SESSION

20172018

SECTION CLINIQUE DE BORDEAUXINSTITUT DU CHAMP FREUDIENsous les auspices du Département de psychanalyse de l’Université PARIS VIII

Comment s’orienter dans la clinique ?

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mais aussi en France, pour la première fois, à Bordeaux.

Il faut déterminer clairement ce qu’est et ce que n’est pas cet enseignement. Il est universitaire, il est systématique et gradué, il est dispensé par des responsables qualifiés et conduit à l’obtention de diplômes.

Il n’est pas une habilitation lacanienne, que cela se situe à Paris, Rome, ou Bordeaux, que cela soit proposé par des organismes publics ou privés. Ceux qui y assistent sont appelés participants, terme préféré à celui d’étudiants, pour souligner l’importante initiative qu’ils devront prendre – le travail fourni ne sera pas extorqué : cela dépend d’eux, il sera guidé et évalué.

Il n’est pas paradoxal d’affirmer que les exigences les plus sévères concernent ceux qui se mesureront avec la fonction d’enseignants du Champ freudien, fonction sans précédent dans son genre : puisque le savoir se fonde dans la cohérence, trouve sa vérité seulement dans l’inconscient, en d’autres termes, dans un savoir dont personne ne peut dire « je sais ». Cela signifie que cet enseignement ne peut être exposé que s’il est élaboré sur un mode inédit, même s’il est modeste.

Il commence avec la partie clinique de cet enseignement.

La clinique n’est pas une science, elle n’est pas un savoir qui se démontre ; c’est un savoir empirique, inséparable de l’histoire des idées. En l’enseignant, on ne fait pas que suppléer aux carences d’une psychiatrie qui laisse de côté sa riche tradition classique pour suivre les progrès de la chimie, nous y introduisons aussi un élément de certitude (le mathème de l’hystérie).

Dans un même temps, les présentations de malades compléteront l’enseignement.

En conformité avec ce qui, autrefois, a été fait sous la direction de Lacan, nous avançons petit à petit.

Jacques-Alain Miller 15 août 1988

* Du grec mathema : ce qui s’apprend.

Le diplôme de psychanalyste n’existe dans aucun pays au monde. Il ne s’agit pas d’un hasard ou d’une inadvertance. La raison en est liée à l’essence même de la psychanalyse.

O n ne voit pas bien en quoi peut consister l’examen de la capacité à être analyste, puisque l’exercice

de la psychanalyse est d’ordinaire privé, réservé à la confiance la plus intime accordée par le patient à l’analyste.

Admettons que la réponse de l’analyste soit une opération, c’est-à-dire une interprétation, qui porte sur ce que nous appelons l’inconscient.

Cette opération ne pourrait-elle pas constituer un matériel d’examen ? D’autant plus que l’interprétation n’est pas l’apanage de la psychanalyse et est même utilisée par des critiques de manuels, documents et inscriptions.

L’inconscient freudien se constitue seulement dans la relation de parole que j’ai décrite : il ne peut être validé en dehors de celle-ci et l’interprétation analytique est convaincante non en soi mais par les effets imprévisibles qu’elle suscite chez celui qui la reçoit, et dans le contexte même de cette relation. Il n’y a pas de porte de sortie. Seul l’analysant pourrait attester alors la capacité de

l’analyste, si son témoignage n’était altéré, souvent dès le début, par l’effet du transfert. Comme nous le voyons, le seul témoignage valable, le seul susceptible de donner une certaine garantie concernant le travail, serait celui de l’analysant « post-transfert » encore disposé à défendre la cause de la psychanalyse.

Ce que nous appelons ainsi « témoignage » de l ’ ana lysant est le noyau de l’enseignement de la psychanalyse, en tant que ce qui a pu se clarifier, dans une expérience essentiellement privée, est susceptible d’être transmis au public.

Lacan a institué ce témoignage sous le nom de « passe » (1967) et a défini l’enseignement dans sa formulation idéale, le « mathème » (1974). Entre les deux, une différence : le témoignage de la passe, encore chargé de la particularité du sujet, est limité à un cercle restreint, interne à un groupe analytique, pendant que l’enseignement du mathème, qui doit être démonstratif, est pour tous – et, dans ce cas, la psychanalyse entre en contact avec l’université.

L’expérience est conduite en France depuis quatorze ans à Paris.

Elle fut à l’origine de la création de la Section clinique de Bruxelles et de Barcelone, de Londres, Madrid et Rome,

2017 - 2018

PROLOGUEDE

GUITRANCOURT

Jacques-Alain Miller

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2017 - 2018

PRÉSENTATION

Sectionclinique

de Bordeaux

Du Séminaire de Jacques Lacan (1953/80, en cours de publication), on peut dire qu’il a assuré à lui seul la formation

permanente de plusieurs générations de psychanalystes. Cet enseignement, qui restitua et renouvela le sens de l’oeuvre de Freud, inspire de nombreux groupes psychanalytiques. À l’origine de la création du Département de psychanalyse, il continue d’orienter son travail. L’Institut du Champ freudien se consacre à son développement.

Le Département de psychanalyse existe depuis 1968. Rénové en 1974 par Jacques Lacan, qui resta son directeur scientifique jusqu’à sa mort en septembre 1981, il fait aujourd’hui partie de l’Université de Paris VIII.

L’Institut du Champ freudien s’inscrit dans le cadre associatif. Il a pris la suite, en 1987, du Cercle de clinique psychanalytique (1976). En 1991, après Barcelone, Madrid, Bruxelles, Rome, et pour la première fois en France hors Paris, la Section clinique de Bordeaux a été créée. Depuis, 26 Sections, Antennes et Collèges cliniques ont vu le jour en France. Elle ne se situe pas dans le cadre d’un groupe psychanalytique, même si ses enseignants sont d’orientation lacanienne. Elle a pour but d’assurer un enseignement fondamental de psychanalyse, tant théorique que clinique, qui s’adresse aussi bien aux travailleurs de la « Santé mentale », psychiatres, médecins, psychologues, orthophonistes, etc., qu’aux psychanalystes eux-mêmes et aux universitaires intéressés par ce savoir particulier.

Participer à la Section clinique n’habilite pas à l’exercice de la psychanalyse.

Une attestation d’études cliniques est délivrée aux participants. L’association UFORCA-Bordeaux

pour la formation permanente assure la gestion de la Section clinique de Bordeaux. Elle est rattachée au grand ensemble constitué par UFORCA POUR L’UNIVERSITÉ POPULAIRE JACQUES-LACAN.

La Section clinique de Bordeaux propose, depuis sa création, deux sessions d’enseignement par an, l’une de novembre à mars, l’autre de mars à juin. Ces enseignements ont lieu le vendredi matin.

Chaque session organise un module, comprenant un séminaire théorique hebdomadaire dont le thème est défini pour chaque session, un séminaire pratique où les participants, encadrés par deux enseignants, présentent des cas de leur pratique, et une présentation de malades qui a lieu une fois par mois dans un service hospitalier. Les présentations sont laissées au choix des participants : présentation de psychiatrie adulte, présentation de médecine, et présentation de psychiatrie infanto-juvénile.

En 2017-2018, le séminaire théorique de toutes les Sections cliniques francophones aura pour thème : Comment s’orienter dans la clinique ? A Bordeaux, la 1ère session aura pour sous-titre « De ce qu’on imagine réel », la 2ème session, « Comment supporter l’impossible : éduquer, gouverner, analyser ? ».

Le Cours du jeudi, prioritairement réservé à ceux qui abordent l’enseignement de Lacan, étudiants en sciences humaines, en médecine, et dans les carrières de santé mentale, se poursuivra cette année. Il portera sur le thème : Les grands cas de la psychanalyse.

Enfin depuis 2016, l’Atelier de Psychanalyse Appliquée a été créé.

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U ne « orientation » : telle fut l’enseignement de Lacan selon Jacques-Alain Miller qui en fit le titre de son cours pendant trois

décennies. Être lacanien suppose de savoir s’orienter dans la clinique, c’est-à-dire se repérer dans le champ de la parole et du langage. Mais quel est justement ce GPS ou ces points cardinaux qui permettent de se guider dans la rencontre avec un sujet parlant ? Cette session mettra au travail les différentes questions : comment appréhende-t-on les modes de la parole pour repérer ce sujet de l’inconscient qui ne se manifeste pourtant que dans ses failles et les symptômes ? Quels rapports a cette parole avec la vérité et la réalité de ce qu’elle prétend énoncer ? Et quelle est encore sa valeur dans un monde envahi d’images ? Le clinicien doit-il imaginer, comprendre ce qu’un sujet cherche à dire, à signifier, ou au contraire rompre toute évidence pour élucider le noyau de réel qu’il évite, répète et autour duquel il tourne ? Et quid du narcissisme des identifications du moi, de l’intersubjectivité et du contre-transfert dans ce conciliabule à deux qu’est une psychanalyse ?

De ce qu’on imagine au réel, de l’image de soi à l’impossible à dire, il nous faudra montrer comment apprendre à distinguer et répartir les différents niveaux imaginaires, symboliques et réels, qui font la profusion de

cette jungle qu’est la clinique pour faire jardin à la française du terreau de l’inconscient. Nous nous attacherons donc à démontrer sur quoi se fonder pour identifier la structure subjective et quels sont les éléments fondamentaux pour construire la logique d’un cas, les modes de jouir et le fantasme fondamental qui sous-tendent la vie d’un sujet, l’objet cause du désir qui aimante ses choix, sa défense et ses pulsions.

Pour cela, cette session consacrée aux arcanes de l’orientation lacanienne dans la pratique clinique aura à isoler ses scansions selon les différents temps de l’enseignement de Lacan éclairés par Jacques-Alain Miller.

A ujourd’hui tout semble possible. Le « meilleur » serait possible si la mort pouvait être repoussée, comme les

frontières entre les hommes, si rien ne semblait encore récemment faire obstacle à la libération des mœurs, si les limites même de la faiblesse de nos corps et de nos esprits pouvaient se trouver franchies par la suppléance des machines. Mais aussi le pire est possible avec le retour de la haine et du racisme, la crise économique et politique permanente, le terrorisme et l’intolérance, la post vérité, la multiplication des démocraties illibérales, le retour des guerres civiles. Au niveau des sujets c’est plus de santé mais aussi plus de refus d’intégration, d’addictions, de dépressions, de souffrances au travail, de chômage.

La science en quoi nous placions nos espoirs avance à grand pas mais toute enveloppée d’un nuage de scientisme et occultée par le retour des obscurantismes.

Freud d’abord en 1925, puis en 1937, dans l’un de ses derniers textes situait la psychanalyse parmi les métiers impossibles, comme gouverner ou éduquer. On peut être sûr dans ces métiers d’un « succès insuffisant ». On dit donc ces métiers impossibles. Cet impossible est de plus en plus présent. D’ailleurs éduquer, soigner, gouverner deviennent des réalités de plus en plus inextricables. On éduque le sujet pour le soigner et on le fait pour qu’il accepte d’être gouverné. On n’administre plus, on modifie les comportements.

La règle est de plus en plus complexe, les normes aussi produisant des cas et des sujets de plus en plus hors normes.

La loi ne porte plus sur l’universel elle doit s’adapter à la complexité du monde et à la diversité des sujets, ce qui la confronte aussi à l’impossible du cas particulier. On ne soigne plus des maladies mais des malades et même des populations qui vivent dans des cultures et des modes de vie hétérogènes, parfois hors de la raison scientifique.

Est-ce que la psychanalyse peut transformer cet impossible, ou ce succès très relatif au niveau des résultats, pour celui qui est chargé d’éduquer ou de gouverner, voire de décider ou de soigner ?

La psychanalyse change le rapport de chacun à l’impossible. Elle permet non pas de l’effacer mais de le situer, voire paradoxalement de s’en servir… En effet le réel ce n’est pas le possible mais l’impossible c’est le réel.

La psychanalyse permet aussi de s’orienter mieux dans le quotidien de l’éducation, du soin, ou de la gouvernance en général, que ce soit au un par un ou dans la vie de groupe. C’est ce que nous montrerons en partant d’exemples précis issus de la clinique que ce soit dans la rencontre individuelle ou dans la vie des institutions soignantes, ou éducatives, mais aussi dans l’actualité de la vie sociale aujourd’hui.

2017 - 2018

ENSEIGNEMENTS

Comments’orienter dans

la clinique ?

La Section clinique de Bordeaux proposedeux sessions d’enseignement par an.

PREMIÈRE SESSION : novembre 2017 à février 2018

SECONDE SESSION : mars à juin 2018

Le MODULE de chaque session d’enseignement comprend :

• Un séminaire théorique

• Un séminaire pratique

• Une présentation de malades

SÉMINAIRE THÉORIQUEDe ce qu’on imagine au réel

HEURES

Vendredi 9h15

- 12h15

CALENDRIER

novembre 2017 à février 2018

SÉMINAIRE THÉORIQUEComment supporter l’impossible : éduquer, gouverner, analyser ?

HEURES

Vendredi 9h15

- 12h15

CALENDRIER

mars à juin 2018

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2017 - 2018

ENSEIGNEMENTS

Comments’orienter dans

la clinique ?

2017 - 2018

JEUDI

Le coursdu

jeudi

D es participants présenteront un cas de leur pratique encadrés par les enseignants, sur le mode de la

conversation, leur texte étant lu à l’avance.

L ’Atelier de Psychanalyse Appliquée (APA) en lien avec le CPCT sur le thème « La question du diagnostic dans la

psychanalyse appliquée » s’adresse à des personnes souhaitant pratiquer dans un des CPCT. Il constitue une formation préalable à cette pratique et à cette clinique.

L’Atelier sera animé par Philippe La Sagna.

Unité de psychiatrie I

Hôpital Robert Picqué – Villenave d’OrnonDr Philippe La Sagna & Dr Marie Laurent

Unité de médecine

Unité de médecine Centre de réadaptation de la Tour de Gassies à BrugesDr Carole Dewambrechies-La Sagna & Mme Catherine Lacaze-Paule

Unité de Psychiatrie infanto-juvénile

Clinique d’Ornon – Villenave d’OrnonDr Philippe Lacadée & Dr Daniel Roy

Les participants auront à choisir un des 3 lieux de présentation proposés par session, dans la mesure des places disponibles. Elles ont lieu dans un service hospitalier, 4 fois par session, le vendredi de 9h30 à 11h.

SÉMINAIRE PRATIQUE PRÉSENTATION DE MALADES

HEURES

Vendredi 11h

- 12h15

ASSURÉ PAR

Dr Jean-Pierre Deffieux Dr Carole Dewambrechies-La Sagna

D ans sa Conférence de Genève, Lacan rappelait que Freud voulait éviter que le cas ne serve à mettre les sujets dans

des cases. Pour Lacan, il s’agit dès lors d’élever le cas au paradigme, à l’exemple qui montre la structure, les mécanismes et manifestations de l’inconscient, ceux du symptôme, du désir, etc... Les cas en psychanalyse ont pris des formes différentes. Le récit de cas des Cinq psychanalyses chez Freud est devenu un modèle, comme Dora et l’hystérie, Hans et la phobie, l’homme aux rats et la névrose obsessionnelle, ou le Président Schreber pour la paranoïa. Pour Lacan, la monographie du cas Aimée lui ouvre par la voie de la psychose et celle de la psychanalyse. Des cas de jeunes sujets nous en apprennent aussi sur la particularité des cures avec les enfants, de la psychose à l’autisme. Mais ce sont aussi de grandes figures, philosophiques, littéraires ou artistiques (Socrate, Antigone, Joyce, Hamlet..), ou des cas contrôlés par Lacan qui nous enseignent sur la théorie psychanalytique, sa pratique et sa technique. A travers des cas choisis et des vignettes cliniques célèbres, nous montrerons comment c’est le cas qui provoque, subvertit ou invente la théorie analytique.

LE COURS DU JEUDILes grands cas de la psychanalyse

HEURES

Jeudi 19h

- 20h

CALENDRIER

Cours hebdomadaire du 10 novembre 2017

au 3 mai 2018

ATELIER DE PSYCHANALYSE APPLIQUÉE (APA)

HEURES

Samedi 10h

- 13h

LIEU

au local de la rue du Hâ à Bordeaux

CALENDRIER

18 novembre 2017 13 janvier 2018 10 mars 2018 12 mai 2018 2 juin 2018

23 juin 2018

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2017 - 2018

SECTIONCLINIQUE

DE BORDEAUX

Contact

SECTION CLINIQUE DE BORDEAUXSECRÉTARIAT

15, place Charles Gruet33000 BordeauxFax : 05 56 51 16 25Email : uforcabordeaux@ wanadoo.fr Conditions générales d’admission et d’inscription :Pour être admis comme étudiant de la Section clinique, il n’est exigé aucune condition d’âge ou de nationalité. Il est, par contre, recommandé d’être au moins du niveau de la deuxième année d’études supérieures après la fin des études secondaires. Des demandes de dérogation peuvent cependant être faites auprès de la Commission d’organisation. Les admissions ne sont prononcées qu’après au moins un entretien du candidat avec un enseignant. Le nombre des places étant limité, les inscriptions se feront dans l’ordre d’arrivée des demandes. Sections, Antennes et Collèges cliniques :• Section clinique d’Aix-Marseille• Antenne clinique d’Amiens-Reims• Antenne clinique d’Angers• Section clinique d’Athènes• Programme psychanalytique d’Avignon • Section clinique de Barcelone• Programme psychanalytique de Bastia • Section clinique de Bordeaux• Antenne clinique de Brest-Quimper• Section clinique de Bruxelles• Section clinique de Buenos Aires• Section clinique de Clermont-Ferrand• Antenne clinique de Dijon• Antenne clinique de Gap• Antenne clinique de Genève• Antenne clinique de Grenoble• Antenne clinique de Liège• Collège clinique de Lille

• Section clinique de Lyon• Section clinique de Milan• Antenne clinique de Mons• Collège clinique de Montpellier• Programme psychanalytique de Montréal (en

formation)• Antenne clinique de Namur• Section clinique de Nantes• Section clinique de Nice• Section clinique de Paris Saint-Denis• Section clinique de Paris Ile-de-France • Section clinique de Rennes• Section clinique de Rome• Antenne clinique de Rouen• Section clinique de Strasbourg• Section clinique de Tel Aviv• Collège clinique de Toulouse• Antenne clinique de Valence

NOM : __________________________________________________ PRÉNOM : ____________________________________________

ADRESSE : ________________________________________________________________________________________________________

VILLE : ______________________________________________________________ CODE POSTAL : ___________________________

E-MAIL : ____________________________________________________________ TELEPHONE : _____________________________

FONCTIONS : ____________________________________________________________________________________________________

DIPLÔME(S) (obligatoire) : ______________________________________________________________________________________

ETUDES DE : _____________________________________________________________________________________________________

LIEU DE TRAVAIL : ______________________________________________________________________________________________

Je demande à participer aux enseignements de la Section clinique de Bordeaux

Je n’ai jamais été inscrit(e) à la Section clinique de Bordeaux J’ai déjà été inscrit(e) à la Section clinique de Bordeaux

2017 - 2018

INSCRIPTIONS

Sectionclinique

de BordeauxBulletin à retourner avant le 27 octobre 2017

à la Section clinique de Bordeaux. Nombre de places limité.

MODULE DU VENDREDI MATIN De ce qu’on imagine au réel.

1ère session Comment supporter l’impossible :

éduquer, gouverner, analyser ? 2ème session

COURS DU JEUDI Les grands cas de la psychanalyse

ATELIER DE PSYCHANALYSE APPLIQUÉE La question du diagnostic dans la

psychanalyse appliquée

Le règlement n’est pas à adresser avec ce courrier. Il vous sera demandé ultérieurement à vous-même ou à votre institution pour les inscriptions FP.

MODULE DU VENDREDI MATIN (par session) 290 € Inscription à titre personnel 145 € Demi-tarif pour les étudiants de moins

de 26 ans et demandeurs d’emploi (joindre justificatif)

290 € Inscription au titre de la Formation Médicale Continue (concerne les médecins libéraux)

690 € Inscription au titre de la Formation Permanente (FP)

Nom de l’institution _______________________________ Adresse ___________________________________________ Code postal_________Ville__________________________ Tél__________________Email _________________________ Responsable de la FP ______________________________

COURS DU JEUDI 100 € Inscription à titre personnel 60 € Inscription tarif « étudiant » pour les moins

de 26 ans (joindre copie de la carte étudiant) 200 € Inscription à titre personnel

ATELIER DE PSYCHANALYSE APPLIQUÉE 120 € Inscription à titre personnel 220 € Inscription FP

SECTION CLINIQUE

INSTITUT DU CHAMP FREUDIENsous les auspices du Département depsychanalyse de l’Université PARIS VIII

AIX- MARSEILLE

SESSION

2018Vingt-troisième année

DIRECTEURJacques-Alain Miller

COORDINATIONCarole Dewambrechies-La SagnaJean-Pierre Deffieux

ENSEIGNANTSRodolphe AdamJean-Pierre DeffieuxCarole Dewambrechies-La SagnaPhilippe LacadéeCatherine Lacaze-PaulePhilippe La SagnaMarie LaurentDaniel Roy

SECTION CLINIQUE DE BORDEAUXSECRÉTARIAT15, place Charles Gruet33000 BordeauxE-mail : uforcabordeaux@ wanadoo.fr

INSTITUT du CHAMP FREUDIENsous les auspices du Département de psychanalyse de l’Université PARIS VIII

SECTION CLINIQUE DE BORDEAUX

Association UFORCA BORDEAUX pour la formation permanente