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Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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P4/5 : Avec nos Elus«Election municipale, leConseil Municipal travaille jusqu’au dernierjour»

P6/7 : Citoyenneté «Projet participatif «Si on faisait unbout de chemin ensemble?» Que de chemin parcouru par les experts du quotidien!»

P8/9 : Social «Le parcours de votre demande de logement» «Pour vous aider à accéder au logement :Le FSL (Le Fond de Solidarité pour le Logement)»

P10/12 : Sport «Tennis de Table : les 3 et 4 Mai, ils représenteront Méricourtaux Championnats de France» «Montée en Régionale 1 pour le Speed BadClub» «Fight to Remember IV : fête du sport pieds poings et souvenir»

P13/15 : Vie associative «En vrais amateurs et comme des professionnels, ils créent une pièce ori-ginale sur le thème de Maudite soit la guerre» «FPH Culture : déjà deux projets financés, les habi-tants à l’origine d’actions culturelles de qualité»

P16 : Infos utiles

P17/20 : Dossier «Le Nouveau Conseil Municipal semet au travail»

P21 : Education «A l’école Saint-Exupéry : Sensibilisation et travail d’éducation à la sécurité routière»P22/25 : Enfance, Jeunesse, Education Populaire «Séjour à la neige» «L’art departiciper, participer à l’art»

P26 : Environnement «Une nouvelle dimension pour l’environnement»P27 : Seniors «Une maison heureuse»

P28/30 : Culture «Festival des Enchanteurs, le groupe «Boulevard des Airs» a enchanté le public !»«Les Enpreintés, on est tous des Enpr(ei)unteurs, exposition et ateliers avec l’artiste Catherine Zgo-recki» «Les petits-déjeuners des lecteurs, un nouveau rendez-vous placé sous le signe du partage et dela convivialité!»

P31/34 : Travaux «Rénovation de l’éclairage public : trouver le bonéquilibre entre sécurité, confort et économie d’énergie»

P35 : Vie des quartiers «Quatre étudiants tout droit venus de l’Université de Lille 3 ont étéaperçus régulièrement dans les rues du quartier du 3/15. Qui sont-ils ? Que veulent-ils?»

Directeur de la publication : Bernard BAUDE, MaireRédaction-Photos et Conception graphique : Service Communication

Retrouvez le Magazine «Méricourt Notre Ville» sur le site Internet de la Ville de Méricourtwww.mairie-mericourt.fr

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Au sommaireAu sommaire

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Merci !J e remercie chaleureusement les

Méricourtoises et les Méricourtoisqui ont accordé de nouveau leurconfiance, en ce dimanche 23

mars, à la liste «Ensemble pour Méri-court» que j'ai eu l'honneur de conduire.Je mesure toute la responsabilité qu'in-duit cette confiance. L'équipe municipaleest déjà au travail pour l'ensemble deshabitants citoyens de notre belle Ville deMéricourt.«Rien n'est jamais acquis à l'homme...»chantait Aragon. En cette période post-électorale, nous mesurons l'ampleur dela tâche donc, tout en ressentant cette

forte colère, ou parfois ce triste renonce-ment, vis-à-vis des politiques nationalesmenées dans de très nombreux do-maines. Oui, la situation nationale et eu-ropéenne nous demande aussi d'êtreparticulièrement vigilant pour garantir lapérennité de nos valeurs républicaines.Et cependant, dans ce contexte difficile decrises, économique et politique, nousnous attellerons avec vigueur pourqu'une ambition municipale s'éclaire descouleurs du savoir-vivre ensemble à Mé-ricourt.Avec l'ensemble des associations denotre Ville, avec l'ensemble des citoyensengagés dans une démarche participa-tive, nous relèverons ce défi.«Ensemble !», encore et toujours.

Bernard BAUDEMaire

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Election MunicipaleLe Conseil Municipal travaille

Avec nos Elus...Avec nos Elus...

Durant la période électorale, la vie conti-nue, et le Conseil municipal poursuit son

travail jusqu'au dernier jour. C'est d'autantplus vrai que les élections municipales sontgénéralement fixées au printemps, soit à la

même période que le vote du budget pri-mitif. Alors que le gouvernement a an-

noncé une forte baisse des dotations d'État(les sommes versées pour le fonctionne-ment des communes), ce travail des élus

devient particulièrement difficile...

I l y a d'abord cette multitude depoints à chaque conseil. Jugésparfois secondaires, ils ont pour-

tant tous leur importance dans la viequotidienne des Méricourtois. Ces-sions de terrains pour un aména-geur, subventions exceptionnelles,mises en place de projets culturels,de manifestations sportives... l'acti-vité ne s'arrête pas avec les élec-tions. Ce travail sans trêve prend del'ampleur lors du vote du budgetprimitif (BP).Précédé du débat d'orientation bud-gétaire (DOB) en début d'année, leBP est l'occasion de faire un point ri-

en bref...

La Catastrophe du 10 Mars1906, Méricourt se souvientCertains encore, notamment les médias, l'ap-pelle «la catastrophe de Courrières». On répé-tera alors sans cesse ces phrases de BernardBAUDE dans sa préface du livre de FrançoisFairon, historien, Le Larmes des galibots :«Cette terrible catastrophe a eu lieu ici, Méri-court en était l'épicentre. Il y va de la géogra-phie comme de l'histoire ; on ne les réécrit pasau gré des fantaisies et des humeurs du mo-ment. C'est notre terre qui a tremblé sous lecoup fatal de cette apocalypse industrielle.C'est notre terre de Méricourt qui se souvient,en ce 10 mars, de l'horreur. Ils étaient 404 deMéricourt, 304 de Sallaumines, 114 de Billy-Montigny, 102 de Noyelles...»En attendant, et comme pour bien réaffirmerque les «Mines de Courrières», c'étaient lespropriétaires, et que les travailleurs morts le10 mars 1906 étaient bien des habitants denos villes, une première cérémonie s'est dé-roulée au monument des victimes du travail,au cimetière de Méricourt, suivie par la com-mémoration intercommunale à la Nécropole,rue Uriane Sorriaux.

goureux sur les finances de la Ville,l'occasion de vives discussions à ca-ractère politique... et débouche surle vote des taux d'impositionLe BP 2014 n'échappe pas à cetterègle d'airain. Avec près de 15 800000 euros, un désendettement

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continu, Bernard BAUDE, Maire deMéricourt, peut saluer une gestionet une situation saines malgré lestensions et les difficultés.

Difficultés ?Liée à un contexte national difficile,la baisse des dotations d'État en-traîne immanquablement une pertede moyens pour notre commune.Nous l'avons régulièrement répétédans votre bulletin municipal.L'heure n'est pas encore aux réjouis-sances puisqu'il est prévu par legouvernement des économies réa-lisées sur ses dotations aux com-munes, au moins jusqu'en 2017 !Ces nouvelles négatives venues deParis n'empêche pas le Conseil mu-nicipal de percevoir clairement lesdifficultés immédiates des Méri-courtois. Et, justement, puisque la

Ville réussit à se désendetter etgarde une bonne marge de manœu-vre pour ses propres investisse-ments d'avenir, il est proposé demaintenir les taux d'imposition(pour la part de notre commune) aumême niveau que depuis 2010.Cette proposition est accueillie favo-rablement, et à l'unanimité, leGroupe de l’Union de la Droites’étant abstenu auparavant sur lebudget.C'est sur ce vote que se termine ledernier Conseil municipal de Méri-court pour la mandature 2008-2014.

en bref...

jusqu’au dernier jour

Le Directeur du Louvre-Lensaccueilli à Méricourt

Preuve que les relations entre notre ville et leprestigieux musée sont au beau fixe, M. XavierDECTOT, directeur du Louvre-Lens a assisté envoisin au vernissage de l'exposition consacréeà Édouard Degaine. M. DECTOT se dit très inté-ressé par la politique culturelle de Méricourtet sa démarche d'éducation populaire. L'ave-nir s'annonce, sans doute, remplit de coopéra-tions fructueuses pour les Méricourtois.

Le 19 Mars 1962,enfin le cessez-le-feuen Afrique du Nord

Depuis plusieurs années, une habitude respec-tueuse est prise dans notre ville : le fleurisse-

ment des tombes des six Méricourtois tombésen Afrique du Nord lors de cette guerre qui ne

portait pas encore son nom et était qualifiétrop pudiquement «d'événements».

Une habitude bien ancrée maintenant, et quis'est renouvelée en ce 19 Mars 2014... justeavant les dépôts de gerbe et les allocutions

devant notre Monument aux Morts.

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PROJET PARTICIPATIF «SI ON FAISAIT UN BOUT DE CHEMIN ENSEMBLE ?»Que de chemin parcouru par les «experts du quotidien» !

CitoyennetéCitoyenneté

Apartir d'un tirage au sort citoyen en janvier 2013,un collectif d'habitants travaille sur un projet decréation de cheminements piétons sécurisés et

agréables à l'échelle de la commune. Le Chemin du Bossua été choisi comme premier secteur à aménager grâce àun budget participatif de 50 000 euros. Géographique-ment central, emprunté par de nombreux habitants, no-tamment les collégiens, il a été un excellent «cas d'école». Retour en images sur une année très constructive, qui amobilisé près de 250 personnes !

23 janvier : 80 personnes sont tirées au sort à par-tir des listes électorales : une expérience citoyenneinédite !

21 mars : première réunion du collectifd'habitants «Si on faisait un bout dechemin ensemble ?» : présentation dela démarche.

4 avril : visite du Chemin du Bossu, premier secteurd'étude choisi par les habitants.

25 avril : état des lieux affiné du Che-min du Bossu : premiers constats, pre-mières idées d'aménagements.

13 juin : invitation par le collectif d'habitantsd'un technicien du Conseil Général pour appor-ter des solutions à la traversée dangereuse dela RD262.

Juillet/août : propositions d'aménagements duChemin du Bossu par les enfants des centres deloisirs (construction de maquettes).

16 mai : validation des premiers amé-nagements : éclairage public, sable demarquise...

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4 février : présentation du projet d'amé-nagement «artistique» du chemin duBossu, porté par un collectif d'habitants.

20 février : invitation du collectif auConseil Municipal pour, lors d'une in-terruption de séance, présenter l'étatd'avancement du projet aux élus.

8 mars : premier diagnostic en marchantdu secteur Courty Guy.

19 mars : installation du mobilierurbain avec les habitants sur leChemin du Bossu.

Et si vous veniez faire un bout dechemin avec nous ?

Pour plus de renseignements ou nousrejoindre, contacter Sophie MOLLET,

responsable du service Projet de Ville-Territoires en Mairie (03.21.69.92.92).

2014 : le collectif reprend laroute, poursuit son chemin...

Comment a été dépensé le budget participatif de50 000 euros en 2013 consacré, à la demande deshabitants, au Chemin du Bossu ?En plus de l'éclairage public (30 000 euros) prisen charge par la ville pour améliorer la sécuritédes collégiens (hors budget participatif ) :

TPA (voirie, bordures)...........................21 572,43 €Géomètre.................................................2 272,40 €BONNET (haie végétale).........................5 704,74 €Évacuation des souches.........................3 121,56 €Mobilier urbain (bancs, poubelles...)....8 366,00 €Doubles barrières pivotantes....................999,86 €Panneaux de signalisation........................978,54 €Fourniture et pose de projecteurs.........5 430,52 €

Soit un total de.....................................48 446,05 €

16 septembre : visite sur le site pourconstater l'état d'avancement des travaux.

7 novembre : choix de la signalé-tique et du mobilier urbain (bancs,poubelles …).

28 novembre : point sur l'achat du mo-bilier urbain et validation de la créa-tion d'une piste cyclable proposée parle Conseil Général.

21 octobre : précieux moment d'échangesentre le collectif, les enfants et les résidentsde l'EHPAD ; l'occasion de « tester » lesnouveaux aménagements et d'en discuterautour d'un goûter.

Du 23 au 29 novembre : l’embellissement du che-min se poursuit : plantation de haies avec les en-fants à l'occasion du Village des Droits des Enfantsdans le cadre duquel le collectif a tenu un stand.

12 décembre : moment convivial pour évo-quer le bilan de l'année et décider d'unnouveau secteur d'intervention en 2014 :celui de Courty Guy.

Le chemin à parcourir reste encore long, maistellement passionnant ! Tous ces pas faits en-semble, toutes ces idées partagées, tous cesdébats, toutes ces propositions pleines de bonsens … sont autant de graines semées pour unjour récolter un maillage piéton de qualité, quisoit le fruit d'une imagination collective : celledes habitants qui sont les « experts du quoti-dien » !

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Le parcours de votre demande de logement

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SocialSocial

Effectuer une demandede logement

Pour effectuer une demande de loge-ment, il faut se rendre en mairie, au ca-binet du Maire afin de retirer un dossierunique, valable pour l'ensemble desbailleurs présents sur la commune.Ce document peut également être télé-chargé. Aller sur le site de la ville, icôneSe Loger, Formulaire de Demande de lo-gement.Le dossier complété doit ensuite êtredéposé en mairie qui se charge de letransmettre aux différents bailleurs.Dans un délais de 15 à 21 jours, un nu-méro unique d'enregistrement de la de-mande de logement est transmis audemandeur.Il est conseillé de faire connaître ce nu-méro en mairie afin de suivre votre de-mande de logement.

Pourquoi est il important de dé-poser votre dossier logement

en mairie ?Le service logement a pour rôle de cen-traliser les demandes de logement surla ville et travaille en partenariat avecles différents bailleurs.Les attributions de logements sont ef-fectuées lors des commissions organi-sées par les bailleurs.

Le service logement participe aux com-missions Logement à titre consultatif.Certes, la ville n'a qu'un pouvoir de pro-position cependant il est bien sûr pos-sible de mettre l'accent etd'argumenter sur des demandes ur-gentes et prioritaires dans la mesure oùles dossiers sont bien connus des ser-vices.Toutefois, le bailleur reste seul décideurde l'attribution du logement.Penser à renouveler votre demandechaque année.

Pensez à nous informer de vos change-ments de situation (enfants, adresse,revenus...).Le délais d'attribution d'un logementvarie de 3 à 12 mois.Environ 400 demandes de logementsont actuellement en attente d'être sa-tisfaîtes.

Pour toutes informations complé-mentaires, vous pouvez contacter leservice logement, Pascale VISEUR au

03 21 69 92 92.

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6 bailleurs à Méricourt

l Pas de Calais Habitatl SIA Habitatl Maisons et Citésl Logement Rurall LTO Habitatl ICF Habitat Nord Est

Pourquoi solliciter le FSL ?- Pour financer le dépôt de garantie, lepremier loyer, l'assurance du logement- Pour rembourser les dettes de loyersdont le règlement conditionne l'accès àun nouveau logement- Pour rembourser les impayés de fac-tures d'eau, d'énergie...L'obtention du FSL est soumis à condi-tion de ressources, l'ensemble des res-sources de toutes les personnescomposant le foyer est pris en compte.

Quand solliciter un FSL ?Lors du dépôt du dossier de demandede logement, il est conseillé de vérifiersi vous correspondez aux critères d'at-tribution du FSL.Si vous pouvez prétendre au FSL, il fautdès l'obtention du Numéro Uniqued'Enregistrement de la demande de Lo-gement, constituer le dossier de FondSolidarité Logement.

A qui s'adresser ?Il faut prendre rendez-vous auprès duCCAS ou au Cabinet du Maire pour laconstitution du dossier FSL.

Le FSL (Le Fond de Solidarité pour le Logement)Pour vous aider à accéder au logement :

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C ette année encore, la saisonsemble plutôt bien engagéepour le club, présidé par Sébas-

tien Joly. Sept représentants locaux dé-fendront les couleurs méricourtoisesaux championnats de France UFOLEP Bces 3 et 4 mai dans le Finistère à Bresten Bretagne.Pour cet ultime rendez-vous décisif envue d’une qualification pour les natio-naux, en compétition individuelle, lesMéricourtois n’ont pas fait le déplace-ment pour rien lors des régionaux

d’Ecuires puisque surles douze représen-tants, sept ont décro-ché leur billet pour ceschampionnats deFrance. Tout d’aborden Messieurs où faitexceptionnel, les méri-courtois ont réitéré lemême podium qu’auxdépartementaux ens’emparant des trois

premières places. Nicolas Fréville s’estadjugé le titre devant Antoine Douchyet Jérôme Fristot. Tous les trois se sontdonc qualifiés. Les vétérans 3 ont réa-lisé quelques prouesses en décrochant

le titre régional pour Noël Leroux et unebelle seconde place pour Michel DeSmet.Chez les dames, Anne-Charlotte Fristots’est également qualifiée en devenantvice-championne régionale. Enfin enminimes, le jeune Gabriel Cottrez vice-champion régional décrochait lui aussison billet pour les nationaux.Par équipes (coupe B), catégorie Mes-sieurs, Méricourt 1 (Antoine Douchy, Jé-rôme Fristot, Nicolas Fréville) adécroché sa qualification pour cesmêmes nationaux en terminant se-conde derrière leurs éternels rivauxmais néanmoins amis de l’entente Gau-chin-Verloing/Valhuon.

L’équipe jeunes (Gabriel et Jérémy Cot-trez) a terminé 3e et raté d’un rien laqualification.En résumé, ils seront 7 Méricourtoispour se disputer en individuel ceschampionnats de France UFOLEP B etune équipe (Méricourt 1) pour tenterde décrocher le titre national.Antoine Douchy et Jérôme Fristot se-ront aussi engagés en double mes-sieurs. Jérome Fristot associé à sa sœurAnne-Charlotte participeront au doublemixte.Enfin au Championnat de France A, encatégorie Vétéran 3, Nöel Leroux repré-sentera le club les 6 et 7 juin à Château-neuf-en-Thymerais en Eure-et-Loir.

Tennis de Table : Les 3 et 4 Mai, ils représenterontMéricourt aux Championnats de France

SportSport

Les licenciés de l'ASTT (association sportivede tennis de table) nous ont habitués depuisplusieurs saisons maintenant à figurer dansles compétitions d'élites, telles les cham-pionnats de France, mais aussi à se faire re-marquer sur les plus hautes marches despodiums lors de rendez-vous importants.

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L’équipeMéricourt 1

Gabriel COTTREZ sera aussi du voyage Anne-Charlotte FRISTOT,la seule damequalifiée

Michel DE SMET et Noël LEROUX en Vétérans 3

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U ne année aura suffit à l'équipeA pour atteindre l'objectif fixé.A force d'entraînement dirigé

par Jérémie, de persévérance, de vo-lonté et bien sûr de talent, l'équipe pre-mière va accéder en R1 et devenir unevéritable locomotive pour le club. Lesdirigeants et leur président peuventêtre satisfaits. Ils y croyaient. En octobredernier, Michel Pauriche nous confiaitses espoirs. «Troisième la saison der-nière, on était limite. Mais les seniors Aont les capacités pour aller décrocherune montée en régionale 1». La se-conde journée des play-off du 6 avrildernier lui a donné raison. L'équipe mé-ricourtoise s'est qualifiée après avoirbattu les équipes de Lezennes (4 à 2) etDouchy (5 à 1). Dès lors, elle évolueraen Régionale 1.Une saison positive pour le présidentpuisque son équipe première (Cassan-dra Derache, Marie Pietraskiewiecz,Grégory Lanselle, Maxence Gorajski,Anthony Lecocq, Valentin Legrand)monte dès la première année. «Nousavions aussi deux équipes en départe-mentale 1 et 2 et notre ambition c'est

de poursuivre avec elles. Le fait que l'onmonte en régionale 1, il y aura peutêtre des mutations c'est pourquoi on fi-nalisera les équipes lors de l'assembléegénérale de juin» affirme Michel Pau-riche. «Après cet exploit, nos objectifsseront de rester en R1 et dans les an-nées qui viennent d'avoir un joueurclassé. Ce serait vraiment une consé-cration pour Méricourt et cela nouspermettrait de voir l'avenir en nationalbeaucoup plus prometteur. Nous avonsdéjà de très très bons joueurs mais ilfaut être encore supérieur pour l'ave-nir».

Et l'avenir du club passe aussi par la jeu-nesse, actuellement une trentaine dejeunes y sont formés. «Notre but, c'estde les garder, comme ceux qu'on aformé et qui monte aujourd'hui en ré-gionale 1».

Speed Bad Méricourt : Espace sportifJules Ladoumègue, avenue JeannettePrin. Possibilité de 2 essais gratuits.Renseignements au 06 79 16 31 79(président) ou 06 08 30 09 46 (secré-taire).

Montée en Régionale 1 pour le Speed Bad ClubC'est fait ! Depuis le 6 avril dernier, l'équipepremière s'est brillamment qualifiée pour lamontée en Régionale 1 dès la saison pro-chaine. Une ambition portée par l'équipe etles dirigeants du club qui s'étaient donnéstrois ans.

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E motions maximales pour cettequatrième édition du gala donnéà la mémoire de Rémi Kolski.

«Nous avons mis tout en œuvre pourrendre un super hommage à Rémi, unami décédé le 5 décembre 2009 lorsd'un combat pour le téléthon. Et Fightto remember, c'est combattre pour sesouvenir» rappelait Jean-Georges à latête de l'organisation.Plus de 500 spectateurs sont venus àl'espace sportif Jules Ladoumègue pource rendez-vous de sport pieds-poings.Kick-boxing, K'1, full-contact à l'affichede la soirée qui a proposé dix-huit com-bats. Deux rencontres enfants en light-

contact, douze combats amateurs etquatre professionnels avec des boxeursvenus de toute la France (Limoges,Caen, de Belgique).Le président Méricourtois attendaitbeaucoup de ses onze protégés quimontaient sur le ring ce soir là et il nefut pas déçu puisqu'au final, huit d'en-tre eux obtenaient la victoire dont deuxpar KO. Le club enregistrait aussi deuxdéfaites et un abandon. «C'était unetrès bonne soirée même si des repré-

«FIGHT TO REMEMBER IV» :fête du sport pieds poings et souvenir

SportSport

sentants de chez nous ont perdu. C'estça la boxe et nous avons vu de magni-fiques combats» commentait en fin desoirée Jean-Georges Véjux. Des combats explosifs avec le clou duspectacle en full-contact qui a opposéen seniors A 67 kg, le scorpion MorganFortrie de Wattreloos et Sterenn Dorédu Boxing Team de Méricourt. Ce der-nier l'a emporté aux points.Un trophée «Fight to remember» a étéremis aux combattants pour le souveniret la mémoire de Rémi.

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C'est une soirée exceptionnelle que leBoxing Team de Méricourt et son président

Jean-Georges Véjux avaient organisé. «Fight to remember IV » avec le sport à

l'état pur pour une soiré empreinte d'émo-tion, de passion et de sensation.

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Vie AssociativeVie Associative

ils créent une pièce originale sur le thème Maudite soit la guerreEn vrais amateurs et comme des professionnels,

Dans le cadre du projet Mauditesoit la guerre, la compagnie Qui-dam propose de créer une pièceoriginale autour de la commémo-ration de la guerre 14/18. Un ate-lier gratuit ouvert aux habitants detous âges, de 8 à 82 ans et plus.

La compagnie Quidam travaille depuisdeux ans sur la ville. La première année,un film documentaire Mine de mé-moire, réalisé par Florent Le Demazel,avait vu le jour. A partir de celui-ci, unepièce de théâtre, L'ombre du terril, avaitété montée avec les habitants. Grâce àla mémoire d'anciens ouvriers mineurs,cette pièce racontait une histoire quiaurait pu se passer dans la ville durantle déclin de l'exploitation charbonnière.Cette fois et toujours avec Pierre Rogez,auteur et metteur en scène, une nou-velle création se prépare avec un collec-tif d'habitants motivés. Le projet estmené en partenariat avec la compagnieQuidam et les services municipaux de laculture et de l'éducation populaire.«Comme le précédent, cet atelier ne né-cessite pas de prêts requis en comédiecar la compagnie offre une formationdurant quelques mois afin de pouvoircréer et jouer une pièce dans les condi-tions professionnelles» explique PierreRogez entre deux exercices. Avec les ha-bitants, il part de l'idée que tout lemonde peut devenir artiste. «Il suffit

d'apprendre. On donne à chacun lespossibilités de faire du théâtre par lebiais d'une formation qui donne toutesles bases».Ce qui caractérise la compagnie Qui-dam, c'est son travail de proximité avecla population, dans une démarche auplus près des habitants, que ce soitpour un spectacle avec eux mais aussi àpartir de leur mémoire.«Pour moi, sur une scène de théâtre, ilfaut tout réapprendre. A marcher, àrespirer, à parler. Il faut apprendre à de-venir quelqu'un d'autre, à jouer un rôle,

à composer un personnage par le biaisd'un comédien. Et ce travail on le faitensemble par le biais de petits exercicesqui sont toujours ludiques et convi-viaux».L'idée, c'est que chacun participe enfonction de ses qualités et selon son im-plication dans le projet, pourra s'enga-ger dans la création finale. «Noussommes clairement sur une approched'éducation populaire en partant duprincipe que tout le monde peut y par-ticiper».Dans le cadre du projet Maudite soit laguerre, un historien, François Fairon,travaille déjà sur le sujet. Des tranchesde vie et témoignages récoltés, PierreRogez et le groupe s'en inspireront pourécrire la pièce. Elle sera jouée pour lescommémorations du 11 novembre,mais avant, un rapport d'étape sera pré-senté le 5 juillet.

Les personnes intéressées peuvent en-core rejoindre le groupe qui travaillechaque samedi de 14h30 à 17h. Ren-seignements à l'Espace culturel LaGare au 03 91 83 14 85 ou au Centresocial et d'éducation populaire MaxPol Fouchet au 03 21 74 65 40.

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En complément du Fonds de Par-ticipation des Habitants (FPH), leConseil Régional a lancé un nou-

veau dispositif : le FPH «Culture».Méricourt, fidèle à ses traditions,

s'est immédiatement inscritedans cet outil de démocratie par-

ticipative. Convaincues que lespratiques culturelles constituent

un précieux levier d'émancipationl'Association pour le Développe-

ment de la Citoyenneté à Méri-court (ADCM), qui gère le FPH, et

la Municipalité se réjouissent : leshabitants se sont très vite empa-

rés de ce nouveau fonds !

Le FPH de Méricourt :un pionnier en faisant de laCulture une priorité dès 2002

Le 21 janvier dernier, devant plus de 60personnes venues assister à l'Assem-blée Générale de l'ADCM, le FPH « Cul-ture » a été présenté. Financé à hauteurde 70% par la Région et 30% par la Ville,cette enveloppe permet de subvention-ner des projets portés par les habitants,visant à développer les pratiques cultu-

relles. Mais Méricourt n'a pas at-tendu la Région pour donner uneexigence culturelle aux projetssoutenus puisque depuis 2002, lerèglement intérieur du FPH metl'accent sur la Culture et sensibi-lise les porteurs de projets surcette thématique.

Le FPH Culture à peine lancé,deux projets de qualité proposés !

Le FPH Culture a rapidement fait l'objetde 2 demandes de subventions. La pre-mière, portée par un collectif d'habi-tants, est destinée à la mise en placed'un « chantier culturel » pour l'aména-gement artistique du chemin du Bossu,dans la continuité du travail effectué parles Méricourtois qui participent au pro-jet « si on faisait un bout de chemin en-semble ? ». Initiation à la photographie,création de sculptures, peinture … Plu-sieurs arts seront appréhendés et desœuvres seront créées et installées avecdes habitants volontaires de tout âge.Quant au second projet, il est porté parl'association Vies Partagées 62 qui, dansle cadre d'ateliers d'écritures avec despersonnes handicapées au sein de laHalte Répit, envisage de réaliser enmême temps des prises photogra-

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Les habitants à l’origine d’actions culturellesFPH Culture : déjà deux projets

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Vie AssociativeVie Associative

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financés !

phiques. Moments d'échanges avec lesécoles, expositions … autant d'occa-sions qui permettront d'écouter et demettre en lumière ces personnes quel'on entend et voit peu.De quoi se rassurer : la démocratie par-ticipative et la Culture ont de beauxjours devant elles à Méricourt !

Pour toute information sur le Fondsde Participation des Habitants (FPH)

«classique» ou «Culture»,contacter Sophie MOLLET ou

Delphine ANDRZEJCZAK,service Projet de Ville-Territoires

en Mairie (03.21.69.92.92).

Fonctionnementdu FPH Culture

Comme pour le FPH "classique", les fiches actions sont àretirer à Delphine ANDRZEJCZAK en Mairie (ou à téléchargersur le site internet de la ville) et à déposer au moins 8 joursavant la tenue des Comités de Gestion.Les projets sont étudiés par l'ADCM, conformément au rè-glement intérieur (disponible sur le site internet de la villeou en Mairie).

Enveloppes disponibles (financement 70% région et 30% ville)

FPH "classique" :20 000 euros par an.

FPH Culture :Jusqu'au 31 mai 2014: 5 000 euros (à ce jour possibilité definancer encore 3 projets à 1 000 euros chacun).A noter, pour 2014: changements des modalités de finan-cement par le Conseil Régional: 3 000 euros permettant desubventionner 2 projets à hauteur de 1 500 euros chacunsur la période de juin 2014 à mai 2015.

Nature des projets pouvant être financés: ateliers de pra-tiques artistiques, valorisation du patrimoine, promotionde la mémoire régionale, animations culturelles (théâtremonté avec les habitants, festivals amateurs ou profession-nel), échanges artistes/habitants ...

Rappel : Dates prévisionnelles desprochains Comité de Gestion

FPH/FPH Culture

l Mardi 22 Avril à 18H00l Mardi 20 Mai à 18H00l Mardi 24 Juin à 18H00l Mardi 16 Septembre à 18H00l Mardi 21 Octobre à 18H00l Mardi 18 Novembre à 18H00l Mardi 16 Décembre à 18H00

de qualité

Page 16: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

16

Permanence impôts tous les jours aucentre des impôts de Lens,

rue L. Armand. Tél. 03.21.08.10.10 Depuis Lundi 14 Avril 2014 de 8H30 à

12H et 13H30 à 16H30

Si vous ne pouvez pas vous déplacer etque vous rencontrez des difficultéspour remplir votre déclaration, unepersonne pourra vous aider dans vosdémarches en Mairie (Salle d’Honneur)les :

l Jeudi 24 Avril 2014 de 9H à 11H00

l Vendredi 25 Avril 2014 de 14H à 16H

l Lundi 28 Avril 2014 de 9H à 11H

l Mardi 29 Avril 2014 de 14 H à 16H

l Jeudi 15 Mai 2014 de 14H à 16H

l Vendredi 16 Mai 2014 de 14H à 16H

Pour déposer vos déclarations, uneurne est mise à disposition en Mairie

jusqu'au Mardi 20 Mai 2014.

Infos Utiles

La Carte d’Identitépasse de 10 à 15 ans

Déclaration des Revenus 2013

EspaceInfo Energie

Infos Utiles

A compter du 1er Janvier 2014, la durée de validité de lacarte nationale d'identité passe de 10 à 15 ans pour les per-sonnes majeures.

L'allongement de 5 ans pour les cartes d'identité concerne : - Les nouvelles cartes d'identité sécurisées (plastifiées) déli-vrées à partir du 1er Janvier 2014 à des personnes majeures. - Les cartes d'identité sécurisées délivrées entre le 2 Janvier2004 et le 31 Décembre 2013 à des personnes majeures (saufchangement d'adresse ou de situation matrimoniale)

Si votre carte d'identité a été délivrée entre le 2 Janvier 2004et le 31 Décembre 2013, la prolongation de 5 ans de la vali-dité de votre carte est automatique et ne nécessite aucunedémarche particulière. La date de validité inscrite sur le titrene sera pas modifiée.

ATTENTION : Cette prolongation ne s'applique pas aux cartesnationalités d'identité sécurisée pour les personnes mineures.Elles seront valables 10 ans lors de la délivrance.

Si vous projetez de voyager avec votre carte nationale d'iden-tité, il est recommandé de consulter au préalable rubriqueConseils aux voyageurs du ministère des Affaires Etrangères : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs

Economies d’énergie, rénovation, construction, énergies renouvela-bles, aides financières... Pour répondre à vos questions, un nouveauservice est proposé gratuitement aux habitants de la Communautéd’Agglomération de Lens-Liévin.

De quoi s’agit-il ?L’Espace Info Energie est un service public, de proximité qui vous informe sur lamaîtrise de l’énergie et l’habitat de manière indépendante, neutre et gratuite. Cedispositif est soutenu par l’ADEME, le Conseil Régional du Nord - Pas-de-Calais etla Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin.

A quoi cela sert-il ?Vous avez un projet de travaux, de rénovation plus globale ou encore de construc-tion. Votre conseillère Info Energie est présente sur le territoire pour vous aider à

définir votre projet. Elle est disponible pour vousinformer sur les exigences réglementaires,

les signes de qualité et les démarchespour obtenir des aides financièreset subventions existantes.Vous souhaitez des informa-tions techniques sur l’isola-tion des combles, des murset des fenêtres, sur la per-formance des isolants, surle choix de l’énergie, dumode de chauffage et de

production d’eau chaude, surune ventilation performante ou

sur l’installation d’équipementsutilisant les énergies renouvelables, ou

plus simplement vous avez des questionssur votre facture d’énergie et sur les gestes simples pour

moins consommer d’énergie. Parlez-en à votre conseillère Info Energie.Que vous soyez propriétaires, bailleurs ou locataires, n’hésitez pas à contacter l’Es-pace Info Energie : Tous consommateurs, tous concernés !

Comment contacter l’Espace Info Energie ?Périne MASSEZ - Tél. 03 21 79 05 18 - Mail : [email protected]

6 rue Lavoisier 62300 LENS(Sur RDV du Lundi après-midi au Vendredi)

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DossierDossier

Le nouveau Conseil Municipalse met au travail

SPÉCIAL ÉLECTIONS MUNICIPALES 2014

Ce dimanche 30 mars, devant de nom-breux Méricourtois présents, le ConseilMunicipal extraordinaire installait son

Maire et le Bureau Municipal, soit neuf Ad-joints, et cela dans une stricte parité femmes-hommes. L'élection municipale terminée, lesrésultats connus par tous, cet exercice protoco-laire avait une couleur particulière cette année.Mais Bernard BAUDE, nouvellement rééluMaire, ne transigera pas avec la démocratie : ilsera le Maire de tous les Méricourtois et prési-

dera à une assemblée renouvelée, forte de samajorité issue de l'union de la gauche, prête àse mettre au travail, au service de notre Ville deMéricourt.Nous vous présentons ici ce nouveau ConseilMunicipal. 26 Élus sont issus de la liste «Ensem-ble pour Méricourt», liste de Large Union de laGauche. En face, nous trouvons désormais 5Élus du Front National. Toujours dans l'opposi-tion, nous retrouvons les 2 Élus bien connus del'Union de la Droite et du Centre Républicain, àsavoir Daniel SAUTY et Annick CABY...

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Rose-Marie JULLIARDAdjointe au Maire déléguée auDéveloppement de l’Action Culturelle(Union de la Gauche)

Maryse BLAISEAdjointe au Maire déléguée au Sport(Union de la Gauche)

Marianne LENNEAdjointe au Maire déléguée aux Aînéset au Logement(Union de la Gauche)

Jean-Claude LEFEBVREAdjoint au Maire délégué aux AffairesScolaires(Union de la Gauche)

Latifa AIT ABDERRAFIIAdjointe au Maire déléguée à laMédiation et l’Insertion Sociale(Union de la Gauche)

Alexandre D’ANDREAAdjoint au Maire délégué aux Fêtes etCérémonies(Union de la Gauche)

Martine GALAMETZAdjointe au Maire déléguée àla Solidarité et l’Action Sociale(Union de la Gauche)

Laurent DUCAMPAdjoint au Maire délégué aux Travaux,à l’Environnement et au Cadre de Vie(Union de la Gauche)

Bernard BAUDEMaire(Union de la Gauche)

Olivier LELIEUXAdjoint au Maire délégué àl’Education Populaire, l’Enfance et laJeunesse(Union de la Gauche)

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Evelyne VISEURConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Jeannine BALCEREKConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Fatima TRECHConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Jérome FLEURANTConseiller Municipal(Union de la Gauche)

Ludivine HENNEAUConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Christophe DELCUSEConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Céline DE POORTERConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Roger JANKOWSKIConseiller Municipal(Union de la Gauche)

Jacques BECQUETConseiller Municipal(Union de la Gauche)

José PRINGARBEConseiller Municipal(Union de la Gauche)

Béatrice WAGONConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Sylvain SERGENTConseiller Municipal(Union de la Gauche)

Nelly RAVAIAUConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Joël CHOQUETConseiller Municipal(Union de la Gauche)

Dominique MICHAUXConseillère Municipale(Union de la Gauche)

Roger COQUARTConseiller Municipal(Union de la Gauche)

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Jean-François DELCROIXConseiller Municipal(Front National)

Anne COOLZAETConseillère Municipale(Front National)

Laurent DASSONVILLEConseiller Municipal(Front National)

Daniel SAUTYConseiller Municipal(Union de la Droite et du Centre)

Annick CABYConseillère Municipale(Union de la Droite et du Centre)

On ne les oublie pas !Imposé par la loi en fonction du nombre d’habi-tants, le Conseil Municipal de Méricourt se com-pose exactement de 33 Élus. Ni plus, ni moins.Alors, forcément, pour que des plus jeunesmarchent à leur tour dans les pas de leursprédécesseurs, et afin de faire vivre la démocra-tie, il est nécessaire que certains laissent leurplace. Qu’on se rassure ! Leur expérience, leurconnaissance de Méricourt et de ses habitants,seront toujours sources de bons conseils que lesnouveaux Élus sauront entendre…Marc LECUBIN, Guy DERISBOURG, Rosanna DIPASQUALE, Yvon SIX, Jean-Claude NAPIERALA,Marcel HUMEZ, Jeannine HUMETZ, DominiqueCOURTECUISSE, Céline ORZYCK, Samira EL AY-ACHI, Betty SAUSSEY, Dominique HAVERLAND,Pierre LELEU, Alain CUVILLIER, Maryse REMUS.

Bernard BAUDE, après lui avoir rendu un chaleureux hom-mage, a rappelé «qu’il n’appartenait à personne le droit dese servir à des fins personnelles de l’histoire de notre MaireHonoraire, Léandre LETOQUART»

Etiennette DEVOYEConseillère Municipale(Front National)

Sylvain LAOURConseiller Municipal(Front National)

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cessaire. Des remises en état totale-ment gratuites car offertes par la muni-cipalité.«Ce travail d'éducation à la sécuritéroutière a été mené autour d'atelierscyclos» expliquait Marie-Odile Mény-hart enseignante en CP.Un premier parcours permettait aux

écoliers de tester leur équilibre sur desslaloms matérialisés par des plots. Lesecond atelier était axé sur la signalisa-tion. «Les enfants apprennent à lire età différencier les différents types depanneaux lors d'un travail de classe enamont. Aujourd'hui, nous sommes plusdans une mise en pratique sur un circuittracé au sein même de l'école».L'équipe enseignante a apprécié l'aidedes parents qui s'investissent dans ceprojet et qui n'ont pas hésité à passerleur agrément afin d'être en mesure

d'accompagner les enfants lors des pro-chaines sorties. Six ont été program-mées à travers la campagne près deMéricourt pour les CE2, CM1 et CM2.Le travail se poursuit en classe sur lestrois axes, je suis piéton, je suis cyclisteet je suis passager. Et de son côté, laVille participera avec quelques enfantsau challenge communautaire de sécu-rité routière organisé par la CALL enmai.

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A l’école Saint-Exupéry : Sensibilisationet travail d’éducation à la sécurité routière

EducationEducation

Ces ateliers étaient animés dans lecadre de l'attestation premièred'éducation à la route (APER) par

l'équipe éducative, en partenariat avecla municipalité et le soutien logistiquede la communauté d'agglomération deLens-Liévin (CALL).Pour cette opération, la ville a proposéun stand réparation où deux agents desservices techniques ont procédé à unevérification des vélos des écoliers. Lesorganes de sécurité (freins, pneus...) at-tiraient l'attention en premier lieu etdonnaient matière à réparation si né-

A l'école Saint-Exupéry, dirigéepar Cédric Wielgosz, le début du

printemps a marqué pour la qua-trième année consécutive une

opération de prévention à la sécu-rité routière. Des exercices axéssur la bicyclette et le code de la

route pour tous les élèves del'établissement.

Page 22: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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Enfance/JeunesseEnfance/Jeunesse

Séjour à la neigeLa Ville de Méricourt continue son engagement

auprès des familles pour favoriser le départdes enfants en centres de vacances. Véritable

terrain d’apprentissage de la vie collective et de dé-couvertes, les centres de vacances offrent aux en-fants un éventail énorme de possibilitésd’apprentissages. Ce sont, cet hiver, 119 enfants quipartent à l’assaut des pistes enneigées. Commechaque année, une délégation de parents, accompa-gnés d’élus et d’employés du Centre Social et d’Édu-cation Populaire a pu se rendre compte, in situ, del’intérêt de ces séjours pour les enfants. Cet été, des séjours seront proposés aux familles etaux enfants, des colos à la mer, à la montagne, à lacampagne pour les 3-15 ans. L’aide de la Caisse d’Al-location Familiale à la fois aux familles (aide auxtemps libres : ATL) et à l’organisateur (Contrat Coloet Contrat Enfance Jeunesse) permet encore au-jourd’hui à nos enfants de bénéficier de ce type deséjour. Il convient cependant d’être vigilant, en effet,

Page 23: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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il n’y a plus aujourd’hui d’ATL pour les enfants demoins de 6 ans. Une famille, avec un quotient caf in-férieur à 617, qui souhaite envoyer des enfants demoins de 6 ans ne peut plus bénéficier de l’aide de250€ à laquelle elle pouvait prétendre précédem-ment. Á Méricourt cependant, nous continuons àproposer des séjours pour les plus jeunes, pour celanous solliciterons les citoyens(nes) méricourtois(es)pour rendre possible les séjours des plus jeunes (cethiver ils ont pu bénéficier d’une aide issue des fondsrécoltés lors des Médériales 2013).L’engagement méricourtois pour les droits des en-fants passe par des actes concrets, ici par exemple ils’agit du nombre effectif de départ d’enfants en cen-tres de vacances. Parce qu’au-delà des mots, ce sontles actes qui comptent, Méricourt est une des ville(sinon la ville) du Pas-de-Calais qui permet à plusd’enfants de partir en centre de vacances.

Crédit Photos : Samuel LEMORE

Page 24: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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Le centre social d'éducation po-pulaire Max Pol Fouchet mèneune politique de développement

culturel en direction de la populationméricourtoise. Loin de se prévaloird'être un centre culturel bis, - il y a LaGare qui remplit ce rôle -, il tente d'en-gager le citoyen dans une action artis-tique. Le travail réalisé par le groupeTEA (Tendance, Evolution Artistique)est un des leviers de cette démarche.Voila pourquoi ce groupe avait carteblanche durant février et mars 2014,salle Daquin, pour montrer la diversité

des talents de ses membres. Depuisdes années TEA travaille avec les habi-tants de Méricourt, s'engageant à fairedécouvrir les pratiques artistiques. Ac-tuellement au centre Max Pol Fouchetvous pouvez découvrir l'exposition «Edouard Degaine », artiste très connuau début du vingtième siècle et mal-heureusement tombé dans l'oubli. Levernissage de cette dernière exposi-tion s'est fait en présence de XavierDectot, Directeur du Louvre-Lens, cequi apporte un caractère de qualité àce qui se fait à Méricourt.

Edouard Degaine a relancé la tapisse-rie d'Aubusson et il était prévu, maisl'échéance est reportée, de faire dé-couvrir cet artisanat d'art aux Méri-courtois. La Tapisserie d'Aubusson,tapisserie de base lisse, une techniqueplus économique dans son exécution,aurait été implantée au XVIe siècledans cette région par des lissiers ve-nant d'Arras. Sa véritable dénomina-tion était jusqu'au XIXe siècle,Tapisserie Arrazo (d'Arras), ou, Tapis-serie à la marche car le licier pour ma-

L’art de participerParticiper à l’art

Page 25: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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Education PopulaireEducation Populaire

noeuvrer les lisses utilise non seule-ment ses mains par dessus mais aussises pieds sur une sorte de marche si-tuée dessous le métier.Décédé en 1967, cet artiste de grandtalent qui a côtoyé Picasso, Bracqueest exposé dans les grands musées aumonde, notamment en Russie, où l'onsait qu'existaient au début du sièclepassé, de grands collectionneurs àl'oeil avisé. C'est une chance de voircet artiste dans nos murs. Si ses mobi-liers, - Edouard Degaine a réalisé detrès beaux meubles de style art décoqui sont en bonne place dans lesgrandes salles des ventes des princi-pales capitales de l'art, comme Lon-dres et Paris -, sont connus, on a peul'occasion de voir l'essentiel de ses tra-vaux. A Méricourt, on découvre l'en-semble de son œuvre, allant du dessin

au lavis, de l'estampe à la peinture etde la tapisserie aux panneaux laqués.Cette dernière technique est d'ailleursl'un de ses secrets qu'il a emporté aveclui.

Faire découvrir aux Méricourtois unetechnique, un savoir-faire, tel est lebut que s'est fixé le centre sociald'éducation populaire. La démarchen'est pas d'apprendre à faire, ni d'ap-prendre pour pouvoir faire, mais defaire pour apprendre, de permettre àchacun quel qu'il soit, de s'élever enagissant, en se confrontant à des ar-tistes. Et pourquoi pas aux plusgrands, d'où cette exposition Degaine.Dans cette perspective sont mis enplace des APPA (Ateliers Populaires dePratiques Artistiques) qui couvrenttous les domaines artistiques comme

la peinture, la photographie, la gra-vure, la sculpture, etc.Il ne s'agit pas de former des peintres,des sculpteurs ou des graveurs mais defavoriser l'expression collective duplus grand nombre et la réalisation desoi en tant qu'individu. Les artistes, -nous en avons l'exemple avec notam-ment Samir et Ludo du groupe TEA –se rendent disponibles et permettentd'élever le niveau d'exigence des réa-lisations. Des ateliers ont déjà eu lieu,comme la participation de famillesméricourtoises à la résidence interna-tionale d'artistes de Gentioux(Creuse), ou encore lors de la rési-dence d'artistes roumains de la facultédes arts de Timisoara et de photo-graphes de la Haute Ecole des Arts duRhin. Des graveurs et des sculpteurssont attendus dans les semaines àvenir.

Page 26: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

EnvironnementEnvironnement

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Cantonnée auparavant dans sadimension «cadre de vie»,

la semaine de l'environnementprend son envol et introduit de

nouveaux thèmes, aussi instructifsqu'informatifs. Et ce n'est pas fini !

«La première initiative a été la fourniturede compost» se remémore Gérald Bru-neau, chef de service à la Mairie, et une deschevilles ouvrières de la semaine. L'intituléde son service : «service environnementpropreté urbaine» témoigne encore del'époque à laquelle le terme «environne-ment» était simplement synonyme de«cadre de vie». «Aujourd'hui, nous voulonspromouvoir une autre dimension» sou-ligne-t-il. Et, de fait, les thèmes traités lorsde la semaine de l'environnement s'élargis-sent d'année en année. Il s'agit d'informer,de donner des informations et des connais-sances permettant à chacun de développerson savoir de citoyen éco-responsable.

Les méricourtois n'ont pas été déçus sur cepoint cette année, puisque, outre des cam-pagnes de plantations place Sémard avec la

population du quartier et les enfants del'école Courty-Guy, en plus du traditionnelnettoyage du chemin du bossu, il leur a étéproposé une conférence de bon niveau :«Fleurir autrement, fleurir durablement»mettant en exergue les vertus de toutessortes des vivaces : implantation et fleuris-sement naturels... «Ils sont économes eneffet de serre, ne serait-ce que parce qu'onn'est plus obligé de prendre sa voiture pouraller chercher des plants tous les ans» ditGérald Bruneau. Ancolie, digitale, asters,

géraniums et autres fuschias démontrentpar leur agrément et leur grâce, le bienfondé de tels choix.

Parallèlement, les services de la ville, entravaillant sur ces thèmes, enrichissent etmodifient leurs pratiques : les pesticidessont désormais proscrits de l'arsenal destraitements. Dans les espaces verts de laville, le savon remplace les insecticides etles bouillies de prêle et d'orties de redou-tables produits pollueurs de l'eau du robi-net.

Mais la semaine de l'environnement necompte pas rester au jardin. Dès l'an pro-chain, elle va s'attaquer à des thématiquesplus larges, comme la performance énergé-tique des habitations, les ravages des pes-ticides ou la problématique de ladéforestation à l’échelon de la planète.

Une nouvelle dimension pour l’environnement

LE COMPOST ? TOUT POUR PLAIRE ALA PLANÈTE !

Il remplace avantageusement les engrais de la chimie desynthèse ! « l'or brun » est issu d'un savant mélange devégétaux, fleurs, feuillages, branchages broyés, papiersessuie tout, coquilles d'oeuf, cartons... ( en quantité moin-dre peu de déchets de viande et de poisson!) Travailléspar les enzymes des micro-organismes et les bactériesqui s'y installent, ils se transforment peu à peu en petitesmiettes chargées d'éléments nutritifs pour les végétauxet légumes du jardin. La température d'un compost enplein travail peut atteindre les 50 degrés ! 60 à 70 dansles compostages industriels ! Ce travail de transformationnécessite un peu de savoir faire technique (aération ducompost, gestion de l'humidité lors des étés secs, gestionde l'équilibre azote/carbone) mais permet d'économiserles engrais artificiels et d'alléger la volume des déchetsménagers déposés à la poubelle... tout pour plaire à laplanète !

Page 27: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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SeniorsSeniors

Il est 7 heures, la résidence Henri Hottes'éveille. Le boulanger gare sa camion-nette et entre dans la cuisine, les bras

tout chargés de pain. Ça sent bon le café,la radio diffuse de la musique dans tout

le hall d'entrée. Les « bonjour », lesrires, C'est comme à la maison. Ce n'estpas un hasard, c'est précisément ce quetoute l'équipe de la résidence travaille à

entretenir : l'ambiance d'une maisonheureuse. Des manifestations toutes

simples mais ô combien sympathiquesse sont multipliées, chaque résident

garde encore le souvenir du premier bar-becue organisé cet été. L'apéritif est

servi chaque dimanche, comme à la mai-son, et le champagne est de mise pour

les grands jours (noël, pâques...)

UNE NOUVELLE CONCEPTION DE L'AC-CUEIL DES AINÉS

«Toute une réflexion a été mise en placepour prendre en compte les évolutions descomportements chez nos aînés» souligne-t-on du côte de l'équipe municipale «Les 60ans d'aujourd'hui écoutaient les Beatles etles Rolling stones» constate-t-elle. «Il fauttenir compte des nouvelles attentes, enterme d'accueil et d'autonomie, faire évo-luer les animations, renforcer les activitésd'apprentissage, la pratique artistique, lessorties culturelles au spectacle, au ci-néma...»

PARTENAIRES !Rendre de l'autonomie, de la responsabi-lité, faire de tous les agents des acteurs, desinitiateurs, associer les personnels médi-caux et para médicaux, les différents travail-leurs sociaux, dans une vigilance, unebienveillante attention partagée, ont per-mis à la résidence Henri Hotte d'augmenterson taux de remplissage de 20 % entre mai

2013 et aujourd'hui. «À ce jour 57 contratsde location sont signés, et les visites conti-nuent» se félicitent Franck Debaecke et Ka-rine Pozicki, les deux chevilles ouvrières del'institution. L'organisation d'un pot de rentrée avec lespersonnels médicaux et para médicaux,mais aussi avec les représentants du bail-leur des murs, la SIA, a symbolisé la volontéaffirmée d'approfondir et de donner uneimpulsion nouvelle aux partenariats dansl'intérêt des résidents. Les échanges se fontutilement, spontanément et très fréquem-ment, dans les deux sens. Ce qui contribueà élever la pertinence de l’accompagne-ment tant par l'équipe que par les méde-cins, et de développer les approchespartagées d'un accompagnement de cha-cun des résidents.

EXPERTISES PARTAGÉESIci comme partout ailleurs, la ville a faitappel aux experts du quotidien : c'est l'en-semble du personnel qui a été sollicité pouridentifier de nombreuses pistes d'amélio-rations des prestations. C'est ainsi que lesdouches accessibles sont désormais préfé-rées aux salles de bain. C'est égalementainsi qu'il a été possible de négocier avec laSIA la mise en place d'un contrôle d'accèspersonnalisé de la résidence dont l'installa-tion est imminente. Chaque résident estdésormais libre de sortir comme il le sou-haite, dans des conditions de sécurité opti-males.Les résidents eux aussi ont été sollicités.Mis en situation d'acteurs responsables et

de décideurs. C'est ainsi qu'il a été possiblede travailler, en les associant, à l'améliora-tion substantielle des repas : choix de sa-lades différemment assaisonnées,amélioration des grammages, et, tout der-nièrement, le renouvellement du marchéde restauration, qui a permis de répondreaux demandes en matière de grammages.(Pour le choix du nouveau fournisseur, unecommission de résidents et d'élus s'est dé-placée pour tester les prestations du nou-veau candidat ! )

Les résidents sont également devenus lesambassadeurs de la résidence en étant as-sociés, sur la base d'un volontariat desmembres du conseil de la vie sociale, à l'ac-cueil des visiteurs des appartements de larésidence. Quel meilleur témoignage, eneffet, de la qualité d'une telle maison quede faire appel à ses usagers eux-mêmespour la présenter aux nouveaux venus ?L'évolution des effectifs montre que la me-sure a accompagné efficacement les autresefforts. En quelques mois, le nombre de ré-sidents a augmenté de près de 30 %.L'amélioration de la sécurité des résidentspar la mise à disposition de médaillonsd'appel portatifs est d'ores et déjà décidée.De nouvelles animations sont sur le pointd'être lancées, et une évaluation interneest également en cours. «Il s'agit de toutmettre en œuvre pour bien servir nos rési-dents» se félicite l'équipe de la résidence.La maison heureuse compte encore 7 ap-partements libres. L'équipe espère bienqu'il y aura bientôt une liste d'attente !

UNE MAISON HEUREUSE

Page 28: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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CultureCulture

L ’espace Jules Ladoumègue a ré-sonné sur des styles de rock, skaou encore samba festive avec la

joyeuse bande de copains du groupeBoulevard des airs (BDA) venus du Sud-Ouest de la France.Auteurs, compositeurs, interprètes, etmulti-instrumentistes, c’est l’envie demieux faire qui les motive en perma-nence, notamment eu égard à leursprestigieux aînés. En effet, BDA reven-

dique des influences diverses telles queBrassens, Brel, Marley, ou encore RedHot Chili Peppers !

La chanson française à l'honneur !La chanson française s'est taillée la partdu lion et le public a pu voyager grâceà des chansons livrant de vrais mes-sages de révoltes, des coups de gueulemais aussi des messages d'amour... letout écrit avec beaucoup de sensibilitéet générosité. Toutes ces belles parolesn'étaient pas que du Bla Bla, qui estaussi l’un des titres de leur dernieralbum «Les Appareuses Trompences».

De l'énergie à revendre !Sur la scène méricourtoise, on peut direque le groupe a débordé d’énergie enentraînant avec eux les 500 spectateursprésents ce soir-là sur des rythmes oùla chanson française télescopait le rocket le reggae flirtait avec le jazz...Un moment de partage unique avec lamusique de BDA, véritable et formida-ble machine à émotions. Et les émo-tions n'ont pas manqué pourl'ouverture des Enchanteurs à Méri-court !

La 15e édition du festival LesEnchanteurs, orchestrée parl’association Droit de Cité, a

débuté le 28 Février dernier àMéricourt et de fort belle

manière.

Le groupe «BOULEVARD DES AIRS» a enchanté le public !Festival des Enchanteurs

Page 29: Service Communication Au sommaireAu ... - Site de Méricourt

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Retour sur une artisteet son travail ancré dans l’histoire

et la mémoire collectivedu bassin minier

C'est notre histoire, la mémoire, les ra-cines du bassin minier qui ont inspiré etqui inspire le travail de Catherine Zgo-recki : «Du passé, il nous reste destraces, des friches qu'il nous faut pré-server. Cet acte est essentiel si l'on veutcomprendre d'où nous venons, pourmieux appréhender où nous allons».

On est tous des empr(ei)unteurs ?Son exposition avait donc toute sa placeà l'Espace Culturel La Gare, ancien siteminier.Les murs du Hall d'exposition se sont re-couverts d'empreintes métalliques : destôles d'acier d'un mètre sur un mètremartelées des empreintes réalisées par

Catherine Zgorecki lors de ses baladessur différentes friches industrielles etsites miniers comme le 11/19 ou le sitede Oignies 9/9 bis.

«On emprunte tous àun passé, à une histoirecollective. Cette histoireet ce passé ontconstruit nos personna-lités et, plus largement,notre culture. L'idée desempreintes c'est de nepas aller empruntern'importe où, et defaire en sorte que lesgens se retrouvent dansce qu'ils ont à obser-ver».

Des ateliers avec les enfants del'accompagnement à la scolarité

Parallèlement à cette exposition, et enpartenariat avec le service Education,Catherine Zgorecki a animé chaque soirdes ateliers artistiques avec les enfantsde l'accompagnement à la scolarité.Après une visite de l'exposition, ils sontdevenus à leur tour des artistes et quelsartistes ! Ils ont exprimé toute leur créa-tivité et nous ont montré et démontrétout leur talent que nous avons pu ob-server à l'occasion de la présentation deleur propre exposition qui était visibledans les écoles de la ville.

Exposition et ateliers avec l’artiste Catherine Zgorecki«Les Empreintés, on est tous des Empr(ei)unteurs»

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Espace Culturel et Public La Gare03 91 83 14 85

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Thé ou café ?Polar ou roman d’amour ?

Le 25 janvier et le 22 mars derniers,l’équipe de la médiathèque a présentéaux participants les dernières nouveau-tés en matière de romans, documen-taires, bandes dessinées… L’occasionpour chacun de découvrir en avant-pre-mière les livres qui fleurissent dans lesrayons de la médiathèque et de pouvoirles emprunter. Au menu, le dernier ouvrage de JulieAndrieu, Les Carnets de Julie, sur les re-cettes des différents terroirs de Francea côtoyé une sélection des meilleuresnouvelles policières américaines, ou en-core la pépite de Ludovic Roubaudi Lepourboire du Christ qui raconte lesaventures de deux clampins qui souhai-tent soutirer de l’argent à des bourgeoisignorants d’une façon plutôt originale.Enfin, l'excellente bande dessinée Lesinge d'Hartlepool, de Wilfrid Lupanoqui sous ses airs de farce évoque sur unton glaçant la bêtise et le racisme dontl'homme peut faire preuve face àl'étranger, en l'occurrence ici des habi-tants de la ville de Hartlepool qui pren-nent un singe vêtu d'un costume desarmées napoléoniennes pour un Fran-çais et décident de le punir.

Les lecteurs prennent la paroleet nous présententleur coup de cœur !

Si lors de ces deux premiers rendez-vous, il a surtout été question pourl'équipe de présenter les nouveautés dela Gare, nous vous invitons à venir nousprésenter à votre tour vos coups decœur ou coups de gueule, et ainsi par-tager autour du livre et de la lecture.Car finalement, le plus important est depouvoir passer un moment convivial àla médiathèque, rencontrer de nou-velles personnes, tout ça autour d’unbon livre… et d’un bon café (ou thé !).Pour connaître la prochaine date, n'hé-sitez pas à vous rapprocher de l’équipede la Gare !

Les petits-déjeuners des LecteursUn nouveau rendez-vous placé sous le signe du partage et de la convivialité !

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Rénovationde l’éclairage

public :Trouver le bon équilibre entre

sécurité, confort etéconomie d’énergie

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TravauxTravaux

La ville a lancé depuis 2012, un pro-gramme de rénovation de l'éclairage pu-blic dans une dimension de recherche

d'économie d'énergie. Un vaste chantier quiconcerne plus de 1700 points lumineux répar-tis sur le territoire. Afin d'éclairer notre visionsur les nouvelles technologies qui s'offrentaujourd'hui et sur les enjeux économiques,énergétiques et de sécurité d'unetelle opération, nous avons ren-contré Frédéric Termine di-recteur des services

techniques de la ville.

De gauche à droite : Frédéric TERMINE, DST enréunion avec Laurent DUCAMP, nouvel Adjointaux Travaux et David KRZYZELEWSKI en charge dusuivi du plan de rénovation de l’éclairage public.

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TravauxTravauxl Ce programme de rénovation del'éclairage consiste en quoi ?«Concrètement lorsque ces opérationsont été lancées, les techniques qui per-mettaient de répondre à un meilleurrendement de l'éclairage, c'était leslampes à sodium haute pression (SHP)qui initialement étaient à 250 watts parpoint lumineux. Nous sommes arrivés àtrouver l'équivalent en unité de mesureavec le lux et des puissances qui sontquasi divisées par deux. Aujourd'huiune lampe à 150 watts dans cette tech-nologie correspond aux lampes d'hier à250 watts. Soit 100 watts d'économiepar point lumineux.Nous avons changé lampes et lanternesqui sont plus performantes dans desmatériaux plus nobles à haut pouvoirde réflexion. A cela, s'est associée unetechnologie de gestion de la puissance.Aux heures dites creuses (entre 23h00et 5h00 du matin) où l'on a besoin demoins de puissance par rapport auxusages, à la population, à des problé-matiques de circulation ou de sécurité,on baisse l'intensité d'un tiers et pourdescendre à 100 watts alors qu'hierelles étaient à 250 watts».

l Un investissement important avecun retour économique certainementnon négligeable pour les finances dela commune ?«Tout à fait. Ce plan de rénovation del'éclairage public a été lancé dans unedimension de recherche d'économied'énergie. Aujourd'hui, nous sommesdans la seconde tranche du programmeavec un marché qui s'élève à 250 000euros. Ce sont des marchés conséquenten investissement mais sur lesquelsnous avons obtenus des subventions dela Fédération Départementale del'Energie (FDE). Cette fédération aideles communes dans tous leurs projetsde rénovation de l'éclairage public.

Pour Méricourt, cela s'est concrétisépar des subventions à hauteur de 22000 euros en 2013 et 60 000 en 2014.Plus le gain énergétique en matière deconsommation est intéressant, plus l'onpeut prétendre à des subventionsconséquentes.Le budget des consommations élec-triques est un poste important au ni-veau fonctionnement. Uniquement enéclairage public, la dépense se monteentre 145 à 150 000 euros pour l'année. Il est donc très important, au delà dusimple confort et de l'esthétique, de re-garder dans quelle mesure on peut ré-duire ces consommations avec desproduits plus modernes, adaptés et ré-pondant à nos besoins.Nous avons renouvelé près de la moitiéde nos éclairages et l'on peut considé-rer qu'en moyenne on a diminué laconsommation de 30 à 40% sur cespoints, soit 15 à 20% sur l’ensemble dela commune».

l Où en est-on sur la rénovation dupatrimoine ?«Sur la dernière tranche, nous venonsde changer 450 points et la première enconcernait environ 300. Il nous reste en-viron 1000 points lumineux à rénover,voire changer. Tous ne sont pas pourautant vétustes puisqu'ils ont été régu-lièrement entretenus dans le cadre dumarché d'entretien. Aujourd'hui, nousavons la possibilité de lancer des cam-pagnes de changement de lampes maissur une nouvelle technologie que nouscherchons à développer avec pourmême objectif : la réduction des fac-

tures énergétiques».

l Parlez-nous de cette nouvelle tech-nologie ?«Le fonctionnement bi-puissance estassez récent mais je suis convaincu quesi depuis deux à trois ans, la technolo-gie SHP était tout à fait appropriée, au-jourd'hui les technologies Led sont bienmaîtrisées et permettront de faire da-vantage d'économies d'énergie. Avec laLed, on peut encore gagner 40% de ceque l'on fait de mieux aujourd'hui enlampes SHP. Cette technologie permetde moduler jusqu'à 90% de la puis-sance. Cela veut dire qu'une lampe leden période nocturne creuse, on peut ladescendre à 9 watts pour 90 watts, aulieu de 250 watts il y a encore quelques

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années. Cela permet d'avoir l'éclaire-ment nécessaire et de gérer de manièredynamique par des capteurs de pré-sence intégrés sur la lampe quand unpiéton se déplace. Son passage setrouve ainsi éclairé. On peut aller trèsloin dans la gestion dynamique de nosbesoins».

l Cette nouvelle technologie évoqueaussi un certain coût ?«Le coût investissement pour passer àla technologie LED a fortement chuté ets’il est encore légérement supérieur aucoût d’un changement de lampe et lan-terne classique, il tend à s’en rappro-cher. Le retour en investissement decette technologie est tellement impor-tant qu’il nous apporterait rapidementdes économies de 30 à 40 000 euros surles consommations annuelles avec unobjectif à terme d’une réduction de 60%de nos factures (soit 90 000 euros surla base 2013)».

l En conclusion ?«Aujourd'hui on peut se satisfaired'avoir un très bon équipement d'éclai-rage public. Notre pari c'est de réduireencore la consommation et cela pas-sera par de l'optimisation au travers unplan d'éclairage en terme de meilleureprogrammation et d'utilisation destechnologies qui s'offrent à nous. C'estun gros dossier que l'on va gérer en dé-finissant quels sont vraiment les be-soins et les usages. En effet, nousn'avons pas besoin d'éclairer les artèresqui sont passantes de la même façonque l'on éclaire des petites zones rési-dentielles. Il s'agit de redéfinir avec lesElus une politique d'éclairement en rap-port à nos besoins et en mettant enpriorité les enjeux de la sécurité et lanotion de confort pour la population».

Ce qu’il en pensent...

Marie-Dominique et Serge, en centre-ville«Esthétiquement, c'est mieux. C'est plus beau et celaen avait besoin. Au niveau éclairage, nous n'avons pasl'impression qu'il y ait une puissance supplémentaire,en revanche le blanc éclaire mieux que les lumièresoranges. Evidemment, je pense que c'est favorable auniveau économie d'énergie».

Claudie Legrand, rue du 8 Mai«Ce programme de rénovation del'éclairage je pense que c'estune bonne chose. Je trouveque cela éclaire plus et pluslarge. Lorsque l'on rentre lesoir, c'est mieux éclairéqu'avant devant l'entrée denotre maison qui se trouveen retrait de la rue».

Lucie Wysocki, rue Monmousseau«Cette rénovation va permettre à la ville de faire deséconomies, c'est bien. Par contre lors des travaux, nous

n'avons pas eu d'éclairage durant 15jours (en raison d'un câble

oxydé, deux réverbères aufond de la voie sans issueétaient en panne), le soucistechnique réparé, tout estrentré dans l'ordre. Mainte-

nant, ça éclaire bien mieuxsurtout que je suis éloignée

de la route. J'ai aussi l'impres-sion que dans la nuit cela baisse

quand même. Mais le matin, vers 6h00 lorsque je vaischercher mon journal à la boite aux lettres, on voitbien».

Grégory Carnel, rue des Jonquilles«Nous avons plus de luminosité dans la rue et les nou-velles ampoules ne doivent pas consommer énormé-ment. La ville nous avait envoyé uncourrier avant pour expliquerles raisons de ce pro-gramme de rénovationet que les travaux neseraient pas très longs.Pour changer les mascomplets, ils nous ontlaissé un réverbère surdeux pour que la cité ne setrouve pas dans le noir com-plet. Et puis aujourd'hui, c'est beau.De plus la ville fait des économies d'énergie avec unéclairage satisfaisant. Et pour la sécurité c'est bien».

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TravauxTravaux

Aux intersections des rues Camille Desmoulins et Dulcie September, le parvis surélevé a étéréalisé. Limité à la circulation à 30 km/heure, il sécurise ainsi le carrefour et l'entrée de l'écoleNelson Mandela. Une vingtaine de places de stationnement ont été créées et l'aménagementpaysager prend forme.

L'annexe du Centre social et d'éducation populaire située rue des écoles est entréeen fonction par l'ouverture de sa cyberbase. Les bureaux des permanences et lessalles de cours et réunions ont été aménagés avec du mobilier neuf pour un mon-tant d’environ 13 000 euros et sont désormais opérationnels.

Face à l'EHPAD L'orange Bleue, chemin du Bossu, 31 logements individuelslocatifs BBC de types 3, 4 et 5 seront bâtis par Maisons & Cités.

Pas toujours facile de trouver une place de stationne-ment lors des grands événements sportifs ou culturels.Avenue Jeannette Prin, la ville entreprend la réalisationd'un parking de proximité offrant 60 places supplémen-taires qui seront bien utiles pour les usagers de l'EspaceJules Ladoumègue, du collège Henri Wallon, de l'écolePierre et Marie Curie ou de la salle Marc Lanvin.

Dans le cadre du plan forêt régional et depuisl'automne dernier, la ville développe une poli-tique de reboisement de ses zones vertes. Ainsi150 arbres (espèces endémiques) ont été re-plantés, 8000 arbustes pour aménager les taluset 350 sur le chemin du Bossu.

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Les Tribunes Libres reparaîtront après l’adoption du réglement intérieurdu Conseil Municipal.

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N ous sommes Lise, Sarah,Martin et Pierre, étu-diants en développement

des territoires.Depuis janvier, nous avons frappéaux portes des habitants du quar-tier du 3/15, et avons parfois bu lecafé avec certains d’entre eux.C’est dans le cadre d’un travail uni-versitaire, autour de l’implicationdes habitants dans les projets dela ville, que nous nous sommes in-téressés au 3/15.

Nous nous y sommes donc rendusrégulièrement, afin de compren-dre son fonctionnement. C’est laraison pour laquelle nous avonsécumé les réunions publiques,passé du temps dans les rues duquartier et surtout, pris le tempsde discuter avec plusieurs habi-tants qui font vivre et animent lequartier.

L'objet de notre venue était de re-cueillir les points de vue des habi-tants et du personnel municipalsur les dispositifs de participationmis en place dans le quartier etplus généralement dans la com-mune. Le but final étant de com-prendre comment les habitantsparticipent à la vie du quartier,mais aussi de quelle manière leuravis pourrait être mieux pris encompte dans les projets de la ville.

Lors de cette expérience, aussi in-téressante au niveau de notre re-cherche universitaire que sur leplan humain, nous avons décou-vert un quartier plein de res-

sources. Nous avons rencontréune équipe municipale soucieused’être à l’écoute des habitants duquartier. De plus, de nombreuxhabitants ont partagé avec nousleur ressenti sur l’évolution de leurquartier, ainsi que leur implicationdans la co-contruction de projetsmis en place par la mairie.

Ainsi, nous avons pu nous rendrecompte que pour la plupart, ilspartageaient, sans le savoir, lamême vision du futur qu’ils sou-haitaient pour leur quartier.

Merci à ceux qui nous ont ouvertleur porte et qui ont échangé avecnous.

Vie des quartiersVie des quartiers

Quatre étudiants tout droit venus de l’Université de Lille 3 ont étéaperçus régulièrement dans les rues du quartier du 3/15.

Qui sont-ils ? Que veulent-ils ?

Remerciementsdes étudiants

(Mail reçu le 25 Mars suite à la trans-mission aux services de leur rapportsur le projet)

Tout d'abord, merci beaucouppour ce retour sur notre travail. C'était avant tout un travail uni-versitaire mais il nous semblequ'il prend effectivement toutson sens au contact de profes-sionnels comme vous qui travail-lez au jour le jour sur cesquestions.Nous tenons à vous remercierpour la qualité de l'accueil. Nousnous sommes toujours sentisbien accueilli et cela a joué surnotre motivation pour un projetqui demandait effectivement uninvestissement important sur peude temps.Merci également pour votre dis-ponibilité, elle nous a été vrai-

ment précieuse. Nous souhaitonsenfin remercier tous ceux quenous avons pu rencontrer grâce àvous, les personnes de la munici-palité, les habitants de Méricourtet les habitants du 3/15.Je crois pouvoir dire sans metromper, au nom du groupe, quece travail nous a beaucoup ap-porté. Nous n'avions jamais étu-dié un terrain de la sorteauparavant et nous avons tousdécouvert la richesse d'un tel tra-vail. Je ne sais pas si certains d'en-tre nous se dirigeront vers desservices de démocratie participa-tive mais je crois que nous croi-serons cette thématique d'unemanière ou d'une autre et alorsnous nous souviendrons de notreétude et de ses apprentissages.

Martin Boileau, Sarah Vieux,Pierre Fournier et Lise Sellier

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