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A -x f4* Année, Ah iO^, CINQ CENTlMEg i k. lÀ GBNTHUâg M 4m jm eAû:zêr JStée&a^Êie- é S (^ L’OISl fs» fp. 50) eeiL veloppM. Kno» aeeompoffitfy^ losts. llll INNOISÎ iàB.onifXT S' ». SmsOI», [!• Paris 49M. ÜTONET RUE BOHABD,! ?). ilsrmont «t d* ; iO Toitnns Réparati SBâlSSE on, u n e I telles j genres. 'X U ears;i } u \ .. m 1, a-i ï J i ’X è -'! üs.i'.B. J r •4ir.; P til COIBIÉ, Bécteeteor en chef. ri'tfafrrf Paraissant le Jeudi le ^in^a Hemi GAUCHIS, Admiaistrateiir. liHhé bf-Mdoéâi/êli,, iaU.«Oiib iaM iS." taài. ................ t fit. '2ï p ar sr>aB ac si ar x s SMM. MMmuA/i «. SB BU>U ............. s fr. icBéafe ■4fr~ Sfr. Oi t'UMia “ J, B dm las Ixmaiil da posta. — L’alxuiaamant aat M nU a dSTinea at aontmoa da plaindroit Jiiaqn’à id e a p £ o d ’sTia conlam. RÎDmtioâ. M ;'SE-ï»t.rs ^ rf-ï4V'*ii«w «•' ........ TA'«ia6 * ^ o i v * . -. J .', ' . , Xaginoiii«tÿTai,'<iii^^ NOTRE FEUILLETON Ifou» commençons aujourShm la ^làation de I j ’I I D I O T Ê Î pw Emile mCHEBOVRG. Hauteur est trop connu pour qu'il fjii nécessaire d’en parler longuement, h faveur avec laquelle le public a ^leeueilli ses romans^ait leur meilleur [ {loge La plupart ont été publiés par I lei grands journaux de Paris et de ifrotince et ont. trouvé auprès du lec- teitr le même accueil empressé. Parmi tant d'œuvres si vivement tfprédées L 'ID IO T E t ni dès son apparition un succès écla- tant, . _ iu milieu d’une intrigue passion-, sente se développent plusieurs carac- ürasympathiques qui viennent doubler im intérêt sentimental la curiosité du lecteur habilement avivée jusqu’au dé- scûment. Sentit, U S Décembre tSOS LA LOI . Quand les Cbambrea se livrèrent anx I litTagx préparatoires qui aboutirent au I TO ta de la loi sur les accidents du tra- I TiU , on pensa d’abord à rendra l’assn- I luca obligatoire. Cette solution fut I npooiiés par le Sénat, et l’on s’arrêta I lia combinaison suivante : Lssindnstriels'assnjettis demeuraient Ebres de contracter ou de ne pas con- I tracter une assurance; seulement, une I eaiue de garantie ét^t constituée qui I dtTsit protéger les ouvriers contre l’in- I ttlrabilité des patrons ou assureurs dé- I kiteors de l’indemnité. Cette caine, I dont la gestion é t a it^ n flé e à la Caisse I de: dépôts et consignations, devait être I ilimentée par quatre centimes addition* I ml! à l’impôt des patentes. I Restait à déterminer la situation qui I mmt faite aux industriels qui auraient I pii la saga précaution de traiter avec I ne compagnie d’assuranees, au cas où I M ttecompagnie deviendrait insolvable. A cette difficulté, la loi de 1898 a mimé m e solution ingénieuse et juste. I Quand le patron est assuré, il est à l’abri I detost souci, et la Caisse de garantie I doitpa^rer les indemnités à sa place en I u de déconfiture de la compagnie, à la I «nditiott expresse qu’il ait traité avec I compagnie agréée par l’Etat. I L oi compagnies ne peuvent donc flaire I T opérations d’assurances contre les I te?*** 1898, qu’après avoir I itt autorisées p ar le ministre du com- I airce. Chaque année, une Hâte des so- I !•ji ®“*®risées est dressée avant le t décembre. Si quelque société, autre- M autorisée, n’y est plus inscrite, cette ■dpftMsioa entraîne, comme consé- j*®ce, la résiliation de plein droit des 1 La patron qui, assuré & une I îyP''* *iosi exclue, subirait un si- 1 M l établissement après pu- I ^ bste à l’Ofjlciel, ne de- I en conséquence, compter sur 1 lia la Caisse de ganantiè. Il I "^ itieu l tenu de payer 1 indemnité, la liste a paru ces jours-ci au ^LETOX DU COURRIER DE L’OISE lidiote ^ mile PAR RICHEBOURG prskière partie L a c h u t e Un■ 3'^'' * titre ^“ ®ois d’avril de l’année 1860, ’ciioas.,! heures du matin, une tut le ^ da Berri, de- •'■bseenrl. - magnifique hOtel bâti La portière du coupé 1"“ homme qui parais- d’années sauta * 1*tonreïîi^j Cet homme, grand l*®»stnml ? ‘*l'®*’iée, portait un élé- royage. Céiait évidem- “'Csacert?.?®'’ ’ indépendamment ‘fi.Unen^.J® qui pendait à son r ’^'ien 'i® de cuir orcupait les Ifiiblocd! ol^*,® **®«oher. Drlorgs fa- . *• ancadî • P®*^ait à la manière an- physionomie ' 1 , ®oniontemsnt. Tout en "II. an homme heureux et satis- **» ^ é t tr sî? dit-il an cocher irN.UtoJ«S®“* étranger. «fillo de l’hôtel, petite, porte et mit là **«ia bnfi? i ? '** ‘tut de sonaette ne se fit en Joamal officiel, et cette puldication a offert, pour la première fois, le grave intérêt qne prévoyait M. Mirmatij très compétent cums la question des acci dente du travail, en déposmit, avec de judicieuses réflexions à l’ai^ni, une proposition de loi sur le bureau de la Chambre. Depuis la loi de 1898, les comjiagnies d’assurances se sont fait une concur rence Mhamée. Les charges qu'èlles ont subies ont été plus lourdes , qu’elles ne le prévoyaient, et pour quelqnes- lues, les résultats financiers n’ont été rien moins que-brûlants. Il yamêm e en des catastrophes, et sur la liste publiée par le Jotmal officiel, trois soiflétés ont disparu. On s’est justement ému de la situation qui est faite dès aujourd’hui aux indus triels ayant actuellement pour assureurs des compagnies ne figurant plus sur.la liste. offlmeUe. . Ces indusMels n’hésiteront pan' -i s’adresser aux autres compagnies main tenues sur la liste ; ils ont été d’ailleurs bien vite avertis du danger par les dé marches, très légitimes du reste, des agents des compagnies rivales qui s’ef forceront de succéder aux défuntes. N'empêche que cette substitution dune compagnie ê l’autre ne saurait s’opérer en un instant. Quelques joute sont nécessaires pour les négoeianoiu. Or, pendant ces quelques jours, le patcbfi ' se trouvera dépouillé de garantie. Qu’ut! accident arrive, et il en supportera les conséquences sans que la Caisse de ga rantie soit tenue de le couvrir. Pour obvier à cette invénient, la Chambre vient ide voter uilê proposition de loi ainsi conçue : c Lorsqu'on ar rêté^ du ministre du commerce aura décidé que l'assureur a cessé de rem plir les conditions prévues à l’article ' suivant, la Caisse nationale n’aura droit à un recours contre le chef d'en treprise que pour les accidents sur venus plus de quinze jours après la publication de cet arrêté au Journifi officiel. » Il est k souhaiter que le Sénat adopte également et d’urgence un texte qui ne comporte aucune critique et dont l’uti lité est manifeste. Le ministre du com merce, qui était renseigné sur les me sures qu’il allait prendre, ' qurait bien agi en demandant au Sénat, dans le courant du mois qui vient de finir, une délibération et un vote rapides. Que, du moins, les précautions soient prises pour la prochaine échéance. -----------------—♦ » BOHOS deJPARTOÜT A Paria. Jeudi, un des chevaux de l’équipage da M. Loubet, qui conduisait lui-même, s’est abattu. Il n’y a pas eu d’accident. — Le groupe nationaliste de la Chambre a adopté un ordre du jour protestant contre 1a reprise de l’Affaire Dreyfus. — M. Rouvier a renoncé k établir de nou^ veaux droits sur le café. B u s IM Deparleaiaats. ' Les ouvriers du port de Bordeaux sont presque tous en grève. — Les partementaires Anglais ont été recul à Marseille qu’ils ont visité. — Jeudi matin, un des assassins de Mme Denizart et de son petit-fils, a été exécuté k Beauvais. tes Bueqsa — Le ministère espagnol a donné sa démis sion. — Le Reichstag Allemand s’est ouvert jeudi* 1 rv. ., SSIS IXTSB^^IOXrS Aanonce«:14«lM„. 0 ,i0 e. ta ligne. | Réeltanès . 9-»» - I Pût. direr.:;..™;:;,:;::, ow irsoMPTi lUs D 'urm uiuta stMaasegsti i M 'n a iê — Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les DépartemenU sont reones diraetement j au bur^u dn jooraat . IfPe : L’Empereur n’a pas présidé la séance, le ClUB- celier a la le dUconrs du: trône. ' v — On annonce que l’Autriche .et la R nk^ Vont adresser un ultimatum k la Porte, - — Les nonvelleav (m plus eontradlctofaes circulent sur les relatioiu entra la Rnstie at Japon. ' LE FAIT iyy jéU E Opt^iszxie. M. Rouvier a cherdié à teacn- rer la Chambre sur notre sHuàtieii financière. Il serait injuste de ne pas constater une amélioration dans nos finances, mais il serait imprudent de les croire prospères. Parmi les causes de la baisse de nos fonds pùbUite^ Idiifistre des Finances a indiqué le des denx ùkr néespré^deatés atleimtteStdesibhdsif^ calttes d’épargne. VaisrillffrpM dit-qiw ce déficit et ces retraits provenaient de l’inquiétude causée chez les capitalistes et chez les déposants par la polittque du gou vernement. Sans doute, M. Rouvier ne nous a pas montré les congré^Uons fai sant baisser la rente par des nùmcauvrés souterraines, mais il S’est plaint de la cam pagne menée contre les Caisses d’épargne, tout en laisùtramùqnerlatem iité avec la quelle ces caisses ont tembôursé dés som mes énormes. Mate SI. le Miniétre est un financier trop avisé pour savoir qae la confiance ne se décrète pas. Les « partis > auraient beau faire, si les collègues'de M. Rouvier ne troublaient pas le pays à plaiéir, les dépôts dépasseraient de beau coup les retraits. De même le déficit des .deux années 1901 et 1902 est dû à la politi que d’aventure de la ' détemte IrépdiltoÉie et du bloc. M: Rouvier espère même pouvoir échap per a un emprunt. Mais... mais il compte beaucoup pour cela sur la sagesse de la Chambre. Sans être grand clerc en finan ces, je ne partage pas son avis ; la Cham bre raisonnable, la Chambre économe I iCela nous changerait fort. Le jour où les .députés auront renoncé a féirè de la sur enchère électorale: avec Paigent dé'la ^Princesse, on pourra voir i& le commén- :cement .de la sagesse ; mais ils ne me sem- .'blentpas très décidés à reiùser quoique ce soitèleurs électeurs sons le prétexte, qui semblerait ridicule è ceux-ci, de n’élre pas acculé à l’emprunt. Et puis le gouvernement pourrait peut- étrebien commencer pardonner l’exemple. Son programme antireligieux neus coûte et nous coûtera très char, il le sait et pour se donner une excuse il se fait dire chaque jour par ses anfis que pour l’ceuvre de la laïcisation on trouvera tOiyours de l’argent que le contribuable'se saignera encore un peu plus avec Un vrai plaisir pour cette œuvre de progrès, d’afibènchissement de l’esprit humain. D’ailleurs on ne deman dera pas l’avis du contribuable. I-e gouvernement sait aussi que l’appli cation de la loi de deux ans sera fort coû teuse. Pourquoi donc s’est-il haté delà teire voter; pourquoi n’â-b-ii pta'écouté les avertissements qtu. lui furent donnés par. quelques sénateurs assez soucieux des intérêts de la défense nationale et de nos finances pour combattre cette loi soi- disant égalitaire t La sagesse du gouvernement autant qne celle de la Chambre nous parait assez problématique pour que nous conservions encore quelques inquiétudes sur notre si tuation financiers. — PAui, Coiinié, SAÏ«. 1 WI COSSU POBLEMENT Séch» étis S déetm£ri. JT. fa»y,~dépnté de Lorieot^ piûtatte contre le départ des sosariet les sebniafii»! l a n ^ conee elles paf le ministre de la jutriné.'’ ■M , .ewilbtaux, également député de Larièttt,dif: < Jé'tiens; eomiûe’rtoàbli'- e ^ , fils et petit-fils dé répdblietda,' i aeesiar pax sœnrs hespitaimies lliom- mage d e in a reconnaissance « f dé mon prafead regret ». Puis' les derniers ebapitros dn bndget de Irmarine sont vbtés. Le budget des fibianoes. la Chambre alioiffé iraWte ladisciasien dû bnbget^dn minittèra dés fidanées. M. fibn Jimet ta félicite du relèvement dd oonrs de la rente et des prat-valhet de récettetin attrlbas à'nne eamnaghé-de retraits de .fohfit de la Caisse d’è p ii^ e et demandé an nfinistre s’il est tonjoars dans l’intêntion de prendre, les cas échéant, des mésnrés pour remhonrsef en bibc les déposants. M. Rouvier.— c J’y ai renoncé dans l’in- térét des déposants eax-mémes, mais non dans l’intérêt de rstat. » M. Éeauquier regrette qne le ministre n'ait point réalisdcertaines économiéS et prooMéla suppression d’nncertain nombre da tenctfonnafres inntiles. M Bimjifr déclare qn'O les causes de la baisse de nos fèndspnfiUcs sont multiples etd’ordre différent 11 constate qae cette baisse a été générale en Bnrope, Il en tire argèmeht dn récent empmnt dn Crédit fonder ponr assnrer qne la France n’est pas iqipMvriO, qne le vieux bas de laine a été reronstitnéi S reconnaît qne ce vienx bas de latne est ponrnne grande part dans ies attentions des nations étrangèi es k notre égard. ,Jf. Beavquier tient anx économies ton- jours promises U. fiouvicr répond.: i^i vops trouvez une majorité pouf supprimer les'sôus prèféts et Inplupart des fonctionnaires, eh' bien,' jeseni avec vous de grand cœur. On fit et on s’en va, après avoir décidé, .in r laTiroposition de ï . Chabert, de régler la'qttOstion des majoratrparune'loi. Séance du 8 diêmbre. MM, Gaston Memiet et Roger Ballu se plaignent des inconvénients ce la pièce de 26 ctnimes en nickel, pan esthétique et fa cile a confondre avec une pièce de 1 franc. M. ffottcter ditan contraire que le pu blic en est très satisfait. ' On dMde de modifier le revers. M. Violette demande inutiimnent la sup pression de droit de mutation pour les ventes d’immeubles inférieurs k 500 fr. M. Klotx, an nom de la commisiion des douanes, s’élève contre le projet de relè vement des droits spr le cafe. MM. Sitgfried et Brindeau, députés dn Hévre, appuient ces observations. M, Siegnied croit qu’il vaudrait mieux au contraire abaisser les droits. Jf. Rouvier défend les droits. "■ Séance du i décembre. M. Rouvier a renoncé k augmenter les droits sur les cafés et i faire état des 15 miliiODs dn ciédit agricole, pour éviter a tout prix les douz’èmes provisoires. M. Germain Perrier propose d’acquitter les quittances avec des timbres-postes k défaut de timbres-quittances. Renvoyé i la commission du budget. M, Cunéo dfOiitàne dààande et obtient qne les procès*verbanx des agents des con- tributions'indife'etes et des octrois ne feront foi que jasqn’é preuve du contraire, et nue proposition adoucissant les rignems de là foi pour ies délinquai ts de bonne foi en matière de beoilieurs de cru. MM-. de Pomereu et Arehdéacon disent S i’ih né voteront pas le bndget; JT. Fa«l- n f également. , déclare que les progressistes votent'le budget pour ne pas arrêter la vie nationale. , .Lé btbiget est voté par 179 voix contre 57. SENAT Séahce du 8 décembre. Les Nonnisaons. Le Sénat aborde en première déübéfa- tien la proposition de lot sur la protection des mères et nourrissons. '. ' ' M. Paul Strauss, rapporleir,, a la pa role. . .. L’orateur demanda que la clandestinité soit assnrée anx mères qui venlent éievef leur enfant et il conclut en rappelant une —- —-—- -- 1. uuo parole de Jaies Simon (}nip faisant allnsion a la dépopniation de notre pays p i pré cape tons les hommes réfléchis, disait : c Un peuple qui laissé ainri gaspiller sa population future, mérite ce qui lui ar rive. > (Vifs applaudissements}, le docteur nos{te;aéttatenr;de Constan- tine, craint p e la proposition de loi, qui lui sembla trop réduite, ne donne pas les résultata qu’on attend d’elle et il panse qu’il serait sap d’appeler entre deux lec tures la commission m s finances a donuer son avis snr les consépencés finuciéres. Le fopportettr insiste pour l’adobtion de la jureposit'oii de loi. La discussion générale est Close. Les ar ticles sont adoptés. Le Sénat décide qn’il passera a une denxième délibérât on. Le Séuat adopte en première délibéra tion on projet de résolution de H, Victor Leydet. tendant a modifier le règlement poor activer le travail des commisrions. Il prend eu considération nn projet da répolutlou de M. Dronhet tendant a ia no mination dune commiuion de dix-huit membres., Le Sénat s’ajourne a mardi, trois heures. La Note gâte. Cu Jtntn demim, le Journal de GenèTa commençait pomptuiement ton article de tête fa r cette carieuse eonttatation ; < Défait que le dix-neuvième siècle est des cendu, vieux et chargé d’année», dan» la né- eropole de Vhistotre... » Ôest tout de même vrai : le dix-neuvième siècle est mort centenaire ; mais ce qui serait flus curieux encore, ce serait qu'il fût entré dans la « nécropole de l'histoire a avant d'avoir cent an»/ * * La cuisinière de AT” * Crétinot revient du marché sans rapporter une dinde que sa mat- tresse lui a recommandé Cacheter. — Il n’y avait pas une dinde dans tout le marché, explique la cuisinière. Et Af“ « Crétinot ; Si j'y avais été moi-mime, ü y en aurait eu une, je vous assurel NouveUes militaires. Lie sac du Soldat. On annonce que le ministre de la p e rre vient de confier an cenieil supérieur de la perce le soin d’examiner trèi atttenti- vpient la qaestion du iP qui, ramené an poids de s Kilos 300 a la suite de certaines améliorations, est encore trop loord p u r le fantassin. 11 y auradiev de réduire les effets p r - tés par ühommq tout en augmentant les vivres, cctnejlement j ü ^ p u insuffisants pour continner ia bataille qui p u t durer plusieurs jours. .D ’p p ire coté, le miniatrq.de la guerre a donné les ordres formels, an pfém entdn Mmité techniqhe de i’intentene pour qne cotte réforme soit étudiée afin de voir s’il ne serait pas n p seulement possible dé di minuer le p»ids total dn sac, nuis m tm de pariager le sac en deax p r tip s , dont lune ne routiendrait p e des vivrik et t êûtre, p i . p o r r a i t se sépuer, contien drait les effets. . . üratBnmi Le'Bloc avant tout. Mardi demier,Ia barque ministérièllè faillit jsombrer. A. des acensatiou nattés, à dès "faits précis, à d p prenTPaecÉ- blantes, M. Pelletan te patenta d’op- ' poser des affirmations. Il n’a pnvianen personne, p p 'm^me p n x qui, comme MM. Bàndonet Noël, wnvérant p jonf- là le ministère. Cependant, dès dMifite ministériels eurent le courage de pluwr les intérêts du pays au-deuu d p în|iiÀ rêts du Bloo ; MM. Loekroy, ChaninM, Siegfried vinrent orie; au payp eom- mmit M. Pelletan désorm iip notre marine. MM. Baudp et Nofil tronvià- rent, au contraire, qi» la défanp na tionale, nos populatiop ouvriérp p a vaient être saoiifiép pour m uvp le ministère. Cependant, leé faits w nt aoquis. Ja mais le favoritisme, si rudement ohm- battu par M. Pelletan Journaliste^ ne fut plus cyniquement pratiqué p e par M, Pelletan ministre. Suu p r a n ^ l’avis des ingénieurs,.Bi-oeux d p ami- raux,.il wmmande-o^ndiéçp et, nus- marins, et senfantrisip nou oofi^t 400.000 frmics pour un seul enirasséi; par contre, il arrête 1 p eommandp faites par sp prédécespurs, pane, outre les ordrp du Parlement pcâr les coptructiop navalp, retape les essais, signe trop tard les autoriutions nécpsaires pour, ppser Ip marchés, s’adrpse aux maisons étrangères plutôt,'' qu’à notre indutrie natibnalri Tont cela a été démontré; peu imprte à MM. Bandon et Noël, M. Pelletan fait^ partie du Bloc ; il est intangible. Le ministre.de la marine m et-sp opi nions et PS fantaisies au-depus d p règlp administrativp ordinairp et dp- expériences des hommes du métier; il fait mieux encore, et son bon plaisir l’élève au-dessus des lois. De sa propra autorité, il supprime une peine qu’il a" seulement le droit de conûnuer, et, pour faire dispantitre I p traop de cette illé galité, u pmmande à un amiral de commettre une autre ülégalité, en dé truisant le dossier compromettant. Tandis qu’avec to u les dépntés mu - cieux de l’avenir de notre marine, de la prospérité de notre industrie nationatei de la bonne gestion de n p finança gg du respect des lois, Ip députés libéraux de l’Oira ont.irefué de donner au mf- nistre une marque de ranfianp, MM. Baudon et Ncël ont approuvé to u e p actes d’arbitraire, de folie. Pour eux, périsse plutôt notre marine que le Bloe« P. 0. Totou de Bill* les Dtemgés deroise. Séttnet du i -décsmàn IttS. Scrutin sur l’oréra dn Jour par tesimsli (iotcrpcUatton de H, Lozknqi sur la .surins), Pour tedoption, 297. - âatrs, ÎU: ^ Qttiabrt t tdoDÙ* Ost voté peur : H K ^ n lo u et NsO. „ nf* * ' **■ •àtié'gisr» Bofusoil, CaUlûd, Htndneoart. . Sianes du idéetmbr* SMS. Scratla sur l’ameodtmait P H. CastiDc Pouqust 1 l’arttris 8 P Is hd P flniiinsi tendre. Toutefois, le voyageur attendit un instant, prêtant l’orsilie. Voyant qu’oa ne venait point lui ouvrir, il saisit de boutpu le bouton de cuivre et tira plus fort. Il y eut en petit grinpment de fer d a p la maçonnerie et p fut tout. — Je crois bien, monsieur, que ptte belle naison est inhabitée, lui dit alors le rocher, qni regardait du haut de son siège. — Comment, inhabitée T répliqua vive ment le voyageur en se retournant. — Oui, monsieur. Tous les volets et toutes les persiennes sont hermétiquement fermés ; et puis voyez, sur ce pilutre de la grille. Le voyageur regarda et vit nn Priteau sur lequel il lut : Hôtel à vendre. S’adres ser à M. Corvitier, notaire, rue de Pro vence — Je ne pmprends pas, murmura-t-il en. hochant la téte; qu’est-p que p la vaut direî Hais il fallait m rendre à l’évidenp : l’bdïet était inhabifé.' Un pli s’était subitement crepé sur le front du voyageur. — Voyons, voyons, dit-il, en m rappro chant du cocher, vop vous êtes peut-être trempé, sommes-nou bien ici rue de BsrriT — Parfaitement, monsieur. Je ne sais pas un novice, moi ; il y a trente ans que je fais le métier et je connais Paris comme ma poche. Je vop ai amené rue de Barri n* 33, où TOP m’avp dit p vous con duire. La voyage» rpta nn moment pepif, le front soucieu. — Eh 1 bien non, dit-il, en laissant voir sa vive contrariété, je ne conprenP rien à cela. Il se di'posait à remonter P n s le fiacre pour se faire condoira ailieun, tenqn’ga homme d’un certain ége, a u cheveu gri sonnants, à la physionomie calme et a p - tére, s’arrêta devant la porte d’entrée à laquelle il venait de sonner inniilemeot. Comme loi, le vieux monsieur tira le bouton de cuivre et parut étonné, ou de ne p u entendre le bruit de la sonnette on de ne pas voir la porte s’onvrir immédia tement, Alprs le vcysgeur s’avança vers le rieil- lara. Les deux hommes sa saluèrent et res tèrent an instant sileneieu, se regardant. — Si je ne me trompe, monsieur, dit le personnage a u favoris blonds, vop vonitz faire u e visite chez M. le cointe de Las- serref -— C’est vrai, monsieur, et je sois sniv pris, tru surpris... — Que utte porte rwte fermée f — Oui, monsieur. ~~ Bh bien I mossiép, ma surprise est égale à la vôtre, et vous avez devant vop un homme fort désappointé. Je suis un des amis du comté de Lasserre, et, je p e u le dire, un de ses meüleurs antis. Le monsieur s’inclina. — Votre accent indique que top élu étranger, m opiep. dit il. A qui ai-je 1 honneur de parler f Le voyage» tira de sa poche nn petit po^feniiie dans lequel il prit une carte qu li mit d a p la main du vieilfard. — Ah I fit aussitôt ulni-ci, vous êtes m opie» Van Ossen, banquier à Amster- damt — Rst-ce que mon nom veukpt connu f T . ¥ ' *®®*“ *® Laaserro à sonvent pulé de VOP devant moi. — A on, TOUS étu aussi nn ami dn comtef Oui, monsie». JesnisTicoriirésident d une tocièiè savante dont H, le comte.de usserre p t un d p princiÿhnx membres. Hier, n o p avons eu une séance à laquelle M. le comte de Lasserre devait assister po» entendre nn rapport sciantifiqae dm p lp mtéressanls. Son absence m’a sérieu sement inquiété ; j’ai pensé qu’il pouvait être maladi, et je venais, ce matin, m în- former de l'état de sa santé. — Ainsi, comme moi, vop ne savez nenï : , — Absolament rien, mensie». — Vraiment, je ne sais quoi m’imaginer, reprit le banquier hollandais. Je> vop di sais tout à l’heure qUé," COiùdté vous, j’étais très suipris ; vop a'it z voir, m ePié», que ce n est p u sa p raison : Il y a quinze jo»s ] écrivis d’Amsterdam an comte de Las ser» u e , ayant à faire on voyage A Paris, -jahe manqueras pas d’allrr foi demander' 1 hppitalitè qn’il m’a. souvent offerte, me fatont une joie, depass» prèa de -lui Im quinze jours ou trou sémamos dé mon sè- jo p d â p la grande .capitale. Immédiale- mènl le u m tèm e répondit qu’il était enchanté que m p affitiru m’appelassent à Paris, que m maison tout entière éfait à ma disposition et ses b ru ouverts pour me recevoir. - Xi ajoutait qu’il était heureux de pouvoir enfin' me présenter à la comtesse de Lasseire, qui me connaissait déjà comme un vieil ami de son mari. n to t vop dire, monsie», qu’il y a plus de qpure a u qne je n'ai pu vu mon ajou, le comte de Lasserre. LOrs de son ma- riago'j’étais en Amérique, ce qui m’a em pêché d’y assister, à mon grand teirêL ' IMU sa lettre, le coùtème pudait aussi de sa petite Lnei^ u fille adorée. Oui, aderée, s^uya le vieux savuit; M. de Lanerre n t fon de flUé. — Enfin, reprit le banqitiw, la lettre da ' mee ami étaitdas p lp aSeetaeuses. .ffierj’ai quitté Amsterdam-*et tent te l’heve je snU arrivé à Paris. J’ai pris à la gare du chemin dé fer du Nard la voit»e que voilà. Tout joyeu, en popant que Je vais revoir mon ami et le s»rer dans mes bras, je m’approche de Cîtte porta, A mon grand étennemàit elle ne s’onvre point. Ha s»prüe augmente encore quand le co cher me dit que tontp lu fenêtres de i’tôiel sent closes nfrme fait voir, là, cet éwiteaa. Rcgà'dez, monsie», regwdp : Hôtel à vendre. Ôai, hôtel à vendre. G'ut singulier I — laeiplicable, monsieur I — C’eitvrai. — Ah I quelque chose me dit qu’un mal- h e » épOdvaniable a frappé le comté de Lasserre. — Mon Dieu, tout est possible, inéinece qm parrit invràisâiiblable : mais je Veux cntire encore qne v p eraintés sont exaaé- réu. Le banquier secop tristement la téte. — Asiurément, po»!oivit le vieux sa- vàéi, nous sommes en présence d’ûn frit eAtraordinZire ; ponrten^ mouieur,'avant dénoas alarmer, avant de su p ^ rr q u notre ami est victime d'nne catàstro^e qnelcosqu, po»quri ne pas admettra qa’U a quitté ét mis en vente son hôtel po» une toute autre cape T H y a dans la vie tant de choses imprévuw I Po» 'ma prirt, je crois que rien de fâcheux n’est arrivé à-H. le comte de Lasseirra, ét il me semble que vous ponvu'vous rassurer. Nop ne 'tarderou pas, sap doute; à avoir TexplicstioB de de qui, p o » nous, en ce inbnteiri,-est^aâ%iystèra. - i-Æ S -lM / ’" est très bien, se a{««ts H:Tair8sson;mau jeiw sufa* im «£t rassuré : je suis, au confralre, d aù sïïie giUdshi^M da. Javeà bien qa’Uy ait événement qui force i n namma g dispa raître ainsi, snbitement,n’ériatei ______ un coup de foudre sans avoir été pévn on tont au m oip pressenti. Or; dan la-lMN du comte de Luserre, rien ne Jiaitse neir qu'il appréheade quelque-malhMF. Et» po»tant, je-le sop, l’an suis sfir. onaloM chose de terrible lui est arrivé, Et H. Van Ossen restait immohOa n r 1» trottoir, la téte inclinée, réfléehisaat. — Rh bienl bonneois,eù «friniv-iiins maintenant? Ini demanda le cocher. La voix de l’antemédon Ht irmeillllr l’étrangw et TarTachaàsarérerie.11 réé^i leva brusquement la téte. Aleti,::en f t u : de Ini, de. l’autre côté de la rnà, il vit « n i j«nefemmequiidaboms»le saritdèlii porte d’n u b e u tiq u , semblait le niartw curieumnenL — An fait, se ditdl, estte faune ne pMt4ire paaToiriuifensa^aK. Baprfamiiire nu oodier, Jt tcavenain : ru , marchant droit à la beeiinUM: celle-ci, voyant l’étrangw vaniH à eiRL Sel retira précipituamenL S ap héMsr, M. i Tan Ossen entra dau la boutiqu». « I'- s’adressant à la jeune famma de s’assMir.à son comptoir : -r- ^dam e, lui dit-R, me penaeHes-- vop de vop adressw qifalqiM questionr — Au sujet dé M. te comte deLakaanef Oui, madaise, an sujet deuMs 1» comte de Lassene, dont je snis Ifauriii — Je comprends : véaeseedrianUaMip . pourquri l’hôtri est désari et p e u n e * ! « t à tendre?, , , ~~ — ftii; mais flam serait teanfitiH É i- f r - U r n itemundeiÉteq de vensi donné tel VDudérirez; V -. A'J

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f4* Année, — Ah iO^, CINQ CENTlMEg i k. lÀ G B N T H U âgM 4 m j m e A û : z ê r JS tée & a ^Ê ie - é S ( ^

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Oi t'UMia “ J, B d m las Ixmaiil da posta. — L’alxuiaamant aat MnUadSTinea at aontmoa da plaindroit Jiiaqn’àideap£od’sTia conlam.

R Î D m tio â . M

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. -. J .', ' . , Xaginoiii«tÿTai,'<iii^^

NOTRE FEUILLETONIfou» commençons aujourShm la

^làation de

I j ’ I I D I O T Ê Îp w E m i le m C H E B O V R G .Hauteur est trop connu pour qu'il

fjii nécessaire d’en parler longuement, h faveur avec laquelle le public a leeueilli ses rom ans^ait leur meilleur

[ {loge La plupart ont été publiés par I lei grands journaux de Paris et de ifrotince et ont. trouvé auprès du lec- teitr le même accueil empressé.

Parmi tant d'œuvres si vivement tfprédées

L ' I D I O T Et ni dès son apparition un succès écla- tant, . _

iu milieu d’une intrigue passion-, sente se développent plusieurs carac- üra sympathiques qui viennent doubler im intérêt sentimental la curiosité du lecteur habilement avivée jusqu’au dé- scûment.

Sentit, U S Décembre tSOS

LA LOI

. Quand les Cbambrea se livrèrent anx I litTagx préparatoires qui aboutirent au I TOta de la loi sur les accidents du tra- I TiU, on pensa d’abord à rendra l’assn- I luca obligatoire. Cette solution fut I npooiiés par le Sénat, et l’on s’arrêta I lia combinaison suivante :

Lssindnstriels'assnjettis demeuraient Ebres de contracter ou de ne pas con-

I tracter une assurance; seulement, une I eaiue de garantie ét^t constituée qui I dtTsit protéger les ouvriers contre l’in- I ttlrabilité des patrons ou assureurs dé- I kiteors de l’indemnité. Cette caine, I dont la gestion éta it^ n flée à la Caisse I de: dépôts et consignations, devait être I ilimentée par quatre centimes addition*I ml! à l’impôt des patentes.I Restait à déterminer la situation qui I mmt faite aux industriels qui auraient I pii la saga précaution de traiter avec I ne compagnie d’assuranees, au cas où I Mtte compagnie deviendrait insolvable.

A cette difficulté, la loi de 1898 a mimé m e solution ingénieuse et juste.

I Quand le patron est assuré, il est à l’abri I detost souci, et la Caisse de garantie I doit pa rer les indemnités à sa place en I u de déconfiture de la compagnie, à la I «nditiott expresse qu’il ait traité avec I compagnie agréée par l’Etat.I Loi compagnies ne peuvent donc flaire I T opérations d’assurances contre les I te?*** 1898, qu’après avoirI itt autorisées par le ministre du com- I airce. Chaque année, une Hâte des so- I !• ji ®“*®risées est dressée avant le

t décembre. Si quelque société, autre- M autorisée, n’y est plus inscrite, cette ■dpftMsioa entraîne, comme consé- j*®ce, la résiliation de plein droit des

1 La patron qui, assuré & une I îyP ''* *iosi exclue, subirait un si- 1 Ml établissement après pu-I ^ bste à l’Ofjlciel, ne de-I en conséquence, compter sur 1 lia la Caisse de ganantiè. Il I "^ itieu l tenu de payer 1 indemnité,

la liste a paru ces jours-ci au

^LE TO X DU COURRIER DE L’OISE

l i d i o t e^ m il e

PAR

R IC H E B O U R G

p r s k iè r e p a r t ie

L a c h u t e

Un ■ 3 '^ '' *titre ^“ ®ois d’avril de l’année 1860 , ’ciioas.,! heures du matin, unetut le ^ da Berri, de-•'■bseenrl. - magnifique hOtel bâti

■ La portière du coupé 1" “ homme qui parais-

d’années sauta * 1* tonreïîi^j Cet homme, grand l*® »stnml ? ‘*l'®*’iée, portait un élé-

royage. Céiait évidem- “'Csacert?.?®'’’ indépendamment

‘fi.Unen^.J® qui pendait à sonr ’ 'ien 'i® de cuir orcupait les Ifiiblocd! ol *,® **® «oher. D rlo rgs fa- . *• ancadî • P®* ait à la manière an-

physionomie ' 1, ®oniontemsnt. Tout en

"II. an homme heureux et satis-

**» ^ é t t r sî? dit-il an cocherirN.UtoJ«S®“* étranger.

«fillo de l ’hôtel, petite, porte et mit là

**«ia bnfi? i ? '**‘tut de sonaette ne se fit en­

Jo a m a l officiel, e t cette puldication a offert, pour la prem ière fois, le grave in té rê t qne prévoyait M. Mirmatij très compétent cums la question des acci­dente du travail, en déposmit, avec de judicieuses réflexions à l’a i^ n i, une proposition de loi su r le bureau de la Chambre.

Depuis la loi de 1898, les comjiagnies d’assurances se sont fait une concur­rence M ham ée. Les charges qu'èlles ont subies ont été plus lourdes , qu’elles ne le prévoyaient, e t pour quelqnes- lu e s , les résu lta ts financiers n’on t é té rien moins que-brûlants. Il y am êm e en des catastrophes, e t su r la liste publiée par le Jotm al officiel, tro is soiflétés ont disparu.

On s’est justem ent ému de la situation qui est faite dès aujourd’hui aux indus­trie ls ayant actuellem ent pour assureurs des compagnies n e figurant plus sur.la liste. offlmeUe. .

Ces indusM els n ’hésiteront pan' - i s’adresser aux au tres compagnies main­tenues su r la liste ; ils ont été d’ailleurs bien vite avertis du danger pa r les dé­m arches, très légitimes du reste , des agents des compagnies rivales qui s’ef­forceront de succéder aux défuntes.

N 'empêche que cette substitution d u n e compagnie ê l ’au tre ne saurait s’opérer en un instant. Quelques jou te sont nécessaires pour les négoeianoiu. Or, pendant ces quelques jo u rs, le patcbfi ' se trouvera dépouillé de garantie. Qu’ut! accident arrive , e t il en supportera les conséquences sans que la Caisse de ga­ran tie soit tenue de le couvrir.

Pour obvier à cette invénient, la Chambre v ient ide voter uilê proposition de loi ainsi conçue : c Lorsqu'on ar­rêté^ du m inistre du commerce aura décidé que l'assureur a cessé de rem ­p lir les conditions prévues à l’article ' suivant, la Caisse nationale n’aura droit à un recours contre le ch e f d'en­treprise que pour les accidents sur­venus p lu s de quinze jours après la publication de cet arrêté au Journifi officiel. »

I l est k souhaiter que le Sénat adopte également e t d’urgence un tex te qui ne comporte aucune critique e t dont l’u ti­lité est manifeste. Le m inistre du com­m erce, qui é ta it renseigné su r les me­sures qu’il a llait prendre, ' qurait bien agi en demandant au Sénat, dans le courant du mois qui v ient de finir, une délibération e t un vote rapides. Que, du moins, les précautions soient prises pour la prochaine échéance.— -----------------— ♦ »

BOHOS deJPARTOÜTA P aria.

Jeudi, un des chevaux de l’équipage da M. Loubet, qui conduisait lui-même, s’est abattu. Il n’y a pas eu d’accident.

— Le groupe nationaliste de la Chambre a adopté un ordre du jour protestant contre 1a reprise de l’Affaire Dreyfus.

— M. Rouvier a renoncé k établir de nou^ veaux droits sur le café.

B u s IM Deparleaiaats.' Les ouvriers du port de Bordeaux sont

presque tous en grève.— Les partementaires Anglais ont été recul

à Marseille qu’ils ont visité.— Jeudi matin, un des assassins de Mme

Denizart et de son petit-fils, a été exécuté k Beauvais.

tes Bueqsa— Le ministère espagnol a donné sa démis­

sion.— Le Reichstag Allemand s’est ouvert jeudi*

1 rv . ., S S I S I X T S B ^ ^ I O X r SAanonce«:14«lM„. 0 ,i0 e. ta ligne. | Réeltanès .

9-»» - I Pû t. direr.:;..™ ;:;,:;::,ow irsoMPTi lUs D'urm uiuta stMaasegsti i M 'naiê —

Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les DépartemenU sont reones diraetement j a u b u r^u dn jooraat . •

IfPe :

L’Empereur n’a pas présidé la séance, le ClUB- celier a la le dUconrs du: trône. ' v

— On annonce que l’Autriche .et la R n k ^ Vont adresser un ultimatum k la Porte, -

— Les nonvelleav (m plus eontradlctofaes circulent sur les relatioiu entra la Rnstie at Japon. '

L E F A I T i y y j é U E

Opt^iszxie.

M. Rouvier a cherdié à teacn- re r la Chambre su r notre sHuàtieii financière. Il serait injuste de ne

pas constater une amélioration dans nos finances, mais il serait imprudent de les croire prospères. Parmi les causes de la baisse de nos fonds pùbUite^ Idiifistre des Finances a indiqué le des denx ùkr néesp ré^d ea té s atleim tteStdesibhdsif^ calttes d’épargne. V aisrillffrpM dit-qiw ce déficit e t ces retraits provenaient de l’inquiétude causée chez les capitalistes et chez les déposants par la polittque du gou­vernement. Sans doute, M. Rouvier ne nous a pas montré les congré^U ons fai­sant baisser la rente par des nùmcauvrés souterraines, mais il S’est plaint de la cam­pagne menée contre les Caisses d’épargne, tout en la isù tram ù q n erla tem iité avec la­quelle ces caisses ont tembôursé dés som­mes énormes. Mate SI. le Miniétre est un financier trop avisé pour savoir qae la confiance ne se décrète pas. Les « partis > auraient beau faire, si les collègues'de M. Rouvier ne troublaient pas le pays à plaiéir, les dépôts dépasseraient de beau­coup les retraits. De même le déficit des

.deux années 1901 et 1902 est dû à la politi­que d’aventure de la ' détemte IrépdiltoÉie et du bloc.

M: Rouvier espère même pouvoir échap­per a un emprunt. Mais... mais il compte beaucoup pour cela sur la sagesse de la Chambre. Sans être grand clerc en finan­ces, je ne partage pas son avis ; la Cham­bre raisonnable, la Chambre économe I iCela nous changerait fort. Le jour où les .députés auront renoncé a féirè de la sur­enchère électorale: avec Paigent d é 'la

^Princesse, on pourra voir i& le commén- :cement .de la sagesse ; mais ils ne me sem- .'blentpas très décidés à reiùser quoique ce so itèleu rs électeurs sons le prétexte, qui semblerait ridicule è ceux-ci, de n’élre pas acculé à l’emprunt.

Et puis le gouvernement pourrait peut- étrebien commencer pardonner l’exemple. Son programme antireligieux neus coûte et nous coûtera très char, il le sait et pour se donner une excuse il se fait dire chaque jour par ses anfis que pour l’ceuvre de la laïcisation on trouvera tOiyours de l’argent que le contribuable'se saignera encore un peu plus avec Un vrai plaisir pour cetteœuvre de progrès, d’afibènchissement de l’esprit humain. D’ailleurs on ne deman­dera pas l’avis du contribuable.

I-e gouvernement sait aussi que l’appli­cation de la loi de deux ans sera fort coû­teuse. Pourquoi donc s’est-il haté delà teire voter; pourquoi n’â-b-ii p ta 'é co u té les avertissements qtu. lui furent donnés par. quelques sénateurs assez soucieux des intérêts de la défense nationale et de nos finances pour combattre cette loi soi- disant égalitaire t

La sagesse du gouvernement autant qne celle de la Chambre nous parait assez problématique pour que nous conservions encore quelques inquiétudes sur notre si­tuation financiers. — PAui, Coiinié,

SAÏ«.1WI COSSU

P O B L E M E N T

Séch» étis S déetm£ri.JT. fa»y,~dépnté de Lorieot^ piûtatte

contre le départ des sosariet les sebniafii»! l a n ^ conee elles paf le ministre de la

ju tr in é .'’■M, .ewilbtaux, également député de

L arièttt,d if: < Jé'tiens; eomiûe’rtoàbli'- e ^ , fils et petit-fils dé répdblietda,' i a e e s ia r pax sœnrs hespitaimies lliom - mage d e in a reconnaissance « f dé mon prafead regret ».

Puis' les derniers ebapitros dn bndget de Irm arine sont vbtés.

L e budget des fibianoes. l a Chambre alioiffé iraW te ladisciasien

dû bnbget^dn minittèra dés fidanées.M. fib n Jimet ta félicite du relèvement

dd oonrs de la rente et des prat-valhet de réce tte tin attrlbas à 'n n e eamnaghé-de

retraits de .fohfit de la Caisse d’è p i i ^ e et demandé an nfinistre s’il est tonjoars dans l’intêntion de prendre, les cas échéant, des mésnrés pour remhonrsef en bibc les déposants.

M. Rouvier. — c J ’y ai renoncé dans l’in- térét des déposants eax-mémes, mais non dans l ’intérêt de rs ta t. »

M. Éeauquier regrette qne le ministre n'ait point réalisdcertaines économiéS et prooMéla suppression d’nncertain nombre da tenctfonnafres inntiles.

M Bim jifr déclare qn'O les causes de la baisse de nos fèndspnfiUcs sont multiples e td ’ordre différent 11 constate qae cette baisse a été générale en Bnrope, Il en tire argèmeht dn récent empm nt dn Crédit fonder ponr assnrer qne la France n’est pas iqipMvriO, qne le vieux bas de laine a été reronstitnéi S reconnaît qne ce vienx bas de latne est ponrnne grande part dans ies attentions des nations étrangèi es k notre égard.

,Jf. Beavquier tient anx économies ton- jours promises

U. fiouvicr répond.: i i vops trouvez une majorité pouf supprimer les 'sôus prèféts et Inplupart des fonctionnaires, eh' bien,' je s e n i avec vous de grand cœur.

On fit e t on s’en va, après avoir décidé, . in r laTiroposition de ï . Chabert, de régler la'qttOstion des majoratrparune'loi.

Séance du 8 diêmbre.MM, Gaston Memiet et Roger Ballu se

plaignent des inconvénients ce la pièce de 26 ctnim es en nickel, pan esthétique et fa­cile a confondre avec une pièce de 1 franc.

M. ffottcter d ita n contraire que le pu­blic en est très satisfait.' On dM de de modifier le revers.

M. Violette demande inutiimnent la sup­pression de droit de mutation pour les ventes d’immeubles inférieurs k 500 fr.

M. Klotx, an nom de la commisiion des douanes, s’élève contre le projet de relè­vement des droits spr le cafe.

MM. Sitgfried et Brindeau, députés dn Hévre, appuient ces observations.

M, Siegnied croit qu’il vaudrait mieux au contraire abaisser les droits.

Jf. Rouvier défend les droits.♦ " ■

Séance du i décembre.M. Rouvier a renoncé k augmenter les

droits sur les cafés et i faire état des 15 miliiODs dn ciédit agricole, pour éviter a tout prix les douz’èmes provisoires.

M. Germain Perrier propose d’acquitter les quittances avec des timbres-postes k défaut de timbres-quittances. Renvoyé i la commission du budget.

M, Cunéo dfOiitàne dààande et obtient qne les procès*verbanx des agents des con- tributions'indife'etes et des octrois ne feront foi que jasqn’é preuve du contraire, et nue proposition adoucissant les rignems de là foi pour ies délinquai ts de bonne foi en matière de beoilieurs de cru.

MM-. de Pomereu et Arehdéacon disent

S i’ih né voteront pas le bndget; JT. Fa«l-n f également.

, déclare que les progressistesv o te n t 'l e budget pour ne pas arrêter la vie nationale.

, .Lé btbiget est voté par 179 voix contre 57.

S E N A TSéahce du 8 décembre.

L es N onnisaons.Le Sénat aborde en première déübéfa-

tien la proposition de lot sur la protection des mères et nourrissons. ' . ' '

M. Paul Strauss, rapporleir,, a la pa­role. . ..L’orateur demanda que la clandestinité

soit assnrée anx mères qui venlent éievef leur enfant et il conclut en rappelant une—- —-—- -- 1. uuoparole de Jaies Simon (}nip faisant allnsion a la dépopniation de notre pays p i pré cape tons les hommes réfléchis, disait :

c Un peuple qui laissé ainri gaspiller sa population future, mérite ce qui lui ar­rive. > (Vifs applaudissements},

le docteur nos{te;aéttatenr;de Constan- tine, craint p e la proposition de loi, qui lui sembla trop réduite, ne donne pas les résultata qu’on attend d’elle et il panse qu’il serait s a p d’appeler entre deux lec­tures la commission m s finances a donuer son avis snr les consépencés finuciéres.

Le fopportettr insiste pour l’adobtion de la jureposit'oii de loi.

La discussion générale est Close. Les ar­ticles sont adoptés.

Le Sénat décide qn’il passera a une denxième délibérât on.

Le Séuat adopte en première délibéra­tion on projet de résolution de H, Victor Leydet. tendant a modifier le règlement poor activer le travail des commisrions.

Il prend eu considération nn projet da répolutlou de M. Dronhet tendant a ia no­mination dune commiuion de dix-huit membres.,

Le Sénat s’ajourne a mardi, trois heures.

La Note gâte.Cu Jtntn demim, le Journal de GenèTa

commençait pomptuiement ton article de tête fa r cette carieuse eonttatation ;

< Défait que le dix-neuvième siècle est des­cendu, vieux et chargé d’année», dan» la né- eropole de Vhistotre... »

Ôest tout de même vrai : le dix-neuvième siècle est mort centenaire ; mais ce qui serait flus curieux encore, ce serait qu'il fût entré dans la « nécropole de l'histoire a avant d'avoir cent an»/

* *La cuisinière de AT”* Crétinot revient du

marché sans rapporter une dinde que sa mat- tresse lui a recommandé Cacheter.

— I l n’y avait pas une dinde dans tout le marché, explique la cuisinière.

E t Af“ « Crétinot ;— Si j'y avais été moi-mime, ü y en aurait

eu une, je vous assurel

NouveUes militaires.Lie s a c d u S o ld a t.

On annonce que le ministre de l a p e r r e vient de confier an cenieil supérieur de la p e rc e le soin d’examiner trè i atttenti- v p ien t la qaestion du i P qui, ramené an poids de s Kilos 300 a la suite de certaines améliorations, est encore trop loord p u r le fantassin.

11 y auradiev de réduire les effets p r - tés par ühommq tout en augmentant les vivres, cctnejlement j ü ^ p u insuffisants pour continner ia bataille qui p u t durer plusieurs jours.

.D’p p i r e coté, le miniatrq.de la guerre a donné les ordres formels, an p fém en td n Mmité techniqhe de i’intentene pour qne cotte réforme soit étudiée afin de voir s’il ne serait pas n p seulement possible dé di­

minuer le p»ids total dn sac, nuis m t m de pariager le sac en deax p r t i p s , dont lu n e ne routiendrait p e des vivrik et t êûtre, p i . p o rra it se sépuer, contien­drait les effets. . .

üratBnmiLe'Bloc avant tout.Mardi d e m ie r,Ia barque m inistérièllè

faillit jsombrer. A. des acen sa tio u nattés, à dès "faits précis, à d p prenT PaecÉ - blantes, M. Pelletan te p a te n ta d’op- ' poser des affirmations. I l n ’a p n v ian en personne, p p 'm^me p n x qui, comme MM. B àndonet Noël, w nvéran t p jo n f- là le ministère. Cependant, dès dM ifite m inistériels euren t le courage de p lu w r les in térêts du pays a u - d e u u d p în|iiÀ rê ts du Bloo ; MM. Loekroy, ChaninM, Siegfried v inrent o rie ; au payp eom- mmit M. Pelletan d é s o rm iip notre m arine. MM. B a u d p e t Nofil tronvià- re n t, au contraire , q i» la d é fan p n a ­tionale, nos popu latiop o u v rié rp p a ­vaient ê tre saoiifiép pour m u v p le m inistère.

Cependant, leé faits w n t aoquis. Ja ­mais le favoritism e, si rudem ent ohm- battu par M. Pelletan Journaliste^ ne fu t plus cyniquement pratiqué p e par M, Pelletan m inistre. S u u p r a n ^ l’avis des ingénieurs,.Bi-oeux d p am i- rau x ,.il w m m an d e-o ^n d iéçp et, n u s - m arins, e t s e n fa n tr is ip n o u o o f i ^ t 400.000 frmics pour un seul enirasséi; par contre, i l a rrê te 1p eom m andp faites p a r s p p rédécespurs, pane, outre les o rd rp du Parlem ent p câr les c o p tr u c tio p n a v a lp , r e ta p e les essais, signe trop tard les au to riu tions n écpsaires pour, p p se r I p m archés, s’a d rp se aux maisons étrangères plutôt,'' qu’à notre in d u tr ie natibnalri T ont cela a été dém ontré; peu im p r te à MM. Bandon et Noël, M. Pelletan fait^ partie du Bloc ; il e s t intangible.

Le m inistre.de la m arine m e t-sp opi­nions et PS fantaisies au -d ep u s d p r è g lp adm in istrativp o rd in a irp e t d p - expériences des hommes du m étie r; il fait m ieux encore, e t son bon plaisir l’élève au-dessus des lois. De sa propra au torité , il supprime une peine qu’il a" seulem ent le d roit de conûnuer, e t, pour faire dispantitre Ip tr a o p de cette illé­galité, u pm m ande à un amiral de commettre une au tre ülégalité, en dé­tru isan t le dossier compromettant.

Tandis qu’avec t o u les dépntés m u - cieux de l’avenir de no tre m arine, de la prospérité de no tre industrie nationatei de la bonne gestion de n p fin an ça gg du respect des lois, I p députés libéraux de l ’Oira o n t.ire fu é de donner au m f- n istre une m arque de ra n fia n p , MM. Baudon e t N cël on t approuvé t o u e p actes d’a rb itra ire , de folie. P our eux , périsse p lutôt notre m arine que le Bloe«

P . 0 . ♦

Totou de Bill* les Dtemgés d e ro ise .

Séttnet du i -décsmàn IttS.Scrutin sur l’oréra dn Jour par tesim sli

(iotcrpcUatton de H, Lozknqi sur la .surins), Pour tedoption, 297. - â a trs , ÎU : ^Là Q ttiabrt t tdoDÙ*Ost voté peur : H K ^ n lo u et NsO.

„ nf* *' **■ •àtié'gisr» Bofusoil,CaUlûd, Htndneoart. .

Sianes du idéetmbr* SMS.Scratla sur l’ameodtmait P H. CastiDc

Pouqust 1 l’arttris 8 P Is hd P flniiinsi

tendre. Toutefois, le voyageur attendit un instant, prêtant l’orsilie.

Voyant qu’oa ne venait point lui ouvrir, il saisit de b o u t pu le bouton de cuivre et tira plus fort. Il y eut en p e tit grinpm ent de fer d a p la maçonnerie et p fut tout.

— Je crois bien, monsieur, que p t te belle naison est inhabitée, lui dit alors le rocher, qni regardait du haut de son siège.

— Comment, inhabitée T répliqua vive­ment le voyageur e n se retournant.

— Oui, monsieur. Tous les volets et toutes les persiennes sont hermétiquement fermés ; et puis voyez, sur ce p ilu tre de la grille.

Le voyageur regarda et vit nn P riteau sur lequel il lut : Hôtel à vendre. S’adres­ser à M. Corvitier, notaire, rue de Pro­vence

— Je ne pm prends pas, murmura-t-il en. hochant la téte; qu’e st-p que p l a vaut d ire î

Hais il fallait m rendre à l’évidenp : l ’bdïet était inhabifé.'

Un pli s’était subitement c rep é sur le front du voyageur.

— Voyons, voyons, dit-il, en m rappro­chant du cocher, v o p vous êtes peut-être trempé, sommes-nou bien ici rue de BsrriT

— Parfaitement, monsieur. Je ne sais pas un novice, moi ; il y a trente ans que je fais le métier et je connais Paris comme ma poche. Je v o p ai amené rue de Barri n* 33, où TOP m’a v p dit p vous con­duire.

La voyage» r p ta nn moment p ep if, le front soucieu.

— Eh 1 bien non, dit-il, en laissant voir sa vive contrariété, je ne conprenP rien à cela.

Il se di'posait à remonter P n s le fiacre pour se faire condoira ailieun, tenqn’ga

homme d’un certain ége, a u cheveu gri­sonnants, à la physionomie calme et a p - tére, s’arrêta devant la porte d’entrée à laquelle il venait de sonner inniilemeot.

Comme loi, le vieux monsieur tira le bouton de cuivre et parut étonné, ou de ne p u entendre le bruit de la sonnette on de ne pas voir la porte s’onvrir immédia­tement,

Alprs le vcysgeur s’avança vers le rieil- lara.

Les deux hommes sa saluèrent et res­tèrent an instant s ileneieu , se regardant.

— Si je ne me trompe, monsieur, dit le personnage a u favoris blonds, v o p vonitz faire u e visite chez M. le cointe de Las- serref

-— C’est vrai, monsieur, et je sois sniv pris, t r u surpris...

— Que u t te porte rw te fermée f— Oui, monsieur.~~ Bh bien I m ossiép , ma surprise est

égale à la vôtre, et vous avez devant v o p un homme fort désappointé. Je suis un des amis du comté de Lasserre, et, je p e u le dire, un de ses meüleurs antis.

Le monsieur s’inclina.— Votre accent indique que t o p é lu

étranger, m o p ie p . dit il. A qui ai-je 1 honneur de parler f

Le voyage» tira de sa poche nn petit po^fen iiie dans lequel il prit une carte qu li mit d a p la main du vieilfard.

— Ah I fit aussitôt ulni-ci, vous êtes m o p ie » Van Ossen, banquier à Amster- damt

— Rst-ce que mon nom v e u k p t connu fT . ¥ ' *® ®*“ *® Laaserro à sonvent

p u lé de VOP devant moi.— A o n , TOUS é tu aussi nn ami dn

comtefOui, m onsie». JesnisTicoriirésident

d une tocièiè savante dont H, le comte.de u sse rre p t un d p princiÿhnx membres.

Hier, n o p avons eu une séance à laquelle M. le comte de Lasserre devait assister p o » entendre nn rapport sciantifiqae dm p lp mtéressanls. Son absence m’a sérieu­sement inquiété ; j ’ai pensé qu’il pouvait être maladi, et je venais, ce matin, m în - former de l'état de sa santé.

— Ainsi, comme moi, v o p ne savez n e n ï : ,

— Absolament rien, m ensie».— Vraiment, je ne sais quoi m’imaginer,

reprit le banquier hollandais. Je> v o p di­sais tout à l’heure qUé," COiùdté vous, j’étais très suipris ; v o p a 'it z voir, m e P ié » , que ce n est p u s a p raison : Il y a quinze jo » s ] écrivis d’Amsterdam an comte de Las­s e r» u e , ayant à faire on voyage A Paris,

-jah e m anqueras pas d’a llrr foi demander' 1 hppitalitè qn’il m’a . souvent offerte, me fa to n t une joie, d e p ass» prèa de -lui Im quinze jours ou trou sémamos dé mon sè- j o p d â p la grande .capitale. Immédiale- mènl le u m tè m e répondit qu’il était enchanté que m p affitiru m’appelassent à Paris, que m maison tout entière éfait à ma disposition et ses b r u ouverts pour me recevoir. •- Xi ajoutait qu’il était heureux de pouvoir

enfin' me présenter à la comtesse de Lasseire, qui me connaissait déjà comme un vieil ami de son mari.

n t o t v o p dire, m onsie», qu’il y a plus de qpure a u qne je n 'ai p u vu mon ajou, le comte de Lasserre. LOrs de son ma- riago'j’étais en Amérique, ce qui m’a em­pêché d’y assister, à mon grand teirêL '

IMU sa lettre, le coùtèm e pudait aussi de sa petite Lnei^ u fille adorée.

Oui, aderée, s ^ u y a le vieux savuit; M. de Lanerre n t fon de flUé.

— Enfin, reprit le banqitiw, la lettre da ' mee ami é taitdas p l p aSeetaeuses.

.ff ie rj’ai quitté Amsterdam-*et tent te l’heve je snU arrivé à Paris. J’ai pris à la

gare du chemin dé fer du Nard la vo it»e que voilà. Tout jo y eu , en popant que Je vais revoir mon ami et le s» re r dans mes bras, je m’approche de Cîtte porta, A mon grand étennemàit elle ne s’onvre point. Ha s» p rü e augmente encore quand le co­cher me dit que ton tp l u fenêtres de i ’tôiel sent closes nfrme fait voir, là, cet éwiteaa. Rcgà'dez, m onsie», regw dp : Hôtel à vendre.

— Ôai, hôtel à vendre. G 'u t singulier I— laeiplicable, monsieur I— C’e itv ra i.— Ah I quelque chose me dit qu’un mal-

h e » épOdvaniable a frappé le comté de Lasserre.

— Mon Dieu, tout est possible, inéinece qm parrit invràisâiiblable : mais j e Veux cntire encore qne v p eraintés sont exaaé- ré u . •

Le banquier secop tristement la téte.— Asiurément, po»!o iv it le vieux sa-

vàéi, nous sommes en présence d’ûn frit eAtraordinZire ; ponrten^ m ouieur,'avant dénoas alarmer, avant de s u p ^ r r q u notre ami est victime d'nne catàstro^e qnelcosqu, p o »quri ne pas admettra qa’U a quitté ét mis en vente son hôtel p o » une toute autre c ap e T H y a dans la vie tant de choses imprévuw I P o » 'ma prirt, je crois que rien de fâcheux n’est arrivé à-H. le comte de Lasseirra, ét il me semble que vous ponvu'vous rassurer. No p ne 'tarderou pas, s a p doute; à avoir TexplicstioB de de qui, p o » nous, en ce inbnteiri,-est^aâ%iystèra. -

i - Æ S - l M / ’"est très bien, se a{««ts

H :T air8 sso n ;m au je iw sufa* i m « £ t rassuré : je suis, au confralre, d a ù s ï ï ie g iU d s h i^ M d a . J a v e à bien qa’Uy ait

événement qui force in namma g dispa­

raître ainsi, snbitement,n’ériatei______un coup de foudre sans avoir été pévn on tont au moip pressenti. Or; dan la-lMN du comte de Luserre, rien ne Jiaitse neir qu'il appréheade quelque-malhMF. Et» po»tant, je-le sop, l’an suis sfir. onaloM chose de terrible lui est arrivé,

Et H. Van Ossen restait immohOa n r 1» trottoir, la téte inclinée, réfléehisaat.

— Rh bienl bonneois,eù «friniv-iiins maintenant? Ini demanda le cocher.

La voix de l’antemédon Ht irmeillllr l’étrangw et TarTachaàsarérerie.11 réé i leva brusquement la téte. Aleti,::en f tu

: de Ini, de. l’autre côté de la rnà, il vit « n i j«nefemmequiidaboms»le sa r itd è lii porte d’nubeu tiqu , semblait le n ia r tw curieumnenL

— An fait, se ditdl, estte faune ne pMt4ire paaToiriuifensa^aK.

Baprfamiiire n u oodier, Jt tcavenain : r u , marchant droit à la beeiinUM: celle-ci, voyant l’étrangw vaniH à eiRL Sel retira précipituamenL S ap héMsr, M. i

Tan Ossen entra dau la boutiqu». « I '- s’adressant à la jeune famma de s’assMir.à son comptoir :

-r- ^dam e, lui dit-R, me penaeHes-- vop de vop adressw qifalqiM questionr

— Au sujet dé M. te comte deLakaanef— Oui, madaise, an sujet deuMs 1»

comte de Lassene, dont je snis Ifauriii— Je comprends : véaeseedrianUaMip .

pourquri l’hôtri est désari et p e u n e * ! « t à tendre?, , , ~~

— ftii; mais flam serait tea n fitiH É i-

f r - U r n itemundeiÉteq de vensi donné telVDudérirez;

V - . A'J

Page 2: S'bmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_12_06_MRC.pdfA -x f4* Année, — Ah iO^, CINQ CENTlMEg ik. lÀ GBNTHUâg M 4mjmeAû:zêr JStée&a^Êie- é S ( ^ L’OISl fs» fp. 50)

Ç O T ] j |R p ^ . ] P Jp’O ISB

Cet u&(Bd<iEeBt (s t lissi e o tç : :

t a *S 3 ^ ^ " C o n e t, 1 3 t

' tfiifovr.

gnntfn n u l'aineBdnDHit de M. de Ceitelnnià l’erüele 3 de le loi de llMBees. .

Cet tOMBdeBWt trâd k rédiger t iu i cet

**€*8<mt eoBiidérés, pour U p e re e p ^ d n

ne apperti u>ou>u>» — - — - , —loi et éévetos. es tout on en pertle, eMt en ^oépioÿriA é. lo't en niofmit. an eonjwt rarrlTent « i w t a d’nne e en jen t^ defe rwiriâit deiu lee termes des «rttelcs ISIS k

519 et IBM k 1535 dn eode elTÜ. »Ponr l’adoption, 311. - Contre, 3M. Lt.Chtinbrt s'a p u Adopté.Ont TOté pour •• MM. Àndigier, Daqatanel,

Gaillard etHaodrioonrt.Oat TOlé «outre .* MM. Bandon et No8'.

»C o n tv ib m t to n a I n d i r e c t e s .

Un concours pour le surnumérariat de i’AdB|iinistration des CoBtributions indi- reetes aura lien an chef-lieu dn départe­ment le 49 mars 4901. ,

iM 'flH talaats deTrpnt se faire lu c ru e et (oarair lear;<dossler arant le S3 jauTier 490k, k la Dkeetion de ^eanvais, 48,rue de Geivres.

Tons les renseignemeats re la tif aux conditiims d’admission et aux pièces a produire seront fournis aux candidats, soit a la Direction du département, soit a la sens- directioB de Sentis, 36, faubourg saint-MartiB, ,s9it chez les divers Rece­veurs des Contributions.'

■ ♦ —T e n te s d l T c r s e s ,

Las nouveaux propriéttûres t 4” D’automobiles;S° Ds voitures suspendues, attelées ou

non, destinées au transport des personnes; 3» Des chevaui, mules et mulets, ter-

vant à atteler les voitores imposables; ' i« De chevaux dé te lles; ,5< De chient, sont tenus d en. faire la

déclaration à la mairie, de leur commune avant le 45 jan v ie ri 90k.

6° De vélocipèdes ; ,7° De billards publics et privés.Sont tenus d’en faire la déclaration à la

mairie de leur commune avant le 34 jan- v ierl90k. . jz , • .

Faute de déclaration dans les délais ci- dessus indiqués, les possesseurs des élé­ments impostdiles seront passibles des aggravations de taxes édictées par ia loi.

♦- -M o d i B c a t l o n s a u a e r v l c e d e s

- t r a i n s d p a r t i r d u 1 6 d é c e i n . b r e 1 9 0 3Les traiss de voyageurs ci-aprés seront

supprimés à partir du 4 6 décsmbre :675, entre Paris, PontoiseetBeanmont; 644, entre Pontoise et Beaumont,74 i , entre Bsaumont et Paris.Comme conséquence de la suppression

du train 675. ie train n* 6Î8 partira de Paris à 6 h. 35 soir et il sera prolongé de Pontoise k Beaumont, ainsi qu’il est indi­qué aux livrets et affiches du service en vigueur. ^ _________

IzC s w a g o n s d e 410 t o n n e s .La Compagnie des chemias de fer du

Nord vient de consulter les constructeurs de matériel de chemin de fer ponr la four­niture de SOO 'wagons plats de 40 tonnes, ce qui est le commencement des comman­des de véhicules k gros tonnage.

--------------- f.--------------G r a n d e T o m b o l a

BH FAYEUH DES AGEHTS, SOUS-AGBHIS ET OUVBIERS DES POSTES

Une grande Fête artistique au profit des veuves, des orphelins, des dispensaires e; sanatoriums postaux aura iien prochaine msn k Paris.

A cette occasion il a été organisé use grande tombola, eomprerant plus de 4.000 lots, offerts par le Président de la Répu­blique, les Ministres, le Sous-Secrétaire d’Etat, les membres du Parlement, etc., et dont ie tirage aura lieu k l'issue de la féte.

Le prix du billet de cette tombola est de dix centimet.

Tous Tes agents des postes, receveurs, ouvriers sont dépositaires de billets, ou peut donc s’adresser k eux pour en avoir.

♦ .A p r o p o s d u C o n g r è s

d e s C a n t o n n i e r s . Impression d’un Déligui.

Au cours des nombreuses discussions qui eurent lieu durant les quatre séances dn Congrès et les discours prononcés par les divers membres du Parlement, k l’issue du banquet qui clôturera ce Congrès, une chose a plus particulièrement attiré mon attention. Je veux parier du crédit de500.000 fr. affecté k la bonification des pensions de retraites des vieux cantonniers des ponts e'. chaussées.

Ce crédit de SOO 000 francs affecté k la bonification des retraites des vieux can­tonniers, croirait-on qu’on ne trouve pas k l ’employer, alors que de vieux serviteurs ayant 80.ans d'kge et 40 ans de service sur ia route sont obligés, pour ne pas mourir de faim, de continuer k travailler comme auxiliaires k raison de 4 fr. 50 par jour, leur retraite ne s’élevant qu’k 231 francs pour vivre l'homme et la femme ; je pour­rais en citer un qui se trouve exactement dans ces conditions ; il a versé ponr la re­traite pendant 24 ans, et voici de quoi elle se compose : Retraite pour loi, 88 (r., plus 48 fr. de bonification pris sur le crédit de de 500.000 fr., 406 fr. ; retraite pour sa femme, 404 fr., plus 24 f r .d e bonification : 4 25 fr. ; ensemble 231 francs. En supposant que sa femme qui a 78 ans, vienne k mou­rir, voilk un homme k qui il resterait 406 fr. pour vivre ; n ’est-ce pas dérisoire 7

Cet exemple ne suffit il pas k lui seul lur prouver .qu’il est facile d’employer loyalement et humai&emeat ce crédit de500.000 fr. Et bien, comms nous l ’a fait si justement remsrquer l’honorable M. Joli- bois, président de la Société des conduc- denrs et commis des ponts et chaussées et des mines, on ne trouve pas l’emploi de ce crédit et de ce fait la commission du budget se trouve dans l'offilgatlon de le réduire.

A qui la fauta si ce n’est aux bureau­crates qui ne vealent pas prendre la peine de rechercher les moyens d’en fûre une répartition équitable.

Conslns'On. — Ce fait démontra sura­bondamment que, scui prétexte de faire des économies, on rédmt insensiblement la bouchée de pmn des p ^ t s et personne, jusque ik du meins, n’a songé k élever la v«ix.. Espérons que le Congrès aura fait ouvrir les yeux et coutriboera k m ettre Oh te rn e k cet abns.

Oh DtUgni.

ez-

poiloy

U n e e z é c a t l o n c a p i t s d e ,£$téeuti9« de Potin.

Joffii nâitin, sur la .ÿàce du MarchË 4 Beigm is, k ^ u lien J’exécatien de P o ^ , qui; avec Lemairo et Longfier, assassm a,. le SS juin dernier, k ptouy, Mme Denizart/ déUtante, kgéudF SGkns, et ses petit-Sls, Robsrt B e r tin ,^ é de 9. ans.

Potin et Loi^fier-feront condamniak Bkort ie 3 octobre. L em ire fut condax|né aux travaux forcés k perpétuité. Mercredi, le Président de la République commuait la peine do Longfier. Avant-hier, Potin payait sa dette.

H. Deiblèr et ses aides, arrivés avec leur matériel, mercredi après-midi, ont commencé, k cinq heures, le monts^e de la guillotine.

Une foule énorme, contenue par la po­lice, les gendarmés e t un b tiaillon d in­fanterie, est venue pour assister aux der­niers moments du condamné. Elle est très calme et U ne se produit aucune manifes­tation.

A 6 h. 40, ie procureur, M. Péan, les magistrats, l’aumOnier et des journalistes pénètrent dans la prison. Le procureur ré­veille Potin qui dormait d’un sommeil agité. Le condamné se dresse, regarde le procu­reur et dit ; < C’est bien 1 > 11 enfile ra­pidement son pantalon. On le laisse, quel­ques minutes avec l’abhé Pistorius, puis en le conduit au greffe pour la toilette. Il semble alors complètement abattu, sa tète dodelinant k droite et k gauche.

En apercevant les magistrats et les jour­nalistes, le condamné se redresse et s’écrie : « Je suis innocent ! >

On le fait ensuite monter dans un four­gon.

Arrivé devant la guillotine, Potint se raidit et crie k trois reprises : c Vive l’anarchie I >

I l ajoute :« Je meurs innocent. Les coupables

courent encore. >On le pousse sur la.bascnle. Le couteau

tombé. Un quart-d'heure s’est k peine écoulé depuis ie réveil.

Le corps, conduit au cimetière, a été mis en bière et inhumé immédiatement.

V I L L E D E S E N L I S

C o n t p i b u t i o n s d i ire c te B .

DÉCURATIONS A füire ver les possesseurs de chiens, che-

vaux et voitures, et par les propriétaires de billards, vélocipèdes et voitures auto­mobiles.

Le Maire de la ville de Senlis, Rappelle aux contribuables passibles des

taxes sur. les chiens, sur les chevaux et les voitures, sur Us billards, vélocipèdes et voitures automobiles, les déclarations qu’ils ont k faire, conformément aux lois qui ré­gissent ces taxes;

4° Déclarations k faire avant, ie 46 janvier :

Ponr les chiens possédés au 4“ janvier 4904; , ,

Pour les voitoies suspendues destinées au transport des personnes ;

Pour les voitures automobiles ;Pour les chevaux de selle.;Pour les chevaux servant k atteler les

veitures imposables;2° Déclarations k faire avant le 34

janvier :Pour les billards publics ou privés ;Pour les vélocipèdes k une ou plusieurs

places ou k moteur.Ces déclarations ne doivent pas être re­

nouvelées chaque année, mais elles doi­vent être faites exactement par les nou­veaux imposables et pour tous les change­ments survenus depuis l’année précédente dans les éléments de cotisation.

Les personnes qui dans le courant de l’année deviennent possesseurs de che­vaux, voilures, vélocipéJes, voitures auto­mobiles ouapparei:s analogues, doivent en faire la déclaration dans le délai de trente jours.

Avis important. — Les contribuables qui ont ces.-é de posséder un véiacipéde doivent, dans!es45jours,en faire ladécia- ra ion k ia Mairie de leurrésidenc eet re­mettre en même temps lajplaqne de contrél qui leur avait été déuvrée. Faute de s'être conformés à cette prescription, ils sont maintenus, pour l’année suivante, au rôle de la commune où ils étaient précédem­ment imposés. (Loi dn 24 février 4900).

Fait k l ’Hétel-de-Ville de Senlis, le 6 décembre 4903.

Le Maire,A. DE Waeo.

A . t s * c i- v e i :* s S e x i l i s »L e RfivËiL DE S e n t is . — Dimanche der­

nier, le Réveil offrait sa séu ce annuelle k ses membres d’honneur etionoraires.

L’affluence qui a app'audi nos jeuaes gymnastss était considérable; les trois cents places assises ont été rapidement prises et beaucoup de retardataires ont été coctraints de se tenir debout, mais l’inté­rêt dn spectacle les a ampleiqent dédom­magés de ce léger inconvénient.

Nous remarquons aax cétés de M. Driart, adjoint, ia président du Réveil, les mem­bres du Comité, MM. Dubuffet, Longe, etc.

m:. Odent, ancien maire, et un grand nombre de membres honoraires s’étalent fait excuser : M. Audigiar, député ; M. de Waru, mkire; Odent, adjoint; MM. Fri- gault, Démelin, Thiéquot, Cagny, conseil­lers municipaux ; M. T urqueldela Bois- setie, vice-préisident dn Réveil; le iien- tenant-coloneV Martinsau, M. Honziaux, directeur de la Société musicale,

A deux heures précises a 11 su la présen­tation du drapeau et les exercices commen­cent aussitôt.

Nos jeunes gens se sent fait beaucoup mais justement applaudir dans leurs mou­vements de' boxe, aux barres parallèles, pnp lies, vétérans et adultes ont rivalisé de précision et de souplesse. Très intéres­sants les assauts de canne, de boxe et de bâton qui ont eu un succès très mérité. .

Celte première partie s’est terminée par nu mouvement d’ensemble remarquable­ment et on pa-at dire harmonieusement exécuté, puis qu’il était accompagné au piano par M. Tiuel.

Eotre les différents exercices, M. Moitié, daos f« Roi des Farceurs, et M. Boullet avec SI Fête à Etrépagny-les-Poireaux, ont beaucoup amusé les spectateurs.

E itre les deux parties, des clowns ont donné un intermède très réjenissant.

Les exercices aux annneaux nous ont montré des gaillards aussi souples que vigoureux, et leurs moivements de gym­nastique suédoise, leur entrainemeut ra- tionneU les adultes qui ont fait la barré fixe, ont vu un très vif sacrés.

Deux scènes comiqoea, un Témoin ocu­laire et le Poohdrd fin de siècle, avkient

agréablement varié les plaisirs p e q to t ü itte p a i^ iiS A ie s t terminée parjtem y^:^ lim ittef^im { a im e n t et très c o rrm É n M g |é c a tf i |p a F ie i ie la Société. tfinal i ^ è s a l ^ f i e vigoureux b r a ^2 F u i r H. Julien donne lecture (lh‘ 'p i ^

i a r è ^ : ^

PALMARÈS Coneourede Poitnéeé90S(M&u,maié90SJt

-Le Réveit a pris part an côneeurt dé ~ Mérn on pour la première fois il concour­rait en 2‘ division, lee.adaltea remportaient le S* ^ de gymneitiqne : une palme de vermeil, offerte par la Société musieah de Mèru. Les pupilles, le 8* prix : grand mé­daillon de l’Vm'on des SiAsiétés de France. Le gymnaste Richez, par son élasséffiént, recevait une plaquette artistique comme prix individuel.Concours de tir (Compilgne, août d9ÇS).

La Société recevait le 5* prix ( c ç ^ i n entre les Sociétés de g y ff in a s ti^ dié- ro iso).

Le k* prix ponr la catégorie des gymnas­tes au-dessous de 20 ans. . .

Le 6* prix pour la catégorie de gymnastes an-deisns de 24 ans.

Classée 8* pour la catégorie des membres honoraires.

Concours de courses (Compiègne, octobre é90S).

M. Moitié, 3* prix sur 38 concurrents : coupe porcelaine. 7* prix, Leblond, mé- daiüe^trargent.

TIR.Les meilleurs résultats individuels des

concours de tir de Mérn, Compiègne et du cours d’application de Pi écy-suM)ise) ar­me de guerre, SOO -mètres), ont' été obte­nus par le gymnaste Rigault, médaille de bronze lui est accordée comme prix de tir 4903.

Le pupille Raymond Maille reqoit une médaille de hrobze, ayant en le plus grand nombre de points au tir de la carabine la Française.

GTUNASTIQUB.Le gymnaste Bonllet, ayant suivi les

cours de moniteur k Paris, gymnas Vol­taire, l’Association régienale des Sociétés de gymnastique de Seine-et-Oise, Seine- et-Marne et Oise, lui décerne son brevet de moniteur avec la mention è im ; k’w tte occasion et pour ia direction de la marche de Sentis k Paris, son excellent tir k Com- piégne, son dévouement k la Société, l’U­nion des Sociétés de gymnastique de France lui remet son grand médaillon comme récompense.

Le dévoué A. Merviile, reçoit également de l’Union la médaille de hrosze grand module.

Le prix offert par M. Audigier, député, au gymnaste le plus assidu et ayant réalisé de grand progrès, est rem u au soldat Mau- courand, engagé depuis le 22 novembre dernier : médaille d argent.

Le pupille Fortin reçoit une médaille de bronza ponr les mêmes résultats.

Marche de Senlis à Paris, 3 octobre, (46 kilomètres)

Sous la direction du moniteur A. Boullet.Un souvenir est remis a iu marcheurs

A. Maille, Moitié, ayant fait ie service d’ambulancier; Leblond, Richez, L. Page, Saltier, Angot, R. Maille, Boorsat.

PRIMES D'ASsmunti.Les gymnastes et pupilles dont les noms

suivent, ayant eu le moins d'absences pendant les mois de novembre 4902 k mai 4903, seront exemptes du paiement,de leurs cotisations mensuelles pendant q t ^ tre m is.

Gymnastes. — Maucourand, Leblond, R iae z , Landigeois ainé.

Pupilles, — Landigeois, Beanfort René, Fortm.

M. Julien remercie en excellents termes les personnes qui ont bien voulu prêter les matériaux et effets nécessaires k la séance, a la nombreuse assemblée, aux directeurs et moniteurs zélés, et aux gymnastes qui ont montré de réels progrès. Et le préti- dent termine èn donnant rendez-vourk Arras pour ia féte fédérale de 490k, qui aura lieu les dimanche et lundi de la Pen-

. tecote, sous la présidence de M; Loubet, président de la République.

Enfin, la séance se termine par Une Morale au Cabaret, comédie-proverbe, joyeusement enlevée par MM. Maille, Le­blond et Boulanger. Le public a beaucoup ri et vivement applaudi les acteurs.

Nous devons remercier M. Julien de nous avoir donné cette séance qui nous a ^ rm is de constater l’excellente direction donnée par M. Millery k nos jeunes gym­nastes. Nous adressons k l’un «t aux autres nos félicitations et leur souhaitons de nombreux lauriers dans les concours aux­quels ils prendront part.

Institution Saini-Vihceni. — Jeudi; 40 décembre 4903, k 4 h. 30 du soir, la Société de Charité, qui fonctionne depuis si longtemps au Collège, fera donner une séance récréative et musicale au profiPde ses pauvres. Un artiste, M. Beival, k en juger par ies titres alléchaint duprograme, y fera des merveille de magie amusante et de haute prestidigitation. Un groupe d’élé- ves de la divisiou des Petits, mimera, renr finir la matinée, une gea tille petite f iïce La Flûte enchantée, avec inierpréuition musicale du distingué professeur de i’Ius titution, M. Tiuel.

A signaler aussi les programmes carfes- poitales, en vente chez le concierge de de Saint-Vincent, iis reprodnisent avec beauconp de finesse, Ja vue inédite jns- quici, du vieux cloitre Saint-Louis du Collège. — Bon succès anx jraues orgdni- eateurs de la fête.

* *

a Croix-Bouge Française, -i-' La réunion mensuelle du Comité des Dames de Sentis de la Creix-Rmige fracçaise, aura lieu mardi pro­

chain, 8 décembre, k une heure de l ’aprés- m'Idi, dans la salle Ordinaire des réam oiâ.

»*★ -V -

L e s pRfiVOTANTS DE L’AVENfil. - 4recette aura lieu dimanche 6 décembre, de une heure et demie d trois heures, chez M. Razet, marchand de vins restauraténr, kk, rue Vieille-de-Paris.

4 * *

Le s compteurs d 'ea u . — Nous rappe­lons aux personnes possédant de> comp­teurs d’eau qu’il e .t prudent d’envelopper ces appareils pendant l ’hiver, ponr les soustraire aux effets de la gelée. Les portes et soupiraux des pièces ek ils sont piaeés doivent être soigaeusement clos.

*

Un ESCROC. — On nous demande de signaler un individu bien mis, d’nné tren­taine d’années environ, qui parcenrt la région commettant des escroqueries au préjudice des 1 brairas et desm arriiaads d - t ‘bac.

Il pénètre chez les libraires ou m ar­chands de tabac et choisit divarset cartes

postales; «irés un échange de d iffin n u '" '^ ‘sirea ;F iaeD n n u ^ aeM itite r- ,

hii céder 10 frutiM, p taérale-

ssessiciacdes timbres » r dMÎE/MBe enve-

tient iiw m ainrffi dédare avoir iliénoiiorte^iK m naiek lliOtel et sort

affaHe chercher, diCR, afin de payer ^ - j i j l e t s le s e t tiitbras, lain im t son en- veidppe su r le éumptoir.

Comme il ne revient pas, le débitant- ou le libraire ouvre l’enveloppe ; nue lettre s’y trouve sigitée : lettre morte. On n’est pas plus facétieux.

Une JOURNdE cinq fois historique. — Sait-on quo la journée dn 2 décembre a été cinq lois le théâtre d’événements im­portants dans le ceurs du dix-neuvième siécleT. C’e s td ’ahord:lB.2<décemhre480k, date k laquelle eut lieu le 'couronnement de Na­poléon!” , auquel le pape Pie V n procéda, a Notre-Dame, en granfie cérémonie.

Un an qirès, l’empereur battait, k Ans- tertitz, l’armée coalisée des Autrichiens et Rudus.

Le coup d’état dn 2 décembre 4854 est trop célèbre pour qu’il soit utile de le rap­peler. .

En 4870, c’est le 2 décembre que la gé­néral Ghabxy fut battu kPatay, et celte dé­faite décidait de la retraite de l’armée de la Loire, jusque Ik victorieuse.

Enfin, c’est le 2 décembre 4887 que le président Rréyy donna sa démission, k la suite de l ’affaire des décorations, qui est encore présente k la mémoire de tous.

P l a n d e S e n l i a ,Le neuveati plan de la ville de Senlis

et de ses fkubourgs, vient d’étre édité par l’Imprimerie du Courrier de l'Oise.

La lecture de ce plan est des plus fa­ciles. L’échelle en est au 3/40000* et il mesura 0” 65 de large sur 0” 94 de haut.

Nos lecteurs pourront se le procurer dans nos bureaux au prix de 4 fr.

Nous rapMlons. k nos lecteurs qu’ils peuvent toujours se procurer dans nos bu­reaux, au prix de soixante-quinze cen­times l’exenqiiaiFe, la Monograpfne-Guide de Senlis, texte par M. Ernest Dupuis, il­lustré de 24 gralvuras et d'une carte.

Pour le recevoir franco par la peste, il suffira d’adresser quatre-vingte cen­times en timbres-poste k M. Caucbis, ad- Eitinistrateur du Courrier de l’Oise.

B ts i t oiwU d e S e n U * du 28 novembre au 5 décembre 4903.

Naiuanees.16. Doré (Claire-Fatnaudej, Gonrs Bmttevills-

MoutiBor»cy.18. Driaucourt (Charlst-Ecgèns) rue ds la Bi-

Décès.29. Hauttur (Charlas-Asbrolsa), jardinisr, 7S

ans, rua Salât Piravy, 2.29. Ménnu (Lnsi«-Al(hontiai), igés de 6 se-

malnas, rue Viaill s-dt-Pans, 41.Publications de Mariages.

(Néant)Mariages.

28. Entre Baaufort (Emile), mécanioian, et de- moisaUt Fanchard (Marguarite-Espé- ransa), domtstiqne, tons deux demau- rant k Sentis,

5. Entra de Morlas (Vincant-Gaorgas), pro-Stiétaire, dimauiant 4 Olatta (Corsa), «t

amoiaiile Lafort.CBiancbs-CéüBa), sansprofassion, damanrant k Sanlis.

♦A b a t t o i r d e S e n l i s .

Etat des animaux introduits d l'abattoir du 38 novembre au 5 décembre 1908.

TStea Kiloa. Foidamorena.

T aureaux...Bœufs...........Vaches........V e a u x ... .. .Moutons.. . .Porcs .

>4695

6 288946 204846 217432 3234

670484428

47400

FAITS LOCAUX i T i l a ï o i m

B A L IIG N Y -S U R -T H E R A INE ta t civ il du 1“ au 3 0 novembre.Keissanees. — Rtina-Fiorence-Abariine

Vancombieoeq.Bicèi. — 7 : Charlas-Hinri Lanté, 38 ans,

marié, — IL : Cttierine hanial, 26 ans, ma-iée.Publieations de Mariages. — JB et 15 : Entre

Vio|or-Benri-Alix Vaast et Marie Gosiat (vanf etveuva).

15 et 22 : Entre Elonard-Aibert Martin «t AngélinaLéioy (garçon et fiLe).

Mariages. — Entra Victor-Henri-AIix Vaast «t Maria Gosset.

B A R B E R YTransport des dépêches.

L’Administration des postes fait procéder k l’adjudication du transport des dépêches du bureau k la station.

On peat prendra connaissance du cahier des charges an bureau de Baibary jusqu’au 42 déceiubre.

B A R O NTentative de suicide.

Il y a quelques jours, M'** B., âgés de 28 ans, s’est jetée dans un puits profond d’environ 8 mètres.

Les voisins, que les manières anormales de cette personne avaient déjà mis en éveil, appelèrent aussitôt au secours. De nombreuses pesonnes accoururent et ame­nèrent des échelles.

Un ouvrier de Crépy, qui se trouvait l i , descendit et, quoique la désespérée le repoussât et le mordit" k différentes re­prises, il parvint k la remonter sur le sol. Dans sa chute, elle ne s’était fait aucun et n'avait pu se noyer en raison du peu d’eau qui existait dans le fond du puits.

On est porté k croira que ce sont des discussions conjugales qm ont suggéré cet acte qui pareliTucoucevable chez une mère de quatre enfants en bas-âge.

B È T H IS Y -S A IN T -P IE R R ERéunions.

Demain dimanche : ‘'De dix heures k. midi, au café Braillon,

siège social de l'Epargne de Béthisy ; paie­ment des cotisations.

A trois heutms, k ia Mairie, paiement des cotisations par les membres de la..Société de Secours miituels de Sapeurs Pompiers.

Le P neu flérauU au Salon de l'Automobile.

Les vltiteurs dn Salon de l’Automobile qui vient de s’onvrir pourront y admirer 1 exposition du Pneu Hérault garni dé son cercle vitesse aatidérqmnt e t appelé cer- tainoB w t k un grtsd iBCoès.

E ta t c iv il du mois de rwvm tbre.' Saissanêis. -^ 99.: Psilot-Hmriititi-Cécile. — 2 6 1 A lltfiG iorf^Léen-Jss^.

Décès. — 30 : Vtnve Catiift, néé'Gsaeviève Fagnet.

Mariages,.— 7 ,: Didslat Etienns-AIphonssetBffuuttjM UBr

18 : Rtgéstift VbiMnt-AIszattdre «t CoUu DÎMire-Adé'sïi*. ,

18: June«Bzl«Esre-Fruçels et Lfgros lU- itbeib.

Transeripiions. — 23 : Acte de décès de Leddé Léon.

C H A N T IL L YLa Sainte-Cécile.

Dimanche dernier, 29 novembre, la Musique Municipale a célébré la féte de Sainte-Cécile.

A dix heures, la Société, bannière en tète, et accompagnée de MM. Vallon, maire, président de la Musique ; Béry et Balé- zeaux, adjoints, se rend k l’église, déjà remplie d une nombreuse et élégante as­sistance.

La Musique Municipale s’est fait enten­dre quatre fois pendant la Messe. È llea d’abord joué la Marche triomphale, de 'Turihe, pnis une sélection sur l’Africaine. A l’élévation, elle a charmé tous les assis­tants en exécutant avec une délicatesse et un sentiment exquis une Romance, de Schubert, orchestrée par M. Dubois, son directeur. Enfin, k la sortie, elle a brilla- ment enlevé la Marche solennelle, de Migette.

L’après-midi, malgré un temps peu fa­vorable, la Société musicale a parcouru les principales rues de la Ville en jouant ses pas redoublés les plus entrsinants.-

Le soir k 7 heures, tous les membres de la Musique Municipale, MM. Valion, Béry, Balézeaux, et quelques membres honorai­res, se trouvaient réunis k 1 EOiel d’Angle­terre pour le banquet traditionnel. Faire des compliments du menu serait superflu, la réputation de l’HOtel d’Aogletene étant établie depuis longtemps.

Au dessert. Monsieur ie Maire, dans un toast fréquemment applaudi, a rappeié les succès obtenus par notre Société musi­cale, grâce au talent et au zèle de son dis­tingué directeur, M. Dubois, k la collabo­ration de son dévoué sons-chef, M. Bou­chez, et au travail constant de tons les sociétaires.

M. Dubois a répondu au toast de Mon­sieur le Maire en l’assurant que tous ses musiciens et loi-même feraient toujours les plus grands efforts pour se montrer digue de la bienveillance de la Municipalité, et des encouragements que les membres ho­noraires ne cessaient de leur donner. Puis il remercie tous ses musiciens, de ieur bonne volonté, et en particulier M. Bou- ehez, sous-chef, et Pinçon, secrétaire

Quelques sociétaires, MM! Pinçon, Ailart, Bqchés et Dupais, et un membre hono­raire, M. Bitsch, ont ensuite égayé les convives par des chansons aussi bien dites qu’amusantes.

Mais, il est dix heures, il faut quitter la table du banquet et laisser la place aux danseurs et danieuses qui sont déjà nom­breux dans les salons du rez-de-cnaussee, et n ’attendent que les premiers accords de l’orchestre peur conpencer le bal.

Jusqu’k deux heures du matin nu gra­cieux essaim de jeunes filles et de dames aux fraîches loiieties ne cesse de vaUer, polker, mazurker ; et ce n’est qn’k regret qu’on se dit au revoir en se donnant ren- dez-vous k l’année prochaine.

Nouvelles de l’entraînement. Malgré la gelée, les entrai uenrs ne né­

gligent pas leurs pensiennaires :M. E. Leigh s occupe de Dam, Mont-

gaillard II, Benihassam, Bill Garrett, Cré- sus, Nivernais, Tigre, Gascon, Le Souve­nir, Ruy Blas III, Aristo II, Clitaudre, Knicknack et Ménitite.

Les frères Hurst font trotter Jabot, Faro, Ile d’Elbe; Vincennes et Marinette sur la route de Pontarmé.

M. Pantall a donné un travail de santé k Piélat, Junipérus,Pomponius, Anicroche et La Briante.'

M. A. Watk'm entraîne Chat-Huant et Etoile U ; M. M.lacquemin I lu sU , Boër etRecondo; M, L. Coates Chaperon Rouge, Matuilde et Carabosse ; M. Madge Lmus et Trèflo. ____

E ta t eiv il du mois de novembre 1903.Kaissanees. — 6 : Ugrsnd Jaanne-Mari*. —

9 : Ufèvre Gsorgss-Pitrr*. — 1 : Msidin Gar- truls-Mary. — 12 : Hoctast Jsanne. — 12 : China MtrciUe-Evt-Hsud. — 12 : GslUspy A1ce-Georg*tts. — 27 : Héron Htlèns-Malvina- Céliaa. — 28 : Rsbsrt Psuictli-Léootme.

Dléès. — 5 : Ricard Autciac-Hinri-Jàlss, marié, 55 ans. — t : Lsiièvra Gtorgss-Amand- Vicior,célibaiaire,32ars.— U : Yaa-Inmoont Maiie-Lsuise-Annette. 3 mais. — 22 : Ltfàvre Marie-Louise, veuve Lamotte, 80 ans. — 24 : Morant, s>xe masculin, présenté sans vie. — 25 ; Foifiet Eogénie-CIolilde, ftmme Ivorel, 45 ans. — 29 : Mosdela Frédéric-A bert, 6 mois.

Publieations de Mariages, — 1 : Bétail Jsan- BtpUste-Ecgè-a, maréihsl (errant, «t dame G udon Marie-Aiméa-Alphonsine, sans profes­sion; tons dsnx domiciiiés k Cbaatniy.

1 : Biquet Cbaries-Louis, pilebeuier. et Ferres Aliei, conlurière. tous deux domiciliés k Chjuti'.ly.

1 : Dzbois Hinri-Georgis, ssrrnrlar, demain rant k Chinlil y, et G.sse Hirie, conttuière, de-ururant k Paris. 29. n » di Maubtcge.

29 : Iriquct A fred-Georges, ébéniste, di- menrant k BoaguaviUe (Somme), et Briclie Marie-Ecginie-Georgina, eeutnrière, demeu­rant k ChrstUly.

Mariages. — 1,6 : Boquet (fiiirles-LonIs, pâ­li frecGr, et Ferres Alice, eeutnrière, tons denx domici'iés k ChantiUy.

SI : Bitûl Jean-Bantiste-Eogèue, malréchal- f^rrxct, et dameGondon Mtrie-Aimée Alihoa- siné, sans profession, tous deux domicilies k Chantilly.

C IR E fi-L E S -M E L L OV ol.,

Lundi, 30 novembre, M. C., mécanicien, rentrait-k son domicile, k Cires-les-Meilo, et s'endormait presque aussitôt sur sa table, après avoir déposé k coté de Iiii son porte-monnaie, contenant environ 47 fr. A son réveil, environ une demi heure après, il constata avec tristesse que ion porte monnaie l'avaif quitté. Il porta donc plainte, mais jusqn’k ce jour pas de nou­velles du disparu.

F aux poids.Une plainte a été adressée k M. le pro­

cureur de ia République, par un habitant de Cires, contre un boulanger de cette lo­calité qui aurait vendu son pain k faux poids. ______

Bon cœur.ayant laissé sa basse-cour ou­

verte, deux poulets se sont ériiappés; mais une v u sin e i charitabie, e ra i^ a n t sans doute le froid pour leur délicate santés s’fcst emprassèo de les ffiire rentrer diex elle. Maintenant elle s’est trop attariiée k sesidenx protégés e t refuse desieii séparer. Mais fa v é r iW e propriétaira n ’est pas touchée par cette tendresse e t rédame ses éièvet;

Néeroloffie.Nous apprenons avec un profond ra.

jp e t la m ort de i f . .fffiarles-Franeoii M aillet, négociant e n 'rà is , ancien ji>, au Tribunal de commeree de Senlis, £ cédé en son domicile k le 3décsm bre, dans sa cinquante-sixijmâ année.

Nous prions M*"' Maillet e t ses e t M“ * M aÿlet m ère d’agréer l’expreuioii de nos sentim ents de vive condo­léance.

Les obsèques de M. Maillet seront célébrées lundi 7 courant, k dix beurei e t dem ie, en l’église Saint-Médard d« CreU.

Les personnes qui, par oubli involon- ta ire , n’auraient pas reçu de lettre de faire p a rt, sont priées de considérer le présent avis comme en tenan t lieu.

B al de la Saint-Nicolas,Un grand nombre de jeunes gens se eont

réunis le mardi 4*' décembre 4903 (salle de M.ffiasseï). k l’effet d’éUre un Cemiu pour lé Bal offert k l’occasion de la Saint. Nicolas.

Ont été élus : MM. G. Tirlet, président' L. Meunier, vice-président; L. Burlin trésorier; L. Constant, secrétaire; E. De! poix, secrétaire-adjoint ; H. Elebaut, ; Lepage, G. Hinart, commissaires.

Ce bal aura lieu le samedi 42 décembre 4903, k neuf heures du soir, aThOteldn Upn d’Argent (salle de M. Durand), me de la République.

Les jeunes gens désirant faire partie de ce bal sont informés que des cartes sonti leur disposition chez MM. Durand, rus de la République et B urlin, trésorier, me Jules-Juiliet, et chez tous les membres ds Comité.

Les jeunes gens vont, dés k présent, ri­valiser de zèle et d’activité et tout fait pré ssger que ce bal sera des mieux réossii. Nui doute que les jeunes filles répondront k l’invitation qui leur a été adressée et viendront en grand nombre rehausser nir leur charme réclat de celte féte.

^^au jféâo if

CREPY-EN-VALQISM airie de Crépy-en-Valois.

Le Maire de ia Ville ds Crépy infonni ses administrés que le samedi 49 du con- rant, k trois heures de relevée, il sera pre- cédé publiquement, a I Hdtel-de-Ville, ag 1 tirage au sort des denx obligations de l'en- prunt de 400.000 francs amortissables en 4903.

Conformément k l'article 4» du cabiei des charges, le remboursement des titrei sortis aura lien k la caisse du Receveu | municipal le 40 janvier prochain.

Mairie de Crépy, le 6 décembre 4 903.Le Matre,

Signé : D' Chofinsi.

Mariage.Nous apprenons le prochain mariage di I

Mlle Berthe-Charlotte Rouyer, fi le di M. Charles Rouyer, propriétaire, andsi négociant en bois, et de Mme, née g». guerite-Louise Génouville, avecM. Charles- Gustave Courtier, lieutenant au 4” di génie. I

Nos meilleurs vœnx de bonheur am fi-1 turs époux.

Accident.Le 4 ” décembre, k quatre heures dn soit, I

M. Vacbet (Désiré), chef d’équipe k la gaii I de Crépy, procédait au classement d« I colis sous la halle aux marchandises, il I venait de déplacer un fût de vinaigre, et I fût revenait aussitôt sur lui et lui semil I 1a jambe droite contre un antre fit dil même contenance. M. Vachet a eu le geaoi I et le creux poplité contusionnés. I

Soins du D'Caillenx, Repos approiim-l matif, huit jours.

E ta t e iv il du I " au 3 décembre.naissances. — 2 : Lauglois Eagène-GiOl|ll|1

phoe Gimbstta. IDtcis. —2 : Mulot Léon-Esnrl, 19 sas,ml

de Soissoss.Publieations et Mariages. — (Néant).

F L E U R IM E SLa Sainte-Cécile. s

La samedi 28 novembre laFanlkredi| Fieurines célébrait la Sainte-Cécile.

La matin la Société assiste k la nestill elle égayé la solennité en jouant deux d«l plus jolis morceaux de son répertoire. 1

Le soir un banquet de cinqaanle c » ! verts est servi dans la salle de M. Dali'f marre. Onramarque aux premièresplactsjl M. Berdm, conseiller général du cantMil MM- Halvy et Hnrier, directeur et lowl directem' de la Fanfare ; plusieurs m biv| 1ers municipaux et membres honorsiml M. Hésse, indisposé, s'était excusé. I

La plus grande cordialité n'a cent 61 régner pendant le banquet dont le tatUl était exquis.et le service paifait. , I

Au dessert la Société fait enten^ kl Marseillaise et la fantaisie la Crois rùsaiem enlevées avec un brio qui swr les applaudissemeats de toute la salle. .

Pu:s lorsque le champagne édste, s | Berdin se leve et dans un de ces.liwl pleins d’humbur dont il a le sscrel, ill*l a Ikpnspérité de la Fanfare, dn v ilW ïl Fleariuee et il porte la santé du FrMU*| d6 la RAftnhliffitft.. f

Ses paroléa sont couvertes d’aul»'’! lions. ^1

La fin du repas est agrémentée psrj^| chansonnettes que lés amatenrs isnm I l ’assistaneelrat o’esten se tenant de rire k l ’audition de la Chanson de pier, rendue en artiste consomw RI Théédule Danger que l’on quitte I s ^ l pour ffiire place aax jen h a ' gens et filles qiti vont se livrer an plûsff ” I danse jusqu’è quatre heures du

Eh somme, excailente fête k r n ’a manqué que le beau temps.

G L A IG N E SLa Sainte-Barbe.

La Subdivision des Sapeurs-^ célèbre Sainté-Barbe, demain par un banquet chez'M. Equy.Le I sera suivi d’un bal.

LA CH A PE LLE-EN -SER V A IObsèques.

Vendredi, 27 novembre d«nj**& lieu les obsèques de M. M insi^’^^ Alexandre-Augasta, roeeveur

,**?iici«eéère, deux dis L prononcés .par M.

aSoyéP#ffiP»ï d®» “ “î^ 4 Sentis. 7'den discours, dicté

ie izen t montré que le : C.fd Evtit laissé daus touti nïïl avait eecnpéss, le l i^ n e e serriable, juste et]

r u r è s cette cérémonie,J IrMOté ses condoléances 1 Ir^adèment éprouTée. [Nou .y jeiguons bien shlétrM - ,

l e PLESSIS-BELLNéerologie.'i

I On annonce la mort d a | jlaeanes-Achille), ancien c E yinaire d s la commune, 1l a 80 ans.

Le défunt était denuis plu lUi. membra du Conseil mù "ses obsèques auront lieu 4

J onze heures.MONTATAIRI

\g% qutte de commodo et I I L e Maire de Montataii'e .

ninistrés qu’une enquêtu lliqne sur l’avant-projet de 11 l ’W tramway A vapeur sur

) Crril, Montataire et Ncgeu ira ouverte k la. mairie dfl

ié03 au k janvier 4 904.I Les plans de la traverse Mpnntée par le tramway pfi ' Hés k la mairie peudaut Id

K ij être censuliés par les ioL I De r e n tr e sera ouvert poni k e r in & n s auxquelles pourii Çwant-prejet.

Placement du jeune à Berck-sur-M e^

I Au sujet du placement de I’< IBerck sar Mer, qnestio i do |

nicipal s’est occnpé daus t zorembre, M. Daussin ns{

bte suivante :l« Fai appris ces jours-ci i, S ii conseillé k la mère dn'jé I s’adresser k une personnel otion de laquelle elle obtraF| nentdeson enfant dans 1 Dt spécial, eLque grâce au

Ites par M. Schullze, M " la 1 pipschild paraissait disposéJ t enfant dans son hdpital da

1er. ]|c Comment se fait-il que MJ mtndé au Conseil mnuicia r l’envoi de ce malade k B er|

I f N’ent-il pat mieux fait de \ pt pour savoir si elle avait] i loi avait été donné il ] nps ; M. le Maire aurait ap i appris moi-même, et n’aâ poin de consulter le Conseil

r placer cet enfant anx frail pue.-

. Muni de la mise en demen seteur da i’HOpital de CreiiJ velle démarche, M°» la ] bsehild, j ’en ai la certitj ds ce malade immédiatemen : Ce manque de préroyam

jiter chsr aux contribnab’es.« J. Dads

c conseiller i

M u Contribuable de V e . Dans un langage où l’alti pne foi se tournent lamenti-

le corrasBondant qui signal ne, dans l’Echo du Valois L

ibre 4903, écrit que M. le j itvuu vient de cracher en l’s l m qui connaissent M. le j

pieou savent qu’il ne cracb Jtia sur ses coneitoyena

inebdomadairement le dist NJBr de l’Echo. L”fwonc,.«eriiehs l’Echo », l Itanteuil prétend, dstns une n

semaine dans i P Kgion (Dourquoi ne pas ’ ■MÜfr * D’Oise, ô pusillanD

*!)i p e l ’administraUen

k n o e a J n d lo ia I i s e m .J

A R t.l - .

J p M’ ,_ ®,l®.droit,avouéà5enii In b ja s S’-Hilaire, n’ 10. |(*n«cestenr M ’ Leviedx).

D t t G B E f i ï A L i i

^ î - f ^ o i t du ministère det S ^ r è ciun taT V ndîîlrf^tcem brem il neuf cent U

ion a i

< Au'.

«Hle-n * asox:

f * (aêttii,

smilitmrék ks

aBurs-pomp;eit i t r la eunmupk^ ansiia 65* lim ée, q ê é t qnlq2*y

maladie.Dm . M B bno ib misliBiié ••

Page 3: S'bmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_12_06_MRC.pdfA -x f4* Année, — Ah iO^, CINQ CENTlMEg ik. lÀ GBNTHUâg M 4mjmeAû:zêr JStée&a^Êie- é S ( ^ L’OISl fs» fp. 50)

t-M édard

da l e i »considfotr

t l i é t t .

na té a i^ c n fe d*âtt&u «t de ( jm -i la famille épterte.- ;. ,

BwaeKdeJtefaituee, Jfuiifgdim de* ttpenrt'Veaaiden. la îiiartie *9 d w le

goe qoe^qoes Mtabiütéf de la

i t d f eàndait:p«r U l . Kioard pgl «I D<‘l)»He Kriirstÿ iSli e t feadre dn

deux d iK oon d’adiea oBt Jaonovii pwr * . Cottard Anpiato,, ILaiKr manieipal, «t par H. uaiaabn, "u .< arinüpal des éontribitaodt indi*

iS iS e n l i» .dsnx diseonrs, dictés par la grati-

I J f t n t moBtri q œ le xenv tté .Jl. Hi- I fdsT^ laissé daat toatesles sitéatioBS

eceapte , le som anir d 'aae IS^BS serriabV, jasie et intègre.

cette cérémonie, l’assisianee fa ses eondoléanees & la famille si

Ipiu T jeigeons bien sincèrement lesliJiris B. C.

Vicolat.nes|M iase.soat bre 4903 (sidia ‘lire t u GagiM on de la Saiit^^^

riet,prM dent£n t; L B ù i i ^-éta ire : K . S

i t id é e e n b lr^ oir, a l’hôtel dn.';" D u ra n d ) ,!» ^

b ire p artti dg' ; des cartes sent ! Durand, n e diiqJ i, trésorier, i lesm em bieete

lés à présent, rt> ‘ i e t t o n t f a i t p ^

mienx rO a n k «Ifilles ré p o n d n j^ l été a d r e s s é e ^ r - • -

e ré h aM ô r p i^ '' ihéirtiieiis anxqaelles pourra donner lien

LE PLCSSiS-BELLEVILlENécrologie..

innonce la mort de' H. Bataillé MH-Âchille), ancien cnltiTatenr, an- wnairs de ta commune, décédé i l ’égeasèias.udifant était depuis plus de cinquante

ML neiiibr4 du Connil municipal. Seotsiqu» auront Uendnndi prochain

|jaiH heures.

MONTATAIRE de commodo et incommodo.

U Haire de Méntataire inferme ses jgjgisirès qu'une enquête d’utilité pu- Hiigg lar l’arant-projet de rétablissemeat figtramvayé Tapeur sur les territoires taCreil, Hontataire et Ncgent les-Vierges, ^eararte à la.mairie du 4 décembre m)3 n i janvier 4 904.Id plant de la traverse de Hontataire

(Ufgatèe par le tramway projeté, seront |Mti i la mairie pendant le même temps nu tira consuliés par les intéressés.Ds refistre sera ouvert ponr recevoir les

tféte.

VALOIS■Valoie.Crépy inferma^

edi 49 dn teih évée, il sera pre> Otei-de-Yille, an

liions d n lv ortissaUas

'mut-projet,

Placement du jeune Robert, à B ercksur-M er:

As !sjet dn placement de l’enfant Robert, .Bêrcltsr Mer, question dont le Conseil Hsicipal s’est occupé dans sa séance du i torembre, H. Oanssin nous envoie la Mis suivante :irai appris ces jours-ci que H le Haire

mil conseillé 4 la mére du jeune Robert, I s’adresser à une personne par l’inter- mtion de laquelle elle obtierdrait le pla­

te 4*' dn cahiip'-.: sBasideson enfant dans un étab'isse- aent des Mtlk ; eut spècial, erquegrftceanx démarches

dn Reeentfrii^kliei par H. Schnltze, H>* la baronne de ÿscbild paraissait disposée é admettre (ifuit dans son bdpital de Berek-sur-

chain. lécembre 4908.

Jfatrc,LD' C n o p m i.

onheur anz t

s heures dn saiiLl ’éqoipe à la |I classement {marchaBdises,%

de vinaigra;,^;,]

I J dêcernirei-i

lo iri, 19 i

I Comment se fait-il que U. le Haire ait ’gnmdi au Conseil municipal son avis trrtnvoi de ce malade i Berck f

[ I d’entil pat m ieux fait de voir M " Ro- et pour savoir si elle avait snivi l’avis n lui avait été donné il y a quelque nps ; M. le M aire aurait appris ce que 4 ippris moi même, et n’aurait pas eu nia de consulter le Conseil municipal 'r placer cet enfant aux frais de la com­

pte.[ I Kuoi de la mise en demeure de M. le 'recteur de l’HOpital de Creil et sur une iTsIle démarche, U " la baronne de thchild, j’en ai la certitude, aurait Us ce malade immédiatement.

I l Ce manque de prévoyance pourrait m char aux contribuables.

< J. Danssin, t amtaller municipal. >

du Contribuable deV e Echo. >[Diss un langage oO l'attieisme e t la ^ foi se tournent lamentablement le

I le correspondant qui signe 0 » Contrû m, dans ÏEcho du Valois du 29 no- ■me 1903, écrit que M. le Haire de i*ml vient de cracher en l’air,

m i qui connaissent H. le Haire de W™ «avant qu’il ne crache pas plus

«ur ses concitoyens, comme le u teiHomadairenwBt le oistiBgaé chro- l ^ d e l ’M o .

« tricha l’icfco »,M. le Maire ?'* bréiand, dans nue note qu’il a

C f f i “ '** semaine dans no journal ^«gion (nourquoi ne pas nommer le o E \ * posilianima Contri-""repi que l’administration applique 4

m t e t* travem-»j-ete.^o>eiffésis ne siti i - p ts 1n reste def 'W tie ie , hitm q u iiee soit un pià’Ursf-d4oamne d%BeéijweBeef -

VKékô Bons :parâtt abaier s R ig é B ^ . nwBt de la Mmplieité e td e la eaattoarde! ses abdmaés...

Nons resm cons, aii ce m i nens een—' « w u ; i d te é ie c la ialiipiM is sa im nt :

c Pour taw la ism m e aieas'a’qrçm f t s :4 inger, un citoyen réfase de payer s t f*-: tente.

c C’est son droit, e t no&s n ’avons n i 4 . appgesrer n i 4 désapprouver notre cenei- - toyen de s’étre laissé sais^. >

Et plus lo in : ^f Nous n e t» soinmes bien gardés d'élo-

ver 4 c e ^ e t la moindre criUme. >Fort bRm, é'BcAo / ces senthnents libè-.

ranx vous honerept': ia rénUanee 4 Foa- presriMtmdministrétfvr, snrteat quand s’exerce. par les voies ilégaies, étant, j ia - qu’4 présent du moins, cenaidérée eoiiànie une des conquêtes de ta Révolution fran­çaise.

Hais Uors comment le dtoyen en ques- tiom pent-â l ire , 4 la fèis;-én rébellita avec les l<ris>Cftèlab précité, ligne 44^ oit roeevoir publiqu'emenit rabselntioB del'Eehoî

Car, vous ne sertirsx pas de ce dilemme, vous les armés, Echo I

Pour que ioéitoyee en question soit en­couragé dan t Sa rébellion aux leis,iliEuit abso'ument r a ’il soit déj4 en état de ré­bellion.

Or, vous ne le critiquez pas, vertnot^ Echo. Bit-ce que vous l’apprOUvériez T Prenez garde, cela sent son fagot d’une lieue, et vous êtes sur la voie des compro­missions louches.

0 logique, que de bourdes on commet e n to n n o m i

Peur conclure, ajoutons que le commen­taire bahseux de l’ReAo du Valois est faux d’no bont 4 l’autre, poitr la raison^biet simple, que lé citoyen Maire de Nanteuil n ’est pas l’auteur de l’article qui l’a ins­piré, ainsi que l’établit nattempnt la pro­testation cl jointe, envoyée 4 rothcine od^ s’élaborént les gaffes hebdomadaires ser­vies aux lecteurs du Valois :

3 décembre 1003. M onsieur le R édacteur en chef

de ï’Ecko du 'Valois,Je lis dans votre journal, 4 la date dn

29 novembre : « M. le Maire de N an- ten il prétend, dans nne note qtt’il a

c fa it paraître cette semaine dans un c jou rnal de la région,’qtla l ’adminis- c tra tion applique >, etc. (Se reporter pour la suite 4 l ’article en question, qui est suivi de commentaires désobligeants e t hoatiles 4 ma persoime).

O r, il ne manque 4 ce pamphlet, r é ­digé d’ailleurs dons un style qui n’a rien de lapidaire, qu’une chose essen­tielle ; la TOrité.

Je ne suis pas l’au teu r de l 'a rtic le qui, a inspiré votre correspondant, e t j e puis, en faire la preuve quand on mê la de­m andera.

Je compte su r votre im partialité pour insérer ma rectification dans vo tre jo u r­nal de dimanche 6 décembre, me réser­v a n t' s’il n’é ta it pas donné suite 4 ma réclam ation, de la requérir pa r toutes voies de droit.

Agréez l’assurance de mes sentimentq distingués.

Docteur Gbenier .

La Sainte-Barbe.Oa nons écrit 1Dans le programme de la fête de la

Sainte-Barbe, que vous avez inséré dans votre dernier numéro, votre correspondant a laissé passer deux inexactitudes.

D’abord, les sapeurs-pompiers n ’iront pas 4 la messe < en corps >, car, comm e vous le savez, ils n’ont pas le droit de le faire; ceux qui voudront y assister lofe­ront mais individuellement. En second lieu, il n’y aura pas de vin d'honneur et le programme a été ainsi établi dafis la réunion tenue samedi dernier chez M. Meignant.

A 9 h. 40, place de l’Hétel-de-Ville, re­vue de la stibdirision en grande tenue.

A 2 h., place de l'Hétel-de-Ville, réunion en tenue de promenade.

A 6 h . 4/2, banquet 4 l’hétel Beaujard.Mesdames et Messieurs les membres ho­

noraires recevront une invitation spéciale.Quelques-uns de vos lecteurs seront

peut-être surpris qu’un bal ne figure pas tm programme, surtout s’ils ont lu une note p u u e il y a quelque temps dans un journal de la région, donnant ce bal couiina

parfenséè^1à lient

irgp d’étreM de .

‘ ■séi d’essai. , ____R hr mont s a opinioB. il fU léMdé

jreU tarait l in r w h d ta t i s “ “-^veia its, dont ia - f to u r t sent di

B’ol* ««eUièlStoie'dfc&rài__Te bM. Les pêmpiert n ’ont donc pas têUe- m e n envie <foa. cala dq dasseg, .^ .in o in t pouricette ainaée. Et comme si c erl^b sad - miniltratenrq «Bpéehent.parfeh tes dMDmser, on n 'en a p u M core treavB'BB oql.g'ant mémo «pompiws etpOBipiéres >4 sauter bn cadence cette année', il n'y adra p u b e ld e poih|riers,4 RaBtanil. '

C ^ ^ g ^ d e M .J P e t i ^ à n d . 'Ainsi iqnb nous Favous annoncé, mardi '

matin c a r eii liBn t u obséqun de H; Petit- gand, ancien raeevaiv d’enregistrement 4 ,

' KftlnélffîÀi''Ç o n w dànq notoe viUe.'M. fe titgu id ..

é ts d ttm ééfiinl 4 Êeyôn, ôfi i l avait.an conquérir en peu de temps de bonnés ét ' sMides sympathim. r

D'nn-caraètère très droit e t très loyal, ii . apputait dans su - ittnctient admfifiBtra- ' tiTU bekneonp de biùveiflànee ot d ’ama­bilité, ne cherchant qu’a aplanir les diffl- cuités.

Ceux qni l’ont Connu dans l’inlim itè elit pu aporécier la modestie do e t personae - et la lermeté desm opinions rtaubUcaiBu. ’

Originaire dnen v iro as de 1^ 1. il avait vu de prés nos malheurs de 4 8 t^ e t l u t r is te souvenirs de la France envMiieini avaient inspiré le patriotisme le Mns. a r ­dent.

Une foule nombren-e, au 'milièit de la­quelle. on. renmrqnait .tous, lu . fonction- nsiN s dé Noyqn,' éttdt: u n n é donner 4 Isl famillè une marque d’u & iê e t dé sm p a - thie.

A la gare, avant que le cercueil ait été introdnit dans le fourgon qui darait i ’em- p q r ^ âyorzy (Marne), H. Prévost, sons- inspectear dé rfiéragistréméot 4 Com- piéifae. a retracé en term u émus l ’exis- tenc) dé labéùr incéùant ét de dévouebiànf de l’homme de bien que fnt H. Petitgand.

Nju» renenvelont aM*» P e t i t ^ d et 4 sa fille'l’expressioa de nos s iccé rn c b n k - lé a n cu .-- -

NEIIILLY^EN-THELLESaintB' Céeile et Saitsie-Barbe.

L’Harmonie municipale de Henilly-en- Theitéét la Compagnie' des Sapeurs Iniin-'' {fiers ont fêté dimai^che dernier la Sainte- Cécile et 14 Sainte-Barbe.'A mie heure, ils ont fait le to ir du payp en jouant quelques pas redoublés et ensuite te sont rendus dans la salle der fé tu dé U VairTe, ê t un banquet a éA n rv i par H . Maillard, p4- tissier. M. Rousseau, maire, présidait^en- touré de plusieurs m em bru honoralru et conuillers municipaux.

sens, rnsonnettU i^nniaB eu ot l

us M Sont ro lM s «icbaotés ^ . 1 a f lM u M tae feiidbeB is 1ûéflheB ^ é Bfcdte « .de f H ita r i^ < ^ g e t p e i i d tfns tes' m o H ^ ' i e iia

i t. = V n M è a ^ lutnoieeére.

' ' '> ^ É I f r - L E i - : i n E M ^ ^ "4h*![M ra.^J[a,,VÎU §fl*m«-les-

V ieigu TnfMÎné t e h aR tn fo q r im a en- .-quéte est m véïte 4 la ipairie, d é 4 Séeem- bre 4903 tm 4 janvier 4904. rélai^em ent au .projft, d’installafion. d’nn tram wiy 4 vapeur sn r .te lerriteirgs dé Crêil, Monta- taire et Nogént lesrVierge I. s ..

Durant, ce déla^ le plan d u travorsu >emprMtéés piur ce tem w ay'projeté rm-

tera iM û ^ ,a a secrétariat de fat mairie, o4 ' leg J B iim é s penribat à i p rendre cmr- ndttm ieapradaaH oi heures dé ifiirrifii. .

T o ^ l u olMarTatium.:Bt réclamations présesriéèb' furoBt c e n a ^ é e s en : m i re- g tetn s p é ^ A u d M ^ é .

c Les Antateure réunis *.Dimanche 29 novembre, l u m em bru

de la Société m usiu le l’aérmensc des Amateurs réunis, de Neuilly-en-Thelie, se sont réunis pour fêter la S a in terâffîe . A 40 h e u ru 4/4, ils m sént rendus 4 l’église en jouant une inarche entraînants et, pen­dant la messe ils ont, sous Phabile duoc- tion de M. Boulanger, charmé les assis­tants, p a r l’interprétation de plusienrs morceaux de choizi le Roi Etienne, grande ouverture; la Grande marche des Incas, de Bandoacle; Rêverie, mélodie,-et ponr finir lin aDegro très brillant, uaashe des miMieicnSj.par Allier, chef de musique an SI*. Après la m use, ils ont parcouru l u rues de Neuilly-en-Thelle en j e n u t quel­ques p u redoublés brillamment enlevés.

A une heure, un banquet leur était servi dana la salle du Café du Nord. Parmi l u cenvivu : MM. Grangé Paul, président; Serrin Prudent, vice-président; B u in , membre, e tplw ienrs m em bru honoraires. Au champagne, M. Orangé ap ris la parole ponr rappeuv la mémo&e des disparus : M. Chartier-Duraincy, ancien président; M. Dafayel, vice-président ; M » veuve Thibaut et autres bienfaiteurs de la 3e- cièté ; ensuite il a porté un to u t 4 H. Gail­lard, député, leur dévoué et symimthique président d’honneur, et félicité M. Bou­langer, directeur, H. L ulerc, chef, et tons t e m em bru de ia Société de.leurs succès, l u invitant 4 toujours tenir haut et ferme la bannière d u Amateurs réw m dans l u concours auxquels ils prendront part.

Une quête au profit d u meinbres actifs en ce moment so n t e drapeaux a été ^ t e par M. Dssjardins, membre actif, et a pro­duit une tomme usez élevée qui leur a été envoyée.Après le discours dé M. Graugé, chan-

rappellé aux éitoyèns dTo'jtO 4 45 ansr- susceptibTéi'“d'èrré iosCriâ sur la Este de Mragb au in r t dé 4908, dn'ils dolvnitr sé' présenta: 4 la mairie avant la 45 décehibfe 1 00^ ipo^prefoquer leur in ^ p H o n .

Le Maire delà VilledeNogent-les-^éigu informe tes admhristrès.qinn exécution de la loi^n:'3 jdfllet 4877^ sm ^lu réquisitiohs militaifes,u et du décret dh 2 aofit suivant, lé reunsÉmeitt général d u èhevanx, ju-s mente, xénlèb et m u lu , aura Ueu avant le 46janT iererochain.

E ii1zms%iénce, d’ici an 84 décembre, tons l u pro{»iétaitu de chevaux, juments, mnlets. et unies, seront tenus d’en faire la déclaration 4 la m airie, sans disflnction d’égé tri dé catégorie. Ils dévront être por­teurs du s%nalement d u dits animaux.

ORRÔUVC’est aujeurd’hni samedi que la Compa- ie d u Sapeurs-Pompiers fête Sainte-

larbe#---

tO N t-B A IN TE -iilA X E N C f,Conseil municipal.^ sissio it nn nqvbbbbb

Le Conseil manieipal s’est rénai lo27 ào- vembro, 4 hu it heures du soir, dans. la grande salle de t u séancu, s o u la pré-: s id o te deM .^ard in , maire.

Préwnts : MH. Berdin, Thierry. Gmron, Mancheron, Bnucbsmps, Poulin, Thierry, Duhamel, Richard, Fryiaux, Rayon, Bour- son et B roguon..

A b sa ts : HM. Pollet, tJenoux, malade ; C ela ét Devert

M. Buuchamps u t élu secrétaire. Leprocés-venal do la dernière séance

est lu, approuvé et signé sans modification.Nomnation de répartiteurs. — Sont

nomihés:R é ^ i te u r s titu la iru in tah es : MH.

Poulu^ Thierry, Gauron, Mancheron, F rlg û x , Brugnon.

Externes : MH. Bottée Benjunin, Dobi- gny, Temps, Longatte.

Répactiteuis adjoints : HH. Rolland, Pollet, B^anchamps, Berna Alexandre, DuhsAiei, Géler.

E xtases : MM. Bonflét, POllét de Beau- ropMfe, Dronard, Francrn.

Neisénattow de délégués, pour la liste électorale. — Sont é lu : délégué, M. Céler. E tp éu r l u réclamations i HM. Georgu Thfei'ry et Richard.

Neminaiion d è d éU ^sp eu r la révision des chevaux. ■— Sent desiguét : comme dél^jtrt, M. Rayon, et comme suppléant,H. Fbtlet.

Etat des moeUlicàtions à Ut liste E astis* tance médicale graunte. — Une seule mo-

"n n a è té a p p u té e par le Conseil 4 I d’ttssittance, c’u t l’inscription d’un qui s’était caué la jambe. r«4 oscillai J e é904. — Le Conseil

munishial, spr la proposition du maire, déclare approuver le bndgét vicinal p ré­senté, {mr MH. l u Ingéniénrs e t s’élevant, en récé tte cOnme en débensu, 4 la somme de 5.026 I r a g i ^ .

^ En ce qui côncome la gratuité des fournitw u cfu siq u n d i u t e éce lu pii- b liq ite comimmailu, M. le Maire soumet au Ctmséil t e l is te p rém téés p w l’i u - titnteitrot l'inMitürieo.

ip rè s éxamén de e u l is tu é t, sur: la nropHitton 'd e M. le Maire, lé Conseil, 4 runanimité de s u membres, décidé ^ les foarnituru seront données aux oMants de M millu d’ouvriers tello qu’e U o u t pré-

O b te m t e instituteurs et institutriéu p e u l’i t e k scolaire 4 9 0 8 i tt« .K :

heU ru dni soir, la séance est iwriSff clpfSe .

A W R E^LnEltSP n ja t de tfetmusttg.

Stm edl'dsBiiw ,Jé Ûoueil municipal do - .B l^ im o n tX at, réuni ' iM ieusOBent pour

eiitendre HM. (jitberi-BoiKher o t Gdrolo,' au sujet-dû hnân'way projeté entre Bean-

m snt 4;.Lnzarehes.Lea ezplicatieni donnéu psar .eésdeoz

conseillers gpnoaux ont été bien accueilliu p u lOiConuR muBieipfl.

On es{>éreque cé proj st, réclamé dopais plus de vingt sns-par nn ônnd'nôm bre des

: cémmiinu va eoflo aboutir.Cétté Rgné-metlritit'. én eemmunication

Beanmont avec'SiAvHliers, s u ht l i^ e d e Chantitly, A l a p a i d é satisfaction, de toutlAV»Ik»slsBi:

Enfrt eondergtà i - Marne Béji^ voirt BrneêHnefait-eUe âeé pro^rèt tur 2e piano f

Oh/ j*ardiê biéi, ce cher amour. Encore hier, eon ^rofeueuTf qui jouait un nupretau aveéelles lmi'diêaityi youê éteê de dix me- a«ree en âè«iee/..r a '

Lés Engrais perdus.L a p r^ p îM ^ c à h w d ô la stagnation d û

ineillenres m éthodu'de culture, de l’amé- h o r ^ n du sol, d u soins 4 d o n n a au

. Tenue, dans n u campégnu, P™"e®t géoéiraiemeht de ce que te s petits

“ *’**»eeient qu’en petit nombre aux sociétés d’agriculture, no lisent pas on lisent peu de journaux agri­coles U-mçere moins d’ohvrages -spéciaux {xiBVWt t e tenir au n iveander progrès du premier art du monde. D’ailleurs, lopins s o n v ^ le petit cuttlvatenr n’4 fté^ o u té que 1 érole de son village, ofi il n ’a reçu qu Uoe instràction tout 4 fait élémentaire et exceptionnellémant quelques notioas d sg roooÿe, quand le' m j re,; inteiligant et actii,abien voulu ét- ndrè son programme îS iS r* * * * irop négUgè par le plus grand

Dans'ces conditions, le jeniie homme qui n a pas été guidé dû- son premier âg e ,. 4 la .plus hobié, la plus libérale, la pins utile et . la p lu indépendante .de toutes les pro/cMtons, s e conteste trop souvent de confinuer parement et simplement 4 pra­tiquer des m Hhodu bonnes on mauvaises suivies par s u auteurs.

D’un autre cêjtè, t e questions thèsriqoes traité' S dans dés publicat 'ohs spécialu, te cempte-r<mdu d’expérietices faües sur des S'ils qui digèrent .absolument d s nature et de'positiou'dans Chaq ie éOntrée, -ne sem­blent pas {wuvoir être considérés comme appUcablu partent; car il ne faut p u perdre de vue qine l’agriculture est quelque peu une science de localité.

Toutefois, il est des choses générales que tout cultivateur doit connaîtra ot appliqua.Il ésl d u sujets sur lesquels il faut revenir soavent pour arriver 4 t e faire aeep te r par l u nombreux in té ru sû .; La qiiesâôn des eng ins û t toujours Bon- velle et on ne peut y revenir trop souvent.

I« fumier de ferme, personne n e l’ignore, est la matière fertilisante par excellence delaaricu ltu ra; c’n t l’engrais ^ p e dont oh doit faire le fbnd principal de toute fu­mure. ;

Dans la grande culture, les soins 4 don­ner «u fumier no font que raromoBidémut. On tronvo dans, uoe ferme bien tenue, d u é tab te et des écuries appropriées spéciale­ment pour lenr destination, des fosses 4 engrais b en établiu^ d u c ite rau 4 pnrin munie d’une {lompe pottr arrosage en temps utile. Lé tas de fomiér est pm é sur nn point pour qu’il né soit jamais laré par les Maxplurialas, etc.

;— s, w ^ se fait dans les fe rm u mo- d ê te n’est p u toitioars snivi dans la moyenne a surtout dans la petite culture.

DepuR fort longtemps que ntms par­courons denom braia 'vulagn du défiarta- ment; n o u avons trop sonvent rem aqné d u écoulements <Teaiiero«<HS. c’ùt-4-alrè du j u defuprier, s’échappant d u cours de M tta inu mtusoBs de cnlture pour u ré­pandre au dehors, ce gui n t aussi contraire a la propreté do la vom publique et 4 ï la * giéne, qu’aux intérêts mêmes du cultiva­teur. Nous n’avons jamais, manqué de dire 4 celui-ci, qu’on gupillan t son meilieur engrais, il perdait s u pins beânx béhé- f ic u ; qu’en ne fermant pat mieue ta bourse,il:laisittits'éckmsertonvlusbèlor.

NU consent ont été quelquefOs suivis, mais JMus «mstatons, avec peine, qu’il existe encore aujourd’hui, dans cotains viflagu, d o trop nombreux exem pte de

dé|iorditions, sans profit pour ponoBue.

h n te r£ j te » r mnis>:M.teBiite, ‘lévnieuMBt 4 t e e la^vioiimê

), en t a h r w une

d

d e so iii nmtüie.

H ira t h im ie r ttttm e e ' qqè I’»gdcn{lun èbésSe de ta France -

t o g w l ê

trailf Bear par ftiyoïs XET PiB LSSCOOBins I8I40IE ItigOERGE

des C aneèpe.de la peau : EpItiiM IeBiM , de la f ce, de la langae, d-> ia lévra;

d u T am q u P B « M n e lreu eee tlsi a é la non o p a é u on réddivées après ooéra-

‘ tion. nléérées ou non ;6® j - ^ ^ j U l e é r e u x , è ry th é im a le ia ;

F a l u C o u p an te d e H a u te FpA-ou an o a spécialement, traitemejit dn P e o ria e la et E e ié m a re b e llu , dé la flteu tte , du D ja U te invétéré.

.Far les C o u ra n te o anH hua, traits- mes.t des F lbrO m ee utérins, d u R i tp t - o ieea in é iite i iré th p a u x .

N. B. — Ce traitement ne comporte ni Opération, ni emplâtre caustique. I l n ’oc- ûsionne aucune doufea.

Docteur GIRAUD,84 , rue du Connétable, Chantilly (Oiss).

LsM oniteurR en tier!

AtemiS* OM d i Æ m w S S S i M 1 M te a w dM CoBuaiis, é tu, rt^SUsmUm I Ow JWoaMrM sorts,, A SuwwoSSStm^ m I Srarpartc/lnUtoM * 'OrOrm a , aooano n a f M n S f i rp m m sjw ûiwtertciBsmsims—

fiMtàisi 2 niuiet Gaï&ss

H E R N I E SB a a d m g e i iS o a p a p e »

Guérison d u h e rn lu e t diffOmités du corps 4 tont âge, plus de vingt ans d’ex- péneuM , broveté s. o . d. g. BANDA- 6ISTE-0RTH 0PBD lS'ra,anefn con teur herniaire, venant de Paris, attaché 4 ia chirurgie. Après trois m ois d’èmplieation du baudage V u a eh a ^ le mahide, que t e h e rn te ont alité depnit nlntieurs années, obtient la mira w rtauie et redevient a u s j robuste qu’avant.

Traitement des differinités dn corps, mains, bras, jam bû, pieds, déviation de l'èimie dorsme. Appôell j o u r l’écu te- ment de la ligne blu>cbe.u y a plusieurs so rte de heniies : ia hernie in g u ian k sciBtale, crurale, ombilicale, g r u c b a n n d estomac, visible ot invisible.

M. V n ao h at prouve p a d « milUen d’attestations la guérison radicale de la hernie mur son système d’appareH te m U est lesrâl propriétaire. H sm igafeé w tin - tenir toutes t e h e tn iû quel qnea |sm t U volume ou l’andanneté, descente, r i ^ tarés, cassures, etc., etc,

ConSultitiions grah tite Aaquem m s :Busbvau, hétel d’Anÿeturre, le 8 d t

ehaqueineis.S m a , hétel du Gnad-Gurf, le 40 de

ghkdpf BOiio'Cami, t e te l dn Commerce, le 40 de

ehaquemeis.Pqw te n te deum adû e t c a n ^ m o »

danées, s’adressa directement 34 é k n e de Dunkerque, PARIS.

Zs Gérant : En. G id M io 5 r^Tmrrimtrin i ImfnliirstlTii i t n rn n A iiîïlê

deSealR .

oneee J a d is t i t r i r e a .

hxt. 1".

I MOBAM),I “ ” 1 “" avoué à Senlis,nie s -Hilaire, n’ 10.

mut de i f Lznxox).

iJftGE L E G A L E

W™S,"‘ Cbintil;y, rn d tM d n woTesm trois,

'«mit i u ^ ' P ropriéu ir» ,A Juu, î 6, rus ds Sal

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CSjdi Sniiq 1? '! ' d» pyeaièrê «tatino.

ioar t a

■”ûte ®**®*atvsate

Mf grisr, sou ésonm, qu’il aisists et smoriss. dsmsnnut avec lui; M. Bonsssrd vinf sn prsmièfH bm ss ds Madame Annt-Eèlèna Hazdaunst;

Sraxièm«m*at. — 1* Madame Aunt-CioU'ds Boussard. sans profai- «ioa pirtIcuUèrs, dsuitannt è Satet- Mixim'n. vanva ds M. Ergèaa-AS phoNu-Amaud Rénaux;

2* H. Alextndrt-IostpbQninspent: ebampigionniAt, «t Madame A atü Michsll Boussard, son épousa dnil assida at autorisa, damaurant aosem- Ue à Cbavilla, at. ei-davant à Thlars (Salue-st-Oise), pnls i eonviaex;

8- M. Albart-Médérle U vallû, an- traprananr da eharpanta, at Madame Marie-Adélalla Boussard, son épouse qu’il assiste at aniorisa, damsuraiit ansoBblaàChiatmy;

A M. Arnaud, sui-nommé, da :. r Six uas qaana-v!rgt-qaius

cantiaras da tsrra. tarroir da Gon- vienz. litn dit 1, Haat on las Voias, tanant d’un céié M BiRbariar. d’au­tre cé’A Madame vanva Beletaills, d’on bout M. Anaavon, d’autra bont...

C«dastra saetion 1, numéros 2429 at 2423.

2° Qoatra ares vingt-six luntiwas da twra, tarroir da Gonviaox, U>n dit las Rtgèras, tanant d’on eété Ma­dame vanva Briquet, d’antra cété M. H'nri Mommalé, d’un bout M. Baifourianr, at d’autre bout la ehamin da Gonvitnz è LamorUy*.

Cadastra ssctian I , numéros 2901 29».

Meyasnant la prix principal da sue cent teise frcnet soixante-quinze eentim's, an sns dat charges.

Avec déclaraiioa :Qaa ladita noiifieation laur était

faite eontormém-n« à l’art’ola 2194 du C<-di Civil, pour qu’ils aient à prendra tallas inserlpliont d’hypotbèqui légalequ’ils avisaalant dans ledit dflai da datix mois, at que fauta par anz da sa mettra an régla dans ot délaf lasimmanblas dont s’aglt.saraiatt at da- m'euraraiaAt dtfifiiivamaat purgés at libérés entra 'as mains da l’aequéraw da tentas hypothéquas da oetia n t- tara;

BMiarant an ou<ra 4 Monsiav le Preeunur:

Que las aneians vandaurs parals- MMatètra, isdépandammantdasvén-

fommunauté d’antrs Mieolas Bons- sard at dama Hélûa Mandonnat, son épouse;

(ÿmmanaaté d’antra Henri Olivia at dama Agiamlna-Louisa Thomts- sin, son épousa;- **d***'***bath Caron, vanva da Jaan-R'ançfis Masson ;

Commnnanté d’antra Antaina Du- qnasnal at drotsMaria-Iiisabath Gas- saansu, son épousa.;

Jaan-Praiçaii Masson ;Et que tons eaux dn abat dasquals

il pourrait éira pris des hypothéquas ItelM n’étant pas epnnas da M. Ar- itand ii ferait pnbilw ladita notidst- tion dsiu im des jonrainx désignés ipmlssanooneas judleiairas, aoofàr- mémant 4 rovis du Consalld'Btat des nanf mai at o sm ia Juin mU huit oint sept.

P o a insertion : - : Gionons MORAND..

Air. 2.„ Xtnd» da M- Gaorgas MORAud, Ucaneié mi droit, avoué 4 Senlis,

rua StOns-RUaira, n '10, ■ luccdaM- Liviscx.

P u r g e J u g u l eD’'un exploit du .miniltére da

M* J iiji buissia à Chantilly, in data da premier déotmbrs mil nanf sent trois, asreglitré;

n appert qu’4 la raqnétadaM.Gall- linmi-leseph Arnaud, inoprlétaira, damawant 4 Paris, 26, rna daSn- rénas.;

Pour laquai domicila est élu 4 San- & , 10, rua Saint-HUaiza, an l’Einda da M* Caoqpas Maraiid, avoué;

Moiificadon à été ÙM 4 :1* Menster la Proenranr de la

RépnbHqua prés la Tnbnnal civil d* pramiéra instanea û SanUs;

É i l 4 M.'lAuÜ-Hinri Mommalé, prapriétaira, dasuamiitéiCbinmont, WMBitécfiunliiix,

a Agissant an nom * taomma a sabrogé-tutaurda l ’ Hanrl- a Paul MotûâaMr O’ at.MiÉi^ a riatta - Ihéodosa - Ztimira a Mommalé, anhmts minanis, a issus du marfaga <0 M. In- a las-Hinri Monaalé, décédé, a at da dima Marié-Alazan- a drinaQainap4nt,.Mnteûa*

Sa l’aspédltioB dlBiasla drassé an Gr>ffa dn Tribunal civil, da inmadéM: instance da Senlis, la doczi npvam- bra mil neuf cent trois, antâisiré, constatam la dépêt iffsotné an Greffa ledit jow. da la copia cellalionséa il aaegiiiréa;

D’on contrat passé devant M' Balé- ziauz, notaire a Chantilly, lét pra- m iarat trois octobre mil Uacf cent, trois, anragistré, contansBt vanta'

Madame Maria-Alaxandrina.doina- pant, enltivatrioa, damincant 4 Gon- viaux, vanva daM. Jdlas-Hani Mom- maU;

A M. Aründ, aqi-nompé, da ;Huit aras cinquanta-aiaqraitiaras

da taera, sise su terroir da Ganvianz, lien dit las Fortes Terras, tanÉnt dlnp cêié M. Louis-Alfrad Chrédam, d’an- trè cèié hi-itiars MommMé^onlat, d'nnbont M. BaVonrlar, at d’àsira bout ia diamin d b Hommas Mortâ.

Cadastra section B, nuinéro 2538.Et ce nioyanaant la prix priuipal

da quatre cent soiatentt dix francs vingt-cinq Centimes, an sns dts chergu;

Avec déélwétlon :Que la ttb notffibiion law était

faite eonlormémant 4 l’art'oS 2194

art Mutslégale q n m a v l iS û û » te 4 r » 'a f da dwx mais, at dtia fanta-nnsaix da sa mattra an raj^Sitams ssidBal. l’immotea doet H sOigltAahéi'aËdS'

1 hypetbèqtte éa saètanm,â«; - . . . .CM . .

Diaiannt an outra l-M oaslta la Pr.ou.raw:.

Qna las aocians oopriétiiris i raisûlant êtia; indûûdüaniaiif la vanésrasM :

Madame GanaViéva-Honinina-bé- sirésPotdavin. épouM da Me.Alaxu-

M. Alazandra-Fadinand Potdsrin, at dama iGnariéva-Matina Tasson, sonépCnsai ;

Et qqanmsCtoxda cbafdbsqnals fl ponrnftêtra. pris des hypoiB^as légilw n ’étant. Ms CMuns du'raqté- racqil brait pnuiar ladita notiflcat’on

l a î r j n ^ l t ô ^ w èfb% . mart 3 l’avis du Cénsall d’Etat d b nanf mai al pranfiar juin mil huit jtaat sept.

, Peur insarUen : (ffigné) MOBANB.

ÛIT. 3.

Btnda da M'SAINn-BlBVf, avoué . ; b Smilis.

I N f i S i ^ C l I O N

D 'û jjMniaBt Eûdn p « driint ir la Tübnnal civii da Sanlts, la nz léssfflbra mil nanf eant trois, iâlMriL i l résulte que. Midamifi::

sellé MmieGimnié CAvnLon, sans ofssifdn. dfmautànt.avaa.sm péra

.. GOuriara,-n été décléréa an état d’iatadUllû.

P oaax fïlit:«gné : A. SAINn-BEUVB

A n . 4.'

Etude de M* Oscan SAVART, avoné éSanlis,

Place Henri IV, n* 15.

SépaunnUpsa d e B le iù i.

V u n io M u ^ ifro tesictv ildai~p a l s _________

lauM de Sùdis, le K am UJianfctnt'trC . ___

AB«ûih.;da4adiaM Uedu-VïC terina-Joséroiaa tm èar, Spsasa.én M. Désiré Caro'us iBuâinn, antie.

botcv-ffaint-Hutbi, a m a i» 16,

mais résidant avaclui 4 Montrsnil- (Séiû}, 7, rua d’AIna-

Damandausa eom pinnt, son- eluant at plaidant p a M* Otoa Savary, son avoué oonstitné ;

Contra Hl'Oisiré CatMns-LiwAtai, antteranaur da tranqmtts, domiei- Bé é Senlis, Faôb'MrgJtiot Mutin,* nnméro 16, msb résidant 6 Moi? m u to n s - B r i s (SaiBa}, V , rué d'Aiambart j .

n'appert:Qia ia ü ina LSHitan a été sépa­

rés da biens d’avtc ia statu luiam n, sonmari.

Poaextra it: "(Signé) 0. SAVART.

Mtanrûistré.

Anv. 6nnUNAL CIVIL DE g ra t is

Par acte fait au Greffa du Tribnul eivU da Senlis le vingt-qnaùa Sep- tambiawilmaiif Cent trois, M. H étï- Victor Invamn. andaaintibiar 41a lésldaiièa de CraS ((fiesL a débM avotr-aassé cas foacUNa.a: voiikf-. <9énrIaratrsitdasonaNttioanamant.

1767tcGr^per,

P.raAONIS.

Ast. 6.Snivaut Seta r«çu 'p n M’ Bàlan-

nay, notaire 4 Sinlis, 1« vfiitt-huit novaatea at pramiir désanfitia mil naUf csiit trois; M. Edonart-Alfrad Tnoczé, aégociant.an:vias i'Sanlis; a vanda a ;M. Xdonbd-Consiaat-'

~'X Daciiit, marchand éplcia, et n ia m a taure-MathUda b su su v it’ San éinuse. damaurant ansamUa 4 SasUs. la Fende û . cpnH ûai û KanP^mide n m '« a 'p e rq ja K Tnoôidw t Valoir dass im.sHiM a' l ’se ,4 gsnlh. rus dn.

e.L’entréri______

aMRa à rté fef'è VStnlis, a 11 Ç Ÿ D lu m s y .

Etude da r iAIMTE-lBHTB, avoné-4 Senlis.

VEN TE SÜ R n è l À H O ND*OIII

PROPRIÉTÉsituée 4 ba^ gnt-sor-xhEraim,

20 Pièces dé Terre,dk B O H S

alias toroib dudit BALA6MT etPOOUNGinS,

en 24 lots, , avec bCUIté da' réindon partMle

ou totale.L’adjudication aura lieu la

EMu u h h û w ; D é ca o ilb retsoar. d detw AaMr» de re ln û ,

a l’étnda et p u la mUstéra de M* Martin, notaire 4 Mony,

tFadresser peur lesreneeigneemtt : . 1‘ A M’ SAMTM-MfVM, tVoBé 4 Senlis; panrsrinnt ia vante.

» i 6 'SAVABT,avoués 4 Sstdii, rofianti | l a venUH

8* I t " 4 iP ‘ MiiÛÈDi, ao irin < Houy, dépasitaira du m ite d û ohaiirô.

IMda de r MAIMTM-BM.VTM, avoHé4Sen&.

V EN T E S l A i ïO T A T T O ND’u n

M A I S O NSse 4 SAINT-I

t a l i ^ ' l i M vn e^ ,^ I, 4 S hauN u d e a s l l i fc ^ R

la ntaisoBd’éi ‘la _____

snrM ft :V^*«»,^41av»Bta

rm, :rMrsApTE-iEUPi, aveart OaHû i t e tiuiTi iMû vBtisj

r B A lP flH ir in o ta te é l i r a i , dépositaiia dn eahiu d b chaigaîk

d a r AngnsûSdana r a r a k avoué ASntDs. -

4 Pangla da la rôa ds e td a l’impai

V IN T T S U E l K i r A T I O N

D ’ U N E M A I S O NS is e A tE m jS .

rna de ia Corna-doéHn, n* 9p

p : u n ^ m a j s o nS t e i . H N v ,

l’im passfdalaiostate;'S*' .-.

â7 a. 94 ç. de TeiyèTOroir dn RmHyt;

'«VHS 0!■ Pièces; i^ ^ r r e' S is» brooir AS C Ü itiiraa. -

. oemmimade VaMÉÉias,E li s a p t Lb^ '

l ’àifindieatiOBanra Bon la .9 0 p é r a n i im e i f

’ . " bmtVr'tiam Mi,:.■ araratesa-f

cM dap

radreesav ' i M

Page 4: S'bmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_12_06_MRC.pdfA -x f4* Année, — Ah iO^, CINQ CENTlMEg ik. lÀ GBNTHUâg M 4mjmeAû:zêr JStée&a^Êie- é S ( ^ L’OISl fs» fp. 50)

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S»i»t-ll«xuaiv: à «icibira e i* » U » T( . y

D iÉbniutl wMib» i StaUif i o f f j * j M n i t gtt^nttiim .

i£ -pw atiniiM jiM vidoattin. _ .

6 lM iA tip l9 (S ^ a S k«ar«

Û y iiM ^ 'M V , f i r t o . M W f t M I

V B K D F I B u in

m m nm o n tü tw 4 r e t to r U ,

ETAT SE NIUFmt

O a m l O B r è^- X ^ a s ETAT J)1 NEUF

I s 'i i r . «a b a m « da JoanuL 19S0

IPX lïrOHiSBS F V M fo m i

tHauLP C S H T S iC ttU E C T ia il

IW tPb f m M w m . F a liB aM ,

MiMiqiMÿ TablMii!x.«l Om v u p m ,U « ^

H E I J B l i E S A N C I E N SU t i i m t M c M t t Ivm diTdéem bre

m s ,4 v m lte m r « i

I%r Ui BÜaisliTè d» H* SABARMBi eoMiaisairB-pîtoBiir da l*iï"

nndisMniiaiit.

4» 'f i mt MM.

* “ C o m p t a n t « a u o i iI nottira à T^batia (Oiaa).

BxoflW tionloSaniadiSDéceniflra.ld e se n f h e n n t du m atin A i i x | 4 v e n d r e à V m U Ê i a o t e hanres d n a u r . e t les matinéea | x - m a la a n e » TappM . Prée, <ia«innM Aa vanta I Bole, enelenne Ceadriépe plan-d esio n rs de w t e . jtdadapaepUtw, la to rt d’en* sonU-

i« i» » r» e tM tM fg tM * e r(» t» « n d tt i jJ ^ ^ '* j ,* y ^ h îr ta a t. . . . . . 1 _ _ jg33|

par adjodiettion,

a 38 PE(IPU ER S£tanaat t 'Ia aonmmaa d ^ a et- sttsés en boriara dn Aaiaix da Tar^(aea de eiinatitea d i r a .

La veoM anra Uan la U m anehe 18 Odeembpe 1803, à nna kaure da N liT ii.

P«nr toBs nDstigaemants, a'a- d ru H f a s S icrétâinda la K ^ria d’E»a. MM

. M . B a u sM e ( T h é o p h i l e ) asSapraMBr da aactsnria, 59, loa 6.]Bb«tta, i NafOit-las-Tiargaa, isr foima lU l. las C mBa'pastt at Fsw> nissaars qn'U n e r é p a n d p ln e

l A p lM M d e C ^ e c h n m -1 bS ” e m in ” ^ e* 1 S a ; S Î n L o o ô fe a s . ,< « a ,l" ra ilo n { J iiire « - .T ,q a t.d é M « é

COMMUNE DSTAUCIENNSS

d rasH Di M* MABDEUI. no taM I Hantaoa-la- . . ' * HanBoais (Cita) : at da M« DUruiS, Botalra à Rasioas-

ssr>Halx (Oise).

M n la o B d e r a i p p e c t , I s s a ia aommàrea os da eattora, avae d h r - d i n , d m d tï HoBta|BT::St%>I<Mtd, at T 8 p i é c e o dai tirrofr s a M o s ta g i^ d ita -Ie B m èk T e a d v # ' p tf VmnI'

l à l l é â ^ ' ^ S u A a l a M i n l i n 1908,1 «S X baaras da ratoadà, par la BUhtdra da H* MardalaVsMKA

o m d o n n é h o m m e Bbird da saniaa mlbtair*. danaada place k t é n t e s - m é in o i t o s i oammtroa o s iadDitria. P onrait, au SmoIb, eimdidTa et wigaer s a cbaaaL •>■ PrOasdauBOdasus- S’ad. an B araa ad a lo an aL MSB

e m Da demanda SB e h n s S e n r * e h n r r o a poari’antratiiA 'ds ma- tiiiM dpua f tm a , at l à epnddM d ^ m o ta a r à pdtm a.at d v M lHd-

IC'dOBièila ceujogd. 1993

■tadada'|[ 'PEnT ,nM aira tS ao lii.

A lo n e p i l’aniabla, M a d o o n B o n r s e o l o o sisa à Viilavatt" Saalis, rua d s Hontia-CintioB, n* 8. 8’adrassar 1 M* Pailt, noulTA

h l im d i te u U m m t .

A C H A T

d a P lU n U E B S à E ffL O IT E B

I da-Iu»igmost. C h a a o »

D o a a in e d e l e l l * (O ise).

pidirassar,. k . M. AU6. GRANGE 88, q a d é ’OtUaas. Pu i s .

R lU V e Ni TURELls u DAKABÀlAini

O rÿR îa sf doMpe* garantit.

I S X A a u d ire o a ra r p l a d , usa& dirtd* Boulaaox, P ins o rb vestpas,! ch ên es , P eupllars, Op - m ea. F rên es, H êtres, Tnieuts at astres,

avae C o u p e s d o ta lU in ,A V erid re p a r AdjiidioatiOO

Par la niniitkra da H* lixLLOTTii, notaba k Halto,

Le DIoMnehe 8 D écem bre 1903,

Saparpluiepliata d'Os at Hindraiix, 1 t n* La sTm . rtSM surÀieraO^ O m ntques et CftÛHi'quas.|da Donkina, at k M* M illo ttés ,

— Isotalra. M»7T é a p ê e n a n d i v e r s .

T o n ir te a f iix d e B lé ln s a e .

L. I>tÎAJAüXkMANICAHP

p ar B léraneosrt (Aisne)SanI eencassiomiaira d s Banara- \

tond Guano pesrla Nord da la Franea — Tddgfapba k Hudeamp. 19681

A . G I Ê H I R o c c a s i o n e x c e p t i o n n e l l e ,

k la ssUa da maladie.

E tnte da il* FEBRT, notaire k BétUsy-Saini-narra.

8 h e c t a r e s A O aures .8 1 c e n t i à r a s da T e r r e , P r é ' e t B o i s , as ST'paroillss, sia« tar- ririra da’ Bttliisy-Saint-Mardn.iat 'fflaigaas, A v e n d r e im a^ndica-f tioa volontaira, k B«liby*Saiat- HartiB, M la mairia da eatta arm- inima,la Mmaneba 6 DdcambielSOS, k nue haara, par la idn isttia da I* F a in , Botaira.

aiE nn Atv d b

AVENDRE ^▼oloatairaa d s i v o n , tUa k Fltniinas, resta nationale, at E beat. R T a. 8 1 9. da T e r i r e e t P r é , an terroir da F a sr naa, ia Simineba 80 Sicambra 1908, k dasx basras.

n O n n é t u » k

' A v e n d r e par adjsdloatios tot loBiatre, an Un on dacx lots, d e n x m n i s o n s , sises k Seniis, la pta- mièra oiaoi dc L aw an lA n* s , at la steonda k l’aigla de ladite place at da U rsa da la PoslaiUaria, dam laqntUe aila porta l a s ' S, laMaidl 16 Désambra 1908, k dasx basras, par ia ministèra da M' Petit.

Etude da M* BEAOGHAHPS, notaire kPont-Sainta-lIrgmaa.

f 1 1 l o t s d e B o i s t a i l l i s sitnés k Poat-Sainta-Maxanca. s u Cilipat, at k Pontpobit. liasx dits An- dasiss da SaaibPaïama at dans h Fond da Taux, dont 88 lou sur CO' Upat,6 lots « s uan dit As-dassss da Saint-PatHna, at 80 lata Uasdit D o s ia Fond da vaux, A v e n d r e adisdiaatlos, sur laa UanXi,.la maneba 6 Dieanâm 1 9 :3 r k ' bssra,,par.la misistkra da Mt- Baan- dum ps, notaire. BénslMi k la tour d aC alip ^ :

MQSES_i_FiC0KA lad u * V I ^ O ^ j noiiira, la Oimaneha 18

A , r u e d u I < l o a , S c n l i s . leoS X9i8, k une battra.

B sda da P QDBRBR, netaira k CharnUy (Oise).

6 P i è c e s d e T e r t r e A h o i s . siaat terroir da ROBqnatoUaii, * v e n d r e p u adUsdlsation Tolontdra, an l’Etsda at par ia nunistkra da M*

K l n s iT u n n

5 R l o i s d e f t o l s t a i l l i s ,sitnés k Saint-Vaast-da-LoBgeoai, lias dit ia Bois Rond, at à Tarbtria, Uan dit la lomboira, A v e n d r e par adjndioation, stir u a Uonx, té Di- m ueba 18 Dioambre 1903, k nna binra prédsa da rapris-niidi, par la mUiistara da H' Bsasdiimps, no­taire. Réunion k naa banra' mbbis ia quart k l ’éeola de Saiat-FaasL

m Am e i r v E E

Louage 6 ébaranx. 10 toitures,10 ebambras,

prts gara, arrondissamant da Seniis. |nota 6.000 te.

Somma dm andéa. 88.000 te.

A ï ï à O v m m

P E T I T E M A I S Ô N i ^ p „ adjudleation, la

k H. L n r s i l r , 7, m a de la | t(Q« da la maûlA par la minUtérade H- Qnantiar. notaire, nna p i è M d e t e r r e da la eostanauca da 10 hectares 88 aras, tsrroir'da Bien- donna, Uan dit la Fiai da BaanUan.

SwUs.' 147

A l A b T l E R

A P P A R T E M E N TftllANDE REMISE

Slmés place da la Halle, n* 3.

Etude da M- BALÉZEADX, nataira i CbantiUy (0 je ) .

A v e n d r e par adjddieation to- iontaire, k GontianX, en la saUa da la mairie, par la muistkra da M' BiUSMtix, ta DUnandie 6 Décembre 1908, k tme banra, X m n is o n s , aises k Gon^anx, at S bictares 6 t aras 05 eentiaras da t e r r e , p r é e t h o l s , sis terroir da Gontianx.

n l x x iT v n n

T id a aéplaux. S'ad. a s B nm n dn JonmaiL

C o n p e d e B o i s T a i l l i s , à■ . . . . . . . v e n d r e pari.diaéi)aliaaTolont<ira,I S’adr. 10, rente da Compiègnc. 1896 ii,g ,g gst-ji p jrloB ,

1818

Etnde H* PILLEBOUT, notaire k Crépy-en-Vaiois.

O h C D x a a r Œ i Q ak l’amlaUe

Pour entrer en jouütanet aprit la récolte de 4904,

Sise A F s lg iiê u x , canton de Crépy-en-Valois,

d’nae sopufisie d- 7 8 hectares 71 ares 7 7 cent. S’adresser andit H* P ilu b o o t. so

tairn IMS

FONBS DE COfflMERCEA C É D E R

Beau Calé.— HStal Caié Rastan- I rant près gara. — Tins RasMnranL I I — Epicerie de choix. — Boneberias.I — Boniasgerias (8-3-5 qnUitanx). —I Fm itnie PrimenTs. — Café Concert.

terroir da Frasnoy-«n-lhaUe, an Bois da Nolvé, ia Dimandta 6 Otesmbra 1903, k midi, par la mi Jstèra da H* Qaantiw, notaire.

Etnda da M‘ Pierre HADGIN. notairaiTartwria.

148 O rlaarda, F rênaa.C hênas, O rm es, C hsrm aa, Paupllep*. Ms-

I— Tabac Bavette. — Tins Tabac ptsi^ps u 75 iou de B o i s T a i l l i s |BpiMria. — TiU 'a^gros.^--^(}im -l4ep,ndant du Domaine da Robaryel,

B O N I

Ponds de ïaréchalerie

oadieria. — Fàïànearie. — Horiogarie Bijonteria. — Cbarcntaria avec et| sans Buvette. — Tabac et lonmanx.

Hodas et lingerie.S’adrasser k H. Octavx CAGNARD, I

kHoiienval(Oisa). 15191

C M I I E N V E W t n U

Le 3 décembre,il s été!

sis'tarroirs de Roborvel at Poctpotat, è v e n d r e par aéjadiealion, la. manche 18 Weembra 1903. k heere, par le miiistère ds M’Xtngiii, notaire k Tarbaria.

mBm8 At u m

5 e h e v a n x , 1 p o n e y , R v a c h e s , a t t i r a i l d e c n l l u r e ,

A V E N D R Epour sa re tirer des affaires.

Occasion d saisir ds suite.O n p o n r r i d t e j o n t e r

l e C h a r r o n n a g r e .S’adr. an bnraan dn jonmal. 1984

_ b l a n c k locg poil, kgéIfsupM gèi<as, à v e n d i t p a ad-de 6 mois, itponlsnt a n ‘nom de : i indiestioa valontùre, le Dimanebe B s u t I . Signes psrticaUers : oreilles 80 Diccmlira 1903. k midi précis, et jsanes, tscho janna 11 noire an-das-1 le iandanain, im im s banra, s l i y a sus de i(B.l dfreit, poiita tscbajinnaliien , k' Saint-Ytast-ds-Locgmost, sur ia eroapc. m a Pisseuse, en la (arme da H.

Prière da la ramener k l’Hétal dajBombart, p tr snite da ccuation da 'a Gara, k TinanU. Bonne léeom- ealtnra , par la ministèra da H' pansa. 1999|Hangin.

fi'-alHMIfti/bNnm.'bassPMm.

• 'V —y j

(l'|ieaU«r .9*08’ ^y—Rh itjN»ergaârflFilDkier«|N|......... ....* if âadfliBiM efc snETdtM

ile5*an*e in «"blie b’a dté attiilcon8idi$ri3ildlI •:I'u m I difAeâe de bi«n placer MB a r ^ t :

tfU idMTf dt.'itoat: ,« n a 'a ^ r ^ d éüüsa4e,.e ................................L» w a n d*aair^"

.«8t BTàiiteiMiM A _______________T e a i t t e n e S e r e s l d e n e t r è B î m -

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M aîdiélealiM se ebiéet snr le idgie.Muébé sontenn snr l’aveine. l a i m s SX scKsomutioH.—Le s u d e 169k.,

leUe k rendre, ceap tau , avee 1 p. 100 essemple. Farines a u 159k iles: 46 . . k 49 . . .

M n r c h é a u x B M t i a v z .

B E S T I A U X - V I A N D E S Panu-LA T o i s m , 8 décembre.

Apnii V uim In a ii iBonis............................. SIM 80M 75Taches. ................ 910 840 70T a u r e a u . . . . , 170 168 8

T o ta u ........ 8815 8088 153Tm u ............................ 1851 1045 806X ontou......................... 18M8 11858 500P o rc s . . ! . . . . . . • . • • • • I , 4866 4866 , , ,

Bonis..........Taches ..........Tanrsau....Teau..........M ontou........Porcs.............

, u t1»

1 60 1 46 1 8 0 1 80 8 89

1 8 6Poidt vif . 88

r1 M 1 30 1 80 1 50 1 9 0 1 80 . 88

r1 80 1 1 0 1 .. 1 80 1 70 1 15 . 75

Prix extrêmes : . 70 k ; 90

F o u r r a g e s e t P a i l l e s .

Montronge, s décembre.Le nombre des voltares amenées se décompose

eomm* suit : 180 de Milles de tontes sortis et 80 ds fourrages, doal 10 de foin.

P a iU edeb lé .............— de seigle..........— d’avome..........

Foin ..............L n seru .....................Regain........

l i n . . . . , ............

1 -q . 8-q. 8-q.«4 85 99 93 80 8889 . . 93 94

88 87. 88 3890 99- 18 90

50 68 40 44 86 4059 . . 44 46 86 4043 44 86 40 88 86• 1 1 * • e • e' • • .**

B i a r e h é d e S e n l f a dn 1*' décembre.

nksicH A V icn H tim-

Hine Ms4* te u Ë ss i.SIS e u m s m m PM . FlMt-

< l“ qnai. 90 95 71 15 80 B .0S5srenwnt.{8‘ — 19 95 76 14 6« Id.

( 8* - 18 95 79 1815 U .le V e .................... 14 50 70 10 16 S a u var.A VOiU..| jT iS::

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OnlcoH l’hectolitre : Blé, i r e qnaiild7l5 80, 8e 1488, 8e 14 44. Seigle, 871, Orge, 855. Avoine, 6 61.

Pain, le kOo, Irv queuté 88 e., Se88 éi - BeaRe.qnaUtémoyeane,lcklio8Ér.iO. . IBibiTejMnt, 16 fr. 80.

C e u B lè c m e i 88 novembre.Bléde ie 7 $ è 80'85, Seigle, 18 50 k U ..."

Orge. *' ■■ k . . ■ . Aveiu; 1 5 . . k .» .« ifa ^ rices, 88 ; . k . . . . .

F m r m e r l e , 8 dëctmbre.BlélreqtéSO 50, 8e 19 75, 8e 18 40. Métca

. . . . . Seigie l5 . . . Orge 1715. Avoine Ire qté 15 . . , S e l 4 . . , l e t o m a u 100kilos.

On cote l’becûditre: Blé de 1 4 . . k 16 . . . Mé- t d l . . . . , S e i^ lO üO . O r n i a . . . A v o iu lre « 5 8 . . . 8 a l % . TesM 17 50. «saille . . . . . Pommes de terre 1 0 . . .

Pain le kilo Ire qté 80 À, 8e 86 c.Beurre le kilo Ire qté 8 60, Se 8 49. Qtnb le

e e n t ld . . k l 6 . . .Settiaua. — 80 vaches amouiilautes de 350 è

450 fr. rnne. 8 vadies grasses de 130 è 1 5 0 le kilo. lS v a â e s b w b a g è re s d i l . . k l8 0 le k ilo . 78 v e a u gras de 170 k 190 le kUo; 84 m i ­gres de 85k 55 (r. l’an. 888 porcs g r u de 110 k 1 8 0 » kilo; 916conrenrs de 84 k 55 fo. rnn; lO rrdeia it de 13 k 84 fr. l’an.

Voiàillis'Qa paire). — U ndou de 18 . . k 15f r . . . « e s 9 . . k lO . . . Canards5 . . ’ kS ; . P o d e tt5 . . k 7 . . . Pigeou 1 50-k8 . . . Lapins d e 8 . . k 4 . . i t ^ è a c .

1" décembre...iran en tn o n v u n lee lOd kilos U e qté 8 0 . . ,

8e 19 60. 8e 19 . . . Seifle 1360, Orge 1450. A V D iu lreq téld . . . 8 sl8 5 0 ;b la n d » . . a .

Pain le kiw ir é qté 88 c., 8e ÿ d 88 0.Béarre le kUo Ire qté 8 . . , 8e qté 8 80. d a b l e e n t l S . . k .........

B I A R Ç H i t a ,des B ipèxteàm tt IM trephss.

F e rg e d c e e -H iu i* (S .-M ), 8 décembre. A vobie;de8. . k 9 . . . O r |e ,d e lS k U .

i ’becielitee.Bairaei dnS 80 k 8 60 le ko,. 1Enb*1.7J.. k l f t f r ; . . IhCint. > .... — 186 v e d u ’in b . ir e qté l .

8e l7 0 /8 e ' m ie kiL 46 v e a u iitifaresde . k-dOfa- la-mtcb, pères g r i s liw qtf 180; 8 e l8 0 1 e k Q ... porcs conreifrsdèiN AS6kr.- ia p iè M ,. . . p a m .la ilo u d e l8 A 1 8 fr .ia : |ik â .

Bettiam . — 60 vadw s' enWnfliates de 860

k 650 fr. par téte. 880 vaébes grasses. Ire qté 1 50, 8e 145 le lôlo. 110 vaches maigres êt lai­tières, Ire qté 1 8 0 ,8e 1 1 0 ,8e . . . le idio.

6 1 sm>m (Bore), 80 novembre.Blé, l’beeto l.lreqtf 1 5 . . . 8e qté 14 . . . MéteU

. i . . SMgie . . . . . Orge- Avoine, Ire qté7 50 80785.

Pabi, le kU; Ire qté 81 c., 8e qté 88.Beurre, le kU. 880. (Bnfi, lecent 15 fr. 50.

« o w n u i y (S.-Inf.), 1“ décembre.OneoM kl’becteU tre:Blél5 50. MétcU..........

S ^ e 1086. c i te 11 . . . Avoiu 7 50. Pommes de terre 10 . . .

B enm l e k i l o l r e ^ S 80k 81 0 , 8e 8 60k8 80. l ln h , le cent 17 50 k . . f r . . .

TeliUles Oa paire). — «ndtms de 1 4 . . k 1 6 . . Gies8 . . k l0 . ; .1 h n a rd s 5 . . k 6 . . . Pohlets 5 . . k 6 50 PiMMS . . , k . . . . Lapiu de . ..k -d 5 0 ia id èce .

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eélnfea: budget : gtépeie-nn aériau

b â d é à . S fa t- abandonné . iten i* m illions, cel

nvec la désor ^ ^ e préside le lJ]i.hiamoriste, ;

disonseion a i i i te i t . 'Voici l’iu, £ H.<de Pod

^ ^ _ ^ M ^ ^ a i i i a n t

îiüidEeTOter le bnd.'Sdns voteromA

(parce qne] M ^ p t m oyens p r tièndde régnne cap^. > .> S tlD o i,a ré ii

v n te n i I r b u d g e t u o te s ta tn ire a qne ^T ^â i'T tt q u e des «

A u ià tR tM .y a il q tiw o h é .' ' n Tient enc « IB ta ^ ;l r a n e 8 ,1

. B n e s ’ t p Bom dn p a rti aocL.^

I tner an régim e capN

par c e tte tran sfo ro ^ T é n l i té des c o n d iti | , C’e s t précisém eu i m i l u d e n x bn o s ^ . 'i f a j o n r , eam b 'Vaiilaiit e t em ra: ' n n c s d ’^ e t s d ’a k m w ç i i i ^ l M a i

L’üm fanètien a fa sK « s i b r i o l e n n i ZénnioiLsik h t p a â é , l e 'l êfiet d e l ’é îo q n e n c e l y u t tc u .

R n e fe n d ra it p u 1 I n t goit le ecn l de i -lOcialistM. L u

rnfanihcT égiiL . , — t k i a O hannire etc ikdiM fas fo is q n e U M t M d ire q r k l ’Ê M nonee (a cnp id ité ., de p an v rU b o n g r u i cncnt sons le so le il lan e ig e p o n r lu i pay.

SltStHd d ix , v in g t - f a c s i d u diverseï

o n ren sém en t u n1 iû im l*AnfPmébnt

I— hM B Lênr le s cap it * '^06 q n i p o u r ra i t 1 ^ m i e f r ’to ttsoés b- 1 p r it n n . j o u r a m nêd^IlliqiUKr l u /

:^ 1 * réflm^ion, on ,Ç M ttt é tà i | l e m ien “ w n û d ifa u arrivA

‘ d e la R é ro ln tie n ' l ’u p r o p r i

avi* w - m è m e n a r tû B * y i*a a ien s . E t ses ^ g q u é - d ’m lB iirar l ’c

i l ft it &124 8 6 1 ■ « o n d e la p o lice . (

bêttlu-rfaabilita, — n ts p a rm i

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