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Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 1
SANTE MENTALE & SANTE PHYSIQUE
BIBLIOGRAPHIE THEMATIQUE
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- Avant-Propos -
La sélection de documents référencés ci-dessous fait le point sur la thématique des SISM 2016 par le biais de plusieurs sous-thématiques. Tous les documents sont présentés par ordre chronologique. Cette bibliographie non exhaustive présente dans une première partie des documents faisant le point sur la thématique de manière générale ; les parties suivantes abordent des thématiques plus précises. Si votre intérêt se porte que sur une seule sous-thématique, nous vous informons qu’elles font chacune l’objet d’un fichier à part, téléchargeable sur le site des SISM.
SOMMAIRE
Général .....................................................................................................................................................3 Douleur.....................................................................................................................................................4
Troubles somatiques et comorbidités ....................................................................................................5
Santé mentale et addictions....................................................................................................................9
Les effets somatiques des médicaments ............................................................................................. 14
Les activités physiques et sportives ..................................................................................................... 15
Santé mentale et bien-être .................................................................................................................. 22
Bien vieillir ............................................................................................................................................ 23
Information et prévention .................................................................................................................... 27
Santé mentale et alimentation ............................................................................................................ 29
Précarité, santé mentale et physique .................................................................................................. 31
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GENERALE
Présence du corps en psychiatrie. UNAFAM. [Lettre d’information] In : Bulletin de l’UNAFAM, La
lettre n°88. Octobre à décembre 2015. 24p.
Résumé : Troubles somatiques souvent passés inaperçus, effets indésirables des neuroleptiques,
langage du corps et choix des mots pour en parler : c’est le thème de ce dossier destiné à rendre
toute sa place au corps chez nos proches.
La médecine ne doit plus séparer le corps et l’esprit. David Servan-Schreiber, Antonio Damasio. [En
ligne] http://www.psychologies.com/Bien-etre/Sante/David-Servan-Schreiber/Interviews/La-
medecine-ne-doit-plus-separer-le-corps-et-l-esprit (Page consultée le 26/11/2015)
Santé somatique en psychiatrie : une priorité. Revue Santé Mentale. [Article] Février 2014, n° 185. 2
p. Sur demande
Pourquoi le corps ?. Chaperot Christophe, Goux Vassili. [Article] In : Santé Mentale, 2012, n°169, p.
48-51
Résumé : Corps et pensées sont indissociables. La conception du corps comme premier lieu de
rencontre avec le monde, source du langage et langage lui-même ouvre un vaste champ à la
psychiatrie, aussi bien du point de vue clinique que thérapeutique. Inscrites dans cette perspective
où les notions d'ambiance et d'accordage sont essentielles, la pratique du packing ou celle d'activités
physiques et sportives dans le cadre de la psychothérapie institutionnelle apparaissent comme des
moyens privilégiés de communication et de mise en commun de l'expérience entre soignants et
soignés
http://www.santementale.fr/boutique/acheter-article/pourquoi-le-corps.html
Santé mentale et santé physique : deux composantes indissociables au rétablissement et au mieux-
être. Revue Le Partenaire. [Dossier] 2011, vol 19, n°4. 44 p.
Sommaire : Pourquoi et comment investir en promotion de la santé mentale et en prévention des
troubles mentaux? ; Effet des troubles métaboliques sur la qualité de vie des personnes atteintes de
problèmes de santé mentale ; Programme Mieux-Être « Wellness » : un apport au rétablissement de
la clientèle psychiatrique ; Faire le poids contre la menace du syndrome métabolique ; Facteurs de
rétablissement ; La Gestion autonome de la médication : une pratique au service du mieux-être ;
Favoriser le rétablissement avec la présence attentive ; La gestion de l’énergie par l’activité physique
chez les gens ayant un problème de santé mentale ; Avec ou sans voix, accroître la qualité de vie ;
Quand l’équitation thérapeutique contribue au mieux-être ; Sans la santé mentale publique, point de
santé : les raisons pour agir.
http://aqrp-sm.org/wp-content/uploads/2013/05/partenaire-v19-n4.pdf
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DOULEUR
Douleur chronique, limitation des activités et santé mentale florissante. Heather Gilmour. [Article
scientifique] In : Rapports sur la santé, vol. 26, n° 1, p. 16 à 24, janvier 2015.
Résumé : Si l’on se fie au modèle fondé sur la limitation des activités, l’incidence de la douleur
chronique sur la maladie mentale pourrait tenir au fait que la douleur contribue à la dépression parce
qu’elle limite les activités habituelles. La présente étude fait appel à une mesure de la santé mentale
(florissante), par opposition à une mesure de la maladie mentale, pour examiner les associations
entre la douleur et la limitation des activités.
http://www.statcan.gc.ca/pub/82-003-x/2015001/article/14130-fra.htm
Evaluation de la prise en charge de la douleur dans un établissement public de santé mentale.
Centre National de Ressources de lutte contre la Douleur. [En ligne]
http://www.cnrd.fr/Evaluation-et-traitement-de-la.html (Page consultée le 26/11/2015)
De l'importance de traiter la douleur en psychiatrie. Infirmiers.com. [En ligne]
http://www.infirmiers.com/les-grands-dossiers/douleur/importance-de-traiter-douleur-
psychiatrie.html (Page consultée le 26/11/2015)
Dossier de l’Inserm sur la douleur. Michel Pohl. [En ligne]
http://www.inserm.fr/thematiques/neurosciences-sciences-cognitives-neurologie-
psychiatrie/dossiers-d-information/douleur (Page consultée le 26/11/2015)
Une équipe pluridisciplinaire douleur et soins somatiques en santé mentale. Collectif. [Article
scientifique]. In : Revue de L'Infirmière, 2014, vol 63, n°201, p. 16-18
Résumé : Les patients atteints de maladie psychiatrique ou de troubles envahissants du
développement se laissent difficilement examiner et soigner. Le Centre régional douleur et soins
somatiques en santé mentale de l’EPS d’Etampes (91) utilise notamment le Meopa pour prodiguer
différents soins. Les infirmières accompagnent avec bienveillance les patients, attentives à tout signe
de douleur non verbale.
http://www.em-premium.com/article/891058/une-equipe-pluridisciplinaire-douleur-et-soins-som
Livret douleur en psychiatrie. RESCLUD Champagne-Ardenne. [Guide] 2014. 39 p.
Résumé : Dépister, évaluer et traiter la douleur des patients souffrant d’une pathologie mentale est
particulièrement délicat en raison de modes d’expression différents ou de difficultés de
communication verbale. Les particularités de la douleur liée à chaque pathologie psychiatrique
(psychose, troubles bipolaires...) sont présentées, ainsi que le contexte des soins palliatifs dans cette
population. Ce livret a été conçu comme une aide pour les équipes soignantes confrontées à la
douleur somatique des patients pris en charge en psychiatrie.
http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Guide_Douleur_resCLUD.pdf
Voies du plaisir, revers de la douleur. Revue Sciences et Santé. [Article] Juillet-août 2013, n°15. 6 p.
Résumé : Prévenir la survenue de nombreuses maladies, améliorer sa forme, se reconstruire… les
vertus du sport sont légions ! Mais qu’en est-il de ses effets pervers : blessures, dopage, addiction ?
Le dernier numéro de Science & Santé fait le tour de la « planète sport », entre plaisir et douleur.
http://www.inserm.fr/actualites/rubriques/actualites-societe/sport-voies-du-plaisir-revers-de-la-
douleur
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Psychiatric morbidity in pain conditions. Pain Research & Management. [Article scientifique en
anglais] 2013, Vol 18, n°4. 6 p.
Résumé : La douleur chronique est un problème courant dans l’ensemble de la population. Des
études fondées sur des échantillons cliniques ou sur des enquêtes épidémiologiques démontrent
qu’elle s’associe à des troubles psychiatriques. Le but de cette étude est d’établir la prévalence, les
corrélats et les comorbidités des troubles de douleur chronique au sein de la population adulte de
Singapour.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3812189/pdf/prm18185.pdf
Douleur somatique en psychiatrie : aspects psychopathologiques et particularités de prise en
charge. Amoughy S. [Thèse]. 2010, 102 p.
Résumé : Les rapports à la douleur dans l'art médical ont évolué. De bande sonore indissociable de
l'exercice de la médecine, épreuve quasi ordalique visant à l'élévation de l'âme, la douleur est
devenue, en France, une priorité de l'offre de soins. Elle apparaît dans les critères de certification des
établissements, sa prise en charge est devenue un objectif santé publique. La prise en charge de la
douleur en psychiatrie est une interrogation relativement récente, le premier congrès douleur en
santé mentale datant de 2005. On reconnaît au patient psychiatrique le droit d'être algique.
Cependant, il existe des carences majeures en matière de prise en charge de la douleur en santé
mentale comme a pu le démontrer en 2006 une étude nationale: 75% des chefs de service de
psychiatrie ayant répondu à cette enquête estimaient que leurs équipes étaient insuffisamment
formées à la prise en charge de la douleur. Dans la présente thèse, nous nous interrogeons sur le
retard pris par la psychiatrie dans ce domaine en nous penchant particulièrement sur la première
étape de la prise en charge de la douleur, à savoir l'identification du message douloureux chez le
patient psychiatrique. Nous relevons plusieurs explications: la place du symptôme douleur dans les
troubles psychiques, les particularités de son expression, la méconnaissance du fait somatique dont
la douleur, chez les soignants de psychiatrie, l'impact des médications psychotropes.
http://www.sudoc.abes.fr/
TROUBLES SOMATIQUES ET COMORBIDITES
Addictions et comorbidités. Amine Benyamina. [Ouvrage] Editions Dunod. 2014, 320 P.
Résumé : L’usage de substances est fréquent chez les patients souffrant de troubles mentaux et ces
comorbidités peuvent avoir des conséquences graves sur leur santé doublées d’un impact
défavorable sur leur fonctionnement social. Pourtant, ces troubles associés font l’objet de très peu
de considération dans la pratique clinique quotidienne, où les troubles sont majoritairement traités
de manière indépendante. Après avoir fait un tableau clinique des troubles liés aux addictions,
l'ouvrage propose une prise en charge globale des pathologies addictives et psychiatriques.
http://www.dunod.com/
Handicap psychique et suivi somatique. Saravane D. In : Santé mentale, n° 193, 2014, pages 6-8
Résumé : Les personnes souffrant de pathologies mentales sévères présentent des risques accrus de
mortalité et de comorbidité. Il est indispensable de mettre en place un suivi régulier pour prévenir en
particulier les maladies cardiovasculaires.
https://www.google.fr/
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La dépression, fréquente mais sous-estimée en cas de cancer. Damien Mascret. In : Le Figaro. 2014
[En ligne]
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/08/28/22723-depression-frequente-mais-sous-estimee-cas-
cancer (Page consultée le 17/12/2015)
Cancer : traiter la dépression quand elle est réelle. Anne Jeanblanc. In : Le point, 2014 [En ligne]
http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/cancer-traiter-la-depression-quand-elle-est-
reelle-30-08-2014-1858486_57.php (Page consultée le 17/12/2015)
Une équipe pluridisciplinaire douleur et soins somatiques en santé mentale. Collectif. [Article
scientifique]. In : Revue de l'infirmière, 2014, vol 63, n°201, p. 16-18
Résumé : Les patients atteints de maladie psychiatrique ou de troubles envahissants du
développement se laissent difficilement examiner et soigner. Le Centre régional douleur et soins
somatiques en santé mentale de l’EPS d’Etampes (91) utilise notamment le Meopa pour prodiguer
différents soins. Les infirmières accompagnent avec bienveillance les patients, attentives à tout signe
de douleur non verbale.
http://www.em-premium.com/article/891058/une-equipe-pluridisciplinaire-douleur-et-soins-som
Dépression et pathologies somatiques. C. Debacq. [Extrait d’ouvrage] In : Comprendre et soigner la
dépression, 2013, Elsevier Masson, 10 p.
http://www.decitre.fr/media/pdf/feuilletage/9/7/8/2/2/9/4/7/9782294710926.pdf
Diabète et santé mentale. Canadian Journal of Diabetes. [Article scientifique] Volume 37,
Supplément 5, Octobre 2013. Pages 459–465.
Résumé : Les troubles psychiatriques, en particulier le trouble dépressif majeur, le trouble d’anxiété
généralisée et les troubles de l’alimentation, sont plus fréquents chez les personnes diabétiques,
comparativement à la population générale. On note une moins bonne observance thérapeutique,
une piètre autogestion du diabète, une déficience fonctionnelle accrue, un risque accru de
complications associées au diabète, des coûts de soins de santé plus élevés et un risque plus
important de décès précoce chez les personnes souffrant de diabète et de troubles mentaux que
chez celles souffrant uniquement de diabète.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1499267113008563
Diabète et maladies mentales. Lunel Charlot M.D. [Article scientifique] 2012. 7 p.
Résumé : Diabète et maladies mentales forment une association fréquente et redoutable puisqu’ils
représentent une grande cause de morbidité. Ils constituent un vrai fardeau pour la société et
grèvent les budgets de santé des pays développés comme le nôtre. Les données scientifiques font
état des liens étroits entre les deux affections qui ne sont pas le simple fruit du hasard. La
coexistence de ces deux pathologies chez un sujet rend la prise en charge plus complexe et l’expose à
plus de complications, à une moindre qualité de vie et à une diminution de l’espérance de vie.
http://www.ffapamm.com/wp-content/uploads/2012/02/Diabete-et-maladies-mentales.pdf
Santé physique et troubles bipolaires. K. Zaghbiba, V. Milhieta, S. Jamaina, F. Belliviera. In :
Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique, Volume 170, Issue 1, February 2012, P. 56-61
Résumé : Les patients bipolaires ont un risque très augmenté de morbidité et de mortalité par
rapport à la population générale. Cet aspect de la maladie est un sujet d’intérêt récent et un enjeu
pronostique majeur. L’espérance de vie des patients bipolaires est réduite de huit à dix ans, en
rapport notamment avec des événements cardiovasculaires deux à trois fois plus fréquents et
survenant plus précocement. Les facteurs de risques cardiovasculaires sont aussi plus fréquents :
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syndrome métabolique (30 % à 79 %), surpoids et obésité (32 % à 74 %), dyslipidémie (41 %),
hypertension artérielle (39 %), diabète (8 % à 26 %)… D’autres problèmes somatiques sont plus
fréquents chez les patients bipolaires : la contamination par les virus VIH (virus de
l’immunodéficience humaine), VHC (virus hépatite C), les cancers, les troubles du cycle veille-
sommeil et des rythmes circadiens, les migraines, la sclérose en plaques… sans que les mécanismes
de ces diverses associations soient complètement élucidés. Les thymorégulateurs utilisés dans les
troubles bipolaires peuvent également être source de problèmes physiques et nécessitent une
surveillance soignée. Des recommandations simples doivent être connues des professionnels de
santé, voire des patients. Il paraît actuellement évident que la prise en charge des patients bipolaires
nécessite des soins somatiques avec des points de surveillance spécifiques, cela sous la vigilance d’un
partenariat psychiatre/médecin généraliste et dans une logique de prévention.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0003448711003404
Actualités de la pensée critique en psychologie de la santé somatique et mentale dans le
monde anglo-saxon. Santiago Delefosse Marie. In : Bulletin de psychologie, 2011, vol 64, n°511-1,
p. 5-13
Résumé : Après une introduction, rappelant l’historique de la psychologie critique, l’auteur présente
les principaux courants actuels dans le monde anglosaxon. Elle se focalise, plus spécifiquement, sur la
pensée critique en psychologie de la santé et en psychiatrie. La conclusion discute, d’une part,
l’intérêt, pour le monde francophone, de mieux connaître ces courants, voire de s’en rapprocher.
D’autre part, elle montre également leurs limites et la nécessité de dépasser la seule position '
activiste ', afin de réfléchir à de nouvelles conceptualisations en psychologie.
http://www.bulletindepsychologie.net/vente/derniers/R511.php
Psycho-oncologie : Dépression. Association Francophone pour les Soins Oncologiques de Support.
[Support]. 2011, 41 p.
http://ftp.comm-sante.com/BT/Depression_AFSOS.pdf
La maladie somatique, une dimension de la santé psychique. SMADJA C. [Article scientifique]. In :
Revue française de psychosomatique, n° 36, Paris : Presses Universitaires de France, 2009, p 9-26.
Résumé : Dans la perspective psychosomatique, la maladie somatique doit être interprétée comme
le résultat d'un double processus : le premier concerne le fonctionnement psychique et se traduit par
un mouvement partiel ou global de démentalisation touchant le fonctionnement de représentation
et de psychisation de la pulsion. Le second concerne les fonctions organiques et se traduit par un
mouvement de régression ou de désorganisation du psychique au somatique. Ce mouvement
psychosomatique réactive une expression ancienne de fonctionnement somatique. Il résulte de ce
double processus que la maladie somatique est une dimension de la santé psychique.
https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFPS_036_0009
Dépression et anxiété chez les femmes souffrant de cancers gynécologiques. C. Perdrizet-
Chevalliera, M. Reichb, A. Lesurc. [Article scientifique]. In : Annales Médico-psychologiques, revue
psychiatrique, Volume 166, Issue 4, Mai 2008, Pages 292–296
Résumé : Révéler le diagnostic d’un cancer gynécologique provoque des réactions variées,
psychosociales et émotionnelles : anxiété, déni, passivité, anéantissement, avec disparition de tous
les projets à long terme et des responsabilités personnelles, craintes du futur proche et de la mort.
Au cours des cancers gynécologiques, les altérations de la sexualité et la représentation de la
féminité risquent de compromettre sérieusement la représentation psychique de la maladie et
d’avoir des conséquences dramatiques pour la vie de la famille des patientes.
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 8
La dépression au cours des cancers gynécologiques étant difficile à diagnostiquer, elle risque donc
d’être sous-traitée. En partie, parce que la dépression serait « normale et réactionnelle » au cours
des maladies graves ; par ailleurs, les troubles neurovégétatifs, cognitifs et émotionnels de la
dépression seraient souvent attribués à la cause médicale elle-même.
Ces études insistent sur l’importance de détecter la dépression et de la traiter pour améliorer la
qualité de vie de ces patientes et ce, à tous les stades d’évolution de la maladie.
http://www.sciencedirect.com/
Observance et prise en charge somatique des patients en santé mentale. Saravane D. [Article
scientifique]. In : Encéphale, 2007, vol 33, décembre SUPPL 2, p. S63-66
http://www.em-premium.com/showarticlefile/151013/main.pdf
Des mots du corps aux maux de l’âme. Pascal Coffigneau et Jérôme Palazzolo. [Ouvrage] Ellébore
éditions, 2005, 285 p.
Résumé : Un kinésithérapeute et un psychiatre présentent le « concept d’harmonisation » du corps
et de l’âme. En s’appuyant sur des cas cliniques, ils exposent toutes les situations où le stress, les
peurs quotidiennes et les souffrances affectives côtoient les troubles physiologiques – angines
chroniques, migraines, nausées, troubles intestinaux…
Ils montrent ainsi qu’un symptôme ne peut être traité de manière isolée, l’homme étant une unité
biologique, psychologique et sociale. Une approche globale et instructive de nos douleurs.
Soins somatiques en santé mentale : une question de dignité. Collectif. [Ouvrage]. Le Château
d'Olonne : Ed. d'Orbestier, 2003, 170 p.
http://livre.fnac.com/a1461362/Collectif-Soins-somatiques-en-sante-mentale
Dépression et comorbidité somatique, étude effectuée à la Cotorep de la Gironde : Clinique.
Goumilloux R., Verdoux H. In : L'information psychiatrique, vol. 79, n° 5, 2003, pages 423-426
Résumé : Dans une population de 111 patients déprimés examinés à la Cotorep de la Gironde, 54
(49,1%) présentent une pathologie somatique associée.
La majorité des patients fournissant un certificat d'un médecin généraliste présentent une pathologie
somatique associée alors que la majorité de ceux fournissant un certificat d'un psychiatre n'en
présentent pas.
Une analyse comparative selon l'existence ou non de cette comorbidité somatique apporte plusieurs
éléments témoignant de la plus grande sévérité de la symptomatologie dépressive chez les patients
ne présentant pas de pathologie somatique associée. Les estimations des taux d'invalidité ont
néanmoins été très proches dans les deux groupes, la pathologie somatique pouvant être jugée
comme aggravant notablement le handicap social induit par la dépression.
http://www.jle.com/fr/revues/ipe/e-
docs/depression_et_comorbidite_somatique_etude_effectuee_a_la_cotorep_de_la_gironde__2606
37/article.phtml?tab=texte
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ADDICTIONS / TOXICOMANIE
La santé mentale et les addictions chez les personnes sans logement personnel en Île-de-France :
l’enquête Samenta de 2009. Collectif. [Enquête], 2015. 5 p.
Résumé : Répondant à une demande de la Préfecture de Paris et de la Mairie de Paris, les objectifs
de l’étude Samenta (SAnté MENTale et Addictions chez les sans domicile franciliens) étaient, entre
autres, d’estimer la prévalence des principaux troubles psychiatriques et des addictions parmi les
personnes sans logement personnel en Île-de-France.
http://www.invs.sante.fr/beh/2015/36-37/pdf/2015_36-37_6.pdf
Santé mentale et abus de substance. Centre canadien de lutte contre les toxicomanes. [En ligne]
http://www.ccsa.ca/fra/topics/mental-health-and-substance-abuse/pages/default.aspx (Page
consultée le 26/11/2015).
En Espagne, 70% des personnes souffrant de troubles mentaux sont aussi des fumeurs. Somapsy.
[En ligne] http://somapsy.org/en-espagne-70-des-personnes-souffrant-de-troubles-mentaux-sont-
aussi-des-fumeurs/ (Page consultée le 30/11/2015)
Collaboration pour les soins en toxicomanie et en santé mentale : Meilleurs conseils. Centre
canadien de lutte contre les toxicomanies. [Guide], Novembre 2015, 82 pages.
Résumé : Il a été établi que la collaboration intersectorielle et intrasectorielle entre fournisseurs de
services constitue une pratique exemplaire pour répondre de façon plus efficace à une vaste gamme
de problèmes de santé. Les services en toxicomanie et en santé mentale ne font pas exception : la
présence simultanée de problèmes de toxicomanie et de santé mentale et de comorbidités
physiques est chose courante et présente des difficultés particulières. On a noté au Canada une
conjoncture très favorable à l’amélioration de la collaboration entre les secteurs de la toxicomanie et
de la santé mentale à l’échelle du système, mais il semble que l’élaboration, l’évaluation, la
documentation et l’échange de stratégies de collaboration efficaces à l’échelle de la pratique ne
soient pas encore systématiques.
Le présent document propose les meilleurs conseils dégagés de ces efforts et lance un appel à
l’action aux intervenants des systèmes, des services et à l’échelle pancanadienne en vue de
favoriser l’atteinte de ces objectifs.
http://ccsa.ca/Resource%20Library/CCSA-Collaboration-Addiction-Mental-Health-Best-Advice-
Report-2015-fr.pdf
Intégration des services en santé mentale et en toxicomanie : processus de rencontre de deux
mondes. Lamothe L., Sylvain C. Brousselle A.. [Article scientifique]. In : Sante publique, vol. 27,
Suppl., 2015, p. 137-143
Résumé : La nécessité de mieux intégrer les services de santé mentale et de toxicomanie est
désormais reconnue et a mené à la création de cliniques spécialisées dans ce type de services.
L'étude visait à analyser les défis d'intégration rencontrés par l'une d'elles et à cerner l'influence des
stratégies et moyens déployés pour y faire face.
Les résultats ont révélé d'importants défis d'intégration aux quatre niveaux étudiés : clientèles,
pratiques professionnelles, cadre structurel et relations inter organisationnelles.
Ces défis sont apparus très tôt dans l'évolution de la clinique et le personnel a dû déployer diverses
stratégies et moyens pour réduire les tensions qu'ils ont générées.
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 10
Les résultats de cette étude amènent à reconsidérer l'intégration des services, non plus comme une
finalité, mais comme un objet de changement émergeant d'un processus complexe dont
l'aboutissement demeure incertain.
https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2015-HS-page-137.htm
Comorbidity of substance use and mental disorders in Europe. EMCDDA. [Rapport en anglais], 2015,
100 p.
Résumé : Le lien entre consommation de drogues et problèmes de santé mentale est complexe,
l'interaction entre les deux pouvant s'exercer de diverses manières. Dans certains cas, le trouble
psychiatrique peut être un facteur de risque pour la consommation de drogues, tandis que dans
d'autres, c'est l'utilisation d'une substance qui peut déclencher le trouble de santé mentale. Ces
différentes associations posent la question de la réponse à porter en termes de prise en charge et de
contrôle des actes délictueux.
http://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/OEDT151201Insights19.pdf
Age at first tobacco use and risk of subsequent psychosis-related outcomes : A birth cohort study.
Collectif. [Article scientifique en anglais] Australian and New Zealand journal of psychiatry. 2015
Résumé : Le tabagisme précoce serait associé à un sur-risque de développer des manifestions
psychotiques. C’est ce que suggère une étude réalisée auprès d’une cohorte de 3 752 individus,
hommes et femmes âgés de 21 ans au moment de l’étude. Les individus ayant commencé à fumer du
tabac à 15 ans ou plus jeune encore étaient en effet 3,1 fois plus à risque présenter un trouble de
type schizophrénique, des scores importants au Peters Delusional Inventory et des hallucinations
persistantes. Cependant, après ajustement des données et exclusion des individus ayant consommé
du cannabis, seule l’association entre tabagisme précoce et hallucinations demeurait très
significative.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25991762
Diffusivity of the uncinate fasciculus in heroin users relates to their levels of anxiety. Collectif.
[Article scientifique en anglais] Translational Psychiatry. 2015
Résumé : Pour la première fois, une étude de cartographie de la substance blanche met en évidence
les mécanismes différentiels qui sous-tendent le niveau élevé d’anxiété et de dépression, deux
comorbidités observables chez les usagers d’héroïne. Ainsi, si l’anxiété s’y voit reliée à une altération
du faisceau unciné, principal faisceau d’association fronto-temporale qui assure une connexion entre
les structures limbiques et para-limbiques impliquées dans la régulation des émotions, la sévérité des
symptômes dépressifs serait quant à elle dose-dépendante, associée à un seuil critique de
consommation.
http://www.nature.com/tp/journal/v5/n4/pdf/tp201548a.pdf
Addictions et comorbidités. Amine Benyamina. [Ouvrage] Editions Dunod. 2014, 320 P.
Résumé : L’usage de substances est fréquent chez les patients souffrant de troubles mentaux et ces
comorbidités peuvent avoir des conséquences graves sur leur santé doublées d’un impact
défavorable sur leur fonctionnement social. Pourtant, ces troubles associés font l’objet de très peu
de considération dans la pratique clinique quotidienne, où les troubles sont majoritairement traités
de manière indépendante. Après avoir fait un tableau clinique des troubles liés aux addictions,
l'ouvrage propose une prise en charge globale des pathologies addictives et psychiatriques.
http://www.dunod.com/sciences-sociales-humaines/psychologie/psychotherapie/ouvrages-
professionnels/addictions-et-comorbidites
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 11
La prévalence de l'usage de cannabis chez les patients schizophrènes hospitalisés à l'Hôpital Ibn Al
Hassan de Fès. Rhandour T., [Mémoire ENSP]. 2014, 41 p.
Résumé : La consommation de cannabis est fréquente chez les patients atteints de schizophrénie au
Maroc, cependant, aucune étude n'a objectivement déterminé le taux de consommation en utilisant
des tests urinaires.
Nous avons cherché à déterminer le taux de consommation récente de cannabis chez les patients
schizophrènes, étudier les facteurs de risque, et évaluer les désordres psychiatriques chez les
groupes positifs et négatifs.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Ensp-Maroc/Memoires/massp/esp/2014/9051.pdf
Présentation : nouveaux paradigmes en toxicomanie : complexité et phénomènes émergents à
l’avant-plan. Jutras Aswad D., Potvin S. [Article scientifique]. In : Santé mentale au Québec, 2014,
vol 39, n°2, p. 15-19.
Résumé : Nous proposons ici un numéro thématique spécial sur la toxicomanie pour la revue Santé
mentale au Québec, avec comme angle principal celui de la complexité sociale, légale, psychologique
et biologique de cette problématique.
http://www.erudit.org/revue/smq/2014/v39/n2/1027829ar.html?vue=resume&mode=restriction
Tableau clinique des personnes cyberdépendantes demandant des services dans les centres publics
de réadaptation en dépendance au Québec : étude exploratoire. Magali Dufour, Louise Nadeau,
Sylvie R Gagnon. [Article scientifique]. In : Santé mentale au Québec Volume 39, numéro 2, automne
2014, p. 149-168
Résumé : À ce jour, il n’existe aucun consensus quant aux critères diagnostiques d’une dépendance à
Internet (Hinic, 2011 ; Tonioni et al., 2012 ; Weinstein et Lejoyeux, 2010). Pourtant, des personnes
s’autodéclarent cyberdépendantes et réclament des soins dans les centres de réadaptation en
dépendance (CRD) au Québec. Ces admissions ont amené l’Agence de la santé et des services sociaux
de Montréal à demander la réalisation d’une étude descriptive sur la cyberdépendance.
http://www.erudit.org/revue/smq/2014/v39/n2/1027837ar.html?vue=resume&mode=restriction
Alcool et troubles mentaux : De la compréhension à la prise en charge du double diagnostic. Amine
Benyamina, Michel Reynaud, Henri-Jean Aubin. [Ouvrage] Editeur : Elsevier Masson. 2013.
Résumé : Cet ouvrage, à la fois théorique et pratique, offre au praticien toutes les informations
indispensables à la prise en charge d’un patient présentant un double diagnostic. Après un rappel des
aspects neurobiologiques et des troubles liés à l’alcoolisme, il présente les spécificités de chaque
population (adolescent, femme, personne âgée, etc.), puis il précise les comorbidités (alcool et
troubles anxieux, alcool et troubles bipolaires, etc.), et enfin propose des pistes thérapeutiques pour
la prise en charge des patients. Permettant une meilleure compréhension des comorbidités entre
troubles addictifs et troubles mentaux, cet ouvrage fournit tous les outils nécessaires à une meilleure
prise en charge et un meilleur accompagnement des patients vers la guérison.
http://www.elsevier-masson.fr/alcool-et-troubles-mentaux-9782294727368.html
Actes de la 17eme rencontre professionnelle : Addictions & psychiatrie. RESPADD. 2012. 30p
Résumé : La coexistence d’un trouble psychiatrique avec un trouble addictif n’est pas rare : on
estime que près de la moitié des patients admis en service de psychiatrie en Europe présente un
trouble mental associé à un abus de substance (principalement l’alcool, le cannabis et les sédatifs,
tabac exclus). Et lorsqu’on se place du point de vue addictologique, on sait qu’environ 50% des
consommateurs de substances psychoactives souffrent au moins d’un trouble de la personnalité.
http://www.respadd.org/wp-content/uploads/2015/08/actes-rencontres-Respadd-2011.pdf
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 12
L’intégration des services en toxicomanie. Michel Landry, Serge Brochu et Catherine Patenaude.
[Ouvrage] Editions PUL. 2012, 273 p.
Résumé : Cet ouvrage traite de la question de l'intégration des services pour les personnes
dépendantes aux substances psychoactives. On y aborde plusieurs thématiques qui ont trait à cette
problématique telles que la collaboration entre les différents réseaux de première et deuxième ligne,
la toxicomanie et la santé mentale, les personnes toxicomanes judiciarisées, l'intégration des services
chez les jeunes, les femmes et les travailleurs canadiens, etc. Des chercheurs de différents milieux
universitaires et institutionnels ont collabore à ce livre, dont quelques auteurs européens qui ont
accepté de partager leurs expériences en lien avec l'intégration des services dans leurs pays
respectifs, soit la France et la Suisse.
https://www.pulaval.com/produit/l-integration-des-services-en-toxicomanie
L'influence du réseau social sur la consommation pour des patients toxicomanes présentant une
comorbidité psychiatrique. Collectif. [Article scientifique]. In : Encéphale, 2011, vol 37, n°4, p. 249-
256.
Résumé : Cette étude qualitative s'intéresse au point de vue de patients présentant des troubles
concomitants de toxicomanie et de santé mentale. L'étude se penche sur les éléments et processus
du réseau social qui sont utilisés par les patients pour expliquer leurs variations de consommation
d'alcool et de drogues. Le réseau social réfère à l'ensemble des liens des participants, mais
principalement la famille, le couple, les relations d'amitié et les relations dites thérapeutiques. Une
entrevue en profondeur a été réalisée auprès de 22 patients faisant appel à un centre de traitement
pour personnes souffrant d'une addiction à l'alcool ou aux drogues à Montréal (Canada). Les analyses
qualitatives présentent les perceptions des patients tant sur les augmentations et les diminutions de
consommation d'alcool et de drogues.
http://www.em-consulte.com/article/661077/article/linfluence-du-reseau-social-sur-la-
consommation-po
Les usages problématiques des jeux vidéo. Minotte Pascal, Donnay Jean-Yves. [Rapport] In :
Cahiers de l'institut wallon pour la sante mental, 2010, n°6, 144 p.
Résumé : C’est au départ du concept de ‘cyberdépendances’ que nous avons été amenés à faire le
point sur les usages des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) et les liens qu’il y
a à faire entre ceux-ci et la santé mentale.
http://www.ascodocpsy.org/santepsy/Base/757225
La santé mentale au Maroc : enquête nationale sur la prévalence des troubles mentaux et des
toxicomanies. D. Moussaoui. [Article scientifique]. In : L'Encéphale, décembre 2007, Volume 33,
numéro S4, pages 125-126
http://www.em-premium.com/showarticlefile/135280/main.pdf
Quelle approche adopter envers les personnes âgées confrontées à des problèmes de toxicomanie,
de santé mentale et de jeu : guide à l'intention des intervenants et des bénévoles Collectif.
[Rapport]. Toronto : Centre de toxicomanie et de santé mentale, 2006, 54 p.
Résumé : Concis et facile à lire, ce guide décrit les problèmes d’alcool, d’anxiété, de démence, de
dépression, de jeu et de médicaments et la façon dont ils se manifestent chez les personnes âgées. Il
fournit également des conseils sur la façon d’aborder ces questions avec ces personnes ainsi que sur
les moyens d’obtenir de l’aide.
http://www.ifac-addictions.fr/jeu_personnes_agees.pdf
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 13
Le processus d'élaboration des lignes directrices pour de meilleures pratiques : l'exemple des
troubles concomitants de santé mentale, d'alcoolisme et de toxicomanie : De "meilleurs pratiques"
à "pratiques novatrices". Nadeau Louise. [Article scientifique]. In : Santé mentale au Québec, vol. 28,
n° 1, 2003, pages 37-53.
Résumé : Tout au long de 2001, une équipe de chercheurs et de cliniciens, soutenus par Santé
Canada, ont développé des lignes directrices pour les meilleures pratiques relatives aux troubles
concomitants de santé mentale et d'alcoolisme et de toxicomanie.
Cet article décrit tout d'abord l'importance des meilleures pratiques pour Santé Canada pour ensuite
retracer le processus de recherche et de consultation qui a été suivi par l'équipe de rédaction.
On espère que ces éléments méthodologiques pourront servir de référence pour le développement
de meilleures pratiques pour d'autres problématiques en santé mentale.
Cet article ne résumera pas le contenu des lignes directrices pour les meilleures pratiques, qui sont
l'objet de la monographie si ce n'est pour illustrer par des exemples ce que l'on veut transmettre au
lecteur.
http://www.erudit.org/revue/smq/2003/v28/n1/006980ar.pdf
L'impact éventuel de la consommation des drogues sur la santé mentale de leurs consommateurs.
Cabal Christian [Rapport]. Paris : Assemblée nationale, 2002, 206 p.
Résumé : La toxicomanie constitue un problème majeur de santé publique. De nouvelles drogues et
de nouveaux comportements apparaissent et il est important d'analyser les conséquences de ces
nouvelles données sur la santé mentale de la population. Ce rapport tente d'éclairer le législateur sur
les effets des drogues sur le cerveau. Il s'agit d'une démarche sans idée préconçue, et qui s'appuie
sur les principaux travaux scientifiques.
http://www.assemblee-nationale.fr/11/pdf/rap-oecst/i3641.pdf
Traitements spécialisés des personnes ayant des problèmes concomitants de santé mentale et de
toxicomanie : un modèle intégrant la thérapie dialectique comportementale : Les doubles
diagnostics. Collectif. [Article scientifique]. In : Santé mentale au Québec, vol. 26, n° 2, 2001, pages
132-156.
Résumé : Cet article décrit un programme de traitements intégrés pour personnes ayant des troubles
comorbides de santé mentale et de toxicomanie. La thérapie dialectique comportementale (TDC) a
été développée à l'origine par Linehan à l'intention des individus souffrant de troubles de
personnalité limite et chroniquement suicidaires. Ses principes ont fourni le cadre pour l'organisation
d'un programme de traitements spécialisés dans les domaines suivants : toxicomanie et trouble de
personnalité limite, troubles liés aux substances et colère, et troubles liés aux substances et troubles
alimentaires. Un aperçu de la TDC et les raisons qui appuient un programme concomitant basé sur
cette approche sont discutés. On décrit les protocoles pour trois sous-groupes de patients, en
portant une attention particulière aux similitudes et aux différences avec le protocole standard de la
TDC.
http://www.erudit.org/revue/smq/2001/v26/n2/014529ar.pdf
Traitement concomitant de la psychose et de la toxicomanie : Les doubles diagnostics. Vincent M.,
Gagne C, Therien J. [Article scientifique]. In : Santé mentale au Québec, vol. 26, n° 2, 2001, pages 92-
105.
Résumé : La prévalence élevée de problèmes de toxicomanie chez les psychotiques et le peu de
ressources répondant à leur réalité complexe ont conduit une équipe multidisciplinaire du Centre de
santé mentale communautaire (CSMC) de l'Hôpital Saint-Luc à mettre sur pied un groupe permettant
des interventions sur la toxicomanie et la psychose de façon concomitante.
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 14
Suite à la présentation brève de la problématique et des modèles d'intervention prônés dans la
littérature, cet article vise à résumer l'expérience de l'équipe du CSMC et leur stratégie afin de
répondre aux besoins de ces patients.
Ainsi, cet article présente les raisons des modifications apportées au cours des années, la pertinence
de l'approche motivationnelle auprès de ces patients souvent peu motivés à changer leurs
comportements toxicomaniaques et les forces et les limites de cette approche.
http://www.erudit.org/revue/smq/2001/v26/n2/014527ar.pdf
EFFETS DES MEDICAMENTS ET IATROGENIE MEDICAMENTEUSE
Iatrogénie médicamenteuse : 7 seniors sur 10 se sentent concernés. MyPharmaEditions. [En ligne]
http://www.mypharma-editions.com/iatrogenie-medicamenteuse-7-seniors-sur-10-se-sentent-
concernes (Page consultée le 26/11/2015)
Venlafaxine : plus dangereuse que la plupart des antidépresseurs sérotoninergiques dits sélectifs.
Collectif. [Article scientifique]. In : Revue Prescrire, Tome 35, n°386. Décembre 2015. P.906-910
http://www.prescrire.org/
Petit Manuel de Pharmacovigilance. (Profil des effets indésirables des médicaments psychotropes).
Collectif. In : Revue Prescrire, Novembre 2011. [En ligne] (Page consultée le 22/12/2015)
Résumé : Cette sélection de textes extraits de Prescrire vise à aider, à connaître et à comprendre les
effets d'un médicament pour mieux prévoir les conséquences de ces effets, et mieux mettre les
patients à l'abri des effets indésirables.
Prescrire présente dans ce "Petit manuel" une sélection de textes publiés ces dernières années pour
proposer quelques repères importants, des raisonnements de base, des concepts indispensables
pour mieux comprendre les domaines de la pharmacovigilance et de la pharmacologie clinique. Cette
sélection est conçue d'abord à l'usage des futurs professionnels de santé : pharmaciens, médecins,
infirmiers, sages-femmes, chirurgiens-dentistes, etc. Elle est destinée à être utilisée aussi en
formation continue, notamment pour orienter les pratiques vers plus de prudence.
http://www.prescrire.org/Fr/101/325/47320/0/PositionDetails.aspx
Du bon usage des psychotropes : Le médecin, le patient et les médicaments. Alain Gérard.
[Ouvrage] Éditeur : Albin Michel, 2005, 224 p.
Résumé : Les Français sont les premiers consommateurs mondiaux de psychotropes. Peut-on se
soigner sans se droguer ? Alain Gérard, psychiatre, ancien chef de service adjoint des hôpitaux
psychiatriques, expert auprès de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé,
répond en s'insurgeant contre les vérités toutes faites. La parole ou la pilule, pourquoi choisir ? Dans
la pratique, les deux approches s'entremêlent sans cesse. Pourquoi se priver de prescrire un
médicament qui apaise d'abord un patient que l'on va engager dans une psychothérapie au long
cours ? Notre société considère avec suspicion, et culpabilise même parfois, ceux qui, pour soulager
leurs troubles psychiques, ont recours aux psychotropes... Certains praticiens eux-mêmes
déconseillent ou interdisent un tel traitement à leurs patients en analyse ou en psychothérapie. À
travers une série de cas (une femme souffrant d'anxiété généralisée, un patient maniaco-dépressif
un enfant hyperactif, une phobique sociale, un adolescent en crise...), le Dr Alain Gérard montre la
complexité de la relation thérapeutique qui se tisse chez le psychiatre et l'importance du temps
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consacré à l'écoute. Et il plaide pour un usage raisonnable et raisonné des psychotropes sur la base
d'une information rigoureuse des patients et d'une formation approfondie des médecins.
http://www.albin-michel.fr/
Puissance des psychotropes, pouvoir des patients. Philippe Pignarre. [Ouvrage] Éditeur : Puf, 1999,
160 p.
Résumé : Les tranquillisants créent une dépendance mais ne font pas peur aux patients, les
antidépresseurs n’en créent pas, mais effraient : fantasmes et idées reçues sur les médicaments de
l’esprit, et pourquoi on en consomme autant.
http://www.amazon.fr/
VIH-SIDA : Vivre avec les traitements : Conditions psychologiques : Aux prises avec le corps.
Vasconcellos D., Picard O., Ichai S. [Article scientifique]. In : L'Information psychiatrique, vol. 78, n°
10, 2002, pages 987-998
Résumé : Cette recherche longitudinale s'est intéressée à l'organisation psychique des individus
gestionnaires d'un traitement contraignant-les thérapies anti-rétrovirales - confrontés aux aléas de la
vie, pendant la première année de leur traitement.
http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=14473812
Tolérance hépatique des antipsychotiques atypiques. Collectif. [Article scientifique]. In :
L'Encéphale, vol. 28, n° 6, CAH1, 2002, pages 542-551
Résumé : La stratégie dans le choix d'un antipsychotique doit souvent prendre en compte la
tolérance hépatique du fait d'une incidence non négligeable de troubles préexistant chez les patients
psychotiques (facteurs de risque parfois retrouvés dans cette population tels qu’alcoolisme, pratique
addictive, polymédication incluant des principes actifs à potentiel hépatotoxique).
La mise en place d'études multicentriques présenterait l'intérêt de comparer les molécules entre
elles en termes de fréquence de survenue d'une atteinte hépatique et de tolérance à long terme et
permettrait de faire ressortir d'éventuels facteurs de risque.
http://www.em-premium.com/article/83154/article/tolerance-hepatique-des-antipsychotiques-
atypiques
ACTIVITES PHYSIQUES ET SPORTIVES
Pratique d'une activité physique régulière après la période post-partum : principaux facteurs
influents et implications pour la prise en charge physiothérapeutique. Dumont, Caroline ; Fischer,
Lolita ; Cuvelier, Virginie (Dir.). [Mémoire], Haute école de Genève. 2015. 77 p.
Résumé : Par ses spécificités physiques, psychiques et sociales, la période suivant une naissance est
considérée à risque pour le développement d’habitudes sédentaires chez la femme. L'objectif de
cette revue de la littérature est d'identifier les croyances et les barrières déterminant un mode de vie
actif ou non, ceci afin d'optimiser le message de promotion de l'activité physique auprès de cette
population.
http://doc.rero.ch/record/257170/files/TBSC_Dumont_Fischer.pdf
Bouger pour être en bonne santé… mentale. Institut national de santé publique du Québec. Revue
Topo. [Article] Septembre 2015, Numéro 10. 8 p.
http://sism69.fr/sitewp/wp-content/uploads/2015/10/INSPQ_bouger_sante_mentale.pdf
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Activité physique et prévention des chutes chez les personnes âgées. Synthèse et
recommandations. INSERM. [Rapport] 2014. 114 p.
Résumé : Avec l’avancée en âge, chaque personne peut être atteinte par des déficiences sensorielles,
motrices et cognitives, ainsi que par des pathologies chroniques. Au-delà de 85 ans, plus des trois
quarts des Français déclarent des limitations dans leurs activités.
Les chutes, événements fréquents chez les personnes âgées, participent aux risques de perte
d’autonomie et d’entrée en institution, et s’avèrent très coûteuses en termes de qualité de vie et de
prise en charge. Dans un contexte de vieillissement de la population, leur prévention et la
préservation de l’indépendance dans les activités quotidiennes représentent donc des enjeux
majeurs de santé publique.
http://www.inserm.fr/mediatheque/
Inégalités sociales de santé en lien avec l’alimentation et l’activité physique. INSERM. [Rapport]
2014. 90p.
Résumé : En France, comme dans d’autres pays, il existe de fortes inégalités sociales en santé comme
le montrent les différences de morbidité et de mortalité selon la position d’un individu sur l’échelle
socioéconomique. Par exemple, à 35 ans, les cadres supérieurs ont une espérance de vie supérieure
de 6 ans par rapport aux ouvriers. Les habitudes de vie, comme la consommation d’alcool et de
tabac, l’alimentation et l’activité physique sont reconnues comme des déterminants majeurs de la
santé. Il existe un gradient social des comportements de santé qui se manifeste dès l’enfance et se
prolonge jusqu’à la vieillesse.
http://www.inserm.fr/mediatheque/
Activités physiques, soins en psychiatrie et santé mentale. Davanture Olivier. [Article scientifique]
In : Revue de L'infirmière, 2014, vol 63, n°198, p. 27-28
Résumé : A Ville-Evrard, en psychiatrie, les activités sportives constituent un outil thérapeutique
parmi d'autres. Les séances multisports journalières, animées notamment par un infirmier, sont
positionnées dans le dispositif de soins. Le sport permet aux patients de se dépenser, mais c'est
surtout une médiation thérapeutique qui favorise la communication verbale et non verbale.
http://www.em-premium.com/article/868457/article/activites-physiques-soins-en-psychiatrie-et-
sante-
Perte d’activité due à des problèmes de santé habituels : résultats français de l’étude OMS sur les
troubles mentaux (WMH). R. Icick, V. Kovess, I. Gasquet, J.-P. Lépine. [Article scientifique] In :
L’encéphale, Volume 40, Issue 4, Septembre 2014, Pages 338–344.
Résumé : Le fardeau lié aux problèmes de santé, troubles mentaux inclus, a été peu étudié en
France. Aussi avons-nous analysé les données françaises résultant de l’enquête sur la santé mentale
dans le monde (World Mental Health [WMH]) mise en place par l’Organisation mondiale de la santé
(OMS), en nous intéressant aux journées d’activité perdues liées à des problèmes de santé courants
en population générale. Des entretiens en face-à-face ont été réalisés chez 2894 sujets (taux de
réponse 45,9 %) afin de repérer dix maladies physiques et neuf troubles mentaux et d’évaluer les
jours où les sujets interrogés n’avaient pas pu assurer leurs activités habituelles. L’association entre
le nombre de jours d’inactivité et des troubles spécifiques, comorbidités comprises, a été évaluée par
régression multiple. Mille quatre cent trente-six sujets ont été inclus dans l’analyse. Le nombre de
jours d’inactivité liés à des problèmes de santé était le plus élevé chez les sujets souffrant de troubles
mentaux, tant au niveau individuel que sociétal. Les données de l’étude de santé mentale de l’OMS
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 17
confirment l’importance des troubles mentaux dans les coûts sociétaux en France et devrait
permettre d’affiner les futures politiques de santé publique.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013700614000499
Etude comparative de trois méthodes d'activités physiques adaptées chez des personnes âgées.
Orliac Baptist, Mourey France. [Article scientifique] In : Gériatrie et psychologie & Neuropsychiatrie
du vieillissement, 2014, vol 12, n°1, p. 34-42
Résumé : L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité de l’activité physique adaptée dans
trois modalités différentes (exercices de marche, d’équilibre, de renforcement musculaire) chez des
patients âgés en phase de rééducation parallèlement à une prise en charge traditionnelle en
rééducation. L’étude porte sur 30 patients dont 18 femmes et 12 hommes. L’âge moyen est de 82
ans. En début et en fin d’entraînement les patients ont été testés en utilisant : la vitesse de marche,
le Timed up and go test, la Berg balance scale, le 30- second chair stand test, la Mesure de
l’indépendance fonctionnelle (MIF). Le groupe Marche montre une amélioration significative à
l’ensemble des tests entre le Pré-test et le Post-test à 2 semaines. Les résultats montrent un effet
très significatif de la pratique des activités physiques adaptées, indépendamment de l’âge des
patients sur la totalité des tests. La stagnation des progressions entre deux et quatre semaines, qui
concerne davantage les plus âgés (plus de 85 ans) souligne l’intérêt d’une prise en charge précoce du
patient, et la nécessité d’insister sur la prise en charge lors des deux premières semaines pour
obtenir davantage de progrès, notamment à travers les parcours de marche
http://www.jle.com/
5 recommandations pour permettre aux jeunes d’être plus actifs à l’école. Association pour la
santé publique du Québec & Coalition Poids. [Livret], 2013. 12 p.
Résumé : Afin d’augmenter et de maximiser les occasions pour les jeunes d’être actifs, du moment
où ils partent le matin pour l’école jusqu’à leur retour à la maison, un comité d'experts réunis par la
Coalition Poids propose 5 recommandations efficaces et prometteuses destinées au gouvernement,
au milieu scolaire et aux municipalités. Ces pistes de solution permettent de rejoindre un nombre
important de jeunes, quel que soit leur statut socioéconomique, et peuvent être adaptées en
fonction de la réalité de chaque milieu.
http://www.cqpp.qc.ca/documents/file/2013/5-recommandations-jeunes-actifs-ecole_2013-02.pdf
Actes de la journée régionale interprofessionnelle : Pratique d’activités physiques et sportives des
personnes avec handicap cognitif, mental et troubles du comportement. IREPS, DRJSCS. [Actes]
Lyon : IREPS, 2013. 73 p.
http://education-sante-ra.org/publications/2014/actes_reactivite_14-11-2013.pdf
Activités Physiques et Sportives (APS) & handicap mental, cognitif et troubles du comportement –
L’état des lieux. IREPS, DRJSCS. [Rapport] Lyon : IREPS, 2013. 6 p.
Résumé : Ce document, réalisé dans le cadre du programme Réactivité financé par la DRJSCS, fait le
point sur l’intérêt de la pratique des Activités Physiques et Sportives (APS) pour les publics en
situation de handicap ; présente les politiques publiques et les règlementations qui soutiennent les
démarches de promotion de l’APS ; décrit l’offre disponible en milieu scolaire, en milieu sportif et
dans le secteur médico-social. Le point de vue des familles sur cette question est également évoqué.
Cet état des lieux est complété par la présentation de ressources disponibles dans la région (sites,
référents handicap).
http://education-sante-ra.org/publications/2013/aps_etat_des_lieux.pdf
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 18
Barrières et motivation à l’activité physique chez l’adulte atteint de schizophrénie : revue de
littérature systématique. Collectif. [Article scientifique] In : Science & Sports, Volume 28, Issue 5,
Octobre 2013, Pages 247–252.
Résumé : Cette revue de littérature systématique identifie les barrières et les facteurs motivationnels
à la pratique d’activité physique (AP) chez les sujets schizophrènes.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0765159713000567
Les activités physiques adaptées et la psychiatrie. Zacharie Marion. [Article scientifique] In : Soins
psychiatrie, 2013, n°285, p. 12-15
Résumé : Les activités physiques adaptées (APA) peuvent avoir lieu aussi bien au sein des hôpitaux
qu’à l’extérieur. Elles ont une place particulière dans le paysage psychiatrique. Le cadre dans lequel
elles se déroulent est structuré, réfléchi et organisé. Elles sont utilisées, entre autres, à des fins de
prévention, de rééducation et de réhabilitation, et leur influence sur le bien-être des patients est
avérée
http://www.em-premium.com/article/793525
Santé, activité physique et bien être pour les seniors. Collectif. [Ouvrage] Paris : Editions Chiron,
2012, 148 p.
Résumé : Dans cet ouvrage, les auteurs nous font part des dernières avancées et observations
scientifiques concernant l'activité physique chez les seniors.
Ils abordent : les grands enjeux en activité physique et vieillissement, les fonctions musculaires et le
vieillissement, les fonctions cardio-pulmonaires, le rôle de l'activité physique par rapport à
l'ostéoporose et à l'arthrose, les fonctions immunitaires, la cognition et la santé psychologique et
enfin les limites et perspectives d'avenir.
http://www.amazon.fr/
Bénéfices des activités physiques adaptées dans la prise en charge de la schizophrénie : revue
systématique de la littérature. P. Bernard, G. Ninot. [Article scientifique] In : L’encéphale, Volume
38, Issue 4, Septembre 2012, Pages 280–287.
Résumé : Les bénéfices des activités physiques (AP) sont étudiés dans des maladies chroniques
depuis une vingtaine d’années et plus récemment, dans des pathologies psychiatriques. Cette revue
de littérature systématique porte sur l’efficacité de programmes d’AP spécifiques sur les symptômes
schizophréniques et les atteintes physiques ainsi que sur les modes de prise en charge. Les
programmes en AP semblent améliorer les symptômes schizophréniques mais le nombre d’études
contrôlées randomisées reste trop faible pour conclure. Des programmes multidisciplinaires incluant
des AP montrent leur efficacité dans la limitation, voire la baisse, des troubles métaboliques induits
par les traitements antipsychotiques. Plusieurs modalités de programme potentialisent les bénéfices,
une durée minimale de 12 semaines, des AP sollicitant la voie énergétique aérobie (20 à 40 minutes
d’effort continu) et une intensité moyenne d’effort (50 à 60 % de la fréquence cardiaque maximale).
Un manque d’études randomisées contrôlées limite la généralisation des résultats.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013700611001369
L'activité physique adaptée en Ehpad. Capelli Thomas. [Article scientifique] In : Soins Gérontologies,
2012, n°95, p. 26-29
Résumé : La pratique d’une activité physique est source de stimulation aux niveaux cognitif,
psychologique et social. Pour les personnes âgées, elle permet d’améliorer l’autonomie et de réduire
le niveau de dépendance. Bien choisir les activités physiques adaptées dans un établissement
Copyright / Comité national d’organisation des SISM – décembre 2015 19
d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) participe ainsi à la démarche
thérapeutique.
http://www.em-premium.com/article/716845
Corps, vieillissement et identité : entre préservation et présentation de soi. Place des activités
physiques et sportives. Feillet Raymonde. [Ouvrage] Toulouse : Erès, 2012, 196 p.
Résumé : Envisager le corps dans son aspect purement physique demeure réducteur et conduit à
l'occultation de l'âge. Le corps pour soi (la manière dont la personne se perçoit) et le corps pour les
autres (livré aux regards des autres et image renvoyée par autrui) sont ici convoqués pour tenter de
comprendre les mécanismes de (re)construction identitaire au cours du vieillissement. L'auteur
développe la notion d'équilibre identitaire comme point dynamique au centre des différentes
tensions exercées alternativement ou conjointement sur le corps biologique, la perception de son
image et l'image de soi renvoyée par le regard des autres. Elle croise plusieurs modèles théoriques
issus de la phénoménologie, de la sociologie et de la psychanalyse en s'intéressant aux
représentations sociales et culturelles de la vieillesse (diffusées par exemple dans les médias)et à
l'expérience corporelle individuelle du vieillissement, notamment à travers l'analyse de la place des
activités physiques et sportives.
https://www.cairn.info/corps-vieillissement-et-identite--9782749215815.htm
Mobilité cognitive et mouvements physiques, une importance capitale. Andrieu Bernard, Gerardin
Pascale. [Article scientifique] In : Soins Gérontologies, 2012, n°95, p. 35-37
Résumé : Le vieillissement est souvent décrit comme une crise. Il induit une rupture dans un
équilibre antérieur. Les activités physiques peuvent permettre de s’adapter à l’avancée en âge
comme processus dynamique d’investissement de soi. Elles sont aussi des méthodes de prise en
charge non médicamenteuses des maladies d’Alzheimer et apparentées. La déambulation, si
fréquente chez les patients souffrant de troubles cognitifs, paraît signifier l’importance du
mouvement comme dans un principe de retour au corps et de fonctionnalité préverbale.
http://www.em-premium.com/article/716847
Bénéfices des activités physiques adaptées dans la prise en charge de la schizophrénie : revue
systématique de la littérature. P. Bernard, G. Ninot. [Article scientifique] In : L'Encéphale,
septembre 2012, Volume 38, numéro 4, pages 280-287
Résumé : Les bénéfices des activités physiques (AP) sont étudiés dans des maladies chroniques
depuis une vingtaine d’années et plus récemment, dans des pathologies psychiatriques. Cette revue
de littérature systématique porte sur l’efficacité de programmes d’AP spécifiques sur les symptômes
schizophréniques et les atteintes physiques ainsi que sur les modes de prise en charge. Les
programmes en AP semblent améliorer les symptômes schizophréniques mais le nombre d’études
contrôlées randomisées reste trop faible pour conclure. Des programmes multidisciplinaires incluant
des AP montrent leur efficacité dans la limitation, voire la baisse, des troubles métaboliques induits
par les traitements antipsychotiques. Plusieurs modalités de programme potentialisent les bénéfices,
une durée minimale de 12 semaines, des AP sollicitant la voie énergétique aérobie (20 à 40minutes
d’effort continu) et une intensité moyenne d’effort (50 à 60 % de la fréquence cardiaque maximale).
Un manque d’études randomisées contrôlées limite la généralisation des résultats.
http://www.em-premium.com/article/751665
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Promouvoir la santé mentale par un counseling sur l’activité physique. Julie Beaulac. [Article] In :
Canadian Family Physician, Avril 2011, Vol 57. 3 p.
Résumé : Les bienfaits pour la santé physique d’une activité physique (AP) régulière sont bien
documentés. De nombreux articles dans Le Médecin de famille canadien ont fait valoir la nécessité
de faire plus de counseling sur l’AP pour prendre en charge et prévenir les maladies physiques. Des
données scientifiques indiquent que l’AP est efficace aussi dans la promotion de la santé mentale et
la prise en charge des problèmes de cette nature.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3076494/pdf/057e122.pdf
Spectre autistique et éducation physique et sportive : vers des perspectives d'apprentissage ?
Moretton Jean-Paul, Dugas Eric. [Article scientifique] In : ANAE, 2011, vol 23, n°115, p. 452-459
Résumé : Généralement, les activités physiques et sportives enseignées à l'école sont peu
représentées dans le milieu spécialisé. La recherche présentée ici tente de mettre en évidence que
les pratiques, socialement reconnues, peuvent être accessibles à de jeunes autistes. Les résultats de
la recherche de terrain menée sur deux ans dans un établissement spécialisé révèlent que certaines
pratiques sportives enseignées sont plus favorables et adaptées à l'apprentissage ludomoteur pour
ces jeunes autistes.
http://www.ascodocpsy.org/santepsy/Base/841799
Gym douce pour les personnes handicapées (ou à mobilité réduite). Choque Jacques, Quentin
Olivier. [Ouvrage]. Paris : Amphora, 2011, 240 p.
Résumé : La poursuite d'activités a une influence très bénéfique sur le comportement et le
développement des possibilités de toute personne ayant un handicap.La gym douce, solution
privilégiée pour favoriser la conscience de soi et équilibrer la tonicité, s'avère également un excellent
vecteur de communication. En effet, si la prise de conscience corporelle, la connaissance de son
corps et le maintien des capacités physiques sont importants, c'est avant tout la relation, le plaisir
d'échanger et le jeu qui sont le moteur du développement de soi. Après un rappel des connaissances
théoriques, l'objectif recherché consiste à développer des séances cohérentes construites autour de
400 exercices ludiques aux objectifs bien définis : adresse et coordination, équilibre, mobilité
articulaire, souplesse, renforcement musculaire et tonification, communication motrice et
sociabilisation, conscience du corps et affinement sensoriel, mémorisation. Chaque exercice est
présenté très clairement par des consignes précises et de nombreux dessins didactiques.Ce manuel
résolument pratique, exhaustif et pragmatique, répond aux attentes de toute personne souhaitant
mettre en place une activité d'entretien spécialement adaptée aux personnes handicapées ou à
mobilité réduite.
http://livre.fnac.com/
Professeur d’activités physiques adaptées en gériatrie. Anne-Marie Bonnery. [Article scientifique]
In : Soins Gérontologie, mars-avril 2011, Vol 16, N° 88, p. 19
Résumé : L’activité physique est essentielle pour tous, et notamment pour les personnes âgées
inclues, c’est pourquoi une mention spécifique à la licence sciences et techniques des activités
physiques et sportives a été mise en place. Rencontre avec Sylvie Nicolas, professeur d’activités
physiques adaptées en gériatrie.
http://www.em-premium.com/article/285029
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Vieillissement, bien-être et dépression : le rôle des activités et des loisirs. Collectif. [Article
scientifique] In : NPG : Neurologie, Psychiatrie, Gériatrie, 2010, vol 10, n°57, p. 106-110
Résumé : Les auteurs examinent l’impact des activités et des loisirs sur le niveau de dépression, une
des variables associée au bien-être et à l’adaptation. L’échantillon étudié est constitué de 571
personnes âgées de 66 à 95 ans. Les résultats montrent un impact positif des activités de temps libre
sur la dépression, les activités physiques sont primordiales, de même que les activités impliquant un
engagement social. Au-delà des spécificités des activités, c’est l’aspect fondamental des échanges
interpersonnels pour le bien-être qui est réaffirmé
http://www.em-premium.com/article/256033
Recommandations mondiales sur l’activité physique pour la santé. OMS. [Rapport], 2010, 60 p.
Résumé : L'OMS a mis au point les Recommandations mondiales en matière d'activité physique pour
la santé dans le but de fournir aux décideurs politiques nationaux et régionaux des indications sur la
relation dose/effet entre la fréquence, la durée, l'intensité, le type et la quantité totale d'activité
physique nécessaire pour prévenir les maladies non transmissibles.
Table des matières : 1.Exercice physique. 2. Style vie. 3. Promotion santé. 4. Maladie chronique -
prévention et contrôle. 5. Programme national santé.
http://www.sports.gouv.fr/IMG/pdf/2-1_recommandations_aps_oms.pdf
Prescription des activités physiques : en prévention et en thérapeutique. Depiesse Frédéric, Grillon
Jean-Luc, Coste Olivier. [Ouvrage] Issy-les-Moulineaux : Elsevier Masson, 2009, 383 p.
Résumé : Au-delà du sport de compétition, les activités physiques (AP) incluent aussi le sport de
loisirs encadré et non encadré ainsi que les AP quotidiennes ménagères, professionnelles ou de
transport qui permettent de lutter contre la sédentarité. La prescription de ces AP sur ordonnance
est un acte médical de prévention, de soin et d'éducation pour la santé des porteurs de pathologies
chroniques et celle des sédentaires. L'objectif de cet ouvrage est d'apporter les connaissances
nécessaires dans un but de prescription au quotidien par les médecins et de conseils par les autres
professionnels de santé. Les auteurs abordent successivement les données physiologiques, les
risques et les outils d'évaluation de la pratique d'AP ; les recommandations pour la pratique d'AP en
cas de pathologie : obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, arthrose, ostéoporose, asthme,
pathologies neurologique t et psychiatrique, etc. ; les particularités dues à la grossesse et les
spécificités selon l'âge.
http://www.amazon.fr/
Activités physiques ou sportives : quels bénéfices ? Quels risques ? Revue ADPS. Actualité et
dossier en santé publique. [Article] Juin 2009, n° 67. 10 p.
http://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Telecharger?NomFichier=ad671827.pdf
Activités physiques ou sportives : quels bénéfices pour la santé ? Oppert JM. [Article scientifique]
In : ADSP : Actualite et dossier en sante publique, 2009, n°67, p. 20-23.
http://www.hcsp.fr/explore.cgi/Adsp?clef=107
Activité physique : Contextes et effets sur la santé. INSERM. [Plaquette]. 2008. 2 p. Sur demande.
Activité physique : Contextes et effets sur la santé. INSERM. [Document intégral]. 2008. 826 p.
Résumé : À l’issue de la synthèse des données, le groupe d’experts propose de promouvoir l’activité
physique pour tous en insistant sur ses bienfaits pour la santé et de développer l’activité physique
chez l’enfant et l’adolescent sous des formes ludiques intégrées au temps scolaire. Il souligne la
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nécessité d’adapter les recommandations d’exercice physique pour les patients atteints de
pathologie chronique en fonction de leur état de santé.
http://www.ipubli.inserm.fr/handle/10608/80
Psychologie de la santé et activités physiques et sportives. Alles jardel M. [Article scientifique] In :
PSYCHOLOGIE FRANCAISE, 2007, vol 52, n°4, p. 387-430
http://www.em-consulte.com/en/article/67440
La santé... par l’activité physique. Revue La santé de l’homme. [Revue en ligne] Janvier-Février
2007, n°387. 50 p.
Résumé : Quel est l’intérêt de l’activité physique pour la santé ? Comment inciter jeunes et moins
jeunes à pratiquer ? C'est le thème du dossier central de ce numéro dans lequel quinze experts
présentent l'état des connaissances et pratiques innovantes en la matière.
Présentation par ailleurs de l’Espace santé jeunes de Nanterre, une structure innovante de
prévention et d’accueil pour les 12-25 ans qui échappent au circuit habituel du soin et du social.
http://www.inpes.sante.fr/SLH/sommaires/387.asp
Les activités physiques et sportives en psychiatrie, un tremplin à la réadaptation ? Bellet S. [Article
scientifique] In : Soins psychiatrie, 2002, n°218, p. 40-42
https://ubside.univ-ubs.fr/catalogue/108036
Activité physique et avancée en âge. Collectif. [Article scientifique]. In : Soins Gérontologie, n° 24,
2000, pages 3-23.
Résumé : Dossier spécial concernant l'activité physique et les personnes âgées. Les différents articles
concernent le vieillissement des capacités physiques, l'impact de l'activité sur la santé mentale et
physique, les olympiades sportives internationales du bel âge, plan d'activité physique et
vieillissement en Auvergne, l'équilibre et les seniors, la gymnastique douce.
http://www.bdsp.ehesp.fr/
Activité physique et santé mentale. Trait d'Union Montérégien. [Article]. 10 p.
Résumé : On sait tous que l’activité physique est bonne pour la santé. Meilleur tonus musculaire,
plus grande mobilité, meilleure circulation sanguine, maintien d’un poids santé, les bienfaits de
l’activité physique sur le corps ne sont plus à démontrer. Mais qu’en est-il de ses effets sur la santé
mentale ?
http://www.tumparraine.org/pdf_sante/activite-physique.pdf
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BIEN-ÊTRE
Le boum de la méditation. Valérie Borde. In : L’actualité.com [En ligne]
http://www.lactualite.com/societe/le-boum-de-la-meditation/ (Page consultée le 26/11/2015)
La méditation, pas plus efficace que le placebo contre la douleur. La rédaction d'Allodocteurs.fr.
[En ligne] http://www.allodocteurs.fr/bien-etre-psycho/relaxation/meditation/la-meditation-pas-
plus-efficace-que-le-placebo-contre-la-douleur_17902.html (Page consultée le 26/11/2015)
Méditer : un esprit sain dans un corps sain. Christophe André. [En ligne]
http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-mediter-un-esprit-sain-dans-un-corps-sain-
36110.php (Page consultée le 26/11/2015)
Les pratiques psychocorporelles. Collectif. [Dossier] In : Revue Soins, Volume 59, numéro 787, juillet
2014, p. 15-42.
Sommaire : L'intégration des pratiques psychocorporelles dans les soins - Les approches
psychocorporelles au service de la formation des étudiants - La place des pratiques
psychocorporelles en santé au travail, au domicile - Yoga et contes en santé mentale - Le massage en
réseau de soins palliatifs.
http://www.em-premium.com/revue/soin/59/787
Revue des effets de la méditation de pleine conscience sur la santé mentale et physique et sur les
mécanismes d'action. NGÔ Thanh-Lan. [Article scientifique]. In : Santé mentale au Québec, 2013,
vol 38, n°2, p. 19-34
Résumé : Les interventions basées sur la pleine conscience deviennent de plus en plus populaires. Le
présent article présente une recension de ses effets sur la santé mentale et physique, des
mécanismes d’action et des recherches en neurobiologie
http://www.erudit.org/revue/smq/2013/v38/n2/1023988ar.html?vue=resume&mode=restriction
Bien-être et santé mentale : des atouts indispensables pour bien vieillir. Ladoucette O. [Rapport].
Paris : Ministère du travail, de l'emploi et de la santé, 2011, 38 p.
Résumé : Ce rapport met en avant les facteurs ayant une action positive sur le bien-être et la santé
mentale qui peuvent aider la personne âgée à conserver et à optimiser son autonomie : Conserver
une bonne estime de soi, garder une identité positive, lutter contre l’isolement et la solitude, avoir le
contrôle sur sa vie, savoir s’adapter. Les recommandations issues de ce rapport alimenteront le
second plan national ‘Bien vieillir’ actuellement en préparation avec le ministère de l’Ecologie, du
Développement durable, des Transports et du Logement, le ministère des Solidarités et le ministère
des Sports. Ce plan a pour ambition de proposer les clefs pour un ‘vieillissement réussi’, tant du point
de vue de la santé individuelle que des relations sociales, en valorisant l’organisation et la mise en
œuvre d’actions de prévention adaptées.
http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_Bien-
etre_et_sante_mentale_des_atouts_indispensables_pour_bien_vieillir.pdf
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Psychomotricité et relaxation thérapeutique : critères de base pour intervenir en santé mentale.
Novais R., Maximiano J. [Article scientifique]. In : Evolutions Psychomotrice, 2003, vol 15, n°62, p.
204-208.
Résumé : Dans cet article sont abordés les modèles d'intervention en psychomotricité dans le
contexte de la Santé Mentale au Portugal. Nous faisons ressortir l'importance du travail en équipe
pluridisciplinaire dans laquelle s'intègrent la psychomotricité et la relaxation thérapeutique. Sont
abordées des pathologies qui sont des indications pour la thérapie psychomotrice en se référant à
ses caractéristiques et à ses critères d'intervention.
http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=16327052
« BIEN VIEILLIR »
L'UFSBD dénonce la dégradation de la santé bucco-dentaire chez les personnes âgées. Florian
Sourieau. In : VivreFM.fr [En ligne] http://www.vivrefm.com/infos/lire/2745/l-ufsbd-denonce-la-
degradation-de-la-sante-bucco-dentaire-chez-les-personnes-agees (Page consultée le 26/11/2015).
L’effet de l’âge, du genre et du statut socioéconomique sur l’utilisation des services de médecine
générale pour des symptômes de détresse psychologique : résultats du programme de recherche
ESA sur la santé mentale et le vieillissement. Collectif. [Article scientifique]. In : Santé mentale au
Québec, Volume 39, numéro 1, printemps 2014, p. 243-272
Résumé : L’objectif de cette étude était, premièrement, de documenter les propriétés
psychométriques d’une mesure du statut socioéconomique des personnes âgées et, deuxièmement,
de documenter l’effet du statut socioéconomique sur l’association entre le besoin ressenti
d’améliorer sa santé mentale et l’utilisation des services de médecine générale par les personnes
âgées en tenant compte de l’effet de l’âge et du genre.
http://www.erudit.org/revue/smq/2014/v39/n1/1025916ar.html?vue=resume&mode=restriction
Etude comparative de trois méthodes d'activités physiques adaptées chez des personnes âgées.
Orliac Baptiste, Mourey France. [Article scientifique]. In : Gériatrie et psychologie &
neuropsychiatrie du vieillissement, 2014, vol 12, n°1, p. 34-42
Résumé : L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité de l’activité physique adaptée dans
trois modalités différentes (exercices de marche, d’équilibre, de renforcement musculaire) chez des
patients âgés en phase de rééducation parallèlement à une prise en charge traditionnelle en
rééducation. L’étude porte sur 30 patients dont 18 femmes et 12 hommes. L’âge moyen est de 82
ans. En début et en fin d’entraînement les patients ont été testés en utilisant : la vitesse de marche,
le Timed up and go test, la Berg balance scale, le 30- second chair stand test, la Mesure de
l’indépendance fonctionnelle (MIF). Le groupe Marche montre une amélioration significative à
l’ensemble des tests entre le Pré-test et le Post-test à 2 semaines. Les résultats montrent un effet
très significatif de la pratique des activités physiques adaptées, indépendamment de l’âge des
patients sur la totalité des tests. La stagnation des progressions entre deux et quatre semaines, qui
concerne davantage les plus âgés (plus de 85 ans) souligne l’intérêt d’une prise en charge précoce du
patient, et la nécessité d’insister sur la prise en charge lors des deux premières semaines pour
obtenir davantage de progrès, notamment à travers les parcours de marche
http://www.jle.com/fr/revues/gpn/e-
docs/etude_comparative_de_trois_methodes_dactivites_physiques_adaptees_chez_des_personnes
_agees_300061/article.phtml
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Anais. Étude de faisabilité 2010. Alimentation, état nutritionnel et santé mentale des personnes
âgées en institution. Institut de veille sanitaire [Rapport]. 2012, 31 p.
Résumé : Réalisée en 2010, l'objectif de l'étude pilote Anais, était d'évaluer la faisabilité et
l'acceptabilité d'une enquête destinée à décrire, en France métropolitaine, la situation nutritionnelle
(consommations alimentaires, activité physique et état nutritionnel), la santé mentale et la
consommation médicamenteuse des personnes âgées hébergées en institution.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Invs/Rapports/2012/11314_PS.pdf
L'activité physique adaptée en Ehpad. Capelli Thomas. [Article scientifique]. In : Soins Gérontologie,
2012, n°95, p. 26-29
Résumé : La pratique d’une activité physique est source de stimulation aux niveaux cognitif,
psychologique et social. Pour les personnes âgées, elle permet d’améliorer l’autonomie et de réduire
le niveau de dépendance. Bien choisir les activités physiques adaptées dans un établissement
d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) participe ainsi à la démarche
thérapeutique.
http://www.em-premium.com/article/716845
Corps, vieillissement et identité : entre préservation et présentation de soi. Place des activités
physiques et sportives. Feillet Raymonde. [Article scientifique]. Toulouse : Erès, 2012, 196 p.
Résumé : Envisager le corps dans son aspect purement physique demeure réducteur et conduit à
l'occultation de l'âge. Le corps pour soi (la manière dont la personne se perçoit) et le corps pour les
autres (livré aux regards des autres et image renvoyée par autrui) sont ici convoqués pour tenter de
comprendre les mécanismes de (re)construction identitaire au cours du vieillissement. L'auteur
développe la notion d'équilibre identitaire comme point dynamique au centre des différentes
tensions exercées alternativement ou conjointement sur le corps biologique, la perception de son
image et l'image de soi renvoyée par le regard des autres. Elle croise plusieurs modèles théoriques
issus de la phénoménologie, de la sociologie et de la psychanalyse en s'intéressant aux
représentations sociales et culturelles de la vieillesse (diffusées par exemple dans les médias)et à
l'expérience corporelle individuelle du vieillissement, notamment à travers l'analyse de la place des
activités physiques et sportives.
https://www.cairn.info/corps-vieillissement-et-identite--9782749215815.htm
A la recherche d''un corps de bonne humeur, quel que soit l'âge. Beylier Alain. [Article scientifique].
In : Soins Gérontologie, 2012, n°95, p. 30-34.
Résumé : Changer de regard à propos de la vieillesse, et notamment sur les pratiques physiques
suivies par les aînés est un vaste chantier toujours en cours. L’objectif est de sortir de la confusion
entre les conséquences du vieillissement et celles liées à la sédentarité en proposant la vie et le
plaisir de bouger avec des activités de qualité et des professionnels qualifiés.
http://www.em-premium.com/article/716846
Bien-être et santé mentale : des atouts indispensables pour bien vieillir. Ladoucette O. [Rapport]
Paris : Ministère du travail, de l'emploi et de la santé, 2011, 38 p.
Résumé : Ce rapport met en avant les facteurs ayant une action positive sur le bien-être et la santé
mentale qui peuvent aider la personne âgée à conserver et à optimiser son autonomie : Conserver
une bonne estime de soi, garder une identité positive, lutter contre l’isolement et la solitude, avoir le
contrôle sur sa vie, savoir s’adapter. Les recommandations issues de ce rapport alimenteront le
second plan national ‘Bien vieillir’ actuellement en préparation avec le ministère de l’Ecologie, du
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Développement durable, des Transports et du Logement, le ministère des Solidarités et le ministère
des Sports. Ce plan a pour ambition de proposer les clefs pour un ‘vieillissement réussi’, tant du point
de vue de la santé individuelle que des relations sociales, en valorisant l’organisation et la mise en
œuvre d’actions de prévention adaptées.
http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_Bien-
etre_et_sante_mentale_des_atouts_indispensables_pour_bien_vieillir.pdf
Professeur d’activités physiques adaptées en gériatrie. Anne-Marie Bonnery. [Article scientifique].
In : Soins Gérontologie, mars-avril 2011, Vol 16, N° 88, p. 19
Résumé : L’activité physique est essentielle pour tous, et notamment pour les personnes âgées
inclues, c’est pourquoi une mention spécifique à la licence sciences et techniques des activités
physiques et sportives a été mise en place. Rencontre avec Sylvie Nicolas, professeur d’activités
physiques adaptées en gériatrie.
http://www.em-premium.com/article/285029
Cheminement et situation de vie des personnes âgées présentant des troubles mentaux graves :
perspectives d'intervenants psychosociaux. Collectif. [Enquête] In : Canadian journal on aging : La
revue canadienne du vieillissement, vol. 29, n° 2, 2010, pages 267-279
Résumé : A partir d'une démarche exploratoire fondée sur des méthodologies qualitatives (23
entrevues semi-dirigées, analyse des contenus thématiques), notre recherche vise notamment à
mieux connaître les perceptions des intervenants psychosociaux des milieux institutionnels et
communautaires sur les personnes âgées atteintes de TMG et sur leurs situations de vie.
http://www.bdsp.ehesp.fr/Base/Details?_equation=personnes%20%E2g%E9es%20Mcl%3D%5Bsante
%20mentale%5D&_fd=2000&_ed=2015&_lg=FRE&_sort=auto&_start=4
Vieillissement, bien-être et dépression : le rôle des activités et des loisirs. Collectif. [Enquête] In :
NPG : Neurologie, Psychiatrie, Gériatrie, 2010, vol 10, n°57, p. 106-110
Résumé : Les auteurs examinent l’impact des activités et des loisirs sur le niveau de dépression, une
des variables associée au bien-être et à l’adaptation. L’échantillon étudié est constitué de 571
personnes âgées de 66 à 95 ans. Les résultats montrent un impact positif des activités de temps libre
sur la dépression, les activités physiques sont primordiales, de même que les activités impliquant un
engagement social. Au-delà des spécificités des activités, c’est l’aspect fondamental des échanges
interpersonnels pour le bien-être qui est réaffirmé
http://www.em-premium.com/article/256033
La dépression à un âge avancé : inéluctable ou traitable ? Hermenjat R. [Article scientifique]. In :
Diagonales, n° 72, 2009, pages 16-17.
Résumé : L'approche communautaire des problèmes psychiques des seniors se pratique depuis dix
ans à Genève. A Lausanne, elle a débuté en 2006 au Centre communautaire de psychiatrie et de
psychothérapie de l'âge avancé (CCPPAA).
http://www.bdsp.ehesp.fr/Base/Details?_equation=seniors%20Mcl%3D[sante%20mentale]&_fd=200
0&_ed=2015&_lg=FRE&_sort=auto&_start=10
L'île d'Okinawa : un modèle du bien vieillir ? Nguyen C. [Article scientifique]. In : NPG : Neurologie,
Psychiatrie, Gériatrie, 2008, n°43, p. 35-41
Résumé : La longévité exceptionnelle à Okinawa résulterait d’un ensemble de facteurs favorables qui
ne se résument pas au seul patrimoine génétique. La conjonction d’un environnement protégé, d’un
mode de vie comprenant des habitudes alimentaires, des apports caloriques faibles, des activités
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physiques et une philosophie de vie minimisant le stress, favorisant le soutien familial et accordant
une grande place aux contacts sociaux pourrait expliquer cette exception dans cette population aux
faibles revenus. Ces facteurs sont éminemment culturels et liés au style de vie traditionnel d’Okinawa
qui semble concentrer des éléments particulièrement favorables à la santé et à la longévité.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1627483008000081
Vieillissement et santé mentale : un état des lieux en 2007. Ministère de la santé, de la jeunesse et
des sports. [Rapport] 2008, 34 p.
Résumé : La question de la santé mentale des personnes vieillissantes a été inscrite parmi les
priorités du plan « Psychiatrie et santé mentale 2005 - 2008 » pour l'année 2008.
En effet, la demande de la population vieillissante dans le champ de la santé mentale devrait
s'accroître notablement en termes quantitatif et qualitatif dès la prochaine décennie.
Ce rapport constitue une réflexion préalable à partir de laquelle pourra être élaboré un programme
d'actions destiné à améliorer la prévention, le repérage et la prise en charge des troubles mentaux
chez les personnes vieillissantes.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Ministere/Dgs/Publications/2008/ISO20020889.pdf
Quelle approche adopter envers les personnes âgées confrontées à des problèmes de toxicomanie,
de santé mentale et de jeu : guide à l'intention des intervenants et des bénévoles Collectif.
[Rapport]. Toronto : Centre de toxicomanie et de santé mentale, 2006, 54 p.
Résumé : Concis et facile à lire, ce guide décrit les problèmes d’alcool, d’anxiété, de démence, de
dépression, de jeu et de médicaments et la façon dont ils se manifestent chez les personnes âgées. Il
fournit également des conseils sur la façon d’aborder ces questions avec ces personnes ainsi que sur
les moyens d’obtenir de l’aide.
http://www.ifac-addictions.fr/jeu_personnes_agees.pdf
Les enjeux et les possibilités futures de prise en charge sanitaire et médico-sociale des personnes
âgées atteintes de pathologie mentale. [Mémoire ENSP], 2000, 43p.
http://www.bdsp.ehesp.fr/Base/
Activité physique et avancée en âge. Collectif. [Article scientifique]. In : Soins gérontologie, n° 24,
2000, pages 3-23.
Résumé : Dossier spécial concernant l'activité physique et les personnes âgées. Les différents articles
concernent le vieillissement des capacités physiques, l'impact de l'activité sur la santé mentale et
physique, les olympiades sportives internationales du bel âge, plan d'activité physique et
vieillissement en Auvergne, l'équilibre et les seniors, la gymnastique douce.
http://www.bdsp.ehesp.fr/Base/Details?_equation=seniors%20Mcl%3D[sante%20mentale]&_fd=200
0&_ed=2015&_lg=FRE&_sort=auto&_start=11
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INFORMATION ET PREVENTION
Intérêt de l’éducation thérapeutique chez les patients souffrant de schizophrénie : le programme
Schiz’éduc. Catana A, Baudoux Meunier A, et al. [Article scientifique] In : Annales médico-
psychologiques, février 2015, Volume 173, n° 1, pages 97-100
Résumé : Les prises en charge thérapeutiques des troubles schizophréniques incluent les
médicaments psychotropes, en particulier antipsychotiques, et des interventions non
médicamenteuses : éducation thérapeutique (ETP), psychothérapie, remédiation cognitive,
réhabilitation psychosociale… L’ETP a fait l’objet de diverses recommandations nationales et
internationales. Les résultats sont favorables aux programmes d’ETP sur plusieurs paramètres :
l’incidence de la mauvaise observance au traitement apparaît moins importante chez les patients
ayant bénéficié d’un programme d’ETP ; le taux de rechute est, plus faible parmi les patients ayant
bénéficié d’ETP, ce qui se traduit également par une diminution du risque de réhospitalisation chez
ces patients ; le fonctionnement global des malades, leur qualité de vie et leur niveau de satisfaction
vis-à-vis des soins.
http://www.em-consulte.com/en/article/958000
Interventions validées en prévention et promotion de la santé mentale auprès des jeunes. Lamboy
B., Clement J., Saias T., Guillemont J. [Article scientifique] In : Sante Publique, 2011, vol 23, n°6
SUPP, p. 113-125
Résumé : Cet article propose de faire l’état des connaissances scientifiques sur les interventions
validées de prévention et promotion de la santé mentale auprès des enfants et des jeunes. Une
définition de la santé mentale, de la prévention des troubles psychiques et de la promotion de la
santé mentale est rappelée en introduction. Cet état des connaissances a été réalisé selon une
méthode spécifique de sélection, d’analyse de la littérature scientifique et de classification des
interventions retenues. Une vingtaine d’interventions ont ainsi été identifiées comme ayant un
impact sur la santé mentale des jeunes. La moitié d’entre elles environ s’adressent à la population
générale, tandis que les autres ciblent des publics vulnérables. La majorité des interventions visent
les jeunes de 5 ans et plus. La moitié des interventions validées ou prometteuses sont multimodales.
Parmi les interventions uni-modales, on trouve notamment de nombreux programmes visant à
développer les compétences psychosociales des enfants et des jeunes. La connaissance de ces
interventions validées au niveau international devrait permettre d’alimenter la réflexion sur les
pratiques des professionnels du champ en France.
http://www.cairn.info/revue-sante-publique-2011-HS-page-113.htm
Lignes de force de l'évolution des politiques publiques relatives à la santé mentale des adolescents.
Isabelle Maillard. [Article scientifique] In : Sante Publique, 2011, n° 6, Suppl., pages 127-139
Résumé : Cet article se propose de mettre en évidence les lignes de force dans l'évolution des
politiques publiques relatives à la santé mentale des adolescents en France.
https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2011-HS-page-127.htm
Quelle prise en compte de la santé mentale à l'école maternelle ? Analyse des représentations des
professionnels et des parents : l'étude Epitroppe. Greacen T., Friboulet D., Saias T. [Etude/Enquête]
In : Psychologie et éducation, n° 4, 2011, pages 9-26
Résumé : La santé mentale de la petite enfance et ses troubles sont des priorités de santé publique
et ont fait l'objet de recommandations internationales pour la promotion de la santé, notamment en
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milieu scolaire. Les résultats de cette étude pointent l'intérêt des différentes parties prenantes sur
cette thématique et identifient huit recommandations d'actions concrètes.
http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=25339437
Prévention et santé mentale de l'enfant : les questions éthiques soulevées par les approches
ciblées. Collectif. [Article scientifique]. In : Sante publique, n° 6, Suppl., 2011, pages 181-188.
Résumé : En France, les modalités de mise en œuvre de la prévention précoce en santé mentale chez
l'enfant font débat entre les tenants d'une approche universelle basée sur des dispositifs existants
(PMI, accueil du petit enfant) et basée sur une relation de confiance entre professionnels, parents et
enfants, et les tenants d'une approche ciblée sur certaines populations.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Sfsp/SantePublique/2011/6Supp/1.pdf
Interventions validées en prévention et promotion de la santé mentale auprès des jeunes.
Collectif. [Article scientifique]. In : Sante publique, n° 6, Suppl., 2011, pages 113-125
Résumé : Cet article propose de faire l'état des connaissances scientifiques sur les interventions
validées de prévention et de promotion de la santé mentale auprès des enfants et des jeunes.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Sfsp/SantePublique/2011/6Supp/1.pdf
La santé mentale des jeunes adultes aujourd'hui. Réalités, perceptions, prise en charge. Le Grand
E., Loncle P. [Mémoire EHESP], 2010, 48p
Résumé : Aujourd'hui, en France, la santé mentale des jeunes adultes préoccupe de plus en plus les
pouvoirs publics ; toutefois il s'agit essentiellement d'une approche en termes de santé publique : la
santé mentale est souvent confondue avec son aspect médical (psychiatrique).
Or, le concept est en réalité beaucoup plus large, et appelle la prise en compte de déterminants
sociaux, culturels et économiques. Le dispositif de prise en charge est largement influencé par la
représentation que l'on se fait de la santé mentale des jeunes adultes. Ainsi, on assiste au passage de
la prévention des troubles mentaux par les dispositifs sanitaires à la promotion de la santé mentale
positive, notion qui s'étend à la qualité de vie, au bien-être et à la capacité de l'individu à faire face
aux aléas de l'existence.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Ehesp/Memoires/mip/2010/groupe_24.pdf
De la prévention à la promotion de la santé : intérêt de l'approche communautaire. R. Shankand,
T. Saïas, D. Friboulet. [Article scientifique] In : Pratiques Psychologiques, 2009, vol 15, n°1, p. 65-76
Résumé : Le champ de la prévention et de la promotion de la santé intéresse de plus en plus les
psychologues, chercheurs et praticiens, en France. La littérature scientifique actuelle prône la mise
en œuvre d'actions ciblées, orientées vers un public exprimant des besoins spécifiques. L'approche
communautaire offre un cadre de référence qui correspond à la souplesse nécessaire à l'efficacité de
ce type d'interventions. Elle comprend la mobilisation et la participation active des citoyens à
l'élaboration d'un projet, toujours unique, à son renouvellement en fonction des nécessités, à la
recherche de solutions possibles et à l'évaluation des actions réalisées. Cet article a pour objet de
présenter l'intérêt de l'approche communautaire dans le cadre de la promotion de la santé, une
pratique qui gagnerait à être davantage connue en France, afin de développer des modes
d'intervention adaptés à chaque population.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1269176308000709
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ALIMENTATION
Inégalités sociales de santé en lien avec l’alimentation et l’activité physique. INSERM. [Etude] 2014.
90p.
Résumé : En France, comme dans d’autres pays, il existe de fortes inégalités sociales en santé comme
le montrent les différences de morbidité et de mortalité selon la position d’un individu sur l’échelle
socioéconomique. Par exemple, à 35 ans, les cadres supérieurs ont une espérance de vie supérieure
de 6 ans par rapport aux ouvriers. Les habitudes de vie, comme la consommation d’alcool et de
tabac, l’alimentation et l’activité physique sont reconnues comme des déterminants majeurs de la
santé. Il existe un gradient social des comportements de santé qui se manifeste dès l’enfance et se
prolonge jusqu’à la vieillesse.
http://www.inserm.fr/mediatheque/
Santé mentale & nutrition : approche cardiométabolique et nutritionnelle. Morel Yves. [Ouvrage]
Paris : ERA, 2014, 158 p.
Résumé : Deux articles parus dans la littérature médicale de ce début de siècle rassemblent les
connaissances essentielles au suivi médical des patients atteints de schizophrénie. Le premier article,
publié dans le Journal de Psychiatrie Clinique en 2005, a été rédigé par le Docteur Donald C. Goff de
la faculté de médecine d'Harvard. Le second article, publié en 2009 dans le Lancet, a été rédigé par le
Professeur Jari Tiihonen de l'hôpital universitaire d'Helsinki. Cet ouvrage est constitué d'une
traduction de ces deux articles fondamentaux, il rassemble en annexes une série de documents
illustrant l'approche cardiométabolique et nutritionnelle de cette médecine. L'ouvrage débute par
une présentation des différents champs d'application de la clinique nutritionnelle chez l'adulte
psychotique, au sein des principales affections médicales retrouvées dans cette population, et prises
en charge dans notre pratique en hôpital psychiatrique.
http://www.amazon.fr/Sant%C3%A9-mentale-nutrition-praticien-
cardiom%C3%A9tabolique/dp/2371810568
Anaïs. Étude de faisabilité 2010. Alimentation, état nutritionnel et santé mentale des personnes
âgées en institution. Institut de veille sanitaire. [Rapport], 2012, 31 p.
Résumé : Réalisée en 2010, l'objectif de l'étude pilote Anais, était d'évaluer la faisabilité et
l'acceptabilité d'une enquête destinée à décrire, en France métropolitaine, la situation nutritionnelle
(consommations alimentaires, activité physique et état nutritionnel), la santé mentale et la
consommation médicamenteuse des personnes âgées hébergées en institution.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Invs/Rapports/2012/11314_PS.pdf
Alimentation et santé mentale. Trait d'Union Montérégien. [Article] 11 p.
Résumé : Tout comme l’activité physique, l’alimentation a des impacts importants sur la santé.
Pas étonnant, puisque c’est elle qui nous fournit l’énergie essentielle à nos activités de même que
les éléments nécessaires à la construction et à la régénération de nos tissus. Au-delà de nous
maintenir en bonne santé physique, une bonne alimentation peut-elle nous aider à améliorer notre
état d’esprit ?
http://www.tumparraine.org/pdf_sante/alimentation.pdf
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Programme psychoéducatif RAAP, Guide de l’intervenant. Institut universitaire en santé mentale
de Québec. [Guide] (Extrait). 6p.
Résumé : Programme permettant de développer l’engagement de la personne pour sa santé,
prévenir et limiter les complications liées au gain de poids et aux perturbations métaboliques
associées à la maladie et au traitement pharmacologique.
http://www.institutsmq.qc.ca/index.php?eID=pub_push&docID=786
Pourquoi laisse-t-on les schizophrènes grossir ? Quelques hypothèses anthropologiques face à un
certain flou de la pratique psychiatrique. Foucard A. [Article scientifique] In : Evolution
Psychiatrique, vol. 67, n° 4, 2002, p. 806-815
http://bsf.spp.asso.fr/index.php?lvl=notice_display&id=51304
La différence incarnée. Réflexions psychosomatiques sur un phénomène étrangement familier :
l’obésité. Nathalie Dumet. [Article scientifique] In : Cahiers de psychologie clinique. 2002, n° 18.
Pages 29-44.
Résumé : L’auteur propose ici une réflexion psychosomatique sur l’obésité, insistant sur la dimension
potentiellement symboligène de cet agir somatique singulier. À ce titre l’obésité incarne une
modalité différente de gestion des conflits, privilégiant la voie de la singularisation et la voie
corporelle. Elle constitue un agir somatique différenciateur et salvateur dans l’économie psychique
de certains individus.
https://www.cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie-clinique-2002-1-page-29.htm
PRÉCARITÉ
La santé mentale et les addictions chez les personnes sans logement personnel en Île-de-France :
l’enquête Samenta de 2009. INVS. [Etude/Enquête] 2015. 5 p.
Résumé : Répondant à une demande de la Préfecture de Paris et de la Mairie de Paris, les objectifs
de l’étude Samenta (SAnté MENTale et Addictions chez les sans domicile franciliens) étaient, entre
autres, d’estimer la prévalence des principaux troubles psychiatriques et des addictions parmi les
personnes sans logement personnel en Île-de-France.
http://www.invs.sante.fr/beh/2015/36-37/pdf/2015_36-37_6.pdf
Chômage et santé mentale, des liens ambivalents. Ministère du travail. [Etude/Enquête] Analyses,
n°67, septembre 2015. [En ligne] http://travail-emploi.gouv.fr/actualite-
presse,42/breves,2137/etudes-recherches-statistiques-de,76/etudes-et-recherches,77/publications-
dares,98/dares-analyses-dares-indicateurs,102/2015-067-chomage-et-sante-mentale,18950.html
(Page consultée le 26/11/2015)
Souffrance psychique et précarités. Quels dispositifs ? Bonhomme Catherine. [Article] In : La revue
hospitalière de France, n° 550, 2013, pages 54-56
Résumé : Entretien avec Alain Mercuel, responsable du service d'appui Santé mentale et exclusion
sociale (SMES) du centre hospitalier Saint-Anne et auteur de l'ouvrage « souffrance psychique des
sans-abri : vivre ou survivre » publié en 2012.
http://www.revue-hospitaliere.fr/Revues/550/Precarites-et-inegalites-en-sante/Souffrance-
psychique-et-precarites-Quels-dispositifs
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L’inégalité de revenus : un « virus » qui affecte la santé mentale et le bonheur. Léandre Bouffard,
Micheline Dubé. [Article scientifique] In : Santé mentale au Québec, Volume 38, numéro 2, automne
2013, p. 215-233.
Résumé : L’objectif du présent texte est de démontrer les effets de l’inégalité de revenus sur la santé
mentale et le bonheur dans les pays riches. La première section fait état du niveau élevé d’inégalité
de revenus aux États-Unis et, à un degré moindre, dans les autres pays riches. Les résultats présentés
dans la seconde partie font voir des corrélations positives de l’inégalité de revenus avec la maladie
mentale, avec un indice de consommation de drogues et avec un indice composite de 10 problèmes
psychosociaux. De plus, il existe une corrélation négative entre l’inégalité de revenus et un indice de
bien-être des enfants mis au point par l’UNICEF. La troisième partie aborde l’association négative
élevée entre l’inégalité de revenus et le bonheur, concrétisée ici par la satisfaction de vivre, dans les
pays riches. De nombreux arguments appuient l’idée de la causalité selon laquelle l’inégalité de
revenus est une source importante des problèmes psychosociaux, comme un « virus » qui affecte le
bien-être de toute la population. Enfin, les praticiens des sciences humaines sont invités à s’impliquer
dans l’élaboration des politiques sociales, dans les efforts d’éducation pour contrer les coûts de
l’inégalité et dans des programmes susceptibles de favoriser une santé mentale « florissante ».
http://www.erudit.org/revue/smq/2013/v38/n2/1023997ar.pdf
Santé mentale des migrants/étrangers : mieux caractériser pour mieux soigner. Veïsse A., Revault
P., Wolmark L.. [Etude/Enquête] In : Bulletin épidémiologique hebdomadaire, n° 2-3-4, 2012, pages
36-40.
Les pathologies psychiques représentent l'un des enjeux majeurs de santé chez les
migrants/étrangers en France, mais ceux-ci sont souvent ignorés dans les études en population
générale.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Invs/BEH/2012/02-04/1.pdf
La rue des précaires. Soins psychiques et précarités. Jean-Pierre MARTIN. [Ouvrage] Editions Eres.
2011, 222 p.
Résumé : L'auteur interroge les rapports entre trauma et souffrance psychique, la place du soin
psychiatrique dans cette question sociale, les impasses du paravent humanitaire et des politiques de
santé mentale et de logement social face aux situations d'exclusion, mais aussi les pratiques
juridiques et législatives d'inscription dans la précarité. Il s'agit là d'un enjeu historique, considéré
comme «utopie concrète», d'une société véritablement démocratique.
http://www.editions-eres.com/
Inégalités sociales et santé mentale. Larcher Pierre. [Article scientifique] In : Carnet Psy, 2011,
n°156, p. 38-39
Résumé : Cet article propose un rapide historique pour illustrer le lien entre santé, santé mentale, et
insertion sociale. La souffrance psychique a de graves conséquences pour la santé, somatique ou
psychique et est un facteur aggravant en terme de pauvreté et d'exclusion. Une prise en charge en
collaboration de tous les acteurs impliqués est vite devenue nécessaire.
http://www.cairn.info/revue-le-carnet-psy-2011-5.htm
Différences sociales dans les troubles de la santé mentale en population salariée : résultats issus de
l’enquête Samotrace. Collectif. [Etude/Enquête] In : Revue Santé Publique, vol 23 HS, 2011. Pages
59-73.
Résumé : Des inégalités sociales pour les troubles de la santé mentale ont été montrées, les
catégories sociales les plus défavorisées étant les plus à risque pour ces troubles. Toutefois, ces
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inégalités ne sont pas toujours observées et les résultats peuvent varier selon le trouble de santé
mentale et l’indicateur de position sociale étudiés. Cette étude vise à explorer l’association entre la
position sociale (niveau d’études et profession) et certains troubles de la santé mentale dans
l’échantillon Samotrace composé de 6 056 salariés des régions Centre, Pays-de-Loire et Poitou-
Charentes.
http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=SPUB_110_0059
Précarité et santé mentale : repères et bonnes pratiques. Collectif. [Guide] FNARS, 2010, 66 p
Résumé : Le guide « Précarité et santé mentale : repères et bonnes pratiques » est le résultat du
travail d'un groupe national Précarité et santé mentale FNARS, de séances d'échange de pratiques
entre acteurs du social et de la psychiatrie, et de contributions nombreuses d'acteurs du terrain.
http://www.fnars.org/images/stories/2_les_actions/sante/ressources_documentaires/precarite-et-
sante-mentale-2.pdf
Dossier : psychiatrie, exil et santé mentale des migrants. Collectif. [Article scientifique] In : Maux
d'exil, n° 25, 2008, 8 p
Résumé : A une époque où les effets de la violence et ceux de la précarité sur la santé mentale sont
désormais mieux documentés, il est nécessaire de s'interroger sur la prise en charge des exilés dans
ce domaine : ces personnes sont en effet doublement exposées de part leur trajectoire et des
conditions d'accueil souvent difficiles à leur arrivée en France.
http://www.comede.org/IMG/pdf/mde25.pdf
Santé mentale et précarité : soigner et prendre soin en contexte de précarité : une préoccupation
de la santé mentale et du travail social à l'échelle des territoires. Rennes : Direction régionale des
affaires sanitaires et sociales de Bretagne. [Actes]. 2008, 89 p
Résumé : Les DRASS de Bretagne et des Pays de Loire ont organisé, à la demande de la DGAS, une
journée interrégionale sur le thème « santé mentale et précarité » avec appui scientifique de
l'Observatoire régional sur la souffrance psychique (ORSPERE).
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Ministere/Drass35/2008/ISO20028676.pdf
Participation de la psychiatrie de secteur à la prise en charge de la souffrance psychosociale chez
les populations adultes en situation de précarité. [Mémoire] Brun N., 2001, 83p.
http://fulltext.bdsp.ehesp.fr/Ensp/Memoires/2001/misp/brun.pdf
Précarité et santé mentale. Kovess Masfety Viviane [Ouvrage]. Rueil-Malmaison : Doin, 2001, 103 p.
Résumé : Les intervenants en santé mentale ont depuis longtemps observé la concomitance de la
précarité et des troubles psychiques. Cet ouvrage propose une réflexion sur la notion de précarité,
définie comme absence de plusieurs sécurités dont celle de l'emploi, et décrit les différents troubles
psychiques avec lesquels elle est corrélée : détresse psychologique, troubles dépressifs et anxieux,
conduites addictives, troubles de la personnalité, troubles psychotiques.
Une analyse de la littérature, tant française qu'anglo-saxonne, permet d'établir les liens qui existent
entre précarité et troubles psychiques, par des approches épidémiologiques, sociologiques et
pragmatiques. Sont également analysés les travaux théoriques qui relient les événements de
l'enfance et de l'âge adulte et cherchent à expliquer la présence fréquente de troubles psychiques
dans la population en précarité.
http://www.amazon.fr/Pr%C3%A9carit%C3%A9-sant%C3%A9-mentale-Viviane-Kovess-
Masf%C3%A9ty/dp/2704011060
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Cette bibliographie a été réalisée par Jacqueline Ilic, chargée de communication pour le
Collectif National des SISM.
Les sources utilisées : Banque de donnée en Santé Publique, Banque de donnée Refdoc,
Cairn, ScienDirect, EM Consulte, Base Santé Psy de l’Ascodocpsy, Sudoc, etc…
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