Syndicat canadien de la fonction publique, section locale 301, 9650, Avenue Papineau, Montréal, H2B 1Z7

Maquette fabriquée

par nos cols bleus

de l’Office Municipale

d’Habitation de Montréal en

grève, pour annoncer

leur offre de service

aux locataires

des HLM les

plus démunis

Rabais de groupe Assurances Auto-habitation p.7

SCAB!voir p.6

Décembre 98

Notre

concour

s photos

$2651 en p

rix !

(p.2)

Journal

Syndicat des Cols Bleus regroupés de Montréal

2

1er prix: un bon de $ 1,500 sur forfait voyage

2e prix:500 comptant

3e prix:$ 301 comptant

4e prix au 10e prix:$ 50 comptant

Concours photo “301”du 1er mai 1998 au 1er juin 1999

Publié parle comité

d'éducation et d'action politique

Jean-Paul Lahaie

Pierre Bernier

Norman Weaner En collaboration avec les employées de

bureau du SCFP, section

locale 301, affiliées au sepb-57.

Votre syndicat organise un concours photo ouvert àtous les cols bleus, membres de la section locale 301,de toutes les unités de notre syndicat regroupé.

Thème: Les cols bleus au travailBut: Utilisation médiatique et/ou publicitaire pour faire notre promotion

N.B. Vos photos deviendront la propriété exclusive du 301

Objectif: Démolir les préjugés véhiculés par les médias, en présentant des scènes de toutes

les catégories de cols bleus, étalées sur les 12 mois de l’année.

Cible: Situations de cols bleus, dans des situations difficiles ou inusitées.

Règlements:

- Les participants doivent remettre leurs photos au plus tard le1er juin 1999.

- Tous les types d’appareil photos seront acceptés.

- Le président du 301 composera un jury de sélection.

ATTENTION : Un prix de participation sera réservé à ceux ou celles qui ne prendront pas

de photos mais qui nous informerons de la meilleure “scène à croquer”, dans la mesure de

nos possibilités.

Pour toute demande ou question concernant ce concours,

les personnes ressources au Syndicat sont

Pierre Bernier et Jean-Paul Lahaie.

Bonne chance à tous et à toutes et bonne chasse photographique.

Jean LapierrePrésident

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Comme vous le savez, au Syndicat, on avanceconstamment sur plusieurs fronts. Pour votre in-formation, je vous en citerai aujourd’hui quelques-uns qui sont d’intérêt général.

Premièrement, il y a notre toute récente ententetripartite entre la Ville de Montréal, Centraide etnotre fondation Jacques Forest des cols bleus re-groupés de Montréal. Dorénavant, en vertu decelle-ci, 25 % de tout l’argent collecté parCentraide de la part des cols bleus actifs seraremis à notre organisme de charité, de façon àpouvoir continuer d’aider en votre nom, les œuvreset les organismes de votre choix, en vertu du son-dage annuel que nous vous faisons parvenir cha-que année. Cette entente est rentable autant pourCentraide que pour notre Fondation car doréna-vant, plutôt que de diviser nos énergies, se nui-sant mutuellement, nous joignons nos efforts, touten éliminant nos coûts d’administration. Ça vaainsi nous permettre d’aider encore plus de dé-munis et de malheureux. De plus, ça permettradorénavant de participer à notre Fondation parle retrait à la source sur vos paies. Cette ententecouvre également nos membres travaillant dansnos paramunicipales, telles que SDM, SPI etOMHM (dès la fin du conflit). Quant à la CUM, leproblème était déjà réglé. Pour l’instant, seulsnos retraités et nos membres à Rebut Solide Inc.ne sont pas couverts par cette entente et devrontdonc continuer de nous appuyer par des dons parchèques ou par procuration bancaire.Soit dit en passant, c’est une autre grande pre-mière au Québec, que nous venons d’initier.

Deuxièmement, depuis maintenant 10 ans, nousavions une entente avec la compagnie d’assu-rance SSQ de Québec, permettant à tout mem-bre du 301 actif ou retraité qui le souhaite, d’ad-hérer à une assurance de groupe (flotte) couvrantà des taux intéressants, l’assurance automobile

Innovations au 301et l’assurance habita-tion, avec l’option d’ad-hérer aux deux policesd’assurance ou à uneseule.Dernièrement, nousvenons de renouvelercette entente en y bo-nifiant les avantagespour vous tous. Vouspourrez prendre con-naissance des détails,un peu plus loin dans ce journal. Je vous y invitefortement car en plus, on favorise l’emploi au Qué-bec, avec toutes les retombées que l’on connaît, surla santé de notre économie; sans compter que se sontdes emplois syndiqués…

Troisièmement, dans la foulée de notre nouvelle en-tente avec la SSQ et grâce à leur soutien, nous ini-tions pour une première année, à titre expérimental,une grande fête pour les enfants des cols bleus de 0à 11 ans inclusivement. Il s’agit d’un dépouillementd’arbre de Noël avec cadeaux, animation, etc. et ce,pour un prix modique par enfant. Cette activité setiendra le jour cette année, samedi, le 19 décembre1998 au sous-sol de l’église Ste-Bernadette Soubi-rous, coin Bélanger et 16e avenue à Rosemont. Ré-servez tôt, les places pouvant être limitées.

Aussi, je vous rappelle que c’est samedi le 12 dé-cembre à 9 h du matin que se tiendra notre Assem-blée générale annuelle, au sous-sol de l’église St-Jean Berchmans. J’espère vous y rencontrer nom-breux et nombreuses.En terminant, au nom de votre Exécutif syndical, jevous souhaite à vous, à votre famille ainsi qu’à vosproches une période des Fêtes remplie de joie, deplaisir et de repos.

Syndicalement,

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Effectivement, la vie continue après lesélections, que se soit municipale ou provinciale. Tout d’abord, au niveau muni-

cipal, j’espère que le maire Bourque et sonéquipe envisage, sérieusement, de mettre enplace les comités de productivité pour ainsi quel’on puisse démontrer, hors de tout doute, queles cols bleus sont plus productifs que le privéet ce, à moindre coût.

Du côté provincial, au moment d’écrire ces mots,nous sommes au beau milieu de la campagneélectorale.

Les trois principaux partis ont annoncé leur cou-leur pour arriver à se faire élire le 30 novembreprochain. La machine libérale de Jean Charests’est prononcée fermement pour modifier lecode du travail (article 45 et 46) et pour, entreautres, introduire le droit au lock-out dans lesmunicipalités pour ainsi « débalancer » les for-ces en période de renouvellement des conven-tions collectives. Imaginez-vous la situation sui-vante : vue la lenteur et le non aboutissementdes négociations, le syndicat (après approba-tion par les membres) décide de déclencher desjournées de grèves sporadiques pour ébranlerl’employeur.

Ce dernier réagit promptement à la stratégiedu syndicat et déclare son droit de lock-out touten exigeant, bien sûr, que les services essen-tiels soient maintenus. Avec ce déséquilibre fla-grant des forces des deux parties, à l’avantagede l’employeur, celui-ci pourrait maintenir sesemployés en lock-out «ad vitam eternam».

Cette situation illustre bien jusqu’àquel point Jean Charest est un en-voyé de la haute finance au servicede l’extrême droite.

La vie aprèsles élections.

Pour ce qui est du Parti Québécois (ancien partiSocial Démocrate), on réajuste le tir présente-ment au niveau des secteurs de la santé et del’éducation.

Finalement, il y a le parti de l’Action démocrati-que de la jeune vedette montante Mario Dumont(la marionnette) qui est le grand défenseur pourl’abolition des clauses orphelines dans les con-ventions collectives ( sans pour autant faire ladistinction entre un clause orpheline et uneclause d’apprentissage) et aussi pour l’abolitiondes planchers d’emplois dans les conventionscollectives.

En voilà un autre qui parle des deux côtés de labouche. Se disant pour les jeunes, il veut élimi-ner la discrimination salariale mais sans leur ga-rantir qu’ils auront une place pour travailler dansle futur.

J’espère me retrouver au lendemain de l’élec-tion avec le moins pire des partis au pouvoir etque le peuple Québécois aura pris la bonne dé-cision pour l’avenir des jeunes et le bien être dupeuple en général.

Michel ParentVice-président

5

Nous venons de conclure une en-

tente avec notre assureur — La

Personnelle Vie — en vue de

modifier la procédure en vigueur lors

d’une réclamation de frais de médica-

ments. La nouvelle procédure sera entiè-rement électronique et sera possible grâceà l’utilisation de la carte de paiementCAPSS. Cette entente prendra effet le 1er

janvier 1999 et s’appliquera autant auxmembres actifs qu’aux membres retrai-tés qui ont maintenu leur assuranceauprès du syndicat.

L’objectif poursuivi est double. D’unepart, nous comptons ainsi éliminerl’obligation pour les membres de trans-mettre eux-mêmes leurs réclamations demédicaments à l’assureur. Non seule-ment cette carte de paiement soulagera-t-elle les membres d’une tâche ennuyantemais également elle permettra à ceux quioublient de présenter leurs réclamationsde se faire malgré tout rembourser leursdépenses de médicaments. D’autre part,nous nous donnons ainsi un moyen mo-derne pour recueillir et traiter les don-nées qui nous permettront d’identifier lesprincipaux profils d’utilisation des médi-caments par nos membres. Il va sans direqu’il s’agit de données globales qui neportent pas atteinte à la confidentialité desrenseignements propres à chacun desmembres. Ces données se révélerontd’une aide précieuse dans le cadre deprojets à venir visant à favoriser lemieux-être et la santé de nos membresactifs et retraités.

Nous avions un choix à faire. Nous pou-vions choisir un mode de remboursementdirect selon lequel le membre doit seule-ment débourser le montant de la franchiseannuelle lors de son premier ou de sespremiers achats de médicaments, aucunautre déboursé n’étant nécessaire. Nousavons toutefois rejeté ce mode de rem-

boursement compte tenu des hausses si-gnificatives des coûts d’assurance cons-tatés chez d’autres groupes où un tel modede remboursement a été implanté.

Nous avons plutôt retenu un mode deremboursement en différé selon lequelle membre doit payer entièrement sesmédicaments lors de l’achat (commec’est le cas présentement) mais sans avoirà transmettre lui-même sa réclamationpar la suite à l’assureur puisque cela estfait automatiquement au moment del’achat. C’est la pharmacie qui, par tran-saction électronique, transmet l’informa-tion nécessaire à cet effet à l’assureur. Lemembre recevra alors par la poste leremboursement auquel il a droit dansles 12 jours ouvrables suivant l’achatou même plus tôt si le montant de rem-boursement dépasse les 75 $.

D’ici quelques semaines, tous les mem-bres actifs et retraités recevront par laposte la carte de paiement CAPSS ainsique toute l’information nécessaire quantà son utilisation. Cette carte portera le logode La Personnelle Vie et celui de la sec-tion locale. Cette carte est acceptée danstoutes les pharmacies du Québec.

Si vous détenez une protection indivi-duelle, vous recevrez une seule carte.Toutefois, si vous détenez une protec-tion familiale, vous recevrez deux car-tes.

Il sera extrêmement important que vousprésentiez cette carte à votre pharma-cie lors de votre premier achat de mé-dicaments en 1999. Une fois cela fait, ilne vous sera plus nécessaire de la présen-ter lors de vos achats subséquents à cettemême pharmacie. Vous n’aurez qu’à vousidentifier auprès du pharmacien au moyende données personnelles, telles votre nu-méro d’assurance sociale et votre date denaissance.

Une nouvelle carte de paiement différé pour l’achat desmédicaments en application à compter de janvier 1999

Attention …ne pas oublier !!!

Prévision budgétaire1999

C’est à l’assemblée généraleannuelle du 12 décembre 1998

Que seront présentées pouradoption les prévisions budgé-

taires pour l’année 1999

Soyez présent-e-s, c’est votredevoir d’y participer

Cette carte de paiement différé«CAPSS»pour les médicaments est unnouvel outil qui vient s’ajouter à la carteDENTAIDE pour les frais de soins den-taires déjà utilisée depuis plusieurs an-nées. Il nous appartient d’en faire aussibon usage.

Un autre plus (+)….pour notre avenircollectif.

Denis Maynard,

secrétaire-trésorier archiviste

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Du Nouveau pour l’assurance collective

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Le reconnais-sez-vous?...Non?allez à la page 17.

JOYEUX

NOËL

ET

BONNE

ANNÉE

À TOU(T

E)S !

RABAIS

DE GR

OUPE

IMPORTANT

Cher membre,

Dans le but constant d’améliorer les services qui voussont offerts, une entente a été signée avec SSQ, Sociétéd’assurances générales pour que celle-ci vous offre unrégime spécial d’assurance automobile et habitation aubénéfice des membres, leur famille vivant sous le mêmetoit et les personnes retraitées du Syndicat.

Les principaux aspects de ce programme d’assurancesgénérales pour notre syndicat sont les suivants:

· Facilité de paiement sur 12 mois grâce à la procu-ration bancaire sans frais ni intérêts;

· Un service d’indemnisation accessible 24 heures parjour;

· L’exonération du paiement des primes en cas d’in-validité; seule SSQ GÉNÉRALE offre ce bénéficejusqu’à l’âge de 60 ans;

· Programme d’assistance collision (PAC) sans fraispour votre véhicule;

· Garantie de prime disponible pour une période dedeux ans;

· Tarification concurrentielle pour vos vé-hicules récréatifs;

· Protection SSQ juridique, pour seulement17 $ par année;

· Les retraités bénéficient de la plupart desavantages du régime et du programmePrivilège-Retraite.

Grâce au pouvoir de négociation de votre syn-dicat et selon votre situation, différents ra-bais en assurance automobile et habitationpourraient s’appliquer:

· Rabais de groupe général de 10 %;

· Rabais de 5 à 30 % selon la protectionantivol existante;

· Rabais de 2 à 20 % selon le nombre d’an-nées sans réclamation;

· Rabais de 5 à 10 % si nous protégeonsvotre automobile et votre habitation.

SSQ GÉNÉRALE communiquera avec vous sous peu pourconnaître les dates de renouvellement de vos contratsd’assurance automobile et habitation. Nous sommesconscients que certaines personnes pourraient s’op-poser à être contactées. Nous demandons à ceux et cel-les qui préfèrent ne pas être rejoints de bien complé-ter le formulaire de désistement ci-dessous et le re-tourner dans l’enveloppe préaffranchie avant le 15 dé-cembre 1998.

N’oubliez pas qu’une personne sur deux épargne en télé-phonant chez SSQ GÉNÉRALE. Vous avez tout à ga-gner à le faire. Joignez-vous au groupe en grand nombreet vous aurez un meilleur pouvoir de négociation des pri-mes. Vous être entièrement libre d’adhérer à ce ré-gime. Pour plus d’information, n’hésitez pas à rejoindreSSQ GÉNÉRALE au :

(514) 393-3632 – Région de Montréal ou

au 1-800-463-2343 à l’extérieur .

Jean LapierrePrésident

Nouvelle offre d’assurance maison - auto

FORMULAIRE DE DÉSISTEMENTJe, soussigné(e), refuse explicitement que les coordonnéesque le Syndicat canadien de la fonction publique, Section lo-cale 301, Cols bleus Ville de Montréal et CUM, détient à monsujet et nécessaires à l’obtention d’une proposition d’assu-rance, soient utilisées en rapport avec l’entente intervenueentre la SSQ GÉNÉRALE et mon syndicat.

Nom:

Adresse :

Date de naissance:

Numéro de téléphone:

Date:

Signature: 7

8

Cet article est dédié à mon ami Bob J., cons

tructeur en bâtiments, qui aujourd’hui lutte

farouchement contre un cancer.

Je remercie les confrères qui se sont empressés de

me dire qu’une certaine partie de leur anatomie

n’avait pas été atteinte par le POR. Ça prouve qu’ils

ont lu mon article. Rappelons-nous que les person-

nes les plus vulnérables aux effets des POR sont les

enfants et parce que les POR restent dans l’environ-

nement, les enfants de leurs enfants sont encore plus

menacés.

Comment se protéger des POR?

Commençons par éviter les produits en PVC. Les

produits en PVC souple, dont certains jouets, con-

tiennent souvent deux phtalates, le DINP et le DEHP.

Le DEHP ENDOMMAGE LES TESTICULES ET

PROVOQUE DES CANCERS DU FOIE CHEZ LES

RATS.1

Quand le numéro 3 ou la lettre V (pour vinyle) appa-

raît dans le triangle de recyclage de l’étiquette, évi-

tez ces produits. Si vous devez opter pour du plasti-

que, choisissez le polyéthylène (nos. 2 & 4), le

polypropylène (no. 5) ou le PETE (no. 1).

Vérifiez si les produits des compagnies Mattel,

Hasbro, Playskool, Sefety 1st, Gerber et Disney con-

tiennent des PVC. Ne mettez jamais de pellicule plas-

tique alimentaire dans le four à micro-ondes.

Greenpeace a une liste de substituts aux PVC utili-

sés en construction. Renseignez-vous.

Bonnes nouvelles: Le gouvernement du Danemark

presse les détaillants à ne pas vendre des jouets en

PVC. Au Pays-Bas, il se pourrait qu’une loi inter-

dise la vente de tels polluants. Des jouets en PVC

ont été retirés du marché en Grèce. IKEA et le Body

Shop se sont engagés à supprimer entièrement le

PVC.

Plus de 150 municipalités à travers l’Europe ont res-

treint l’utilisation du PVC dans les édifices publi-

ques et les hôpitaux. Au Canada, la ville de Toronto

a imposé des restrictions sur le PVC, exigeant no-

tamment qu’il ne soit pas incinéré.

Joignez-vous à la campagne “Bien sûrs: jouets sans

PVC”. Des cartes postales seront disponibles à la

prochaines assemblée générale. Vous n’aurez qu’à

en signer une pour assurer que vos enfants ne se fas-

sent pas contaminer par ces substances dangereuses.

1 Rapport d’évaluation, publication gouvernementale. Phtalate

de bis (2-éthylhexyle). No de catalogue En40-215/37F.

COMITÉ DE L’

Gros POR, p’tites quéquettes (suite)

9

La conférence de presse de mardi le 27octobre 1998 à l’île Notre-Dame.

En effet, comme les manchettes de La

Presse et du Journal de Montréal repro

duites ici le démontrent, le comité s’est

de nouveau rendu sur le site des milliers de pneus

sur l’île Notre-Dame pour s’en servir comme

point de départ à notre conférence de presse qui

voulait aussi attirer l’attention des médias et de

la population, encore une fois, sur l’absence de

débat sur l’environnement dans une campagne

électorale.

Contrairement à ce que voulait laisser croire le

titre du Journal de Montréal, le comité ne s’est

pas fait damer le pion par la Ville car contraire-

ment à il y a 4 ans, jour pour jour où l’unique

sujet de la conférence était justement

d’exiger une gestion écologique des pneus de

l’île Notre-Dame et de l’île de Montréal. Cette

fois, ce n’était que le prétexte pour exiger de

chaque candidat de se prononcer sur les prin-

cipaux sujets qui intéressent le comité. L’ar-

ticle du journal La Presse reflète très bien

les sujets abordés par le comité. Nous

avons exigé des candidats qu’ils se pro-

noncent sur la nécessité d’un comité pa-

ritaire syndical-patronal en environne-

ment; nous avons exigé la formation

environnementale des cols bleus et la

récupération des CFC des 10,000 fri-

gos mis au rebut annuellement par les

montréalais (rappelons que les CFC

détruisent la couche d’ozone qui nous pro-

tègent des rayons ultra-violet du soleil); nous avons de

nouveau exigé une véritable politique de l’arbre à Montréal (celle-ci

est attendue depuis les deux dernières administrations à Montréal); nous avons exigé

la réduction des gazs à effet de serre ( réchauffement planétaire et changements climatiques) de

20% sur le territoire de Montréal d’ici 2005.

En somme, nous avons exigé un véritable développement urbain viable. C’est-à-dire un développe-

ment qui réconcilie l’économie et l’environnement dans l’esprit où les générations futures ne souf-

friront pas de notre “mal développement” d’aujourd’hui.

ENVIRONNEMENT

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Herbicides / Maladies, cancer…Nous savons tous que les herbicides peuvent êtrenocifs à notre santé.Ce que nous savons moins, c’est avec quelle quan-tité ou dans combien de temps notre corps réagi àces herbicides.Cependant, il y a des symptômes et/ou des cancersqui peuvent être reliés à l’utilisation par des individusde certains herbicides communément appelés agentorange. Cette combinaison de composante (N-BUTYL) contient des produits chimiques identifiéspar 2, 4D et 2, 4, 5-T. L’élément le plus dangereuxest le contaminant appelé Dioxin.Toute personne qui a travaillé avec des herbicidesou Dioxin peut être sujet à développer certaines ma-ladies graves qui peuvent entraîner l’invalidité etmême la mort, causer des fausses couches, des mal-

santé-sécuritéAvis de recherche formations chez les nouveaux-nés et plusieurs autres

maladies reconnues.Si vous croyez souffrir d’une de ces maladies qui pour-raient ou qui est diagnostiquée en relation avec cesproduits. Vous pourriez être éligible à un dédomma-gement ou compensation suite à un recours collectifqui pourrait être intenté contre l’employeur et /ou undes fabricants de ces produits.Nous sommes à la recherche de candidats qui ontsubi des dommages à leur santé suite à l’utilisationd’herbicides ou Dioxin.Si tel est le cas, vous pouvez communiquer avec vo-tre comité santé-sécurité au 384-7730 pour lui en fairepart. Si vous connaissez quelqu’un ayant des pro-blèmes de santé reliés à l’exposition à des produits,nous vous demandons de lui transmettre ces rensei-gnements.Merci de votre collaboration.

Le 6 décembre 1989, 14 femmes ont été assassinées.

Le crime était signé: “J’hais les féministes”.

Ce jour-là, les femmes se sont fait taire. Neuf ans plustard, elles veulent et elles doivent parler.Parler de la violence de tous les jours, celle qu’on lit dansles faits divers des journaux.Dévoiler les “drames conjugaux” qui tuent années aprèsannées nombre de femmes ainsi que des enfants.Dénoncer le harcèlement sexuel qui est aussi une formede violence verbal psychologique et physique.Dénoncer la justice qui fait encore qu’une femme est cou-pable de son agression quand elle s’est fait violer.Crier pour conserver le contrôle de nos corps. Se réclamerdu féminisme, même si on voudrait nous faire croire quetout a déjà été gagné.

Neuf ans après ce 6 décembre, nous devonsbriser le silence qui entoure la petite et lagrande violence faite aux femmes. La vio-lence au quotidien est aussi intolérable quecelle qui nous surprend.

6 décembre… Jamais plusNous revendiquons le droit de ne plus avoirpeur au travail, à l’école, dans la rue, dansles endroits publics, dans nos maisons.N’en déplaise à ceux qui voudraient nousvoir prendre le moins de place possible.Nous ne voulons plus d’autres 6 décembre1989. Nous ne voulons plus de cette vio-lence avilissante.

Attention! Attention! Confrères, Consoeurs, dans la se-maine du 1er décembre 1989, vous recevrez un rubansignificatif contre la violence de l’événement du 6 dé-cembre 1998 et nous vous demandons de le porter parsolidarité avant la semaine du 6 décembre.

Le dimanche 6 décembre, par solidarité, nous deman-dons, nous, le comité de condition féminine, d’allumerune chandelle dans une fenêtre visible à la rue pour souli-gner cette journée du 6 décembre.

Merci de votre solidarité

Petit test…Répondez par vrai ou faux à chacune des

affirmations suivantes :Vrai Faux

� � La distance de la tranchée à laquelleon peut déposer les matériaux varieen fonction de leur poids.

� � Lorsqu’il y a quelqu’un dans la tranchée, les véhicules peuvent circu-ler ou être stationnés à deux mètresdu bord.

� � Une pente de 45 degrés jusqu’à unedistance de 1,2 mètre du fond de latranchée garantit qu’il n’y a aucunrisque d’effondrement.

� � Lorsque le sol est gelé, il n’est pasnécessaire d’étançonner.

� � Les accidents surviennent surtoutdans les tranchées profondes.

� � Il n’y a pas lieu d’étançonner uneexcavation de moins de 2 mètresde profondeur.

� � Avant de céder les parois d’une ex-cavation présentent des fissuresdécelables assez longtemps avantl’effondrement pour que les person-nes puissent sortir.

� � Des travailleuses et travailleursd’expérience sont moins exposés àêtre ensevelis que le personnel nonexpérimenté.

santé-sécurité

Au Québec, il meurt en moyenne 4 travailleur(euse)s

par année dans les coupes et / ou dans les tranchées

lors de travaux d’excavation. La raison; l’étançonnementétait soit déficient ou inexistant…Malgré tout, plusieurs travailleur(euse)s continuent depenser que cela n’arrive qu’aux autres. En effet, certainspensent qu’ils(elles) ont suffisamment d’expérience pourjuger du danger d’une tranchée. “Ça fait 15 ans que je

fais ce travail et il ne m’est rien arrivé. Je suis en mesure

de voir si le sol est dangereux ou non.” Pourtant, chaqueannée, parmi les décès enregistrés, on remarque qu’il y aautant de travailleurs expérimentés qu’inexpérimen-

tés … Le sol ne tient pas compte de ce détail…À la Ville de Montréal, nous avons tout à notre dispositionpour obtenir l’équipement nécessaire pour assurer notreprotection ainsi que celle des citoyen(ne)s. Si toutefois vousn’avez pas tout ce qu’il faut à votre disposition, parlez-enà votre délégué qui s’assurera que l’employeur vous four-nisse l’équipement de signalisation ou d’étançonnementnécessaire. La loi en santé-sécurité oblige l’employeur àvous le fournir. S’il y a des confrères ou consoeurs de tra-vail qui ne voient pas les dangers potentiels ou qui ne sen-tent pas le besoin d’étançonner, vous n’êtes pas obligé derisquer votre vie pour eux! Exigez l’étançonnement! Per-sonne ne peut vous forcer ou vous influencer à descendre.C’est la loi!De plus, la C.S.S.T. a terminé ses blitzs d’inspection. Aulieu de se concentrer sur des semaines cibles pour inspec-ter les chantiers de la Ville; elle a réaffecté ses inspecteurstoute l’année afin de maintenir une surveillance continue.Pour ce qui est des contracteurs, si vous en voyez qui tra-vaillent dangereusement, vous pouvez appeler un inspec-teur en construction de la C.S.S.T. au 873-0069 pour leprévenir. Il en va de notre sécurité collective.Ah oui! N’oubliez pas! Sur un chantier, portez votre cas-que et votre veste de sécurité (si vous êtes sur une voiepublique). De cette façon, vous aurez l’air de profession-nels soucieux de votre santé et de votre sécurité!Votre comité de santé-sécurité

Si vous avez répondu “vrai” à une de cesaffirmations, vous n’êtes pas toujours

à l’abri d’un accident grave...

L’étançonnement,pour votre sécurité !

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Beauce, ce seront les régions du sud du Qué-bec qui seront sacrifiées pour l’exportation. Àcoups de barrages, de détournements de ri-vières et de décrets, messieurs Bouchard etCaillé n’auront de cesse que lorsque le Qué-bec entier sera quadrillé de monstrueux et inu-tiles pylônes. Il est important que tous réali-sent que c’est l’ensemble de la population quisera perdante si nous ne freinons pas immé-diatement cette vaste opération financière dontla rentabilité est loin d’avoir été prouvée.Aujourd’hui, dans le Val Saint-François, noussommes plus déterminés que jamais à pour-suivre la lutte. Nos propriétaires commencentà recevoir des avis d’expropriation qui serontcontestés en cour supérieure.Une telle lutte, vous vous en douterez bien,demande beaucoup de temps, d’énergie et dedétermination, mais aussi des ressources fi-nancières. C’est pourquoi nous sollicitonsaujourd’hui votre appui. Parlez de notre causeautour de vous, sensibilisez vos amis, vos pa-rents, vos collègues de travail. Plus nous se-rons nombreux à nous tenir debout, plus nousserons forts.Une autre façon de nous aider consiste à nousfaire parvenir des dons; il suffit d’émettre unchèque à l’ordre de Coalition des Citoyens etcitoyennes du Val Saint-François et de le faireparvenir au 974 Chemin Arel, Melbourne,(Québec) JOB 2B0.Nous tenons à préciser que tous les membresdu comité travaillent bénévolement, investis-sant temps et argent à cette cause qui leur tientà cœur. Chaque dollar que vous verserez iradonc directement à la lutte. Aidez-nous à ar-rêter ce rouleau compresseur qui va détruire,de manière irrémédiable, notre région d’abordet ensuite les autres régions du Québec. Nousvous remercions à l’avance de votre très pré-cieuse collaboration. Benoît Gariépy

La Coalition des citoyens et citoyennes duVal Saint-François lutte depuis six mois con-tre la décision d’Hydro-Québec de faire pas-ser sur son territoire une ligne de 735 kv etce, au mépris d’une population déjà trèséprouvée par la tempête de verglas de jan-vier dernier. Peu de gens le savent, maisnous avons aussi manqué d’électricité pen-dant 24, 26 ou même 31 jours lors de cettecrise.Au fil de nos recherches, nous avons dé-couvert avec de plus en plus d’indignationles manœuvres malhonnêtes et trompeusesd’Hydro-Québec à procéder en catastrophe,avec la complicité du gouvernement et àcoup de décrets, pour mâter une populationqui a osé s’inquiéter et poser des questionsquant à la nécessité de massacrer son terri-toire!Les experts que nous avons consultés nousont confirmé qu’une ligne à 735 kv n’étaitabsolument pas nécessaire pour renforcerle réseau. Les nouvelles qui sortent depuisquelque temps sur la baisse du niveau d’eaudans les réservoirs, sur les projets de cons-truction de centrales au gaz au Nouveau-Brunswick et tous les mensonges d’Hydro-Québec qui sont maintenant mis au jour à laCommission Nicolet nous confirment ce quenous avions déjà annoncé; que la ligne 735servirait avant toute chose à masquer l’étatlamentable du réseau et à exporter auxÉtats-Unis. Avec ce virage commercial,Hydro-québec se comporte comme unemultinationale ne cherchant qu’à faire de l’ar-gent sans tenir compte du bien-être des in-dividus. Hydro a été détournée de son man-dat mais elle conserve encore tous ses pou-voirs, créant une situation dangereuse etsans précédent.Il faut que, partout, les gens prêtent l’oreille,qu’ils soient aux aguets, qu’ils comprennentqu’après le Val Saint-François, ce sera la

AIDEZ-NOUS À LUTTER CONTRE LE PROJET DE LIGNEÀ 735 KV HERTEL DES CANTONS

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Montréal, le 23 octobre 1998

Objet : Grève des concierges à l’Office municipal

d’habitation de Montréal

La grève des concierges en cours à l’Office municipald’habitation de Montréal (OMHM) fait couler beaucoupd’encre. Depuis que les 150 travailleurs se sont mis engrève le 28 juillet dernier, la direction de l’OMHM s’estsouvent plainte de soi-disant actes de vandalisme et decampagnes d’intimidation à l’endroit de ses cadres. Lemaire Bourque a aussi dénoncé les revendications dessalariés. Enfin, la Fédération des locataires de HLM duQuébec (FLHLMQ) et son permanent, M. Robert Pilonont régulièrement pris la parole, soit pour dénoncer lecomportement des grévistes soit pour réclamer l’inter-vention de l’État.

En tant qu’ancien intervenant dans le logement so-

cial, je ne suis pas surpris par la position de la directionde l’OMHM. C’est l’attitude d’un patron méprisant tantla justice que la vérité élémentaire, dont ont d’ailleurs euà s’en plaindre locataires et concierges par le passé. Lesmultiples doléances des locataires à son endroit témoi-gnent de l’intérêt que devraient avoir leurs associationsd’unir leurs voies à celles des grévistes plutôt que de lesaccabler. Mon expérience de la vie en HLM me fait

croire que le meilleur ami des locataires dans ces im-

meubles est très souvent le concierge. Celui-ci les fré-quentent quotidiennement et est souvent le premier à si-

gnaler la maladie ou la détresse dans un ménage à l’asso-ciation des locataires concernée. De plus, à de nombreu-ses reprises j’ai vu un concierge faire des travaux quin’entraient pas dans sa définition de tâches, mais qui lesfaisaient «pour rendre service».

L’attitude des grévistes dans le conflit reflète bien cet étatd’esprit. Alors qu’ils ne sont pas tenus d’offrir des

services essentiels, ceux-ci le font de façon volontaire

dans le but de ne pas pénaliser les locataires âgés ou

handicapés. Contrairement à ce qu’affirme M. Pilon,

les ouvriers savent que les locataires de HLM sont de

leur propre classe sociale et que leur adversaire dans

ce conflit est bien la direction de l’OMHQ et la logi-

que marchande qui l’anime. Pourquoi alors l’acharne-ment de la FLHLMQ à l’endroit de petits salariés? Pour-quoi reprendre la version de l’OMHQ sur le coût des re-vendications ouvrières? Dans un communiqué adresséaux médias et largement repris par ceux-ci, elle s’expli-que : «(…) dans la mesure où l’OMHQ reçoit de Québecune enveloppe budgétaire fermée, toute augmentation demasse salariale entraînera une diminution des argents dis-ponibles pour fournir des services aux locataires (…)».Cela fait penser à Mme Lorraine Pagé qui, lors de la der-nière campagne référendaire, implorait le Premier mi-nistre d’alors de ne pas trop en donner aux autres centra-les!

Voilà donc où mène la logique du Déficit Zéro, l’engre-nage de la concertation et l’acceptation globale de la lo-gique du marché. Des groupes qui prétendent toujours àla «justice sociale» se laissent prendre au jeu de la divi-sion, du militantisme à courte vue et de l’organisation deleur propre future défaite. Le patron menace de me cou-per alors je m’associe à lui pour tirer dans les jambes descamarades d’à côté; et la chaîne des reculs s’accumule aurythme des divisions corporatistes. Qu’attend donc laFédération-parapluie des groupes logement dont est mem-bre la FLHLMQ, le FRAPRU, pour intervenir et rappelercelle-ci à l’ordre? La seule condition d’une meilleurequalité de vie en HLM, comme de meilleures conditionsde travail, c’est l’unité des locataires et des grévistes pourbriser l’étau étouffant des politiques de Bouchard, commede tous les autres marchands du malheur du pauvremonde. User des mots Justice et Solidarité autrement, seserait en abuser!

Richard St-Pierre

Montréal

NDLR: Nous avons reçu cette lettre de M.RichardSt-Pierre, ancien intervenant dans le logementsocial, à la suite des positions qu’a pris M. RobertPilon de la FLHLMQ au sujet de la grève à OMHM.Il dénonce l’attitude patronale et interpelle lesassociations dans ce dossier.

GRÈVE

À OMHM

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Le 3 octobre 1998, le «Moon Light» qui a eu lieu a été un succès, où tou(te)s les participant(e)sse sont bien amusé(e)s.

Un séjour de trois jours au Manoir des Laurentides à St-Donat a eu lieu les 30, 31 octobre et 1ernovembre 1998 où 60 membres du regroupement y ont participé et comme d’habitude, chacuny a mis beaucoup de cœur afin que cette activité soit comme toutes les autres activités, uneréussite. Nous y avons célébré la soirée d’halloween ainsi qu’une soirée de variété et dedanse.

Le 21 novembre 1998 a eu lieu le banquet de la période des fêtes du regroupement où plus de220 membres étaient présent(e)s. Un souper au cours duquel a été servi un copieux et déli-cieux repas des fêtes avec dinde, atacas, ragoût de pattes, boulettes, tourtière, marinades,ainsi que la traditionnelle bûche de Noël et salade de fruits.

regroupement des cols bleusretraité(e)s et préretraité(e)s demontréal Bonjour retraité(e)s,

Depuis que les activités du regroupement ont repris pour une autresaison, l’entrain et la bonne humeur sont de mise puisquechacun(e) des membres participant aux différentes activités le fontavec beaucoup de cœur comme toujours. D’ailleurs, lors de notreépluchette de blé d’Inde, plusieurs jeux furent organisés tels quela souque à la corde et pour les femmes, le «plantage» des clouset d’autres jeux tant pour les femmes que pour les hommes. MmesFernande Bergeron et Réjeanne Blanchet, MM. Pierre Paul Ray,Raymond Gagnon, André Garand et Lucien Pelland furent parmiles gagnantes et gagnants de ces jeux. Bravo à tous ceux etcelles qui ont participé.

Retraité(e)s cols bleusépluchant le blé d’Indelors de la journéeÉpluchette de blé d’Inde

Retraité(e)s cols bleus au souque à lacorde lors de la journée Épluchette de bléd’Inde

Retraité(e)s cols bleuscueillant des pommes au Ver-ger Lacroix, St-Joseph du Lac

Le 24 septembre 1998, une journée des pommes était organiséeau Verger Lacroix à St-Joseph du Lac et ensuite, à la sucrerieG.M.A., un délicieux repas a été servi, suivi de danse au cours del’après-midi. Une merveilleuse journée pour chacun et chacune.

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regroupement des cols bleusretraité(e)s et préretraité(e)s demontréal

Retraité(e)s cols bleus faisant du canoë sur le Lac à la truite àbon air Matawinie à St-Michel-des-Saints

Le regroupement des cols bleus retraité(e)s et pré-retraité(e)s de Montréal vous invite àvous joindre à leurs activités et en terminant, n’oubliez pas ceci : le meilleur moyen d’êtreinformé(e)s des activités de notre regroupement à nous, cols bleus retraité(e)s, c’est d’yparticiper.

Gilles DoraisPrésident du regroupement

Assemblée générale

annuelleL’assemblée générale annuelle du regroupement,votre assemblée retraité(e)s cols bleus aura lieu :

Jeudi, le 10 décembre 1998 à 9 h 30.Salle St-Damas, 7659, 20e avenue (Voie de ser-vice nord, boul. Métropolitain entre les 20e et 21eavenue

1. Mot du président2. Rapport du secrétaire-trésorier3. Prévision budgétaire4. Amendement aux statuts règlements5. Élection des membres du Comité de di-

rection6. Affaires nouvelles7. Ajournement

Prenez note que du café sera serviTou(te)s les retraité(e)s cols bleus qui paient lacotisation de membres honoraires font partie duregroupement des cols bleus retraité(e)s etpréretraité(e)s.

activités à venir

10 décembre 1998 Assemblée générale6 février 1999 Moon Light4, 5 et 6 mars 1999 Séjour de trois jours,

Auberge Estrimontdans les Cantons del’Est

11 ou 18 mars 1999 Journée des sucres13 mars 1999 Moon Light

Pour de plus amples renseignements, communi-quez avec : Quilles : Lucien Rivet , (514) 254-9999

Émilien Croteau, (450) 657-2601 Amitié soirée dansante : Jean-Pierre Richelieu, (514) 328-9343 Estrimont Cantons de l’Est : Albert Landry, (514) 257-1432

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Chères consoeurs, chers confrères,

Je tiens à vous remercier pour tous les dons que vous avez

fait à la fondation Jacques Forest.

Tous les dons recueillis durant l’année ont été distribués à

plusieurs organismes. Nous avons également remis une

chaise roulante électrique à Opération Enfant Soleil et une

autre au Centre de réadaptation Darlington.

Le 29 août 1998, nous avions organisé une fête champê-

tre familiale au parc Maisonneuve dans le but d’amasser

de l’argent pour Opération Enfant Soleil. Cette levée de

fonds s’élève à

$ 5,251.64, que

nous remet-

trons lors du

p r o c h a i n

téléthon.

Le 5 octobre 1998, une entente tripartite de partenariat

entre la fondation Jacques Forest, la Ville de Montréal et

Centraide, intitulée formule 301, fut signée. Une entente

identique sera signée sous peu pour les membres des autres

accréditations que nous représentons.

Noël arrive à grands pas. Nous comptons encore une

fois sur votre générosité pour amasser des denrées non

périssables (déposées dans des barils prévus à cet effet)

car comme par les années passées, nous distribuerons des

paniers de Noël à plusieurs familles dans le besoin.

De plus surveillez la vente de billets pour une soirée

bénéfice qui se tiendra le 15 décembre au soir au

Medley au projet des sinistrés de l’Amérique Cen-

trale.

Louise Paquin

Comité des Relations Humaines

Qu’est-ce exactement l’accès à l’égalité?

On perçoit généralement l’accès à l’égalité de deuxfaçons:L’accès à l’égalité est une stratégie visant à s’atta-quer à la discrimination systémique et à ses réper-cussions dans le milieu du travail.On qualifie également d’accès à l’égalité toute me-sure visant à améliorer la situation des femmes, desminorités en éliminant toutes formes de discrimina-tion.Aussi, l’existence d’un comité d’accès à l’égalité apour objet de corriger la situation de personnes fai-sant partie de groupes victimes de harcèlement etde discrimination dans l’emploi ainsi que dans lessecteurs de l’éducation, de la santé et dans tout autreservice ordinairement offert au public.

Au 301, le comité du programme d’accès à l’égalitéexiste depuis 1987 et après plusieurs réalisations, lecomité se fixe de nouveaux objectifs.Suite au sondage distribué par les délégué(e)s auxmembres en novembre 1998, nous aimerions, lecomité d’accès à l’égalité, vous spécifier qu’il n’estpas trop tard pour retourner les formulaires de son-dage dûment complétés soit au bureau du Syndicatou à votre délégué(e) syndical(e).Ce sondage compte beaucoup et pèse lourd dans ledéveloppement et l’accomplissement du comité, quivise continuellement une ambiance agréable au tra-vail.Nous remercions tous les membres qui ont pris letemps de participer à ce sondage dont les résultatsreflètent la réalité de chacun et chacune dans sonmilieu de travail.

Pour informations supplémentaires, n’hésitezpas à communiquer avec votre comité d’accèsà l’égalité au bureau du Syndicat au 384-7730.

Votre comité d’accès à l’égalité

Le 301contre la discrimination

et le harcèlement

Au moment où vous lisez ces lignes, vous devriez

avoir reçu votre cours de déneigement. Si tel n’est

pas le cas, demandez-le! Surtout si vous n’avez ja-

mais travaillé à l’opération neige. Il s’agit d’un

cours qui vous montre comment travailler de façon

sécuritaire tout en étant efficace lors du charge-

ment de la neige.

Alors parlez-en à votre délégué si vous voulez le

suivre.

Bon hiver!

Formation neige

C a m p a g n eC e n t r a i d eUn petit mot pour vousdonner des nouvelles dela campagne de finance-ment Centraide. Nous,cols bleus et cols blancs,avons tenté de sensibili-ser nos collègues bleuset blancs à la cause humanitaire en la-quelle nous croyons. Nous sortonscroyons-nous, très enrichis de cette ex-périence. Votre appui, votre ouvertured’esprit ainsi que la collaboration de touset chacun a fait de cette campagne unfranc succès. Grâce à vos contributions,vous avez permis la semence d’un brind’espoir dans la vie souvent difficile deplusieurs.

Au nom de tous, merci de tout cœur.

L’équipe Centraide

Eh oui!C’est Jean Des Trois Maisons!

L’ancien directeur du service du personnel

AH! AH! AH!

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Fonds de Solidarité Fonds de Solidarité Fonds de Solidarité Fonds de Solidarité

Le 31 octobre dernier à l’hôtel Reine-Élizabeth de Mon-tréal se tenait l’assemblée annuelle du Fonds de Solida-rité. Au cours de l’assemblée, il fut mention de plusieurschangements majeurs rendant le Fonds de Solidarité dela F.T.Q. plus accessible et plus intéressant d’y investir.Voici la liste des changements:- Hausse de l’action;- Augmentation du plafond des cotisations;- Transformation des actions de série A en deux caté-

gories soit catégories 1 ou 2 (règlement 66);- Abolition de frais annuels par une somme unique à

l’ouverture du dossier;- Nouvelle politique de rachat;

1. RAP (Régime d’accès à la propriété)2. Retour aux études3. Problèmes financiers

Hausse de l’actionL’action au 30 juin 1997 valait $20,18 pour atteindre au30 juin 1998 la valeur de $21,72, soit une hausse de $1,54,donc plus de 7%.

Augmentation du plafond des cotisationsLe plafond maximal des contributions pour l’achat d’ac-tion du Fonds de Solidarité de la F.T.Q. vient de passerde $3500 à $5000. Ceux qui souscrivent avec la déduc-tion à la source, nous vous avons préparé un exemplepour contribution maximale pour un(e) salarié(e) qui auraun revenu imposable entre $29590 et $49999 par année. Montant investi par paie $96,15 REER Fédéral $21,63 Provincial $22,21 CRÉDIT Fédéral $14,42 Provincial $14,42 TOTAL DÉDUCTION $72,69 PAIE RÉDUITE $23,46 TOTAL INVESTI $4999,80

Transformation des actions de série A en deux caté-gories (1 et 2)Le but premier de l’adoption du règlement 66 est d’allerchercher les impôts fédéraux qui s’élèvent à plus de $ 50millions et qui seront retournés au Fonds. Ce règlementaura un impact positif sur le rendement des actions quipourrait récupérer annuellement jusqu’à $ 10 millions d’im-pôt fédéral perçu.

La série A demeure mais il y a un ajout de deux catégo-ries soit:- Catégorie 1: REER- Catégorie 2: Non-REER

Abolition des frais annuels par une somme uniqueÀ compter du 1er janvier 1999, les frais d’ouverture decompte seront à l’ouverture de celui-ci de $ 25, compara-tivement par le passé, de $ 10 (annuel) pour ceux quicontribueraient par déduction à la source et de $ 20 (an-nuel) pour ceux qui contribueraient par un ou des verse-ments forfaitaires. Le montant de $ 25 s’applique à l’ouver-ture de dossier, donc par exemple, si vous n’avez jamaiscontribué au REER du conjoint (de la conjointe) et quevous décidez d’y contribuer, vous devrez payer le mon-tant car ce compte est différent du vôtre.

Nouvelles politiques de rachat1. RAP (Régime d’accès à la propriété)- Être admissible au programme d’accession à la pro-

priété;- Avoir utilisé préalablement tous les autres REER et

en fournir la preuve;- S’engager à effectuer les remboursements au REER

du Fonds de Solidarité-FTQ, en quoi il y aurait unimpôt spécial afin de récupérer le crédit d’impôt ob-tenu de 30%.

- Actions récupérables depuis 90 jours jusqu’au maxi-mum de $ 20,000.

2. Retour aux études (effectif à partir du 1er janvier 1999)Objectif: Permettre aux particuliers qui disposent de res-

sources financières limitées de suivreune formation.

- Pour actionnaire, conjoint ou conjointe et qui retourneaux études à temps complet;

- Pour ceux qui étudieront sur un programme d’unedurée d’un an de scolarité;

- Pour ceux qui n’étaient pas étudiant à temps completà ce programme lors de l’adhésion au Fonds;

- Aucune demande ne peut être présentée si l’étudiantou l’étudiante reçoit durant son programme d’études,des subventions ou des appuis financiers non rem-

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Fonds de SolidaritéFonds de SolidaritéFonds de Solidarité Fonds de Solidarité

Nouveau choix pour les employés de la Ville de Montréal:

Vous recevrez d’ici la fin novembre, un for-mulaire “de choix” à remplir relativement àvotre solde de crédit d’heures de maladieacquis pour la période comprise entre le 1erjanvier 1998 et le 31 décembre 1998 et nonutilisé, que vous pourrez placer à votrechoix. Vous aurez l’opportunité de choisirle Fonds de Solidarité de la F.T.Q. ou votrecaisse d’économie des employés munici-paux de Montréal pour ce placement.

C.U.M.:N’oubliez pas la campagne de cotisation au Fonds deSolidarité de la F.T.Q. : banque de maladie.Votre comité du Fonds de Solidarité de la F.T.Q. souhaitela bienvenue au confrère Denis Dumont, nouveau repré-sentant local pour le S.C.F.P., section locale 301.Pour de plus amples renseignements, vous pouvez com-muniquer avec le Fonds de Solidarité de la F.T.Q. en com-posant le 383-8383 ou en communiquant avec vos repré-sentants locaux.

Liste de vos responsables locauxNom Tél. résidence Tél. bureau

ou téléavertisseurBISSON, Richard 205-8244 384-7730BREAULT, Mario 205-8234 280-6574DOUTRE, Yves 205-8231 384-7730FRANCHE, André 964-7613 280-6549DUMONT, Denis 205-8278 ————LEMYRE, Richard 585-0791 ————LOUBIER, Raymond 997-8523 872-1352MARTIN, Michel 205-8291 872-6203MARZANO, Pasquale 205-8284 872-9048ROY, Léopold 205-8246 384-7730

Seuil de faibles revenus (1998 – 1999)Tableau selon Statistiques Canada

Nombre Ancien barème Nouveau SFR

de personnes (115% sécurité du revenu) (Mensuel)

1 $ 762 $ 979

2 $ 1170 $ 1194

3 $ 1317 $ 1511

4 $ 1433 $ 1881

5 N.D. $ 2103

6 N.D. $ 2324

7 N.D. $ 2546

boursables (tel que bourse gouvernementale ou in-dustrielle) et qui sont supérieurs à 75% des revenusd’emploi avant le début du programme;

- Obligation de rembourser les sommes retirées selonles lois fiscales applicables et le remboursement de-vrait être effectué au Fonds, sinon l’actionnaire de-vra payer un impôt spécial pour le crédit d’impôt d’unevaleur de 30%;

- 50% de toutes les actions détenues depuis au moinsdeux ans, pour la première année de scolarité, simoins de cent actions : 100% des actions achetées;

- L’autre 50% après deux sessions complétées et sil’actionnaire ou le(la) conjoint(e) est toujours aux étu-des;

- Acquisition ultérieure d’actions en tout temps.

3. Diminution de revenus- Diminution de revenus de l’actionnaire causée par la

cessation d’emploi;- Diminution des revenus familiaux causée par:

� Une cessation d’emploi� Une réduction involontaire des heures de travail� invalidité temporaire� Réduction involontaire des revenus de subsistance

habituels (pension alimentaire, rente de toute prove-nance, revenus de location, …) égaux ou inférieursau seuil de faibles revenus

� Diminution des revenus de 25% pour au moins deuxmois (comparativement à trois mois auparavant)

Dernier recours: avoir liquidé tout placement encaissable(incluant REER).

Programme d’assurance collectiveRAPPEL IMPORTANT

Afin de mieux vous servir et de façon à répondre aux exigences de la loi sur l’assurance médica-ments du Québec, il est impératif que le SCFP, Section locale 301 dispose en tout temps desdonnées les plus récentes vous concernant. Vous devez notamment remplir une nouvelle fiche encas de:

• changement d’adresse,• changement d’état civil (mariage, divorce...),• naissance ou décès d’un enfant,• changement de conjoint,• existence d’un autre régime d’assurance collective,• changement de bénéficiaire (assurance-vie)• titularisation ou départ à la retraite.

Pour remplir une nouvelle fiche ou pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacterMadame Pierrette Poiré au bureau du syndicat.

Ces renseignements seront, bien sûr traités de façon confidentielle par le SCFP,Section locale 301, et seront consignés dans un dossier aux fins exclusives du programme d’assu-rance collective et que seul le personnel du SCFP, Section locale 301 et de l’assureur pourra leconsulter dans l’exercice de ses fonctions.

Cours santé-sécuritéTravaux publicset construction

La Ville de Montréal, depuis quelques années, achangée ses critères à l’embauche. En effet, elle exigemaintenant que tout ceux et celles qui postulent pour unemploi col bleu soit détenteur d’une carte attestant qu’ilsont suivi le cours travaux publics et construction.

Votre syndicat offre des cours à tous les futursemployés qui sont sur les listes d’attente pour un emploicol bleu. Si vous connaissez des gens qui se retrouventdans cette situation c’est-à-dire qui n’ont pas encore eucette formation, demandez-leur de remplir le formulaired’inscription et de la faire parvenir au bureau du Syndicatà l’attention du comité santé-sécurité.N.B.: Les employés qui sont sur les listes auront priorité.

FORMULAIRE D’INSCRIPTIONCOURS SANTÉ-SÉCURITÉ

TRAVAUX PUBLICS ET CONSTRUCTION

Nom:___________________________________

Adresse:________________________________

Tél.Rés.:________________________________

Bureau:_________________________________

Êtes-vous sur les listes d’attente pour la Ville: OUI__________ NON__________

Êtes-vous disponible de:Jour SoirFin de semaine En tout temps

Soirée de Noël des cols bleus.Cette année, la soirée se tiendra le 5 décem-bre 1998 au 6900, 16e avenue à Montréal (coinBélanger) à la Paroisse Sainte-Bernadette Sou-birous.Veuillez prendre note qu’il n’y a qu’un seul prixd’entrée, qui est de 15.00 $ par personne.Le billet comprend le souper, la danse et plu-sieurs prix de présence.(Billets toujours disponibles)N.B. Un magnifique dépouillement d’arbre deNoël aura lieu le 19 décembre spécialementpour les enfants de 0 à 11 ans.

Sports et loisirsRetrouvaillesLa soirée des retrouvailles a eu lieu le 7novembre dernier. Cette soirée se voulaitun hommage afin de souligner l’implicationsyndicale des membres qui étaient fêtés.C’est en grand nombre que nous sommesvenus dire à ces retraités que nous ne lesavions pas oubliés et qu’ils demeuraient desgens qui avaient marqués, à leur façon, lepassé syndical du 301.C’est dans une ambiance d’halloween que le tout s’est déroulé.Plusieurs personnes ont profité de cette soirée, à thème, pour sedéguiser.

C’est M. RéjeanMorel et Mme

Caroline Blair quiont été les

gagnant(e)s duconcours des

costumés.Warzone du 19 septembre dernier.Beaucoup de plaisir. Journée très réussie !À l’an prochain.

Si vous avez des suggestionsou des commentaires concer-nant nos activités, faites-le noussavoir, nous sommes intéres-sés à connaître votre opinionafin de répondre à vos attentes.Comité des sports & loisirs,Robert Gagnon 205-8240Daniel Gaucher 205-8248Martin Forest 205-8265Raymond Murray 205-8230

Et souvenez-vous !Ceux qui viennent ànos activités, onbien du « fun », etceux qui ne vien-nent pas, on pas de« fun ».

À venir : Journée de pêche sur glace !

Fin de semaine dans le Nord.Cette année, l’activité aura lieu dans la région féeri-que de St-Jean-de-Matha du 19 au 21 février 1999.Le forfait comprend : 2 nuits, 2 déjeuners et 1 sou-per. Le tout à l’Auberge de la Montagne coupée (5étoiles).De plus, il y a possibilité de plusieurs activités pleinair (non incluses dans le forfait) soit :• Glissade sur chambre à air• Patinage• Traîneau à chien• Dégustation de vin d’érable• Traîneau avec chevaux• Location de motoneiges, etc.

Dépouillement d’arbre de Noëlpour les enfants de 0 à 11 ans.Vous avez reçu, dernièrement, unelettre vous invitant à un dépouille-ment d’arbre de Noël pour vos en-fants. Nous espérons que vos cou-pons-réponse ont été retournés auSyndicat pour que les tout-petitspuissent avoir leur fête à eux et quecet événement magique soit un suc-cès pour nous.

21

AVRIL 98291516 BEAUCHAMP, Richard 678C 30.03.1964 25301131 CHALIFOUX, Gilles E09C 29.01.1968 11299713 DEMERS, Jean-Yves 638C 29.01.1968 11299669 GAGNE, Serge 521C 08.02.1968 25D40819 GAGNE, Yvon 211C 01.05.1978 4530428 HARNOIS, Jacques 114C 13.05.1966 25389384 LAJEUNESSE, Jacques E02C 07.07.1969 18299508 LAVIGNE, Roland 289C 01.04.1968 4299678 LAVOIE, Roger 388C 13.02.1968 25299953 LAYETTE, AndrÚ 502C 18.04.1961 11351996 MARCHAND, Franþois 502C 01.08.1969 4325916 MOREL, Jacques 8 19.06.1969 22536788 PETRUZZIELO, Giovanni 116C 14.06.1976 4318096 PIGEON, Richard 720C 29.01.1968 11301256 ROY, Lucien 509C 25.01.1968 11299730 SAVARD, Claude 633C 04.03.1968 25

MAI 98314411 BERNIER, André 120C 13.03.1968 23326942 BOLDUC, Lucien 540C 16.04.1968 23327665 CYR, Jacques 211C 26.03.1968 4460681 FICOCELLI, Domenico 113C 07.12.1970 2314537 FUSCO, Dino 502C 04.03.1968 16538900 GOULET, Fernand 540C 28.04.1959 30538874 GOULET, Jean-Paul 540C 06.10.1958 30470858 GUAY, Gérard 246C 23.08.1976 25327692 HAMEL, Nöel 634C 14.03.1968 26314698 LAVOIE, Richard 509C 22.03.1968 2335354 LAZZARA, Giuseppe 162C 18.03.1968 30541692 LEPAGE, Normand 521C 16.05.1988 30326346 MICHAUD, Robert 599C 27.06.1966 30319032 NEPVEU, Guy 502C 01.12.1969 30355572 NOEL, Maurice 3 14.08.1972 1460556 OUELLET, Marc 540C 07.08.1972 9316428 PELLETIER, Pierre 276C 15.03.1968 30347607 PROVOST, André 246C 18.09.1972 9299624 RIENDEAU, Jacques 633C 04.03.1968 16376157 ROBITAILLE, Michel 502C 11.06.1969 2485262 RONCA, Alfonso 152C 10.05.1977 30316490 SEVIGNY, André 285C 19.03.1968 11335443 SPINELLO, Giuseppe 113C 18.03.1968 30547151 ST-ONGE, Fernand 619C 17.07.1989 30310746 VILLENEUVE, Gabriel 289C 06.05.1969 2

JUIN 98320850 BEAULIEU, Fernando 540C 27.04.1970 6335647 BEAULIEU, Serge 633C 08.04.1968 20377263 BOIS, Alcide 207C 29.10.1973 7317747 BOUCHARD, Yvon 281C 09.04.1968 30317827 COTE, Germain 281C 27.03.1968 7327889 COURVILLE, Yvon 633C 26.03.1968 6326862 DAOUST, Théodore 116C 25.04.1966 6536217 DI TOMMASO, Roméo 113C 21.05.1976 27381865 DUDEMAINE, Michel 521C 07.04.1970 20335318 GENDRON, Marcel 509C 08.04.1968 20387582 GIRARD, Roger 540C 29.12.1969 24336094 JEAN-LEGROS, André 540C 30.03.1968 20

314590 LAFONTAINE, Reynald 281C 01.04.1968 13314626 LAJOIE, Jean-Denis 281C 09.04.1968 15311683 LAUZON, Yves 599C 17.04.1968 27390016 LAVOIE- MOREAU, Suzanne 938C 06.05.1973 6530115 MATHIEU, Emile 113C 18.01.1965 15299062 MATHIEU, Pierre 633C 19.03.1968 6531989 MATTEO, Giuseppe 660C 13.05.1985 27327568 MAYRAND, Robert 281C 10.04.1968 20298723 OLIVIER, Bertrand 292C 25.03.1968 6477013 PEPE, Angelo 619C 29.05.1973 20379886 POIRIER, Jean-Pierre 113C 11.06.1969 20318122 RAYMOND, Bernard 206C 15.03.1968 20311904 SOUTHIERE, André 411C 08.05.1968 10316508 TEASDALE, Raymond 285C 27.03.1968 6345476 THERIAULT, Yvon 633C 08.04.1968 20299071 TREMBLAY, Marcel 678C 01.03.1968 27D63928 VAILLANCOURT, Yolande 938C 03.02.1979 27299008 WILSON, Douglas 229C 25.03.1968 6

JUILLET 98387003 ANDERSON, Raymond 502C 08.05.1970 18376078 AUBRY, Gérard 540C 02.05.1968 11379831 BATTANI, Michel 281C 27.04.1970 11387458 BERGERON, Raymond 502C 11.05.1970 4387832 BOILEAU, Gilles 315C 11.05.1970 11376024 BRODEUR, Pierre 227C 17.05.1968 25314466 CAPORICCI, Donaldo 228C 02.05.1968 11351345 CARON, Raymond 260C 17.05.1968 28376344 CAUVIER, Eloi 599C 15.05.1968 25311824 CHARTRAND, Laurent 411C 05.06.1968 11298393 COURTEMANCHE, Réjean 289C 21.05.1968 25376050 DE BELLEFEUILLE, Alain 116C 17.05.1968 25386084 DE SANTIS, Angelo 502C 11.05.1970 25345343 DECARIE, Paul 495C 02.05.1968 18386299 DURAND, Jules 116C 11.05.1970 25345841 EGGLEFIELD, Jacques 228C 24.04.1968 4381794 FRENETTE, Robert 151C 27.04.1970 11388215 GUERARD, Réal 441C 06.05.1969 18345878 LACOMBE, Normand 632C 07.05.1968 18388082 LAFOREST, Joseph 502C 08.05.1969 18310184 LECAVALIER, Pierre 283C 13.05.1968 25302068 LEMIRE, Alain 493C 23.04.1968 4377432 MAGNAN, André 519C 21.06.1969 11387056 MARANDOLA, Orlando 540C 08.05.1970 18351460 MARCHAND, Claude 633C 07.07.1969 18345414 MICHAUD, Jean-Rock 540C 01.05.1968 11386048 MORIN, Jacques 540C 08.05.1970 18351932 NADEAU, Gaétan 116C 17.05.1968 29486207 NADEAU, Yvon L40C 23.05.1967 4292033 PARADIS, Raymond 540C 07.06.1968 4316669 PELLAND, Pierre 211C 13.05.1969 11292078 PERREAULT, Jean 540C 23.04.1968 4376264 SAVELLA, Michele 229C 17.05.1968 4292131 SAWYER, Gérard 502C 01.06.1965 29387092 THIBODEAU, Delphis 113C 13.05.1970 25351487 VALENTINO, René 113C 15.05.1968 25386789 VENNE, Jean-Claude 540C 11.05.1970 25379920 VIVIER, Richard 281C 23.04.1970 4

Félicitations à nos membres retraités

MEMBRES PENSIONNÉ(E)S DÉCÉDÉ(E)S

NOM MAT. DÉCÈS

BERTHIAUME, Lucien 275579 06.09.98BERTRAND, Armand 321270 24.10.98BOISJOLI, Jacques 130949 09.09.98DEFRANCESCH, Ernest 166580 12.05.98DESROSIERS, Hector 160211 20.09.98DUMONT, Marcel 288947 09.07.98FRAPPIER, Paul-Emile 298143 12.07.98GAGNE, Adrien 314162 20.10.98GAGNE, Paul-Emile 148957 09.06.98GAUTHIER, Gaston 297242 24.09.98GERVAIS, Maurice 122788 16.07.98GOUGEON, Albert 310969 15.08.98GRIMA, Antonio 194460 14.05.98GROLEAU, Marcel 479965 11.10.98HAMEL, Jean-Claude 273697 06.08.98LAFLAMME, Alfred 318506 12.07.98LAYETTE, Lionel 170931 06.08.98LEBRUN, Merrill 327309 29.06.98LONGO, Antonio 390061 20.10.98MARTIN, Georges 375809 11.10.98MENARD, Ildège 285033 09.08.98MOREAU, Lucien 317203 05.07.98PERREAULT, Roger 165296 17.08.98PERRON, Joachim 273624 08.09.98ROUSSEAU, Paul 300970 10.08.98SEGUIN, Raymond 29.09.98VEZINA, André 292765 04.08.98

MEMBRES ACTIFS DÉCÉDÉ(E)S

NOM MAT. DÉCÈS

MORISSETTE, Daniel 547418 01.10.98TENAGLIO, Gérard 389857 15.07.98

AOÛT 98291480 ARCAND, Florent 540C 07.06.1968 15544662 AUGER, Françine 211C 16.05.1968 1321618 AUGER, Lionel 720C 06.05.1969 29317097 BEGIN, Serge 281C 08.09.1969 22460752 BOIVIN, Jacques 114C 09.06.1970 22326578 CAMPISI, Andrea 113C 18.03.1968 29530473 DANSEREAU, Jean-Claude 113C 27.06.1967 15398294 DEROME, Marcel 502C 09.07.1969 15316696 DESNOYERS, Guy 162C 26.11.1969 22351745 DESORMIERS, Jacques 494C 03.06.1968 15336771 DUFOUR, Jean-Guy 516C 21.05.1969 1389981 ECTOR, Dennison 635C 08.06.1970 22387877 FIORITO, Antonio 113C 28.05.1970 8351354 FOREST, Roger 151C 17.05.1968 1351247 FORGET, Michel 114C 15.05.1968 8318899 FOURNIER, Yvan 211C 01.01.1970 1377236 GRENIER, Fernand 938C 15.08.1970 1484763 HOGUE, Françoise 116C 22.06.1976 8460770 IMONTI, Marc 116C 01.06.1970 15387252 LABELLE, Georges 116C 16.05.1969 1298134 LAHAISE, Lucien 502C 04.06.1968 15310897 LAMARCHE, Jean 597C 29.05.1969 8317640 LEBEURIER, Sylvain 442C 30.04.1969 15337164 LEBRUN, Marcel 285C 22.04.1968 1388073 LECLERC, Achil 502C 08.06.1970 22336888 LEPAGE, André 634C 05.06.1968 15337379 LETOURNEAU, Robert 521C 09.04.1968 1345887 MAGNE, Jean-Pierre C88C 05.04.1968 31386798 MANY, Michel 502C 08.05.1970 29541620 MORIN, Benoit 521C 24.03.1988 29464749 OUELLET, Arsene 114C 08.06.1970 22465293 PAQUETTE, René 502C 02.06.1970 15466292 PARENT, Donat 502C 14.12.1972 1375997 PREVOST, André 540C 11.06.1969 22379993 QUIRION, André 162C 21.05.1970 1539151 RICHARD, Yvon 211C 21.07.1980 3387636 TAMBURELLO, Antonio 711C 15.06.1970 29389954 TENAGLIO, Paul-Emile 540C 01.06.1970 15

SEPTEMBRE 98387654 BRODEUR, Serge 502C 04.06.1970 5387484 CLERMONT, Laurent 502C 30.06.1970 8381650 DEBLOIS, Sylvio 502C 16.06.1969 26481631 DISANTI, Sabatino 113C 06.07.1972 27530562 GAGNON, Claude 113C 16.05.1969 26464891 HAYSE, Paul 113C 31.05.1971 12310888 LAFLEUR, Bernard 246C 15.07.1969 26466123 LARAMEE, Jean 599C 08.07.1968 19484976 RICHER, Yvon 502C 22.05.1974 26481908 SAMUEL, Guy 599C 22.12.1972 12542753 SANSOUCY, Jean-Olivier 577C 01.06.1987 26

OCTOBRE 98469770 GALARNEAU, Claude 502C 17.08.1976 31535529 MASSE, Jacques 502C 27.04.1976 3541763 QUESNEL, Gérard 113C 05.07.1974 31320984 RACETTE, Jean-Luc 599C 27.04.1970 31351540 ROBERT, Yvon 502C 15.07.1968 10298473 TESSIER, Jacques 520C 19.08.1968 31

Toutes nos sy

mpathies

aux familles é

prouvées

DATE DE TOMBÉE DU PROCHAIN JOURNAL : 5 janvier 1999

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE RÉGULIÈRE

ORDRE DU JOUR:- Lecture du procès verbal- Rapport du président-Statuts et règlements-Prévision budgétaire

-Élections partielles de comités- Affaires nouvelles

Syndicat canadien de la fonction publique,Syndicat canadien de la fonction publique,Syndicat canadien de la fonction publique,Syndicat canadien de la fonction publique,Syndicat canadien de la fonction publique,

section locale 301, 9650, Avenue Papineau,section locale 301, 9650, Avenue Papineau,section locale 301, 9650, Avenue Papineau,section locale 301, 9650, Avenue Papineau,section locale 301, 9650, Avenue Papineau,

Montréal, H2B 1Z7Montréal, H2B 1Z7Montréal, H2B 1Z7Montréal, H2B 1Z7Montréal, H2B 1Z7

384-7730

PAROISSE ST-JEAN-BERCHMANS5940, RUE CHABOT

SAMEDI LE 12 décembre 1998À 9 h 00 AM

SOYONS

PRÉSE

NT(E)S

C’EST

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SOLID

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