces personnes pourraient disposer de ces preuves comme bon leur semblerait.

Aprs que cet agent eut contact MUFON, une description du dossier Dulce fut mise en circulation et, pour une raison ou une autre, envoye plusieurs chercheurs en dcembre 1987. Le dossier est compos de vingt-cinq photos en noir et blanc, dun film sans narration et dun ensemble de documents comportant de linformation technique relativement aux installations occupes conjointement par le gouvernement amricain et les alinigne

Documents

Richard Glenn - Opération Cheval de Troie [FR]