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lllW lUES OKFUANrf EEDES FAUlU lie I r o l s m i l l e gruTi,. iciit ié(iaréineiil i]iic : kxk (.'K iw ihig », taai copier Ici titm 21. Iliiléircdc Napolù, II. TiililvUckunivtrMt 2 . 1. 2i lU-Bcic miiia, .5. «çBiîttëgttj 20. Reguc miné,, 27. Aslrmiuime. H. Iiivviilioiis 21>. Krrciira c l préju^'r 11). I.ivre «lu SL'iniic, SI. Ariliiniétique. yi. i'rolilèruea. S3. TcilUC dC4 lÎTIt'i. SI. Ihiasiii liiicairu. Sr>. liéumctriG Slj. Aigêliro. S7. Arpenlage SH. I’liysi<|iii> !>;). Cliiiiiiu. 40. Hygiène. Atk I 1 ''■Bncihl, siüxrais. Kuiitniiic (ÜtnriC'IV'. o), el INiiiilhi'ü (Yir- -.\lcxis), cl Hiiml Coiislmil), cl l.ci;ler( i‘sc), vciive rciÿiicl uisifi), 27 ans 0 muis laide),ITiniis H mui$ lu ans 2 mois, i), 37 ans 7 mois, ans iO mois. Il), 3i ^is 3 mois. r iflarinxeH. h'i'aiiçols), tonnelier i (AluxuiKliinoJiiliü). (Oise). s). çtiari'Rlicr A Miiiit' gmÜ(Mario<àciicvièYe Isaul, marchande île i I m i o m b r a h i c s aficc- (|iii |irovlcmienl d'un uùdes se Ironve duin; xlraite de subslaaccs |ios.s<ule à la l'ois des : l>ar les csloiiim^ 1 rs 'isseiil l'avorableiiicnt iode d’emj>loi cl |iuur ches M. II. Kerckiwif. lune de 2, 4, 7 fraiic.^ u \, chez M. Clauditt an commerce. ir vigiK'iir h !■ i-rvniit jiniriicil la Halle, 53, L M IN ous le* rarpH f(rai» • iroa, bodRlr, «Ire A .-ilii.-igi'l, gniils lie p<-aii. 11. Ou iiotiveau iimluil flLB. orms. AVOISI. 00 00 0 85; 00 If fiO K 00, 00 (H) 00 0 (W , 72 12 22 7 5A 0042 (NI 0 (ki 7()l00 (NI 0 7t (U> ! t 03 7 Samedi 7 Stars Iftd?. ' '"4" . V o.,.. ..1 •• 1 iHnan . H W « W l X - ' ISrSBttirXOliS : Af(nPlM«i-9 IMVfclw®#» - a n n o n c e s À ÏJW ICIA IH ES. - --r- -- l-W I.. I ' ' Ce Journal paraît tous les Samedis. OM S'A.DOSINC ' ' ‘I l A .Sciiiis, au Itiirr.-tii ilù JoiirnM , rue de Br«<i - ''l rais, n« 5; — A üriipy, clic* M Binki, lilirairc; •— A ecroyc-lci-Ooniiiric:, n .M. l.soktRD, nitcicii hnircj —- A Parh.iilaCntnpagnicCKiiIrnlQd’An- > itoncea, 24, rue du la lUiurst'; — Aroificcrorn*!). ' J poiidnnredu MU. l,«jOLivi:r'ul r. N.-D ilr*.* Victoicci, 25 ; — A In UnlHoii du Cniirlnge, Itoiilè. Puis»oi>i>iiièru, I4{ — A MM. Ci(A«pRRriiB el Cic. dirccUiiirK de l'OITicü ccnlrali! de i'ImlunHe et du Cninnirrci!. rue du FnulHiiirg-Miiiiliiiorlrc', II» 3R; — cl clii-t les liLraii'Ci du départ. :d t. . . <, -.iOIUp H sRssnnmBgBsai SKM-IS. — On Ht dans le Pays : Im JtfoHtlcnr de jeudi public des iiomiitatlous dans les Iribmiàux do eommerce en France et en Algérie, et diM no minations déjuges et de supplëunLspi'ès les justices dupnix. Le journal oflieiel publie ensuite, A sa partie iioii oflicielie, les disi>ositiuiis ndoptiics pour la répartition, dans la ma rine impériale, de la médaille commémorative des campa gnes do la Ualtique, inslilüée par S. Bl. lu reine do ta Gram (Ic-Hretagnc. —- Le traité de p:n\ entre rAngleterrc et la Perse a été si gné le 4 mars, A Paris, i>ur les plénipoteiiliaircs des deux puissances. — Aus.sHèt après la signature du traité do paix entre la Perse et rAuglelerre, Sou Kxc. Fcruck-Khan a fait passiAr une dépêche A iUicharest,*dernièrc station de cette partie delà ligne télégraphique; un des attachés au ministère des an'aircs éUmigercs de T éh érau .,^ at.tfiM }^ ^ ordres de 1aiiiHdssàdeüi', pèÆao r^Q OC tî^épèchü pour la porter dans la capitale de lu Perse. On as.surc que plusieui's autres puissances européennes doivent pronier du séjour A Paris de Feruck-Khan, muni de tous les pouvoirs. nécessaires, pour négocier avec lui des traités de commerce. — La conférence relative aux aiTaires de âuls.se s'est réunie jeudi au ministère des affaires étrangères. — Nous. trouvons ce qui suit dans une lettre écrite do Lisbonne, le 25 février : Le vaisseau A vapeur de la marine française VAutlcrlifif vient de quitter notre port où il était on station depuis trois mois. Pendant le tomiis de leur séjour nus marins se sont acquis A Lisbonne les sympathies universelles. VAastet'lUs a reçu la visite du roi, des membres de* sa famille et d’un grand nombre de pereonnagcs de distinction. Le jourdü départ, le duc d’Oportu, frèro aîné du roi. qui avait daigné plusieurs fois accepter des invitations A boi'd, est venu faire visite au commandant et A l'étal-major. Il a admiré la bonne tenue de ce beau vaisseau et témoigné du toute son estime pour la marine française. J . BARATONi — Une lettre particulièro écrite de Vienne nous annonce, qn'on Venait de recevoir dans cette vi(le,'pàr vole télégra-' phiipie, les nouvelles suivantes des provinces danubiennes. I a!s lrou|>es moldaves, formant une colonne composée d'un demi-bataillon d’inranteric, d’une compagnie du génie, d’une compagnie d'artillerie et d'un demi-escadron de ca valerie, ont prl.s garnison le 20, le 21 et le 23 dans les villes de Itolgrad, d'Ismaïl et do lléiii, provenant des territoires ncuveltcmcnt cédés. — I.C préfet de police vient de rendre trois or<lonn:mcesi la première conccrnanl des tarifs communs |H)ur le trans- )mrt des marchandises diverses, A |tctilc vite.ssc, sur les chemins do fer d’Orléans et de l’Ouest; la seconde concer nant l'addition des glacesaux tarifs communs poitr le Irans- port des marchandises, A petite vitesse, sur les chemins de fer de l’Est et d'Orléans; la troisième concernant l'addition du coke an tarif s|técial n" Vlll-22, applicable ad transport des matériaux du ronstruction, de la houille, «lu minéral, ejc., sur le chemin de fer de Paris A Orléans avec scs pro longements. ~ lA2 Urs Majestés rEm pcrciir et rim péralricc ont Visité le t'onservatoirc des arts et métiçrs. M. le ministre de ragricuUùrc, du commerce et des travaux publions les ac compagnait. Leurs Majestés ont été reçues par M. le géné ral Morin, directeur du ConscrVatoirç, et par tous tes pro fesseurs. Elles ont parcouru les niagniluiucs collections de machines et dé modèles de cet établis.scmcnt qui n'a pas île rival au monde; elles les ont examinées en détail, el elles ont paru p'rendrc un vif'inlérèl A des expériences de physi que, <le chimie et <Ie mécaiiitpie qui uni été fuites sons leurs yeux. L’Empereur s'est informé avec la plus grande sollicitude de.s be.soins du (Conservatoire; il a été surtout frappé de l'état des bâlimeuls, (jiii, A coté d'admirables spécimens de l'architecture gothi(|<>e, présentent des mai sons en ruine et des conslrnelions inachevées; il a bien vou lu donner son approbation A un plan d'ensemble qui pour rait être exécute en plusieurs années, cl qui serait digne do cette belle insliluüun. La visite du Leurs .Majestés a duré près do trois heures. En se retirant, l’Empereur a fait con naître qu’il avait nommé M. lloits.^ingauit, professeur de diimic agricuie, au grade de commandeur dans l’ordre im périal de la Légion-ii’üonneur; M. I‘éligüt, professeur de chimie manufacturière,au-gradud’onicieç,elM .ilaudemcnt, professeur de zoologie, au grade de chevalier. KOÜYELIES DÉFÂSÏEBISifîilEi. AVI.^. . D’après les nombreuses réclamations {larvcuuos au mî- hislcrc de l'agricniten^du^^iuctxoçld^ publics, Kilativcmcnt S l’cpuqn'e oitcouciiiirs agnrolc umvci’sel de 1857, et en raison aussi du peu «rititorvalli; (pii sépai’ait celte exhibition de relie de raimée deruicre, le (u.i;v"rue- nieut Vient de décider que l’exposition qui'dcvait s’ouvrir le l''juin prochain n’aurait pas lieu celle année. Ixs concours d’animaux de buiicluM'ie cl d'animaux reproducteurs, d'instruments et de produits agricule.s, ins titués A Pois.sy et dans les divoises régions do la France, sont maintenus et se tiendront aux époques précédoiiimcnl lixées. DèMtrlielian des ' lapin» et nntmnus enisaiJsles. Nous, Préfet de l’Oise, commandeur de la Légion- d'ilonneur. Par nolro arrêté, en date du 29 novembre 1855 qui, sur la proposition de l’administration des forêts, autorise les propriétaires de bois et adju(!icaUiirc.H du droit de chusse dans les forêts domaniales et communiilos, A pratiquer dans CCS bois et forêts deux battues par semaine pour la destruc tion dés lapiils ét adirés animaux nuisibles, A la chai gc par ledits propriéUiircs et adjudicataires de se conformer aux r^rvcs e^rimées dans l’article 2 dudit arrêté, dont le paragraphe 4 déféiid de mettre en vente, de transporter et de colporter Un temps prohibé les animaux pris ou détruits, dont la nomenclature est spécifiée au paragraphe 3 du même article; - — . -A'izTfTî Considérant qu’il convient d’utiliser, au profit de la consommation générale, le produit des battues qui seront clfcctuécs; Arrêtons : Art. 1". Le paragraphe 4 de l'article 2 de notre arrêté du 29 novembre 185(1 est rapporté. Art. 2. La mise eu vente, le transport el le rolporinKe des lapins et nutre.s animaux nnisil)[e.s, .spécilié.s dans l'arrêté ci-dessus, sont autorisés jusqu'au 15 avril prochain inclusiveinciit. Arti 3. M. Ic'conservateur des forêts, MM. les maire,s, la gendarmerie, les gardét-champétres et antres agents de l'autorité pulditpie, sont charges de l'exécution du présent arrêté, qui sera inséré au ItecUcil des acte.-: adminstralifs. Iteanvais, le 4 inaro 1857. do militaire, délivré par le préfet, si le candidat est Agé de plus de 20 ans. Art. 3. Les coiicurroiils devront coimailre : En Arithmétique.-— l.e calciil des fractions ordinai res et des fractions déciiiiak-s, le système d«w iifiiiveatix poids et rac.snrcs, l'extraelion des racines carrées cl cubi ques, cl les prnprii'tcs des proportions, En Géométrie. — Ixs propriélée des lignes cl ligures nroportionneltcs, la mesure des airs el celle des vo lumes, nelammunt en ce qui se rapporte aux calculs des terrasses. En Topographie. — La levée des plans A la chaîne, A réqiicrro d’ariieiiteiir el au graphoRièlrc, ainsi que l’cxécu- lion des nivellements en long et des profils en travers, A l’aide du niveau d'eau. E k Dessin. — Le rni'port des plans cl nivellements au trait, et la coufcclioii des pians, ciuipes cl élévations des P'.)nlccaux en niaçoiinerje el en cliarpcntc. ï.o.s(‘oncurvnnls devront prouver en outre, qu'iU connais sent tes principes relatifs A lu constrncllon des vliaussées'cii cnilloutis ou en pavés, el qu'ils savent rédiger les devis et détails estimatif.: concernant: 1" l’établissement d'une' arec l*êcllticalion de pcnics et calculs des volume.; de déblais cl de rcinidais, ainsi que de.s dislances du leui's transports; 2 ’ et l’exécution des poidcéaux on maçonnerie et en charpente. Eiifin, on exigera d'eux qu'its'sachcnt l’oiTnugrajdie et que leur écriture soit nette el lisible. Art. 4. La cominissiou d'examen sera composée de MM. Conduzorgues-Lairolle, ecnseiller de préfecture, pré sident; Le l’èro, ingénieur en chef, directeur du service vici- , nal du dépurlcmeiit; L’abbé Harraud, chanoine de la cathédrale; ' Zoéga, professeur de mathématiques au collège de lleauvais; Lumairc, ingénieur ordinaire de l'arrondisscmcnl de , lleauvais; Vitard, ngent-voyer de rarroiullsscmcnl de lleauvais. Art. 5. La commis.siün classera les candidats par ordre de mérite, ou les mettra hors de concours, s’ils ne rompiis- '.^nt pus les conditions exigées. Art. G. Les concurrents devront se m unir de papierj règles, . étui de mathématiques, encre de Chine el carmin, a de faire, en séance, Ic-j dessins des projets qui leur t demandés. étouffé de suite ; après avoir traversé les étangs deux ou trois fois, il a été pris A l'étang de la llcine-Illanchc, A «leux lieurcs de l’après-midi, cl la curée a été faite en pn-sence d’«me foule de spcclalctu's qui ciicumbraienl les bords des étangs. Ponts et clinuseéeM. (Service t'n arrêté préfectoral du 20 février porte : Art. 1"* Il sera ouvert, le jeuili'im ril 1857, à onze liimrt-;: précises du matin, en l’une des salles «le rilèlet de la Pi-é- -fcclurc, un ('.oiicours pour l’examen des a.-:piran(s aux gra«li2 s d’employés.secnmlaiix:s, des ponts el chausséos, et d’agcnl-voyer cantunul uu de surnuméi aire dans le service vicinal. Art. 2. rAxscandi«lats devnm l se faire inscrire A la préfec ture, avant le 1" avril. Ils devront être âgés «le plus de 18 ans et do moins de 28 ans au inumoiit de rexamcti. T«mtefois, les militaires porteur.-; d’un congé régulier pourront concourir jusqu’A 32 ans. Ils produiront A l’appui des demandes d'iiisrriplion. leur acte de naissance, un «:oiiilicat «le moralité dn maire «le leur résidence, et uu cerlilical do libération du servi- bADMONT.'— Cél(h5 lin Compicgnc, Agé de 12 ans, se A V^çolc ci passait prts du sieur Lcmaitro, ijul l’a battu, ainsi q u c lè «Usent rc.sTéinôms*.1iîâis lèsîfcdr Lcrin'âltftf ajoute que Gompiègne t’avait insnité en r<';pélanl contre loi de mauvais propos, yni a raîsoiiY (jui a tort ? Les témoins placés A distance u’cn peuvent rien dire, et la police s'«‘st contentée de recevoir et d’enregistrer la double plainte de Compiègnc et de Leniaitré. CHANTILLY. — Las chnssc;: A ciuirrc de l.n Société do Chantilly sont toujours fécuedes en éniolions et en péri- pélic.s. Il y a longleiups (iu'«ui n'âaiiivu tme saison signaléi par une série de laisser-courre aussi liriilanis. L'on chusse altuniafiveineui le jeudi d'une semaine et le linnti et le samedi de l’autre, c’e.st-ii-ilirc Irois lois t«ms ICi quinze jours. Le reiniez-tons est habiluenenient à midi, il est nirenicnl «'loigné de Chaulilly; le train express qui part do Daris le malin, s'arrête à la station de Saiut-I.cu chiople jour de chasse pour de.>.;emlre les ctiasseur.s. L’assisluiiue se compose régnlièreinent de dix on «'«^tize sociétaires, ainsi «pie de plusieurs [<ropriélaircsdcGhanlilly et de .ses environs et [lai fots do ipicli|iies ■uiialeiii's dn Im f qui se trouvent «te temps e:i temps au chef-lieu dos coui se.s. Voici les dét.alls «les Irois denii«-ro.s chasses: Le 19 février. F«irêl iftt.ilatle: llendez-vonsà Flouriiic.s. l/attaque a eu lieu au carrefourde la F«itaie, de deux cerfs, l’un dix coro et l'auln; une troisième lèle. I.a troisième tête a été [ir'tso à Mont l'agnotte après une heure tle chasse el le cerf «lix cois a été pris à la nui! piis SaiiiL-l’ierrc-Pinitpoint. 1.0 23 février. !'«iiêt «le Ghanlilly ; ileudc/.-vous au l'otcau des ('.raniles Ventes. L'on a alt;u|ûé un «oif djguet au bois du M«tulin; el ce cerf vig'iuieux a parenuru lieux fois la foriM do Ghaiitilly «:t «elle du l.y.sel ii'.! été [lorté bas près le village de Daülou qij'api'ès fro’s hciire.s eeviroii «le «liasse. Le 28 février.'Forèl lie Ghautilly ; lli-ade/.-viiUs à «love. Lu cerf dix cors a été ailaquéau lads llraudiit.iiiais il a «hé ~ Lady Arthur a quitté Chantilly, mardi 24 février, pour aller counr en Angleterre dans le grand stecido-chase A lûverpool de morcrciH dernier. Le terrain d’cnlraîitcmenl est en parfait état, cl les che vaux qui ont des engagements printaniers commencent nu travail sérieux. Nous donnerons prochainement la l'isle de ces chevaux. Cordouo, par Sting„4 ans, est arrivée chez A. Briggs. GOMPIÈGNE. — Un âncicn élève du pi viunéc de Gom- picgne, M. Alexandre Gorréard, chevalier'de la Li^gion- d’ilonncur, le séiil, pent-êlre, d&ssurvivants qui ont écliappé au fameux naufrage dn LaMcdiisc, vient de mourir à l’âge de G8 ans, dans sa («roprlété dite l'abbaye des Carmes, an.x lliis,ses-Logc.s, piès r«»u(aineblcau. M. Gorréard était l’«iu des auteurs de la relation de «■«“ naufrage; il s’a«:«iuit ensuite une célébrité dan.s le génie civil, les science.s et ks arts, notamment comnn» inipinienr et comme directeur do «l.ivers journaux, et comme auteur do nombreuses éludes sur les chemins «le fer, les ponts el canaux, etc. GUAPEAUMÉSXIL. — Un inccn«lle a éclaté au domicile de la nommée Prévost, veuve Dclatlc, le 28 février vers 5 heures du matin. Le fcii à consumé une grange pleine de fourrages, un toit A porcs, el un bâtiment A usage «le tis serand, le tout bâti en lor«:his et couvert en chaume La pei-tc est évaluée à G ou 709 fr. Uien n’était assuré. Gau=e inconnue. GKEIL. — Des voies «le fait ont .suivi quelques mots échangés^ur le port entre les sicnrs IViinthanlleUacqUct. De quel côté vient la provocation ? on l'ignore; mais losieur Jacquet a eu la figure déchirée. Il est viai q«ie le sieur Frunlhmlll, qui déclare avoir été frapptl, dit «juc hii-niême n’a point frappé son advoi-sairc. il croit seulement que h* Idyau de la pipe qu’il tenait A la main en cherchunlâ parer les coups, a pu égratigner le sieur Jawpiel. Les.à.«werlious, de part et d'autre, ont été consignées, et peut-être le tri bunal finira par y voir clair. L1DERB10NT. r - Le sieur H est en faillite, et l’un de s«?s créanciers est son voisin, le sieur Ducquct. Celui-ci avait déjA entendu dire que Son débiteur menaçait «le le payer en coups de bâton, el c’e.st «-e qui est arrivé dans la Jonrné;; du 8 tiîvrier. I.e sieur lincquct, qui a en tout le c«*iti'! gaïudu*. de la figiire mi.: en sang, n’admet pas ce nmde de libi'-i-a- tion «le la part de son dèbiletir, ot il s'est empressé de porter plainte, l'rocès-verbal a été rédigé. .MONGKAl’X. — Le28 février, un incendie dont on ignore la c iuse a ê«;l.'i‘.é dans i;n bois taillis, appartenant A madame veuve Foret el aux sieiii-s Leimiije, DIangy el Üelahm. Le «légat «-si très-peu considérai.'le cl n'o.st évalué qu'à 25 l’r environ. NOGENT-l.ES-VlidhiEK. — Un incendie a «h:laté le 28 fèvriei-à une hetiic «le retevce,. «tans une maison habit«';e non assurée, appartenant nn-sicur Debraland-Fimssctin , ménager. I.e feu a pris niiis.sanre dans u»i grenier à c«’>té «le la «:hen'»ini'e «lu four que l'on venait do cliauilèr. Ferle évaluée A 609 fr. NUYO.N —• .Nous li.sofi.s «lans V.iini ilc l’Oniro: « il vient de se [«asser «ians les envirnii.s «le .\«»vnu un fait enviromu'; d'«m «•ertain mystère et de natuie A iii«iuer la curiosité [uibliipie. » 11 y a plusieurs j«mrs, vers .sept heures du soir, uni- siige-femme, rf'sidant AZ..., Itourg sitnéà j»cu «h* «lisi.ince «le indie ville voit s'anviiu' A sa porte un «’M|ni|>ag(-. un monsieur en desccml, réclami: l«: ministère «ie la saiio- fi‘iuine, tj«m uo«i.s «qtpell«;rons la «lame X .. la fait monter dans sa voilure, el, fouette, coclier, les voilà partis à briik» aballne. - l’ .epcndaiiî, nv.mt do sortir «lu bourg, hi v«iiture va plus lentement, li‘urnciili:.d«’ .ursfoissiir eili:-ii!i nie:’}i’«;n«lroii ‘ le plus large «le la rue, de manière à dérouter la danieX. jPQTTUiIaBTOlT. (N" 10.) ipital, 38 cl 40. la Halle, 33. leitH raM » St LES DAIIES »E TO^^NEINS. Ë KEGNÎËË. (Suilc l.J La révolution«:ommençail «h*'jA A .se faire dans les esprits. Gioi'ges «le 'l'uuncins entra dans .un ri^gimeul el à force dcs«)liis, de courage et de bonne conduite, il parvint au grade «rofficicr; depuis Iroi.s mois il était capitaine. M. Ge«>rges de Tonnoin.s, ipii, quehiues années aupa ravant, avait |>erdu son père et sa luere et n'avait au nuunic que son épée, n'était pus uu républicaiiu, mais il Noyait avec joie l’avenit' qui semblait s’ouvrir pour les jeu nes ««fficici's, c«>nuuclui privés de fortune el «le proteclcui's. Il alla (hmc chez M. do la lloussaye uu peu curieux «lé voir Jinc Jennc fille que Flerro, iin frère do lait, regrettait «le la i^ r dans un pays où elle avait dos ennemis. M. do la lloussaye, cloué par la goutte dans un fauteuil cl la jambe étendue sur un lubourot, iw ul parfaitement le Jeune oliléicr, et U se roppola le nom de'Toiinciiis : — Je n’ai pas connu votre pèr«!, lui dit-il, mais j'en ai bcaucoun entendu paritîr, il n laissé s«)ii souvenir «lans la jualson du roi; c’était uu des plus éli^ganls et uu des plus nravcs mousquetaires «le so'i); temps... 11 n’y a plus «le (t) Voa Ici nuirirrio «lu ifourn:il ilt’|iiiis le 77 (lécrmhrc ISSC. mousquetaires aujourd'hui, monsieur! Une va «Icvridr la Fram:e? Monsieur, la Fram e, rénondil M. «b; Tomieins, tt i«mi- pbera de ses ennemis, «1 «•iia«|ue «-iloye:! va «hiveiiir- im soldat, excepté A N«iy<iny«opendant; les Novonnais ne me paraissent pas partager «‘ncnro l'eiillmiisiashie gf-m’-rat ...... J'esju’îre trouver un patriotisme pliisar«leitl ASaint-(jneiiliii, (|u'en pensez-vous? N«ms avons dit que M. de ta lloussay«; était blessé p;ii un ordre de choses «pii diinimiHil son inipor(an<‘e et sa hirtune; l’i^goîsiue naturel A la vieillesse angrnenlait emaue sa «lésa(Vo«:(ioii s«xrètc; il se céoyait exemjil «ie tout pia'jngv- ot impartial, parce qu'il était imüUérehl. M. de Tmmeiiis, «pioiipie ec fut uu Irè.: j«>li gari;on ipii lui ivv>aiail b«:aiicaup. avait cependant un tort A .ses veux: il v«‘iiail «l’«uigug«‘r Fierro. (lui me tuera des lièvre,s «*t de.s pmalreaiix? pensait le bon gcntiliiommi', faudra-t-il dono me passer de .nili? -— .le ne puis riim v«m;; «lii‘«> «le ce <(iii s«> passe A S;iiiil- (liientin, répondit M. «le la lluiissaye, ni im'-im: à iN«>\oii. Je ne'vois |>ei’soniie «|iie mon v«»isih M. Diilaiiri'ns, '«‘l il s'oceiqm aussi peu «pie moi <i'eni«'i]emenls m ililaiivs. .l’ai pas.sé IVigc de faire la gut'rrc ni liiilaurens n’a jamais lou«:hé A une épée ... .Mais j'ai nue lillo, a.piula te bon gei:- lilhoiumo. — Une fille? — Oui, Adriiîiinn. I.es jouiies gens. r«mllmia M. «h; la lloussaye, n'estiimuit pas les cinist's («assèes, ils voii«trai«n!t arrang«u‘ A leur gré l«'.s choses n«)uvell«;s, parce «pi*: l’avenir leur aiqiarlient: c'est A eux «pi'if [)r«)lilera..'olri«;ime,i'orcupe «bine de ce qui se passe dans la [novinoe. élit; sait nnhuec«; i|ui sc fait A Faris. Voyoz-la. M. de Toimoins ne «lemaudait («as mieux. Adrionne fut appcli-c. Il y a souvent dans les passi«ins de la jeiiiusse iiu«-li(u«' ch««se «h: rapiile et de subit ipii s'empare de l’organLalum (ont entière et faseiïu* eu nn'me tcni(is et au im'iiio degré G'i«sl ce iju’épiouvii denu.iselit) .‘,.«ir!eu»ii^ « .jU'à son avciii'emeiij i -•liblia Ia.ruii‘c de .sa ■•im'iiii'iici’a*, el biii.s c.- le coi-jis et l'âme, f.a volmité: erratile se live, !<.: désirs itii[iiit:ls s'a;i:il.sent, «m a atteint le biil dé.-uiv, l«: b u t «(■l'on ehen-h.iil au basatxi «t sans l'avoir inèmeeiilri.’vn. Du se dit: là est pour moi Ir « -e, le bmthiMir, le plaisir, l’abi i. le r«‘fiige. GeorpiS «le Tomieins A la \ ne de m:i- ic la tioii.s.s.i\e : loi «pti ne pensait ibtiii«c, «(«l'a '.«au.-rre pr-iciiaiiii;, il l',,!ii:[ic, s.i !i-. iimi- Si.bl.d à ]«'niie vasii's d.'■.dis,pli reoMS iioiil soi'sou ép«-iL el il m: scie.' - -ju’aii « ii u'ii'i.' «pi «i <'[in.iiveiail s’il pouv.ùt vivi'e .-lopiès de celle jniiie (n-rsoime dcbmit «ievaiil lui. et «(iii «levait le renseigocrsa: li‘-;<(u:ilité.:guer- i‘ièrosYi«‘s lialiilanl.-^ de Saint-i.hienliu. L’entretien fui loii;.', ««n paiia «le ln-.itn onp d • <-hos«;s. el «'ep.“ii«l;.id le nom «i«* l;i vide ib' S.iinl-l.'iii’nliii ne .s'échappa (uis une senitv f>)is de.« lèvtvs «tii ji-utic capilnine. Il aurait loujonrs le temps«l’ea vimir l.’i. pell^.lil-i’; il ;«oii\ait eiivover à S:ii««l-Lhienlin La '«ali'ur, s««!i sevri-nt. gar«;oii plein «l'in- (elligenee, «’l «pii eu seniblable ni.«lâ'«<- dw aii èlr«- pins ex- («i'i l «ju'tiiii; ,i«U!i!e Ülle. i>'ai!ieiirs. il av.iil des ordivs, il devail dcnieiirer mi ni«>is à Nov«in, pour«(Uoi «juitler un poste a.ssigm’: |>ar «««:« «r«i!onel ' Il deinenr.i iioii«-; il iimlliplia ses visiP'.s rhe;'. M. «le la lloussaye, «Imil i! ra|«tu la lii«‘U\«-lllani-*i en é«*ontant l«‘s biographies «les moiis.[ii(‘l;nres in»iis «ni gi is qui llorissaient A Versailles vingi-rinq ans anp;«ravaiit, el il eut lieu do croire i|n'il ne «léj>lai.:.iil ji.is à imnlemoiselle Adrienne, «b«nl il (lattail avec ailr«;.ss«' t'amonr-i'i ««pro, el dont il vau- ta’.t la beauté. — Je siiis sans foi (mie. si- «h.edl-il. in.ii.: j'ai mon éjiée; me voilà déj.'i «ai«ilaine, (pioii|iiL- jeimo ; m'iis albnis voii' la gnerro, et il Ut’ n r famlra «pu; doux rainpiqmes p«*ur «levtniir rolone! ; ,ji’ suis don«: un gemliv hrc«’ie!i\ pour M. «le la lloii.-viye, ;pii ne (larait pa.-« riidie. .le («asse p;»ur un d.',sj.iliM,lVo-ie«'s ib; l’ai-m.'.-: je m -m anpio ni «l'esprit m «réducation, et si madi'mo’se !«* Adiienuo lient à La naissance, mafamifle vani la siemn*; ««'llejeime personne («arait se («laire A mon eatretien ; e)l«: m ’a im e , o u «lu moins elle m’aim«‘j'a. Plein de ces i«lé.:s ra.ssiirantcs el jal«mx «l'agir avec fiMin liise, .M. «le Tomieins s’adressa an père de ««’lte «pi’il «lésiiliil épon.H’r. H ne lui fui pa-: «lüiieiie «!«• Inm ver uu moment f.ivoraltle p.mr «'elle mivcrlnic : .'«I, «le la Itonssa'o. élail oi'i iuaire.mmt seid «Lin-: son ‘apparlcm ent el l«; |enù«; iioimne suj-posait ijitc (juel.iu, s Irav.mx «le femme, ou' quel- «jik'S étii.de.; l'i'lenaii.îit .sa lid.; i'iin de lui. —• Moiisicni'. ilit-il A r.’ücten mousipn'l.iire, vous av«'/ nue lille doni j’ai (m apprérier les bonnes «(ualilés el dont la îieiuilé a f.iit sur moi ime. vive imiiression. .M. «b: la Ib nssay«' leva la lete «i’uîi iiir éioom'-. La beanlé «l’«m«‘ liüe est une ilc! lierté.: «l’une mèiv; « lie fait moins d'im.pression sur u.« («ère, «pii saiiveiil a miblié sajeuni'sso, el ne siini«..sc pas dans les autres les émoli«ms «pj'il ne ressent («lus. " G osI nue boime fille «(n’.Vilrieime, dit-il; un|*eu \oloii- taiie. Vous la trouve/. «!«ni«-joli«-,, m«.»usienr? La ligure dir jeune, hoiimm se colora «le plaisir, et il s’in clina en signe d’assiuiliment. — Ailriennc ii'est pas mal.’eoulinua le pèi c. «•’éslait sa mère«iu il tallail voir; elle «';lrdt belle et jolie eu uu'mic (om|i'« Et (Lf la main il immlrail le porirail d«* feu madame «le la lloussaye. siispeniln an mur «lu salon. .l'avoue, reprit le j..imi'honiiiv. «jui se hasarda, en hésitant, à conire<liio M. «le la lloussav«? «pu* maiLmioiselb' A«lrie.une me (larail «l'une beauli'' snjiérieure A celle «le sa mère, si, cependant, le peinlic a él«'; exact... — Non, non, e«mlimia M. «le l;t lloussaye. Adrienne n'est («as aussi bien «(ue, sa mèi'e, mais elle a le’ménie eai «ictère. Mil femme était violente, inon-deni'. bonii*' et fière eu ménic tem|«s; «détail muî niaitiess»' fenmie s«tus «-es ra|«[«orls, Aiirienne lui ri'ssemhie \h ! mu Idle rnèii«!i';i son mmi-, mais oiim ii; elL- est [ileim; de sers et «pi'ellr «‘>t «i'itiu' ï! i S

Samedi 7 Stars Iftd?. a n n o n c e s À Ï J W I C I A I H ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1857_03_07_MRC.pdf · D èM trlielian d es ' lapin» e t n n tm n u s enisaiJsles

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EE DES FAUlUlie I r o l s m ille gruTi,. iciit ié(iaréineiil i]iic

:k x k ( . 'K i w i h i g», taa i copier Ici titm

21. I l i i l é ir c d c Napolù, I I . TiililvUckunivtrMt2.1.2i — lU-Bcic miiia,.5 . — «çB iîttëg ttj20. — Reguc miné,,27. Aslrmiuime.H . Iiivviilioiis 21>. Krrciira c l préju^'r 11). I.ivre «lu SL'iniic, SI. A riliiniétique. y i . i'rolilèruea.S3. TcilUC dC4 lÎTIt'i. SI. Ihiasiii liiicairu.Sr>. liéumctriG Slj. Aigêliro.S7. Arpenlage SH. I’liysi<|iii>!>;). Cliiiiiiu.40. Hygiène.

Atk I

1 ''■Bncihl,

s i ü x r a i s .

K uiitniiic (ÜtnriC'IV'.

o), e l IN iiiilh i'ü (Yir-

- .\ lc x is ) , c l H iim l

C oiislm il), c l l.ci;ler(

i‘s c ) , vciive rciÿiicl

uisifi), 27 a n s 0 muis la id e ),IT in iis H mui$ l u a n s 2 m ois,

i), 37 a n s 7 mois, a n s iO m ois.

Il), 3 i ^ i s 3 mois.

r i f l a r i n x e H .

h'i'aiiçols), tonne lie r i (A luxuiK liinoJiiliü). (Oise).

s). ç tia ri 'R lic r A Miiiit' gmÜ(Mario<àciicvièYe Isau l, m a rc h a n d e île

i Im io m b ra h ic s aficc- ( |iii |i ro v lc m ie n l d'un u ù d es s e Iro n v e duin; x l r a i te d e subslaaccs |ios.s<ule à la l'ois des

: l>ar les cslo iiim ^ 1rs 'is se iil l'avorableiiicnt iode d ’emj>loi c l |iuur ches M . II . Kerckiwif. lune d e 2 , 4 , 7 fraiic. u \ , chez M . Clauditt a n com m erce .

i r vigiK'iir h !■ i-rvniit jin iriicil

la H a l le , 5 3 ,

L M I N

ous le* r a r p H f(rai» • i r o a , b o d R lr , «Ire A.-ilii.-igi'l, gniils lie p<-aii. 11. Ou iiotiveau iim lu il

flLB. orm s. AVOISI.

0 0 0 0 0 85;0 0 I f fiO K 00,0 0 (H) 00 0 (W,7 2 12 22 7 5A0 0 4 2 (NI 0 (ki7 () l0 0 (NI 0 7t(U> ! t 0 3 7 là

S am ed i 7 S ta rs Iftd? .' '" 4 "

. V o . , . . ..1

•• 1 iH n a n . H W

« W l X - ' IS rS B ttirX O liS :

Af(nPlM«i-9 IMVfclw®#» -

a n n o n c e s À Ï J W I C I A I H E S .- - - r - - - l - W I . . I ' '

Ce J o u rn a l p a ra ît tous les Samedis.

OM S'A .D O SIN C ' ' ‘I lA .Sciiiis, au Itiirr.-tii ilù Jo iirnM , rue de Br«<i - ' ' l

ra is , n« 5 ; — A üriipy, clic* M B ink i, lilirairc;•— A ecroyc-lci-O oniiiric:, n .M. l.soktRD, nitcicii h n i r c j —- A Parh.iilaC ntnpagnicC K iiIrnlQ d’An- > itoncea, 24, rue du la lUiurst'; — A roificcrorn*!). ' J p o iidnn redu MU. l,«jOLivi:r'ul r . N.-D ilr*.* V ictoicci, 25 ; — A In UnlHoii du Cniirlnge, Itoiilè. Puis»oi>i>iiièru, I4{ — A MM. Ci(A«pRRriiB e l Cic. dirccUiiirK de l'OITicü ccnlrali! d e i'Im lunH e e t du Cninnirrc i!. rue du FnulHiiirg-Miiiiliiiorlrc',II» 3R; — c l clii-t les liLraii'C i du départ.

:d ■ t . . . <, -.iOIUpH

sRssnnmBgBsai

S K M - I S .

— O n H t d a n s le P a ys :Im JtfoHtlcnr d e je u d i p u b lic d e s i io m iita tlo u s d a n s les

Irib m iàu x do eo m m e rc e e n F ra n c e e t e n A lg é rie , e t diM n o ­m ina tions d é ju g e s e t d e supp lëunL sp i'ès les ju s tic e s d u p n ix . Le jo u rn a l o flieiel p u b lie e n s u i te , A s a p a r t ie iio ii o f lic ie lie , les disi>ositiuiis n dop tiics p o u r la r é p a r t i t io n , d a n s la m a ­rin e im p é ria le , d e la m é d a ille c o m m é m o ra tiv e d e s c a m p a ­gnes do la U a ltiq u e , in s li lü é e p a r S . Bl. lu re in e do ta G ra m (Ic-H retagnc.

—- Le t r a i té d e p : n \ e n t r e rA n g le te r rc e t la P e rse a é té s i ­gné le 4 m a rs , A P a r is , i>ur les p lén ip o te ii l ia irc s d e s d e u x puissances.

— Aus.sHèt a p rè s la s ig n a tu re d u t r a i t é d o p a ix e n t r e la P e rse e t rA u g le le r re , S o u K xc. F c ru ck -K h an a f a i t passiAr u n e dépêche A iU ich a re s t,* d e rn iè rc s ta t io n d e c e tte p a r t ie d e là ligne té lé g ra p h iq u e ; u n d e s a tta c h é s a u m in is tè re d es an 'a ircs é U m ig e rc s d e T é h é r a u . , ^ a t .t f iM } ^ ^ o rd re s d e 1 a iiiH dssàdeü i', p è Æ a o r ^ Q OC t î ^ é p è c h ü p o u r la p o r te r d a n s la c a p ita le d e lu P e rse .

On as.surc q u e p lu s ieu i's a u t r e s p u issa n c e s e u ro p é e n n e s do iv en t p r o n ie r d u sé jo u r A P a r is d e F e ru c k -K h a n , m u n i d e to u s les p o u v o irs . n é c e s s a ir e s , p o u r n ég o c ie r a v e c lu i d e s t r a i té s d e c o m m e rc e .

— L a c o n fé ren ce r e la tiv e a u x aiTaires d e âuls.se s 'e s t ré u n ie j e u d i a u m in is tè re d e s a ffa ire s é tra n g è re s .

— N o u s . tro u v o n s ce q u i s u i t d a n s u n e le t t r e é c r i te d o L isbonne , le 2 5 fé v r ie r :

L e va isseau A v a p e u r d e la m a r in e fra n ç a ise V A utlc rlifif v ien t d e q u i t te r n o tr e p o r t o ù i l é ta i t o n s ta tio n d e p u is t ro is m ois. P e n d a n t le to m iis d e le u r s é jo u r n u s m a r in s s e s o n t a c q u is A L isb o n n e les sy m p a th ie s u n iv e rse lle s . V A a ste t'lU s a re ç u la v is ite d u r o i , d e s m e m b re s de* s a fam ille e t d ’u n g ra n d n o m b re d e p e reo n n ag cs d e d is tin c tio n . L e j o u r d ü d é p a r t , l e d u c d ’O p o rtu , f rè ro a în é d u ro i. q u i a v a i t d a ig n é p lu s ie u rs fo is a c c e p te r d e s in v ita tio n s A b o i 'd , e s t ven u fa ire v is ite a u c o m m a n d a n t e t A l 'é ta l -m a jo r . Il a a d m iré la bonne te n u e d e ce b e a u v a isse a u e t té m o ig n é d u to u te so n e s tim e p o u r la m a r in e f ra n ç a ise .

J . BARATONi

— U ne l e t t r e p a r t ic u l iè ro é c r i te d e V ienne n o u s ann o n ce , q n 'o n V enait d e r e c e v o ir d a n s c e t te v i( le , 'p à r vo le té lé g ra - ' p h iip ie , les n o u v e lle s s u iv a n te s d e s p ro v in c e s d a n u b ie n n e s .

Ia!s lrou |>es m o ld a v e s , fo rm a n t u n e co lo n n e c o m p o sée d 'u n d e m i-b a ta illo n d ’in ra n te r ic , d ’u n e c o m p ag n ie d u g é n ie , d ’u n e c o m p ag n ie d 'a r t i l l e r ie e t d 'u n d e m i-e sc a d ro n d e c a ­v a le rie , o n t prl.s g a rn iso n le 2 0 , le 21 e t le 23 d a n s les v illes d e Ito lg rad , d 'I s m a ïl e t d o l lé iii, p ro v e n a n t d e s te r r i to i r e s n c u v e ltcm cn t cé d é s .

— I.C p ré f e t d e po lice v ie n t d e r e n d r e t ro is or< lonn:m cesi la p re m iè re c o n c c rn a n l d e s ta r i f s co m m u n s |H)ur le t r a n s - )m rt d e s m a rc h a n d is e s d iv e rse s , A |tc t i lc vite.ssc, s u r les ch em in s d o f e r d ’O rlé a n s e t d e l’O uest; la s eco n d e c o n c e r ­n a n t l 'a d d itio n d e s g la c e s a u x ta r if s c o m m u n s p o itr le I ran s- p o rt d e s m a rc h a n d ise s , A p e tite v ite sse , s u r les c h e m in s d e fe r d e l’E s t e t d 'O rlé a n s ; la tro is iè m e c o n c e rn a n t l 'a d d itio n d u coke a n t a r i f s |té c ia l n" V lll-2 2 , a p p licab le a d t r a n s p o r t d e s m a té r ia u x du r o n s tru c t io n , d e la hou ille , «lu m in é ra l, e j c . , s u r le ch e m in d e fe r d e P a r is A O rléan s av ec s c s p ro ­longem en ts.

~ lA2Urs M ajestés rE m p c r c i i r e t r im p é r a l r ic c o n t Visité le t 'o n s e rv a to irc d e s a r t s e t m é tiç rs . M. le m in is t re d e ra g ric u U ù rc , d u co m m erce e t d e s tr a v a u x publions le s a c ­co m p ag n a it. L e u rs M ajestés o n t é té re ç u e s p a r M. le g é n é ­ra l M orin, d i r e c te u r d u C onscrV ato irç , e t p a r to u s tes p r o ­fesseu rs. E lles o n t p a rc o u ru le s n iag n ilu iu cs c o lle c tio n s d e m ach ines e t d é m o d è le s d e ce t é tab lis .scm cn t q u i n 'a p a s île rival au m o n d e ; e lle s le s o n t ex a m in é e s e n d é ta i l , e l e lle s o n t p a ru p 're n d rc u n v if 'in lé rè l A d e s e x p é rie n c e s d e p h y s i­q ue , <le c h im ie e t <Ie m éca iiitp ie q u i u n i é té fu ites so n s leu rs yeux . L ’E m p e re u r s 'e s t in fo rm é a v ec la p lu s g ra n d e

so llic itu d e de.s be.soins d u (C onservatoire; il a é té s u r to u t f ra p p é d e l 'é ta t d e s b â lim e u ls , (jiii, A co té d 'a d m ira b le s sp é c im e n s d e l 'a r c h i te c tu re gothi(|<>e, p r é s e n te n t d e s m a i­s o n s e n ru in e e t d e s c o n s lrn e lio n s in ach ev ées; il a b ien v o u ­lu d o n n e r so n a p p ro b a tio n A u n p la n d 'e n se m b le q u i p o u r ­r a i t ê t r e e x é c u te e n p lu s ie u rs a n n é e s , c l q u i s e r a i t d ig n e d o c e tte b e lle in s l i lu ü u n . L a v is ite du L e u rs .M ajestés a d u ré p rè s d o tro is h e u re s . E n s e r e t i r a n t , l ’E m p e re u r a fa it c o n ­n a î t r e q u ’il a v a i t n o m m é M. llo its.^ingauit, p ro fe s se u r d e d i im ic ag ric u ie , a u g ra d e d e c o m m a n d e u r d a n s l’o rd re im ­p é r ia l d e la L égion-ii’ü o n n e u r ; M. I‘é lig ü t, p ro fe s se u r d e c h im ie m a n u fa c tu r iè re ,a u -g ra d u d ’o n ic ie ç ,e lM .ila u d e m c n t, p ro fe s s e u r d e zoologie , a u g ra d e d e ch e v a lie r .

K O Ü Y E L I E S D É F Â S Ï E B I S i f î i l E i .

A V I .^ .

. D’a p rè s le s n o m b re u se s ré c la m a tio n s {larvcuuos a u m î- h is lc r c d e l 'a g r i c n i t e n ^ d u ^ ^ i u c t x o ç l d ^ p u b lic s ,K ila tiv cm cn t S l ’cpuqn'e o i tc o u c i i i i r s a g n r o lc um vci’se l d e 1857 , e t e n ra iso n au ss i d u p e u «ritito rvalli; (p ii s é p a i’a it c e l te e x h ib itio n d e re lie d e ra im é e d e ru ic r e , le (u .i;v " ru e - n ie u t V ient d e d é c id e r q u e l ’e x p o s itio n q u i 'd c v a i t s ’o u v r ir le l ' ' j u i n p ro c h a in n ’a u r a i t p a s lieu ce lle a n n é e .

I x s c o n c o u rs d ’a n im a u x d e buiicluM'ie c l d 'a n im a u x r e p ro d u c te u r s , d 'in s tru m e n ts e t d e p ro d u i ts agricule.s, in s ­t i tu é s A Pois.sy e t d a n s les d iv o ise s rég io n s do la F ra n c e , s o n t m a in te n u s e t s e t ie n d r o n t a u x é p o q u es p récéd o iiim cn l lix ées .

D è M t r l i e l i a n d e s ' l a p i n » e t n n t m n u s e n is a i J s le s .

N o u s , P ré fe t d e l ’O ise , c o m m a n d e u r d e la L égion- d 'i lo n n e u r .

P a r n o lro a r r ê té , e n d a te d u 2 9 n o v e m b re 1855 q u i , s u r la p ro p o s itio n d e l ’a d m in is tra tio n d e s fo rê ts , a u to r is e le s p ro p r ié ta ir e s d e b o is e t adju(!icaUiirc.H d u d ro i t d e ch u sse d a n s le s fo rê ts d o m a n ia le s e t co m m u n iilo s , A p r a t iq u e r d a n s CCS b o is e t fo rê ts d e u x b a t tu e s p a r se m a in e p o u r la d e s t r u c ­tio n d é s lap iils é t a d i r é s a n im a u x n u is ib le s , A la ch a i gc p a r l e d i t s p ro p rié U iirc s e t a d ju d ic a ta ir e s d e s e c o n fo rm e r a u x r ^ r v c s e ^ r i m é e s d a n s l’a r t ic le 2 d u d i t a r r ê t é , d o n t le p a ra g ra p h e 4 d é fé iid d e m e ttr e e n v e n te , d e t r a n s p o r te r e t d e c o lp o r te r Un te m p s p ro h ib é le s a n im a u x p r is o u d é tru i ts , d o n t l a n o m e n c la tu re e s t spéc ifiée a u p a ra g ra p h e 3 d u m ê m e a r t i c l e ; - — . - A' i zTfTî

C o n s id é ra n t q u ’il co n v ie n t d ’u t il is e r , a u p ro f it d e la co n so m m a tio n g é n é ra le , le p r o d u i t d e s b a t tu e s q u i s e ro n t c lfc c tu é c s ;

A rrê to n s :A rt. 1 " . L e p a ra g ra p h e 4 d e l 'a r t ic le 2 d e n o tr e a r r ê t é d u

2 9 n o v e m b re 185(1 e s t ra p p o r té .A rt. 2 . L a m ise e u v e n te , le t r a n s p o r t e l le ro lporinK e

d e s la p in s e t nu tre .s a n im a u x nnisil)[e.s, .spécilié.s d a n s l 'a r r ê t é c i-d e ssu s , so n t a u to r is é s j u s q u 'a u 15 a v ril p ro c h a in in c lu s iv e in c iit.

A rti 3 . M. I c 'c o n s e rv a te u r d e s fo rê ts , MM. les m aire,s, la g e n d a rm e r ie , le s g a rd é t- c h a m p é tr e s e t a n t r e s a g e n ts d e l 'a u to r i té p u ld itp ie , s o n t c h a rg e s d e l 'ex é c u tio n d u p ré se n t a r r ê t é , q u i s e r a in s é ré a u ItecU cil d e s acte.-: a d m in s tr a l i f s .

Itean v a is , le 4 in a ro 1857.

do m ili ta ire , d é liv ré p a r le p ré fe t, si le c a n d id a t e s t Agé de p lu s d e 20 an s .

A rt. 3 . L es co iicu rro iils d e v ro n t co im a ilre :E n A r i th m é tiq u e .-— l.e calciil d e s f ra c tio n s o rd in a i­

r e s e t d e s f ra c tio n s déc iiiiak -s , le sy stèm e d«w iifiiiveatix p o id s e t rac .sn rcs, l 'e x tra e lio n des ra c in e s c a r ré e s c l c u b i­q u e s , c l les p rn p rii 'tc s d e s p ro p o rtio n s ,

En G éo m é trie . — I x s p ro p r ié lé e d e s lignes c l lig u re s n ro p o rtio n n e ltc s , la m e s u re d es a ir s e l ce lle d e s vo­lu m e s , n e la m m u n t e n ce q u i se r a p p o r te a u x ca lc u ls d es te r ra s se s .

E n T o p o g ra p h ie . — L a levée d es p la n s A la c h a în e , A r é q i ic r ro d ’a r i ie i i te i i r e l a u g rap h o R iè lrc , a in s i q u e l’cx écu - lio n d es n iv e llem en ts e n long e t d e s p ro fils e n t ra v e rs , A l’a id e d u n iv eau d 'e a u .

E k D essin . — Le r n i 'p o r t des p la n s c l n iv e llem en ts a u t r a i t , e t la coufcclioii d e s p ian s , c iu ipes c l é lév a tio n s d es P '.)nlccaux en n iaço iin e rje e l e n c lia rp c n tc .

ï.o.s(‘o n cu rv n n ls d e v ro n t p ro u v e r en o u tr e , q u 'iU co n n a is ­s e n t tes p rin c ip es re la tifs A lu c o n s trn c llo n d es v liaussées 'c ii cn illo u tis o u e n pav és, e l q u 'i ls s a v e n t r é d ig e r les dev is e t d é ta ils e s tim atif.: c o n c e rn a n t : 1" l ’é ta b lis se m e n t d 'u n e '

a r e c l*êcllticalion de p cn ic s e t ca lcu ls d es volum e.; d e d é b la is c l d e rc in id a is , a in s i q u e de.s d is la n c e s du leu i's tr a n s p o r ts ; 2 ’ e t l’ex é c u tio n d es p o id c é a u x on m a ç o n n e rie e t e n c h a rp e n te . E iifin , on ex ig e ra d 'e u x q u 'i t s 's a c h c n t l ’o iT nugra jd ie e t q u e l e u r é c r i tu r e s o it n e t te e l lis ib le .

A rt. 4 . L a co m in iss io u d 'e x a m e n se ra com posée de MM. C o n d u zo rg u es-L a iro lle , e c n se ille r d e p ré fe c tu re , p r é ­

s id e n t ;Le l ’è ro , in g é n ie u r e n chef, d i r e c te u r d u se rv ice vici- , n a l d u d é p u r lc m e iit ;L’a b b é H a r ra u d , ch an o in e d e la c a th é d ra le ; 'Zoéga, p ro fe s se u r d e m a th é m a tiq u e s a u co llège d e

l le a u v a is ;L u m a irc , in g é n ie u r o rd in a ir e d e l 'a r ro n d is s c m c n l d e

, lle a u v a is ;V ita rd , n g en t-v o y e r d e r a r ro iu l ls s c m c n l d e lle a u v a is .

A rt. 5 . L a com m is.siün c la s se ra les c a n d id a ts p a r o rd r e d e m é rite , o u les m e t t r a h o rs d e c o n c o u rs , s ’i ls n e ro m p iis-

' . ^ n t pus les co n d itio n s ex igées .A rt. G. Les c o n c u rre n ts d e v ro n t se m u n ir d e p a p ie r j rè g le s ,

. é tu i d e m a th é m a tiq u e s , e n c re d e C hine e l c a rm in , a de fa ire , e n s é a n c e , Ic-j de ss in s d e s p ro je ts q u i le u r

t d e m a n d é s .

étouffé d e s u ite ; a p rè s a v o ir t ra v e rs é le s é tan g s d e u x ou tro is fois, il a é té p r is A l 'é ta n g d e la llc in e -Illan ch c , A «leux lie u rc s d e l’a p rè s -m id i , c l la c u ré e a é té fa ite en p n -sen ce d ’«me fou le d e sp c c la lc tu 's q u i c iic u m b ra ie n l les b o rd s d es é ta n g s .

P o n t s e t c l i n u s e é e M . (S e r v ic e

t 'n a r r ê t é p ré fe c to ra l d u 20 fé v r ie r p o r te :A rt. 1"* I l s e r a o u v e r t , le j e u i l i ' i m r i l 1857, à onze liimrt-;:

p ré c ise s d u m a tin , e n l ’un e d e s s a lle s «le r i l è l e t d e la Pi-é- - fc c lu rc , u n ('.o iicours p o u r l’e x am en d e s a.-:piran(s aux gra«li2s d ’em ployés.secnm la iix :s , d e s p o n ts e l c h au sséo s , e t d ’ag c n l-v o y e r c a n tu n u l u u d e su rn u m é i a i re d a n s le se rv ice v ic in a l.

A rt. 2 . rAxscandi«lats d e v n m l se fa ire in s c r ire A la p ré fe c ­tu r e , a v a n t le 1 " av r il . I ls d e v ro n t ê t r e âg és «le p lu s d e 18 a n s e t d o m o in s d e 28 a n s a u inum oiit d e re x a m c ti.

T«m tefois, les m ilita ire s porteur.-; d ’un c o n g é r é g u l ie r p o u r ro n t c o n c o u r ir j u s q u ’A 32 a n s .

I ls p r o d u iro n t A l’a p p u i d e s d e m a n d e s d 'i i is r r ip l io n . l e u r a c te d e n a is sa n c e , u n « :o iiilicat «le m o ra lité d n m a ir e «le l e u r ré s id e n c e , e t u u c e r li l ic a l do l ib é ra tio n d u se rv i-

b A D M O N T .'— Cél(h5l in C o m p ic g n c , Agé d e 12 a n s , se A V ^çolc c i p a s sa it p r t s d u s ie u r L c m a itro , i ju l l ’a

b a t tu , a in s i q u c l è «Usent rc.sTéinôms*.1iîâis lès îfcd r Lcrin'âltftf a jo u te q u e G om piègne t ’a v a it in sn ité en r<';pélanl c o n tre loi d e m a u v a is p ro p o s , y n i a raîsoiiY (ju i a to r t ? Les tém o in s p lacés A d is ta n c e u ’cn p eu v en t r ie n d ir e , et la po lice s'«‘s t c o n te n té e d e recev o ir e t d ’e n re g is t re r la d o u b le p la in te de C om piègnc e t d e L e n ia itré .

C HANTILLY. — Las chnssc;: A c iu irrc d e l.n S oc ié té do C h an tilly s o n t to u jo u rs fécuedes en én io lio n s e t e n péri- pélic.s. I l y a lo n g le iups (iu'«ui n 'â a i i i v u tm e sa iso n s ig n a lé i p a r u n e s é r ie d e la is se r-c o u rre au ssi l ir iila n is .

L 'on ch u sse a ltu n ia f iv e in e u i le je u d i d 'u n e s em a in e e t le lin n ti e t le s a m e d i d e l’a u t r e , c’e.st-ii-ilirc Iro is lo is t«ms ICi q u in z e jo u r s . Le re in ie z - to n s est h a b ilu e n e n ie n t à m id i , il e s t n i r e n ic n l «'loigné d e C hau lilly ; le t r a in ex p re ss q u i p a r t do D aris le m a lin , s 'a r r ê t e à la s ta tio n d e S a iu t-I .cu ch iople jo u r d e ch asse p o u r de.>.;emlre les ctiasseur.s.

L’a ssis lu iiu e se com pose rég n liè re in e n t d e d ix on «'«^tize so c ié ta ire s , a in s i «pie d e p lu s ie u rs [< ro p rié la ircsd cG h an lilly e t d e .ses en v iro n s e t [lai fots do ip ic li|iies ■uiialeiii's d n Im f q u i s e t r o u v e n t «te te m p s e:i tem ps a u chef-lieu dos cou i se.s.

Voici les dét.alls «les Iro is denii«-ro.s ch a s se s :L e 19 fé v rie r . F«irêl i f t t . i l a t l e : l le n d e z -v o n sà Flouriiic.s.

l / a t t a q u e a eu lieu a u c a r r e fo u rd e la F«itaie, de d e u x c e rfs , l’un d ix coro e t l 'a u ln ; u n e tro is iè m e lè le . I.a tro is iè m e tê te a é té [ir'tso à Mont l 'a g n o tte ap rè s u n e h e u re tle ch asse e l le c e r f «lix c o is a é té p r is à la nu i! p i i s SaiiiL-l’ie rrc -P in itp o in t.

1.0 2 3 fé v r ie r . !'«iiêt «le G hanlilly ; ileudc/.-vous a u l 'o tcau d es ( '.ra n ile s V entes. L 'on a a lt ;u |û é u n « o i f d jg u e t a u bo is d u M «tulin; e l ce c e r f v ig 'iu ie u x a p a re n u ru lieu x fois la foriM do G haiitilly «:t « e lle d u l.y.sel ii'.! é té [lo rté b a s p rè s le v illage d e D aülou q ij 'a p i'è s f ro ’s hciire.s e ev iro ii «le « liasse.

Le 2 8 f é v r ie r . 'F o rè l lie G hautilly ; lli-ade/.-viiUs à «love. L u c e r f d ix c o rs a é té a i la q u é a u la d s l l r a u d i i t .i i ia is il a «hé

~ L ad y A r th u r a q u i t té C h an tilly , m a rd i 24 fé v rie r , p o u r a l le r c o u n r en A n g le te rre d a n s le g r a n d s tec id o -ch ase A • lû v e rp o o l d e m orcrc iH d e rn ie r .

Le te r r a in d ’c n lra îi tc m e n l e s t e n p a r fa i t é ta t , c l le s c h e ­v au x q u i o n t d e s e n g ag em en ts p r in ta n ie r s co m m e n c e n t n u tra v a il s é r ie u x . N ous d o n n e ro n s p ro c h a in e m e n t la l'isle d e ces ch ev au x .

C o rd o u o , p a r S tin g „ 4 a n s , e s t a r r iv é e chez A. B rig g s.

G OM PIÈGNE. — U n â n c ic n é lèv e d u p i v iu n éc d e Gom- p ic g n e , M. A lex an d re G o r ré a rd , c h e v a l ie r 'd e la Li^gion- d ’i lo n n c u r , le sé iil, p e n t-ê lre , d & ssu rv iv an ts q u i o n t é c liappé a u fa m e u x n a u fra g e d n L a M cd iisc , v ien t de m o u r ir à l’âge d e G8 a n s , d a n s s a («roprlété d ite l 'a b b a y e d es C a rm es , an.x lliis,ses-Logc.s, p iè s r«»u (aineb lcau .

M. G o rré a rd é ta i t l ’«iu d es a u te u r s d e la re la tio n d e «■«“ n a u f r a g e ; il s ’a«:«iuit e n su ite u n e c é lé b rité dan.s le g én ie civ il, les science.s e t k s a r ts , n o ta m m e n t comnn» in ip in ie n r e t com m e d ir e c te u r d o «l.ivers jo u r n a u x , e t com m e a u te u r do n o m b re u se s é lu d e s s u r les ch em in s «le fe r , les p o n ts el c a n a u x , e tc .

GUAPEAUM ÉSXIL. — U n inccn«lle a éc la té a u dom ic ile d e la n o m m ée P r é v o s t , veuve D c la tlc , le 28 fé v r ie r v e rs 5 h e u re s d u m a tin . Le fcii à c o n su m é u n e g ra n g e p le in e de fo u r ra g e s , u n to it A p o rc s , e l u n b â tim e n t A u sa g e «le t is ­s e r a n d , le to u t b â ti e n lor«:his e t c o u v e rt e n c h a u m e La pei-tc e s t év a lu ée à G o u 709 f r . U ien n ’é ta i t a s s u ré . Gau=e in c o n n u e .

GK EIL . — Des vo ies «le fa it o n t .suivi q u e lq u e s m o ts é c h a n g é s ^ u r le p o r t e n tr e les s ic n r s IV iin th a n lle U a c q U c t.De q u e l cô té v ien t la p ro v o ca tio n ? o n l 'ig n o re ; m a is lo s ie u r J a c q u e t a eu la f ig u re d é c h iré e . I l e s t v ia i q«ie le s ie u r F ru n lh m lll , q u i d é c la re a v o ir é té f rap p tl, d it «juc h ii-n iêm e n ’a p o in t f ra p p é so n advoi-sairc . i l c ro it se u le m e n t q u e h* Id y au d e la p ipe q u ’il te n a it A la m a in en c h e rc h u n lâ p a r e r les co u p s , a p u é g ra t ig n e r le s ie u r J a w p ie l. Les.à.«werlious, d e p a r t e t d 'a u t r e , o n t é té con sig n ées, e t p e u t- ê tr e le t r i ­b u n a l f in ira p a r y v o ir c la ir .

L1DERB10NT. r - L e s ie u r H e s t e n fa illite , e t l ’u n des«?s c ré a n c ie rs e s t s o n v o is in , l e s ie u r D ucquct. Celui-ci a v a it déjA e n te n d u d i r e q u e Son d é b i te u r m e n a ç a it «le le p a y e r en co u p s d e b â to n , e l c ’e.st «-e q u i e s t a r r iv é d a n s la J o n rné ;; du 8 tiîv rie r. I.e s ie u r lin c q u c t, q u i a en to u t le c«*iti'! gaïudu*. d e la fig iire mi.: e n sa n g , n ’a d m e t p a s ce n m d e d e libi'-i-a- tion «le la p a r t de so n d è b i le t i r , o t il s 'e s t e m p re s sé de p o r te r p la in te , l'ro cès-v e rb a l a é té réd ig é .

.MONGKAl’X. — L e 2 8 fév rie r, u n in c e n d ie d o n t on igno re la c iuse a ê«;l.'i‘.é d a n s i;n bois ta il l is , a p p a r te n a n t A m a d a m e veuve F o re t e l aux sieiii-s L e im iije , DIangy e l Ü elah m . Le «légat «-si trè s -p e u considéra i.'le c l n'o.st éva lu é q u 'à 25 l’r e n v iro n .

N O G E N T -l.E S-V lidhiE K . — Un in cen d ie a «h:laté le 28 fè v rie i-à u n e h e t i ic «le re te v c e ,. «tans u n e m aiso n habit«';e non a s su ré e , a p p a r te n a n t n n - s ic u r D eb ra lan d -F im ssc tin , m é n a g e r . I.e feu a p r is niiis.sanre d a n s u»i g r e n ie r à c«’>té «le la «:hen'»ini'e «lu fo u r q ue l'o n v en a it do c lia u ilè r . F e r le év a luée A 609 fr.

■ NUYO.N —• .Nous li.sofi.s «lans V .iin i ilc l’O niro:« i l v ien t d e se [«asser «ians les envirnii.s «le .\«»vnu un

fa it envirom u'; d'«m «•ertain m y s tè re e t d e n a tu ie A iii«iuer la c u r io s ité [u ib liip ie.

» 11 y a p lu s ieu rs j«m rs, vers .sept h e u re s d u s o ir , uni- siige-fem m e, rf 's id a n t A Z ..., I to u rg s i t n é à j»cu «h* «lisi.ince «le in d ie ville vo it s 'a n v i iu ' A sa p o r te u n «’M|ni|>ag(-. un m o n s ie u r en desccm l, réc lam i: l«: m in is tè re «ie la saiio- fi‘iu ine , tj«m uo«i.s «qtpell«;rons la «lam e X .. la fait m o n te r dan s sa v o ilu re , e l , fo u e tte , co c lie r, les voilà p a r t is à briik» a b a lln e .

- l ’.ep cn d a iiî, nv .m t do s o r t i r «lu b o u rg , hi v«iiture va p lus le n te m e n t, li‘urnciili:.d«’.u rs fo is s i i r eili:-ii!i n ie:’} i ’«;n«lroii

‘ le p lu s la rg e «le la ru e , d e m a n iè re à d é ro u te r la d a n ie X .

j P Q T T U i I a B T O l T .

(N" 10.)

ip ita l, 3 8 c l 40.la H a lle , 33 .

l e i t H r a M » S t

LES D A IIE S » E TO^^NEINS.

Ë K E G N Î Ë Ë .

(S u i lc l . J

La révo lu tion« :om m ença il «h*'jA A .se fa ire d a n s les e sp r its .G ioi'ges «le 'l 'u u n c in s e n t r a d a n s .un ri^gim eul e l à force

dcs«)liis, d e c o u ra g e e t d e b o n n e c o n d u ite , il p a rv in t au grade «rofficicr; d e p u is Iroi.s m o is il é ta i t c a p ita in e .

M. Ge«>rges d e T o n n o in .s , i p i i , q u e h iu e s a n n é e s a u p a ­rav an t, a v a it |>erdu so n p è r e e t s a lu e re e t n 'a v a it au nuunic q u e so n é p é e , n 'é ta i t pus u u répub lica iiu , m a is il Noyait avec jo ie l’av e n it ' q u i s e m b la it s ’o u v r ir p o u r les j e u ­nes ««fficici's, c«>nuuclui p r iv é s d e f o r tu n e e l «le p ro tec lcu i's . Il a lla (hm c ch ez M. d o la llo u s sa y e u u peu c u r ie u x «lé v o ir Jinc Jennc fille q u e F le r ro , iin f rè re do la it , r e g r e t ta i t «le l a i ^ r d a n s u n p ay s o ù e lle a v a i t dos ennem is.

M. do la llo u s sa y e , c lo u é p a r la g o u tte d a n s u n fa u te u il c l la ja m b e é te n d u e s u r u n lu b o u ro t, i w u l p a r fa ite m e n t le Jeune o lilé ic r, e t U s e ro p p o la le n o m d e 'T o iin c iiis :

— J e n ’a i p a s c o n n u v o tre pèr«!, lu i d it-il, m a is j 'e n a i bcaucoun e n te n d u p a r it îr , il n la is s é s«)ii so u v e n ir «lans la jualson d u ro i; c ’é ta i t u u d e s p lu s éli^ganls e t u u d e s p lu s n ravcs m o u sq u e ta ire s «le so'i); te m p s .. . 11 n ’y a p lu s «le

(t) Voa Ici nuirirrio «lu ifourn:il ilt’|iiiis le 77 (lécrmhrc ISSC.

m o u sq u e ta ire s a u jo u rd 'h u i , m o n s ie u r ! U ne va «Icvridr la F ra m :e ?— M o n sieu r, la F r a m e , ré n o n d il M. «b; T o m ie in s , tt i«mi- p b e ra d e se s e n n e m is , «1 «•iia«|ue «-iloye:! va «hiveiiir- im s o ld a t, ex cep té A N «iy<iny«opendant; les N ov o n n ais ne m ep a ra is s e n t p a s p a r ta g e r «‘ncn ro l 'e iillm iis ia sh ie gf-m’- ra t......J 'esju’îre t ro u v e r u n p a tr io tism e p liisa r« le it l A S a in t-(jne iiliii, ( |u 'e n pensez-vous?

N«ms av o n s d i t q u e M. d e ta lloussay«; é ta i t b le ssé p;ii u n o rd r e d e ch o ses «pii diin im iH il so n in ipor(an<‘e e t sa h ir tu n e ; l’i^goîsiue n a tu re l A la v ie illesse a n g rn e n la it e m a u e sa «lésa(Vo«:(ioii s«x rè tc ; il se céo y a it exem jil «ie to u t pia'jngv- o t im p a r t ia l , p a rc e q u 'i l é ta i t im ü U éreh l. M. d e T m m e iiis , «pioiipie ec fut u u Irè.: j«>li gari;on ip ii lu i ivv>aiail b« :aiicaup . a v a it c e p e n d a n t u n to r t A .ses v e u x : il v«‘iia il «l’«uigug«‘r F ie rro . ( lu i m e tu e ra d e s lièvre,s «*t de.s pm alrea iix ? p e n s a it le b o n g c n tiliio m m i', fa u d ra - t- i l dono m e p a s s e r d e .n ili?

-— .le ne p u is riim v«m;; «lii‘«> «le ce <(iii s«> passe A S;iiiil- ( l i ie n tin , ré p o n d it M. «le la llu iis say e , n i im'-im: à iN«>\oii. J e n e 'v o is |>ei’soniie «|iie m on v«»isih M. D iila iiri'n s , '«‘l il s 'oce iqm au ss i p eu «pie m oi <i'eni«'i]em enls m ili la iiv s . . l’ai pas.sé IVigc d e fa ire la g u t 'r r c n i l i i i la u re n s n ’a ja m a is lou«:hé A u n e é p é e .. . .Mais j 'a i n u e lillo , a.piula te bon gei:- lilh o iu m o .

— U ne fille?— O ui, A driiîiinn. I.es jo u iie s gens. r«m llm ia M. «h; la

l lo u s sa y e , n 'e s tiim u it p a s les c in ist's («assèes, ils voii«trai«n!t arran g « u ‘ A le u r g ré l«'.s ch o ses n«)uvell«;s, p a rc e «pi*: l’av en ir le u r a iq ia r l ie n t : c 'e s t A e u x «pi'if [)r«)lilera ..'o lri« ;im e,i'o rcupe «bine d e ce q u i se p a sse d a n s la [nov inoe . élit; s a i t nnhuec«; i |u i s c fa it A F a ris . Voyoz-la.

M. d e T oim oins ne « lem au d ait («as m ieux .A drio n n e fu t appcli-c.Il y a souven t d a n s les passi«ins d e la je ii iu s s e iiu«-li(u«'

ch««se «h: ra p iile e t d e s u b i t ip ii s 'e m p a re d e l’o rg a n L a lu m (o n t e n t iè r e e t faseiïu* e u n n 'm e tcn i(is e t a u im 'iiio d e g ré

G'i«sl ce i ju ’ép iouv ii denu .iselit) .‘,.«ir!eu»ii^ « .jU'à so n av c iii'em eiij i -•liblia I a .r u i i ‘c d e .sa ■•im'iiii'iici’a*, el biii.s c.-

le coi-jis e t l 'âm e , f.a volmité: e r r a t i le se live , !<.: d é s ir s itii[iiit:ls s 'a ;i:il.sen t, «m a a t te in t le biil dé.-uiv, l«: bu t «(■l'on eh en -h .iil au basatx i « t s a n s l 'a v o ir in èm eeiilri.’vn. Du se d i t : là e s t p o u r m o i Ir « -e, le bmthiM ir, le p la is ir , l’ab i i. le r«‘fiige.

G eorp iS «le T o m ie in s A la \ ne de m:i- ic la tioii.s.s.i\e : lo i «pti ne pensa it

ib tiii«c, «(«l'a '.« au .-rre pr-iciiaiiii;, il l',,!ii:[ic, s.i !i-. iimi- Si.bl.d à ]«'niie

vasii's d.'■ .dis,pli reoMS iioiil so i 'so u ép«-iL e l il m: sc ie .' - - ju ’aii « ii u'ii'i.' «pi «i < '[in .iiveiail s ’il p ouv .ù t vivi'e .-lopiès d e ce lle jn ii ie (n-rsoim e dcb m it «ievaiil lu i. et «(iii «levait le re n s e ig o c r s a : li‘-;<(u:ilité.:guer- i‘ièrosYi«‘s lialiilanl.-^ d e S a in t-i.h ien liu .

L’e n tr e t ie n fui loii;.', ««n p a i ia «le ln-.itn onp d • <-hos«;s. e l «'ep.“ii«l;.id le nom «i«* l;i v ide ib ' S .iin l-l.'iii’nliii ne .s 'échappa (uis u n e senitv f>)is de.« lèv tvs «tii ji-utic c a p iln in e . Il a u ra it lo u jo n rs le tem p s« l’ea v im ir l.’i. pell^ .lil-i’; il ;«o ii\a it e iivover à S:ii««l-Lhienlin La '« a li 'u r , s««!i sev ri-n t. gar«;oii ple in «l'in- (e lligenee , «’l «pii eu se n ib la b le ni.«lâ'«<- d w a i i èlr«- p in s ex- («i'i l «ju'tiiii; ,i«U!i!e Ülle. i> 'ai!ieiirs. il av .iil d e s o rd iv s , il d ev a il d c n ie i i r e r m i ni«>is à Nov«in, pour«(Uoi « ju itler un po ste a.ssigm’: |>ar «««:« «r«i!onel '

Il d e in e n r .i iioii«-; il iim llip lia se s visiP'.s rhe;'. M. «le la llo u ssa y e , «Imil i! ra |«tu la lii«‘U\«-lllani-*i en é«*ontant l«‘s b io g ra p h ie s «les m oiis.[ii(‘l ;n re s in»iis «ni g i is q u i llo rissa ien t A V ersa ille s v in g i-rin q an s anp ;« rava iit, el il e u t lieu do c ro ire i |n 'i l ne «léj>lai.:.iil ji.is à im n lem oiselle A drienne , «b«nl il ( la t ta i l avec ailr«;.ss«' t 'am o n r-i 'i ««pro, e l d o n t il vau- ta ’.t la b e a u té .

— J e siiis sa n s foi (m ie . si- «h.edl-il. in.ii.: j'a i m on éjiée; m e voilà déj.'i «ai« ila ine, (pioii|iiL- jeim o ; m 'iis a lbn is voii' la g n e r ro , e t il Ut’ n r fa m lra «pu; dou x ra inp iqm es p«*ur «levtniir ro lo n e! ; ,ji’ s u is don«: un g e m liv hrc«’ie ! i\ p o u r M. «le la llo ii.-v iye, ;pii ne (la ra it pa.-« riid ie . .le («asse p;»ur un d.',sj.iliM ,lVo-ie«'s ib; l ’ai-m.'.-: je m -m a n p io ni «l'esprit m « ré d u c a tio n , et s i m a d i'm o ’se !«* A d iien u o lie n t à La

n a is s a n c e , m afam ifle van i la siem n*; « « 'lle je im e p e rso n n e («arait se («laire A m on e a tre t ie n ; e)l«: m ’a im e , o u «lu m o in s e lle m ’aim«‘j'a .

P lein d e ces i«lé.:s ra .ss iiran tcs e l ja l« m x « l'ag ir avec fiMin liise , .M. «le T om ie ins s ’a d re s s a an p è re de « «’lte «pi’il «lésiiliil épon.H’r. H ne lu i fui pa-: «lüiieiie «!«• In m v e r u u m om en t f.ivoraltle p .m r «'elle m iv c r ln ic : .'«I, «le la Ito n ssa 'o . é la il oi'i iu a ire .m m t se id «Lin-: son ‘a p p a r lc m e n t e l l«; |enù«; iio im ne su j-posait ijitc (juel.iu , s Irav .m x «le fem m e , ou' quel- «jik'S étii.de.; l'i'lenaii.îit .sa lid .; i'iin d e lu i.

—• M oiisicni'. ilit-il A r . ’ücten m o u s ip n 'l.iire , v o u s av«'/ n u e lille doni j ’ai (m a p p ré r ie r les b o n n es «(ualilés e l do n t la îie iu ilé a f.iit s u r m oi ime. vive im iire ss io n .

.M. «b: la Ib nssay«' leva la le te «i’u îi iiir éioom'-.La b e a n lé «l’«m«‘ liüe e s t u n e i lc ! lie rté .: «l’u n e m è iv ; « lie

fait m o ins d 'im .p ression s u r u.« («ère, «pii sa iive iil a m ib lié s a je u n i 's so , el ne siini«..sc p as d a n s les a u tr e s les ém oli«m s «pj'il ne re s se n t («lus.

" G osI n ue bo im e fille «(n’.V ilrieim e, d it-il; u n |* e u \oloii- ta i ie . Vous la tro u v e /. «!«ni«-joli«-,, m«.»usienr?

La lig u re d ir jeune, ho iim m se co lo ra «le p la is ir , e t il s ’in ­clina en sig n e d ’a ss iu ilim e n t.

— A ilrien n c ii 'e s t p a s m a l.’ eo u lin u a le pèi c . «•’éslait sa m ère« iu il ta lla il v o ir ; e lle «';lrdt be lle et jo lie eu uu'mic (om|i'«

E t (Lf la m a in il im m lra i l le p o r ir a i l d«* feu m a d a m e «le la llo u s sa y e . s iisp e n iln an m u r «lu sa lo n .

.l'a v o u e , r e p r i t le j . . im i 'h o n i i iv . «jui se h a s a rd a , en h é s i ta n t , à con ire< liio M. «le la lloussav«? «pu* m aiL m io ise lb ' A«lrie.une m e ( la ra il «l'une beau li'' s n jié r ie u re A ce lle «le sa m è re , s i , c e p e n d a n t , le p e in l ic a él«'; e x a c t.. .

— N o n , n o n , e«m lim ia M. «le l;t llo u ssa y e . A d rien n e n 'es t («as au ss i b ie n «(ue, s a m èi'e , m a is e lle a le ’m én ie eai «ictère. Mil fem m e é t a i t v io len te , inon-deni'. bonii*' e t fière eu m én ictem |«s; «détail m uî n ia itiess» ' fe n m ie s«tus «-es ra |«[«orls,A iirien n e lu i r i 's s e m h ie \ h ! m u Idle rnèii«!i';i so n m m i-,m a is o i im i i ; elL- es t [ileim; de s e r s et «pi'ellr «‘>t « i'itiu '

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• A p r is u ii d ’o m iW tt q n a lro h o iiiv s , la il a n g ra n d g a lo p , I « v o ilu re s ’av rè le . L a sage-rcm iue , enlièi*ctm 'nt d ô so rie n lé e , n e s a i t o ù e lle e s t , r a r l a n iiil c*sl d e s id u s o b s e u rc s . O u lu i l a i t m o n te r n n ,*^rrm i, pu is m i g r a n d e s ­c a l ie r in lériiM ir, e t , a p rè s a v o ir p a rc o n in nuloni:? c o r r id o r , e lle e s t in l r o d n i le d a n s n u e c lia in b re on se te n a i t coiichLO c l vo itéc la rom m e iin i récJam ail les so in s do soii m uiislv .j'c . 1,’ap p a rtc - iu eu l u 'è la u l jias asscs iVlairi^ p o u r le s b eso in s u r g c i i l s d e l a c i rc o n s la iir i '. la d a m e X .. . , ou l i l l nbsoi’va lio n ; i ‘l s u r - le - r l ia m ii . ro m m e i*ar n n co u p île b ag n e lti; m ag iiiu e , la lum iè .re a iig m en ia g r iiiln e licm en i, m a is failM Oineul, s a n s iiiie rio ii iu d iiiiià l d 'o ii e lle p ro v c iia il. I,e. c a s é la il g ra v e ,I l sage-rcm m e lèm oigna le d é s ir d ’ù lre a s s ish e d u n m é d e ­c in - m a is il lo i fui rèp o m ln <iiie l’on a v a it ro n liam -e é n elle .

. Aloi-s e lle d é c la ra q u 'e lle ne v o u la it po in i le rm u ie rs o t i o p é ra lio n san s tém o in s. A n ss ilô la p p a rn re n I q u a t r e lio inm es ut>i Iciir.s d e longues b a rb e s . M aigre le pou d e r la r l c , ci-peii- d a i i l , la sim e-lem m e c n i l r e m a rq u e r l 'a l l i t iu le p eu a s su ré e d e ces (p ia ii e liom m es, ip re lle s o u p ro m ia ê t r e île s fem m es d ég u isée s avec d es b a r lu 's jMistiches.

• l lre f, les d ev o irs d e so n m in is tè re é ta n t a r ro m p b s , la d a i i ie X .. . rm ré in té g ré e d a n s la ca lèch e e t re n d u e à son dom ic ile a p rè s un n o u v eau t ra je t d e rp ia lre g ra n d e s h e u re s .A peine e iil-e lle m is p ied A le r r e , q u e la v o ilu re d isp a rn i u u m é d ia le m e iil avec se s co n d iic ie n rs . C.enx-ci d a n s le u r p ré c ip i la l io n . iié i;li" ,è reu t, sa n s ilo iile p a r o u b li , d'oliVii- a la il.im e X ... les h o n o ra ire s q u i lu i é la ie ii l d u s el q u e celle- ci II'- .s.iit à q u i l 'é c la in e r a iu ‘ès u n vo\ âge au ss i m y s te r ie u v .

» N o ire réc il e s t co n fo rm e à ce lu i d e ia s ag e -fem m e q u i a d é p o sé s a p la in te e n i r e les m a in s d u c o m m issa ire de. [mlice d u .-,1111011, el s e .s i lé c la ra lio iiso u l é té irausm iscM a u p a r q iu l d u Ir ib n n a l d e r a r ro î id is s e m e n l . •

OLl'.UM ONT, com a im ied e Ti uc y-li'-.l/o/d. — L e fé v rie r , le s ie u r t- 'Iam .m iL ê .-lu sie r, r e t i r a i t de. la r iv iè i c d '.K isu e iin c a d a v re q u i a é lé re c o n n u p o u r ê t r e c e lu i d u s ie u r t .a p e l , n i.m ie.iv rie r, dem.-Ui-.ml à Ü le rm o n l, âg é d e 50 a n s . Lel h o m in e av a il q u itté fu r liv e m e a l so n d o m ic ile le. ‘25 ja n v ie r d o rn ie r e t n 'a v a it p a s é té rev u d e p u is . O u siippo.-;e q ii'im d é lit d e h ra c o n u .ig e p o u r leque l il i é lé e o m la m iie p a r d e l 'iu l le “28 ja n v ie r tleru ici-i a d é le rm iiié le s ie u r O apel .iii su ic id e .

PLK SSlS-V Il.L l-.TTK .com im m ed.* Sri/-i-<m.— L u jot1ru a l ie r d o :llo u ra n l d a n s ce h . im e a ii . c l n o m m é L h asseg iié . a v a it p r is q u e lq u e s v e rre s do vin an -d id à d e »“0 q u e .sa lé le p o u ­va it su p p o r le r . ta ie fois échâuil'é , il s e m il il [ ta sse r e u rt-O ie s e s e m b a r r a s cl se s c h a g r in s , l u fils p a r t i p o u r te se rv ice m il i la i r c ; u n e je u n e fem m e q u e ce lils a v a il im |n - iid en n n eu l é p o u sé e av an t d 'a v o ir sa tisfa il ii la bti d u re i r n ie m e u t ; im [le lil c iifan l né do ce m a r ia g e , re s ta n t i\ sa c lia rg o ; b ro f, to u t co la rev in t A re s jn i l d u p a u v re m a n o u v r ie r , e l i l u 'y v i t d ’a n t r e rem èd e q ue d e q u ille rc e . m o n d e . Lu c o n sé q u e n re , L h asseg iié s 'a rm a d 'u n r a s o ir [to u r « 'o u v rir les a r tè r e s des b ra s . M ais il av a il co n q tlé sa n s sa fem m e , d o iil r a r r iv é o s u b i le le d é ra n g e a a u m ilieu do so n o p é ra t io n , assox 5 te m p s i»our [irév e iiir u n e b le s su re m o rte lle . C .liassegiié eu e s t q u i t te p o u r m ie c o u p u re ’ à c h a q u e b ra s . La p lu s p ro ­fo n d e , a u dii-e lin m éd ec in q u i le so ig n e , s e ra g u é r ie su iis [leii d e jo u r s .

U O Y A l.lK t'. — L u d eu x ièm e e l d e r n ie r vei-sem eut d e C t fran r.s “20 c e n t.m es v ien t d 'é l r e fa it p a r la g a rn iso n d e Lom- p ièg n e en fa v e u r d e s inccm liés d e Ituyalie ii d o n t n o u s avons r a p p o r té le d e rn ie r d é s a s tre d iin s n o ir e d e r n ie r n u m é ro .

N ous p ro tilim s d e c e lle r irc o n s la u c e |)o u r r é p a r e r u ne o m issio n q u i s 'ô ta i t g lissée d a n s n o tre e m n p le - r e n d i ie ld ir e q u e M. M erc ie r, sm is-p réfe t d e r a r ro in l is s e m c n l , s c t r o u v a i t l 'u n d e s nrcm iei-s s u r le lieu d u s in is t r e avec les h a b i ta n ts d e L om p ièg u e a c c o u ru s a u m ilie u d e la nuil,.p i>ur e u m b u l- t r c L iue.endic.

A v an t d e d o n n e r so n oITrande a u x m a lh e u re u se s v ic tim es d u f lé a u , M. le so u s -p ié fe l a v a it r o m m e a c é p a r p a y e r «le sa p e rso n n e .

— . S a m e d i d e rn ie r , le. b r o u i l la rd é la il s i é p a is s u r la r iv iè r e d 'A isn e , q u e le I ta leau à v a p e u r le ijiii faitto u s le s jo u i-s le sei viee d e s v o y ag eu rs et .les m an -h am lise s e n t r e L om piègne e l So issons, s 'e s l h i-u r té p re s ip ie a u s o r l i r d e c e l le d e rn iè re >ille. en a va l d u lieu d it r i l e S .im t- l .a m b e r l . c an li-c le C-ihrirl, d i : r e u l i epi-ise b e h a in a iii p ie L h a i- le \ille t. v e n a n t do l 'a i is. L e clioc. a é lé le lle im -n l v io len t q u e le T itra tiir n 'a p a s (ui c o u liim e r s a ro u te p a r s i i i l i ' d e s a v a r ie s q u 'i l a c |> ronvées. Le (ùibric! La ro m o rq u é ju s q u e d a n s le p u r l d e Sois.sous.

T K O SL Y -llItK L lL — Lai in cem lie , d o n t la ca iis t' e s t in ­c o n n u e , a é c la té d a n s n u e m aison ap [ia i le n a n l à M. l 'a m ie n s- D elac.o iir, e t o i-enpée p a r M. I tam '-. i-uh iva le iii'. I.a p n le e s t d 'e n v iro n IV.. d 'U il m o itié en m eu b le s a p [ ia r ti 'i ia n l au lo c a ta ire . L 'im n ieu lile é ta it as.^;|l■é,

| é :

l’iii;sji)K.\c!; m; .M. Vativ.A nilirn t'c d» .i/m-.v IS.57.

Nriiis ne pouvons [i.i; d ire q u e l.o n is D cs iiu ich -s . à cé de V 2 a n s . p ro j i r ié l .û r e . dem e iii’a iil 5 ta 'é p v . so it pcéei'-ém eiil u n bi-.M 'oimier. m a is il a nue te lle ardi.-iii' à !.i c li . 's s e . tp j’il n ’a [las d 'é g a rd a n te m p s do la »-lôluiv ni a t i \ a r ié lé s , lti< ti d e s fo is d é jà il a en à r e n d re coiiiiile ili-vaiil le I r ib n o i! de p e c c a d ille s d e c - I le ir i l i i r e , m .iis il i-n e s t d e s eli:i.s>ciirs co tn n ie de ce. I.iins a iilre.s péch e iirs e ad ii.'c is , ils rep im b e til s .m s ce.sse il.m.s le m êm e iieiicli.m l. L'e.>l un c .iu c li .- tn a rq iii

le.s p o n rsn il parU m I. el la g ra n d e p r .i t iq n c d e v ie n t leu r n a lu re . D c.stonches a v o u e .sa n o u v e lle fa ib le s se , e l le tr i- im n a l le e o n d iim n e on 51) f r . d 'a n ie n d e , i\ la con llsca liou d u fu s il e l a u x d é p e n s .

— Louis-E iigèue I*iochcUc, âg é d e 3 0 a n s , e s t a u b e rg is te A M o u ta ta irc , ce q u i n e L cm p èch e p a s d 'a l le r b o irq clie-£ SOS co iil'rè ros. L e 2 5 f é v r ie r , é ta n t i v r e , il se p ré .sen tc d an s u n o a b u rc t, e t il ii’e s l p a s h im ic u x d e d ir e q u 'i l y b o il , avec u n c a m a ra d e , p o u r 1 f r . d ’c a u -d e -v ie ; o u co n ç o it <|u’jiiitsi re p u il p u isse o u b l ie r le s lo is d e la I n c n s é a u c c , a u s s i , la c a b a rc t iè r c lu i r e fu s a n t la n o u v e lle b u isso n q q 'i l d c m a m le , il lu i a llo n g e u ii c o u p d e )u c d , cn ro n cc u n c a r r e a u e t s ’en v a . l*b)c.hfille p a r a i t ç ro ii“e lo u lo n a tu re l le u n e p a re ille c itm lu ile , e t c iq u n u lan l il e s t , d i l -o n , h o n n ê te h o m m e e t bo n ouvi-iei- q u a n d il e s t à j e u n . L e t r ib u n a l le co u d an m o e u 10 f r . d 'a m e n d e e l au.x d ép e n s .

•— Je a n -lla p tis tc l 'o l l i e r , âgé d e 51 a n s , b e lg e , e t o u v rie r m aço n q O rry-la-V ille , é t;u il iv re le 10 f é v r ie r , d e m a n d a it le p lu s l'orl lie la c o m m u n e p o u r se b a t t r e av ec l u i> d o intiuvaLs plaisan t.s lu i in d iq u e n t l’ad jit in l d e l à co m m u n e ; P o t l ie r va le t r o u v e r , m a is a y a n t é té frv 'id em en t a c c u e i l l i , il |)a sse a u x in ju re .s ; l 'a d jo in t se c e in t d e si)u é ch a rp e , l’o l l i e r siî re lii-e, m a is V evieut b ie n lù t s u r se s p a s p a r ré ­m in isc e n c e , il a v a il o u b lié d e d ir e A ce fo n c tio n n a ire qu 'il s e m o q u a it d e lu i c l d u m a ire , l ’t i l l ie r es t co m m e to u s les b e lg e s , il t r a v a ille a ss id û m e n t e l a r t iv e m e n l [lo iiryu qu 'il ne bo ive p as , a u tre m e ii l , c o m m e to u s sc s c o n q ta lr io te s e t lieaucouj» de f ia n ç a is , il d ev ic id la b ê tis e pei-sonnillée e l le ly i 'c d e la b ru ta l i té . Le tr ib u n a l cou ilam iie l ’o l l i e r e u tro is jo u r s d e [irisona}l a u x fra is .

— V ii'lo ire-.lüséphiiie U a m e t, âgée d e 50 a n s , fem m e do F rauço is-N ico las Ib m rse l, m a n o u v r ie r , d e m e u ra n t A O rm ay- V illers, s 'é la u l in tro d u i t d a n s le c im e t iè r e , s e la is sa te n te r j ia r u n co llie r d e jie rle s d e v e r r e b la n c q u e l'o n a v a it d é p i té s u r u n e to m b e ; e lle j<igea q u 'e lle p iu iva il u tili.se r , eu se fa isan t jn m r e lle -m êm e u n c o llie r , u n e oIVrande devenue d é s o rm a is iim lile à la [ic rsonne q u i e u é ta i t l 'o b je t. U est l'c o b a b ie q u e ia voleii.se a é lé vo lée e lle -m ê m e , c a r il n ’c d p as p o ssib le q u 'o n s 'a m u se à dérobm - sc ie in m e n t u n <dijel d 'u n e .iiissi m in im e \a ie u r . U u o iq u 'il en s o i t , ia p rév en u e a v a il to u jo u rs l ’in te n tio n de s'app ro [U -ie r u n o b je t q u i ne lu i a p p a r te n a it p a s , e l so n la rc in s 'e s t n e rp é lr é d im s iiii l ie u q u e to u t le m o n d e re s p e c te ; il fau t c i re p-rnssé p a r mi b ii’ii g r a n d b eso in d e v o le r p o u r se [te rm -rttre d e p ro f.u te r im p .ire il lieu p a r u n e .so n s ira r lin n . Le tr ib u n a l co n d am n e ta fem m e l lo u is e t en i-inq jo u r s d e |ii-ison c l a u x frais.

— I .e ô l j a n v ie r d e r n ie r , le s ie u r l ) r a m a r d , cn lrc |> rcu c iir de. vo itu re .i p u b liq u e s , d e n r - u r a n l A P a r is , fa is a it c irc u le r , s u r la i-mite «le P a r is A L rép y , u n e v o itu re s a n s ê t r e m un i d 'u n la is se r-p a s se r c o n c o rn a u l la<lile v o ilu re . .Vssigné p o u r c e tte c o n tra v e n tio n d e v a n t le ir ib u n a l d e po lice c o r re c ­tio n n e lle , le s ie u r U ra m a rd n e c o m jia ra il p a s , cl le ti-iimiia! le c o n d a m n e e n ll î f r . d ’am e n d e e l a u x f ra is , m a is l’a tiiui- n is l ra l io n d es conlribu tio iL s in iliV cc tes .s 'é la tit poi-lée p a r tie in le rv e .ia n le , l l r a m a r d a c lé é g a le m e n t c o n d a m n é e n llH) f r . d 'a m e n d e , A la co n lisca lio n d e la v o i lu re , d e s tro is ch ev au x e l d e s h a rn a is sa is is e l la is sé s e n t r e s e s m a in s , a[»rcs avnii- é lé e s tim é s tie g ré A g ré A la s o m m c d c 450 fr ., a u p ru lit d e l’a d m in is tra t io n d e s c o n tr ib u l iu u s indii-eclc^.

I.e 13 fé v r ie r d e rn ie r , Cfeucvièvc-M aric D o m o n l, âgée d e 11 a n s , d e m e u r a u f A S eu lis , re v e n a it d e P a r is d a n s la d ilig cm u :; u n e d a m e se t ro u v a n t A cô té d ’e l l e , e t vou lan t t i r e r ({uelque ch o se d e s a p o c h e , h t s o r t i r so n p o rlc -in o n iia ic q u i ro u la s u r la b a n q u e t te . L ’c iifa iil le s a is i t , le m i t dans sa p o ch e , p ay a s a p la c e avec u n e p ièce d e 5 f ra n c s e n o r, < |u o iq u 'c llc n ’e u t p a s d ’a rg e n t e n p a r l a n t d e P a r i s , c l s ’é­lo ig n a d a n s les m e s d e S eu ils . A y an t l e u c o n t r é s a so u ir L o u ise-A u g u slin e D om out, âg ée d e 2 0 a n s , e lle lu i Ht p a r t d e s a tro u v a ille . C e tte d e rn iè r e s ’e m p a ra d u po rlc -m o n n u ie e t d e s p ièces d 'o r q u 'i l c o n le n a i t , e l le le u d e in a in ach e ta it d e to u s cô té s , A .Seiilis, d e s ro b e s e t de.s f r ia n d ise s , pay a it q u e lq u e s delle.s q u ’e lle a v a it c o n tra c té e s . L a m è re d e ces je u n e s lllles n e fu t in fo rm ée q u e q u a n d les p ièces d 'o r é ta ie n t ré d u i te s A z é ro ; o n r e p o r ta le p o rle -m o m ia ic a n fa c te u r d e la d ilig en ce . La tille A n g n s lin e D om out d i t i[uu sa SiCur lu i a .is s iiré ip ie cet a rg e n t p ro v e n a it d e la m u n ilic e n c c d e sa lo n le d e P a r is , m a is la je u n e M arie , (p ii a d a n s le m é tie r b ien m o in s d 'ex |> é rien ee e t d e in -a liijue q u e sa s te n r , n ie ci-lte .sotte a llég a tio n e t so u t ie n t »pi'(dle a ra c o n té to u t sin ip len n -n t A A u g n slin e co m m e n t e lle se l’é ta i t p ro c u ré . Le ti ib im a l c o n d a m n e t.o u ise-A u g u stin e D om onl e n tro is m ois d e ]ii-isoit, ac< |iiitle ( te iiev iève-M arie D o n a m t, e t o rd o n n e n é a n m o u is q u 'e lle sc r .i co in h iili; d a n s u n e m a iso n d o c o r ­re c tio n o ù (die r e s te r a re n fe rm é e ju s q u 'à raeco m p lis .sem en t d e sa 18"* a n n é e , e l les c o n d a m n e so lid a iro n ie n l a u x fra is .

— .tea n - l’ra n ç o is Sosson , âgé d e 57 a n s , m a rc h ; 'n d '.d e ro rn -m n-rlis a n d m la n l , d e m e iir .m t A .Sainl-l-’irm in , a pensé i |u 'i l [onivail,- s a n s h é s ite r , a l le r fa ire u n to u r d a n s sou pays, A l ’ri-.stjoy-la-M m ilagne, arroM dis.scm enl (h; llr iey , e l ( 'n ipo rli'i- a \e ( - 'lu i ,d a u s s a v o ilu re , lo u li 's se s m a n -h a n d ise s a lin d e les v e n d re (Ui ro u le .s'il y a v a it lien . M ais il a v a il , e!t p .irb m l, o u b lié ipi.; diver.ses lrail«^s, p o u r u n e so m m e as.sez iiiipoi l in le . é la ie n l A le u r é c h é a n re , e u s o r te ip ie So.ssi*n, toiiib '- en é ta l d e l'aü lile , fu t i i r i è lé chez lu i , A l 'r c s n o y , au m um i-n t où il f .d sa il sa c o n v a le scen ce , a y a n t fa it uni.- c liu le (p ii e u t p o lir i-é.'Uilat le jia ssag e s u r son coi'p.s d e sa v o ilu n e t d e son ein-val, (d d a u s d c le iil |is o ù il m) son g ea it [)lil: guèi(^ A se s créant-iei-.s, A se s I r .iite s , n i A so n logeiiiinit d o n t il iiv.'iii boiK-lié les le n é lre s avei; d e s fago ts [lo iir e m p è d ie r l(!s yeux sc ru ta te in -s de p lo n g e r d a n s r i n lé r ie i i r e l de 1er. v o ir veufs de m a n -h a n d is e c l d e m o b ilie r . Le I r ib iiu a l eo iid an m .; S o ss-ii e n tro is m o is d e lu ison (-1 a u x dé jicns .

— I.».; em p lo y és de.s c o n tr ib u t io n s iu d ic c c lc s .a y a n t fa it u n e p e n p t is i l io û a u d o m ic ile d u s ie u r A m atid -L u iis tn iii F a u c h e u x , âgés d e 4S a n s , c a b a r e t ie r , d e m e u ra n t A M on ta- ta i r e , o n t d é c o u v e r t lu vachello d o ce m a rc h a n d do b o is so n s , et- u n e ip ia n t i lé a ssez c o n s id é ra b le d e b u isso n s ()u i n ’a v a ie n t p a s é té d é(daré(;s e l ( |u i , i ia rc o n s é q ito u l, n ’a v a ie n t n a s re ç u , le pas .sc -po rt lég a l d e la ré g ie . A ssigné d e v a n t le tr ifiùnA t a è po lice c o r re td io u u c lle , le d i t F a u c h e u x a é l é condA m tré, a u p ro lll e t s u r le s c o n c lu s io n s d e r a d m ln i s t r a l l ô n , e n 5 0 .fr . d ’a in e n d è , A la co n lisca lio n d c .sb o is so n ss ïtis ic s , a u p a ie m e n t d e s d ro i t s f r a u d é s c l a u x d ép e n s .

GOÜR D'ASSISES D S L*OISS.P ré s id e n c e d e M . C O R N ISSE T *-L A M O T T E .

A t(d /cnre du lu n d i 2 tU a r; 1857 .A f T n l r e D e i n m u r r e ^

Vol.Lo i5 (lécvmbrc iBSd, l.-i fciiiinc C harpcntii-r rcn lran l dnns le

domicile qo’clle h abitait n i couiiniiii avec le sieu r A nutiill, trouva poKc- (iiiverle et lu .si-rrure dcmoiilée : iinm édinlcm eul elle peiÇiit que iroLs riibes iiecruchcea dnns la e liam brr avaient

d ispiiiu ainsi q n ’nii |)u iila lun ; les soupçons se porl'èrcnl im m é­diatem ent su r sun eonsin, le nom m é Delam nrrc, homme des plus ni.-il famés, ili'jù eiindumné cin(| fois, et iinqucl, par hninniiité, lie avail donné asile les nuits préeédeules. A yant npprîs (pie

l)e lam .iiie venail de se l'eiidre dans une maison de prostitu tion , lie gnelln sii soilio cl le lit a r ié je r pa» l’ngenl de police M eun ier: aeensé avait ciieore en sa )>Ossessiou le pantalon volé qui se

roiivait dans on paipiol laissé pour un instant dnns la niaisuii d ’où il .sortait : «{iiaiil aux tro is robes soustra ites, elles avaient ;tc déjà veiiibies à la vcnve M altet, après avoir é té reftisccs par le sieiii ll.Tiiai'd. Delamai re oc pouvant nier tes faits qui lui sont

.putéi, elierelic ù se d isculper eu prétrndniit qu ’il é ta it, lors du iine, d.in.s nu étal d’ivresse te l, qu’il n’avait pas eunuaissancc

de ses actes, (iette .issertiun est dénu-iitiv par tonte.s les personucs i ont vu l'aeensé dans la juiirnée du vol, elle est encore d é - ntie. |ia r les |irécantim 'S qu 'il a prises p ou r sc défaire des

objets volés on eliereliant à passerjpunr un inlerniédiuiro e t non pour le véritable veudem-.

I.C siège dn m inistère publie cst Occupé pur Al. lo procu reu r ii>.-ri.dl>.uing.niU.ÂD llliiiiebei a eom nienré p.sr d ife combien le rôle de l ’avocat

est pénible, iorsipi’il a dcn-ièrc lld nu bom inc qui a déjà subi cinq 'am nalinos, <pii |iarnil ê tre resté sourd aux averlisseiUenls I jii.slice, et i{iii à futee de Côtoyer la lim ite qui sépare le

délit du eriuie, a Uni pur ofi fiiiissciit u ialheurcuscnicnt cl nécc.s- sa im n cn t ton.s ceux <pii, n |irès une prem ière faute, ii’ont pus la force de eai-nctère de faire un retour siir cux-m éiucs et de eori- tra ind rc leurs mauvais penobants pour ren tre r dans lu bonue voie dont ils son t sn it is , e’e s t-â -d irc qii'il-ft (luî par passer des bancs de la police correctionuelle su r ceux de la cour d 'assises.

L ’est, Il d it M* Dtancliel, un passe bien triste el bien blâm able ([lie celu i-là ; c’est un bien g ran d olistacle q u i s’élève deVunl la défense, <|ui rend dilüeile la tùcbc ^u i lui est coufiéei le devo ir qui lui est Imposé.

Eu |>arlanl dti devoir de l’avocat, M* DIanebct a rcpouiln ei quelques mots à un reproelie que lu! a fait un certa in critiqué (l'avoir refusé d e d éfendre a ux assises d u mois de décem bre der­n ier, un sieur Uour.suidt, dont le cynism e a*soulevé l’indignation,

qu i, ainsi que nous l’avons d it a lo rs, sem blait faire parade de sa lu rfarilene c l se rire du la justice. T ou te fo is, a ajou té le défenscnr, ne nous trom pons pas su r l’étenduo du eu devo ir et su r l’obligation qu’il com porte. E st-ce II d ire que nous devions défendre systém atiquem ent et quand mêm e, ainsi q u ’a paru l’ô - e r ifc ce e iitiq n e? N on, ce n’csl pas ainsi que noui Comprenons notre mission elle nous nppar.-iît .lUlrcineiit b e lle , au lrcm cnl re.speciabic : défeiulie systém atiquem ent loém c ilii audacieux et profond c rim inel, un liomiue dangereux pour la sUcléte! Afals quelle eoi>runec alors pou rrions-nous In sp ire r? Noii-scule.invnt ce serait ii iioti e avis flé trir ce qu’il y n de beau dans no tre pro ­fession, mais ce serait otissi enlever h no tre robu le e iéd it dont e lle u taiil besoin lorsipie nous avons à psi 1er eu 'faveur d’un ac­cusé réi-llenu-nt digne d’iulén'-l, e t à révéler parfois des fa its, des impres.siims (|uc nous avons recueillis dans le secret de la prison et qu’il vous est im passible de s.-iislr aux débats. D’ailleurs ne voil-nii pas <|iie dércudic quand m êm e, ce n’est plus défendre ce serait p ro q u c cbi-rclu-r à é-garer In justice ; ce n’est assiirém eut pa.s [loiir cela que la loi exige ()ue tmil aceusé soit assisté d’i défciiseui'. Les limiti-s de bi défense ne sont-ellc.s pas un surp lus marquées par la loi? E t elles id.-inriiient pas bcscffii d e l'é trc parce quelles nous sunt indii|nées piH' lo respect (|uc nous nous devons il iinus-m ènirs, e 'est-à-d iie que nmis ne devons pus p arler contre iintie epnscicnce ; ce que le lé-gislatcnr a voidii de nous e ’c.<t lions faire les anxili.iin-s de Iti justice ; ce qu ’il nnustlCmandc c ’est d’iqipnrtcr aux déliais n o tre part «le lum ières; mais avec I» inissiuii I u te spéciale de rccherclier tout r c qui peut inilitcé en faveur d’un accusé. N om m é d'o fliec ou dlin iii, nous devons A l'accusé toute notre énerg ie , tout notre dévodm cnl ; il y a rai.Miii «riiuiuanilé qu i iiinis le d it i c 'est une cunsol.ilion pour lui de tin tivcr eu nous nn soutien , et c’est un vérilnblc bonheur pour nous do lui ê tre u tile, mais il faut q u’il ue se suit pas rendu in­digne de l'nul intérêt.

AD lll.u irlict est en tré ensuite d.ius les détails de l’uffaiie, tout eu ri-cnnuiii.ssant qu ’en pn'isenee des dépositions di-s témoins et (li s aveux de raccnsé, une coiid.-ininatioii élnit inévitable, il pi-oM' «[ne cette eoiid.viiin.'itiou pouvait é tre te iu p é iée par d es cir consianccs .iltéuuaules, eircousliiuces qu 'il puise dans la posilio ev(-i-p(ion<irlle de sim client, «ju! e.U repoussé par toute su famille d.nis s»u él.-it .Kl monieiil du crim e, il l'-tail ivre '; dans le peu de lydeiir di-s objets volé.s, c inq ou six francs, el eiirm dans le re - peiilir do sou clii-ul.

Le jiiiy .-I rendu un verdict a llirm alif s u r toutes les questions.Di.l.iiii.irre a été ciiml.-iiutié :'i 5 ans de travaux forcés. .

A I T ts i r r F r é ‘H liM ^ .Vol.

Au lupis de scptetnbrc dcriiicry le nom m é Fréoiacq cu ira uàlilé*do commis ebcz u iied iiiuc b u fresiie , m arcbandc lingctc

(lomieiliéc à C répy. Il accom pagna sa m atircssc dans différcuti voyages qu’elle l'il pour [daeer ses m archandises; maip il fuj congédié le a a oetobic , à la suite d ’iibe «lèteussion assi-x vite qu ’il eu t avec elle. I l nîsolut a lors de m ettre A profit cette cir­constance pourM élournet-, an préiudive d e la feiaine Dufrcsoci ttUe quan tité c'onsiirérable de inarebaudiscs.

Le aS , il revint li C répy e t sc présenta ebea no sicnr Fonqiwt dont la mnisoii é tait contignd ù celle de son ancienne matlreiie, il lu i d it que iT itc d ern iè re l’avait envoyé chercher difTércntt objets dont e lle avait besoin, et qu’ayant perdu la clé de la mai­son, il le p ria it de le la isser passer p a r dessus le m ur séparalif des deux propriétés. Le sieu r Fonquel, q u i dans de Munulabla circopstanccs Avait iléjli vu la linnme Dufrcsue reiilyçr a insi chct elle, ne fit aucune difTieidVé. et l'a rèusé , cseabdan t Te miir à l'aiiJc d ’une échelle, pénétra par une fcm 'tn.-du rez-dc-ehaussi'e ' dont il brisa un carreau ; là il elioisit à la bîltc parm i les objets rangés dans je magasin des cliiMes, des dentelles, des luhuns qn ’i! entassa dnns (leux caisses, et les fil p a » e r ch rs l e . . Fôiiqûet, aillé par la dom estique de ec d ernier qiFÎI avai^ apjiclév.

Aynitl besoin d ’nrgi^il, il essaya d ’abord du vendre quelques mnrebandi.ses h nue lillc L ajo is qui refusa, e t p arvint à eiitpruiitvr dix fr . à mi sieur T réso rie r auquel il fil cro ire i|u’il é ta it envoyé par la femme Diifresiic, c l partit le so ir p a r la voilure de Paris.

Lorsqu’il fut arrê té , le iB m ivem bie, à L Irrm unI, il Rivait déj!! ilissipé l ’argent des inarehandiscs volées qu’il avafl vendues e» difljjrenls cudroils. Il avoua com plètem ent le crim e dont il él.-tli,

ensé c l cbereba simleiucnt à d im inuer l ’inqiortaiicc e t le iiombri! s objets «{d’il avait soustra its.Q uoIi|ne bien jeune, F réu ia rq a de mauvais an lévédcnts; il

été d«'-jà eoiidam né à ( |ua ian te jours d ’vm|>risoniieiucnl pour filoUteiie-et abus de confianee, cl à un mois de la même peinepour vagdli lagi*; il est en ou tre renvoyé devant la police eor-i-«'i-tiounelle pour rescro(|uerie commise au pré-judice du sieur T icso iie r.

1.0 siège du m inistère public est occupé par M. lu prociircu im périal l ’ariiigau ll 1

M* L rosnicr a piésen lé la défense. iFrénincq est condam né à 5 ans «le travaux forcé-.s. I

A u d ien ce d u 3 n u w s.

M Auger nceupo le fauteuil du m inistère public, liii |)rcm icre affaire du ce jour est n ue «iciisation d ’uttenl.-it à

la pudcnr. I.i' s ieur Jean -T b éo d o re-K en c Alasse est l’aecuXé. A|>rèsln lerlure d«-l’acte d ’acciisatinii, l'in terrogato ire et l’aüditino de.s tém oins, AI' Ibiuré présen le la défense, et la cour, a|>rès eti

uir dclibi-ri', aequitlu le s ieur Alu.sse'qiii est mis en liberté.

A f f u i r e l i O i i l d - B e r i i n n l l i n r i ; i l l i r r « e t G e u c t i è v e U n i l e t , v e u v e l ' i l i c t .

A vo tivn ien f.Qcttc affaire ph 'sen in it beaucoup de grav ité , car l’avortemenl,

dans tous les [inys et sons toutes les lég isla tions, a lonjoiiis rtc coiisiiléré connue on fait ém inem m ent iiumoral et con tre lequel la loi a d û se m ontrer jusicn irn i sévère.

L’acte d ’ai-cusatioo, dont nous tairons les détails, reprochait: au nom m é L ouis-llcrnard Lnrgillière, charpentier à llcrieonrt-

S ain l-Sainso ii, d ’avoir, en iB5B, nu m oyen d e lireiiv.-igesct d’iiKc opéralion ch iru rg icale ,ten téde procurer ravorlciiieiit du Céiestiile- Eupbrasie W nlle l, qiti élitit a lors enceinte, laqiielU tentative, inanifestve pu r un «roinniciieenu-ill d ’exécution, n’avait manque son effe-t que par des eirconstanees iiidéjiciidanles.de la viiloliiê de L arg illière; i** et td noiuitléc G encvièvr-V croniq lie Radi-t, veuve l 'i l lc l , m archandu de poisson, dem eurant A Saint-Sams<iii, d e s 'é tre , à la m ême époque d u mois d ’août iBSG, ren d u e com­plice de la tentative d 'avurtem eiit c i-dessus spécifiée, eu aidant ou assistant sciemitlent led it Lnrgillière d ans les faits qu i l ’avaieot p rép a té ou facilité. .

Après l ’auditiflii d ^ tém oins à charge e t à décharge, M . Att^cr, substitut de M. le procurcitr Im périal, a développé contre Ici deux accusé.s les ehuigcs de l’accnsation.

M* M arcel Ijcro tix , avocat, était chargé .dé la défense de L argillière e t de la veuve PiiU-t ; il s’est cITun'é de com battre In charges si graves relevées |Uir le m inistère p ublie , e t a ;pnrtirii- lièrem ciil porté sou a llen tion su r les caractères d e lu lcritulivt d ’avortem ettl don t, selon lo i, l’exécution avait pu dire SiispcudiK par la volonté de Largillière.

M* Alarcel Leroux alla it d iscu ter nu moyen subsidiaire coiisis- tau t à p rétendre q u ’rii tnutière d ’avorteiiiriit la lot u’uvalt pss e n trn d u pu n ir lu seule teiitalive de le cuiiiiiiellre, et q n e l’art. 6o du Coile pénill, sur ta ebm plicité, n’était |io iiit applicable en pa­reille m atière. Alais AI le président lui fil rem arquer q u e rcttr thèse du d ro it nu pouvait ê tre débattue devant le ju ry Alon M* lie ro n s , su r ce po in t, posa des concbisions devant la L o u rf dentUnd.-! (|u’il lui p lû t l’uu in ri'e r à soum ettre an ju ry l’appréris- tion, Hoit-seiilement des faits et de leu r moralitt-, mais encore «la caractère légal du ces fuîts. f/nviu-al développe ces eonrlusioos rl c ite des auturité.-i à l’appui de son systèm e. La question était exlrêm eiiienl g rave, pu isqu 'elle portait sur la ligue de répurati - des a ttribu tions du ju ry et de celles de la (m ur d ’assises.

M . le procureur iiupérial a eonelu au rejet des conclusions.La Coin s’est re tirée pour en «lélilH'rer, et a rapporté nu arn'l

qui n refusé l’admisbiou des roiielnsintis prises par la défemA près des reptii|nes l'O.-^peclives devant lu ju ry su r les faits (I;

su r le point de savoir si la tentative d ’avortem ent avait été sommée, AL lu président a résum é lus débats.

Lu ju ry , a p iè i nue dem i-beliru de délibcratlQrt, a rendu tu verdii'l a fiirm alif sur les questions posées.

M. te p rocureur im périal a ruffuîs l’application de la bd.AI* la-ronx a |io<v des eodclnsioiis devant la C u itr , tètid.luXq

n (-e ipi’il lui p lu t, sillundii «pie lus faits «léclarés ronslafils pnrb j iiiy nu constilnaiunt q u ’une leutative d ’avortem ent; «piu la loi.

|i r i i , l ( .- i i ( ; i i (-1 i l ' i u i i ’ f i i i s o t i : i i i - i ! t '> s i i ; ; s n i i j , .- , t e i 'si-i-.-( b ie n tii i’iié . ,

— .),! s u i s |m i- r .ii|t; iii.- iii ib- v o li 'u iivi-;. s 'é .- t- iu M . ib- r o i t u u i n s , o l ji! s i! i;ii.s b b -ii In -itit- iis , s i «-i: i i i a i i ( 'é l ; n t tiin i

— V o u s ! ili ) .M. (U; la IbtiLss.iyi.- e u n - lc v a i i l la t é l c .— O u i , i i i iu is io u i- , i iu 'i q u i :i(bu-o v n l i i : lü le c l ' | i t i (;.sin ''io

ê t j 'c a im i'! i r c l lo .— Elit! voit.s a (Jil i j u 'c l i c v o u s a iu i : - i l .— .L tii ia i s , i i to u s ic i i i - , i i i a i s j . ; s c i i . ; i | i t c j - iii ' p a s

.v iv t-e lit '- so r iita is s a n s l u a 'io i i to i s td lc »nli-i! l i l l c , j 'a i «Intu-lu is t o u s tu e s s o in s à lu i p l a i r e , c l v o u s s a \« 'z ( p i 'u i i h n tii iu e . n t t i o u to u x itc s c li-o t i ip c gii('‘i-c su t- l'« ;ircl ip t ' i l p i - o i lu i l .

— N o u , i-é |M ind il M . d e la l l o i i s s a y c av ei- b i i i i l i t i i i i i i i ic , j e n e s a i s p a s ( ;e la .

— J a m a i s j e u 'a i d i l tm m o t i r a m o i i i - à M "‘ . \ d r i c n u e ; j e n u l 'a i t r a i .s p a s «S(! s a n s v o li-e a s s e u l i i l e u t .

— J(i v tu is i-en i(! f (û e , in o n s i e t t r .— M a is , c o u l iu u a I c je t i r ie h o m u i t ! , v o u s s a v t 'z i [ i i r l 'a u to i i t -

s c g l i s s e s o u s k s p a i-o lo s le s |> h is ii ts i; : , t i i i i a u l( 's , i | i t 'u i i m o t , ii i i . s o u r i r e , i tu t-c g a i 'd , I n t i l le d é c è l e .

— E l v o u s f.roy(*z ( ju o m a l i l lc v o u s a im e ?— E n c o r e u n e f o is , j e le c r o is , d i l M . d(! T o n n c i n s .

— C 'e s t é t o n n a n t ! r e p r i t M . d t; ia l lu i is s a y t! n \c « “, p lu s d ef r a n c h i s e r |t io d e p o l i t e s s e N (»n, a j o u t a - l - i l , ip i e v o u s n et n é r i l i c z d ’t’ l r e a i m é , «d ( lu o , p o u r m a [ l a r l , j e n e russ«! It-i-.s h < -u rc u x d ’a v o i r u n g e i i d i e |> a t-c ilà v o u s , m a is m a d e iu n i s e i l e A d r i c n n e e s t m a r i é e .

- - M a rié e ! s ' é c r i a M . d e ’r o m ie in s avec , tn t a c e c i i t d e d n t t i c u r .

— - t . ’e s l - à - d i r e . à p e u p r è s : e l l e a élt? m a r i é e , m o n s i e u r , u n m o i s o n q i t a r a n l e j o u r s a p r è s .sa n a is s a n c e .

M . d u T o n n c i n s n e c o m p i- e n a i t p a s .

J ', i i u n a m i , u n v o is i n , l u i d i t l a I l o u s s a y e , ({u l a u n ^ U e n u a i n D t i la i i r c n s . C e ( ils m ’a d e m a n d é la m a in d e

i:.i c i i e , d è s ( e p i - o m ic r m t> m e n lo i i il l 'a v u e ; L ç r m a i n a v a i l • ■’((! tin s . I l y a s e iz e a n s d e c e la .

— r.l (die r c in ie , Moiisieiti-? d it en tre iu M .iu t le je u n e o ru c ie r .

— .le l 'a i (U ii ju s(|u '. 'i a u jo u rd 'h u i , m a is d 'a p rè s ce (pie vous v c tic z d e tu e d t r c , j e n e s a is ip tc p en se r.

M. d(- 'i 'o u u e in s t-ottgissail (d p.'d issail im in cm e tem p s: il lu i s e m b la it eu (-l)'ct i|ti(‘ c e lle p«>i:.;<;«-:u-ilé de.; a m a n s , d o itl i l v e i i a i l d e s e \a i i l e r . il ne l 'a v a it p a s e u e . De ((uet m u t d 'A di-ie iiue p o u v a it-il Si‘ pi-évaluii-'! l'o iti-ipiui se v a i i ie r d ’im i-ceard «ut d 'tiii so u r in ^ ! La je u n e lille ava it so iiv i'u l le rii-i; s u r les l('-vi-(;si s e s rcp .ii ils « lo u \ ijUoi<)it'assui-('-s ava ie iil, il e.sl vi-ai, u n c iia cm e parlic iilie i- , m a is i-c c h a rm e fiisu inait lo tis ceu x ([Iti av a ii 'til le b o n h e u r d e la v o ir , i 'n m om en t au p a i-av an t M. d e T o im eiiis s 'é f a i l ci-u a iim l, m n in le n a n i à p e in e s 'i l e s |ié r a i l a v o ir éù? d istiiigm ? [lar la je it t ie l i lk .

— E l, d i t M. do la llo tis say t', pu isi]uc vous m e fa ih '.s r i iu im e tir d u in«‘ d e m a n d e r la U ia iii (L .Adriem ie, il fartdi-ain ic ri-o g e r m a fille ; p o u r m o i, vous le voyi-z, Je su isp rcsqm - etigagt?.

— E ngagé a v c r u n on l'au t d e «-iti«i a n s? i-épli iuq lo jem io h o m m e

— .Mais, M o n sieu r, il y a le jiè ro , m o n a m i D ulattt-ons, (ju i m 'a sei-ié ia m ain iî y a s c i/o ans; n o u s n o u s som m es (ioiim? pat-oie de m ai-ie r l ’u n à l'atili-o nos on l'a itls ... Le |ie ii- d a u l , si .Sdricm ie n 'a im e p as L e rm a in , rie n n 'i 's t l'iiit. .le ne \ ( ‘ttx p as i|ite m a lille a i t u n m a r i (pi’e lle n 'a im e p as .

— M adcn io iselle A d rien n c e s t sa iis d o u te d a n s se s ap p n r- len io n is?

A ce lle ip ic s lio n , M. d e la l lm is s a y o t i ra sa m o n li 'c d e s o n g o u sse t o l i-egnrda l 'h e u re .

— N on , d i t - i l , e l lc d o i( -é l t ‘c d a n s Ic ja i-d iii A s c p ro m c n e r av ec L e rm a in .

N ous av o n s d i l q u e les d e u x fam illes do la llo iissav c c l D iila iiro iis o c c u p a ie n t di;iix m a iso n s v o is ines , q u e les d e u x ja r d in s n 'i ita ie n t st'q iarés q u e p<ar u n m u r , o l q u e ce m u r é ta i t p e rcé d ’u n e p o r te 'ju i p e rm e lla i l do p a s s ( ; rd 'u u ja rd in d a n s l’attli-e

M. do la llo itssay c S(î lova p o sam m o n t, il s ’ap [iro ch a d ’u n e f c a ê lre , c l c carla i'it im i-idc.m d e m o u sse lin e :

— l'réM i-séuneul, d i l - i l , vo ilà A dricm to e t L e rm a iti q u i sep ’dnii-iie iil d a n s le j a r d in (h; D u la u rc n s Voyez, m oii-sicui-, a u b tiu l do l’allé e à d ro i te , s o u s ces poupliet-S tp ij f i id le to u r d u b a s s in . . . . I l fa u t e n v o y e r c h e rc h e r A d rio im c ... ■leaimo! Je a n n e ! L aclos! a lle z d ir e h n ia lillc ({Uc j e v eu x lui [la rle r.

M. d e T o m io in sn 'e u tq u 'A j e t e r u n c o n p .d ’te il s u r le j a r d in ]U)ur se rotivaiiic i-e d ’iiu fa it (p i'il 110 so u p ç o n n a it p a s e t .p o u r v o ir u n p e iso tm a g c ( |tic ju s q u e - là le h asa ix l a v a it é lo igné . S o u s ro iid ii-ag e iiio b ile uo.s p e u p lie rs , le je u n e L c r - m aiii pi-iim enait m a d tû n o ise lle d e ,h t I lo u s s a y e ,q u is c rn b la i t su s |ie iid u e t'i so n b ra s e t q u i , la lé lc a p p u y é e s u r l’é p a tilc d e re lu i «pii l 'a im a jl , p .a ra issa it é c o u le r d e d o u x p ro p o s d 'a m o u r , .M. do T o m te in s p e u t co n sid é i-e r A l’a is e In ta ille éh titréo d o ce r iv a l n o u v e a u p o u r lu i, e t s a f ig u re g ia c ic u se , ([ui to u o lia lt pre .sq tie a u x ch ev eu x h ru n s d'.A dricuno .

-— L’osI in n lilo , d i t l’a n x tn l d é .sap n o m lé , n 'a p p e le z p as vas dom o sliiiiic s ; il e s t in u tile d e ( le ra n g e r in ad en io ise lle vo lro filio,

Dans ce im am o u l les d e u x p ro m e n e u rs s ’a r r ê t è r e n t dcv .m l le b a s s in , o l ils s e lu it 'e n l A r e g a r d e r l 'e a ti ca lm e cl un ie .

— Le c r is ta l d e ce b a s s in re f lè te l e u r Im ag e , p e n sa a vec d é |i i l M. d e T om teins;. ils s c t ro u v e n t b e a u x e t ils s 'a in ic n i.

M. d e la llo n ssn y c e u t u n e id é e p lu s co iiH nuiie o l s a n s d o u te m o in s v ra it;.

— (R iag itn ;/, d il- i l ou r ia n t , ({Uc D 'u latirens n e u l ’id é e d e r iie ltre d e s p o issons ro u g e s d n n s c e b a s s in e lb |u u é c s d e u x e n ia n ts ne iie tivcn l se la s s e r de. les re g a rd e r .

— M o n sieu r, d i l l’an ia t t l lu a llu ju rc tix , j e vais a v o ir le re g re t d e vous q u i t te r .

— ('.(-m m ctil, vous m; d iu c z p as a v c c tio tis?— Im p 'i 's ib lc ' le d e v o ir n i 'n p p e lle à S a in l-O n cn tin ?

\

— Ail ! les cnr< 'dcnionls vo lou laii-cs!— O u i, n im is itm r.— M ais n o u s tiiii-oiis lo [ ih iis ir d e v o u s v o ir a u re lo u r?— O u i, m o iis ie n r ; j e m ’art-(Mci-ai (p ie lip ies jo u r s à Noyd^l

a v a n t d e m e retid t-e à P a r is .E t M. d e T o n u c in s i |t i i I la h; p è t-ed ’A d rie tm e le c tru ry ;

d o son |> irs , e t se d e ii ta u d a n l s iu i i b o n c o u p d'i?[iée ne {>oiir | i-ait p a s le d é b a r r a s s e r d e M. L e rm a in D u ta u re n s .

LIIAIM TIIE V.

(Ju a n d M. d e la llin fssay e fu t s e u l, il re g a i'd n poud .i)il| (]u c l( |u e lc m |)S s a lil le e l 'c e l u i i |u ’il co n s id é i 'a it co m iii 'l so n f u tu r g e n d re d e v is e r a t t lo itr d u b as s in e t so u s l ’o iid ira g fl d e s p e u p lie rs , p u is so n u n i s e to u rn a v e rs la p o rlo q u i vcnnill d e s e re f e rm e r s u r M. d e T o n u c in s , p u is e n lit i il s ’a s s it d a ib l so n f a u te u il . 1

^ L ’e s t fâ c h e u x , s e d i l - i l , c 'e s t (W's fâ c h e u x , ce jciiikI h o m m e e s t b ien n é , c ’e s t u n e n o b le fam ille <|uc la ra ïu il t / ld e s ( le 'ru n n e itiK l in d e T o n n c in s a ac c o m p a g n é l’Iii-llip p e -A u g u s tc e n D a le slin e . . . . d u a ïe u l A F o iite n o y .......pei-c d a n s le s n ïo u s q u e ta i t re s .. . (las le s o l. .. m a is le j c i n a l l io m m e i r a lo in , co la s c l i t d a n s s c s y eu x . D’u n a u l r c cêilAl D u la ti^en s, u n p c i i l c e im n c ré a n t d e p ro v in c e , m a is r ic lu '. l c l p i: ic d ’u n jo li g a rç o n , d o u x , h o n n ê te , b ie n é le v é , c t ( j n : | n su ic n d t-c A d rie n n c am oiit-eusc d e lu i . . . d 'a i l l c u i s j a i lp ro m is ; e l u n g en tilh o m iu c n 'a q u e s a p a ro le A lloiiislj e IIC changciM i r ie n A m e s n ro jc ls , e t A d rie n n c ép o u se ra I<l p e t i t L e rm a in , m a is c ’c s t fâch eu x , t r è s fâch cü x . ”

( t a su ite au 'lirovhain n u m é ro .) M a b ik Avcaiu

Page 3: Samedi 7 Stars Iftd?. a n n o n c e s À Ï J W I C I A I H ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1857_03_07_MRC.pdf · D èM trlielian d es ' lapin» e t n n tm n u s enisaiJsles

ÎQrt, a rciiilu «r

i iu lc l a l . i i .CiMtr, lî-ad.lolrt

is rnnslafilH |inrl<| mi-nl ; «|ia- iii loi.

art.’ 3 l^ du Coito p^-nàl, n 'nvail onli'iuVii pu n ir q ue l’an leu r de ravnrlem enl cnnsoiiimé ; eu co iis^ iic iiio , dvclm cr <jnM ii’y avait aiicuMC peiiio à iiin ig e ra iii accusés.

M . le p rocu reu r im périal l 'r s t opposé k l ’adm ission de cci conclusiens, qu i o n t é té écartées p a r a rré l de la C our qui a donné pou rn io lif notam m ent, que l’a r t . ^17 du Code pénal ne s’étan t point expliqué su r ta Içninlîve d ’avoricin 'cnt, c é tait l’a r t , a du

'tiiémc Code qu i devenait nppUcaltlc e t &ux term es duquel tou te 'icnialive, de crim e éta it considérée uomiuc le c rim e Ini-iuém e, et la C our,'fa isan t ensuite l’application du ta lui, a condam né L a r - {•illiére en six années do réelusluii, et la veuve P illc t eu cinq années du la même peine.

A u d ien ce d a m erci"edi 4 ino r^ .

À i l t i l M M a r i e D o y e n » v e u v e I s a n d e a i i *In cend ie volonfaii'C.

I<c 17 décem hre dern ie r, vers heures du so ir, un ineciidie éclata à Soininurcux, rue des ijius, dans h'S dépi-ndauccs d 'u n e maison apparteuanl aux héritiers Paloux- U ne éinhic d e 8 mètres de longueur fut totalem ent consum ée, un an tre luVimenl a tte in t par IcB'flainmi'S put ê tre en partie sa in e , m ais deux m outons auxquels il servait d ’aliri rnreiil L iûlés, ainsi q ue 100 Lottes de paille tft i5 o Leurrées. L 'huLiiation Paloux venait i r é l ic louée par un sieu r fieequerel en vue d ’un mari.agc q ue cet individu était sur le poihl de contracliT . DecqncrcI cu lreleim it depuis d eux ans tin commerce clandestin avec l’accn.séc e t celle-ci proroudé- nient lilcsséc de l’ahaiidon où la laissait so u .am an t, s’épuisait vu efforts pour le re ten ir, en suscitant des oliUncIcs à l’union p ro ­jetée. Le so ir m ême du s in is tre , elle clierelie à l’éLrarlIer cii lui disant que sî c’éta it un feu mis on poiirrà le m ettre encore, et qu’il st-ru forcé de q u itte r le pays. Q uelque tem ps avant, pour enipèriier lleequeri'l de louer cette m aison , elle avait voulu lu prendre à liail pour son propre com pte, quoiqu’elle n’eût ancnii Ih'SoIu de cette location, dont le prix dépassait lu m esure de ses iHoyeus.

Dès les prem iers m oinents, les allu res <!e l'accusée éveillèrent les soupçons de quelques voisins i t-ii la voyant d onner l'a larm e sur 1a place du village, ou s’étonnait q ii’eUe pût ind iquer avec Mitant de précision qu 'elle le faisait la maison où 1e feu vciiaii é l’iiislant de se d éclarer. T oiil en appelant des secours, elle scm - lilait peu pressée d ’en porter e lle -m êm e, répondant n la veuve lli-llard qui lui en fît la rem arque, que lo is du dern ie r incendie e lle s ’élail rendue m alade et qu’elle n’avait pas envie de reco in- mencer. Un sieu r Delaninrche sc souvint l'avo ir vue d ans la nintiiiéc Arrêtée devant le m ur de la maison incendiée le soir, Q uelques m inutes avant q n ’oii ne ciiAl nu feu , elle avait été irncon trce par 'l'Iiéodore D ecourl sc dirigeant vers la rue des L ins, et quoique liée d ’am itié avec lu i, clic avait suivi son ebem in sans répondre nu salu t qii’il lui adre.ssait.

Le Icndem.iin ces soupçons sc ehangèreiit en ce rtitu d e , e t des preiivr.s matérielles déclaraient la culpabilité de raccuscc.

O u découvrit su r nn m ur qu i s’njipuic à la m aison P a to u x , dans le elianine dont ce m ur est garn i à son som m et, des m a­tières inecndinircs placées là dans le Lut év ident d 'a ttise r lu feu qu’on p renait soin d 'a llum er en m êm e temps su r nn au tre point des Iditimciils. G’é ta irn t dans nn fond de p o t cassé des cendres et des braises rcronvcrles d 'u n pap ier qui scrvtlit d ’cliveloppc à pinsieufs allnm ellcs chim iques. U ne poigné-e d e paille de iilc avait é té disposée sur le tout de m anière à num bcr instantaném ent. I /! pap ier était roussi par le con lael des charbons ardents. P a r Lbuheur ceux -ci s 'étaicul é]t:inls sans que Ip feu eû t gagné les allum rttcs eontcnnes dans le paquet. L e panier paraissait p ro - Vbnir d ’un ealiicr d ’ccolier, il é tait ebArgc (réc ritu re en gros, et portait sur les deux faces lé nom du Ju lienne L audeau, ftllv de l'accusée.

Geltc dern ière a snutertu aVbc énerg ie que tii le pot ni son contenu nb lui aVail appartenu , lülle n iait de m êm e avoir jam ais eu des relations intim es avec le sieu r B erqucrel et soutenait que le jour de l’ineendie il oc s 'é la il trouvé ni feu i)i allum i ttes en Sa i>ossrssion; rouis l’instruclioD 'l’a convaincue dé hicnsongc sur tous les points.

L e'rond du pot trouvé su r le m u r ay an t é té représen té à J n - tienne Laudeau, ceitu enfan t l 'a .reconnu p our ê tre ccLti d ’ilii trasc dans lequel sa m ère m ettait liabitncllcinciit de l’oSeiile| et sur CCS indications on a recueilli par te rre (levant U m aison de l’accusiv d ’antres fragulenis du inénic vase à l 'a id e desquels il a été en en tier recomposé. Jn lic iinc a rccdiiilu d e iiicme la feuillu de papier comme arrachée à son cah ie r d ’écritu re , cahier q u e U justice n valncinent recherché dans la m aison, b ien que la jeune fille affirmât l 'y av(iir vii encore quelque tcnips au paravan t.

O n sait que la veuve decqucrcl nviiil dilnué léccium ent à l’am iséc des allum ettes rhiiniquc.« sem blables à eclb‘s trouvées dans le put cassé. Ju lienne fil cunnuttrc <pic ces allum ettes é ldient terrées dans le four, cl que dans la m atinée du 17 décem bre ü t;n restait vingt environ dans cet ond io it. U n e puiqiiisilion ics fil en effet doeunvrir, mais .'lu lieu de vingt il n ’y (m avait plus tptc quelques-unes. Ica an tres .'lyanl d û serv ir à allum er l 'in ccn - ilie coRimc le reste du cahier que l’on n’a pas retrouvé.

io ^ i t de l'acciisé'è était garn i de paille tonte sem blable à celte que recouvraient la braise et le (lupicr.

B nhn, la veuve U jcquerel déclara d 'u n e m anière positive que le 17 décem bre, la veuve l^andcaii, après avoir passé cLcz elle une partie de la journée, s’é tait re tirée vers sept heures et demie du soir, en em portan t sous son tab lier du lu braise albim éc dans un pot à couver. L’nccnsée lui avait d it en la qu ittan t qu 'elle allait se coucIk t. Dressvo d ’cxpli(|ucr com m ent e lle sc trouvait une dem i'heu re plus tard dans lu rue des Lins d 'o ù nn la voit sortir pour donnc'r l'a in rm c sur la pKace, l:i veuve Latidcan dé­clare qn'nprcs avoir mis nu Ht son .p lu s jeune en fan t, elle est «■'.«sortie pour ollcr chercher des secours qn ’m \e femme devait l.ni donner a l’insn de son m ari •, m ais elle refuse obstiném ent de dévoiler le nom de celle m ystérieuse bienfaitrice q ue les autorités locales ont vainem ent recherchée. Intcrpctléc d ’ailleurs .sur le. chcinin qn’cllc au ra it su iv i, l’nccnscc a débité ijnccrssiveinrnt pin.sicnrs versions con irn ilic to ircs, ne vonlnul p a s , d ll-c llc , indiquer la direction de la m aison où elle é ta it secrètem ent nssiNtéc.

l 'un r éviter d ’avoir n s’oxpliqni^r s u r la rencontre de T héodore Drconrl, en sortan t de cher, elle pour a ller eom iuctlrc le crim i:, elle s’attache en dern ie r lieu n souten ir qu 'e lle venait d 'c n lrc r ilans la rue des Lins du même cùlé p a r où elle es t sortie lo rsque L vue dus flammes l ’a nb'ligée, d it-e lle , à rebrousser chem in ;

jnnis clic roçiil nn «démenti do deux lém nins q u i , se Iroiivant dans celle rnu depiiia quelques inslanis, quand a éclaté l'in ccn - dio, n’auraient pu m anquer de In voir passer une pruinière fois s’il é ta it vrai q u ’elle y fut a rrivée de ce côté.

D 'après lo peu de temps écoulé en tre le m om ent où T liéoiloro n croisé l'accusée e t relui où l’incendie a é té signa lé , 011 nu peut d outer que la veuve L andcan, poussée par nn désir de vengeance, on senlcm cat p a r le désir de m ettre obstacle nu m ariage de Dcc- q n erc l, no se so it rsiidue direclem ent de cb iz elle à la q^mison P ulonx, em |)brlanl pour m ettre le feu, la biaise que su voisine venait de lin dodner.

!V1. P aringatill occnpr lo fnnienil du m inistère public. 'Déclarée coupable , Doyen (M arie), veuve Laudeau , 0 été

condnmnéo à 10 ans de rccbision.Ai* D ouré, avocat, a présenlé la défense.

A u d ien ce d u 5 3 tars .

P t'd s it)cn co (IcM .D A N J(> U ,v icc-p i'd si(lc it( t lu lr ib ii t ta i c iv il, é ti r»bsC nC C Ü cM . CoilN I8SET-l.,AMOiTK, CIlIlHîchÔ.

A f f a i r e F M I I i a . ( < f e n n - B a p t in l e ) e t* l< a c r o i s i ( J c a b s - d ro ts e p h ) .

F a u sse m onnaie .

Déjà condam né deux fois pour vol, le nomme: I''illin. dit Ja c ­ques, venait de subir depuis (pielqui s jours une peine de (piinr.e mois d 'cm prisoiintuncnl'prononcée contic lui par le Iribuiinl du Bcanvais, lorsqu’il fut a rrê té pour fabrica'iiiu et énii.«siun de fausse m onnaie, cl condaniné par lu cour d ’ussisct du l’O ise , le 20 décem bre 1848. à sept ans de réclusion. Dans les prem iers jours de culte a n n é e , il renconlrn n i'Iiûpital de ISuauvais lu nommé Lacroix, qu i, m algré sa jcnnusse, n déj.î'fail picuv<' des plus titànvais instinofs, et s\-st cnfiii du la ni.ii.sun |:aiurnellc pmir.s’âd o n n rrp lu s aisénicnl à scsg»û(s dcpaï ussci t deiléhain hc. Leur liaison devint lellciuent intim e, qu'il.s hab iliten t la iiiéaic cham bre cl firent bourse coiumnne : c 'est à cctlu époque que rcm onle l’achat dns divers usicnsiles qui ont ses Vt à la labrication du la fausse m onnaie; eii effet, on a saisi nu liuinicib: commiiii des deux acciucs nu fourneau, des monle.s eu pbltrc représen­tan t des pièces de 5 francs et de 2 fraiics, un eerctu nn fcr hlunc, deux cuillers à fnlidre les m étaux et nn résidu n ie métal fundn . Som m é d ’expliquer l’usage de ces objets, F ilbn n ’a pu donner qtiu des explications embarrassées e t q u i viennent dé­m en tir les résultats de l’instruction. Q uand on l’iiiteringc sur la pièce de 5 francs, présentée par son complice et par lui. aux sieurs Levasseur et Soinmercnx , îl nie form ellem ent qu 'elle .rit é té fabriquée p a r eux, m algré les cunclnslons de l’expert qui n constaté la sim ilitude du liiétal trouve chez les accusés avec celui qu i a servi à fab n q n rr In pièce fausse.

C’est à d ix heures du jo ir , le t z fév rie r, que Lacroix sc p ré ­sente chi-t le sient' Levasseur, épieier à Iteauvab , cl bn nffril.'cti paiem ent d ’une dépense de 5 centim es, une p.ièce de 5 francs, su r laquelle nn lui rend 4 francs <p centim es. L’épicier nu tarda pas k s’apercevoir que la pièce éta it fausse. I l connit im m édla- tcm rn l chez Lacroix qu 'il avait vu ren tre r cl le trouva en com­pagnie de F illiu q u i, sans faire d ’observation , s’empressa du rend re les 4 francs centim es rcclomés.

L cV ndcm àio , les accusés se rendent à Alarissel, chez l'épiciiT Som m crcux. Lacroix pose très-douccm cnt su r le cottiptoir une

.pièce do 5 francs, destinée à acquitter une dépense de 10 cen­tim es ; cette précaution éveilla les soupçons du s ieu r Soinmercnx q u i, p rellanl cette pièce, la laissa tom ber par te rre et reconnut q n ’vlle é tait fausse. Lacroix ne Ht a lors aucnnc difllcullc pour rendre los 4 francs qo centimes qaTii vendît de recevoir, cl F tllin paya la dépense.

l^ c ro ix a piétendti ten ir la pièce reconnue fausse d 'u n sieur O ourdaiii qu i SOiftient, au contraire , ne lui avoir payé qu’une somme de 4 francs io centim es, c l donne m êm e le détail des pièces remises. D ’ailleurs, 1rs deux accusés sdiil èux-m êm cs en contradiction s iir lu pins grand nom bre des faits relevés à leur charge par l'instructlon j c l tcn r culpabilité nu peu t ê tre douteuse un instant. A

P a ringan ltoècupe le ttiége d u m inistère public..liCS.sieurs F illiu (Ji'an-F rançois) cl l..acroix (Jcan-Joscpli),

déclarés coupables, dni é té condam nés, savoir : F il l iu , aux t r a ­vaux forcés à perpétuité et id o francs d 'am ende , et Lneroix, à 5 ans d.r réclusion cl t 08 francs d 'an tcnde.

M* de S sin t-T hom us, avocat, a présenté la défense des deux prévenus.

A la m ènle tiudicnce comp.’il’aissait le nommé Picrrc-Joscpb H ébert, de Aléru, sous l’inculpation d ’atti'iilat à la pudeur sur line jeune enfan t âgé-c de moins de q u a tre ans.

Cinq témoins o nt été entendus à l’ p u i de l'accusa lion.Al. F.« ■ ingault, ])rocureur im périal, n requis contre l’aeeusé

H é b e rt , qui u déjà passé quinze années au bagne pour crim e d'honiiciilu volontaire, une condaïunatiun .■■é\ ère.

Alais, su r la plaidoirie de AI‘ T horc l-L cb îond ; avocat, I c ju ry a rap |io rté un verdict négatif.

F u conséquence H ébert a été acquitté.

— L’affaire Danican (E rum nuuel-D ésiicc) n été rem ise par suite du rubscnci.* d ’un tém oin.

F A I T S D I V E R S .

— Ces j o u rü d e rn ie r s , v e rs n ililis .d o n u in b re iix [tassa iils s 'n r t 'è ln iu ii l d c v a n l lit g r i l le d e s T u i le r ie s , iiU irés p a r u r t s p e c la c le q tt i n e p a ra is s ii i t p a s orilitt:iii<e. C 'Otiiil la préseit* ta lio n p a rV e r t t i c k 'K l ia u d u q u a t r e c liev a tiv i |t ie le S lia li d e P e rs o a envoyés A rE iu p e rc t i r . Ces c liev a tix , a r r iv é s P a r is e n m êm e ie n tp s q u e ra itib a ssad c tii* , aV aien l é lé d 'a b o rd p la c é s d a n s le s é c u r ie s d e rE i i ip e r e u r p o u r s c r é la b l i r d e s l'a lig itcs d ’u n lo iig voyage p a r te r r e e l p a r l i ic r . Ce jo u r a y a u l é lé lixé p o u r la p re sc ii la lio ii d e c e s c h e v a u x F e r i ic k ' K h an s ’c s l r e n d u a u x T u i le r ie s , aceo inp 'ag tté d e sc s d e u x scc i'é ta irc .s c l d e r i i t l c r p r è lc d e r E iu p o rc t i r . S . Al. e s l des* c e n d ttc d a n s la c o u r d o s T u ile r ie s , oit le s ch e v a u x , c o u v e rls d e le u rs h o u sses pür.sattcs, é ta ic ti l ineité.s p a r d e s palofre* t i ie rs p e rsa n s . Le.s p c rso tiu e s q u i o u i é té il in ô tu c d e les v o ir d e p rè s e u a d iu iru ie it l la b e a u lé . C es c h e v a u x tu rc o iu a tis

s o n t ( ro n g tiif t a r a b e , e l ce q u i les r e n d s tir lo ii l re m a rq u a - b jes , e.’c s t q u 'i ls su iil >i'uii(> la ilie hea itcou i) p lu s g rn u d e q ue u e s l g é iié ra le iu e f tl ee lle de.s t;ltev iiuxarabe.s. C eth ; p a rlita t- h tr i lé pat-a il u tie rh o se assez r a r e . H ue a ttire p a rlie ii l i ir i lé r ijiiia rq u é c p a r les sp e e la te tirs , e ’e s l ( |tte ees ch ev au x ti’oitl n u r iijie I ra c e d e e r ii i tè re ; il p a r a î t q ii’i!^ u a is se u l av ec .tu ie ç rin iè t 'e si p e lile t ju ’im a l ’Ita b ilu d e tle la c o u p e r d è s le u r je u n e tige p o u r su } ip riu ie r ht q i ia u lllé d e c r in s q u i ii’e s l jdu.s' u n o rne iu e itl.

■— L a b io g ra p h iê d e I le itry M o n n te r (70’"' vo lu m e d e la co lleclio ii d e s C'fm/rnipftro/ii.v) e s l en ve iilc chez l’é d l le itr (iiislîtve H iiv ard , e l ch ez lo tis los lib ra ii 'c s <h} J’a r i s el d e la p ro v iis 'e . Soii.s p re s se les vtilutne.s coasac.rés à l ’u tile Dus- c h a ia p s . é J.nla .Vlnniès, ù D eaiivallc t, du ki C ojtiéd ie-F rart- ra is e u l à r a c lc t i r l ira s s o l.

A K M t K F B i Y T Æ S t .CO.STIi.

A n to in e u n jo u r se co n fe ss id t ] ) ' i u o i r vo lç ; iiiiiis le su in t [ lè rr ,V o iiliin t i-utim iltru à fo n d r iilT u ire ,D e (pi<‘.«ti()iis ré to n n l is s .i i l :O r çà c iin |i'7 .-iuo i l’iivcn tn i-e ,

Q iiU iid? o ù ? eom m eiil c o ru iu î lc s -v o n s ce vo l ? V ous il ip il j ’;ii c o n n u co ii cii iice si p u r e .Lu jo u r d 'u n te l tiiér.ü l ('•licz-vou.-i iv re ou fo l?

O . t ,K „ , Iié’o.«: e s t- c e à du«s..inQ u e vous 0V.7. fo ilco l.n -e in?!l«Y"«>d<'7. v in -, je vous (ii ic,L'nins (pioi j e vous cxeom m iiiiie '.

M o n l 'è rc loi.'^si'z-itioi le lem ps d e re sp ire r, iti'{ili<|iiiilt iiiMl coril'ii.< le m o llicn rc n x A iitu in e ; t .e péi lii' nu cn il p a s in p e in e d e c r ie r .

C a r il ii’c.si p a s p lu s gro.s q u e g in in d ’avo ineI- pcn; nilcr.

Il' cas. Clii'7. ma voisine - r j ’c o ttiii-sà j- .sd e bnip

.i'a bonne I.iic

Voi.-I T n s

Pour faire mi dni;;t de(A ntre péché .p i’uti iciicmilrn purloul Ht qiii'. ponr cr-, je ne vous menlimine . _ ni-m ém oire ici), Inrsqn'.in lien de la bonne,V’nyi z, mim.siciir, .si lu di:d>le i>l malin,

Q 'iin énoutii: pâlé fpii tomba .sons ma main Uieit m .dgié moi, mon père, <di! soyez, en ruiiaiti.

C>ne faire? m ed^«-je. Ali ! panliiu ',L'.smonr n’e.Kebil pas la faim,

Aiissilôl je me mis en train De déi'on))er celle pièce friande.

•ht j ’eos la conscience gr:imiu Ch 7. moi du n ’en em porter

( )n ’iine partie cl du luisscr Lu reste su r la table.

A>S"7.. cria II* pè ie , c l pour ccitc action Si vous v<Milcz avoir mon .'di.solutton,Car vous ê tes, mon fds, savcz-vnns, bien coiipnblc,

8 nr riie iire il vous fau t repentir.— Soit, j ’y conscii.s et, sans nicniir,

Le niorci-au me d’iin goût fort .agréable.

De n ’eu avoir, m onsieur, mangé que la moitié.CiiARl.RS UBGNAilD .

T S I K A T R 3 * : .

L u n d i n m a rs , u n e ro p ié sc n la lio ii d e i >e c o t r n n i E i i d ;: x.vo:m u u i'iUliiijnc d e hi luuUc-jmsie, d ra m e ou c in q ac lus c l s c p l la b le a t tx , d u Ih é à lfe d e la G a î lé , p a r MM. .Moreau, B ira tu liu e l Dulac.m tr. D u litiira pat- u z f 8 c a n s a x . 2 , v a u ­dev ille c ti iiit a c lc , d u I h é à l r c . tîu l 'a la is - llo y a l. p a r .M.M. D ttvcrl c l L auz tm tte ; M "' A dclc-D ésiréc rc jup ’lira le rô le d e 51'“' l-T-omagcol.

L e C ird il de l'O ise rc jto se .sur Ib p r in c ip e s i fé ro u d de l ’assuR taliou d es r a p iln u x .

L e C rà iil de l'O ise putt! a s s u re r ù ses a irlio tiun iivs u n e a u g u ie n la liiiu du re v e n u .. L c C r c d i l do /’Owc c? l rn iis l i lu é a u V a p i la l / l e J n .i 'l in ti ,

d iv isé eu ac liiu is d e !()0 fran cs .L es ac tio n s d o n u é u l d ro i t : 1“ à u u iu lè r é l do 5 / 2 ' au

p a r la g c e it lre I c sa c tiu tm a ire s d e s Iro is ( lu a r ls d e s béiiélice.s;Les in lé ré ls c l les divulou<les p eu v en t se lo u c h e r d an s

to u s le.s chefs-liou.x d e can to n d u d é p a r te m e n t, e l h .P a ris , c hez k ’.s n .inqu ier.s d e la S ne ié lé , .M.M. L a u re n t d e Ulois e l d ie , t u e de lu lb)ttr;5c, n 7.

L o C rv d :! ■■■: l Oise l’a il to iilu s sc s o p iira llo n s d 'a c lia l au cn m p ta id . t.'-• . .jiila l so c ia l e s l doitc. {o tijou r.sro ()réso itlépar d c s v a le u rs m o liiiiè iu s o u iitiiu o b iliè ro s d e p re m ie r o rd re .

liC C'i’i ’i l i l t l i f i ’O i s c Pk 7 0 U (Scii d é i i ù f u t1 ■ D i‘f)ê(s ai'cc. t r h à i l à volodh!.

L es so m m es a in s i déposéu.s p o r le n l inlériH û i 1,2 2 ' Dcpô/.ï rti-ec rcm bou iscm eiit à êftotiue f i n ' .

Ou re c e v ra é g a lc m e n l e u dépi'it, p o r la n l in lé ré l à 5 Im tlos som iiio s , e n d é lc rm in a n l d 'a v a u c e l 'é p n q u c d u rem - i io u rse m e iit. La d u ré e d u d ép ô t ne p o u r ra è lr c m o in d re d e s ix m o is n o iir p ro l i te r d e l’i t i lé rè l d e 5 7. , n i la som m e au- d e sso u s d e lOii l'r.

3 ' D èfi'ils de (mhuiiiiuict' avec t'iiinlnlisalion anmiollc des i i i l â r l s à 5

Lo C ird il de l'O ise cai> itaiiset a an iiu e llem cn t les in lé ré ls à a '/'■ d e s sotuiuivs d ép o sées |io u r u n em plo i d c lc rm iu é e l «levaiil a v o ir lieu p lu s ie u rs atinCes a p rè s le co m m en ccm cu l dus d ép ô ts . L e m iiiiu iu m d es so m m es reçu es p o u r les tlépô ts d e p rév o y an ce e s l d e a f r .

On pciil, à lo 'tlcs i)ioijiii's, o lifcn ir l'j in n lu u irse iu cn l des siiiiiiiies ro'.vcc.v; seideiiiiu il, dans Ir eus de m iifn iu r se m a i/ (iiiliciiie, les iu lê re ls ne soi l lèe.i 1 tdeiih's iju'à -4 1.'2 .

Le.s d é jiô l; , avec c a iil l id isa lio u d e s iu lifré ls , tlc u v c n l s ’ai» p h q i ie r : *

. 1 ' A .sc p ro c u re r la son im e n éo cssa îrc à rc x o n é ra f lu ii d it •service m ilita ire ;

2" A fo rm e r u n e dot ;3 ' A u re m b o u rse ii ic u l d e s e m p ru n ts hy p o th éca ires- 4 ' A la co tis liltilio u d ’vti capU nl.

i-Risox.s KT iniisoxMEiis, h is lo lr c l'p isod iq tic d e s m alsous d e dé lo iilio ti du lu v ille d e l 'a i i s d e p u is le u r fondalio ii ju s([it’ô nos jo iir.s , p a r A. «le I lrag eb m n e . C elle e tirie itse e t a lla e iia ii le p e in tu re de.s m œ u rs e l d ii rég im e des pv isous, c l d e s R vonttircs é m o u v a n te s , d ra m a ilip ie s o u racélie iises «les h ô te s q u i les o n t tra v e rs é e s , va p rira îlre d a n s le Jou rna l lo rw /fn r . aucnm pag in ie tle p lu s d e 100 m ag itillques g ra ­v u re s s u r bo is , d e MM. F . d e I le au iiio ril, H c r ta ll , Ja u e l- L a n g e , Kusliii-ln; J .o rsay , «:1c.

L e Voleur, fonthj d ep u is I rc n ic a n s , — l«i p lu s co m p lc l c j le p lu s in lé ru s sa n l d o s j o u rn a u x , c a r il sc^co inposc d e lu H eu r d u s im b liea lio n s tle lo iil g c iu 'c , — v ieu l d e r é d u ir e son p r ix d e 4 0 franc.s ô 0 fran«:s p a r a n , sa n s r ie n c lian g c r A son fo rm a i t:l un a jo ttla n l ô son icx lu l 'a U ra il d 'u n e sp le tid id c ill t ts lra lio n . T o u s les vendrodi.s u n e liv ra iso n «le IC p a g e s , g ra n il iri-4' à 3 co lom ius, « -u n le itan l, ou e a ra c lè r t s p a rfa i- (em en l lis ib le s , 170 ,OUÜ le l l r c s e l à ou 5 g ra n d e s v ig n c llcs , p lu s u n r é b u s . I.a sô r ie illi is lré c a co inm ciicé e u no v em b re I 80H. O u e s l l ib re d e s ’a b o n n e r à d a te r de ce lle époque.

O n s 'a b o n n e à l ’a r i s , rtiu iSeuvc-de-s-l’u lils-C lia in p s, 35 ; tm a n , ü r ra n u s ; s ix m o is , 3 f ra n c s .’iO c cn lim és ; u n itiim éro , 10 «•entime.s. — D ans le.s d é p a r le m u n ls , chez lo.s l ib r a ir e s , :i la |;o s le e t p a r u n bon à v ue s u r l ’itris : liit a t i , 8 franc„s ; s ix iu«» is ,4 franc.s 50 c c n lim é s ; u n n iim éro a fi 'rau ch i, 15 «■etifimçs. — E lr a u g e r , su iv a n t lus ta r ifs im staux .

S î f f l l D E P B Ê I O SiüUI&Kia ü îi STffiEilîîlJMlL S Î 5 î E î . l t l S Î 0 ; , 7

I -ix é p u r arrê lc de M . le V r ê fd do l 'A isn e en d a te (?« I o F é v iic r iS iiJ .

i 'i îu déc is ion «K; M. lu M inisln : d e fliit '.;i 'icu r a n io r is c la Lol«‘riu d e H ié m o n lré à é le v e r ô f ran cs la v a leu rd e .sus bits.

i.i: er.o r. i.ivr k s t n::v . ,v - jO .O O O i'» .\k c 8 .

îL'iî i u i î t i c Ko iZ i i i z t ,0„ (rm ive d e , C W els do eelle îo ic r ie , chez M . U FC M IJH , ij ’i iiH eurdilirnirc, ru e do H couenis, 5 , à Sanlis.

LES C O B îE iP0EÂ m S-JÔ O R M L, U ùucT i:; Il C iii.r ; DE M lilE E Ü l'IiT .

UuruuuT. O

liu u p itb iiu a lio u q u i , d é p u is tro is a n s . n ’a p a s vti su r fd e n l i r son im m u n se .e l lég ilim e suuui'm , v ien t aujiM ii'd 'iiiii p iad u r son l i t r e a u j 'in r n a l q u e n o u s aiinonçons.

M. Kt'oiirtE i>i; .'iIiiineoi'KT s e ra le ré d a c le u ’r e n t ; lie rd e ce irn a l.T ôt o u l a r d , lu sp ir iliie ! a u to u r d e Inn l tfo v o lu m e s —

lim o .s s a t is r c s lr id io a p a r les tn js .im p ilo v a b lo m en t d é n ig ré s p a r les a u l ro s , — d e v a it p ie u d r e ra n g d a n s la p re sse m th la n le .

L’h e u re e s l v e n u e ’ p o u r lu i d e se d é re u d rc , o u a lla ii l c l te rc h e r s u r ie iir le r r a i t t m ém o les en n em is d isc o u rto is q u i le p o u rsu iv cn l du le u rs a ltaq u i;s .

L E S (’.O M 'E M I’O IIA IX S, — ce t i t r e engage.. IL am to iice tiécc ssitirem eu l tm c ruuill».U)ut.e d ’acU tnllté p a ip i ta n l , r e s p ir a n t on q u e lq u e s o r te a v c c lc s iè td e , e l à la ip iu iie ii stif iira «le l a lc r lu p o u ls , s i l ’on vôttl a p p re n d re co u iiuu iil se p o r te lu m o n d e lilté i-a ire e l c o m m cn l Se po rio le m o n d e «pii ne l’i s l pas .

ï o n b î s lus riciicsse.s bi«|gr.apiti(jue.s rc.s|«'‘e s in la c le s d a u s le pi>rl«-reuille «le M. EnuiNG dk JlniKcotmr c l q u e le c a d re r e s t r e in t «le sus v o lu n ies n e lu i p e rm e t [las d ’e n ip ln v e r , Iro u v e rtin l ici le u r p lace , eu d ttu n a n l le i:o m plé inen l de*sou œ u v re .

C riln iu o s orig inale .s, im uvciles d e bo n n e so u rce , é«.*hns c l Itr t i i ls d e la v i l l e , anui.-dob-s v iv a n te s ; p o r tr a i ts ta u lô l s é r ie u x , la n lô l g ro te s ijr .e s , m a is to u jo u rs r« ;t;sem blan ls ; ciiisinu m y s lé r iu u ru d e s jo u rn a u x , d e s i-uviius, d e s théà lrcÉ . d e s aca«léini«.s; liis lo ir t ' com pli-le d e r é |i , iq u c , é«:ritc j o u r p a r j o u r avec v é r ité , d isc u riic n ie n l, «ninscience, — voib'i ce q u 'iin n o n co lu jo u rn a l no u v eau .

Q u an d ô la iio lém itine — piu.'^ se s ad v e rsa ire s scron» v io len ls e l g ro s s i i ; r s , — p lu s M. Lrta'.NG m; MitiEcornT s ’a ilu r ii i ira d a n s la rO jo lu lion d 'é t i c ca lm e, co nvenab le uf d e bot! goi'it.

F!!l\ ilK L'.liif)\\F.lif.\T Piji 11 | " . i | | S Ü US USidilTLlIEMS ,T i> u if 4 ( j i u i K . . » . f r .K irv c i u i n . . . , . (} fg>.S 'i l f o H-.

LTIlA N tiK U — h: p o rt un .--uis, sehm les pa;. -,l ’ii X tn u .-jo ; ceoU m us.

L e jo iin io l I.KS (’O.X l'K M l'O îl \l.N S«f’Ci( eiiooiii; <ie:i!iiilciiiciii. '.'ütniiio >ï lo u le jicesoiiiie o n t eu fc i a l i doiuaie.id lie.}

tlfroncliie.le! l i e

«>|» a KUu -Ih. r tio ('«xi-SIi-ron, 3 .

rlx de rabom iem enl,cnv,tyur«f»icr<i/(.’«r,vur IW i- ô .\l. le liiru i 'lc u r iln jo u rn id

Ib m rle — «m u n M.vxii.vT st:t; l.\ r Z.E3 c o N T z n ïF o i iA i i e s , ru e L u i |- f lé ro n . Ti.

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Ano<)iic(\s .S iu iiciaircs.• A i!T . i ' ’ .

E lu d e d e M ' Jui.t;s T IlE M llV , a v o u é ô S en tis , r u e d u C liù tel, iv 21 .

p i i n c s K B iÈ U A ii i : .l ’a r cx p lu il d u m iu is iè t iî d e C o lla s -N é ry ,

)tu is.sjera S c n l i s , e n d a te d u s c p l m a rs I8 .')7 , eu re g is iré ;

i l a é t é , il la ro q tté lc d e M . E d o u a rd l î ib e r t , p r o p r ié ta i r e , d c m e u ra n l It P a r is , r u e (le T ré v jsc , n" Ix i, c e r iilié e t u o lil ié li M. le P ro c u re u r im p é ria l p ré s le t r ib u n a l c iv il d e Scnlis,

Q ue su iv a n t a c lc drc .ssé a u grolTe d u d i t h ib i in a l , le v in g l- s ix fé v r ie r d e r n i e r , c u - fc g is tre , AI" J u le s T i ik m u y , a v o u é à S c n lis Cl (le M . G lh e r l . r c ( |u é r a n l , a d é p o sé a u d i t (trclTc, la c o p ie c o l la lio tin é e , e n re g is t r é e e t do lui s ig n é e , d ’un p ro c è s -v e rb a l d re s s é p a r M* llo lssc l c l sctn co llè g u e , n o ta ire s ii P a r i s , le v in g t j a n v i e r '4 8 5 7 , a u s s i e n r e g is t r é , .aux te rm es d u q u e l « —• K la d a in c M aric -N é lio I .a - L lanclicrio . v e u v e d e M. P ic rrc -M a i 'T t-Jo sc p h do n o u n c f o u x , c a p ita in e d o v a is se a u e n re tra ite , lad ite d a m e p ro p r ié ta ir e , d e m e u ra n t k P a r is , r u e N c t iv c -d u -L u x c m b o u rg ,-11® 4 0 , 6t m ad am e M a iie -E s llic r-C o ra ly L a b la u c h c r ic ,

p r o p r ié ta i r e , «épouse d iitn c u l a u lo r is é c h ce t cfTel, d e M. P ic rrc -N ic o la s P o p u lu s , an c ien n o ta i r e , a v e c lo tpiel e lle d e m e u re d e d ro it à la N u u v e llo -O r lé a tis y 'm a is , lad ite d a in e ré s i­d a n t d e fa it h P a r is r u e d ’A n g o u lè iu e -S a iu t- i lo n o ré , n® 4 8 , — o n t v en d u p a r a d ju d ic a tio n , — Il M. G ib c r l , s u s n o m m é , so ix a n te - tre iz e p ièces d e te r r e la b o u ra b le , s is e s s u r le s c o m ­m u n e s d e H aro n c l d e F o n ta in e - lc s -( '.o rp .s - N u d s , c o n te n a n l e n se m b le «p ia ran tc h e c ta re s c in q u a n te -d e u x a rc s « p ia tre -v in g t-n c u f c e n ­t ia r e s d ’a p rè s u n a rp e n ta g e c l q u a ra n te h ec ­ta r e s t r e n te -q u a tr e a r e s v in g t-s ix c e n tia re s ii’ap n 'is le s l i t r e s , — e t c e , m o y e n n a n t le p rix princii>al d e .«oia:<in/«)-quin3i; m ille cen t fra n cs , o i i lre le s c h a r g e s , c la u se s c l co n d itio n s s tip u lé e s a u d it p ro c è s -v e ib a l.

E l q u e le dép«5l d o n t s 'a g i t , a ^ t e a in s i c i ï c c lu é , p o u r p a rv e n ir U pu rger" les im '- m e u h lc s .v e n d u s d e s h y p o th è q u e s lég a le s p o u ­v a n t le s g re v e r ,

A v ec d é c la ra tio n à M. le P ro c u re u r im p é ­r i a l : I™*»», Q u e les p ré c é d e n ts p ro p r ié ta ire s d e s d i ts im m e u b le s s o n t , iu d é n c n u a m m c u t des v c n d c rc s sc s su sn o m m é e s : \ 4® d a m e M arlc - A d éla ïile D csPcIm os, v e u v e d e M. Jo s e p h l ,a - h la i i th c r ic ; 2* d am e L o u ise -S o p h ie D esPohues, é p o u se do M. Plcrro-C .lau«lo Ih if r e s u e ; 5 “ M.

I jO u is-S la rce l I)osfebuo.s ; i* 5Î Glimîu.^- G u s ta v c H a rd o u in com te d e M otit;’ ti,>oii ; î>' d a m e A iin c -A u g u .s lin e -E s tlro r d e M a/.iiauom i. é p o u s e d e M, Ih in lo u in co m te do ô ien lg iiy o n ; t»® A u to iiie -H a rih é le m y D«\sfobues il’ArintM'y ; 7 “ d a m e M a r io - t.o u ise F ro irc y , vm ive «lo M. M a rc c l-F ra n ç o is D«\sfelm os; 8 “ la N.aiiou ;

2 '“'*", E l «pic to u s ceux d u c lio f d.s«piul.s il p o u r ra i t ê t r e re tp iis «li's iiisc rip iio n .s «l'hy- po lliè i|ue .s lég a le s u 'é la ii l p a s e im u u s «lu .M. G i b e r t , r c q u é r a u l , eoliii - c i fe ra it fa ire la p ré s e n te in so riio n c o u fo rm é u ie u l à la lo i .

P o m in se r iio u ;, S ig n é : .lu lo s T u k m iiv .

A r t . 9 .E tù d e d e M* ( 'ii.v u i.c s D E U H II'^ av .m e à

U e a u v a is . r u e S a im - P a ttla lé o n . 14,

C o i i l r c f d f o t t d p U p t i d o i r » p l r c t t f s M h 'v .

D ’u n ju g c m c n l re n d u c o u lra d ic lo iiv m e n i le s e p t j a n v ie r 48 .'i7 , p a r la p re m iè re e lia m b rc d u t r ib u n a l c iv il d e H i'.iuva is, e n t r e M. Jo a it- D a p tis lc R o r iv c n l , d é v id e u r do so ie , « lem eu- r a n t h lla llo y (Oi.so). e l M. C o n s la u l P ré v o s t, p ro p r ié ta ir e c l d év id o iir «le üo ie , (icm eiir.uK ù Ih’io t (O ise), e u ro g is l ré ;

A é ié e x tr a i t ce (|iii su it .«« Aprè.s en a v o ir d i l ib é ré cu in o rm ém ciii à

la loi ;H A iiond ii d a te du p run iiu r févnu i

1 8 i 4 l’o riv en i a c lé l»i‘«.’vuté p o u r «pii n/.c .liu iéos p o u r .«Il iléviiloii- à e o m lu c te in eii c ü la ire ;

» A lli iidii q u e l«‘s nu 'lior.s îi liév id iy l,i «-.oie sa is is a i. « lem icilu «le P ré v o s t (lnlunu^i:ll:li«ll:l^l l'a rfa ito av ec celu i b re v e té c l d é |io sé s o u s ios yeux d u t r ib u n a l ;

u A '.li-ndu d è s- lo rs q u 'il y a cm itre f.içou du la p a r t d e P iév o s l ;

'» A îien d ii q u e e .îllc e o n lro laço n a ca u sé un |ti‘éjm lioiî à lio r iv o u l, ol q u e lu Irilum a! a lo.s

I c ié m e n ls riércssaiiv .s p o u r lixor ieciiÜiVo dos d o w m ag c .s -iiilé rc ls à lé p n re r ce p ré ju d ic e ;

;> Lo tr ib u n a l jn g o a n l on d e rn ie r re s s o r t e l c o m m e e n m a tiè re so m m a ife , eu iid am u e P r é ­vost il p a y e r à D oriveiil uno som m e «te deu x c e n ts f ra n c s h l i t r e d e d o im n a g o s - iu lé rè ls . d it «pie les d e u x m é tie rs saisi.s s e ro n t re m is îi Dori- \ c n i , o rd o n n e r iu s e n io u p a r o v tra ii d u p ré s e n t j u g ^ i o u t ,

» 1® D ans le ./o u j'H u /« /c /’fh sc , 2" d a n s l’un d e s jo u rn a u x «io S c n l is ;c o n d a m n e P ré v o s t en to u s les «h 'peiis,

Lvil!!' «.‘XllMil ■S ig n é : C " . D L P n n ; .

I.'l:idc «b; .M .MA'.', iii 'l . iiic à l’oiil-S.uul,.'. M .ixoiac,

S 'O H S S

D E , ü E É O l â î i - F E l i E i f

'fC tx s-ÏJ îp J t e l suti'r-.v ite iiiM K io;i«3U c ',

A VENDUE PAU ADJD'JIC.VnON,les U eur,

P a r su lio d u «léc«‘.'« «lu M. P o n .x o i s , m aréch a l à r iu m ii ic s ,

l'o i le liH'ru'v/»v'«' de 51' m; M.W, HO/;i/rurt Vont- Siiiitle'.M’i.eeiiee.

Lu D im anche L'i M ais ! 8 ') 7 , à m id i.

l e i .)Iuison ait est cx jd in lô ce fn n Is sera /■•)«,v en m êm e lcin}n s i les a m a teu rs le désiren t.

il y l> tm.l.T fÙM’I." II.'.II- .'..'qiHTlr,l 'a c il i lé s |io : i r lu pa iem un l.

S 'u d r c .w r p o u r les r e n se û jn m 'iils :

i" S u r Us l ie u x , à ^J'id-vnc veuve R oui.?i;)tv;

F i iui iii 5i’ !>r niHiUrc '

I

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i( in 1)1)1 l 'iüo-

ili> M M ll'.M V . il Soiili:.,iiii‘ N i'i i \ t‘-tlo l*;u'is. 11' 1.1.

v i î i M r i :s i i i s M s i i ; i M .v o i i i i . i i i i i i : .

r J y E V X . M A I S O N Se t lléiieu*!»*»***’***

Sisu's h Mo M'.vi'a iiik . i'H Ia n i o ‘.' l 'iii-lli» "* '•

13 P IÈ C E S D E T E R R E E T B O IS.Sise.s an nun iie ic r r i lu i ie i l o M dm aiairt* ;

/•'h I .O T S i]ui p o im o ii l t'iiy. riUDtis}‘i i f tlc tlfU h 'ii ( o u en tiH ii lité ;

i 'i i i l ' a i i i l i i ' i u ' i ' ( l i s c r i i ' i s d u t i ' i l i i i i i a l l ' i . v i l lU* j n - o m 'u ' - i f i l i s l a m ' 1“ d e i i ! i s , s i s o t ' i i I n i n ‘ i l o s s a l l t ' s d i t l ' . i l ; ) i s - i l . ‘ - . l i i s l i i ' i ; do l a d i l o \ i l l o \ d j i i . l K ' a l i ; i i i , a i i i ' . i üou io M o i'd i id .r . l / . - i r s

A y.

fS 'i7 . iu'iH'i' d e m idi.

)• (ii\nV tli

.‘ IV , <in

Im iiii'd 7 ü liin iii'iiles lie

eiiM iiiii.ri)ii;^e o rd in a iiv

[.m icdo el cnillè i'o à iM j^onl, i c o u v e i ls , d e iilllè ro s il c.d'é, t im b a le , n io jiliv .

'r a l ia i iè ie o l 5 {luiees de liiiie iles . auneaiiN e ii 'o i '.

l'il ti h t c io n ’iji: i l f | l i v i'ii l i i iu 's fu ir l'i'ii iii: .

A P P A E T E M E N T SS ' e i i i r l t e i i i e i t t « lé c M iré n ,

S is II S e u ils , ru e de V illeve i'l,

A k o î : ! : u.ViidecsSiT d .V.

 c i ' n i ü i

• } u m

i- i:i

/•.’/ (lit (/..■ Cithi.r< ir.< .

' dif h l

i l'ciisei’ith iih iila :

II.' iionr.-nâ 'on t ta

\<>ier (i t 'r é e ij-y .ir -

oin i! r;\'il de S e n td

[ lil- Ai ^. ;.v im c .>

V \ ’r i '

G 0 1 i E â S . £A •’.rin e iiiiin ille,

,sM7- tl M'-iiiai'iie i' d e la M adele ine . S i:\ n . \ r , </»<' i 'i'.rp 'o i! '\

.1 <Vi'd, en la in a ii ir,Y'tn Mil n i i {ilii-iii 'iirN •

l.e jiim .tm lie il A vril IS ilT , à u iio h e u re . l 't i r i f i i ir iiilè tn le iM'' d iu in iiai, nuhnrc à Senti.i.

d n m d e s l'aeilités |im ir |> .ijer.O n |) .> iina i r .i i le i ;i i ’itiiiiiihii; u \. i i i t r . id in d i i a l i o n .

,S".i(//i'j.ver(i M- t',ii.\iiTii:u, iii»/.(iVe li Soitlis .

P ’ I î i ^ S C € B E ; l à l l i ' L l S O M i l E K O l K i n U K S ,

de la s i '.e ia sd m i h é iié ü e ia ite il. M. ,i.e--eidi-.!!ilc'> i'i.Mi’î . i r .n .

/ I , m m i . ' / . T i ' >d M" ( i l ! \ m ; i . . ;i';v à l'h iiinbl;j, coiit>ni.< ;i n i

l . ' \ 1)11 H eaii'in anr.i lien le Ditnaa.-ii.' ijniitZ' /V »?. h e i i i e d e nd<ii.

,S’(î(h'iWi

.1 M “

r nroiV d e ' i

l ril'.M V , (Ic\»hJ

«■è/iienirids ;

u rM i’VO.nl l't.

d ' <( M" O llA N d r .. no/niVe d C iiam hfii, i!i i>0M htirc tlu (les c h iin jc f.

;% ! ) s ïo n c ‘e s B l i ) e r s e s .A E J T O Î S A I . ' C C X Ï

l'.‘i i l j ' i r le u iiitis lirc de- . î" M ii.i.r ,lioialee d ta F erle - A.'./r.n ,

I .O ".’ i l M . i i s l y i ' T , i i m i d i .

L 'Ü S H E D E S 'É C A r a iK

ilnde lie M ' lM 'd . .U '.o rU . n u l lire ;i N enilly - e ;i-T lie l!e .

C i r . i T E A Ü• ; s s a s ' J E - s i i ' . i T a ,

i in o V . i i ! r ( [ i ; ! \ I l i lK ia S n E lr \

t ’ 'I I.Ju,>h!r.

eu.

Ü .N iM l

d e '-! s ln lion de 'leiiltillhnl- lift lie fer d u .\in 'd 'i,

A V ü - N i M l I â A l , A M ! A I) I . K .

1.1 e iiii\e iia rn ‘i‘ lie r .ie e jn é r i 'lir, <m |n ii ir - r a i l . ' iiiiid iv ' d 'a ii ire s iiiim eiiM es d e i n i r m i (i.U .üi Ir. lie r e v e n u . i]ui r a p l 'e i ie r a ie n l p lu s de U n i;' |ii 'lll l 'e ill.

r .ltid e lie M ItlV l I l l l i : , im la ire i\ C re iU O ise i.

U ï le i 'fn ro H '9‘î .%rcH A l ÎV n tii ire H

B E Î E K UBOBK ABLE'a Üiîiî 3Ô 33

r.ii 10 Ihèces s itu é e s su r les te r ro ir s d e M ou- ta i:iire . S a in l-V a a s i- le s -M e llo , S a i i i t -L e i i - d ‘K ssereisl e l T iiiv c rn y , c a n to n d e (ircÜ .

A V K . N n i l Kr 'o r « u l o a t a i r c ,

['.Il la maiM 'ii eo n im m ie d e M oiil:ila ire ,/'<;< l’e 'V d e i ' ! ' ' i l i v i i i i r . <i C » e i;,

I.i' iriina iie lie ' ü M ars IS ilT , ; i ‘2 h e u re s ,A ' : h e."-fe l 'i’.ü ' lliv iia ii;, »i»tn//e.

['.liidi de M Ill i iiN , tn tla lre à rrée y -su r-O ise .

S ise h M oiita la ire , en la ru e d u l 'e n l d e l a \ illc ,

A V K N D U KB V r i i i lJ ix lU 'd lI o n to l» n li< ir« * ./'.’n la m a irie de- M o itln la ire ,

I .e l i im a m lie i i l M ars IS ilT , h ^ h e u r e s , l ‘-ir le 'u/'/iK/é/'e de M ^ ti’l'lN, n-iluire ii l '/i 'e i/.

A 'uder.i.ir/' fiinld M‘ lirn m , uu lu iie .

B l t e BE CABDE.T iij.ix A N C U L , h ra s s c u r h C o m |H è g n c ,

l>réviciii les c o n su m iiia lc u rs q u e , d ’ic i u u 51 m a rs |i ro c h a in , il p e iil IW rcr d o s I l iè rc s d e c o n se rv e s , r e n d u e s îi d o m ic ile , a u x p f ix c i - d e sso u s :ll iè n ' tiu a liU cou ra n te i 8 f i \ les ccn l l itre s .

— do uh le . 4'* q u a lité S I f r . — —— q u a lité su p érieu re 3 0 f r , — —

l ai adre.-^sanl d irc c lc in e n t s e s o rd re s o n s e r a se rv i d a n s u n b re f d é la i.

Mn v en te d u ' i U IK IM C U , im p r im e u r- lib ra ire , i . r e n ie z '101 s i.t-:s i.u iu .m u e s nE F ii.vN cK ,

M O U V S I .I .S

I lIllL lO ÎÜ È O rii ILIL 'STRÉE DES F A M lllE S«AS jo lt . Cl hi>iisOiivri);cs, nrnû» ilc « r o la m il le g r o v u r v ï

I l it Iîls il !:i Ilr.iilcl. III- co iitciit tc|>nrùmcii( <|uc

J l i" '/ i l -I i'i ’i/l ie r /es num éros, siins copier te s tilre s .

l i lu d . 'd rM ' l'!-i ,''..\Y ,r.*.l,die.'i l*oul-Sle-M :ixeiiei

y i \ T ,m l d e

Sise d M M i l i l l l . - S l n - ( H UC{.Kn iiilo n de H elz [OiseK

C elle u s in e e s t lo u ée Ju s q u ’au h ' iii.n t s i e i , m o s e n n a n i , o iilre ra e n iii i d e s im péiis, iiii loyer d e ri-iiicâ.

/•'(ic'i7;'f('< p e u r le IfllNO ù ftri% StlD.CMXD I'i-uiicm .

l ue seu le e iie liè re a ilju ” er.i.

M M S Q m••e il S o iilis , ru e d e s l ’i^^oons

A L O I l u Ul*our eiiirer en jo iiis iiin ec de >

' i T i î i s ' iIVun seu l t e n a n t , a lié rn ié 2 .70 i> IV. c l :-i!nc

d.iii.s le c a illo u île .N en illy -e ii-T u e lie , S \ id e e ." e e j iu o r re tis e i 'j i ie m c itl 'i , a M IIi.î.m " i ii,

.'^is il S i'iilis ,\ v « :^ 8 » s 6 i ;

l ' i i r .'iil]> iill« -t(’i>ii n iii l iO .it- .l u l'e lu le el pne le w iu .a .ic de M C ll.V U 'r 'if .tl,

iX uhiirr II S e iili . i é lU 'i ' *.l a ' D in iaiic lie M ars 1N.‘)7 , ;i m id i.

O S L l i O N Â D I E R - C M 'E Î I E Si '',\p lo ité il l’o n l-S a in le -M a x e n c e . ru e M euve

(lu {^laiule ro u le d e F la n d r e ,

A V E B Î D i l ï : F A a . A D J I J D Î C . A T I O n ,r.n i ’c m d c i l p a r le iiiini.xl W d e .M* u t ; iM.'V, imluire.

'( Mn\iiiii'ii.

I njiliii- iii'riilc- .Ic i'

' .lu n luIc.l!. .Ati.\iii|i, i cli'IiiUii.7. r.ililt's cliiii-iici.S. I.ccliirca : l'nv.i,-. n. — ViTi.

1<l. I-iTliIrciln lliiiiaiiclic. 1 1. M-'l'.-ilc i-lii'clicriiii;' l ' i . Iloiuii.ci utiles.1 1. V il- tic Jl“.iis. i i , — .les S:<iiiti. t a . — .II', S.iiiitcs. tl>. 1.C A'.lii i-.|jimiiiiii-,17. lii .u .ir IS . _

Ces Oiii iiiiiessim t ornê iilc (fravures etrcVu

‘J l . Iliito irv ik - N.-iiioti-i ■JJ. T :)likuc» im iviTïflIe» ‘Jü. llis l.iH il» ''’''!l 'lio iu inc 'J l — Uc 'Mu n iiiim l.'J.'i. — Ucjjiii: vcKt-wl.*Jli. — Ui'jjnc niiiu-ral'J7. .Vsti'imoniiu.'JS. Iiivciilinns ixiti-i.'J'.l. Krri-ur* i-l pii-jugc- 3 0 .1.ivrc ilu scK'iice.51. Arilliiniiti'iui:..■‘J . r ro k l im t* .33. T enue ili 'i livre».5 t . Du-isiii liiiénirc .35. (>é<>mùlrie\3li. A lgèliic. 1 Avec 37. A riicnlnfiel 3H. PliTsii|uv. l 30. m iiin ie . \ vigiivties 40. H vgiènc. J

Inttrndet.

C.\IIIIUIII^K r . l l i \V ; \ iVF ssen ce |>«ntr d é lu e lie r les é ln ll’e.s <lo so ie , de la in e e l le v o lo iirs , e t p o u r n e l to y e r le s tia iils .

l e LM SSM T A V C U l ODËUIls u r le s t is su s . P r ix . . . 1 f r . ^25 c . lu llncon . Phannacit: d» /> w nn 'c , 151 , r . S l- I Io n o ré , P a r is . Ü épét clio'z. to u s le s p h a r in a u ie n s u t p a r r iiin u iirs .

■ l^ co u iC rte ln*!om pnr«il»l« p a r m» V ertu .K A U T O N K ^ U E

P Â R A G H D T E D E S C H E V E U XU « C III.% l< !fll.'V , C’h l i i i lM tê .

O rl lr c<im|M>si(ii>n i'»( in ruillililc |io ii ra rrù le r |im n i|i . iL'inciil Iil ciiiili) ili- i cliuvi-iii I i-lk- c il cin |u ‘clic In tlécn- lo iiitiiiii, n e llo ie p iiij'n ilcn irn l lu e iiirc h e o e ln , s ié im it les ni(/fii’rf» i{»-.ii»icii»«-i et p r ll ir iilr s h lnnch illrc i ; ses proprié tés réf;éiiériitiires J iieo n seiil la reproiluetiuii lie noiieeiiiix i7il’>‘i'i>t, 1rs f.lll r|m i.ssir i-t U-s ri-iiil sou ­illes t-1 M 'illa iils , l't i'ni|ii-i-lic le liliinclaim viit; c sn s» . i>rit ilu Kliicou, 3 fr.

l'i iliriifiic à Ito iic ii, r i i r ilu l 'l l i i |i i ln l , 4o. — Pêp-U il.-iit.s louii-s les vilti-s lie Fr.incc ; — ii i lc au v a lt, clie- M. l- iii ifi/e l, r»o Ssiiit-S n iivenr : — l t à S en lis .c lii- .VI. V M liU rtty c n i /J v u r-p itrJ u m c n r , l 'Ia rc ilc In llalle

l.ll 'o u l -S d ii i le -M iix e n e i:

liiin a n c lio F ) M ars IS ilT , à m id i.

i .e iiia ism i o n e s l e x p lo ité ee F o n d s se ra vem liie o u lo u é e , a n }ti'é d e s a in a '.e n rs .

(.lu Ira ile i'ii ’i ra n t ia l 'le av a n t t 'a d ju d ic a llo n s ’il esl l'ail d e s olVres .-Jiirüsjintes,

Il Y ;i loiili- s ù ie lé p o u r a i ipii'i i i .( i ra n d i 's facilités p o u r p a y e r .

S l u in s t r i a u d it ;M* HE M.vv, n e tiu ie .

Il 1•loiliss;!

l ' i l i l c s I

r s u i t e .

lO ii' l e ] C i n : ; i i

( '.o lU poS i'P <1 ^ 'cr. cli;iinljr'.'

iiî.sliljtile. u n e i-.ille ii m ;in- -n ic lie r |io iiv :iiit M i 'i i ih-

;-aIon ; au p ie m ie r l 'I a e e . Irut-. iielle.-; i (otiiilii e.'i d e i i ia iire ; au s.•• .nu l deriv ni u i ^ . 'n i l . ' u n {^iciiier; Ilia ' i t\<'. un .l.ird iii. !ii;u \ ■raii-aaee.jielil li.’iim ie iil d.iii.-: le ...... de la c o u r et u n el«.l‘..»r'-ColII'

.S rj M. l ’o i n v l’ l , /ir'rifn-''.'’e(Vc, KO'■iniu l-SanU ii. ___

A v J ':m >i : 1'‘. A D . i r n u i . v i i o N .i ,S,;o.!-.YfVo''n.s, d . u n f des .uHe<

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IK D Ü SiaiE L

n L i i i i i i i ü E i . i \ 0 i i i iO i iM ii i :A p p arle iia iil ii la Socié'li; l. rs c o u M .Z e l l . ',

Ho S f o t iv u c i i «tnsir» ü 'i mIeva* *!e i f « î< ï 'i .,S 'i((/re .v.vi'/', p u iir n a i ’ le ih a h 'e i i I :

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! j i i t le i 'lo iis lie V e rn e iiil. A preiiiO iit c l .‘s a ii i l - r .l i i is io p l ie .

A V E î J J D R Hl ’.'C ad iiid l- '.ilio it v< i|.'iil''ire .

.1 1 < rnei/o ' . !a ^hliMin d 'e n d e .■ h inn iiie iie 2 ‘i .’i l . i i ' IS.’A", ji i r a is h e u re s , ■I le iiiiu id i're di .')! l'.ii'.lilji.ii. Mit,.'//-;'-'; .'-’i

mi' mi'. r ir i iK ..

M M E O mSise aux Aj’c iiÿ , s u r la itra n d e m u te de F la u d ro

A V K M I U Kl'.ui .vim i»ie.\Ti"X voi.oN'r.viiii;.

I .e l>i:n;inc!io '■ii M .irs lS.'!l), à m id i .f'.n l'iliide el p u r /,: iiiini‘l iix de ,Vl' Di; ÎM.-o, nuhtlte

(i l'o iil-Sa iiile -.M axilire .Il y a to u te sùi'*:lê p o u r a n in é r i r .

F ac ililé s p o u r le p a ien ie iil.S 'adi essci- m id il M' DK .M.vv, nohiirc.

i! I Oe II' .'i!' i l i l é - p m ii ' p a i e i

.M' lai-.Mii.K.'

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l A Mt ' f o é

lY Aïji>.c.',4ie,S i il' il S . 'id i . , a n e u e di

ç o ts - £n i- iv t ’

l'.lm le d e l)K I..\(’. l i l ’!l, u o la ire .Xeiiilly-en- 'i 'iie lle , s i irc e s se u r do M. 'I 'iiihvi.'T.

S ise il M’e iii l ly -e n -T lie ilo , s u r la ro u te d é p a r - leiiii-iitale II ' I i , do ( 'l e n n o n i il l 'e j t i in o n l ,

A V I 'N n i ' i Kl'.M. .\iiJi fUi.Mio.x vin.o,\T.\ii;i;,

T ti u n a u <1i-tt» *.•>(-■, n u .z ré t’o . u i i .n t i 'i i i s : .l'iir le in in is lir e lie M' ln a .\i .>iii, vuluirc

(i Sn iillipenA I'lic ite ,

I .e D innineii!' F ' M ars |.X.’i7 . :i m id i. S '.ideeiser m id ‘t .M' i)i-:i..\r.oi u , ,• ■ihiire.

r .l i ld e d e M i'.W i';.''. in d a ire ;’i [ 'i.iil-S a iiite Maxi'iici'.

l ’ I L l i l A m H I I U I A m F i Sdo « ’.iv u 'v z r tr . — P u rg a t i f c o m m o d e c o n iro la C irnstipm iun . G la ires, V ents, e l c . - — l i f r . la b o ite . P l ia n n , p la c e d e rA r c - d c - T r io in p i ie , iU , P .ir is . (Ici d a n s le s p h a rm a c ie s .)

l i T A T C I V I L l » C S C N L i S .N a issa n te s .

I la r r é ( llild o V erl) .J a e ip iin (Isa ie -A loxandrino ].Ik 's iro z (V ic to r-A rlh u r) .

“* M nrim ic.(]a |) lin (M a r in s ) , e t P o u lig n é (lienev iévo -

l lieu lv lio ), veuve .M ahindsant.D écès.

I tag o is (A lida-V ic1o"iuo), 15 m ois.J a o q u in (Isa ic - V loxiindrino), 5 j o u is .

t* i i) il in i t io n i« 4lt' î?l>irinx«*N«F n tro M. I lu rd ie r (U io u l-F r.in eo is). in a n o n -

v r io r S o n lis ; e t M "' llio u x (Ilo iirio tlo -C oiis- tanee-V irg iu io ), e iiis in iè ru S en lis .

F i l t r e M. F u rn ib e r t (M iro liis-S éb astic ii) , n ia n n n v i'io r S u rv illo i's (Seino-et-O iso) ; e l m a d a m e M arclio is (F ra iiro isu -V ic lo lro ), votivi: l l i i l i e r l in .e n is in iè r e à Sonlis.

K iilro M. Payun (A ngnslin -U ôg is-jo sop li], to n n e lie r à S on lis ; ol M"" (la iivo l (r.lôinoneo- A lo x an d rin e ), r o n tu r iè r o à Sonlis.

C 3 I I É D I T D E L ’ O I S E , G L â . T O O a g e t G ”

O P É R A T I O N S E N C O U R S i r E X É C U T I O N :

m ii iR KVlilNTE ET ACHAT

d€> E C t'n lrH , A H I o ii h e t O M lK « t io i iH d e r U e iu l i iH d e f e » e t n u l p e i i V o le i i r M d eB o E srH e . _______

r i t l v n ie u t H ia » «>0*1»» d M C oupon** d o A rllonM c l O M I s a llo a * .

C A IS S E D E R E P O R T S .( 'e l le C a isse o ffre r a v a n ta g o d ’u t i l is e r f r u c -

tu e u s m e u t e t tcm porfliVem ent le s ca p ita u x d is ­p o n ib le s . O u y re ç o it les so m m e s ilc 5 0 0 fr. e t i in -d e s su s . O n p e u t d isp o se r d e s fo n d s d e m o is on m o is . . ____________

AVANCES SCK DÉPÔTSd e T i l r e s d e U e n le s , A c lio iis e l O b lig a tio n s .

v o i .o .s i \ n ; r . ,i ' \ i ! l i n r n i c v r i o x I.e h iim m eh e l-'i àl.!i'-s iM’i"

il- re la d e el le. uü iii.itere il- iiiiliiirc (.' I-e id -A a iiilcA la i

.‘• lituées il P o n l-.S a in le-M axenc i* , l l i ’iit .') i''».'iii’</i(ë,-i. en ta . \v a r c

l" '-r ' .lu < • I-;iieiii a. 1'..

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On i 'iilri': :i l'ii i<'Ui-'.-anre île su ite .On t r a i te r a av an t l’ad ju ilir .iliiin s’il • --i f.iit des

• lilie ssu liis ,tille .'..S”a,/K'.vver -.vbt .M' C uvi.ii!;», n ..! - , e .

rm iÈ 'È\ p ; é sFa

, le iliio". dij M"“’ V' I .. \u s i ) : 'M i. l i . dn n e iie r é{ .S’cfdéi. lu e d u l ’ait<-

'i'ip lid 'ue . II'' 7 , l e h in ia iifh e o M ars 1K57, h e u re d e m id i,

KiNtM/éic l/e .M' II. S v i.l.r, cuininis.iaiir- I l iseu r a Sentis.

C elte v en te c o n s is te e n :( '.o n c iie iie s , en m m o d e .s . i i r in n ire s , t a b l e s ‘i

o u v ra g e , fautciiil.^, e ;ia ',.r ; , M l'îe !U' iiin t, él.ig i'i'e , ta ille ;i jo u e r,

M .alelas, lits do p lu m e s , so m tn ie i en r r in . o re ilie r s , tra v e rs in s , ''u tiv e r lu ro s , r id e a u x ,

l ’en d iilo , ll.anjjieüex, )i.iriji:i<’N io , g r.iv in o s . L islcusilcs di; ! u is il .e el de m én ag e . \ .lis 'O ll'' F.ifel'ô d 'iia b ille m c iit , Im ae in* <'or[<'i.. dr.-j)'. ‘2 s tè r e s «io bo is ih ' t h lUl) ig.- l'ctx 'ile-.. l 'Ia u th o '- . iVrr.iii!-'

.1 S î.-e lu re ;- '. î> .tro M t3.5 É 'e ssrjiiro :#

7 ' i n’ù i

.Sis lerioii'.-. de V an lx -so u s -C re il e l M ogonl- b 'S -V ierge.s.

A Vl;%BIiil*3: p.’i r ad ju d ie a lio ii v o to n l.n ie ,

F a lu imii’ri’t' île (d e i l ,I.e D im aiiclie .’i Avril IS;»7, ii m id i.

l ’ai (e m in i d i re de Xp ('.nMiTicn. no^iriK.'o S e id i ,. .S 'ad re sse r an d il M' ( .u v i i r ic n .

r( dil, el l 'o iilr

Il VIl se ra

proefie i l nieU e de F ieiirdi:!.to n te s û re té p o u r iii;c |nértr. •i;or<iè d . 's la e ilité s p n iir p ay e r. ■ 'h iilil .M' , niileire.

n v r e C o t i r , K rtH H P -ro n ir,d > n r '''H t» y 'n1 r? :r» - ?V uiK i'é.rtie;'ii, vKnîi'M ^'-;m5«iM»î:..i e i

pié jH 'vnîaïST l'.'» , atcvBJ'Se,*’! ï ' . t - . ï ' t f - ;

.Siliiéo il ('.l'eil, ei. h n ie V ie ille -S .iia t-S a u v e n r ou d u i ’>irt [.a li.'trie ,

A v f m j ü )-:r.Vll A I.M in ..'iT la .X V i . ' o : . ' i ‘

A l b i r u i C A ’l 'IO N V O I.O M ’I’A IK K I.e D im aiieln) 2 2 M ars iH.'iT, îi m id i,

r„ im/c et P ir le a u u iih n de .M' Pl i 'IT l’, u.murc ,i y ,u iln til-;e -!!iiud im i„ ,

m â l i Û MS ih iée il N ;in len il“ l i ; - i i : iu d o u in , ii” 2 0 1 , an

ra r re fm ir fo rm é p a r les m e s d e s .A uvents, du l ’u ise a n e t a u x F o u a r re s .

Cil e n tre ra eu jo iiissa iiee de sn ite . ondll .XI' l 'i : r ir , nulinie.

d e 2 ît il a n s , m u n i de b o n s r e n -

s e ig n e in e iiis , d é s ire ra it Iro tivei' u n e p lace de ( iouc ie i'i'e d an s u n e F e rm e .

S 'a d resser a u Itu re n u d u .lo u ru n l.

AVJK..T î. ? ? r « a \3 :' '3 ', ,-£iy«»anè4ee i

t i r i ' r-i

/.I/-; l i A 11! A \ S' . . 'Ü i V S

COXSTlTlTlOli DE REXTES ÏLIRÈRES.

& 3 3 D 't l ! V 9 S 'R R 3 3 1 H ù l U ,

E ’M I É R A T I O H M I L I T A I R E .A f.sim iiitio .'* r l p o v r Io p n le n io a l .

O n r e ç o i t , p o u r les c la s se s b v e n ir , le s o m m cs q u e l’o n vont i lé p o se r p a ra n t ic ip a t io i i

e t o n on cap ita lis e l ’in té ré t U o p u r u n .

VENTE AVEC FAGILITÉS DE PAIEIENT B'P LOCSATIOIT.

I .e C a ta lo g n e g é n é ra l d u M a térie l q u e iin tis ponve .ns fu n rn ir s e t r o u v é c h e z to u s le s I l e - p ré .sen tan ls d u C ré d it de i 'O is e . O it p e u t é g a - lo m o n t y d é p o s e r les d o n ib u d es d u r e n s e ig n e - n ie n ls .

EXflilAlS DE TOUTES i'ROVENAXCESV K . W M i S t^ K t^ jr . tÊ T é J K t

1° KNCItAKS C C O N O M IQ U K du ta Comp,3gijio r . i ; / r n ‘u / /u re el h t <*t'm’r<i/tJ ronm ’f s ;

2 " C I IA M I lU I P F iU > l l ,1 '* q u a t i lé ,g n ra n t ip i i r ; 5 M .U A N 0 D ’A im K IIV II.L iIC K .S (e b c v a l eu

p o n d re ) d e la t'iim p a ijn ie i jè n c r a k m a r i tm c .

V e n d u e s s u r ik 'h a n til lo n s .

P ro p rié té s iiiiiiiob ilièri's .I .e C réd it d e l 'O ise l’ae llitu la v e n te d o s p r o ­

p r ié té s e t d e s m a iso n s , e n re c e v a n t s u r n n 'r e - g is t r e , d a n s to u s s c s I b ir e a n x . le s ro tis e ig n e - m e iits e t les p la n s d e s p ro |n â é lé s à v e n d re d an s le d é p a r ie m e n t d e l 'O is e ; s e rv a n t a in s i d 'in - t e r in é d i .i i r e e n lr e les v e n d e u rs e t le sa c q u é ro n rs , il d o n n e a n m a rc h é u n e g ra n d e e x te n s io n .

C H f r S S A .n g * M ^ m S n X X S U M f J X B i . f M Ê H . W S , N \ l O U H H S K n t,1 Seid iw (i M . 3A l.lJfe, ('(MHmiMrti/x’-p r ij tfn r . d h e r te u r de e liro tisa ip lion . l (i !« e a W W , p i 'o p r ic la iic . lUirien h u iss ie r , ............................... ) repré

A NimiUij eii-'t'Iiellc, ù l, . (m ei’e ii h u is s i e r ,. P R B v o s T , p r t i i i r ié la ir c . iu je i i t p r in e ip a l i / e / 'C r b i i l n e ,

•nliiHls e a id o u m iii.r

f y o ’e v f es t a Æ t t b r a M c « I r M tK tH .V M fî i ty « '« r r « I r M S e a te i 'a t f s , s t

A l.’l'SACK

D U D I O O à i S B D ‘J E B A T I T A ï a .

S iS S E lS , -■ BRÉVIAIRES. -- D IH R SA I. < '» iil(*n n n t Io P r o p r o *!•• IX nrt'N i-.A|i|ir.iii\tr, jinr S. <S. Mür. 1'Evô|iu- d,- Duauv

a i 1 X 1 7 0 C O .V IPl.ilT r l NIOFÉ scliiii Ii: rik- rnni.iin,49R * 1* I V l L* Jl 9 A l'ii'ngv ilu l>im'è.,i: tlu lli'.iiivni».

COURS COUPLET DE CHANT ECCLÉSIASTIQUE 'EXERCICES SUR LES FORMULES DU CHANT GRÉGORIEN ‘

P I .K IN -C U .tN r , |>.-ir I’:i1>1>c A. lUU.ATDUIl.

MÉTHODE ÉLÉMENTAIRE DE PLEIN-CHANTi’ar M. i'ol.bi' TOt'/r;

GRADUEL ROMAIN

H u lt in « l'iin T n li lr t m im n 'tp n s tA r iir «l<« P ir In .C 'li t in l r n N o f a i lo n N umIc.i Ic .

i’ar M. r«1.i>i' ~Tm'Zf;.

ii-r.iiiii,i . t 'i , pollnlir.

i V M K t S V t i t t . » t . t e s .FIUOIVSI r iio . 'io i Ml'. i.ii.

\ ;i-i.i'..s. DATIvS. I'"ip ia ln û . «piidiiê.

MDlSOMipiiiliu*.

SKK i.i '. j uiKii:. AVOIMI.

S en lis . r> Alars. 2 'i 2 5 (H) 21 5 5 00 00 17 0 ;i IHl 0 0 7 (Mlt .o m p ieg n e . 2H F é v r ie r . 2 ;i t)0 2 i «0 2 5 0 0 20 00 10 00 11 00 8 o o |ltcaav,Tis. 2 8 F é v r ie r . 2 5 W O O CO 2 2 00 17 0 5 fO (Ml 11 5 0 0 8 8 jC ic rin o iil. 2 8 F é v r ie r . 2T> r»ti 22 8(1 21 I I 10 l.’i n 0 5 12 5 5 7 5.5(irép v . 2 8 F é v r ie r . 2 i r.d 2 5 (Ml 0 0 (Kl 20 (NI 10 0 5 1 2 00 0 OOlN oyon . 2 8 J a n v io r . 2 (i 2 o 2 1 5 li;()l) 0 0

2 1 5 ;ii2 5 (H)20 <HI 1 0 2,5 (Ml IM) 0 .50|,

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T A X Ii n u / 'd / iV u d < i /« 'd n 2 f V r n c r 1 8 5 7 . - - 1" q u a l i té , 511 c . le k ilog i'.iiin n e ; — a . 3 " ' ' ' ' 1

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S l i N M S . r V P O G K A n i l K ’ K T M T l lO l jU A lM I I K D K l U v G N I E K .