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1 Résumé des chapitres 1. QU’EST-CE QUE LA MATIÈRE ? La matière est tout ce qui possède un volume et une masse (p. 6). Le modèle corpusculaire est un modèle scientifique qui repose sur l’idée que la matière n’est pas continue, mais constituée de particules (p. 6). On peut représenter les trois phases de la matière (solide, liquide et gazeuse) à l’aide du modèle corpusculaire (p. 6). Le modèle atomique est un modèle scientifique qui représente la matière à l’aide d’atomes et de molécules (p. 7). La matière peut être subdivisée en deux catégories, soit les mélanges et les substances pures : – un mélange contient au moins deux sortes de particules différentes (p. 9); – une substance pure ne contient qu’une seule sorte de particules (p. 9). 2. LES MÉLANGES Il existe des mélanges hétérogènes et des mélanges homogènes (p. 10). Dans un mélange hétérogène, on peut distinguer au moins deux substances différentes à l’œil nu (p. 10). Il est impossible de distinguer à l’œil nu les substances qui composent les mélanges homogènes (p. 11). Les mélanges homogènes comprennent les colloïdes et les solutions : – il est possible de distinguer au moins deux des substances qui composent les colloïdes à l’aide d’un instrument d’observation (loupe, microscope optique) (p. 11); – même avec l’aide d’un instrument d’observation, on ne peut pas distinguer les substances qui composent une solution (p. 12). Une solution comprend un soluté (la substance dissoute) et un solvant (la substance dans laquelle le soluté est dissous) (p. 12). La concentration, la dilution et la solubilité sont des propriétés des solutions (p. 13). La concentration d’une solution est la quantité de soluté dissoute par unité de volume (p. 13). On peut calculer la concentration d’une solution à l’aide de la formule C = m/V (p. 13). La dilution est un procédé qui consiste à diminuer la concentration d’une solution en y ajoutant du solvant (p. 15). On peut calculer comment la concentration d’une solution varie lorsqu’on la dilue à l’aide de la formule : C 1 V 1 = C 2 V 2 (p. 16). La solubilité est la quantité maximale de soluté qu’on peut dissoudre dans un solvant donné (p. 17). La solubilité dépend de la nature du soluté, de la nature du solvant, de la température et de la pression (p. 17). Dans la nature, on trouve surtout des mélanges. Pour obtenir des substances pures, il faut recourir à différentes techniques de séparation physiques (p. 19). 3. LES SUBSTANCES PURES Les substances pures regroupent les éléments et les composés : – les éléments sont des substances qu’on ne peut plus séparer à l’aide de procédés de séparation chimiques (p. 21); – les composés comprennent au moins deux éléments (p. 21). Les éléments peuvent être vus comme les briques qui composent toute la matière. Il existe environ une centaine d’éléments. Ils sont regroupés dans le tableau périodique des éléments (p. 21). Observatoire/ Guide 10760 © ERPI Reproduction autorisée uniquement dans les classes où le manuel Observatoire est utilisé Résumé du chapitre 1 L’humain et l’organisation de la matière

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1 Résumé des chapitres

1. QU’EST-CE QUE LA MATIÈRE ?

• La matière est tout ce qui possède unvolume et une masse (p. 6).

• Le modèle corpusculaire est un modèlescientifique qui repose sur l’idée que lamatière n’est pas continue, mais constituéede particules (p. 6).

• On peut représenter les trois phases de lamatière (solide, liquide et gazeuse) à l’aidedu modèle corpusculaire (p. 6).

• Le modèle atomique est un modèlescientifique qui représente la matière àl’aide d’atomes et de molécules (p. 7).

• La matière peut être subdivisée en deuxcatégories, soit les mélanges et lessubstances pures:

– un mélange contient au moins deuxsortes de particules différentes (p. 9);

– une substance pure ne contient qu’uneseule sorte de particules (p. 9).

2. LES MÉLANGES

• Il existe des mélanges hétérogènes et desmélanges homogènes (p. 10).

• Dans un mélange hétérogène, on peutdistinguer au moins deux substancesdifférentes à l’œil nu (p. 10).

• Il est impossible de distinguer à l’œil nu lessubstances qui composent les mélangeshomogènes (p. 11).

• Les mélanges homogènes comprennent lescolloïdes et les solutions:

– il est possible de distinguer au moinsdeux des substances qui composent les colloïdes à l’aide d’un instrumentd’observation (loupe, microscopeoptique) (p. 11);

– même avec l’aide d’un instrumentd’observation, on ne peut pas distinguerles substances qui composent unesolution (p. 12).

• Une solution comprend un soluté (lasubstance dissoute) et un solvant (lasubstance dans laquelle le soluté estdissous) (p. 12).

• La concentration, la dilution et la solubilitésont des propriétés des solutions (p. 13).

• La concentration d’une solution est laquantité de soluté dissoute par unité devolume (p. 13).

• On peut calculer la concentration d’unesolution à l’aide de la formule C = m/V(p. 13).

• La dilution est un procédé qui consiste àdiminuer la concentration d’une solution eny ajoutant du solvant (p. 15).

• On peut calculer comment la concentrationd’une solution varie lorsqu’on la dilue àl’aide de la formule: C1V1 = C2V2 (p. 16).

• La solubilité est la quantité maximale desoluté qu’on peut dissoudre dans unsolvant donné (p. 17).

• La solubilité dépend de la nature du soluté,de la nature du solvant, de la températureet de la pression (p. 17).

• Dans la nature, on trouve surtout desmélanges. Pour obtenir des substancespures, il faut recourir à différentestechniques de séparation physiques (p. 19).

3. LES SUBSTANCES PURES

• Les substances pures regroupent leséléments et les composés:

– les éléments sont des substances qu’onne peut plus séparer à l’aide de procédésde séparation chimiques (p. 21);

– les composés comprennent au moinsdeux éléments (p. 21).

• Les éléments peuvent être vus comme lesbriques qui composent toute la matière. Ilexiste environ une centaine d’éléments. Ilssont regroupés dans le tableau périodiquedes éléments (p. 21).

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Résumé du chapitre 1L’humain et l’organisation de la matière

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Résumé du chapitre 1 2Observatoire/Guide

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Résumé du chapitre 1 (suite)

• On peut distinguer les substances pures lesunes des autres à l’aide de leurs propriétéscaractéristiques (p. 22).

• Il existe des propriétés physiquescaractéristiques et des propriétéschimiques caractéristiques (p. 23).

• Le point de fusion, le point d’ébullition, la masse volumique et la solubilité sontquelques propriétés physiquescaractéristiques (p. 23).

• La plupart des propriétés chimiquescaractéristiques sont des réactions à des indicateurs (p. 24).

• Pour identifier une substance pure, il fautlui faire passer quelques tests afin dedéterminer ses propriétés caractéristiques.On peut ensuite comparer les donnéesobtenues avec celles de tableauxrépertoriant les propriétés caractéristiquesde différentes substances (p. 25).

• La connaissance des propriétés de lamatière permet de fabriquer des objets quirépondent à nos besoins (p. 25).

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1. QU’EST-CE QUE L’ÉNERGIE ?

• L’énergie est la capacité d’accomplir untravail ou de provoquer un changement (p. 34).

• Dans le Système international d’unités,l’énergie s’exprime en joule (J) (p. 34).

2. LES FORMES D’ÉNERGIE

• L’énergie thermique est l’énergie associéeau mouvement de toutes les particulesd’une substance. Plus la température d’unesubstance est élevée, plus cette substancepossède d’énergie thermique, parce queses particules bougent davantage. Demême, à température égale, plus unesubstance contient de particules, plus ellepossède d’énergie thermique (p. 36).

• L’énergie rayonnante correspond àl’énergie contenue et transportée par uneonde électromagnétique. La quantitéd’énergie d’une onde électromagnétiquedépend de sa longueur d’onde: plus lalongueur d’onde est courte, plus l’énergieest grande. La quantité d’énergie dépendaussi de la quantité de rayonnements : plusune source émet de rayonnements, pluselle émet d’énergie (p. 37).

• L’énergie chimique est contenue dans lesliaisons entre les atomes d’une molécule.C’est une énergie de réserve car il fautbriser les liaisons pour libérer l’énergiequ’elles contiennent. La quantité d’énergiechimique dépend de la force des liaisonsentre les atomes. Plus une liaison est forte,plus l’énergie qu’elle contient est grande(p. 38).

• L’énergie mécanique résulte des forcesexercées sur un objet. Elle dépend de lavitesse d’un objet, de sa masse et de saposition par rapport aux objetsenvironnants. Plus celles-ci seront élevées,plus l’énergie sera grande (p. 39).

3. LES TRANSFORMATIONS ET LESTRANSFERTS D’ÉNERGIE

• Une transformation est le passage del’énergie d’une forme à une autre, parexemple, de l’énergie chimique à l’énergiemécanique (p. 41).

• Un transfert est le passage de l’énergied’un milieu à un autre, par exemple, duSoleil aux feuilles d’un arbre (p. 41).

• La plupart du temps, il y a à la foistransformation et transfert d’énergie (p. 41).

• Les transformations et les transfertsd’énergie permettent d’accomplirdifférents changements. Par exemple: leschangements physiques et les changementschimiques (p. 42).

4. LES CHANGEMENTS PHYSIQUES

• Un changement physique ne modifie ni lanature ni les propriétés caractéristiques dela matière. Par exemple: les changementsde phase, les dissolutions et lesdéformations (p. 43).

• Un changement de phase est la capacitéde la matière de passer d’une phase à uneautre, par exemple, de la phase solide à laphase liquide (p. 43).

• Un changement de phase nécessite untransfert d’énergie thermique et unetransformation des liens entre les particulesd’une substance. Le transfert d’énergiethermique implique que la substance dontla température est la plus élevée dégagede l’énergie et que la ou les autressubstances absorbent cette énergie. Il y atransformation des liens entre les particuleslorsqu’une des substances atteint son pointde fusion ou son point d’ébullition (p. 44).

• Une dissolution est la transformation d’unsoluté dans un solvant. Le résultat est unesolution (p. 46).

Résumé du chapitre 2L’humain et l’énergie qui l’anime

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Résumé du chapitre 2 4Observatoire/Guide

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• Une dissolution est un changement quiimplique un transfert d’énergie thermique,c’est-à-dire une absorption ou undégagement de chaleur (p. 48).

• Une déformation est le changement deforme d’un corps (p. 49).

• Une déformation implique toujours untransfert d’énergie et, souvent, une ouplusieurs transformations d’énergie (p. 49).

5. LES CHANGEMENTS CHIMIQUES

• Un changement chimique modifie la natureest les propriétés caractéristiques de lamatière. Par exemple: les synthèses, lesdécompositions, les oxydations et lesprécipitations (p. 50).

• Lors d’un changement chimique, lesliaisons entre les atomes se brisent et sereforment autrement pour former denouvelles substances. Cependant, lenombre d’atomes demeure toujoursconstant. La loi de la conservation de lamatière est donc respectée (p. 51).

• Une synthèse est la formation d’unemolécule complexe à partir de deux ou deplusieurs molécules plus simples (p. 53).

• Une synthèse est une réaction chimiquequi absorbe ou qui dégage de l’énergie (p. 53).

• Les réactions de synthèse des êtres vivantsabsorbent toujours de l’énergie. Cetteénergie est transformée en énergiechimique et emmagasinée dans lesmolécules produites (p. 55).

• Une décomposition est la transformationde molécules complexes en molécules plussimples ou en atomes (p. 55).

• Une décomposition est une réactionchimique qui absorbe ou qui dégage del’énergie (p. 55).

• Chez les êtres vivants, les décompositionsimpliquent toujours une libérationd’énergie (p. 55).

• Une oxydation est une réaction chimiqueimpliquant de l’oxygène ou une substanceayant des propriétés semblables à cellesde l’oxygène (p. 57).

• Les oxydations sont généralementaccompagnées d’un dégagementd’énergie (p. 57).

• Une précipitation implique la formationd’une substance solide peu ou pas solublelors du mélange de deux solutions (p. 58).

• La précipitation est une réaction quiimplique très peu d’énergie (p. 58).

Résumé du chapitre 2 (suite)

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1. QU’EST-CE QU’UN FLUIDE ?

• Un fluide est une substance qui a la capacitéde se répandre et de prendre la forme ducontenant dans lequel elle se trouve (p. 66).

• Le modèle corpusculaire explique cettecapacité de se répandre et de se déformerdes fluides:

– Les particules des liquides sontrapprochées et retenues par des forcesd’attraction relativement faibles. Celapermet aux particules de glisser les unessur les autres pour prendre la forme den’importe quel contenant (p. 66).

– Les particules des gaz sont très espacées et ne sont pas retenues par des forcesd’attraction. Elles se déplacent dans tousles sens et peuvent occuper tout l’espacedisponible (p. 66).

• Il existe deux types de fluides: les fluidescompressibles et les fluidesincompressibles (p. 68).

• Un fluide compressible est un fluide dontle volume peut varier. Les gaz sont desfluides compressibles (p. 68).

• Un fluide incompressible est un fluide dont le volume ne peut presque pas varier. Lesliquides sont des fluides incompressibles (p. 69).

2. QU’EST-CE QUE LA PRESSION ?

• La pression résulte d’une force appliquéeperpendiculairement à une surface (p. 70).

• Une force est une action qui modifie lemouvement ou qui crée une déformationde l’objet (p. 70).

• L’aire est la dimension d’une surface d’unobjet (p. 70).

• Plus la force exercée est grande, plus lapression est grande (p. 71).

• Plus l’aire de la surface sur laquelles’applique la force est grande, plus lapression est petite (p. 71).

• Dans le Système international d’unités, lapression se mesure en pascals (Pa) (p. 72).

• La pression équivaut à la force (expriméeen newtons) divisée par l’aire de la surfacede contact (exprimée en mètres carrés). Laformule utilisée est : P = F/A (p. 72).

3. LA PRESSION EXERCÉE PAR LESFLUIDES

• La pression qu’exerce un fluide est égaledans toutes les directions (p. 73).

• Dans un fluide incompressible, la pressionexercée sur un objet dépend de laprofondeur de l’objet dans le fluide et dela masse volumique du fluide (p. 74).

• Dans un fluide compressible, la pressiondépend du nombre de collisions desparticules du fluide (p. 75).

• Les facteurs qui font varier le nombre decollisions sont :

– le nombre de particules. Plus il y a departicules, plus il y a de collisions entreles particules (p. 75);

– la température. La vitesse des particulesvarie en fonction de la température. Plusla température est élevée, plus la vitessedes particules est élevée et plus lenombre de collisions entre les particulesest élevée (p. 75);

– le volume du fluide (p. 75).

• Quand la température et le nombre departicules sont constants, la pression d’unfluide compressible est inversementproportionnelle à son volume (p. 77).

• À température constante, le volume d’unfluide compressible est inversementproportionnel à la pression. Si l’onaugmente la pression, le volume diminue,et vice versa (p. 78).

• La pression atmosphérique est la pressionexercée par l’atmosphère. Elle se mesure àl’aide d’un baromètre (p. 79).

Résumé du chapitre 3L’humain et les fluides

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Résumé du chapitre 3 6Observatoire/Guide

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4. LES MÉCANISMES LIÉS AUXVARIATIONS DE PRESSION DESFLUIDES

• Un fluide se déplace naturellement d’unendroit ayant une pression plus élevée versun endroit ayant une pression moins élevée(p. 81).

• Si l’on applique une pression à la surfaced’un fluide qui se trouve dans un milieufermé, cette pression se répartituniformément dans tout le fluide (p. 81).

• Un transfert de pression dans un fluidepeut permettre d’amplifier une force (p. 82).

• La circulation sanguine et la respirationsont deux exemples de mécanismesnaturels où entrent en jeu les principes liésà la pression (p. 83).

Résumé du chapitre 3 (suite)

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1. QU’EST-CE QU’UNE ONDE ?

• Une onde est une perturbation qui sepropage. Une perturbation est unemodification locale et temporaire d’unmilieu. Une onde transporte de l’énergie;elle ne transporte pas de matière (p. 92).

• Les ondes peuvent se propager de deuxfaçons, soit de façon transversale oulongitudinale:

– une onde transversale est une onde quise propage perpendiculairement audéplacement du milieu (p. 93);

– une onde longitudinale est une onde quise propage parallèlement audéplacement du milieu (p. 93).

• L’amplitude est une caractéristique d’uneonde qui correspond à la distancemaximale parcourue par une particule dumilieu par rapport à sa position de repos(p. 94).

• La longueur d’onde est la longueur d’uncycle complet d’une onde (p. 95).

• La fréquence d’une onde correspond aunombre de cycles par seconde (p. 95).

• Il existe deux types d’ondes: les ondesmécaniques et les ondesélectromagnétiques (p. 96).

• Une onde mécanique est une onde qui abesoin d’un milieu matériel pour sepropager et qui provient généralementd’une perturbation locale (p. 96).

• Une onde électromagnétique est une ondequi peut se propager aussi bien dans levide que dans un milieu matériel. La formed’énergie associée aux ondesélectromagnétiques est l’énergierayonnante (p. 96).

• Le spectre électromagnétique est leclassement de toutes les ondesélectromagnétiques en fonction de leurlongueur d’onde et de leur fréquence (p. 97).

2. LES ONDES SONORES

• Le son est une onde mécaniquelongitudinale produite par la vibration d’uncorps et propagée dans le milieuenvironnant (p. 100).

• La vitesse du son varie considérablementd’un milieu à un autre. Elle est beaucoupplus grande dans les substances en phaseliquide ou solide que dans l’air (p. 101-102).

• L’échelle des décibels est une échellerelative qui représente la perception del’intensité sonore par l’oreille humaine (p. 102).

• Selon leur fréquence, les sons peuvent êtreplus ou moins aigus ou graves (p. 103).

3. LES ONDES LUMINEUSES

• La lumière est une onde électromagné-tique visible par l’être humain (p. 106).

• La réflexion est le changement de directiond’un rayon lumineux au contact d’unnouveau milieu et son retour dans le milieud’où il provient (p. 106).

• Un rayon incident est un rayon qui frappela surface d’un objet (p. 106).

• Un rayon réfléchi est un rayon qui rebondit(p. 106).

• Une normale est une droiteperpendiculaire à la surface réfléchissantetracée à partir du point de contact durayon incident (p. 106).

• Un angle d’incidence est l’angle forméentre un rayon incident et une normale (p. 106).

• Un angle de réflexion est l’angle forméentre un rayon réfléchi et une normale (p. 106).

• La réflexion diffuse est la réflexion au coursde laquelle les rayons lumineux parallèlessont réfléchis dans toutes les directionsparce qu’ils ont frappé une surfaceirrégulière (p. 108).

Résumé du chapitre 4L’humain et les ondes qu’il perçoit

7 Résumé des chapitresObservatoire/Guide10760

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Résumé du chapitre 4 8Observatoire/Guide

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• La réflexion spéculaire est la réflexion aucours de laquelle les rayons lumineuxparallèles sont réfléchis parallèlementparce qu’ils ont frappé une surface lisse.Cette réflexion permet la formation d’uneimage fidèle de l’objet (p. 108).

• Une image est virtuelle lorsqu’elle estformée par le prolongement des rayonsréfléchis. On ne peut pas capter une imagevirtuelle sur un écran (p. 109).

• Une image est réelle lorsqu’elle est forméeau croisement réel des rayons lumineux.On peut capter une image réelle sur unécran (p. 109).

• La réfraction est la déviation d’un rayonlumineux lorsqu’il passe d’un milieutransparent à un autre (p. 110).

• Il existe deux types de lentilles : les lentillesconvergentes et les lentilles divergentes (p. 111).

• Les lentilles convergentes rapprochent lesrayons lumineux qui les traversent (p. 111).

• Les lentilles divergentes éloignent lesrayons lumineux qui les traversent (p. 111).

• Le foyer d’une lentille convergente est lepoint où se rencontrent réellement lesrayons lumineux réfractés lorsque lesrayons incidents sont parallèles (p. 112).

• Le foyer principal est le point où serencontrent les rayons lumineux quifrappent la lentille s’ils sont parallèles àl’axe principal (p. 112).

• Le foyer d’une lentille divergente est lepoint virtuel d’où semblent provenir lesrayons lumineux réfractés lorsque lesrayons incidents sont parallèles (p. 113).

Résumé du chapitre 4 (suite)

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1. LA CELLULE

• Tous les êtres vivants sont constitués decellules. La cellule est l’unité de base desêtres vivants (p. 126).

• La cellule comprend trois composantesvisibles au microscope optique: lamembrane cellulaire (qui délimite etprotège la cellule), le cytoplasme (quicontient les organites) et le noyau (quicontient l’ADN) (p. 126).

• L’ADN est une longue molécule qui a laforme d’une double hélice. Son rôle est defournir aux cellules les instructionsnécessaires pour accomplir leurs fonctionset de spécifier toutes les caractéristiquesd’un individu (p. 128).

• L’agencement des paires de bases azotéesle long de la molécule d’ADN détermine legénome. Le génome humain compteenviron trois milliards de paires de basesazotées (p. 128).

• Une séquence plus ou moins longue depaires de bases azotées forme un gène.L’espèce humaine possède environ 25 000gènes différents (p. 129).

• Chaque individu reçoit des gènes de sonpère et de sa mère. Ainsi, chaquepersonne possède une combinaison uniquede traits de ses parents (p. 129).

• Plus une population est importante, plus sadiversité génétique est grande. Plus unepopulation est petite ou isolée, plus sadiversité génétique est faible (p. 130).

2. LA DIVISION CELLULAIRE

• Les cellules se divisent pour permettre àl’organisme de grandir, pour régénérer lestissus blessés ou usés ou pour permettre lareproduction sexuée (p. 131).

• Avant de se diviser, la cellule doit procéderà la réplication de son ADN, c’est-à-dire enfaire une copie complète (p. 132).

• Au début de la division cellulaire, l’ADN seregroupe et s’enroule de façon à formerdes paires de chromosomes. L’espècehumaine possède 23 paires dechromosomes (p. 132-133).

• La mitose est le mode de division cellulairequi permet d’augmenter le nombre decellules et de remplacer les cellules mortes(p. 133).

• La mitose permet de produire deuxcellules-filles qui possèdent le mêmebagage génétique que la cellule-mère (p. 133).

• La méiose est le mode de division cellulairequi permet la reproduction sexuée (p. 135).

• La méiose permet de produire quatrecellules-filles qui ne possèdent que lamoitié du bagage génétique de la cellule-mère, soit 23 chromosomes au lieu de 23paires (p. 135).

3. LA SPÉCIALISATION CELLULAIRE

• Peu après la fécondation, les cellules sespécialisent, en plus de se multiplier (p. 136).

• Un groupe de cellules qui possède lamême structure et la même fonction formeun tissu. Il existe quatre types de tissus :épithélial, conjonctif, musculaire et nerveux(p. 136).

• Un ensemble de deux ou plusieurs tissusqui accomplissent la même fonction est unorgane (p. 138).

• Les organes qui agissent en interactionpour accomplir une même fonctionforment un système (p. 139).

• Les différents systèmes forment à leur tourun organisme, c’est-à-dire un être vivantcomplet (p. 139).

SECtion ST seulement

Résumé du chapitre 5L’humain et la perpétuation de la vie

9 Résumé des chapitresObservatoire/Guide10760

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4. LE SYSTÈME REPRODUCTEUR

• La fécondation est l’union d’un ovule etd’un spermatozoïde, ce qui produit unzygote (p. 140).

• La méiose et la fécondation sont les deuxpremières étapes du cycle dedéveloppement sexuée (p. 140).

• La puberté, qui survient à l’adolescence,est l’ensemble des changements destinés à rendre le corps apte à se reproduire (p. 141).

• La puberté est déclenchée par deuxhormones sécrétée par l’hypophyse: laFSH et la LH. Ces hormones stimulent lesovaires (chez la femme) à produire desovules et stimulent les testicules (chezl’homme) à produire des spermatozoïdes.De plus, la FSH et la LH stimulent lesovaires et les testicules à produire deshormones sexuelles (p. 141).

• Les principales hormones sexuellesproduites par les ovaires sont lesœstrogènes et la progestérone. Laprincipale hormone sexuelle produite parles testicules est la testostérone. Toutes ceshormones sont responsable de l’apparitiondes caractères sexuelles primaires etsecondaires (p. 141).

• L’ovogenèse est le processus qui permetde produire des ovules (p. 144).

• Le cycle ovarien est l’ensemble deschangements subies par le follicule ovarienau cours de l’ovogenèse (p. 145).

• Le cycle menstruel est l’ensemble deschangements subis périodiquement parl’endomètre de l’utérus (p. 147).

• L’ovogenèse, le cycle ovarien et le cyclemenstruel sont contrôlés par la FSH, la LH,les œstrogènes et la progestérone (p. 148).

• Autour de l’âge de 50 ans, la femmecommence sa ménopause. Les ovairescessent alors graduellement de produiredes ovules et des hormones sexuelles (p. 148).

• La spermatogenèse est le processus quipermet de produire des spermatozoïdes.Ce processus est contrôlé par la FSH (p. 149).

• L’érection et l’éjaculation sont nécessairesà l’expulsion du sperme, un liquidecontenant les spermatozoïdes (p. 150).

• À partir d’un certain âge, l’hommecommence son andropause. Lessymptômes de l’andropause ne sont pasaussi définis que ceux de la ménopause (p. 150).

• La connaissance du système reproducteur,de son contrôle hormonale et du processusqui mène jusqu’à l’implantation du zygotedans l’utérus, a aidé les scientifiques àmettre au point différentes méthodescontraceptives, dont l’efficacité estcependant variable (p. 151).

Résumé du chapitre 5 (suite)

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1. LES ALIMENTS ET LEURUTILISATION PAR L’ORGANISME

• Un aliment est une substance dontl’ingestion contribue à maintenir la vie (p. 160).

• Une substance nutritive est une substancecontenue dans les aliments et utilisée parl’organisme pour assurer ses besoins (p. 161).

• Les substances nutritives se divisent en sixcatégories : les protéines, les glucides, leslipides, l’eau, les vitamines et les minéraux(p. 161).

• Les glucides et les lipides sont lesprincipales sources d’énergie du corps (p. 164).

• Les protéines sont surtout utilisées pourconstruire et réparer les tissus (p. 164).

• L’eau, les vitamines et les minéraux ne sontpas des sources d’énergie (p. 164).

• La digestion est l’ensemble destransformations que subissent les alimentspour permettre l’utilisation de leurssubstances nutritives par l’organisme (p. 168).

• Les transformations mécaniques consistentà brasser et à fragmenter la nourriture defaçon à la préparer aux transformationschimiques (p. 169).

• Les transformations chimiques réduisent lesmolécules complexes que contiennent lesaliments en molécules plus simples. Elles se font à l’aide de substances chimiquessécrétées par les glandes digestives (p. 170).

• Un nutriment est une molécule d’originealimentaire qui peut être absorbée tellequelle par l’organisme (p. 170).

• L’absorption est le passage des nutrimentsdu tube digestif vers le sang ou la lymphe (p. 171).

2. LA RESPIRATION

• La respiration cellulaire est un processuspar lequel une cellule produit de l’énergiepar la combustion de nutriments, commele glucose. La cellule génère ainsi l’énergienécessaire à son fonctionnement (p. 172).

• Le système respiratoire est constitué desvoies respiratoire et des poumons (p. 173).

• Les voies respiratoires comprennent lesfosses nasales, le pharynx, le larynx, latrachée et les bronches (p. 173).

• Le but de la respiration est de puiser del’oxygène dans l’air et d’y rejeter dudioxyde de carbone (p. 174).

• L’oxygène absorbé par les poumons estdistribuée aux cellules de l’organismegrâce à la circulation du sang (p. 175).

• C’est aussi par le sang que le dioxyde decarbone, déchet de la respiration cellulaire,est acheminé vers les poumons (p. 175).

• Dans les poumons, les alvéoles, minusculescavités enveloppées de petits vaisseauxsanguins, assurent les échanges gazeuxentre l’air riche en oxygène qui s’y trouveet le dioxyde de carbone du sang descapillaires (p. 175).

3. LA CIRCULATION DU SANG ET DE LA LYMPHE

• Le sang, rouge et visqueux, est le seul tissuliquide de notre organisme. Le sang estcomposé de plasma, de globules rouges,de globules blancs et de plaquettessanguines (p. 177).

• Une transfusion sanguine est l’injectiond’une certaine quantité de sang à unepersonne (p. 180).

• Un donneur de sang est une personne quidonne son sang en vue d’une transfusion(p. 180).

Résumé du chapitre 6L’humain et sa nutrition

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• Un receveur de sang est une personne quireçoit du sang lors d’une transfusion (p. 180).

• La compatibilité sanguine est le fait qu’unepersonne puisse recevoir du sang d’uneautre personne (p. 181).

• Les vaisseaux sanguins se divisent en troiscatégories : les artères, les capillaires et lesveines (p. 182).

• Une artère est un vaisseau sanguin quitransporte le sang du cœur vers les autresparties de l’organisme (p. 183).

• Un capillaire est un vaisseau sanguin depetit diamètre et aux parois très mincesdans lequel ont lieu des échanges entre lesang et les cellules d’un organe (p. 183).

• Une veine est un vaisseau sanguin quiramène le sang vers le cœur (p. 183).

• Le cœur est l’organe qui permet lapropulsion du sang. C’est la pompe dusystème cardiovasculaire (p. 184).

• La diastole est la période pendant laquellele cœur se remplit de sang (p. 185).

• La systole est la période au cours delaquelle du sang est éjecté du cœur (p. 185).

• Le liquide intercellulaire est un liquide claircontenant de l’eau et d’autres substancesdu plasma sanguin, dans lequel baignentles cellules du corps. Il renferme aussi desglobules blancs (p. 187).

• La lymphe est un liquide issu du liquideintercellulaire qui circule dans les vaisseauxlymphatiques pour évacuer les déchetscellulaires (p. 187).

• La phagocytose est le mécanisme parlequel les globules blancs ingèrent etdétruisent certains micro-organismes (p. 189).

• Un anticorps est une substance sécrétéepar des globules blancs pour neutraliser lesagresseurs de notre organisme (p. 189).

• Un antigène est une substance reconnuecomme étrangère par l’organisme et quiprovoque la formation d’anticorps (p. 189).

4. L’ÉLIMINATION DES DÉCHETS

• L’excrétion est l’élimination d’unesubstance située à l’intérieur d’un corpspar son évacuation à l’extérieur (p. 190).

• L’élimination des déchets s’effectueprincipalement grâce aux poumons, auxreins et aux glandes sudoripares (p. 190).

• Les glandes sudoripares déversent leursécrétion, la sueur, par des conduits quis’ouvrent à la surface de notre peau (p. 191).

• Le système urinaire comprend les reins, lesuretères, la vessie et l’urètre (p. 191).

• Le rein est l’organe de filtration du sang (p. 192).

• L’urée constitue le principal déchetprovenant du sang (p. 192).

• L’urine est principalement constituéed’eau, d’urée, de minéraux et desubstances qui sont en excès dans le sang(p. 192).

Résumé du chapitre 6 (suite)

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1. LE SYSTÈME NERVEUX

• Le système nerveux coordonne toutes lesfonctions de l’organisme pour qu’elless’exécutent en harmonie (p. 202).

• Le système nerveux est le système quiassure la réception, le traitement,l’emmagasinage et la transmission del’information provenant des différentesparties du corps et du milieu extérieur (p. 203).

• Un neurone est une cellule spécialisée dusystème nerveux assurant la réception et latransmission de messages (p. 203).

• Un stimulus est le nom donné à tout ce quiest de nature à être perçu par unorganisme vivant et à y déclencher uneréaction. Les sons, la lumière, la chaleur, leschocs électriques, les odeurs et leshormones sont des exemples de stimulus(p. 203).

• L’influx nerveux est un message de natureélectrique se propageant dans lesneurones (p. 203).

• Les neurotransmetteurs sont dessubstances chimiques sécrétées par lesterminaisons neuronales dans le minceespace qui sépare deux neurones (lasynapse) (p. 204).

• Une synapse est une zone de jonctionentre deux neurones qui permet latransmission de l’influx nerveux (p. 204).

• Un nerf est une structure permettant defaire circuler l’information entre le systèmenerveux central et les différentes régionsde l’organisme (p. 205).

• Le système nerveux périphérique relie lesdifférentes régions du corps au systèmenerveux central (p. 205).

• Un récepteur sensoriel capte les stimuluset les transforme en influx nerveux (p. 205).

• Les nerfs sensitifs acheminent l’informationprovenant des récepteurs sensoriels sousforme d’influx nerveux jusqu’au systèmenerveux central (p. 206).

• Les nerfs moteurs transmettent lescommandes du système nerveux centralaux muscles afin de produire desmouvements volontaires ou involontaires(p. 206).

• Le système nerveux central coordonne lamajorité des activités du système nerveux.Il est composé de l’encéphale et de lamoelle épinière (p. 206).

• L’encéphale est constitué des organes dusystème nerveux situés dans le crâne, soitle cerveau, le cervelet et le tronc cérébral (p. 206).

• Le cerveau est le centre de commande desmouvements volontaires, de l’interpré-tation des sens et de l’intelligence. Il est aussi le siège des émotions et de larégulation des fonctions physiologiques (p. 208).

• Le cervelet est le centre de l’équilibre etde la coordination des mouvements (p. 210).

• Le tronc cérébral est le centre detraitement des stimulus internes et lecentre de commande des mouvementsinvolontaires (p. 211).

• La moelle épinière est un organe dusystème nerveux qui relie les différentesrégions de l’organisme à l’encéphale. Elleest aussi le siège de certains réflexes (p. 211).

• Un réflexe est une réaction rapide etinvolontaire à un stimulus (p. 212).

• Un arc réflexe est le trajet emprunté parl’influx nerveux lors d’un réflexe (p. 212).

Résumé du chapitre 7L’humain en relation avec son milieu

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Résumé du chapitre 7 14Observatoire/Guide

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2. LES ORGANES DES SENS

• L’œil est l’organe sensoriel associé à la vue. Il capte les rayons lumineux émis par lessources de lumière ou réfléchis par lesobjets (p. 213).

• L’oreille est l’organe des sens associé àl’ouïe. Il capte les sons et les transforme eninflux nerveux (p. 215).

• La peau est l’organe des sens liée autoucher. Elle recouvre toute la surface denotre corps (p. 217).

• Les récepteurs sensoriels de la peaupermettent de percevoir différentessensations: les sensations tactiles (toucher,pression), les sensations thermiques(chaleur, froid) et les sensationsdouloureuses (douleur) (p. 218).

• Le nez est l’organe sensoriel lié à l’odorat.Les cellules nerveuses sensibles aux odeurssont situées dans la paroi supérieure desfosses nasales (p. 219).

• La langue est un organe musculaire surlequel se trouvent plusieurs récepteurssensoriels associés au goût (p. 220).

3. LE SYSTÈMEMUSCULOSQUELETTIQUE

• Le système qui permet le mouvements’appelle le « système musculosquelet-tique». Il comporte l’ensemble des os, des articulations et des muscles (p. 221).

• Un os est un organe dur et solide quiforme le squelette (p. 222).

• Une articulation est le point de jonctionentre deux ou plusieurs os (p. 223).

• Un muscle est un organe capable de secontracter et d’assurer les mouvements (p. 226).

• Les muscles squelettiques sont les seulsmuscles volontaires. Ils sont fixés aux os dusquelette et, en se contractant, permettentaux os de bouger (p. 227).

• Les muscles lisses constituent la paroi decertains organes. Ils sont involontaires (p. 227).

• Le muscle cardiaque constitue le cœur. Cetype de muscle involontaire est uniquedans l’organisme (p. 228).

Résumé du chapitre 7 (suite)

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1. QU’EST-CE QU’UNEBIOTECHNOLOGIE ?

• Une biotechnologie est une technique quiutilise des êtres vivants ou des substancesprovenant d’êtres vivants pour répondre àun besoin ou à un désir (p. 236).

• Les biotechnologies utilisées depuis desmillénaires sont les biotechnologiestraditionnelles (p. 236).

• Les biotechnologies développées au coursdes trois derniers siècles sont lesbiotechnologies modernes (p. 236).

2. LES BIOTECHNOLOGIESTRADITIONNELLES

• La reproduction sélective implique lasélection de deux spécimens possédant unou plusieurs caractères recherchés afin deles amener à se reproduire. Cettebiotechnologie a permis d’améliorerl’agriculture et l’élevage, car elle a entraînéle développement de nouvelles variétés etde nouvelles races répondant mieux auxbesoins de l’être humain (p. 238).

• En alimentation, l’utilisation des bactéries,des enzymes et des levures a permis detransformer le lait en fromage ou enyogourt, de transformer les céréales enpain ou en bière et de transformer le raisinen vin (p. 239).

3. LES BIOTECHNOLOGIES MODERNES

• Les biotechnologies modernes s’appuientsur deux procédés principaux, soit laculture cellulaire et les transformationsgénétiques:

– la culture cellulaire permet de multiplierle nombre de cellules d’une souche dansdes conditions contrôlées (p. 239);

– les transformations génétiquesimpliquent une manipulation du noyau ou de l’ADN d’un être vivant (p. 239).

• Le procédé utilisé pour réaliser une culturecellulaire comprend au moins quatreétapes: 1) prélever un échantillon decellules dans leur milieu d’origine, 2)transférer les cellules dans un milieu deculture adéquat, 3) incuber les cellulesdans des conditions favorables, 4) disposerdes cellules obtenues tel que désiré (p. 241).

• Les principaux paramètres à contrôler lorsd’une culture cellulaire sont : 1) la teneur en eau, 2) la composition en nutriments, 3) la teneur en minéraux, 4), la teneur endioxygène et en dioxyde de carbone, 5) la température, 6) le pH, 7) la quantité de lumière (s’il y a lieu) (p. 242).

• Il existe des milieux de culture liquides etsolides. Les milieux liquides sont aussiappelés «bouillons de culture». Les milieuxsolides sont des bouillons de cultureauxquels on a ajouté une substance quileur donne une texture gélatineuse (p. 242).

• Au cours de sa croissance, une culturecellulaire passe par quatre phases: 1) laphase d’adaptation, 2) la phase decroissance rapide, 3) la phase stationnaire,4) la phase de déclin (p. 243).

• Avant de commencer une culture cellulaire,ainsi qu’après l’avoir terminée, il estessentiel de stériliser tout le matérielutilisé. Il existe différentes techniques destérilisation (p. 244).

• Les OGM (organismes génétiquementmodifiés) sont des êtres vivants dont l’ADN a été modifié afin de les doter decaractéristiques qu’ils ne possèderaient pasnaturellement (p. 245).

Résumé du chapitre 8L’humain et les biotechnologies

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Résumé du chapitre 8 16Observatoire/Guide

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• Le procédé généralement utilisé pourréaliser une transformation génétique peutse résumer en six étapes: 1) identifier unbesoin ou un désir, 2) trouver une caracté-ristique pouvant répondre à ce besoin ou à ce désir, 3) isoler le gène responsable dela caractéristique recherchée, 4) multiplierle gène, 5) introduire le gène dansl’organisme à modifier, 6) cultiverl’organisme modifié afin d’obtenir desspécimens adultes (p. 246-247).

• Une technique de clonage consiste àenlever le noyau d’un œuf ou d’un ovulenon fécondé et à le remplacer par le noyaud’une cellule adulte provenant d’unindividu qu’on désire cloner. On obtientainsi un être vivant génétiquementidentique au précédent (p. 247).

4. QUELQUES APPLICATIONSAGROALIMENTAIRES

• Plusieurs recherches sont actuellement encours dans le monde pour produire desplantes génétiquement modifiées. Le butde ces recherches peut être d’augmenterle rendement des récoltes par laproduction de variétés résistant mieux auxherbicides, aux insectes, aux virus ou auxrigueurs du climat ou encore, qui seconservent plus longtemps. Le but peutaussi être d’augmenter la valeur nutritived’un aliment (p. 249).

• Au Canada, les cultures de maïs, de soja et de canola sont déjà en grande partieconstituées de variétés génétiquementmodifiées (p. 250).

• Quelques recherches sont également encours pour produire des animauxgénétiquement modifiés. Le but de cesrecherches peut être d’obtenir unecroissance plus rapide, du fumier moinspolluant, du lait possédant descaractéristiques particulières, etc. (p. 250).

• Au Canada, la commercialisation d’animauxgénétiquement modifiés est actuellementinterdite (p. 250).

• La pasteurisation est un procédé quidétruit la plupart des micro-organismesprésents dans un aliment, ce qui permetd’en prolonger la conservation (p. 251).

5. QUELQUES APPLICATIONSMÉDICALES

• L’immunité est la capacité de l’organismede combattre un agent infectieux qui causeune maladie (p. 253).

• Les globules blancs défendent notreorganisme principalement de deux façons :

– en détruisant les agents infectieux quicausent des maladies (p. 253) ;

– en sécrétant des anticorps capables deneutraliser les agents infectieux ou lesantigènes qu’ils produisent (p. 253).

• Un vaccin est une préparation capabled’immuniser l’organisme contre une ouplusieurs maladies (p. 254).

• Lorsqu’un vaccin est fabriqué à partird’agents infectieux affaiblis, on dit qu’ils’agit d’un vaccin vivant (p. 255).

• Lorsqu’un vaccin est fabriqué à partir desantigènes sécrétés par les agentsinfectieux, on dit qu’il s’agit d’un vaccininerte (p. 255).

• Le gouvernement du Québec propose à lapopulation un calendrier de vaccination.Les vaccins inscrits sur ce calendrier sontgratuits (p. 257).

• Un couple qui ne réussit pas à avoir unenfant après 12 mois de relations sexuellessans moyen de contraception est considérécomme infertile (p. 258).

• La procréation médicalement assistée estl’ensemble des techniques visant à aiderles femmes à devenir enceintes (p. 258).

Résumé du chapitre 8 (suite)

Page 17: Résumé du chapitre 1cybersavoir.csdm.qc.ca/calendrier/files/2018/05/2-Résum... · 2018-05-17 · 1 Résumé des chapitres 1. QU’EST-CE QUE LA MATIÈRE ? • La matière est tout

• La stimulation ovarienne vise à stimuler lamaturation d’un ou de plusieurs folliculesovariens en même temps grâce à la prisede médicaments (p. 258).

• L’insémination artificielle consiste à injecterdes spermatozoïdes directement dansl’utérus (p. 259).

• La fécondation in vitro commence par unestimulation ovarienne. Les ovules sontprélevés au moment de l’ovulation. Onrecueille également un échantillon desperme. La fécondation des ovules par lesspermatozoïdes a lieu au laboratoire. Aprèsquelques jours, les embryons les plusvigoureux sont transférés directement dansl’utérus (p. 259).

• La fécondation par micro-injectionressemble à la fécondation in vitro. Ladifférence est qu’un spermatozoïde estchoisi et injecté directement dans chaqueovule (p. 260).

• Le corps est constitué de deux sortes decellules, soit les cellules spécialisées et lescellules souches:

– les cellules spécialisées accomplissentdiverses fonctions et se divisent unnombre limité de fois (p. 261);

– les cellules souches ne jouent aucun rôlespécifique. Mais elles peuvent se diviserun très grand nombre de fois et ellespeuvent se transformer en cellulesspécialisées (p. 262).

• Les cellules souches peuvent servir àproduire des tissus et des organes derechange (p. 262).

• Pour encadrer la recherche sur les cellulessouches, on a élaboré des règles afin des’assurer du respect d’un certain nombrede normes éthiques (p. 263).

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Résumé du chapitre 9 18Observatoire/Guide

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1. L’OBSERVATION DU CIEL

• Jusqu’au 17e siècle, les êtres humains sesont fiés uniquement aux phénomènesqu’ils pouvaient observer de leurs propresyeux pour tenter de situer notre planètedans l’Univers (p. 274).

• Parmi les observations réalisées à l’œil nu,on compte: la rotation de la Terre sur elle-même, la forme ronde de la Terre, lesphases de la Lune, la révolution de la Terreautour du Soleil, les constellations, cinqplanètes, les comètes, les éclipses, lesaurores polaires, les étoiles filantes, lesmétéorites, etc. (p. 275-276).

• Depuis le 17e siècle, les scientifiques ontmis au point plusieurs instrumentstechnologiques permettant de localiser etd’observer plus efficacement les objets dela voûte céleste. Par exemple: la lunetteastronomique, le télescope, les jumelles, leradiotélescope, le radar, les observatoires,les satellites artificiels, les sondes spatiales,les fusées spatiales, les navettes spatiales,les stations spatiales, etc. (p. 276, 280).

• Parmi les observations réalisées à l’aided’instruments technologiques, on compte:de nouvelles planètes, des galaxies, desnébuleuses, le calcul de la vitesse de lalumière, la théorie du big-bang, etc. (p. 276).

• Les programmes spatiaux, mis au point pardifférents pays, contribuent également ànotre compréhension de l’Univers (p. 277).

• Sur Terre, on mesure souvent les distancesen kilomètres. À l’intérieur du systèmesolaire, l’unité astronomique est une unitéde mesure plus pratique. Pour sa part,l’année-lumière est l’unité de mesure laplus appropriée pour exprimer lesdistances entre les étoiles (p. 282).

• Une unité astronomique (UA) correspond àla distance moyenne entre la Terre et leSoleil, soit environ 150 millions de km (p. 281).

• Une année-lumière (al) correspond à ladistance parcourue par la lumière en un an,soit environ 9 500 milliards de km (p. 282).

2. LA TERRE DANS L’UNIVERS

• La Lune est le seul satellite naturel de laTerre. Elle est située à une distancemoyenne de 384 000 km de la Terre (p. 284).

• Le système solaire comporte une étoile (leSoleil), huit planètes, trois planètes naines,ainsi que de nombreux satellites naturels,astéroïdes et comètes (p. 285).

• Entre Mars et Jupiter, se trouve uneceinture d’astéroïdes dans laquelle setrouve la planète naine Cérès (p. 285).

• Les huit planètes et la ceinture d’astéroïdessont situées à l’intérieur d’un rayond’environ 30 UA du Soleil (p. 287).

• Au-delà de l’orbite de Neptune, se trouveune seconde ceinture d’astéroïdes et decomètes: la ceinture de Kuiper. Ellecompte actuellement deux planètesnaines: Pluton et Eris. Elle pourraits’étendre de 40 UA du Soleil jusqu’à plusde 120 UA (p. 288).

• Plus loin encore, soit au-delà de 40 000 UAdu Soleil, se trouverait un immenseréservoir d’astéroïdes appelé le nuage deOort. Son emplacement correspondrait à la limite du système solaire (p. 289).

• Les étoiles sont groupées au sein degrands ensembles qu’on appelle desgalaxies. Toutes les galaxies contiennentaussi des exoplanètes, des astéroïdes et dela poussière cosmique (p. 290).

Résumé du chapitre 9L’humain et sa planète dans l’Univers

Chapitre st seulement

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• La galaxie dont fait partie le systèmesolaire se nomme la Voie lactée. Elle a undiamètre de 100 000 al. Notre Soleil setrouve à 26 000 al du centre de la galaxie(p. 290).

• Les observations actuelles indiquent que laVoie lactée n’est qu’une galaxie parmi lesmilliards que compte l’Univers (p. 291).

• La Voie lactée et la galaxie d’Andromèdesont les deux principales galaxies d’ungroupe qui en compte une trentaine (p. 292).

• L’Univers actuellement observable s’étendsur une distance d’environ 15 milliardsd’années-lumière (p. 292).

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Résumé du chapitre 9 (suite)

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Résumé du chapitre 10 20Observatoire/Guide

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1. L’ORIGINE DE LA VIE

• La Terre est constituée d’une partie de lamatière qui est restée en orbite autour duSoleil après la formation de celui-ci (p. 300).

• La Terre se serait formée il y a plus de 4,2 milliards d’années (p. 300).

• Les conditions favorables audéveloppement de la vie sont lesconditions qui ont permis la synthèse despremières molécules du vivant ainsi queleur agencement en cellules vivantes (p. 302). Ces conditions sont au nombre de quatre:

– la présence des éléments chimiquesnécessaires (p. 303);

– la présence d’une source d’énergie(p. 304);

– la présence d’eau liquide (p. 304);

– une très longue période de temps(p. 305).

2. L’HISTOIRE DE LA VIE SUR LA TERRE

• L’évolution est un lent processus quiamène des modifications chez lesorganismes vivants (p. 305).

• La sélection naturelle est un tri qui s’opèrenaturellement au sein d’une espèce. Elle setraduit par la reproduction des organismesqui ont les caractéristiques leur permettantde mieux survivre dans leur milieu (p. 306).

• L’échelle des temps géologiques est outilprésentant les principales divisions del’histoire de la Terre et de la vie. Cesdivisions sont basées sur les grandsépisodes de l’histoire du vivant, soitprincipalement quatre ères :– le précambrien;

– le paléozoïque;

– le mésozoïque;

– le cénozoïque (p. 310).

• L’extinction d’une espèce est l’éliminationde tous les individus qui la composent. Elleest causée par l’incapacité de ces individusde s’adapter à un ou à plusieurschangements de leur milieu (p. 310).

• L’extinction massive du permien, la plusgrande qu’ait connu la Terre, marque latransition entre l’ère paléozoïque et l’èremésozoïque. Elle a mené à l’extinction de90 % des espèces marines et de plusieursespèces terrestres (p. 311).

• L’extinction massive du crétacé, moinsimportante que celle du permien, a tout demême causé la disparition d’environ 50 %des espèces marines et de nombreuxvégétaux et animaux (p. 314).

• Notre espèce, Homo sapiens, est la seulesurvivante de la lignée humaine. Elle seraitapparue il y a environ 195 000 ans (p. 317).

• Une des principales caractéristiques denotre espèce est la bipédie (p. 317).

3. LES FOSSILES

• Un fossile est un reste ou une traced’organisme conservé depuis fortlongtemps dans la croûte terrestre (p. 319).

• Il existe quatre types de fossiles :

– les fossiles pétrifiés (p. 321);

– les fossiles moulés (p. 322);

– les fossiles piégés (p. 322);

– les traces fossilisées (p. 323).

• Une couche stratigraphique est une strateconstituée de roches sédimentaires forméesau cours d’une même époque (p. 323).

• La datation relative est une méthode quipermet d’établir l’ordre selon lequel desfossiles ont été formés, sans en indiquer l’âge absolu (p. 324).

• La datation absolue est une méthode quipermet de déterminer l’âge de fossiles enannées (p. 325).

Résumé du chapitre 10L’humain et ses origines

Chapitre st seulement

Page 21: Résumé du chapitre 1cybersavoir.csdm.qc.ca/calendrier/files/2018/05/2-Résum... · 2018-05-17 · 1 Résumé des chapitres 1. QU’EST-CE QUE LA MATIÈRE ? • La matière est tout

1. LA COMMUNICATION GRAPHIQUE

• L’être humain peut s’exprimer à l’aide degestes, de paroles ou de dessins. Lorsqu’ille fait à l’aide de dessins, il s’agit d’unecommunication graphique (p. 336).

• Le dessin technique est une forme decommunication graphique propre audomaine de la technologie (p. 337).

• Les deux types de dessins techniques lesplus souvent utilisés sont les dessins defabrication et les schémas (p. 337).

2. LES LIGNES ET LES TRACÉS DANSLES DESSINS TECHNIQUES

• Un dessin technique renferme desrenseignements précis sur un objet ou unsystème (p. 337).

• Pour être compris par tous, les dessinstechniques doivent répondre à desnormes. Parmi ces normes, on trouve leslignes de base et les tracés géométriques(p. 337) :

– les lignes de base sont des lignes dontl’apparence est régie par desconventions internationales (p. 338);

– les tracés géométriques sont des figuresdont l’exécution repose sur l’applicationdes outils et des règles de la géométrie(p. 340).

• Il existe trois façons de réaliser un dessintechnique:

– à main levée (on réalise alors un croquis)(p. 341);

– à l’aide d’instruments de dessintechnique (on fait alors un dessin auxinstruments) (p. 341);

– à l’aide d’un logiciel (il s’agit dans ce casd’un dessin assisté par ordinateur ou d’unDAO) (p. 341-342).

3. LES PROJECTIONS ET LEURUTILISATION DANS LES DESSINSTECHNIQUES

• Une projection est la représentation d’unobjet qui possède trois dimensions sur unesurface qui n’en a que deux (p. 343).

• Les projections peuvent se distinguer lesunes des autres sur deux aspects : laposition de l’objet par rapport à la feuilleet l’angle entre les rayons visuels et lafeuille (p. 344).

• La projection à vues multiples est uneprojection dans laquelle une des faces del’objet est parallèle à la feuille et danslaquelle les rayons visuels sont perpendi-culaires à la feuille. Le résultat est une vueen deux dimensions dont les mesures etles angles sont exactes ou à l’échelle (p. 346).

• Par convention, on utilise généralement lesvues de dessus, de face et de droite, qu’onplace en forme de «L» (p. 346).

• La projection isométrique est uneprojection dans laquelle aucune face del’objet n’est parallèle à la feuille et danslaquelle les rayons visuels sontperpendiculaires à la feuille. Les angles del’objet sont placés de façon à correspondreà ceux de trois axes isométriques, c’est-à-dire dont les angles ont tous 120o. Lesmesures parallèles aux axes isométriquessont exactes ou à l’échelle. Cependant, lesangles ne sont pas respectés (p. 347).

• La projection oblique est une projectiondans laquelle, en général, une des faces del’objet est parallèle à la feuille et danslaquelle les rayons visuels sont obliques.Les mesures et les angles de la faceparallèle à la feuille sont exactes ou àl’échelle, mais pas ceux de la troisièmedimension (p. 348).

Résumé du chapitre 11L’humain et le langage des lignes

21 Résumé des chapitresObservatoire/Guide10760

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Résumé du chapitre 11 22Observatoire/Guide

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• Les projections dont les rayons visuels sontperpendiculaires à la feuille (comme laprojection à vues multiples et la projectionisométrique) sont aussi appelées«projections orthogonales» (p. 345).

• Les projections qui représentent les troisdimensions d’un objet dans la même vue(comme la projection isométrique et laprojection oblique) sont aussi appelées desdessins en perspective (p. 347-348).

• Les dessins de fabrication les plus souventutilisés sont le dessin d’ensemble, le dessind’ensemble éclaté et le dessin de détail :

– le dessin d’ensemble donne l’alluregénérale d’un objet (p. 348);

– le dessin d’ensemble éclaté illustre lesdiverses pièces de l’objet dissociées lesunes des autres (p. 349);

– le dessin de détail précise les détailsutiles à la fabrication d’une pièce (p. 350).

4. LES RENSEIGNEMENTS FOURNISPAR LES DESSINS DE FABRICATION

• Les dessins de fabrication donnentgénéralement les renseignements suivants :l’échelle, la cotation et la tolérance (s’il y alieu). Ils peuvent aussi contenir des coupesou des sections (p. 351).

• L’échelle d’un dessin est le rapport entreles mesures de l’objet sur le dessin et lesmesures réelles de l’objet (p. 352).

• Lorsque le dessin est plus petit que l’objet,on utilise une échelle de réduction.Lorsqu’il est de la même taille que l’objet,on utilise une échelle vraie grandeur.Lorsqu’il est plus grand que l’objet, onutilise une échelle d’agrandissement (p. 352).

• La cotation permet d’indiquer lesdimensions réelles de l’objet et la positiondes éléments qui le composent. Elle estgénéralement donnée en millimètres (p. 353).

• La tolérance est l’indication de l’écartmaximal acceptable entre une mesurespécifiée et une mesure réelle (p. 353).

• Une coupe est une vue de l’intérieur del’objet. Elle permet de rendre visibles lesdétails cachés (p. 354).

• Une section représente une surface situéesur un plan de coupe (p. 355).

• Lorsqu’une section se trouve à l’intérieurdu dessin d’une pièce, on dit qu’il s’agitd’une section rabattue. Lorsqu’elle setrouve à l’extérieur du dessin d’une pièce,on dit qu’il s’agit d’une section sortie (p. 355).

5. LES SCHÉMAS

• Un schéma est un dessin techniquesimplifié (p. 355).

• Pour être compris par tous, les schémasdoivent suivre certaines règles et utiliserdifférents symboles (p. 356).

• Il existe des symboles pour représenter lesforces, les contraintes, les mouvements,certaines pièces, certains systèmes, lescomposantes des circuits électriques, etc. (p. 357).

• Les schémas les plus connus sont leschéma de principe, le schéma deconstruction et le schéma électrique (p. 358).

• Le schéma de principe représente un ouplusieurs principes de fonctionnement d’unobjet ou d’un système (p. 358).

• Le schéma de construction indique lessolutions de construction retenues en vuede fabriquer un objet ou un système (p. 359).

• Le schéma électrique montre l’agencementdes composantes d’un circuit électrique àl’aide de symboles (p. 359).

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Résumé du chapitre 11 (suite)

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23 Résumé des chapitres

1. LES OBJETS TECHNIQUES

• Un objet technique est un objet conçu etfabriqué par l’être humain (p. 368).

• Les différentes substances qui entrent dansla fabrication des objets techniques sont desmatériaux (p. 368).

2. LES MATÉRIAUX

• Les forces externes qui agissent sur lesmatériaux produisent différents effets àl’intérieur de ceux-ci : ce sont les contraintesmécaniques (p. 369).

• Il existe cinq principales contraintesmécaniques: la compression, la traction (ou tension), la torsion, la flexion et lecisaillement (p. 370).

• Les contraintes peuvent avoir différentesconséquences, allant de la déformationélastique à la rupture, en passant par ladéformation permanente (p. 371).

• Les propriétés mécaniques décrivent lecomportement d’un matériau lorsqu’il estsoumis à une ou à plusieurs contraintesmécaniques (p. 371).

• Il existe plusieurs propriétés mécaniques. Envoici quelques-unes: la dureté, l’élasticité, larésilience, la ductilité, la malléabilité et laténacité (p. 371).

• Le bois est un matériau provenant de la coupeet de la transformation des arbres (p. 373).

• On classe généralement les bois en deuxcatégories : les bois durs et les bois mous (p. 373).

• De plus en plus, on trouve aussi des boismodifiés, c’est-à-dire des bois traités ou desmatériaux faits de bois mélangés à d’autressubstances (p. 376).

• Les principaux bois modifiés sont le boistraité, le lamellé-collé, le contreplaqué, lepanneau de particules et le panneau defibres (p. 377).

• Un métal est un matériau extrait d’un minerai(p. 378).

• Les métaux sont souvent mélangés avecd’autres substances, afin de produire desalliages (p. 379).

• On distingue deux types d’alliages: lesalliages ferreux et les alliages non ferreux (p. 379).

• Le plastique est un matériau fait depolymères, c’est-à-dire de moléculesconstituées d’une multitude d’unités de baseappelées «monomères» (p. 381).

• En général, on divise les plastiques en deuxcatégories : les plastiques thermodurcissableset les thermoplastiques (p. 381).

• Les thermoplastiques représentent plus destrois quarts des plastiques produits dans lemonde. Certains thermoplastiques sontrecyclables et portent alors un code derecyclage (p. 382).

3. LES FONCTIONS MÉCANIQUESÉLÉMENTAIRES

• Les objets techniques comportent souventplusieurs pièces. Chaque pièce joue un rôleprécis dans le fonctionnement de l’objet : ils’agit de sa « fonction» (p. 383).

• Les pièces et les fluides qui remplissent unefonction dans un objet technique sont desorganes (p. 383).

• Le rôle joué par un organe ou un grouped’organes dans le fonctionnement etl’assemblage d’un objet technique est safonction mécanique élémentaire (p. 383).

• La fonction guidage est la fonctionmécanique élémentaire assurée par toutorgane qui dirige le mouvement d’une ou deplusieurs pièces (p. 383).

• Les principaux guidages sont les guidages enrotation et les guidages en translation (p. 384).

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Résumé du chapitre 12L’humain et les objets qu’il fabrique

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Résumé du chapitre 12 24Observatoire/Guide

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• La fonction liaison est la fonction mécaniqueélémentaire assurée par tout organe qui lieensemble deux ou plusieurs pièces dans unobjet technique (p. 385).

• On classe généralement les liaisons selonleurs caractéristiques. Une liaison comportetoujours quatre caractéristiques, soit unepour chacune des paires suivantes :

– directe ou indirecte (p. 385)

– rigide ou élastique (p. 385)

– démontable ou indémontable (p. 385),

– totale ou partielle (p. 385).

• Il existe plusieurs types de liaisons. En voiciquelques-unes: encastrement, pivot, glissière,pivot glissant, rotule, hélicoïdale (p. 387).

4. LES FONCTIONS MÉCANIQUESCOMPLEXES

• Une fonction mécanique complexe est le rôlejoué par un groupe d’organes dans letransfert du mouvement à l’intérieur d’unobjet technique (p. 389).

• Les deux principales fonctions mécaniquescomplexes sont la transmission et latransformation du mouvement (p. 389).

• Un système est un ensemble d’organescomportant un organe moteur, au moins unorgane mené et, dans certains cas, un ouplusieurs organes intermédiaires :

– l’organe moteur est à l’origine dumouvement du système (p. 390);

– le ou les organes menés reçoivent lemouvement et le transfèrent à une autrepièce (p. 390);

– un organe intermédiaire est situé entrel’organe moteur et un organe mené(p. 391).

• Un système de transmission du mouvementcommunique un mouvement d’une partie àune autre d’un objet sans en changer lanature (p. 391).

• Voici cinq systèmes de transmission dumouvement:

– les systèmes à roues de friction (p. 391);

– les systèmes à roues dentées (p. 392);

– les systèmes à courroie et à poulies(p. 392);

– les systèmes à chaîne et à roues dentées(p. 393);

– les systèmes à roue dentée et à vis sansfin (p. 393).

• Dans un système de transmission dumouvement, il y a changement de vitesselorsque l’organe moteur ne tourne pas à lamême vitesse que le ou les organes menés(p. 394).

• Dans les systèmes à roues de friction et dansceux à courroie et à poulies, la vitesse derotation dépend du diamètre des roues oudes poulies (p. 394).

• Dans les systèmes à roues dentées et dansceux à chaîne et à roues dentées, la vitessede rotation dépend du nombre de dents quepossèdent les roues (p. 395).

• Dans les systèmes à roue dentée et à vissans fin, la vitesse de rotation dépend dunombre de dents de la roue (p. 396).

• Un système de transformation dumouvement communique un mouvementd’une partie à une autre d’un objet entransformant sa nature (p. 396).

• Voici quatre systèmes de transformation dumouvement:

– les systèmes à bielle et à manivelle(p. 397);

– les systèmes à pignon et à crémaillère(p. 397);

– les systèmes à came et à tige-poussoir(p. 398);

– les systèmes à vis et à écrou (p. 398).

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Résumé du chapitre 12 (suite)

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5. L’ÉLECTRICITÉ

• De nombreux objets techniques fonctionnentgrâce à l’électricité (p. 399).

• Lorsque les électrons se déplacent de façonordonnée, cela génère un courant électrique(p. 399).

• Il existe deux sortes de courant électrique: le courant continu et le courant alternatif :

– dans un courant continu, les électrons sedéplacent toujours dans la mêmedirection (p. 400);

– dans un courant alternatif, les électronsdécrivent un mouvement de va-et-vient (p. 400).

• Le rôle que joue une composante dans lecontrôle ou la transformation du courantélectrique constitue sa fonction électrique (p. 400).

• Voici six fonctions électriques:

– la fonction alimentation (p. 402);

– la fonction conduction (p. 402);

– la fonction isolation (p. 402);

– la fonction transformation d’énergie (p. 402);

– la fonction commande (p. 403);

– la fonction protection (p. 404).

6. LE PROCESSUS DE FABRICATION

• La fabrication d’un objet technique s’effectuegénéralement en trois étapes:

– le mesurage et le traçage des pièces (p. 405);

– l’usinage des pièces (p. 406);

– l’assemblage et la finition des pièces (p. 407).

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25 Résumé des chapitresObservatoire/Guide10760

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Résumé du chapitre 12 (suite)

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