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Jean-Paul SUBRA Une méthode agile pour vos projets Scrum 3 e édition En téléchargement des modèles de fichiers Excel + QUIZ

Scrum Une méthode agile pour vos projets + QUIZAprès un bref rappel sur les méthodes de gestion de projet traditionnelles (Cascade, Cycle en V) et leurs limites qui ont abouti à

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ScrumUne méthode agile pour vos projets Ce livre s’adresse à toute personne souhaitant mettre en application ou travailler avec Scrum. Il a pour objectif de présenter cette méthode agile, la plus utilisée, sous ses aspects théoriques et pratiques afin que les lecteurs disposent des connaissances nécessaires pour la mettre en place lors de leurs futurs projets ou pour occuper efficacement leur rôle, quel qu’il soit, sur un projet Scrum. Cette nouvelle édition est actualisée selon la version du Guide Scrum officiel de novembre 2017.Après un bref rappel sur les méthodes de gestion de projet traditionnelles (Cascade, Cycle en V) et leurs limites qui ont abouti à la naissance des approches agiles, l’auteur présente des méthodes apparentées à Scrum aussi bien en termes de concepts que d’outils pratiques (Lean Management, Kanban ou bien encore l’eXtreme Programming). Dans les chapitres suivants, après avoir fait un tour d’horizon de la méthode Scrum, permet-tant au lecteur d’en avoir rapidement une vue globale, l’auteur s’attarde sur les spécificités de l’équipe Scrum avec les rôles et responsabilités qui en découlent, puis explore en détail les pratiques Scrum : formuler et ordonner les besoins, planifier et estimer la durée des différentes phases du projet afin d’en construire les plans, gérer le cycle de vie et le suivi du projet et enfin tester ce qui est développé.En plus de cet apprentissage proprement dit de la méthode, l’auteur a choisi de donner au lec-teur des éléments qui l’aideront à aborder la problématique, parfois épineuse, du déploiement de Scrum et de la gestion du changement qui en découle.Enfin, deux chapitres permettent d’explorer des pistes pour aller plus loin. L’un aborde les outils logiciels qui peuvent être très utiles dans le cadre de la gestion des projets Scrum, l’autre apporte des réponses concrètes à des questions que l’on peut souvent se poser dans la mise en œuvre pratique de Scrum : Quelles sont les méthodes pour le déployer sur plusieurs équipes ? Quelles sont les différences et complémentarités entre Scrum et Kanban ? Quels rapports entre Scrum et DevOps ? Comment contractualiser avec Scrum ?Enfin, cet ouvrage se termine par un questionnaire qui permettra au lecteur de vérifier ses connaissances et d’identifier les points qu’il n’aurait pas bien assimilés. Des éléments complé-mentaires sont en téléchargement sur le site www.editions-eni.fr.

Jean-Paul SUBRA est ingénieur Supélec et travaille depuis plus de 20 ans dans l’indus-trie du logiciel. Après plus de 10 ans en tant que responsable d’équipes de développe-ment, en DSI et chez des éditeurs de logi-ciels, il exerce depuis 2009 dans un environ-nement Agile. En 2015, il crée son activité de conseil, SoftMethods, dont la mission est d’aider les entreprises qui produisent du logiciel à mettre en œuvre les méthodes les plus efficaces possibles dont Scrum fait évi-demment partie.

Pour plus d’informations :

45 €

Téléchargementwww.editions-eni.fr.fr

sur www.editions-eni.fr : b Modèles de fichiers Excel : grille d’aide au choix Scrum/

Kanban/ScrumBan, gestion du Backlog Produit, gestion du Backlog du Sprint, suivi d’avancement.

Jean-Paul SUBRA

Une méthode agile pour vos projets

Scrum3e édition

En téléchargementdes modèles de fichiers Excel

+ QUIZ

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1Table des matières

Avant-propos

1. Objectif du livre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

2. Notre démarche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

3. Structure du livre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

4. Remerciements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

Chapitre 1De la gestion de projet traditionnelle à l’Agilité

1. Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

2. Quelques faits et chiffres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

3. Le modèle de gestion de projet "en cascade" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18

4. Le modèle (ou cycle) en V . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204.1 La théorie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204.2 La mise en pratique du modèle en V . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224.3 Les rôles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224.4 Notion d'effet tunnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

5. L'Agilité au cœur des projets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245.1 Un peu d'histoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245.2 Les valeurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 255.3 Les 12 principes sous-jacents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 255.4 L’Agilité, ce n’est pas l’anarchie… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26

6. Scrum, un cadre de travail Agile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26

7. Information, formation et certifications. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

8. Pour conclure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

Les exemples à télécharger sont disponibles à l'adresse suivante :http://www.editions-eni.fr

Saisissez la référence ENI de l'ouvrage DP3SCRU dans la zone de rechercheet validez. Cliquez sur le titre du livre puis sur le bouton de téléchargement.

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2Une méthode Agile pour vos projets

Scrum

Chapitre 2Lean, Kanban et eXtreme Programming

1. Un chapitre nécessaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

2. Liens de parenté entre les méthodes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

3. Le Lean Management . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 323.1 Objectif du Lean . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 333.2 Les 14 principes du Lean. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33

4. Le Kanban . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394.1 Principes du Kanban. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394.2 Le Kanban pour le développement de logiciel. . . . . . . . . . . . . . . 404.3 Kanban et Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

5. La méthode XP ou eXtreme Programming . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 425.1 Les principes de base. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 425.2 Les pratiques d'eXtreme Programming . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43

5.2.1 Livraisons fréquentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 435.2.2 Rythme durable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 435.2.3 Client sur site . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 435.2.4 Conception simple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 435.2.5 Mise en place de règles de codage . . . . . . . . . . . . . . . . . . 445.2.6 L'équipe est responsable du code . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 445.2.7 Utilisation de tests unitaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 445.2.8 Test de recette . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 455.2.9 Mise en place de l'intégration continue . . . . . . . . . . . . . 455.2.10 Réaliser du refactoring de code . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 455.2.11 Programmation en binôme (Pair Programming) . . . . . . 455.2.12 Estimation à l'aide du Planning Poker . . . . . . . . . . . . . . . 465.2.13 Utilisation de métaphores et analogies . . . . . . . . . . . . . . 46

5.3 Cycle d'eXtreme Programming . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

6. Scrum, un mix des méthodes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47

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3Table des matières

Chapitre 3Tour d'horizon de Scrum

1. Naissance de Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

2. Scrum en quelques mots . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 502.1 Les valeurs Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 512.2 L'équipe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 522.3 Les trois piliers de Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

2.3.1 Transparence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 542.3.2 Inspection . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 542.3.3 Adaptation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54

2.4 Les événements (cérémoniaux) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552.4.1 Le Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552.4.2 La réunion de planification de Sprint . . . . . . . . . . . . . . . 552.4.3 La mêlée quotidienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.4.4 La revue de Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.4.5 La rétrospective de Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

2.5 Les artefacts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.5.1 Backlog Produit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572.5.2 Backlog de Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572.5.3 Suivi de la progression . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

3. Cycle de vie de Scrum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60

4. Coût, délai et périmètre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61

5. Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

Chapitre 4L'équipe Scrum

1. L’équipe, point central de Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 631.1 Équipe auto-organisée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 641.2 Équipe pluridisciplinaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

2. Le Scrum Master . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 652.1 Les responsabilités du Scrum Master . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

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4Une méthode Agile pour vos projets

Scrum

2.1.1 Application de Scrum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 662.1.2 Lever les obstacles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 672.1.3 Optimiser les interactions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682.1.4 Leader du changement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68

2.2 La personnalité et les compétences du Scrum Master . . . . . . . . 692.2.1 Connaître Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 692.2.2 Être un leader . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 692.2.3 Être communicant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 692.2.4 Avoir des capacités de médiation . . . . . . . . . . . . . . . . . . 702.2.5 Jouer la transparence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70

3. Le Product Owner. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 703.1 Les responsabilités du Product Owner . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71

3.1.1 Créer la vision du produit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 713.1.2 Gérer le Product Backlog . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 713.1.3 Maximiser la valeur du produit et du travail de l’équipe .723.1.4 Définir le plan de Release. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 723.1.5 Implication dans le processus Scrum . . . . . . . . . . . . . . . 723.1.6 Accepter ou non le résultat d'un Sprint . . . . . . . . . . . . . 733.1.7 Ses pouvoirs et limites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73

3.2 La personnalité et les compétences du Product Owner . . . . . . . 743.2.1 Posséder des connaissances fonctionnelles . . . . . . . . . . . 743.2.2 Être organisé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743.2.3 Avoir des capacités de prise de décision . . . . . . . . . . . . . 74

4. L'équipe de réalisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 754.1 Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 754.2 Caractéristiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75

4.2.1 Auto-organisée et multi-disciplinaire . . . . . . . . . . . . . . . 754.2.2 Taille de l’équipe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76

5. Et les autres rôles, alors ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 765.1 La disparition du chef de projet… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 765.2 Les autres rôles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

6. Bien constituer l’équipe : quelques pistes… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

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5Table des matières

7. Créer les conditions de la réussite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 787.1 Rassembler pour gagner . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 787.2 Cas d'une équipe morcelée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79

8. Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

Chapitre 5Construire et prioriser le Product Backlog

1. Pourquoi investir dans le Product Backlog ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81

2. La brique de base du Product Backlog : la User Story . . . . . . . . . . . . 82

3. Comment rédiger les User Stories et Epics ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 833.1 Règle des 3C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 833.2 Rédiger une bonne User Story : le principe INVEST . . . . . . . . . 843.3 Erreurs courantes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 853.4 La Story technique : solution ou aveu d’échec ?. . . . . . . . . . . . . 863.5 Identifier les fonctionnalités clés avec le Product Box . . . . . . . . 87

3.5.1 Objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 873.5.2 Mode opératoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

3.6 Une méthode efficace de découverte du Product Backlog : le Story Mapping. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 913.6.1 Le Story Mapping, c’est quoi ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 913.6.2 Story Mapping illustré par un exemple . . . . . . . . . . . . . 92

3.7 Principes de priorisation du Product Backlog . . . . . . . . . . . . . . . 953.7.1 Pourquoi prioriser ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 953.7.2 Approche générale de la priorisation . . . . . . . . . . . . . . . . 963.7.3 Les facteurs qui influencent la priorisation. . . . . . . . . . . 963.7.4 Survol des méthodes de priorisation . . . . . . . . . . . . . . . . 97

3.8 Zoom sur la priorisation par les thèmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 983.8.1 Theme Screening (sondage des thèmes) . . . . . . . . . . . . . 983.8.2 Theme Scoring (mesure des thèmes). . . . . . . . . . . . . . . 1003.8.3 Priorisation des thèmes

par l'utilisation de poids relatifs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1013.9 Zoom sur la priorisation par l’utilisation du modèle de Kano. . 103

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6Une méthode Agile pour vos projets

Scrum

3.10 Zoom sur la méthode MoSCoW . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1083.11 Zoom sur la méthode WSJF. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109

4. Gérer son Backlog en pratique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111

5. Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112

Chapitre 6Planifier et estimer

1. Des pratiques à ne surtout pas négliger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113

2. Pourquoi la planification traditionnelle échoue . . . . . . . . . . . . . . . . 113

3. Horizons de planification. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115

4. Outils d’estimation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1154.1 T-Shirt sizing . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1154.2 Les story points. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1164.3 Alors, story point ou jh ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1184.4 Notion de vélocité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1194.5 Comment initialiser la vélocité ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120

4.5.1 Mise en place d'un projet test . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1204.5.2 Choisir au feeling . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1214.5.3 Estimation de la vélocité à partir de l’historique . . . . . 121

4.6 Qui estime ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1234.7 Une méthode pratique d’estimation : le Planning Poker . . . . . 123

4.7.1 Le déroulement du Planning Poker . . . . . . . . . . . . . . . . 1244.7.2 Bénéfices et risques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1254.7.3 Erreurs communes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1254.7.4 Découper pour bien estimer : Atelier Carpaccio. . . . . . 126

5. Planification de Release . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1285.1 Avoir un objectif clair. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1285.2 Posséder un Product Backlog priorisé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1285.3 Estimer le Product Backlog. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1295.4 Connaître la vélocité de l'équipe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1295.5 Définir la fin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130

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7Table des matières

5.6 Définir la durée des Sprints . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1305.7 Créer le plan de Release . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130

6. Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131

Chapitre 7La vie d'un Sprint

1. Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133

2. Quelle durée pour les Sprints ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133

3. Doit-il y avoir un Sprint 0 ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134

4. Le rythme du Sprint : vue d’ensemble . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135

5. Préparation du Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1365.1 Environnement de travail. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1365.2 Équipe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1365.3 Définition de « Terminé ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137

6. Réunion de planification de Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1386.1 Pourquoi la présence du Product Owner

est-elle importante ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1386.2 Definition of Ready . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1396.3 Première étape : présentation des User Stories . . . . . . . . . . . . . 1396.4 Deuxième étape : quel travail sera réalisé

durant le Sprint ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1406.5 Troisième étape : comment réaliser le travail prévu ? . . . . . . . 141

6.5.1 Estimation des tâches. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1426.5.2 Affectation des tâches . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142

6.6 La gestion du temps . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1436.7 Et les corrections de bugs ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1446.8 Backlog Grooming . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145

7. Mêlée quotidienne (Scrum Meeting/Daily Scrum) . . . . . . . . . . . . . 1457.1 Un protocole à respecter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1457.2 Une mêlée efficace et utile… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1467.3 Le Scrum Master toujours à l'écoute ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148

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8Une méthode Agile pour vos projets

Scrum

7.4 Suivi de l’avancement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1487.5 Je n'ai plus rien à faire ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1497.6 L'objectif du Sprint sera-t-il atteint ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150

8. La revue de Sprint (Sprint Review) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1528.1 Qui, quoi, combien de temps ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1528.2 Un objectif, une motivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1548.3 Démontrer ce qui n’est pas démontrable… . . . . . . . . . . . . . . . 154

9. La rétrospective de Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1559.1 Une méthode pour vous aider . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1559.2 État d’esprit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1569.3 Environnement de la rétrospective . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1569.4 Méthode numéro 1 : Kick Drop Start . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1579.5 Méthode « classique » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1589.6 Présentation « en étoile » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1599.7 Le SpeedBoat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1599.8 Autres méthodes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 161

10. Laisser l'équipe se reposer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 161

11. Et si on recommençait ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162

Chapitre 8Tester en mode Agile

1. Adopter Scrum : quel impact sur la stratégie de test ? . . . . . . . . . . 163

2. Typologies de tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1642.1 Tests fonctionnels de validation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164

2.1.1 Critères de validation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1652.1.2 Les données de tests et scénarios . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1652.1.3 Les tests de validation et les User Stories . . . . . . . . . . . 166

2.2 Tests de non-régression . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1662.3 Tests d'IHM (interface homme-machine) . . . . . . . . . . . . . . . . 1672.4 Tests fonctionnels « de bout en bout » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1672.5 Tests de composants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 168

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9Table des matières

2.6 Tests unitaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1682.7 Test-Driven Development . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1712.8 Acceptance Test-Driven Development . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172

3. Anti-pattern : le cornet de glace . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173

4. La pyramide de tests idéale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1744.1 Trouver du temps pour l'écriture. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1764.2 Faut-il écrire les tests de toutes les User Stories ? . . . . . . . . . . 1764.3 Comment écrire les tests ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1764.4 Definition of Done et tests d’acceptation. . . . . . . . . . . . . . . . . 177

5. Les testeurs dans l’équipe Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1775.1 Le test fait partie de l’équipe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1775.2 Testeur Agile : un métier en mutation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178

6. En conclusion : écrivez des tests ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178

Chapitre 9Conseils pour déployer Scrum

1. Comment mener le changement vers Scrum ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 179

2. État des lieux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1802.1 Adoption des méthodes Agiles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180

2.1.1 Scrum largement déployé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1802.1.2 Les motivations pour l’adoption de Scrum. . . . . . . . . . 1812.1.3 Comment Scrum est pratiqué ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1822.1.4 Succès et challenges . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182

2.2 Un bilan positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184

3. La motivation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184

4. Big-Bang ou déploiement progressif ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185

5. Scrum et l’organisation en place . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1865.1 Que faire des responsabilités existantes ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 1865.2 La structure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187

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10Une méthode Agile pour vos projets

Scrum

6. En finir avec les idées reçues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1886.1 Scrum n'est pas une approche structurée . . . . . . . . . . . . . . . . . 1886.2 Il n'existe pas de notion de planification . . . . . . . . . . . . . . . . . 1896.3 Scrum bannit la documentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1896.4 Avec Scrum, nous passons trop de temps en réunion . . . . . . . 189

7. Le soutien du management . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 190

8. Vaincre les résistances à la conduite de changement . . . . . . . . . . . . 1908.1 Résistance d'intérêt ou politique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1908.2 Résistance de confort . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1918.3 Résistance d'incapacité ou affective . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192

9. Utiliser les Serious Games pour faciliter le déploiement . . . . . . . . . 1939.1 Pour briser la glace… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 193

9.1.1 Le secret du succès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1939.1.2 On se classe par âge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1949.1.3 Le réseau social papier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194

9.2 Le Marshmallow Challenge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195

10. Se faire accompagner . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196

11. Nos conseils en guise de conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196

Chapitre 10Scrum à l'aide d'un logiciel

1. Faut-il obligatoirement utiliser un logiciel ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 199

2. Tour d’horizon des outils de gestion de projets Scrum . . . . . . . . . . 2002.1 Jira . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2012.2 Axosoft . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2042.3 iceScrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2072.4 Tuleap . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209

3. Autres outils utiles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2133.1 Story Mapping . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2133.2 Pour les rétrospectives d'équipes distribuées : IdeaBoardz. . . . 2153.3 Outils de collaboration d’équipe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215

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11Table des matières

4. Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216

Chapitre 11Aller plus loin

1. Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217

2. Mise à l’échelle de Scrum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2182.1 LeSS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218

2.1.1 Les principes de base. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2182.1.2 Qu'est-ce qui est différent de Scrum dans LeSS ? . . . . . 2192.1.3 Notre avis sur LeSS. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222

2.2 SAFe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2222.2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2222.2.2 Les fondations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2232.2.3 Le niveau « Équipe » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2242.2.4 Le niveau « Programme » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2242.2.5 Le niveau « Gestion de portefeuille » . . . . . . . . . . . . . . . 2262.2.6 Notre avis sur SAFe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 226

2.3 La méthode Spotify . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2262.3.1 Description du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2262.3.2 L’équipe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2272.3.3 Les tribus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2282.3.4 Les guildes et chapitres. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2282.3.5 Notre avis sur le modèle Spotify . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229

3. Scrum et Kanban . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2293.1 Différences entre les deux méthodes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2293.2 Mixer ou non les approches… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230

3.2.1 Quelques considérations générales . . . . . . . . . . . . . . . . 2303.2.2 Un hybride de plus en plus utilisé : ScrumBan. . . . . . . 2313.2.3 Faire son choix… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 234

4. Scrum et DevOps . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 234

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12Une méthode Agile pour vos projets

Scrum

5. Scrum et contractualisation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2365.1 Contradictions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2375.2 Créer les conditions de la confiance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2385.3 Répondre à un appel d'offres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2395.4 Mise en place d'un plan d'assurance qualité (PAQ) . . . . . . . . . 2405.5 Contractualisation par Sprint . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241

5.5.1 Comment calculer le coût d'un Sprint ? . . . . . . . . . . . . 2415.5.2 Quid des User Stories non livrées ? . . . . . . . . . . . . . . . . 2425.5.3 Gestion des bugs et « non-validation » de User Stories . .242

5.6 Différentes formes de contrats envisageables. . . . . . . . . . . . . . 2435.6.1 Coûts variables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2435.6.2 Coûts fixes, périmètre variable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2445.6.3 Coûts fixes, périmètre fixe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2445.6.4 Coûts fixes, périmètre fixe mais avec ajustement . . . . 2445.6.5 Budget par itération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2455.6.6 Utilisation d'une marge de profit . . . . . . . . . . . . . . . . . 2455.6.7 Mise en place de pénalités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2455.6.8 Travail collaboratif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2465.6.9 Money For Nothing (payer pour rien)

et Change For Free (changement offert) . . . . . . . . . . . . 2465.7 Exemple de contrat type . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 247

Chapitre 12Vérifiez vos connaissances

1. Pourquoi ce questionnaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 249

2. Les questions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 250

3. Les réponses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 258

4. L'heure du résultat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 268

5. Il est temps de se quitter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 268

Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 271

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Chapitre 5

Construire et prioriserle Product Backlog

Cons truire et prioris er le Product Backlog1. Pourquoi investir dans le Product Backlog ?

Que l’on soit en contexte Agile ou pas, il est assez évident que pour réussir unprojet nous devons posséder une bonne vision du système ou produit que l’onva développer, par le biais d’une définition pertinente du besoin auquel il ré-pond.

En Scrum donc, pas de projet réussi sans un Product Backlog bien construit etintelligemment priorisé. Pour ce faire, évidemment, le Product Owner joue unrôle fondamental, par sa connaissance du métier et/ou du marché, mais aussipar sa capacité à transcrire efficacement, découper et ordonner ce qui estattendu par les utilisateurs du logiciel.

Là où nous avions l'habitude en tant que « Client » d'écrire les spécificationsfonctionnelles détaillées faisant office d'expression des besoins, nous allonsdevoir nous familiariser avec une nouvelle méthode. Cette familiarisationdemande un temps d'apprentissage et se doit d'être partagée par l'ensembledes parties prenantes du projet, ce qui signifiera formation, assimilation etmise en pratique des nouvelles techniques.

Dans ce chapitre, nous allons donc parcourir les concepts et méthodes permet-tant de construire, ordonner, affiner et gérer au quotidien le Product Backlog.

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82Une méthode Agile pour vos projets

Scrum

2. La brique de base du Product Backlog : la User Story

Aussi étonnant que cela puisse paraître Scrum ne prescrit pas un format ou uncontenu précis du Backlog ! Pour autant, un formalisme s’est imposé et on leretrouve quasiment systématiquement sur tous les projets Scrum : il s’agit dela notion de User Story, qui est empruntée à XP.

Une User Story est une description simple et compréhensible d’un élément defonctionnalité à valeur « métier » du système. Elle est donc bien exprimée dupoint de vue de l’utilisateur. Et elle est guidée par la réponse à ces troisquestions :

– Qui fait la demande ou qui bénéfice de la demande ? (rôle utilisateur)

– Quelle est la demande ? (le besoin)

– Quelle valeur métier découle de la réalisation de ce besoin ?

Ci-dessous quelques exemples (nous verrons plus loin comment bien rédigerles User Stories) :

« Je souhaite que la TVA soit automatiquement calculée sur les factures ».

« Je souhaite pouvoir supprimer les clients n'ayant pas passé de commandesdepuis plus d'un an ».

En complément, on emploie aussi la notion d’Epic Story. On peut considérerune Epic comme une « macro User Story », c’est-à-dire qu’elle englobe danssa définition un sous-ensemble de User Stories.

Par exemple, en relation avec les User Stories décrites précédemment, nouspourrions avoir les Epics suivantes :

« Je souhaite que mes factures soient établies automatiquement ».

« Je souhaite avoir une gestion de mes clients ».

C’est donc l’ensemble des Epic et User Stories que constitue le ProductBacklog.

Il est en pratique utile de regrouper les Epic ou User Stories (en particulier pourla priorisation) : pour ce faire, on emploie communément les concepts deThèmes ou Activités, qui sont des regroupements thématiques de Stories.

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83Construire et prioriser le Product BacklogChapitre 5

3. Comment rédiger les User Stories et Epics ?

3.1 Règle des 3C

Pour guider la rédaction des User Stories, un principe très simple à retenir a étéproposé par Ron Jeffries. Il s’agit de la règle des 3C :

En pratique, on écrira donc la Story sur une petite carte de couleur coloréeépinglée ou collée sur un tableau (principe hérité du Kanban, si vous voussouvenez bien), sous la forme suivante :

– On commence avec un titre.

– On ajoute une description synthétique de la « tâche utilisateur » et de sesobjectifs.

– On peut y ajouter toutes les notes, dessins ou informations utiles. Exemple :chiffrage, indicateur de priorité ou valeur métier.

– On y ajoute idéalement les critères de validation (par exemple au dos si onn’a plus de place…).

Cela donnera, dans la forme la plus simple, quelque chose qui ressemble à ceci :

Carte La Story est écrite sur une carte de taille assez réduite. Ces fiches peuvent être annotées (estimation, etc.).

Conversation Les détails de la Story seront exprimés lors de conversa-tions avec le Product Owner.

Confirmation Des tests de validation sont décrits avec la Story (ilsserviront à valider qu'elle a été réalisée correctement).

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La carte est un concept de partage de l’information extrêmement synthétiqueet efficace, mais dès que des données additionnelles s’ajoutent, au fur et àmesure de l’analyse, attention à ne pas surcharger celle-ci. On voit assez vitevenir la nécessité de passer par un outillage plus sophistiqué (et informatisé)pour gérer l’information : nous parlerons de cela plus loin…

3.2 Rédiger une bonne User Story : le principe INVEST

Lorsqu’on entre dans le processus de rédaction, on peut rapidement êtreperdu… Dans ce cas, un autre principe très utile vous guidera : il s’agit duprincipe INVEST.

Il indique qu’une bonne User Story doit être :

– Indépendante des autres histoires d’utilisateur (dans la mesure dupossible).

– Négociable : elle doit pouvoir être discutée avec l’équipe chargée de laréalisation du produit, notamment lors de l’estimation.

– Source de Valeur : elle doit être porteuse d’une valeur pour le client ou l’uti-lisateur.– Une User Story ne décrit pas des finalités techniques !

– Estimable : elle peut être estimée par l’équipe de réalisation avec un risqued’erreur faible.– Elle doit, à cette fin, être rédigée de manière claire et compréhensible.

– D’une taille Suffisamment petite afin de faciliter son estimation et afind’assurer qu’elle puisse être conçue, développée et testée au sein d’un Sprint.– Si la Story est trop grosse, c’est sans doute plutôt une Epic, qui devra être

découpée plus finement préalablement à la réalisation.

– Testable : une User Story doit être accompagnée des critères de validationpermettant sa validation.– Nous verrons dans le chapitre dédié aux tests comment formaliser cela.

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85Construire et prioriser le Product BacklogChapitre 5

3.3 Erreurs courantes

Pour bien rédiger nos Stories, il est aussi très instructif de savoir quelles erreurséviter :

– Trop détailler la description et rentrer trop tôt dans un niveau de détail fin.N’oublions pas qu’on ne cherche pas à faire les spécifications détaillées com-

plètes préalablement au développement comme dans les méthodes tradi-tionnelles !

– Perdre la notion utilisateur dans la description ou utiliser des acteurs tropgénériques : cela peut créer des ambiguïtés et imprécisionsExemple :– En tant que client abonné, je veux pouvoir consulter les tarifs des billets

d’avion.– En tant que client standard, je veux pouvoir consulter les tarifs des billets

d’avion.Plutôt que :– En tant qu’utilisateur, je veux pouvoir consulter les tarifs des billets

d’avion.En effet, on voudra vraisemblablement proposer des offres ou des tarifsdifférents aux abonnés par rapport aux autres personnes qui consultent lestarifs, ce qui n’apparaît pas dans la seconde description.

– Partir d'un cahier des charges rédigé en amont et le découper en User Storiesen s'appuyant aveuglément sur sa structure textuelle. Cela peut être uneapproche commode pour une équipe débutante mais n’est pas une pratiquerecommandée (nous verrons plus loin une méthode pratique pour initialiserle Product Backlog).

– Vouloir avoir un niveau de détail constant. Ce point est très important, caril est au cœur de la démarche Agile. Le contenu des User Stories est amenéà évoluer au fil du temps, au fur et à mesure de l’affinage de la compréhen-sion du besoin et de l’analyse. Typiquement, une Story dont la réalisationest prévue dans plusieurs Sprints ne sera décrite que de manière très simple(titre, description synthétique), alors qu'une User Story dont la réalisationest proche doit être complétée par des tests de recette, des exemples, desrègles de gestion, des maquettes d’écran, etc.

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– Assimiler une User Story à un Use Case. Bien que la comparaison entre lesdeux notions soit souvent utile, ce sont deux approches aux caractéristiquessensiblement différentes.

Sans rentrer dans un niveau de détail trop fin, on peut dire qu’une modélisa-tion à base de Use cases est une description de processus (par définition, unUse case représente une séquence d'actions qu'un système ou toute autre en-tité peut accomplir en interagissant avec les acteurs du système), qui s’appuiesouvent sur des diagrammes UML, comme dans l’exemple ci-dessous :

3.4 La Story technique : solution ou aveu d’échec ?

Disons en préambule que ce thème est éminemment polémique dans lacommunauté Agile, car certains considèrent que le Product Backlog ne doitcontenir que des éléments qui ont de la valeur d’un point de vue utilisateur oumétier alors que d’autres disent que finalement Scrum ne dit rien de précis àce sujet, donc on peut inclure des sujets à vocation purement technique dansle Backlog.