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RITA, ANGE B. & JAIRO http://www.myspace.com/ritamacedo

Rita, Ange b, Jairo

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RITA, ANGE B. & JAIRO

http://www.myspace.com/ritamacedo

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MESCLADIS INEDIT!

voix, accordéon, beat-box, percussions

Un trio délicieusement âgité qui réunit Rita Macédo, à la "voix de rue un peu voilée" et à l'accordéon au caractère bien trempé; Ange B, multi-instrumentiste de bouche, beat-boxer ludique et siffleur de nez étonnant; et Jairo Rodrigues, pimpant percussionniste brésilien à la frappe incisive.

Dans la même lignée musicale qu'ils ont contribué à créer avec leurs groupes respectifs (Femmouzes T et Fabulous Trobadors), ce projet pluralise les cultures, les genres, les accents, les âges et les langues: brésilien (Côco do M, Dona Maria, Chora bananeira...); occitan (Lo babau, Quan vei los praz verdesir...) et français (Le tien c'est le tien, L'aliment...).

Ils puisent du côté de la tradition populaire du Nordeste brésilien, le tout parsemé d'improvisations ouvertes et arrivent à un registre tout à fait contemporain, mêlé de mangue-beat, d'hip-hop et d'atmosphères electro. En explorant des compositions propres, ou des chansons traditionnelles, ils ingurgitent, mixent et produisent une transe exaltée qui s'enracine à la fois dans la culture rurale et dans la culture urbaine, bouleversant ainsi les clichés et les a-priori sur les musiques populaires.

Sur scène, des échanges forts, des imprévus, le tout dans une énergie festive qui invite le public à chanter et à danser.

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http://www.myspace.com/ritamacedoFemmouzes T:http://femmouzest.free.frAnge b.http://www.myspace.com/angebofareu

Que de la Bouchhttp://www.qdlB.nethttp://www.myspace.com/quedelaboucheFabulous Trobadors :http://www.fabulous-trobadors.com

Morro Clandestino:http://www.myspace.com/jairorodrigues

Rita Macêdo voix puissante et généreuse & accordéon endiablé Née à Salvador de Bahia au Brésil, Rita Macêdo est issue d'une prestigieuse famille de musiciens qu'elle accompagne dans une tournée internationale qui l'amène à Toulouse en 1986. Elle s'y installe et étudie au conservatoire. En 1992, elle forme avec Françoise Chapuis le groupe Femmouzes T, né dans le sillage des Fabulous Trobadors, et dans lequel elle incarne l’alliance entre Toulouse, l’Occitanie et le Nordeste brésilien. Sa personnalité vocale charismatique ajoutée à son jeu très énergique, hérité des rythmes électriques des « Trios Elétricos » du carnaval de Salvador de Bahia, la font remarquer auprès de personnalités artistiques reconnues. Avec les Femmouzes T, les tournées l'amène sur les routes d'Europe (France, Allemagne, Belgique, Suisse, Autriche, Italie, Hongrie, Roumanie, Espagne, Portugal, Croatie et Slovénie), d'Afrique (Côte d'Ivoire, La Réunion, Guinée, les Canaries et

Sénégal), d'Amérique (Canada et Brésil) ou du Moyen Orient (Syrie, Israël)... Diverses rencontres tout terrain lors de différents concerts ou enregistrements : Cnie Lubat, Fabulous Trobadors, Noir Désir, La Tordue, Les Têtes Raides, Bernard Lavilliers, André Minvieille, Renata Rosa, La Talvera, Armandinho, Bombes 2 Bal, Heleno dos 8 Baixos…

Discographie: Femmouzes T (1996) Femmouzes T - « 2 » (2000) Femmouzes T - « Tripopular » (2005)

Ange B. Human juke box, rythmeur vocal, sampleur, program-mateur, joueur de tambou-rin et de flûte de nez... Avec Claude Sicre, il forme les Fa-bulous Trobadors (depuis 1988). Au début à deux, et finalement à six sur scène plus deux danseurs pour la tournée du disque Duels de Tchatche.

Nombreux concerts (plus de 800) en salles et à peu près dans tous les festivals (du plus petit aux Vielles Charrues), ainsi qu’à l’étranger. Connus aussi pour l’action et la réflexion civique (repas de quartier, Foròm des langues, vie civique ...). Forme le groupe Bouducon Prod°, porteur d’un rap précurseur (1989-1993). Réalisation de musiques pour le film de Bruno Podalydes ‘Dieu seul me voit’ (1999) et pour divers court-métrages. Réalisateur pour l’album ‘2’ des Femmouzes T. (2000) et ‘Es lo titre’ du Còr de la Plana (2002). Forme depuis 2004 avec Wab un duo ‘tout à la voix’ : Que de la Bouche. Sur scène la base musicale est réali-sée en direct et bouclée ; nombreux concerts et enregistrement d’un premier album fin 2006. En 2006-07 participe régulièrement aux concerts de Samarabalouf (trio jazz manouche). Concert en solo impro et collabora-

tion scénique avec une VJ (Framboise Estéban) ; Diverses rencontres tout terrain lors de différents concerts ou enregis-trements : Massilia Sound System, Cnie Lubat, Asian Dub Fondation, Femmouzes T., Chico César, Gacha Empega, Lénine, Jam Session, Sidi-larsen, lo Còr de la Plana, Samara-balouf, Bumcello, Alif Soud System … Ange B. utilise d’autres ressources de la voix : tchache accentuée, rap bruitiste, où l’imitation des instru-ments dépasse les modèles et déve-loppe ses textes.

Jairo Rodrigues Percussioniste énergique: alfaia, zabumba, triangle, caxixi, berimbau, tambourin...

Originaire de Réci-fe(Pernambuco), il se forme très jeune au sein de l'Espa-ce Usina, projet social crée par le maître de percus bré-siliennes Wilson Farias (percussioniste de Silvério Pessoa) avec qui il apprendra les rythmes traditionnels et à former d'autres percussio-nistes issus, comme lui, des quartiers difficiles du quar-tier Morro de Conceiçao à Récife. En 2003, baigné dans le mou-vement Mangue Beat, il fait partie du groupe Batuque Usina avec lequel il joue dans les écoles de samba, dans des cérémonies de candomblé, dans des groupes de Samba Reggae, de Mara-catu Nação, Maracatu Rural, Afoxe et Frevo et avec qui il effectuera 6 tournées euro-péennes entre 2004 et 2006 (Espagne, Pays Basque, Fran-ce: Festival de Nostang,

Festival de Maubeuge, Festi-val de Contis, Les Musicales de Bastia, Nancy Jazz Pulsa-tion...). Il a joué avec Silverio Pessoa, Lula Queiroga, Lenine, Orthi-no et Chico Caesar. . Par le biais du milieu musi-cal toulousain, il rencontre Rita Macêdo qui lui propose de l'embarquer dans cette nouvelle aventure musicale.

Participations, entre autres: Liber té de circula tion (GISTI – 1999) Fabulous Trobadors (M a v ille est le plus beau park – 2001) La Tordue (Le Pétrin – 2002) Bernard Lav illiers – Les mains d'or (Arrê t sur im age – 2002) P ierre e t V inc ent – (S i j'étais to i – 2003) Bernard Lav illiers – Le M arin (C arnet de

Bord - 2004) Bombes 2 Bal – (Danse av ec ta grand-mère – 2004) André M inv ieille – Suiv ez l'accent (2006) P ierre e t V inc ent - (Le com pte à rebours - 2006) La Talv era – Bramadis (2007)

Discographie : Fabulous Trobadors : Era pas de faire - Bondage (1992) M a v ille est le plus beau park - U niv ersal (1995) on the Linha Imaginòt - U niv ersal - (1998) Duels de tc hatche - Tôt ou Tard (2003)

le Quar tier Enchantant - Tôt ou Tard (2006) et de nombreux singles e t com pilations Bouducon Production : Bouduc on Produc tion - Bondage (1992) Av ant / Après (1994) Que de la Bouche: On a que de la Bouche (2007)

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Fabulous Trobadors Métissage entre folklore occitan, beat organique, rythme rap et tradit ion musi-cale brésilienne, la musique univer selle et iconocla ste des deux tchatcheurs tou lou-sains est p étrie d'humour et de poésie !

Portrait Fabulous Trobadors

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce n'est pas à Toulouse, où il est né, que Claude S icre découvre le mouvement occitan (renouveau de la culture du pays d'Oc), mais à Paris. Après une licence de philo-sophie et un passage aux Editions Gallimard dans la célèbre collection Série Noire, il commence à se passionner pour le b lues rural américain, "parce qu'il parle du peuple et s'adresse à lui". Dès lors, "l'ingénieur en folklore toulousain" n'a plus qu'une idée en tête : arpenter son Languedoc natal à la recherche de son blues occitan. U n style, une musi-que qui se joue n'importe où et qui parle des préoc-cupations de tous. Bref, un mode d'expression populaire enraciné dans la culture occitane. En 1977, il crée un premier groupe intitulé Riga-Riga avec lequel il publie un disque fo lk qui puise allègrement dans ce patrimoine. De la tradition des troubadours de sa région, le poète-musicien retient le "tençon", sorte de joute verbale basée sur le dialo-gue et la discussion. Parallèlement, en 1982, il dé-couvre une autre forme d'expression musicale avec les emboladores, chanteurs-improvisateurs du Nor-deste brésilien s'accompagnant de tambourins pour la rythmique. Alors qu'il prépare un second album, "Batestas e cantarias", avec la complicité de son ami Daniel Loddo (fondateur de La Talvera), Claude S icre (tambourin, voix), figure incontournable du quartier Arnaud Bernard à Toulouse, il fait la ren-contre de Jean-Marc Enjalbert (tambourin, voix, human juke box) dit Ange B. (Bofarèu), rappeur

audois, grand créateur de sons qui joue avec sa voix

comme d'un instrument ou d'un sam-pler. Le contact passe immédiatement entre les deux artistes et Fabulous Tro-badors voit le jour en 1986. "Fabulous tout simplement en clin d'oeil au fait que tous les mots anglais qui se terminent en ous viennent de l'occitan et Trobadors parce qu'on reprend des chansons des troubadours des XIIème et XIIIème siècles et qu'on est très influencé par les mélodies et les rythmes des trobadores du Nordeste brésilien (les "emboladores") qui s'ap-puient sur une tradition lyrique et mélodique venue tout droit des troba-dors occitans" (Le Parisien du 5 octobre 1992), rappelle Claude Sicre alias Doc-teur Cachou. D'animations de quartier en manifesta-tions culturelles en tous genres, de carnavals en rassemblements, partout où l'on a besoin de musiciens, les deux agitateurs culturels, armés de deux tambourins électrifiés, d'un clavier et de leurs voix, distillent leurs calembours et leur bonne humeur sur fond de rap et de ragga. Leur répertoire s'étend pro-gressivement de l'occitan au français comme en témoigne leur premier al-bum, "Era pas de faire" ("On aurait pas dû le faire") qui sort en avril 1992, produit par les phocéens de Massilia Sound System, un autre groupe "anti-centraliste" (contre le monopole pari-sien en matière culturelle) à la tête du label Roker Promocion. On y trouve des références aux "Cachous Lajaunie", à "Félix Castan" (philosophe régionalis-te) ou encore au maire de leur ville de l'époque, "Come on every Baudis". Les deux trublions tournent un peu partout en France (Route du Rock de Saint-Malo en 93, Francofolies de La Rochel-le, Suisse, Belgique, Italie… ) et leur notoriété dépasse largement les frontiè-res de la région Sud. En 1995, les Fabulous Trobadors si-gnent sur une major, Mercury, pour un deuxième album intitulé "Ma ville est le plus beau park", mais ne perdent pas pour autant de leur verve ravageuse. Sens de l'improvisation, amour immo-déré du débat et de l'affrontement verbal restent intacts. En chantant "Ma

ville est le plus beau park / Elle est pleine d'attractions / Ta ville sera ce park si telle est ta décision", ils rappel-lent leur volonté de prendre part à la vie politique et sociale dans leur environne-ment proche. Le duo de choc revient sur le devant de la scène musicale avec la sortie, en octobre 1998, d'un nouvel album, "On the Linha Imaginot", référence, comme le dit Claude Sicre, à "un mouvement qui a pour fin et moyen la plus grande démocratie en matière de culture" autre-ment dit, une ligne imaginaire qui relie des groupes de gens, des villes et des villages, bref, qui brise les carcans de la centralisation. Un opus dans lequel on retrouve aussi b ien le single "L'accent", "Fais de la politique", arrangé par les anglais d'Asian Dub Foundation (lienbio), "Castan Blues", un monologue de Félix Castan sans oublier l'ineffable recette de "L'omelette au pastis". Soucieux de tisser des liens solides avec le reste du monde, les deux comparses toulousains multiplient résidences et échanges musicaux avec, notamment, le carioca Lénine, les réunionnais de Doskwad ou plus récemment avec Heleno dos Oito Baixos, virtuose de l'accordéon diatonique, accompagné par le groupe Farra e Forro et un couple de danseurs. "Plutôt que de crier au racisme, on réunit les gens ensemble lors de fêtes de quartier. De cette façon, ils apprennent à connaître leurs voisins autrement", rappelle Claude Sicre, pionnier des Conversations Socratiques, des repas de quartier et du Forum des Langues, avec l'appui du Carrefour Culturel Arnaud-Bernard. Contrairement à la célèbre formule "Penser global, faire local", chère à certains écologistes et antimon-dialistes, les Fabulous Trobadors esti-ment qu'il faut, pour agir localement avec efficacité, penser local, c'est-à-dire entrer à fond dans la spécificité d'un problème, d'un lieu, d'une culture ou d'un groupe et l'on serait tenté de leur donner raison.

Jérôme Sandlarz

Femmouzes T Françoise Chapuis et Rita Macedo se sont ren-contrées à Toulouse. Parrainées par les Fabu-lous Trobadors, les Femmouzes T chantent la vie quotid ienne en ut ilisant des pratiques musi-cales communes aux troubadours occitans et aux chanteurs populair es du Nordeste brési-lien.

Portrait Femmouzes T

Salvador de Bahia 1950, Dodo et Osmar, deux amis musiciens décident de se distinguer des autres orches-tres du carnaval en se produisant sur la plate-forme d’un pickup Ford tout en jouant des Fevros (sorte de marches pour le moins chaloupées) à l’aide d’instru-ments artisanalement électrifiés. L’année suivante ils sont trois et le Trio Electrico fait sensation et donne naissance à une coutume qui depuis perdure. Si les orchestres qui paradent aujourd’hui sur des camions souvent gigantesques peuvent atteindre la quarantaine d’instrumentistes, ils se font toujours appeler Trio Electrico. Toulouse 1986, pour le carnaval de la ville rose, le Fabulous Trobadors, Claude S icre, a réussi à faire venir un trio electrico mené par Osmar Macedo, celui là même qui transforma au début de cette histoire la petite guitare bahianaise à quatre cordes en bandoline électrique. Il n’est pas venu avec les compères de son illustre trio, mais avec ses enfants. Sa fille, Rita n’a que 20 ans, quelques années de musicologie derrière elle et toute la vie devant. Elle tombe amoureuse de la ville et revient s’y installer. Elle entre au conservatoire pour étudier le piano classique et parallèlement, monte une

formation féminine franco brésilienne (Batucada).

Toulousaine depuis qu’elle a neuf ans, Françoise Cha-puis a aussi fait quelques études de musique, joue des percussions par passion, bricole le dimanche au marché aux puces de St Sernin pour l’argent et s’investit dans le C.O.C.U (le Comité Organisateur du Carnaval Universitaire) pour le fun. C’est le journaliste Jacme Gaudas qui les présente l’une à l’autre mais c’est Clau-de Sicre qui leur donne les clés de leur réunion, offrant à la brésilienne un accordéon et orientant la française vers le tambourin et leur inspirant leur nom de guerre Femmouzes T. T pour Trobaritz le féminin de trouba-dour. Mais si Claude S icre et Ange B offrent une vision intellectuelle de la filiation des troubadours occitans et des repentistes brésiliens. Depuis septembre 1992, les Femmouzes la vivent d’ins-tinct. Elle créent leur propre répertoire sur des notions proches de celles défendues par leurs parrains. En français, brésilien ou occitan leurs chansons sont de circonstances « A Saint Sernin sur le marché tous les dimanches matins on aime bien venir chanter nos refrains » ou « C’est le carnaval », d’opinions «Olympe de Gouges »,sur l'auteur de la déclaration des droits de la femme, ou d’humeurs « Il faut payer ». De petits concerts en repas de quartier, elles auront quatre ans pour rôder leurs chansons avant l’enregistrement de leur premier album « Toulouse via Bahia ». Leur réputa-tion grandit avec leurs horizons, elles chantent dans toute l’Europe, mais aussi en Afrique (Côte d'Ivoire, Réunion, Guinée, Sénégal) ou au Canada. A Uzeste, elles font la connaissance de La Compagnie Lubat et sympathisent avec ces languedociens iconoclas-tes, fourbisseurs de swings et d’idéaux poétiques. Agita-teurs poly culturels auxquels en 2000 elles rendent hommage sur leur deuxième album « 2 ». Sur ce disque enregistré au studio de la compagnie, produit par Jean-Marc Enjalbert (l'Ange B des Fabulous Trobadors) et mixé par leur ingénieur du son Michel Eskenazi, elles chantent le Trio Electrico dans « Nosso grande noè », la frénésie du ménage « Je nettoie », les embrouilles du quotidien « Le pour et le contre » … Comme beaucoup de musiciens du sud de la France, elles se moquent bien des diktats de l’industrie pari-sienne et pensent davantage en terme d’aventure que de carrière. Ces troubadours féminines et voyageuses sont moins attirées par les prime time télévisuels que par les expériences fortes comme leur participation au Festival des troubadours et des répentistas de Fortaleza (Brésil) en août 2004 ou au Festival Femme Funk dans différentes îles d’Océanie à l’automne de la même

année.

Benjamin MiNiMuM

Articles parus dans:

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4 avril 2009 – Ouest France

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17.10.2008

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16/12/2008 – Toulouse Culture

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Contact tournée:

Karine Ricalens+33(0) 603 976 456

Siret: 493 528 152 00017siège: 1 bis, bd Jules Michelet 31000 Toulouse

51, rue des paradoux 31 000 Toulouse

Mail: [email protected]