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PROGRESSION PEDAGOGIQUE

Acquis à consolider

Connaissances à acquérir Capacités et attitudes Activités – production élèves

Chap. 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l’ADN Quels mécanismes permettent à une cellule de se diviser en deux cellules identiques ?

En général, la division cellulaire est une reproduction conforme qui conserve toutes les caractéristiques du caryotype (nombre et morphologie des chromosomes)

Chaque chromatide contient une molécule d’ADN.Les chromosomes sont des structures constantes des cellules eucaryotes qui sont dans des états de condensation variables au cours du cycle cellulaire. Les deux cellules filles provenant par mitose d’une cellule mère possèdent la même information génétique.

Séance 1(1 h)Prise de contact avec la classe Evaluation diagnostique sous forme d’un QUIZZ

Rappel sur l’ADN, l’information génétique, les gènesAvant de voir la mitose on s’intéresse à l’interphase pour voir ce qu’il s’y passe

Activité 1 : Analyse de l’interphase. Après étude du document 2 page 14, réalisez un graphique représentant la quantité d’ADN en fonction du temps au cours d’un cycle cellulaire.

Grace au graphique les élèves se rendent compte que la quantité d’ADN double avant la division cellulaire. Vocabulaire : cycle cellulaire

Observer et comprendre les différentes phases de

la division cellulaire,effectuer Effectuer un

geste technique en réalisant une préparation

microscopique.

Séance 2 (2h) Activité 2 : Travaux Pratiques n°1 (2h00) : La

mitose. But : Observer et comprendre les différentes phases de la division cellulaireMatériel : microscope, lame, racines d’oignons, acide acétique, HCl, bec bunsen, vidéoSuivre le protocole sur le livre Nathan page 20 document 1.

Bilan qui récapitule les quatre phases de la mitose et la disposition des chromosomes dans chaque phase.

Extraire et organiser des informations d’un

Séance 3 (1h)Suite cours Rôles des phases G1 et G2 (doc.3 page 15)

Support documentaire : livre SVT 1ère S Nathan / programme 2011

Extraire et organiser des informations à partir d’un texte et

d’un tableau. Réaliser un graphique

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graphique Correction du TP n°1

Au cours de la phase S, l’ADN subit la réplication semi-conservative. En absence d’erreur, ce phénomène conserve, la séquence des nucléotides.

Tache complexeUtiliser un logiciel,

réaliser un graphique, extraire les informations

d’un document

Séance 4 (2h) Activité 2 (1h): Expérience historique sur la

réplication de l’ADNLa première hypothèse est faite en classe. Les deux autres sont à faire pour la prochaine séance.**Début chapitre 2** Activité 1 : Travaux Pratiques n°2 (2h00) :

Mutation et variabilité génétique But : Observer les effets de l’irradiation UV sur une culture de levure. Compétence : résoudre une tache complexe : à l’aide des différents supports les élèves doivent faire un bilan montrant les effets des UV sur l’ADN (utilisation d’Anagène), sur le nombre de cellules (Utilisation de Mesurim).

Séance 5 (1h)Correction Activité 2 chap.1 : expérience historique sur la réplication de l’ADN.

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Connaissance à acquérir Capacités et attitudes Activités – production élèves

Chap.2 A l’origine de la variabilité génétique : les mutations Quels sont les mécanismes conduisant à des mutations et les conséquences pour l’individu et l’espèce ?

Pendant la réplication de l’ADN surviennent des erreurs spontanées et rares, dont la fréquence est augmentée par l’action d’agents mutagènes. L’ADN peut aussi être endommagé en dehors de la réplication.

Le plus souvent l’erreur est réparée par des systèmes enzymatiques. Quand elle ne l’est pas, si les modificationsn’empêchent pas la survie de la cellule, il apparaît une mutation, qui sera transmise si la cellule se divise.Une mutation survient soit dans une cellule somatique (elle est ensuite présente dans le clone issu de cettecellule) soit dans une cellule germinale (elle devient alors héréditaire).

Extraire et organiser des informations à partir d’un

texte

Séance n°6 (2h)**Evaluation chap.1** (35 minutes)

Activité 2 : la réplication de l’ADN infaillible?Analyse du doc.3 page 85Estimation du taux d’erreurs pour 100 millions de nucléotides répliqués.On fait un rappel sur les puissances de 10. Activité faite à l’oral

On montre que ce taux même si il est extrêmement faible les erreurs existent et devant le nombre de division entre la cellule-œuf et un adulte on dépasse les 100 millions de nucléotides répliqués.

Séance n°7 (1h) Activité 3 : Une maladie génétique de la peau :

Xeroderma pigmentosa. (doc.4 page 89)

A travers cette activité, on met en évidence des enzymes réparatrices permettant de faire chuter le taux d’erreur vu dans l’activité précédente.10 minutes de réflexion (trace écrite demandé sur le cahier) Un élève volontaire corrige l’activité au tableau.

Que devient une mutation non réparée ?Les mutations sont la source aléatoire de la diversité des allèles, fondement de la


On introduit magistralement les notions de mutations somatiques et germinales

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biodiversité. texte Activité 4 : comparaison de gène de serpent et de poulet ( Doc.3 page 91).

On introduit la notion de gène homéotique responsable de la morphologie et par comparaison des séquences on remarque que chez le serpent des séquences nucléotidiques sont absente par mutations, ce qui explique l’absence de membres et donc une biodiversité des espèces.Activité un peu difficile coup de pouce du professeur. Réponses des élèves à l’oral de leur place.

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Chap.3 L’expression de l’information génétique Comment les gènes déterminent-ils la réalisation des caractères héréditaires ?

La séquence des nucléotides d’une molécule d’ADN représente une information. Chez les eucaryotes, la transcription est la fabrication, dans le noyau, d’une molécule d’ARN pré-messager,complémentaire du brin codant de l’ADN.

Utiliser un logiciel, tirer des informations d’une animation, réaliser une préparation pour

microscope, observer au microscope

Séance n°8 (2h) Activité 1 : Travaux Pratiques n°3 (2h00) : De l’ADN au

protéine But : Dans un premier temps, identifier un intermédiaire entre le gène et la protéine par document. Ensuite par animations « cel_pan » sur la synthèse de proteines par le pancreas avec un marqueur radioactif, les élèves identifie la localisation des proteines hors du noyau.Les élèves doivent alors émettre une hypothèse, dans un second temps observation microscopique de cellules d ‘oignons par coloration spécifique (vert de méhtyle pyronine) de l’ADN et de l’ARN pour valider ou infirmer l’hypothèse.

Competences : pratiquer une démarche expérimentale

Après une éventuelle maturation, l’ARN messager est traduit en protéines dans le cytoplasme.Un même ARN pré-messager peut subir, suivant le contexte, des maturations différentes et donc être à l’origine de plusieurs protéines différentes.


d’un document

Séance n°9 (1h) Activité 2 : Mécanisme de synthèse de l’ARN

(documents page 40 et 41)

Retrouvez le lieu, les ingrédients et les mécanismes nécessaires à la synthèse d’ARN.

A travers cette activité, on met en évidence une enzyme l’ARN-polymérase qui permet de synthétiser l’ARN dans le noyau.10 minutes de réflexion (trace écrite demandé sur le cahier) Un élève volontaire corrige l’activité au tableau.

Notion de brin transcrit et brin codant. Exercice d’application : un élève au tableau doit retrouver l’ARN à

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partir d’un brin transcrit d’ADN.- A partir du document 2 page 46, montrez que la complexité d’un organisme ne dépend pas du nombre de gène qu’il possède ?But : introduire la maturation de l’ARN pré-meessager qui permet d’obtenir un grande diversité de protéines a partir d’un seul gène.

Comment obtient-t-on plusieurs ARN messager avec un seul gène ?Extraire et organiser des

informations à partir d’und’un document

Pour répondre à la question précédente, analyser le document 3 page 47.

Le code génétique est lesystème de correspondance mis en jeu lors de la traduction de cette information. À quelques exceptions près, il est commun à tous les êtres vivants.Les portions codantes de l’ADN comportent l’informationnécessaire à la synthèse de chaînes protéiques issuesde l’assemblage d’acides aminés.

Utilisation des logiciels, extraire des informations

d’un document historique, lire un code génétique a

partir de la table génétique

Séance n°10 (2h) Activité 3 : Travaux Pratiques n°4 (2h00) : Langage

génétique et traduction But : Trouver le nombre de nucléotides nécessaire au codage d’un acide-aminé. Matériel : logiciel Anagène, adnarn, documents historique (sur ordinateur)

Les élèves étudient tout d’abord un document pour connaitre la définition d’un acide-aminé.

Ils formulent ensuite une hypothèse sur le nombre de nucléotides nécessaire pour coder un acide-aminé.. Ils utilisent alors le logiciel anagène pour confirmer ou infirmer leur hypothèse.

Utilisation du code génétique pour traduire une séquence d’ARN

Utilisation du logiciel adnarn/module traduction pour introduire les ribosomes.

Séance n°11 (1h)**Evaluation une heure.

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Tache complexe Comprendre et réaliser

une électrophorèse / réaliser une synthèse

Séance n°12 (2h) Activité 4 : Travaux Pratiques n°5 (2h00) : Du génotype

aux phénotypes But : montrer à travers une électrophorèse comment les gènes sont à l’origine du phénotype macroscopique en passant par le phénotype moléculaire. On étudie comme exemple la mucoviscidose qui se ra réinvestit par la suite sur le thème suivant : corps humain et santé dans les maladies génétiques.

Compétence : résoudre une tache complexe : établir le lien entre ADN, protéine et phénotype

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Chap.4 Patrimoine génétique et maladie Quel est la part de la génétique et celle de l’environnement dans le développement de maladies ?

La mucoviscidose est une maladie fréquente, provoquée par la mutation d’un gène qui est présent sous cette forme chez une personne sur 40 environ. Seuls les homozygotes pour l’allèle muté sont malades.Le phénotype malade comporte des aspects macroscopiques qui s’expliquent par la modification d’une protéine.L’étude d’un arbre généalogique permet de prévoir le risque de transmission de la maladie.On limite les effets de la maladie en agissant sur des paramètres du milieu. La thérapie génétique constitue un espoir de correction de la maladie dans les cellules pulmonaires atteintes.Le plus souvent, l’impact du génome sur la santé n’est pas un déterminisme absolu. Il existe des gènes dont certains allèles rendent plus probable le développement d’une maladie sans pour autant le rendre certain. En général les modes de vie et le milieu interviennent également, et le développement d’une maladie dépend alors de l’interaction complexe entre facteurs du milieu et génome.Un exemple de maladie (maladie cardiovasculaire, diabète de type II) permet d’illustrer le type d’études envisageables.Des modifications accidentelles du génome peuvent se produire dans des cellules somatiques et se transmettre à leurs descendantes. Elles sont à

Communication à l’oral

Séance n°13 (2h) Activité 1 : Travaux Pratiques n°6

(2h00) : Maladie génétiqueBut : A travers des Travaux Pratiques collaboratif, les élèves vont étudier différents maladies génétique et les facteurs de déclenchement. Au bout d’une heure de recherche documentaire, les élèves élaborent un diaporama qu’ils présentent au tableau à leurs camardes. Ces derniers évaluent par un barème leur prestations.

La partie écrite de leur exposé est à rendre sous forme d’article sur le site internet du professeur. Les élèves ont été formé a l’utilisation du site internet du professeur (spip) lors d’une séance AP. Chaque groupe possède son propre login.Séance n°14 (1h)Cours magistral les maladies génétiques.

Le chapitre sur la résistance bactériennes aux antibiotiques sera vu en fin d’année afin d’avoir l’opportunité de réinvestir les notions de génétiques vu en début d’année.

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l’origine de la formation d’un clone cellulaire porteur de ce génome modifié. La formation d’un tel clone est parfois le commencement d’un processus de cancérisation.Des modifications somatiques du génome surviennent par mutations spontanées ou favorisée par un agent mutagène. D’autres sont dues à des infections virales.La connaissance de la nature des perturbations du génome responsable d’un cancer permet d’envisager des mesures de protection (évitement des a gents mutagènes, surveillance, vaccination).

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Chap.5 La vision : le rôle de l’œilL’œil est un instrument d’optique naturel qui permet la réception d’une image. Comment l’oeil capte-t-il la lumière ?

Le cristallin est l’un des systèmes transparents de l’œil humain. Il est formé de cellules vivantes qui renouvellent en permanence leur contenu. Les modalités de ce renouvellement sont indispensables à sa transparence.Des anomalies de forme du cristallin expliquent certains défauts de vision. Avec l’âge sa transparence et sa La rétine est une structure complexe qui comprend les récepteurs sensoriels de la vision appelés photorécepteurs. Celle de l’Homme contient les cônes permettant la vision des couleurs (3 types de cônes respectivement sensibles au bleu, au vert et au rouge) et les bâtonnets sensibles à l’intensité lumineuse.Les gènes des pigments rétiniens constituent une famille multigénique (issue de duplications) dont l’étude permet de placer l’Homme parmi les Primates.Des anomalies des pigments rétiniens se traduisent par des perturbations de la vision des couleurs.Le message nerveux issu de l’œil est acheminé aucerveau par le nerf optique.

Créer un document numérique, réaliser

une préparation microscopique,

réaliser une acquisition d’image

numérique, suivre un protocole, extraire les

informations d’un texte.


(2h00) : L’organisation de l’œil et les particularités du cristallin

But : Trouver les caractéristiques du cristallin notamment sa transparence lui permettant de former une image.

Le compte –rendu TP est réalisé sur informatique, document word. Les élèves doivent réaliser une photo de la dissection de l’œil et une acquisition numérique à partir du microscope, les légender et les intégrer dans le document.

Exploiter un document

Séance n°16 (1h) Activité 2 : Myopie et presbytie (doc 3

page 48)- Identifier les causes de la myopie et les moyens de la corriger- A quoi est due la presbytie?

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Plusieurs aires corticales participent à la vision.L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’observer leur activation lorsque l’on observe des formes, des mouvements. La reconnaissance des formes nécessite une collaboration entre les fonctions visuelles et la mémoire.Des substances comme le LSD perturbent lefonctionnement des aires cérébrales associées à lavision et provoquent des hallucinations qui peuventdériver vers des perturbations cérébrales graves etdéfinitives.La mise en place du phénotype fonctionnel du système cérébral impliqué dans la vision repose sur des structures cérébrales innées, issues de l’évolution et sur la plasticité cérébrale au cours de l’histoire personnelle.De même la mémoire nécessaire par exemple à lareconnaissance d’un visage ou d’un mot repose sur la plasticité du cerveau.L’apprentissage repose sur la plasticité cérébrale. Ilnécessite la sollicitation répétée des mêmes circuitsneuroniques.

Observation microscopiques, utiliser un logiciel, extraire des

informations d'un document


(1h00) :Structure et rôle de la rétine But : Comprendre le rôle et la structure des photorécepteurs. Matériel : microscope, lame microscopique de rétine, document 3 page 351 (livre Nathan)

Extraire les informations d’un document.

Séance n°18 (1h) Activité 4 : Les cônes et la vision des

couleurs Définir le terme opsine (doc.2page 352)

Cause des anomalies de la vision des couleurs.(doc.3page 353)

A partir de cette activité les élèves sont capables d’expliquer le daltonisme.

utiliser un logiciel, construire une matrice des distances, un arbre

de parenté


(2h00) : Les photorécepteurs rétiniens, un produit de l'évolution But: Comprendre comment le génome peut s'enrichir à partir de l'étude des gènes qui codent pour les opsines, et établir des relations de parenté au sein des primates. Compétences : Justifier la place de l'Homme parmi les primates Matériel : logiciel Phylogène, document numérique (doc.2 page

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310 Bordas)

Extraire des informations à partir d’une imagerie médicale, d’un texte.

Séance n°20 (1h) Activité 6 : imagerie médicale et cortex

visuelA partir du document 1 page 356, localisez les aires visuelles impliquée dans la vision A partir du document 2 page 356, déterminer les caractéristiques du message transmis au cerveau depuis la rétine

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Chap.6 Cerveau et visionComment les informations visuelles sont-elles traitées par le cerveau ? Comment notre cerveau nous permet-il d’apprendre ?

Plusieurs aires corticales participent à la vision.L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’observer leur activation lorsque l’on observe des formes, des mouvements. La reconnaissance des formes nécessite une collaboration entre les fonctions visuelles et la mémoire.Des substances comme le LSD perturbent lefonctionnement des aires cérébrales associées à lavision et provoquent des hallucinations qui peuventdériver vers des perturbations cérébrales graves etdéfinitives. La mise en place du phénotype fonctionnel du système cérébral impliqué dans la vision repose sur des structures cérébrales innées, issues de l’évolution et sur la plasticité cérébrale au cours de l’histoire personnelle.De même la mémoire nécessaire par exemple à lareconnaissance d’un visage ou d’un mot repose sur la plasticité du cerveau.L’apprentissage repose sur la plasticité cérébrale. Ilnécessite la sollicitation répétée des mêmes circuitsneuroniques.

visualiser différentes structures

anatomiques sur une image d'encéphale avec un logiciel de

neuro-imagerie, utiliser un logiciel ,

élaborer un document numérique, établir

une hypothèse.


0(2h00) : La perception visuelle

But :Tache complexe : a partir d’une image d’un patient atteint de cécité suite aun AVC les élèves doivent détermeiner la raison de cette cécité.

Compétences :extraire et exploiter des informations (observations médicales) pour reconstituer l'organisation des voies visuelles.

Matériel : logiciel EduAnatomist, fiche technique, images fonctionnelles.

Extraire les informations d’un

texte

Séance n°22 (1h)Comment des substances comme le LSD , peuvent-elles modifier notre perception ? Activité 2 :LSD et hallucination visuelle

A partir des documents 2 et 3 page 359, proposez une explication à la modification de la perception visuelle après ingestion de LSD

Cette activité permet d’introduire le visionnage d’un film sur les dangers des drogues et de la LSD.

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Exploiter un document

Séance n°23 (1h) Activité 3 : Plasticité cérébrale et vision

(1h00) :Activité sur polycopié.

But : montrer que le cerveau n’est pas rigide et au contraire doué de plasticité.

**Evaluation une heure.

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3ème partie : la tectonique des plaques – L’histoire d’un modèleChap.7 La mobilité des continents : la naissance d’une idée

Comment le modèle actuel de la tectonique des plaques a-t-il peu à peu été construit au cours de l’histoire des sciences ?

Au début du XXème siècle, les premières idées évoquant la mobilité horizontale s’appuient sur quelques constatations : - la distribution bimodale des altitudes (continents/océans) ; - les tracés des côtes ; - la distribution géographique des paléoclimats et de certains fossiles. Ces idées se heurtent au constat d’un état solide de la quasi-totalité du globe terrestre établi, à la même époque, par les études sismiques. L’idée de mobilité horizontale est rejetée par l’ensemble de la communauté scientifique. La différence d’altitude observée entre continents et océans reflète un contraste géologique. Les études sismiques et pétrographiques permettent de caractériser et de limiter deux grands types de croûtes terrestres : une croûte océanique essentiellement formée de basalte et de gabbro et une croûte continentale constituée entre autres de granite. La croûte repose sur le manteau, constitué de péridotite.

Evaluation diagnostique.

Séance n°24 (1h) Evaluation diagnostique sous forme d’un QUIZZ

Rappel sur le foyer et l’épicentre d’un séisme, les plaques lithosphériques, le volcanisme, convergence et divergence.

Rédiger un texte scientifique,

communiquer à l’oral


(2h00) : La naissance d’une idée But: retrouver les arguments de Wegener sur la mobilité continentale à partir de documents historiques Compétences : Comprendre les difficultés d’acceptation des premières idées de mobilité Matériel : documents historiques, livre pages 110-1111, internet, google earth : « découverte de la théorie de la tectonique des plaques.kmz »

Cette activité permet aux élèves de dresser le portrait de Wegener, de comprendre à l’époque les arguments des détracteurs de cette théorie. La production a lieu

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sous forme oral un premier groupe expose l’état des connaissances avant Wegener les autres groupes se repartissent entre les partisans de Wegener et les detracteurs qui doivent défendre leurs idées sous forme de confrontation lors d’un colloque.

. Séance n°26 (1h) Cours chapitre 7-Introduction : les théories permanentiste et contractionnistes-La théorie de Wegener-Les connaissances apportées par la sismologie : définition des ondes P et S.

Rédiger un texte scientifique, réaliser un schéma, calcul de

vitesse, modéliser une expérience.


(2h00) : Echographie du globe terrestre But: comment les ondes sismiques ont permis d’ausculter l’intérieur du globe terrestre ? Compétences Exploiter des modélisations pour comprendre la structure du globe. Matériel : documents, logiciel Audacity, barre de roche, barre de bois, capteurs.

Compétences : exploiter des modélisations pour comprendre la structure du globe.

Les élèves ont la possibilité de s’exercer avec la démarche expérimental : émission d’une hypothèse, expérience a ‘laide d’Audacity et de capteur, calcul de vitesse des ondes, conclusion.

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Extraire les informations d’un

texte

Séance n°28 (1h) Activité 3 :Sismique réflexion au golfe du

LionActivité sur polycopié Montrez que les ondes sismiques permettent de distinguer les croutes terrestre et océanique au niveau de la marge du golfe du Lion.

Cette activité permet de réinvestir la notion de vitesses des ondes sismiques pour déterminer la natures des roches traversés en terme de densités.

Lire des cartes géologiques, identifier une roche à l’œil nu,

utiliser un microscope polarisant et des clés de détermination de minéraux, calculer la densité d’une roche


(2h00) : Les roches des croutes terrestres et du manteau But: montrer que la croute continentale et océanique sont différentes d’un point de vue pétrographique. Compétences Observer à différentes échelles de l’échantillon macroscopique à la lame mince : les roches des croutes océaniques, continentales et du manteau. Matériel : carte géologique, échantillon (macro + lame), granite, basalte, péridotite, microscope polarisant (fiches méthodes 6 page 399, 7 page 100), éprouvette, balance.

Les élèves ont la possibilité de se familiariser avec le microscope polarisant et une carte géologique et d’utiliser une clé d’identification des minéraux.

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Construire un schéma bilan

Séance n°30(1h) Fin du chapitre 7

Schéma bilan construit par les élèves.

Cette activité permet aux élèves de faire une synthèse chronologique sur la théorie de Wegener.

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Chap.8 De la dérive des continents à la tectonique des plaquesComment des données scientifiques nouvelles ont-elles conduit à l’idée d’une expansion des fonds océaniques.

Au début des années 1960, les découvertes de la topographie océanique et des variations du flux thermique permettent d’imaginer une expansion océanique par accrétion de matériau remontant à l’axe des dorsales, conséquence d’une convection profonde.

La mise en évidence de bandes d’anomalies magnétiques symétriques par rapport à l’axe des dorsales océaniques, corrélables avec les phénomènes d’inversion des pôles magnétiques (connus depuis le début du siècle), permet d’éprouver cette hypothèse et de calculer des vitesses d’expansion.

Au voisinage des fosses océaniques, la distribution spatiale des foyers des séismes en fonction de leur profondeur s’établit selon un plan incliné. Les différences de vitesse des ondes sismiques qui se propagent le long de ce plan, par rapport à celles qui s’en écartent, permettent de distinguer : la lithosphère de l’asthénosphère. L’interprétation de ces données sismiques permet ainsi de montrer que la lithosphère s’enfonce dans le manteau au niveau des fosses dites de subduction. La limite inférieure de la lithosphère correspond généralement à l’isotherme 1300° C.

Manipuler, modéliser, réaliser un graphique,

calculer une vitesse d’expansion

Séance n°31 (2h) Activité 1 : Travaux Pratiques

n°14(2h00) : Les apports du magnétisme sur l’expansion océanique

But : Comment les traces magnétiques présentes dans certaines roches ont-elles permis de confirmer l’idée d’une dérive continentale.

Compétences comprendre l’expansion océaniques à l’aide d’une discipline : le paléomagnétisme.

Matériel : Google earth, fichier magnétisme.kmz, basaltes, tesla-mètre, règle gradué, boussoles, livre doc.3 page 136, vidéo sur le point de Curie

Les élèves réalisent un modèle à l’aide d’un tesla-mètre pour comprendre les inversions du champ magnétique terrestre. Une première activité à l’aide de Google earth permet de localiser le Pôle Nord géographique et magnétique et comprendre que le Pôle Nord magnétique se déplace chaque jour.

Séance n°32 (1h)

Introduction sur la topographie des fond océaniques : chaine de montagne sous-marine, plateaux continentaux, fosses océaniques, plaine abyssales

Activité 2 : Les idées de Holmes sur la

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À la fin des années soixante, la géométrie des failles transformantes océaniques permet de proposer un modèle en plaques rigides. Des travaux complémentaires parachèvent l’établissement de la théorie de la tectonique des plaques en montrant que les mouvements divergents (dorsales), décrochants (failles transformantes) et convergents (zones de subduction) sont cohérents avec ce modèle géométrique. Des alignements volcaniques, situés en domaine océanique ou continental, dont la position ne correspond pas à des frontières de plaques, sont la trace du déplacement de plaques lithosphériques au dessus d’un point chaud fixe, en première approximation, dans le manteau

convection mantellique.Activité sur polycopié A partir des documents fournis pouvez-vous réfutez ou valider l’hypothèse de Holmes que vous aurez au préalable retrouvée.

Cette activité montre aux élèves qu’avec les documents fournis on ne peut pas conclure sur l’hypothèse. En effet, on penserait a valider l’hypothèse mais il nous manque des données du fait que la chaleur peut se propager selon deux modes : par conduction ou convection. Afin de trancher, on visionne un film sar la convection en chauffant un liquide coloré par la base montrant un déplacement de matière. Les élèves peuvent alors conclure et valider l’hypothèse.

Utiliser un logiciel, exploiter un

document, mettre en relation des données.

Séance n°33 (2h) Activité 3 : Travaux Pratiques

n°15(2h00) L’étude des séismes au niveau des fosses océaniques

But : Montrer que la Terre garde un volume constant grâce à un phénomène la subduction qui compense l’expansion océanique.

Compétences comprendre comment l’interprétation de la distribution des foyers des séismes permet de confirmer que la lithosphère océanique retourne dans le manteau. Définir la lithosphère par rapport à l’asthénosphère.

Matériel : Logiciel Sismolog, fiche méthode page 409, livre doc.2 et 3 page 138 et 139, fiche d’utilisation de Sismolog

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