SaiSon 18-19 Culture école 12-18 ans...3 Saison 18-19 - Culture école 12-18 ans Prolonger l’été, on ose ! Chers enseignants, La période estivale touche à sa fin. Peut-être

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SaiSon 18-19

Culture école 12-18 ans

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RenSeignementS

Pour vous aider et vous conseiller dans vos choix, nous nous tenons à votre dispo-sition pour des rencontres individuelles ou en équipe professorale sur demande et sur rendez-vous.

Marie Lepers069 25 30 85 - [email protected]

Bruno Delmotte069 25 30 78 - [email protected]

BilletterieO69 25 30 80 - [email protected]

RéSeRvationS

Dès le 10/09, par mail ou par téléphone :Marie Lepers069 25 30 85 – [email protected]

Les confirmations seront envoyées à partir du 1/10

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Saison 18-19 - Culture école 12-18 ans

Prolonger l’été, on ose !

Chers enseignants,

La période estivale touche à sa fin. Peut-être vous a-t-elle permis de vous déconnecter : du quotidien, du travail, de « l’urgent », du monde sans cesse en mouvement, du flot incessant d’informations. Que diriez-vous de prolonger ce moment ?Faire le choix de la déconnexion en découvrant une démarche artis-tique, l’univers d’une compagnie théâtrale, d’un plasticien ou même tout simplement les rues avoisinantes de l’école. Suspendre le temps, offrir une place au présent et vivre avec vos élèves une expérience unique, qui laissera des traces sensorielles, émotionnelles, intellec-tuelles. Se connecter à l’essentiel.

Les occasions de connexion seront plurielles et nouvelles. En effet, depuis le 15 mai 2018, parallèlement à sa reconnaissance en tant que centre culturel, la maison de la culture est reconnue comme centre scénique. Un subventionnement spécifique lui permet d’amplifier sa politique d’aide à la création en arts vivants en faveur des jeunes compagnies de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La ligne artistique défendue est de porter une attention particulière aux projets mettant en avant des thématiques de société qui invitent à une réflexion sur le monde qui nous entoure. De nouvelles opportunités pour vivre des connexions !

Nous sommes heureux de vous présenter les propositions artistiques pour cette saison 18-19. Dans ce fascicule vous trouverez une présen-tation des spectacles, dont quatre accompagnés par le centre scénique. Ils sont estampillés « création ». Des pistes d’exploitation, des propo-sitions d’animations, d’échanges, de films en lien sont proposés. Vous pourrez ainsi préparer et prolonger votre venue au spectacle. D’autres « connexions » sont suggérées : expos, jeu du dessin, cinéma,…

Nous restons à votre disposition afin de vous guider dans vos choix et vous accompagner dans vos projets.Belle année !

L’équipe de la maison de la culture

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La femme moustiqueDe et paR mélancolie motte

Du lundi 12/11 au vendredi 16/11 (contacter Bruno Delmotte pour l’organisation) Dans les écoles — jauge : 60 à 80 pl — prévoir un espace en conséquence — Durée : 1h – Prix : 8€

De la Kabylie à la Syrie, en passant par la Palestine, un puissant récit circule de pays en pays. Celui d’un roi trop épris d’amour, d’un peuple terrorisé, d’une femme dévorante et d’un enfant sorti du ventre de la terre.

- Oh roi, c’est moi : le moustique. Pas n’importe lequel, puisque je parle. J’ai un marché à te proposer: je sors de ton nez, si tu divorces de tes sept femmes, et si tu te maries avec moi.- Me marier avec un moustique ? Jamais !

Une histoire monstrueusement forte, pour oser s’exprimer dans un monde sous petites ou grandes dictatures, et prendre le risque de grandir...

Dans une situation volontairement universelle et intemporelle, dans une forme épurée et exigeante, et dans une adresse directe, le conte évolue entre une tradition orale ancestrale et un sens résolument contempo-rain, où l’inimité de la lumière, le soutien sonore et le rire de la gestuelle permettent d’entendre le monstrueux, et d’aspirer à la liberté.

« Unique en son genre. Un subtil mélange entre une parole très fluide, particulièrement mélodieuse et une gestuelle harmonieuse, souvent proche de la danse. Une mise en scène très chorégraphiée, bien mise en valeur par une création sonore de qualité et une création lumières très réussie. Si la mise en forme du récit est d’une grande qualité esthétique, le fond n’en est pas moins travaillé et particulièrement réfléchi. Il recèle des interrogations complexes sur les relations humaines et sur la société dans laquelle nous vivons: pourquoi et comment résister face à un pou-voir qui nous opprime ? ... Petits et grands pourront y trouver matière à rêver, s’évader dans l’imaginaire, se faire peur, rire, réfléchir, s’interroger sur soi-même ... » Le Monde

1ère et 2e secondaire

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De et par Mélancolie MotteTexte : Mélancolie MotteDirection artistique :Alberto Garcìa SànchezCréation lumières : Jocelyn AsciakCréation sonore : Julien VernayAnalyse symbolique : Nathaël MoreauRegards extérieurs : Pierre DelyeUne production de l’association Le Non Dit (Bxl)

En co-production avec La Maison du Conte de Chevilly-Larue (94)Avec le soutien du Ministère de la Culture-DRAC Ile-de-France et de la Commission communautaire française de la Région bruxelloise.Partenaires: Festival Rumeurs Urbaines (92, Colombes), Théâtre du Hublot (92, Colombes), Théâtre du Chevalet (60, Noyon), Maison des Arts et Loisirs (02, Laon), Les Arts du Récit en Isère (38, St Martin d’Hères), Théâtre La Roseraie (Bruxelles)

© Nicolas BOMAL - Province de Liège

• Dossier de présentation, dossier de presse

• Rencontre à l’issue des représentations

• Thèmes à explorer : le pouvoir, le rap-port mère-enfant, la métamorphose, le conteide des Tournées Art et Vie

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Accident de personnecie la peau De l’autRe – maRie limet

Jeudi 24/01 à 10h et 13h30, vendredi 25/01 à 10h et 13h30 Halle aux draps, jauge 300 pl — Durée : 1h15 — Prix : 8€

Entre conférence, parcours dansé et journal intime, « Accident de per-sonne » est un spectacle de théâtre physique à la fois tendre et insolent, un questionnement autour de la thématique du suicide et du mal de vivre qui l’accompagne.

Une scientifique, un jeune homme au bout du rouleau, une écoutante d’SOS Suicide, une jeune fille blessée, la famille, les amis, la mort, sont autant de personnages convoqués pour mettre en relief les différentes facettes de ce sujet traité avec dérision et légèreté par deux comédiens et une danseuse.

Sur une bande son rock & n’roll, les allusions à la douleur mentale et à la douleur physique évoluent en écho pour nous faire entrer dans la tête du personnage principal ou pour en sortir. Le tout, dans la joie et la bonne humeur. Dans un désir tendre et insolent, Marie Limet a choisi pour ce 2ème projet de mener une réflexion théâtrale sur le processus suicidaire, la tentation de la mort, la peur de vivre, le mal-être et les possibles que le suicide annule.Avant que l’acte ne soit posé, il y a encore la possibilité de changer d’avis, de choisir la vie. Nous cherchons tous à combattre la douleur, en parler ne peut que multiplier les armes…

3e, 4e, 5e, 6e secondaire

Ecriture et mise en scène : Marie LimetInterprétation : Fanny Brouyaux, Baptiste Moulart, Natacha Nicora.Dramaturgie : Jessica GazonScénographie : Vincent BresmalCréation lumière : Xavier LauwersCostumes : Isabelle HardyRégie : Isabelle Derr

Diffusion : Anna GioloAvec le soutien du Centre culturel Jacques Franck, du Centre culturel Action-Sud, du Théâtre Marni, de l’Arrêt 59, du Théâtre des Doms, de Latitude 50, de la Fondation Serge et les autres, du Centre Prévention Suicide et des donateurs.

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• Dossier de présentation

• Rencontre à l’issue de la représentation

• Thèmes à explorer : le suicide, les tabous de la société

• Intervention en classe : animations avec les plannings familiaux (contacter Bruno Delmotte pour l’organisation)

• Ateliers d’écriture ou ateliers de théâtre physique à l’école animés par Marie Limet (metteuse en scène) durant la semaine du 28/01. (contacter Bruno Delmotte pour l’organisation)

• En plus : www.preventionsuicide.be

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Hymne à l’imperfectionmaky – manuel antonio peReiRa

Mardi 29/01 à 13h30, mercredi 30/01 à 10h Halle aux draps, jauge 250 pl — Durée : 1h20 — Prix : 8€

Mathieu d’Angelo – alias Maky – connu dans le monde des musiques urbaines, est un virtuose de l’improvisation. La parole est vrillée en lui, brute, spontanée, instinctive. C’est son moteur, son alliée.

Diagnostiqué enfant hyperkinétique, on le met sous médicaments et on l’empêche de parler. S’ensuit un parcours scolaire chaotique. Les mots lui servent alors d’atout comme vendeur de façon officielle le jour et de façon illicite la nuit. Au milieu de ce tourbillon sans repos ni sommeil, « les mots » se mettent à tourner dans sa tête en un flot discontinu. Plutôt que de les laisser s’envoler avec le vent, de sa voix profonde mo-delée au fil du temps, il se met à les souffler aux oreilles de tous les « imparfaits anonymes ».

Antonio Manuel Pepeira le convainc de monter sur scène et de théâ-traliser son histoire.Savant équilibre entre parties écrites et parties improvisées, entre pa-role et musique, Maky a un partenaire de jeu, ou plutôt de son : Fabot (Fabrice Blin), davantage « sound designer » que simple DJ.Un « Hymne à l’imperfection », plein d’humour, d’amour et de lucidité qui, même s’il se raconte en « je », touche à l’universalité.

3e, 4e, 5e, 6e secondaire, futurs enseignants

Avec Mathieu D’Angelo alias Maky, Fabrice Blin alias Fabot (sound designer)Scénographie, costumes : Patricia Saive assistée de Stefano SerraConception et réalisation vidéo : Patricia Saive, Stefano Serra | THISISNOTALOVESONG productionCréation lumières : Jean-Jacques DeneumoustierAssistanat à la mise en scène : Agnès GuignardDiffusion : Margot SponchiadoMise en scène : Manuel Antonio Pereira

Un spectacle du groupe Tsek. Produit par la Coop asbl. En coproduction avec le Théâtre Varia et Lézarts Urbains. Avec le soutien du Théâtre des Doms, de la Maison des Cultures de Molenbeek et de Makysard. Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service général de la Création artistique, Direction du Théâtre. Avec le soutien du Tax Shelter du Gouvernement fédé-ral de Belgique.

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• Thèmes à explorer : l’apprentissage, la réussite, la norme, la culture de la performance, l’exclusion so-ciale, les déterminismes sociaux et culturels, le slam

• Intervention en classe : la semaine du 4 février, pos-sibilité d’accueillir Félix Guévart de la Confédération para-scolaire du Hainaut pour échanger autour des thèmes abordés dans le spectacle (contacter Bruno Delmotte pour l’organisation)

• En plus : conférence « Les personnes au-delà de leur étiquette, les enjeux de l’enfermement dans un diagnostic » par Yves Doutrelugne et Vera Likaj, en collaboration avec L’Espace du possible asbl, le 29/01 à 18h à la Halle aux draps. Bienvenue à tous, entrée libre

• En plus : Scène slam des participants de l’atelier animé par Alain Levêque dans le cadre du CEC Ima-gine le 29/01 à 19h à la Halle aux draps. Bienvenue à tous, entrée libre ©

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Les cœurs atomiquesZététique théâtRe

Jeudi 14/02 à 10h et 13h30, vendredi 15/02 à 10h et 13h30 Halle aux draps, jauge 180 pl — Durée : 50min — Prix : 8€

Marie, Laura et Malick forment un trio d’adolescents sou-dé par une forte amitié; un trio fougueux et contestataire, joyeusement révolté contre la morosité, l’injustice et l’indiffé-rence. Pour eux, la vie se vit à fond, même dans les tournants. Jusqu’au jour où, lors d’un attentat, Laura et Marie assistent à la mort de leur meilleur ami.La pièce se situe 18 mois après le drame. Malgré la douleur de la perte, Marie et Laura, portées par le souvenir de leur ami disparu, veulent sortir du trou noir : trouver de nouvelles raisons de s’enthousiasmer, rallumer la flamme de l’engage-ment. Avec la complicité de Yan, vidéaste, elles vont retracer le parcours de leur trio «Les Cœurs Atomiques».

A travers ce récit, des thèmes forts sont convoqués : l’amitié, la reconstruction après la perte, la révolte, l’engagement, la joie de vivre … Comment ne pas être désenchanté, ne pas céder au fatalisme, comment grandir ? Le spectacle mêle théâtre, danse et vidéo.

L’histoire s’adresse aux jeunes dès treize ans mais aussi à tous ceux qui voudraient renouer avec le temps de leurs 15 ans, aux fatalistes à chatouiller, aux rêveurs à encourager, aux humeurs sombres à éclairer, aux dubitatifs à convaincre...

1ère, 2e, 3e secondaire

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Création collective Interprétation : Catherine Daele, Melody Willame, Jonas LuyckxMise en scène : Justine DuchesneÉclairages, régie générale : Julien LegrosAssistante à la réalisation : Ornella VenicaAssistant à la dramaturgie : Luc Dumont

Vidéo Jonas : LuyckxRegard chorégraphique : Estelle BibboPhoto : Nicolas Bomal - Province de LiègeCréation en résidence aux Chiroux, centre culturel de Liège, en accueil au centre culturel de Remicourt et à Arsenic2.

• Dossier d’accompagnement, dossier presse


• Thèmes à explorer : l’amitié, la révolte, l’engagement, comment se reconstruire ?

• Pistes d’activité : exploitation en classe du « carnet de résonances » disponible sur le site de la compagnie www.zetetiquetheatre.be

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Dom JuanthéâtRe De la chute

Jeudi 21/02 à 10h et 13h30, vendredi 22/02 à 10h et 13h30 Halle aux draps, jauge : 300 pl — Durée : 2h (représentation et échange) — prix : 8€

Quatre comédiens, cinq marionnettes et une guitare électrique ! Le Théâtre de la Chute revisite ce classique de Molière. Après « La chute », « L’étranger » de Camus, « On ne badine pas avec l’amour » de Musset, Benoît Verhaert s’empare de « Dom Juan ». Sa mise en scène est une sorte de grossissement à la loupe du célèbre couple Dom Juan / Sganarelle et ses tentatives de dialogue. Elle accentue le comique tout en créant une distance qui épice la fable philosophique que Molière a écrite et revigore son aspect politique. Elle est aussi une sorte de road-movie. Dom Juan et Sganarelle sont sans cesse sur les routes et croisent différents personnages. Ces derniers sont ici des marionnettes avec lesquelles Dom Juan va s’amuser en les manipulant ou les utilisant à ses propres fins...

« Dans l’imaginaire collectif, le personnage de Dom Juan est perçu essentiellement comme un grand collectionneur de femmes, bourreau de leur cœur » confie Benoît Verhaert. « Mon intention première est de recentrer le propos sur le sujet principal de la pièce qui, selon moi, est le libertinage de Dom Juan. Mais n’oublions pas que le libertin est avant tout un libre penseur qui remet en cause tout dogme établi. » La pièce parle de la liberté et même des libertés : d’expression, de pensée, de mœurs. Elle parle de la nécessité de dialoguer et aussi de transgression.

4e, 5e, 6e secondaire

Avec : Samuel Seynave, Audrey D’Hulstère, Jean-Michel Distexhe et Benoît VerhaertScénographie/mise en scène : Benoît VerhaertAssistante à la mise en scène : Laurie DegandAssistante stagiaire : Lola RausinCréation lumières : Patrick PagnoulleCréation sonore : Laurent GueuningCréation musicale : Jean-Michel DistexheCréation vidéo : Le Collectif Metteurs en Pièces

Création costumes, masques, marionnettes : Odile Dubucq

Un spectacle du Théâtre de la Chute, en coproduction avec le Théâtre Varia et avec le soutien de la Maison de la Culture d’Arlon. Le Théâtre de la Chute bénéficie d’un soutien administratif du Théâtre Varia.

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© Isabelle Debeir

• Dossier de présentation, articles de presse

• Thèmes à explorer : la liberté, les conventions, la transgression, le dialogue

• En amont des représentations, durant la semaine du 21 janvier, rencontre avec l’équipe artistique dans les classes, durée : 50 min. (contacter Bruno Delmotte pour l’organisation)

• Rencontre à l’issue des représentations et exercice ludique autour de répliques de la pièce.

• Dans un second temps, les classes qui souhaitent prolonger l’aventure sont invitées à écrire un dialogue original (max 10 mi-nutes) au départ d’une réplique de la pièce. L’idée est de décliner, d’exprimer, de manière simple et ludique, des points de vue sur les thématiques de la pièce. Ces dialogues seront joués et présentés sur le plateau de la salle Frank Lucas (maison de la culture) le lundi 25 mars et alimenteront un débat autour de la pièce de Molière.

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Les comédiens du Théâtre de la Chute encadrent ce travail de création avec l’aide de la cellule culture et enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (projet «Sur les Planches» ), de la Cocof et de la Commune d’Ixelles.

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Combat de pauvres cie aRt & tça

Mardi 26/02 à 13h30, mercredi 27/02 à 10h Halle aux draps, jauge 300 pl — Durée : 1h — prix : 8€

Quel monde souhaitons-nous construire ensemble ?

Une masse invisible de pauvres est en train de se constituer en Europe. Le fléau touche des couches de plus en plus nombreuses de la population : étudiants, petits commerçants, pensionnés, familles monoparentales... La politique de l’État Social Actif démantèle notre système de protection sociale, culpabilise les personnes en difficulté et les transforme en parasites sociaux.

Après « Nourrir l’humanité c’est un métier », théâtre documen-taire sur notre agriculture, la compagnie belge Art & tça présente « Combat de pauvres ». À travers les témoignages d’experts, de travailleurs sociaux et de victimes de cette paupérisation, la pièce analyse avec humour et passion l’impact des choix politiques, sociaux et économiques, et pose la question du monde que nous souhaitons construire ensemble.


Création collective Cie Art & tça : Charles Culot, David Daubresse, Alexis Garcia et Camille GrangeRegards extérieurs : Christophe Menier et Julie RemacleProduction : Compagnie Art & tça, Atelier 210Coproduction : L’Ancre (Charleroi), Fédération Wallonie Bruxelles (service culture),Métallos Hainaut Namur FGTB

Aide : maison de la culture Tournai, Fondation Syndex, la Fabrique de théâtre, la ChaufferieRemerciements : Ad Lib, Festival de Liège et Centre Culturel de MarchinRemerciements particuliers à toutes les personnes qui ont accepté de témoigner (production en cours)www.artetca.com

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• Thèmes à explorer : la pauvreté, la précarité, quel est notre regard ?, démonter les clichés, les choix politiques, les alternatives, l’engagement citoyen

• Intervention en classe : la semaine du 11 mars, possibilité d’accueillir en classe une personne du « relais social urbain de Tournai » pour échanger autour des thèmes abordés dans le spectacle (contacter Bruno Delmotte pour l’organisation)

• En plus : dossier spécial « Images de la précarité » la chronique n° 142 de la Ligue des droits de l’Homme asbl à télécharger sur le site www.liguedh.be - (publications, chronique 142)

• En plus : dossier « droits & non take-up » à télécharger sur le site www.luttepauvrete.be/publications/NonTakeUp

• En plus : « les 35000 » dossier Articulations n°60, à télécharger sur le site www.cesep.be (publications – secouez-vous les idées – mars, avril, mai 2015)

• Film « Sans toit ni loi » d’Agnès Varda, 1985Le corps de Mona, une jeune fille morte de froid, est découvert. Pourquoi est-elle morte dans un fossé ? Pour répondre à la question, Agnès Varda nous livre une enquête éclatée en kaléidoscope des gens que cette vagabonde a croisés sur sa route.CinergieMardi 19/02 à 20h, dans le cadre du cycle Art et Essai, chez Imagix

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Dans ton coeur cie akoReacRo

Lundi 11/03 à 13h30 chapiteau Plaine des Manoeuvres, jauge : 500pl — Durée : 1h15 — prix : 8€

Quel metteur en scène de cirque ne rêve pas de cirque ? Nous rêvons du circulaire comme de l’arène antique, de la fête mêlée d’un par-fum de kermesse joyeuse que le chapiteau évoque instantanément.

Pourtant nous voilà bien patauds face aux voltigeurs, porteurs et acrobates de tout poil. Le théâtre semble bien démuni devant tant de performances, et ces gymnastes superbes n’ont guère besoin d’alliés pour briller. Ils portent en eux déjà la force et la grâce.Sauf que ces As de la piste sont aussi des créatures, devenus mu-tants à force d’entraînements, isolés sous leur toile dans l’obsession du geste parfait, ils se sont transformés peu à peu en une horde de freaks suant sang et eau pour obtenir l’impossible, entre torsions surhumaines et une lutte sans merci contre l’apesanteur dans l’il-lusion d’éblouir le monde.Le théâtre peut s’accoupler, le temps d’un spectacle, à ces beaux monstres.

1ère, 2e, 3e, 4e secondaire


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Écriture et mise en scène : Pierre GuilloisAvec Claire Aldaya, Romain Vigier, Maxime Solé Acrobate, Basile Narcy, Maxime La Sala, Antonio Segura Lizan, Craig Dagostino, Joan Ramon Graell Gabriel, Vladimir Tserabun, Eric Delbouys, Nicolas Bachet, Johann ChauveauSoutien aux techniques de cirque : Fabrice Berthet & Yuri Sakalov.Regard chorégraphique : Roberto OlivanOreilles extérieures : Bertrand LandhauserCostumes : Elsa Bourdin assistée de Juliette Girard et Adélie AntoninScénographie circassienne : Jani Nuutinen - Circo AereoConstruction : Les Ateliers de construction, Maison de la Culture de BourgesRégie GénéraleChef Monteur : Idéal Buschhoff

Création lumièreRégie lumière : Manu JarousseCréation sonorerégie son : Pierre MaheuIntendante / Adjointes régie / Costumière : Nino, Cécile Roig, Véronica Tserabun, Céline GlouxProduction/diffusion : Jean-François PykaAdministration générale : Nathalie MétaisProduction : Association AKOREACRO

www.akoreacro.com

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Belem and the mekanics DiDieR laloy – kathy aDam

Jeudi 21/03 à 13h30, vendredi 22/03 à 10h (option) salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Durée : 50 minutes + échange (vivement conseillé) — prix : 8€

Belem, c’est le duo formé par Didier Laloy à l’accordéon et Kathy Adam au violoncelle. Quand ils rencontrent Walter Hus et ses ex-traordinaires orchestres mécaniques hight tech commandés par ordinateur, cela provoque étincelles et concrétise les rêves les plus fous : Belem & the Mekanics !

Laissez-vous entraîner par cette musique insolite, métissée; entre musique du monde, contemporaine, cinématographique, aux sa-veurs felliniennes. On passe d’une douce poésie à la fureur la plus énergique, de mélodies folk (telle une fête roumaine parsemée de touches d’humour) à des atmosphères évolutives. La mise en scène d’Eric De Staercke complète le jeu de scène par des gestes et atti-tudes tout à fait en phase avec l’orchestrion.Un moment inouï !

« … un spectacle intégral. Magnifiquement dingue. » Le Vif


Avec Didier Laloy (accordéon diato-nique), Cathy Adam (violoncelle) et The Mekanics (orchestre mécanisé Decap)Régie son et lumière : Marco Gudanski, Jacques Verhaegen et Luna GilletCompositions : Didier Laloy et Walter Hus

Programmation et arrangement The Mekanics : Walter HusTravail scénique : Eric De StaerckePoduction : Zig Zag World & Koda Productionswww.didierlaloy.be


• Rencontre à l’issue de la représentation

• Thèmes à explorer : rencontre entre la machine et l’hu-main, l’improvisation

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La culture à l’école, c’est aussi…La culture, c’est vaste, ample, diversifié, multiple.

Au-delà des matinées scolaires, nous vous présentons quelques démarches séduisantes, d’autres espaces possibles pour la culture à l’école.

Vivre le théâtre en soirée

Vos élèves souhaitent découvrir des spectacles en soirée ? Vous les encouragez à prendre un abonnement ? Vous trouverez l’ensemble de programmation 18-19 ainsi que les formules tarifaires dans la plaquette saison. Les formules d’abonnement pour les jeunes peuvent intégrer des représentations scolaires et des soirées.Une présentation de la saison dans votre classe est bien sûr envisageable. N’hésitez pas à nous contacter ! Voici quelques spectacles susceptibles de les intéresser …

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Laïka aScanio celeStini – DaviD muRgia

Mercredi 26/09 à 20h, jeudi 27/09 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Durée : 1h15 — prix : 10€ (-30 ans) et 8€ (pass&go)

Après l’immense succès critique et public de « Discours à la Nation », Ascanio Celestini et David Murgia nous livrent un second opus dans lequel le Christ, revenu sur terre, observe de sa fenêtre les errements des précaires qui peuplent son quartier : un clochard, un immigré, des grévistes, une prostituée, une vieille dame à la tête embrouillée… Familier du bar d’en face et grand amateur de genièvre, ce Jésus des banlieues fait parler les sans-voix avec générosité et poésie. L’humour ravageur qui traverse l’écriture du talentueux auteur italien, Ascanio Celestini, trouve une résonnance dans la musique d’accor-déon qui accompagne le spectacle pour raconter ces histoires de petites gens, ces histoires qui posent la question de notre humanité.

« On savait David Murgia surdoué, mais Laïka consacre définitive-ment ce jeune comédien parmi les prophètes de nos scène » Le Soir

« Empreinte de poésie, d’ironie, de cynisme et d’humanisme (…) une magnifique fable » Rtbf.be

Meilleur seul en scène aux Prix de la Critique 2017

5e, 6e secondaire

Avec David Murgia et Maurice Blanchy (accordéon)Texte et mise en scène : Ascanio CelestiniVoix-off : Yolande MoreauTraduction : Patrick Bebi

Composition musicale : Gianluca CasadeiProduction : Festival de LiègeCoproduction : Théâtre National Wallonie-Bruxelles

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• Dossier de presse

• Rencontre avec l’équipe artistique le mercredi 26/09 à l’issue de la représentation

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J’abandonne une partie de moi que j’adapte JuStine lequette – gRoup nabla

Mardi 9/10 à 20h, mercredi 10/10 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Durée : 1h10 — prix : 10€ (-30 ans) et 8€ (pass&go)

Qu’en est-il aujourd’hui du bonheur ? Comment a évolué notre rapport à lui ? Quels sont les lieux de son accomplissement ? Quel impact le travail a-t-il sur notre vie quotidienne ? Nos vies privées, de quoi sont-elles privées ? Comment est-ce qu’on « gagne sa vie » ?

Profondément marqués par le film documentaire « Chronique d’un été » réalisé par Edgar Morin et Jean Rouch en 1960, Justine Lequette et ses quatre amis comédiens en reprennent les questions-clés « comment vis-tu ? », « comment te débrouilles-tu avec la vie ? » adressées à des passants, étudiants, ouvriers, employés, immigrés …Sur le plateau, les comédiens cheminent ainsi d’une époque à l’autre et s’amusent sérieusement à en rejouer quelques scènes, afin de mettre en dialogue et en perspective ces mots d’hier avec ceux de notre société d’aujourd’hui et redonner à la question du bonheur toute sa beauté et sa vitalité. Parce que se réapproprier cette question, la repolitiser, c’est commen-cer à penser : de quel projet d’émancipation sommes-nous porteurs ?

« Cette première création de théâtre-vérité est une belle réussite, un bijou d’intelligence, de pertinence et d’invention ludique. Justine Lequette insuffle une formidable dynamique aux comédiens qui se déploient sur le plateau en souplesse et fluidité d’une scène à l’autre, secondés par des décors sur roulettes. Et si le sujet est grave, il est traité ici avec la légère distance de l’humour qui invite à réfléchir en toute liberté. » Rtbf

« Justine Lequette signe une première pièce admirable, poétique et politique, questionnant ce qui nous rend heureux. » Le Soir


Un projet initié et mis en scène par Justine LequetteÉcriture collectiveAvec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud et Léa Romagny

Production : Création Studio Théâtre National Wallonie-BruxellesCoproduction : Group Nabla www.groupnabla.be

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• Dossier pédagogique

• Rencontre avec l’équipe artistique le mardi 9/10 à l’issue de la représentation

• Film documentaire « Il s’agit de quitter la terre » de Virginie Meunier, 2014. Vingt-cinq ans après la parution du livre « Métamorphoses du travail » d’André Gorz, la réalisatrice revisite et interroge la pensée du philosophe à travers des entretiens avec six personnes aux par-cours professionnels différents. Mardi 2/10 à 20h, dans la cadre du cycle Art et Essai, chez Imagix

• Conférence « Bonheur et Travail » de Noémi Lefebvre, auteur de « Poétique de l’emploi » (éd. Verticales) avec Justine Lequette, metteure en scène, le mercredi 10/10 à 18h, au bar Zazou

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Pas pleurer lyDie SalvayRe - DeniS lauJol

Mercredi 24/10 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Durée : 1h15 — prix : 7€ (-30 ans) et 7€ (pass&go)

Un magnifique portrait de femme. Un destin espagnol frappé en pleine jeunesse par la guerre.Ce récit de Lydie Salvayre (Prix Goncourt 2014) est l’histoire de sa mère Montserrat, - dite Montse -, plongée dans la guerre civile espagnole, à l’été 1936. Montse, qui avait quinze ans à l’époque, en a aujourd’hui nonante. En proie à de gros troubles de mémoire, elle a tout oublié de sa vie, excepté cette courte période.Devant sa fille, avec qui elle partage « une petite anisette » qu’on devine strictement interdite par les médecins, elle raconte son petit village perdu en Catalogne dont la vie semble figée dans le Moyen-Age. Aux côtés de son frère anarchiste, Montse découvre la révolution, la liberté et l’amour.

« Pas pleurer », c’est l’injonction que répète Montse à sa petite fille serrée contre elle, sous les bombardements, dans le dénuement le plus total. « Pas pleurer » c’est aussi ce que nous dit Lydie Salvayre, alors que nous avons toutes les raisons de pleurer devant la bêtise humaine, aujourd’hui comme hier. Ne pas baisser les bras. Ne pas avoir peur.Un récit lumineux, chargé d’espoir dans le désespoir.

« Et s’il ne me reste qu’une seule image de ce spectacle, ce sera sans doute celle de Montse, ivre de sa liberté toute neuve, lancée pieds nus dans une danse folle. » Rtbf.be

Meilleur espoir aux Prix de la critique 2017 pour Marie-Aurore d’Awans


Adapté du roman de Lydie Salvayre Prix Goncourt 2014 (Éd. du Seuil/Éditions Points)Adaptation et mise en scène : Denis LaujolAvec Marie-Aurore d’Awans et Malena Sardi (guitare)

Scénographie : Olivier WiameCoproduction : Ad Hominem, Théâtre de Poche, La Charge du Rhinocéros

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• Rencontre avec Lydie Salvayre animée par Frédéric Neve (libraire), le mercredi 24/10 à 18h au bar Zazou

• Film «Rester vivants » de Pauline Beugnies, 2017, en présence de la réalisatrice. Le film raconte l’histoire de quatre jeunes Egyptiens, depuis la révolution de 2011 jusqu’au cinquième anniversaire du soulèvement en 2016 dans l’Egypte du Maréchal Sissi. Pauline Beugnies interroge le temps qui passe, les idéaux qui s’égrainent, dans un contexte de répression violente et de propagande nationaliste. Lundi 22/10 à 20h, dans le cadre du cycle Art et Essai, chez Imagix

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L’attentat vincent hennebicq, Fabian FioRini – cie popi JoneS

Mardi 6/11 à 20h, mercredi 7/11 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Durée : 1h15 — prix : 9€ (-30 ans) et 5€ (pass&go)

Construit comme un thriller, « L’Attentat » est un road movie hale-tant qui nous prend à la gorge.

Dans un restaurant de Tel-Aviv, une femme se fait exploser au mi-lieu de dizaines de clients. À l’hôpital, le docteur Amine, chirurgien israélien d’origine arabe, opère à la chaîne les survivants de l’atten-tat. Dans la nuit qui suit le carnage, on le rappelle d’urgence pour examiner le corps déchiqueté de la kamikaze. Le sol se dérobe alors sous ses pieds : il s’agit de sa propre femme.

Le roman prend alors des allures de thriller, épousant la quête de cet homme en recherche de compréhension. Débute un voyage vers la vérité, celle d’une identité territoriale et culturelle complexe. Soutenu par la partition de Fabian Fiorini, interprétée par quatre musiciens et une chanteuse soliste, le spectacle glisse de la fiction au documentaire.


D’après «L’Attentat» de Yasmina KhadraTexte et mise en scène : Vincent HennebicqAvec Atta Nasser et Julie Calbete (chanteuse)Musiciens : Fabian Fiorini (piano), Laurent Blondiau (trom-pette), Célestin Massot (percussion) et Marine Horbaczewski (violoncelle)Composition musicale : Fabian FioriniRéalisation et montage du film : Jean-François RavagnanImage : Christophe RolinAssistant à la mise en scène : Maxime GlaudeScénographie et lumière : Giacinto Caponio et Fabrice MurgiaCréation costumes : Emilie JonetRégie générale : Romain Gueudré

Traduction texte : Awni DaibesTraduction vidéo : Patrick TassCoach langues : Nael DaibesConstruction décors et costumes : Ateliers du Théâtre National Wallonie-BruxellesCréation Studio Théâtre National Wallonie-BruxellesProduction : Théâtre National Wallonie-BruxellesCoproduction : Mars Mons Arts de la scène, maison de la culture de Tournai, Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, La Coop asbl, Shelter ProdAvec le soutien de taxshelter.be, ING & tax-shelter du gouver-nement fédéral belge, Eubelius

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• Assiette palestinienne les 6 et 7/11 à 19h au bar Zazou, 5€ l’assiette, réservation à la billetterie avant le 2/11

• Conférence « Effaçons l’occupation, pas les Palestiniens : contexte et actualités » avec Jacques Varrasse, le PAC et l’asbl Asseoir l’espoir, mercredi 7/11 à 18h à la maison de la culture. Gratuit, sur réservation auprès de [email protected]

• Possibilité d’accueillir Jacques Varrasse en classe pour échanger autour du spectacle (contacter Bruno Delmotte pour l’organisation)

• Film documentaire « Five Broken Cameras » d’Emad Burnat et Guy Davidi, 2011. « On n’avait jamais évoqué de manière plus intime et pré-cise la question des colonies israëlinnes et leurs conséquences sur le terrain. Démonstration éclatante due à un Arabe (Emad Burnat) et à un Juif (Guy Davidi) oeuvrant en toute harmonie. » Les Inrockuptibles. Mardi 13/11 à 20h, dans le cadre du cycle Art et Essai, chez Imagix

• Atelier de cuisine palestinienne avec Ahmed Al-Khatib les 23/10, 13/11, 20/11 et 27/11 de 18h30 à 22h. Inscriptions à la billetterie

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La ville des zizis eline SchumacheR

Mardi 4/12 à 20h, mercredi 5/12 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Création — prix : 9€ (-30 ans) et 5€ (pass&go)

Une bande de potes enterre l’un des leurs, ils étaient sept et ne sont plus que six. L’histoire commence le jour des funérailles. Comment vont-il réagir ? Que faire ensemble pour déjouer le manque ?

Eline Schumacher part d’une pensée personnelle : «son père n’a pas d’amis, elle a peur qu’il n’y ait personne à son enterrement.». Pour apaiser ses craintes elle s’amuse avec La ville des zizis à lui inventer des copains de théâtre. En mêlant culture populaire et références personnelles, en juxtaposant scènes cultes de westerns et extraits de dialogues avec son père, elle rend hommage aux hommes, à leur beauté, à leurs virilités, leurs solitudes, leur bêtise et leur pudeur.

Les spectateurs sont emmenés, complices, par les six comédiens qui tendent un fil entre réalité et fiction, entre fantasme et docu-mentaire. Ils découvrent les émotions que contiennent les silences, les gestes et les blagues de ces personnages souvent plus graves qu’ils ne veulent bien le montrer. Un spectacle coloré, chaleureux, léger, aux lignes narratives multi-ples, où la poésie du quotidien se déploie tout en nuances.

5e, 6e secondaire

Texte et mise en scène : Eline SchumacherCollaborateur artistique : Nicolas Mouzet-TagawaAvec Léonard Cornevin, Adrien Drumel, Thierry Hellin, Lucas Meister et Jean-Baptiste Polge

Une production de Mars, Mons arts de la scène, de La Coop asbl et du Théâtre Les TanneursAvec l’aide du Théâtre NationalAvec le soutien de Shelter-prod, taxshelter.be, ING et du Tax-Shelter du gouvernement fédéral belge

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• Film « Trois souvenirs de ma jeunesse » d’Arnaud Desplechin, drame 2015. « Le cinéaste n’est jamais aussi juste que dans son traitement de l’adolescence. Plutôt que de la décrire, façon documentariste, il la réinvente, offre à ses héros un romanesque que l’on aurait adoré vivre. » Libération. Lundi 17/12 à 20h dans le cadre du cycle Art et Essai, chez Imagix

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Pattern émilie maRéchal – camille meynaRD

Mardi 8/01 à 20h, mercredi 9/01 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Création — prix : 9€ (-30 ans) et 5€ (pass&go)

Que reste-t-il après la mort d’un père ?« Pattern » est une expérience scénique et cinématographique qui in-terroge la filiation.Depuis 2015, Émilie Maréchal et Camille Meynard arpentent la Belgique et interrogent, à travers des mémoires filiales qui leurs sont livrées, les rapports entre père et enfant. Ils récoltent des récits de fils et filles à des moments charnières de leurs vies : l’enfant admiratif, l’adolescent qui fait tomber son père pour être à son tour celui qui s’accomplit, l’enfant adulte qui devient parent pour son propre géniteur, l’enfant qui perd son statut à la mort de son père, …

« Pattern » est une histoire commune à tous, faites de plusieurs ta-bleaux, où mythes et héros côtoient des personnes ordinaires. C’est un dispositif mouvant, multiforme où le spectateur est lui-même en action, en quête. Le spectacle traverse le réel pour questionner et regarder le père, notre père.

5e, 6e secondaire

Spectacle accueilli en résidence de création à La maison

Écriture, mise en scène et réalisation : Émilie Maréchal et Camille MeynardAvec Simon André, Céline Beigbeder, Julien Rombaux, Emilienne Tempels(distribution en cours)Batteur : Will GuthrieScénographie : Sylvain Descazot

Lumière : Nelly Framinet

Coproduction : Pudding asbl, Théâtre Océan Nord, maison de la culture de TournaiAvec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Le Théâtre Epique/Compagnie Lorent Wanson, Fondation Mons 2015, Club Sumthaï de Frameries L’Escaut, La Bellone

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• Rencontre avec l’équipe artistique le mardi 8/01 et le mercredi 9/01 à l’issue de la représentation

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Les femmes savantes FRéDéRic DuSSenne

Mardi 5/02 à 20h, mercredi 6/02 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — 2h50 (entracte compris) — prix : 10€ (-30 ans) et 8€ (pass&go)

Ridicules, ces femmes savantes ? Philaminte est une mère autoritaire qui mène son monde à la baguette, y compris son mari, Chrysale. Elle s’est piquée aussi d’être « savante » et parvient à entraîner sa fille ainée Armande et sa belle-sœur Bélise dans son sillage. Elle veut imposer un exaspérant poète à la mode, Trissotin, comme époux à sa fille cadette, Henriette. Mais Henriette qui est une jeune fille éclairée, mais pas du tout « savante », aime Clitandre, un jeune homme de bonne famille, aimable et intelligent qui a été rejeté par Armande...

Cette pièce est l’occasion d’une magnifique galerie de portraits féminins. La venue de l’âge rend les élans romanesques de Bélise à la fois ridicules et déchirants ; la raideur de Philaminte, et son mépris du corps, cache mal sa peur panique des hommes ; le caractère trempé d’Henriette affronte avec force le cynisme éhonté de Trissotin ; la figure boulever-sante d’Armande, sacrifiée par sa mère sur l’autel de la philosophie, ne parvient pas à s’arracher à un amour idéalisé qui demande des preuves et à entrer de plain-pied dans la réalité.

Soutenu par une excellente distribution qui usent avec naturel des alexandrins, Frédéric Dussenne remet au goût du jour ce grand classique de la littérature. L’humour flirte avec la tragédie.

« Mur oblique, porte et chaises blanches, actes numérotés à la craie ; la scénographie fait un sobre écrin au jeu et à la langue dans lesquels virevoltent les comédiens. » La Libre

5e, 6e secondaire

D’après « Les Femmes savantes » de MolièreMise en scène : Frédéric DussenneAvec Maxime Anselin, France Bastoen, Lara Ceulemans, Salomé Crickx, Stéphane Ledune, Sylvie Perederejew, Dominique Rongvaux, Hélène Theunissen, Laurent Tisseyre, Benoît Van Dorslaer

Scénographie : Vincent BresmalCostumes : Romain DelhouxLumières : Renaud CeulemansCoproduction : Théâtre en Liberté, L’Acteur et L’Ecrit, La Servante, Théâtre des Martyrs

• Dossier de presse


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Le journal d’Anne Frank FRanceS gooDRich - albeRt hackett / FabRice gaRDin

Mardi 2/04 à 20h, mercredi 3/04 à 20h salle Frank Lucas, jauge : 250 pl — Durée : 2h15 (entracte compris) — prix : 10€ (-30 ans) et 8€ (pass&go)

« Rappeler de temps en temps l’Histoire ne fait pas de mal quand on voit l’intolérance et la haine qui habitent notre monde » (Fabrice Gardin)

Un spectacle tout en émotion comme un message de résistance et de tolérance.Anne Frank est un symbole, connu et reconnu à travers le monde. Mais avant d’être un symbole, avant toutes ces productions autour de son nom, il y a une histoire, et c’est cette histoire que nous allons vous raconter. Une histoire simple et terrible à la fois. Une histoire qui éclaire un des pans les plus sombres de notre Histoire.

« … la légèreté l’emporte souvent sur la noirceur. Les costumes et les accessoires nous ramènent dans les années 40, mais le jeu insuffle une humanité sans âge. » Le Soir


Mise en scène : Fabrice GardinAvec Juliette Manneback, Bruno Georis, Anne-Claire, Laura Fautré, Sophie Delacollette, Michel Poncelet, Catherine

Claeys, Gaspard Rozenwajn et Marc De RoyScénographie : Anne GuillerayUn spectacle réalisé avec l’aide du Centre des Arts Scéniques


• Rencontre avec l’équipe artistique le mardi 2/04 à l’issue de la représentation ©

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Tabula Rasa violette pallaRo

Mardi 30/04 à 20h salle Frank Lucas — 250pl — Durée : 1h — prix : 10€ (-30 ans) et 8€ (pass&go)

« Chez nous, nous étions cinq, toujours à la même place, assis de la même façon. » Tout a commencé autour d’une table.Comme souvent débutent les histoires de famille.Et les histoires de famille se ressemblent toutes.Et pire même, elles se répètent.Ça, c’est une chose qu’on ne s’explique pas.Quatre acteurs, accompagnés d’une mystérieuse narratrice, dressent sous nos yeux sur un mode tantôt grinçant, tantôt drôle, une multitude de tables familiales.Des tables de repas, des tables de rencontre, de réunion, de travail... Chacune d’entre elles questionne à sa façon la place que l’on occupe au sein de la famille, mais aussi, plus largement, au sein du groupe et de la collectivité.

« Construire tout le spectacle autour de ce meuble fatidique est l’idée ingénieuse de Violette Pallaro. Source permanente de surprises, la table en voit de toutes les couleurs et de toutes les configurations so-ciales… » le Soir

Prix de la Critique, meilleure découverte 2017


Écriture : Violette Pallaro avec la complicité de Laura Fautré, Clément Goethals, Thierry Hellin et Lara Persain Mise en scène : Violette PallaroAvec Laura Fautré, Clément Goethals, Thierry Hellin et Lara PersainScénographie : Vincent Lemaire

Production : Festival de LiègeCoproduction : Théâtre National Wallonie-Bruxelles et Mars, Mons Arts de la scène Avec le soutien de Théâtre et Publics, du Théâtre des Doms à Avignon et du Théâtre de la Cité à Marseille dans le cadre du projet « Résidence croi-sée-Écritures du Réel » et de la SACDAvec l’aide du Théâtre du Public et du Centre Culturel des Riches Claires



• Film : « J’ai tué ma mère » de Xavier Dolan, 2009. Premier film du jeune réalisateur prodige, il raconte la relation tumul-tueuse entre une mère et son fils ; la complexité des relations familiales y est centrale, tout comme dans « Tabula rasa » de Violette Pallaro. Mardi 14/05 à 20h, dans le cadre du cycle Art et essai, chez Imagix

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Plusieurs projets sont déjà en chantier pour la saison 19-20. Parmi ceux-ci, « J’aurais voulu mourir naïf » de Thomas Coumans (comédien, metteur en scène tournaisien) verra le jour en octobre 2019. D’ici là, il y aura différentes phases d’écriture de plateau. L’une d’elle se déroulera fin avril 2019 et s’adresse en particulier aux adolescents.

Afin d’aller plus loin dans le travail, Thomas aimerait inviter des élèves du secondaire supérieur à participer au processus d’écriture et ainsi les rendre acteurs de la création elle-même.

Cela se passerait en trois temps : • Présentation du projet et du processus aux élèves en classe.• Les élèves assistent à une étape de travail du spectacle en cours de

création suivi d’un moment de rencontre avec les artistes du projet autour du plateau (23 et 24 avril).

• Un autre moment de rencontre avec les élèves en classe afin d’avoir une discussion critique de ce qu’ils ont vu et de ce qu’ils en pensent.

Quelques pistes pédagogiques possibles à partir du spectacle :• Comment perçois-tu le monde d’aujourd’hui ?• Sens-tu le besoin de te protéger du monde ? Pourquoi ?• Crois-tu en quelque chose ? Si oui, en quoi ? Si non, pourquoi ?• As-tu besoin de croire en quelque-chose ? Pourquoi ?• Que signifie la poésie pour toi ? En as-tu besoin ?• Que signifie le cynisme pour toi ? Te sens-tu cynique ?• Que signifie pour toi « transcender le réel » ? Est-ce nécessaire ?• Où et pourquoi te sens-tu contradictoire ? • Estimes-tu avoir des parts d’ombre et des parts de lumière ? • Te sens-tu plutôt cynique ou plutôt naïf ?

« Ces moments de rencontres me tiennent particulièrement à cœur. En tant que trentenaire, je me rends bien compte du décalage générationnel qu’il y a déjà entre les adolescents et moi. Nous avons grandi dans deux mondes à la fois similaires et très différents. Et je crois très enrichissant de confronter ma perception du monde avec les leurs, et ainsi nourrir le travail, et l’écriture en particulier, pour pouvoir affiner en amont ce qui rendra le spectacle d’autant plus actuel, partageable et pertinent en termes de médiation culturelle. De plus, étant originaire de Tournai, je me réjouis de faire ce travail avec de jeunes Tournaisiens. » Thomas Coumans

« J’aurais voulu mourir naïf » Un spectacle de Thomas Coumans / Produit par la maison de la culture de Tournai / Co-produit par la compagnie des Passeurs de Rêves / Et soutenu par la Maison Culturelle d’Ath / Le Centre Culturel Régional de Huy / Le Centre Culturel de Beloeil / Le Bamp

Les enseignants intéressés par ce projet peuvent contacter Anaëlle Kins au 069 25 30 77 - [email protected]

Participer à un projet du centre scénique

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Cinéma scolaireAller au cinéma, c’est découvrir une histoire, appréhender le point de vue d’un auteur sur notre société, c’est élargir le regard.Chaque année, la maison de la culture, en collaboration avec le complexe Imagix, poursuit le développement et la promotion du cinéma de qualité à travers des séances scolaires. La programmation s’adresse à un large public d’élèves. Tous les films se signalent par leur qualité ainsi que par l’intérêt des thèmes abordés. Pour la plupart des films présentés dans le cadre d’« Ecran large sur tableau noir », vous recevez gratuitement un dossier pédagogique traitant des principaux aspects du film et pro-posant de multiples animations à réaliser en classe.La programmation détaillée vous parviendra début septembre. Les pé-riodes de projection sur l’année sont les suivantes :

• Semaine du 19 novembre au 23 novembre 2018• Semaine du 25 février au 1er mars 2019• Semaine du 25 mars au 29 mars 2019

Tournai Ramdam FestivalLa 9ème édition du Tournai Ramdam Festival, le festival du film qui dérange, aura lieu du 12 au 22 janvier 2019Trois possibilités d’y participer :

• Découvrir un film avec votre classe en matinée. Projections prévues les 16, 17, 18, 21 et 22 janvier 2019 à 10h chez Imagix pour les élèves de 5e et 6e. La programmation sera dévoilée en décembre. Le prix est de 4€ par élève.

• Prendre part au Cinépocket, concours de pocket films réalisés avec un smartphone. L’idée est que l’élève réalise un film de 2 minutes (hors générique), traitant d’un sujet qui dérange, de manière complètement libre. L’objectif est de permettre aux participants de réfléchir à une manière subtile et efficace de sensibiliser le spectateur à travers un court-métrage qui soit de nature à faire réfléchir, bousculer les esprits et susciter le dialogue. Date limite de remise des films : 6 janvier 2019, 23h59. Délibération du jury : 7 au 9 janvier 2019. Remise des prix : 16 janvier 2019 à 18h (projection des pockets films + remise des prix). Participation gratuite.

• Participer au Clip Clap, concours de critiques cinématographiques adressé aux élèves de 5ème et 6ème secondaire. L’intention est de susciter une réflexion sur le 7e art afin de dépasser le stade de la « consommation passive » d’images. Développer un regard critique et une capacité d’argumentation. Comment ça se passe ?

Préalablement au concours, une animation de 2 heures vous est proposée dans votre classe du mois d’octobre 2018 au 11 janvier 2019. Elle abordera quelques as-pects du langage cinématographique, donnera des conseils pour rédiger une critique journalistique et illustrera le cinéma engagé à l’aide d’extraits de film. Ensuite, vous assistez avec vos élèves à la projection d’un film surprise le mardi 15 janvier 2019 à 9h30. La rédaction de la critique suit la projection. Un jury désignera les lauréats sur base de critères préalablement définis. La remise des prix se déroulera le mardi 22 janvier en soirée, les lauréats ayant été avertis via leur école le lundi 21 janvier 2019. La participation à ce concours est de 7€, elle comprend l’animation en classe ainsi que la projection du film.

Infos : www.ramdamfestival.be - Réservations et inscriptions auprès de Jeanne François - [email protected]

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Des expos à découvrir…Elargir les horizons par la découverte des arts plastiques… Une pein-ture, un dessin, un objet sont aussi des occasions de nourrir la réflexion, d’appréhender le monde. Les œuvres sont parfois déroutantes, difficiles à appréhender sans un éclairage sur la démarche de l’artiste. Un parcours commenté permettra de mieux comprendre le procédé, la technique et l’approche de l’artiste. Nous sommes à votre disposition pour organiser ces rencontres.Voici quelques propositions à découvrir à la galerie du Lapin Perdu, 14 rue de l’Hôpital Notre-Dame (académie des Beaux-Arts). Accessible gratuitement du mercredi au dimanche de 14h à 18h ou sur rendez-vous.

Greg Van Laecken 0498 46 60 00 - [email protected]

meSSieuRS DelmotteDu 5 octobre au 4 novembreMessieurs Delmotte développe des projets multimédias et réalise des films vidéos, des photos et des performances. Dans la lignée de Buster Keaton, Magritte ou encore Broodthaers, il se pose en véritable dandy accordant un regard déridant voire caustique sur son environnement. Philosophe burlesque, auteur d’actes dérisoires, il est le créateur d’une oeuvre «apparemment légère» qui oscille sur le fil de l’absurdité de la condition humaine. L’auteur de Messieurs Delmotte considère lui-même son entrain non pas comme un art mais bien comme une simple activité particulière.Organisation : maison de la culture de Tournai, ESA Académie des Beaux-ArtsCollaboration : Service des Arts plastiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles, L’Avenir – Courrier de l’Escaut, Notélé

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le voyage De haFiZ el SouDaniCollectif Dessins sans papiersDu 9 novembre au 9 décembreHafiz Adem est un jeune réfugié soudanais qui a dessiné toutes les étapes de son voyage, depuis son évasion de la prison de El Nahud à Kordofan sous la dictature du président El Bashir jusqu’à son arrivée à Paris : ses deux années de galère en Libye, la route du désert, les passeurs, l’at-tente dans un hangar à Sabratha, la traversée de la mer, les matraques italiennes, le passage en France, la vie sur le camps du boulevard de La Chapelle, la rencontre de nouveaux amis et la lutte pour rester, face à une administration qui fait tout pour décourager. Hébergé dans un foyer à Malakoff, Hafiz a continué à dessiner ses rencontres avec de nouveaux amis.«Le Voyage de Hafiz El Soudani», est le premier titre d’une collection de témoignages dessinés, initiée par le collectif Dessins Sans Papiers Organisation : maison de la culture de Tournai, ESA Académie des Beaux-ArtsCollaboration : Service des Arts plastiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles, L’Avenir – Courrier de l’Escaut, Notélé https:/fr.ulule.com/dessins-sans-papiersfacebook groupe dessinssanspapiers

clotilDe SouRDeval & agacheDu 21 février au 17 mars

Sonder le corps, l’ausculter…ce n’est pas le corps qui est véritablement sujet du travail de Clotilde Sourdeval mais plutôt une recherche d’une tension, vers l’abstraction. Dans les interstices de la représentation, l’œil vient se poser sur le dessin comme l’oreille du médecin sur le corps d’un patient. Elle fouille dans cette science de l’inexacte pour toujours ouvrir plus ce corps qui n’ap-partient à rien sinon au dessin.

Malvina Agache, travaille la reliure, le livre-objet, le livre expérimental. Sortir des formats, expérimenter l’articulation, les supports et les choix de papiers pour faire d’un ouvrage/objet un écho à son contenu.Malvina Agache, membre émérite du collectif Le Cagibi repousse les formes classiques du façonnage d’un livre vers de multiples possibilités aventureuses, au service même de l’édition proposée. Organisation : maison de la culture de Tournai, Académie des Beaux-ArtsCollaboration : Service des Arts plastiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles, L’Avenir–Le Courrier de l’Escaut, notélé

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Circulez, il n’y a rien à voir Notre ville est faite de plusieurs quartiers, chacun ayant ses particula-rités, ses charmes. En allant à l’école, nous arpentons chaque jour les rues sans prêter attention à certains détails historiques et patrimoniaux. Durant l’année, à votre demande, nous vous emmenons à la découverte des secrets et richesses de notre patrimoine. Les élèves sont invités à observer les nombreux détails architecturaux qui font notre ville et notre histoire : porte cochère ouvragée, sgraffittes, empêche-pipi,… . Une autre façon de s’approprier son école et sa ville !

Ces découvertes sont gratuites. Pour l’organisation, contactez Jacky Legge : [email protected] : maison de la culture - Collaboration : Musée de Folklore et des Imaginaires

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Le jeu du dessin Voici une autre proposition pour amener vos élèves et étudiants vers les arts graphiques. À organiser à l’école, sur une heure de cours ou plus, le jeu du dessin se faufile partout.

C’est au printemps 2010 que Monsieur Pimpant, Brice Dumas et FIX initient, d’abord comme un simple exercice frôlant la plaisanterie, les bases d’un jeu unique alliant plaisir du dessin, contraintes et pratique artistique.

Le principe en est simple : choisir une carte qui énoncera une consigne imposée aux dessinateurs présents. Une autre pile de cartes, distincte, impose une autre contrainte, mais cette fois au modèle.

Le rôle du modèle sera endossé par tous, cha-cun à son tour.

La force du jeu réside dans sa capacité à réunir des dessinateurs, débutants ou confirmés, par la seule obligation de ses contraintes amusantes et parfois même absurdes. Les nombreuses combinaisons aléatoires vont vous surprendre et vous obliger à sortir de vos réflexes et de vos habitudes.

N’hésitez pas à nous contacter pour explorer ce jeu !

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Opération Art à l’école ékla, aRt pouR touS(Centre scénique de Wallonie pour l’enfance et la jeunesse)

pouR quoi ?L’opération « art à l’école » permet d’accueillir un artiste en résidence dans sa classe durant une année scolaire (comédien, metteur en scène, marionnettiste, auteur, danseur, chorégraphe, etc.). Celui-ci vient par-tager son langage, son univers esthétique, son approche singulière, son regard sur le monde…Les élèves vivent l’expérience d’un processus de création et sont amenés à développer, à exprimer et à partager leur propre regard, leur parole, leur geste…

POUR QUI ?L’opération « art à l’école » s’adresse à tous les enseignants, du ma-ternel au supérieur (quelle que soit la matière enseignée), tous réseaux confondus.

EN PARTENARIAT…L’enseignant et l’artiste collaborent en partenaires égaux : il ne s’agit pas de mettre l’artiste au service de l’école, ni l’école au service de l’artiste. Ils se donnent le temps et la liberté de découvrir les richesses de l’autre, de s’interroger sur leurs approches respectives et de se remettre en question en privilégiant le dialogue et l’écoute. Entre les différents ate-liers de l’intervenant, l’enseignant fait le lien entre l’artiste et les élèves et les guide dans la découverte et l’appropriation de l’activité.

Situé à l’entre-deux de ces univers, l’animateur de la maison de la culture, médiateur, se veut un appui permanent au déroulement du projet. Passeur culturel, il contribue à renforcer la découverte de la création contempo-raine auprès des classes partenaires.

Opération Art à l’école ékla, aRt pouR touS(Centre scénique de Wallonie pour l’enfance et la jeunesse)

comment ?• Le projet comporte 10 demi-journées d’ateliers avec l’artiste, à déga-

ger dans l’horaire des élèves.• En complémentarité de ces ateliers, l’enseignant participe, avec l’ar-

tiste partenaire, à une formation “Art à l’Ecole” de 3 jours maximum proposée et encadrée par ékla (formation reconnue par l’IFC), ainsi qu’aux réunions d’information et d’évaluation des projets.

• L’enseignant et sa classe s’engagent à participer à une des journées des Rencontres Art à l’Ecole en fin de projet (mai).

• Une PAF sera facturée à l’école en fin de projet (260€/classe). L’école prend également en charge les frais de transport liés à une journée des Rencontres Art à l’Ecole.

poSeR Sa canDiDatuRe…Si vous souhaitez accueillir un artiste dans le cadre de ce projet, votre candidature doit parvenir à ékla pour la mi-mai 2019. N’hésitez pas à contacter ékla ou à nous contacter.

Ékla, Centre Scénique de Wallonie pour l’Enfance et la Jeunesse Rue des Canadiens, 83 - 7110 Strépy-Bracquegnies. Tel : 064.66.57.07 [email protected] - www.ekla.be

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Autour du picard

Le picard – qu’on appelle encore souvent le “patois” - est une des lan-gues régionales reconnues par la Fédération Wallonie-Bruxelles (Décret “Féaux” de 1990), avec le wallon, le champenois, le lorrain, le francique luxembourgeois et le thiois brabançon (Bruxellois).Au-delà d’une façon pittoresque de s’exprimer, le picard est une compo-sante majeure de notre identité régionale. Même si on le parle de moins en moins, particulièrement en milieu urbain, il suscite toujours l’intérêt et la sympathie : pour preuve, les salles combles pour les spectacles de théâtre amateur ou de cabaret organisés par les associations locales.En une ou plusieurs animations gratuites, la maison de la culture propose aux écoles une approche ciblée, destinée à sensibiliser les enfants et les jeunes à la problématique de la langue régionale, son génie, sa littérature (poésie, chanson, bd, films, …).

Contact : Bruno Delmotte – 069 25 30 78 [email protected]

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La bibliothèque

Avec la carte d’inscription de la bibliothèque, les enseignants du secon-daire peuvent bénéficier de l’emprunt gratuit d’une trentaine de romans en exemplaires multiples pour leur classe pour une durée de 8 semaines. Les bibliothécaires proposent également de découvrir des lectures vi-vantes de romans actuels pour le plaisir de l’écoute et de la discussion. Cette animation est gratuite et dure environ une heure. Elle se déroule, sur rendez-vous, dans les classes.

Infos : Catherine Aloxe et Stéphanie Hernandez - 069 25 30 [email protected]

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Documents

SaiSon 18-19 Culture école 12-18 ans...3 Saison 18-19 - Culture école 12-18 ans Prolonger l’été, on ose ! Chers enseignants, La période estivale touche à sa fin. Peut-être