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Premier kit de serologie hMPV
O 0
e hMPV, M~tapneumovi-
: , - rushuma n, est detecta- ble avec ce premier test
s~rologique qui met en 6vi-
dence ees antig~nes. En sai-
son froide, il est patrols difficile
de trancher entre virus reepon-
: sables d'infections du tractus
~,~,:~'~',i ........... ~*~ respiratoire. Si I'on prend
I'exemple du hMPV, il y a simi-
litude des sympt6mes (meme nature, m~me intensite, d'allure grippale legere &
bronchiolite ou pneumonie) avec ceux du VRS, des ad6novirus ou des virus Parain-
fluenza. Des ~tudes ont montr~ une pr6valence de pratiquement 100 % chez les
enfants de 5 ans (presence d'lgG anti-hMPV). En fait, le hMPV serait la seconde
cause la plus fr~quente d'infections respiratoires virales apr6s le VRS. Ce test Bio-
trin devrait mieux aider le clinicien dans la prise en charge des patients et antici-
per la fin d'une ~pidemie & VRS. D~couvert en juin 2001 aux Pays-Bas, le
Metapneumovirus humain a suscit~ nombre de publications internationales confir-
mant son r61e ubiquitaire dans les infections respiratoires infantiles, des person-
nes &g6es et des immunod6prim~s. (390-1)
A la des
recherche shigatoxines
E n pr6sence d'une diarrh6e chez un jeune patient, il eet recommand~ de
rechercher la pr6sence de shigatoxines avant d'envisager tout traitement
antibiotique. Le test Biostar ® OIA ~ Shigatox devrait aider a prendre la meilleure
des d~cisions th~rapeutiques. Une sensibilite de 100 O/o et une sp~cificit~ de
98 O/o sont annonc6es & partir d'~chantillons de selles fraichement recueillis,
donnant un r~sultat en 15 min, par d6tection des toxines Stx 1 et Stx 2, & par-
tir de toutes les especes bacteriennes productrices de toxines, et non pas eeu-
lement E. coil O157 :H?. En effet, ne rechercher que ce dernier risquerait de
passer & c5t6 d'espece non-E, coil, consid6r~es comme responsables du tiers
. . . . . ; shigatoxines. D'autre
ness Medical, traiter &
~tique un patient avec
isable d'un syndrome
que-uremique (SHU,
ole chez le jeune enfant)
~. e faire progresser celui-
lr exacerbation de la
s~cr6tion de toxine.
(390-3)
. . . . . . . . . . . . . . F
I'origine con?u pour le march6
de la biopharmaceutique, le
syst~me Cerionx TipCharger ® &
huit canaux, distribu6 par Tecan,
est un appareil unique de net-
toyage automatique des embouts
de pipettes avec un flux de
plasma ,, froid ,,. Cette technique
assure nettoyage et st~rilisation
de qualit~ superieure des pipet-
.~e. I 'appareil & plasma ,,froid >,, est
rature ambiante (room tempera- tmosph6rique pour s6curiser lee
tion des contaminants eventuels
au mveau mo~ecu~a~re, ce qut permet de se passer des solvants chi-
miques habituels non d6pourvus d'inconvenients. Cette methode innovante de net-
toyage reduit de ce fait le risque de contamination des consommables et des
~chantillons manipul6s par la suite. Le cycle de sterilisation est raccourci et ame-
liore le taux de productivite du laboratoire. Le TipCharger ® est un complement id6al
d'une station de travail de genomique, proteomique, pharmacologie, etc. telles
qu'en propose Tecan. f.39©-~)
Legionelles, toute une population
e r6seau de surveillance eurcp~en des infections & 16gionelles
L , , EWGLINET a enregistr6 755 cas de I~gionellose en 2005 associes &
un voyage dans un pays 6tranger, dont des cas apres voyage en dehors de
I'Union europ~enne.., mais auesi & I'int~rieur du pays d'origine ! La maladie
des legionnaires reete d'actualit& Pneumonie s~v6re, c'eet un neque com-
munautaire (hors ~tablissements de sante) avec une mortalit6 de 20 %, et
nosocomial avec une mortalit6 de 40 %, d0 & Pun des 16 serogroupee connue
de I~gionelles. avec 85 °/odes cas aLegionella pneumophila s6rogroupe 1.
I'important n'eet pas tantd'identifier le s6rogroupe responsable de I'infec-
tion respiratoire d'un patient que d e confirmer ta pr6sence d'une 16gionel-
lose. Trinity Biotech propose une
gamme de r6actifs complete pour
la d~tection des s~rogroupes
connus de 16gionelles: d~tection
de t'antig~ne urinaire, kit EUSA
IgG/IgM, gammes EIAet irnmu-
nofluorescence. Un diagnostic
pr6coce permet une antibioth~-
rapie cibl~e et la reduction de la
mortalit& (390-4)
I w Pour de plus amples renseignements, contactez la Revue au 01 71 16 54 60 en rappelant la r~f~rence ou par mail ~ I adresse suivante: red-sante@elsevier, fr
8 2 Revue Francophone des Laboratoires, mars 2007, N ° 390