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FRANÇAIS Toutes séries Nº : 91012 Fiche Cours LE TALENT C’EST D’AVOIR ENVIE 1 En partenariat avec : © Tous droits réservés Studyrama 2010 Fiche téléchargée sur www.studyrama.com Plan de la fiche : 1. Contexte de création 2. Résumé Contexte de création Bel Ami est pour la première fois publié en feuilleton dans le Gil Blas du 6 avril au 30 mai 1885 et chez Havard en volume la même année. Maupassant désirait « raconter la vie d’un aventurier », ce qui demandait « de l’espace » et ne permettait pas que cet aventurier soit le héros d’un récit court puisque qu’il fallait l’observer et en rendre compte, en rapport étroit avec son milieu. Maupassant inscrit son personnage dans un univers d’autant plus proche de la réalité qu’il s’agit d’un monde qu’il connaît parfaitement, celui du journalisme. Rappelons que Maupassant a été chroniqueur au Gaulois pour lequel il a couvert la campagne coloniale de Tunisie, et il se servira de Duroy comme d’un porte-parole lorsqu’il évoquera la question « marocaine ». Maupassant connaît parfaitement les dessous du milieu de la presse, de la politique et des finances qui feront à plusieurs reprises l’objet de critiques acerbes dans le Gil Blas et dans Le Gaulois. Dès la première page du roman, le thème est lancé : l’argent ; et les dernières pages évoquent une maîtresse au sortir du lit, autre thème majeur du roman. Bel Ami reflète l’ascension, entre argent et femmes, d’un être qui « porte beau » et qui affronte les pièges de la société dans laquelle il se trouve. Contrairement à Une vie qui relate l’existence de Jeanne sur vingt-neuf années, Bel Ami présente l’ascension sociale de Georges Duroy sur à peine trois ans au travers de trois identités liées à son ascension sociale : Geroges Duroy, puis Bel Ami (I, 5) et Du Roy de Cantel (II, 2). De plus, l’action de Une vie se situe à près d’un demi siècle avant celle de Bel Ami (Une vie débute en 1819 et Bel Ami en 1880), de même que les œuvres à venir auront pour cadre la société de Maupassant. Ici l’œuvre s’inscrit dans un décor, dans une société connue et vraisemblable. Accusé par la profession journalistique d’avoir peint le monde de la presse avec un regard satirique et peu vraisemblable, Maupassant s’en défend aussitôt, précisant qu’il a « voulu simplement raconter la vie d’un aventurier pareil à tous ceux que nous coudoyons chaque jour dans Paris ». Alors se dessine un personnage évoluant dans un arrière-plan quotidien, celui de la presse parisienne, sous fond de vécu, qui fait du roman un récit vraisemblable. Autre différence avec son premier roman, les paysans et la noblesse de campagne laissent place aux petits bourgeois parisiens et aux employés quelconques mais représentatifs de leur milieu. Maupassant sort à peine de son expérience au ministère de la Marine et de l’Instruction publique. Il met alors en place un certain naturalisme des classes aisées, comme le préconisait Goncourt dans sa préface à Chérie, et l’adopte par la suite pour les autres romans, en particulier pour Fort comme la mort et Notre Cœur. Résumé Première partie Chapitre I Georges Duroy est un ancien sous-officier, arrogant, animé par un ardent désir de réussite sociale. Il erre dans les rues du Paris des années 1880, sans argent. Il rencontre un ancien ami, Charles Forestier rédacteur politique à La Vie française. Pour pouvoir réussir, Forestier lui conseille de prendre la voix du journalisme. Duroy est alors invité à dîner chez son ami où il fait la connaissance de M. Walter, le patron, d’autres journalistes et de femmes. Chapitre II Duroy, d’une grande élégance, se rend chez Forestier où il se met à relater ses souvenirs d’Afrique après avoir donné l’image d’un jeune homme intimidé par la présence de son patron. La facilité avec laquelle Duroy fait revivre ses souvenirs attire l’attention de tous et en premier lieu celle de trois femmes : Mme Forestier, Mme Marelle et Mme Walter. M. Walter veut le revoir le lendemain et lui demande un article sur l’Algérie. Résumé d’œuvre : Bel Ami de Maupassant (1885)

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LE TALENT C’EST D’AVOIR ENVIE

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Plan de la fiche :

1. Contexte de création2. Résumé

Contexte de création

Bel Ami est pour la première fois publié en feuilleton dans le Gil Blas du 6 avril au 30 mai 1885 et chez Havard en volume la même année.Maupassant désirait « raconter la vie d’un aventurier », ce qui demandait « de l’espace » et ne permettait pas que cet aventurier soit le héros d’un récit court puisque qu’il fallait l’observer et en rendre compte, en rapport étroit avec son milieu.Maupassant inscrit son personnage dans un univers d’autant plus proche de la réalité qu’il s’agit d’un monde qu’il connaît parfaitement, celui du journalisme. Rappelons que Maupassant a été chroniqueur au Gaulois pour lequel il a couvert la campagne coloniale de Tunisie, et il se servira de Duroy comme d’un porte-parole lorsqu’il évoquera la question « marocaine ». Maupassant connaît parfaitement les dessous du milieu de la presse, de la politique et des finances qui feront à plusieurs reprises l’objet de critiques acerbes dans le Gil Blas et dans Le Gaulois.Dès la première page du roman, le thème est lancé : l’argent ; et les dernières pages évoquent une maîtresse au sortir du lit, autre thème majeur du roman. Bel Ami reflète l’ascension, entre argent et femmes, d’un être qui « porte beau » et qui affronte les pièges de la société dans laquelle il se trouve.Contrairement à Une vie qui relate l’existence de Jeanne sur vingt-neuf années, Bel Ami présente l’ascension sociale de Georges Duroy sur à peine trois ans au travers de trois identités liées à son ascension sociale : Geroges Duroy, puis Bel Ami (I, 5) et Du Roy de Cantel (II, 2). De plus, l’action de Une vie se situe à près d’un demi siècle avant celle de Bel Ami (Une vie débute en 1819 et Bel Ami en 1880), de même que les œuvres à venir auront pour cadre la société de Maupassant.Ici l’œuvre s’inscrit dans un décor, dans une société connue et vraisemblable.Accusé par la profession journalistique d’avoir peint le monde de la presse avec un regard satirique et peu vraisemblable, Maupassant s’en défend aussitôt, précisant qu’il a « voulu simplement raconter la vie d’un aventurier pareil à tous ceux que nous coudoyons chaque jour dans Paris ».Alors se dessine un personnage évoluant dans un arrière-plan quotidien, celui de la presse parisienne, sous fond de vécu, qui fait du roman un récit vraisemblable.Autre différence avec son premier roman, les paysans et la noblesse de campagne laissent place aux petits bourgeois parisiens et aux employés quelconques mais représentatifs de leur milieu. Maupassant sort à peine de son expérience au ministère de la Marine et de l’Instruction publique. Il met alors en place un certain naturalisme des classes aisées, comme le préconisait Goncourt dans sa préface à Chérie, et l’adopte par la suite pour les autres romans, en particulier pour Fort comme la mort et Notre Cœur.

Résumé

Première partie

Chapitre IGeorges Duroy est un ancien sous-officier, arrogant, animé par un ardent désir de réussite sociale. Il erre dans les rues du Paris des années 1880, sans argent. Il rencontre un ancien ami, Charles Forestier rédacteur politique à La Vie française. Pour pouvoir réussir, Forestier lui conseille de prendre la voix du journalisme. Duroy est alors invité à dîner chez son ami où il fait la connaissance de M. Walter, le patron, d’autres journalistes et de femmes.

Chapitre IIDuroy, d’une grande élégance, se rend chez Forestier où il se met à relater ses souvenirs d’Afrique après avoir donné l’image d’un jeune homme intimidé par la présence de son patron.La facilité avec laquelle Duroy fait revivre ses souvenirs attire l’attention de tous et en premier lieu celle de trois femmes : Mme Forestier, Mme Marelle et Mme Walter. M. Walter veut le revoir le lendemain et lui demande un article sur l’Algérie.

Résumé d’œuvre :Bel Ami de Maupassant (1885)

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Chapitres III et IVDuroy se retrouve chez lui, dans une chambre insalubre et tente de rédiger l’article que lui a demandé M. Walter. La plume tarde à épouser le papier et Duroy ressasse son passé, pense à sa Normandie natale, à ses parents qu’il ne veut pas décevoir. Il confie son manque d’inspiration à Forestier qui lui propose de rencontrer sa femme, talentueuse dans l’art d’écrire des chroniques.Mme Forestier, après l’avoir écouté attentivement, lui montre comment rédiger un papier captivant. Elle pousse ensuite Duroy à se rendre chez Mme de Marelle tandis qu’arrive le comte de Vaudrec, ami des Forestier.Au journal La Vie Française, Duroy s’étonne de trouver des femmes journalistes. Forestier l’introduit dans le bureau de M. Walter qui l’engage pour poursuivre sa série d’articles sur l’Algérie.Duroy découvre le bonheur de lire son article dans le journal et commence à se fondre dans cette atmosphère journalistique.Un début d’apprentissage s’opère alors mais Duroy n’évolue pas encore, il doit sans cesse faire appel à Forestier qui finit par lui refuser. Duroy doit alors se résigner à embrasser sa carrière de journaliste sans soutien extérieur.

Chapitre VLes progrès de Duroy tardent à se faire sentir. Il se souvient alors du conseil de Mme Forestier l’incitant à aller rendre visite à Mme de Marelle. Lors de sa visite, Duroy se fait une amie, la petite Laurine, fille de Mme de Marelle. Puis c’est Mme de Marelle qui se laisse séduire par cet homme élégant.Après un dîner chez Forestier, Duroy raccompagne Mme de Marelle et lui fait la cour. Peu après elle cède à ses avances et des rendez-vous se succèdent, chez elle, où Laurine baptise Duroy du nom de « Bel Ami », dans la triste chambre qu’il habite, puis enfin dans une garçonnière qu’elle loue pour qu’ils puissent donner libre court à leurs ébats.Le peu d’argent que possède Duroy est vite dilapidé dans les plaisirs qu’offre Paris. Mme de Marelle, ayant perçu les limites financières de son amant, lui fait régulièrement don de petites sommes qu’il rechigne à accepter. Duroy doit satisfaire tous les caprices de cette femme qui lui demande de l’amener aux Folies Bergère, où Rachel, une ancienne conquête du séducteur, le reconnaît. Duroy se sauve laissant Mme de Marelle.

Chapitre VIDuroy confesse à Mme Forestier qu’un sentiment amoureux est en train de naître à son égard. Aussitôt elle le remercie et évoque sa conception de l’amour qu’elle considère comme un danger. Mme Forestier invite Duroy à se rendre chez Mme Walter.Duroy sait se faire apprécier de la gente féminine. La semaine suivante il devient chef des Echos, considérés comme le noyau du journal.C’est alors qu’il met tout en œuvre afin de profiter de la voie qui s’est ouverte à lui et de poursuivre son but : gravir encore des échelons. Les choses s’accélèrent. Il reçoit l’invitation gratifiante des Walter, perçoit ensuite un salaire bien plus élevé. Il pense cependant toujours à ses modestes parents restés en Normandie.Un grand dîner l’attend en compagnie de tous les journalistes de La Vie française. Duroy en profite pour mieux connaître les deux filles de son patron, notamment Suzanne. Il retrouve Mme de Marelle qui le pardonne de son comportement aux Folies Bergère et prévoit un rendez-vous avec elle pour le lendemain.

Chapitre VIIDuroy publie ses premiers articles politiques, ce qui lui vaut de sérieuses critiques de la part de ses confrères. Un duel s’impose entre Duroy et un journaliste de La Plume aux critiques cinglantes. Duroy, malgré une apparente maîtrise de soi et une grande ambition, fait preuve de peu de courage. Le choix d’un duel au pistolet amplifie sa crainte d’affronter son ennemi.Les balles, par chance, épargnent les deux acteurs de ce duel qui rendra l’honneur à La Vie française, ce qui lui vaut les félicitations de M. Walter et un redoublement de tendresse de la part de Mme de Marelle.

Chapitre VIIIDuroy et Mme de Marelle vivent leur amour secret tandis qu’arrivent de Cannes de mauvaises nouvelles concernant la santé de Charles Forestier. Mme Forestier demande l’appui de Bel Ami. Forestier meurt dans d’affreuses souffrances et Duroy en profite pour réitérer ses avances à Mme Forestier. Duroy doit faire preuve de patience pour arriver à ses fins.

Deuxième partie

Chapitre IMme Forestier décide d’épouser Duroy qui doit rompre à nouveau avec Mme de Marelle. Les futurs mariés vont passer quelques temps dans le village natal de Duroy. La rencontre entre Clotilde de Marelle et les parents du futur marié n’est pas à la hauteur des espérances de ce dernier. La visite s’écourte et Duroy s’empresse de faire découvrir à sa maîtresse les splendeurs de sa Normandie natale.

Chapitre IIDuroy prend la place de Forestier et rencontre les amis politiques de sa nouvelle femme, le comte de Vautrec, Laroche-Mathieu, député et futur ministre, allié avec Les Forestier contre la politique coloniale du gouvernement. Duroy devient rédacteur politique sous le nom de Du Roy de Cantel, ce qui suscite la jalousie de son entourage. Irrité, il déverse toute sa colère sur sa femme. Du Roy s’en retourne alors auprès de Mme de Marelle qui l’accueille froidement.

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Chapitres III et IVDu Roy retrouve Mme de Marelle dans le salon de sa femme en compagnie de Mme Walter et de ses filles. Même si Mme de Marelle le pardonne à nouveau, son attention se porte sur Suzanne.Du Roy veut à toutes fins séduire la femme de son patron. Son épouse lui annonce une nouvelle campagne contre la politique d’intervention en Tunisie. Bel Ami l’ignore tandis qu’il s’obstine à charmer Mme Walter. Elle finit par lui accorder un rendez-vous à l’église de la Trinité.Dans l’église, Du Roy parle à Mme Walter d’amour qui, affolée à cause du péché qu’elle risque de commettre, se montre réticente aux propos du séducteur.Le journal connaît un certain chaos animé par la campagne de presse des Du Roy qui fait tomber le ministère. Laroche-Mathieu devient ministre des affaires étrangères et M. Walter commande à Duroy une chronique sur la colonie africaine.Mme Walter ne résiste plus au charme de Bel Ami et se laisse entraîner dans sa garçonnière.

Chapitre VAu Maroc, les affaires ne sont pas au beau fixe et il est question d’une nouvelle expédition organisée par Laroche-Mathieu et par Du Roy. Laroche-Mathieu laisse croire que l’expédition n’aura pas lieu.Du Roy est trompé et sa femme souligne sa naïveté en indiquant qu’il s’agit avant tout d’une opération boursière.Du Roy promet de se venger et achète de l’emprunt grâce à l’argent que lui prête Mme Walter dans le but de ranimer la flamme de son amant.Déçu par le comportement de sa maîtresse, Bel Ami préfère reporter son attention sur Suzanne et sur Mme de Marelle.Vaudrec est sur le point de mourir et Du Roy s’inquiète de la fortune qu’il va laisser.

Chapitre VI et VIIMme Du Roy est l’unique légataire de Vaudrec avec une fortune estimée à onze cent mille francs. Bel Ami conteste ce testament qui ne le compte pas parmi ses héritiers.Mme Duroy finit par partager sa fortune avec son mari. Le couple devient alors millionnaire.La conquête du Maroc est terminée, ce qui rapporte cinquante millions à Walter. Devenu tout-puissant grâce à l’argent, il organise une réception où le tout-Paris est présent. Du Roy, envieux, exprime son mécontentement.Bel Ami repousse Mme Walter. Il a toujours pour objectif de séduire Suzanne. Tandis qu’il déambule au milieu des invités en compagnie de Suzanne, Du Roy aperçoit sa femme au bras de Laroche-Mathieu, ce qui anime chez lui un sentiment de colère et de jalousie. Même la légion d’honneur qu’il reçoit au nom du ministre ne réussit pas à le calmer.

Chapitres VIII et IXDu Roy est un invité régulier de la maison Walter et se montre très attentionné envers Suzanne. Il s’arrange pour que Laroche-Mathieu et sa femme soient pris en flagrant délit d’adultère et fait aussitôt part de son désir de divorcer. La presse se charge de mettre fin à la carrière du ministre.Le temps passe et la réussite de Du Roy est enfin consacrée. Il réussit à séduire Suzanne et ses parents sont contraints d’accepter sa demande en mariage, promesse de triomphes futurs, au grand désespoir de Mme Walter.

Chapitre XBel Ami poursuit son chemin vers son ascension triomphante. C’est dans une grande douleur que Mme de Marelle doit à nouveau se retirer.Du Roy de Cantel devient rédacteur en chef et fait annoncer son mariage prochain.A l’église de la Madeleine, le jour du mariage prend des allures d’événement national. La cérémonie, célébrée en grande pompe par un évêque, concourt à hisser le personnage au rang de personnalité notoire.Mme Forestier reprend dans un autre journal une expérience similaire à celle essayée avec Bel Ami.Les sept années de l’ascension de Du Roy se referment sur l’image de Mme de Marelle se recoiffant au sortir du lit.