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1 SOMMAIRE Cette semaine, dans Le Fil : page 1 : Haie dit tôt page 2 : AMDEC page 3 : F.M.R.ID page 4 : La sauce page 5 : Le Club des 5 page 6 : Sauteuse page 7 : Le Klub des 7 page 8 : Calcule matriciel page 9 : Attention ! page 10 : Chat mort Bide du prez Deux fesses discutent, une fesse dit à une autre fesse : - Pourquoi on devient pas amis ? - Parce qu’entre nous c’est de la merde. EDITO! Le Fil n° 277 du 3 juin “Plus drôle que tes blagues !” Enfin le mois de juin… Non, je ne parlerai pas de beau temps comme l’édi- toteuse du dernier fil, ça a été à peu près aussi ef- ficace que la danse de la pluie… A l’heure où j’écris cet édito, je ne peux guè- re voir bien loin de ma fenêtre tant la pluie tombe dru. Les caniveaux débordent, et les aptes peuvent mettre à profit les longues heures de sport du collège, celles au cours desquelles on nous apprenait les rudiments du triple saut, entre deux parties de marelle. Ah non, à cette époque-là on était déjà un peu plus vieux et avilis, on préférait mettre au point des plans prétendus infaillibles pour sécher tranquille. Sécher, ça me fait penser que je me disperse déjà, revenons-en aux ca- niveaux (n’est-ce pas un joli thème pour un édito ?). Je disais donc que les aptes les en- jambent et se battent à coups de parapluie, tandis que les inaptes, ceux qui nous côtoient ici à Compiègne, confinés chez eux, se livrent à un autre combat, tout aussi singulier. Ils ap- pellent ça Scrabble, et allez-y que ça se cha- maille. Une bataille digne de Des chiffres et des lettres. Inévitablement, le jeu tourne vite à la déchéance. Oubliant leur but premier, né- gligeant progressivement la valeur des lettres à placer et tout l’enjeu de la partie qui peut leur donner droit à un rab de biscuits au mo- ment du thé, ils se laissent influencer par le climat. Plutôt que de placer des Whiskys, des Aptéryx, des Thrombophlébite et autres folies de ce genre, ils sombrent rapidement dans un simplisme primitif, s’envoyant à tout bout de champ des Averse, Flotte, Ondée, Drache, Crachin, Grain, Hallebardes, Bruine, Grêle, Saucée, Cordes… Tout cela pour terminer la partie avec une humeur de chien (score to- tal : 150), et entamer une mêlée redoutable. Les lettres volent, on met le feu à la feuille de scores, il s’étend bientôt à la nappe, on s’ébouillante mutuellement (anti-ride à base de thé de Chine), et le tout s’achève en ba- taille de cannes au beau milieu d’un bra- sier qui se propage déjà chez les voisins. Les plus malins (ou les plus paranos, les rues de Compiègne sont si dangereu- ses) avaient investi dans une canne-épée qu’ils utilisent alors à tout va, on ne rate pas une si belle occasion de la rentabili- ser. Dans les journaux, demain : « Qua- tre personnes âgées victimes d’un incen- die hier après-midi. Les circonstances du drame n’ont pas encore été déterminées, cependant tout porte à croire qu’il s’agit d’un attentat contre la majorité compié- gnoise. En effet, les enquêteurs ont trouvé de nombreuses traces de combat, ainsi, les vandales, n’obtenant rien de leurs ci- bles séniles, auraient tenté d’avoir satis- faction par la force, puis ont incendié la maison pour l’exemple. Ce sont les voisins, avertis par les flammes qui gagnaient leur grenier, qui ont appelé les secours. Selon leur témoignage, trois individus rôdaient dans le quartier depuis quelques jours, et pourraient être à l’origine de ce scan- dale. Affaire à suivre. » Comme quoi on peut vraiment écrire n’importe quoi à par- tir de presque rien. La preuve : cet édito, ainsi que la plupart des articles de ce petit journal. Ne vous y trompez pas, je ne cri- tique pas, loin de là ! Je rends simplement hommage à la créativité humaine, à notre habileté à manier les mots de telle sorte que l’on puisse tout autant parler de sujets graves sur le ton de la légèreté, qu’abor- der les sujets les plus insignifiants de façon très sérieuse. Et encore un fois, mes cani- veaux sont bien loin… Alors pour terminer sur une note sympathique, attaquons un sujet préoccupant pour nous autres futurs ingénieurs, respectés par leurs collègues, dignes, éminents et distingués dans la so- ciété. Je lance un concours : pour sauver Compiègne (projet ambitieux), devant les temps maussades qui pèsent sur cette ville et menacent la santé intellectuelle de ses par Anne-Claire, Galettetofil habitants, il devient nécessaire de trouver un moyen efficace de lutter contre l’affec- tation de l’humeur par temps de pluie. A cette fin, reconnaissance éternelle sera accordée à l’inventeur du meilleur jeu en caniveau. Les conditions : le jeu doit être novateur, accessible à tous niveaux et tous degrés d’infirmité. Sont donc exclus les courses de bateau en papier, les concours de saut, de nage ou de plongée. Laissez libre cours à votre imagination, elle risque- rait de déborder… (ouarf) http://battlefrite.over-blog.com/

SOMMAIRE - BDE-UTC : Portail des associationsassos.utc.fr/lefil/archive/lefil277.pdfde 2007 avec 236 cannes, Mr Danlmur aurait acquis cette année 49 cannes, ce qui pousse son record

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SOMMAIRECette semaine, dans

Le Fil :page 1 : Haie dit tôt

page 2 : AMDEC

page 3 : F.M.R.ID

page 4 : La sauce

page 5 : Le Club des 5

page 6 : Sauteuse page 7 : Le Klub des 7

page 8 : Calcule matriciel

page 9 : Attention !

page 10 : Chat mort

Bide du prezDeux fesses discutent, une fesse dit à une autre fesse :- Pourquoi on devient pas amis ?- Parce qu’entre nous c’est de la merde.

EDITO!

Le Fil n° 277 du 3 juin “Plus drôle que tes blagues !”

Enfin le mois de juin… Non, je ne parlerai pas de beau temps comme l’édi-toteuse du dernier fil, ça a été à peu près aussi ef-ficace que la danse de la pluie… A l’heure où j’écris cet édito, je ne peux guè-

re voir bien loin de ma fenêtre tant la pluie tombe dru. Les caniveaux débordent, et les aptes peuvent mettre à profit les longues heures de sport du collège, celles au cours desquelles on nous apprenait les rudiments du triple saut, entre deux parties de marelle. Ah non, à cette époque-là on était déjà un peu plus vieux et avilis, on préférait mettre au point des plans prétendus infaillibles pour sécher tranquille. Sécher, ça me fait penser que je me disperse déjà, revenons-en aux ca-niveaux (n’est-ce pas un joli thème pour un édito ?). Je disais donc que les aptes les en-jambent et se battent à coups de parapluie, tandis que les inaptes, ceux qui nous côtoient ici à Compiègne, confinés chez eux, se livrent à un autre combat, tout aussi singulier. Ils ap-pellent ça Scrabble, et allez-y que ça se cha-maille. Une bataille digne de Des chiffres et des lettres. Inévitablement, le jeu tourne vite à la déchéance. Oubliant leur but premier, né-gligeant progressivement la valeur des lettres à placer et tout l’enjeu de la partie qui peut leur donner droit à un rab de biscuits au mo-ment du thé, ils se laissent influencer par le climat. Plutôt que de placer des Whiskys, des Aptéryx, des Thrombophlébite et autres folies de ce genre, ils sombrent rapidement dans un simplisme primitif, s’envoyant à tout bout de champ des Averse, Flotte, Ondée, Drache, Crachin, Grain, Hallebardes, Bruine, Grêle, Saucée, Cordes… Tout cela pour terminer la partie avec une humeur de chien (score to-tal : 150), et entamer une mêlée redoutable. Les lettres volent, on met le feu à la feuille de scores, il s’étend bientôt à la nappe, on s’ébouillante mutuellement (anti-ride à base de thé de Chine), et le tout s’achève en ba-

taille de cannes au beau milieu d’un bra-sier qui se propage déjà chez les voisins. Les plus malins (ou les plus paranos, les rues de Compiègne sont si dangereu-ses) avaient investi dans une canne-épée qu’ils utilisent alors à tout va, on ne rate pas une si belle occasion de la rentabili-ser. Dans les journaux, demain : « Qua-tre personnes âgées victimes d’un incen-die hier après-midi. Les circonstances du drame n’ont pas encore été déterminées, cependant tout porte à croire qu’il s’agit d’un attentat contre la majorité compié-gnoise. En effet, les enquêteurs ont trouvé de nombreuses traces de combat, ainsi, les vandales, n’obtenant rien de leurs ci-bles séniles, auraient tenté d’avoir satis-faction par la force, puis ont incendié la maison pour l’exemple. Ce sont les voisins, avertis par les flammes qui gagnaient leur grenier, qui ont appelé les secours. Selon leur témoignage, trois individus rôdaient dans le quartier depuis quelques jours, et pourraient être à l’origine de ce scan-dale. Affaire à suivre. » Comme quoi on peut vraiment écrire n’importe quoi à par-tir de presque rien. La preuve : cet édito, ainsi que la plupart des articles de ce petit journal. Ne vous y trompez pas, je ne cri-tique pas, loin de là ! Je rends simplement hommage à la créativité humaine, à notre habileté à manier les mots de telle sorte que l’on puisse tout autant parler de sujets graves sur le ton de la légèreté, qu’abor-der les sujets les plus insignifiants de façon très sérieuse. Et encore un fois, mes cani-veaux sont bien loin… Alors pour terminer sur une note sympathique, attaquons un sujet préoccupant pour nous autres futurs ingénieurs, respectés par leurs collègues, dignes, éminents et distingués dans la so-ciété. Je lance un concours : pour sauver Compiègne (projet ambitieux), devant les temps maussades qui pèsent sur cette ville et menacent la santé intellectuelle de ses

par Anne-Claire, Galettetofil habitants, il devient nécessaire de trouver un moyen efficace de lutter contre l’affec-tation de l’humeur par temps de pluie. A cette fin, reconnaissance éternelle sera accordée à l’inventeur du meilleur jeu en caniveau. Les conditions : le jeu doit être novateur, accessible à tous niveaux et tous degrés d’infirmité. Sont donc exclus les courses de bateau en papier, les concours de saut, de nage ou de plongée. Laissez libre cours à votre imagination, elle risque-rait de déborder… (ouarf)

http://battlefrite.over-blog.com/

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La PhrAse“J’ai vécu le plus sale moment de ma carrière de sélectionneur”

Le sélectionneur de l’équipe de France de football Raymond Domenech,

après une panne de douche dans les vestiaires.

Et pendant ce temps, pen-dant que tu revisais tes TD...

La préfecture de police de Paris a régularisé 38 sans papier travaillant

dans le métier de la restauration et faisant grève depuis plusieurs semaines. Il ne reste donc que 260 demandes à étudier. Ces dos-siers étant étudiés par des fonctionnaires, les dépositaires des dossiers ont peu de chance d’être régularisé avant leur mort. Mais d’ici là ils continueront à payer des im-pôts. Bah oui, les fonctionnaires sont faig-nants, mais pas fou.

Dimanche dernier, la mort de Manuel Marulanda a été annoncée par les

Forces armées révolutionnaires de Colom-bie (les Farc), qui est la plus vieille guérilla du monde, il faut le savoir. La famille Be-tancourt en a profité pour lancer un appel au nouveau chef des Farc. Espérons qu’il ne prenne pas ça pour une farc(e).

2008, c’est l’année qui voit les 60 ans de la déclaration universelle des

droits de l’homme. Amnesty International ne lui a pas fait de cadeau, parlant de « six décennies d’échec », et en rappelant quelques chiffres, tels que 81, nombre de pays où est pratiqué la torture, ou 77, nom-bre de pays où on ne peut pas s’exprimer librement. La fête a dégénéré après cette déclaration, les enfants sont tous privés de sorti.

Des milliers de Népalais ont fêté dans la nuit de mercredi à jeudi

l’abolition de la monarchie et l’avènement de la République, en chantant et en dan-sant comme des petits fous. La dynastie des Shah qui régnait depuis 240 ne règne donc plus. C’est la fin de la seule monar-chie hindouiste du monde, celle du Népal. Hein, d’où ?

Huit a dix ans de prison ont été requis contre les jeunes de ban-

lieue qui avait agressé des policier en les encerclant avant de les mitrailler de pierres le 13 octobre 2006. L’un des pol-iciers avait été touché à la mâchoire et avait passé 44 jours à l’hôpital avec 30 points de suture, ce qui laisse présumer de la taille des pierres. Comme quoi, en banlieue, le rap c’est mieux que le roc.

Les VidEos OuaIbeHo voleur : http://doiop.com/mouettemouettte

Hé ma tome : http://doiop.com/doooucement

Hu cocotte : http://doiop.com/surcharge

Hi bride : http://doiop.com/tordue

Hy : http://doiop.com/oignon

Ha tchoum : http://doiop.com/pandatchoum

Le Coup de GueulEWade Churchward, un Néo-Zélandais de 28 ans, avait très faim. Il décida donc de s’acheter des frites, des M&M’s et une boisson dans une station service de la capitale, et à commencé à les consommer avant de les payer. Et comme il n’avait pas de quoi payer le vendeur, il lui a proposé de le régler en marijuana. C’était une bonne idée, quel dommage que le suivant dans la file d’attente fut un policier.

C ’ e s t l ’ h i s t o i r e d ’ un pa rap lu i e , qu i n ’ a ima i t pa s t rop s ’ ouv r i r ; Pa r ce qu ’ i l s ava i t qu ’ en l e

IDEEVotre chien vous fait la tête car vous l’avez trompé avec le chat du voisin ? Vous ne savez pas comment vous réconcilier ? Alors faite comme les poli-cier de Paris, et acheter lui des chaussettes “avec semelle en caoutchouc anti-percement”, pour lui protéger les pattes. Si vous voulez tuer votre belle mère, ces chaussettes serviront aussi à “préserver la scène de crime”.

r

ds

h

Par Mathieu, extremactuman

La Tof

Procession pour la fête du so-leil en Bretagne. Cette année, le temps était assez clément.

C’est la fin du monde ! Euh, non pas du monde, mais des billets

d’avion en papier. A partir de mainte-nant, la totalité des billets d’avion se-ront des billets électronique. C’est-à-dire qu’il vous suffira d’un numéro et d’un passeport (ou carte d’identité dans l’UE) pour prendre votre vol. N’essayez donc pas de falsifier des billets d’avion, ca ne marchera plus. Enfin, c’est comme vous voulez, mais ne dites pas que nous ne vous avions pas prévenu.

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La PhrAse“J’ai vécu le plus sale moment de ma carrière de sélectionneur”

Le sélectionneur de l’équipe de France de football Raymond Domenech,

après une panne de douche dans les vestiaires.

Le Coup de cOeuR Croyez-vous à la poisse ? Jus-tin, américain, oui. Car après avoir eu un accident de voiture en sortant de son allée, Justin a vu sa maison partir en fumée. Sa femme, qui avait accouru en entendant le bruit de l’accident, n’avait pas éteint la gazinière. Puis, Justin a reçu une contra-vention à cause de son accident alors qu’il partait pour l’hôpital avec les pompiers. Tout cela en moins d’une heure. Dur.

Le REgisAujourd’hui, Régis est Français, Montpelliérain pour être précis. Et Ré-gis est dingue. Alors, comme tout les dingues, Régis a capturé le chat de sa voisine. Puis il a plongé l’animal dans sa baignoire, préalablement remplie d’acide, et a mis les reste du chat dans un sac poubelle qu’il a jeté dans le jardin de sa voisine en criant : “J’ai tué ton chat, je me suis régalé!”. Le pire, c’est qu’il n’a écopé pour cela que de 2 mois de prisons.

Le Chiffre17 323 C’est le nombre de boites de cookies vendu par Jen-nifer, une jeune scoute améric-aine de 15 ans, en un an. Bien sur, ça ne s’est pas fait comme ca. A 8 ans déjà, Jennifer disait à sa mère : “un jour, je battrai le record de vente de boîtes de cookies”. Bref, à 15 ans, son rêve s’est réalisé. Elle risque de trouver la vie bien morne à présent, prévenez Don’Utc.

La rUMeuRAlphonse Danlmur serait le grand vainqueur du festival de canne, cette année encore. En effet, bien que Gaspard Kinson ait battu son record de 2007 avec 236 cannes, Mr Danlmur aurait acquis cette année 49 cannes, ce qui pousse son record à 277 cannes. Avec ses deux palmes d’or, il pourra expérimenter ses cannes sous-marines. Espérons que cela se passera mieux qu’à l’époque du grand Mike Crofonne.

f a i s an t i l r i s qua i t sû remen t de sou f f r i r ; Un pa rap lu i e qu i n ’s e r t à r i en , r e s t an t t ou t s eu l

Autant vous prévenir tout de suite, si l’on est superstitieux, on ne sort pas de chez soi un 3 juin. Evidem-ment, vous n’êtes pas de ceux-là, et de toute façon vous pouvez bien risquer votre vie pour aller chercher votre Fil au sas AB. C’est beau la modestie d’un membre du Fil. Ve-nons en aux événements du jour. Il y a de cela quarante-six ans, cent trente personnes ont été tuées près d’Orly : un Boeing 707 s’est écrasé peu de temps après son décollage. Dommage (je n’ai pu résister à la rime). Onze ans plus tard exacte-ment, c’est un Tupolev qui fait qua-torze morts en s’écrasant au cours d’une démonstration à l’occasion du salon du Bourget. Et dix-huit ans après, deux vulcanologues et tren-te-neuf autres badauds meurent, surpris par une nuée ardente. Il assistaient à l’éruption d’un volcan japonais, et il était timide, il a puni ces voyeurs. Non mais, c’est que les volcans aussi ont droit à un peu d’in-timité. Vous avez vu, cette fois-ci, pas de date. Vous allez pouvoir faire un peu de calcul mental élémentaire si vous voulez savoir quand tout ça est arrivé. Oui je sais, vous vous en moquez autant que du contenu de votre UV de culture gé. Tant pis.

N’empêche que si vous aimez les catastrophes, mettez plus de 3 juin dans votre calendrier, et bientôt il n’y aura plus grand monde sur Ter-

re. J’exagère un peu, d’accord, c’est vrai que vu la démographie mondia-le, ça risque de ne pas suffire. Mais bon, je peux bien me permettre de délirer, c’est pas demain la veille du jour où on dispersera des 3 juin dans le calendrier. Ca serait rigolo pourtant, tenez d’ailleurs je me pré-sente aux prochaines présidentiel-les, à la tête du Rassemblement des Utécéens Démoniaques Organisés dans Le Fil (Rudolf). Et je vous pro-mets, à vous tous pauvres crédules, que tous les jours où le RU propo-sera des patates deviendront des 3 juin. Et pour que vous puissiez ho-norer sans retenue votre parti bien-faiteur, je déclarerai le 3 juin Jour-née nationale d’hommage à Rudolf. Ce sera bien entendu un jour férié pour tout le monde, ah non, pour changer, je décide qu’il sera férié, sauf pour les fonctionnaires. Et je supprimerai le droit de grève, et je rétablirai la pendaison publique pour les contestataires. Les malheureux seront écartelés, comme ça nous pourrons tous vivre heureux sous la protection de Rudolf. Alors le monde sera beau. Si vous voulez apporter votre soutien, envoyez vos dons par voie postale à La Fondation Rudolf, Sous le 79657ème pin, Laponie. Hé oui, Filomène est la Mère Noël ! (Et avouez que la Mère Noël pour prési-dente, c’est la classe internationale).

éphéméride par Filomène, toute de rouge vetue

La Tof

Procession pour la fête du so-leil en Bretagne. Cette année, le temps était assez clément.

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4dans son co i n ; En r êvan t de so l e i l , même dans l e s i n s t an t s sans somme i l ; Un pa rap lu i e

z

Aujourd’hui, je vous présente une courageuse anonyme qui est partie un semestre en Espagne. Non, pas que pour voir le Soleil…

Quel est ton cursus ?J’ai fait une année de prépa pour me rendre compte de mon erreur et en-suite vive l’UTC ! Du coup, j’ai refait des choses que j’avais déjà vues en prépa, ce qui m’a permis d’être un peu plus tranquille que les autres nouvôs!

Pourquoi avoir choisi de faire un semestre d’étude à l’étranger?En conséquence de la réponse pré-cédente, je n’avais plus grand chose d’obligatoire à faire à l’UTC. Ayant déjà choisi la branche GSU et vu qu’il n’y a pas d’UV GSU qui m’intéressait au Printemps, deux choix s’offraient à moi: le premier, dans un pays pi-card très apprécié, avec une météo de renommée internationale, m’offrait l’opportunité de visiter la Picardie en-vironnante, de flâner dans la forêt in-terdite de Compiègne et de découvrir d’autres UV de culture gé toutes plus intéressantes les unes que les autres (ah SC21…); le deuxième comprenait un voyage tous frais payés par ma Pi-cardie adorée (bourse de la région) et par notre cher ami Erasme (bourses Erasmus) me permettantd’apprendre une langue, découvrir une culture et éventuellement ap-prendre deschoses intéressantes dans une fac étrangère, bref tout se que peut rêver tout

UTCéen un minimum aventurier. Ce fut donc une difficile décision…

Pourquoi l’Espagne ?C’est comme si on te demandait com-bien font deux plus deux, de la logi-que des plus pures... Où aller pour faire un semestre pépère quand on est fatigués de la pluie compiégnoise et qu’on parle déjà anglais? España!! Tout le monde a vu l’Auberge Espa-gnole et en a rêvé dans sa vie d’étu-diant. Par contre, j’ai été plutôt déçue par la météo espagnole, il fait super froid et il pleut très souvent!! Il faut se méfier de ce que disent les gens… Il parait que je suis tombée sur une mauvaise année pour l’Espagne aus-si.

Qu’est ce que tu étudies ?C’est la partie la plus comique de ma situation: rien à voir avec l’UTC. Je suis dans une école d’architecture (j’avais dit que je voulais faire GSU) qui n’a rien mais rien de scientifique. Du coup, j’ai laissé tombé l’idée de faire quelque chose de scientifique ce semestre (le retour va être dur…), et j’ai pris principalement des culture gé. Par exemple, j’ai une UV très intéres-sante sur l’histoire de l’architecture et une sur le rapport entre l’architec-ture et le cinéma (oui moi aussi ça me turlupinait au début cette association d’idées…). Les cours ne sont jamais très longs car sur un cours de 2h, on commence en retard de 15min, on fait une pause de 30 et on finit quand même en avance...

L’ambiance doit être bonne alors ?Il se trouve qu’il y a peu d’Erasmus dans l’école où je suis, mais il y a d’autres facs dans la ville, du coup en tout ça fait pas mal de monde de toutes nationalités (Italie, Pologne, Mexique, Brésil, République Tchè-que). Donc, bien sûr…FIESTAS, et vraiment intensif, jusqu’à 4 soirs par semaines… Il y a un bar qui est ouvert jusqu’à 11h du mat pour les plus mo-tivés!

C’est facile de changer de pays ?Bof, bof, ça dépend! Perso je me suis vite adaptée à dormir le jour, à man-ger plus tard et à ne jamais être à l’heure (non, ce n’est pas qu’une idée reçue!). Mais après c’est vrai qu’il faut s’habituer à être toujours pris pour un touriste dans les bars et les magasins (l’accent français est souvent repéré). Dans tous les cas, les espagnols sont plutôt ouverts aux étrangers en gé-néral et sont curieux de ce qu’on fait ici.

Pressée de rentrer ?NNooooOOOoooonnnnnNnnnnn!!!! Ze veux paaass retourner à l’UTCééééé!! Disons que on s’habitue vite à la vie d’un étudiant Erasmus et qu’il va être difficile de reprendre le rythme bou-lot-médians-boulot-finaux.

Si vous aussi vous voulez partir, n’oubliez pas qu’on peut visiter les 4 coins du monde grâce à l’UTC et à toutes les écoles qui s’ouvrent dans le monde !

INTERVIEW par aurore, La filanthrope sans son LeFilofil

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5qu i au ra i t a imé ab r i t e r un coup l e su r B roadway ; Qu i n ’ ava i t j ama i s connu que l e c ra ch in

c c c

Après l’inoubliable concert du PMDE, Stravaganza t’invite mardi 10 juin à 20h30 à l’église St Germain (celle entre BF et ATAC) pour un nouveau

rendez-vous musical. Si tu as adoré l’avant-goût proposé lors du concert du PMDE ou si par malheur tu as loupé cet évènement, réserve ton

mardi soir pour venir écouter l’orchestre Stravaganza, la chorale Chorut’s, le quintette de cuivres Quint’UTC, le groupe de musique orientale

Tarab et j’en passe ! Pour seulement 2€ tu pourras bercer tes oreilles au son de musique de films, de musique classique, de musique orientale

ou encore de chants…

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. »Friedrich Nietzsche

[email protected]

Ce n’est pas parce qu’on aime bien dormir que l’on trouve forcément facilement le sommeil. Alors si vous avez des problèmes d’insomnie et une télé, voici une grille des programmes TV qui vous aidera a trouver la quiétude pour vous endormir.

En ces heures tardives, 3 types de program-mes s’offrent à vous :

Rediffusion des reportages de M6 : s’il y a bien un type d’émission qui me fait vomir, ce sont bien les pseudos reportages tels 66 minutes qui sont diffusés sur M6. Ces émis-sions sont un véritable pot pourri, n’hésitant pas à passer d’un reportage sur la famine d’un pays d’Afrique aux dernières soirées fastes des stars où l’opulence de nourriture règne. Tout cela présenté par une des multiples présen-tatrices décoratives dont M6 semble faire éle-vage, étant donné que la météo est présentée chaque jour par une demoiselle différente. Honnêtement, je trouvais Emmanuel Chain et ses sourcils surdéveloppés bien plus sexy que Estelle Denis.

Documentaire sur France 5 : Ah, France 5 ! On ne remerciera jamais assez Derrick et Jack Lang d’avoir eu l’idée saugrenue de créer la « Grosse Fünf », une chaîne culturelle en France ,quand on voit le taux d’écoute du 13h de TF1

! A toute heure, des reportages sur des tribus perdues au fin fond de la forêt amazonienne ou des documentaires animaliers sont diffu-sés. Ceux sur les tribus sont assez lassants car ils reposent toujours sur le même principe : des indigènes vivant dans des contrées où les moustiques font la taille de nos pigeons, ha-billés avec des fringues tissées avec des her-bes, des coutumes guerrières en guise de rite de passage de l’enfance à l’age adulte, ainsi qu’un alcool et une drogue hallucinogène spécifique à la tribu. Mais les documentaires animaliers n’ont de cesse de m’étonner.

TF1 : Sans doute la vraie chaîne culturelle française. Si vous avez de la chance dans votre insomnie, vous tomberez sûrement sur une de ces émissions telles que « confessions intimes », véritables pépites d’or télévisuelles dans les Paysage Audiovisuel Français (et PAF !). Bien que les cas (sociaux) étudiés diffèrent par leur problèmes, on retrouve toujours l’ar-chétype du couple dont on se demande pour-quoi ils sont ensemble alors qu’ils n’ont rien en commun, avec un kéké qui nourrit une pas-sion loufoque (tuning, jeux en ligne, élevage de tortues) afin de fuir sa femme qui lui casse les couille à longueur de journée. Mais bon, ce n’est pas la faute du mari, qui a eu une enfance difficile due à un père absent, ni de la femme, qui a peur d’être abandonnée parce

qu’une fois, quand elle était petite, elle avait perdu sa maman dans les rayons des super-marchés.Par contre, veillez à éviter l’émission « Très chasse, très pêche », les coups de feu pou-vant vous tirer de la somnolence que vous cherchez tant à atteindre. Cette émission suit toujours le même principe. Première scène : plan large sur un paysage verdoyant em-brumé. Puis, soudain, une moustache à béret apparaît à l’écran et s’approche. Non, pas une moustache à béret, mais un chasseur, qui res-semble à un soldat en treillis, la dextérité en moins, le nez rouge en plus. Cet homme bour-ru se met alors à siffler pour récupérer son pauvre chien auquel il a asséné une balle dans la cuisse droite alors qu’il visait une galinette cendrée en plein vol. L’homme se met alors à parler de sa passion pour les animaux. Car oui, si sur France 5 on manifeste son amour de la nature en l’étudiant, sur TF1 c’est en as-sénant du plomb à tout va dans le derrière de nombreux animaux inoffensifs qu’on honore mère nature. Mais bon, il faut bien défendre notre artisanat !

Insomnie, par Stef, somnambule

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6ve r sa i l l a i s ; Ma i s a s se z pa r l é de l u i dans ce t t e h i s t o i r e où j e n ’ l ’ a i pa s p r i s ; C ’ é t a i t j u s t e

Internet étant une immense poubelle en ter-me de contenu culturel, Le Fil vous propose une petite sélection de sites qui je suis sur combleront agréablement votre ennui et votre procrastination !

Webcomics : Comic strip (BD humoristique de quelques vignettes) consultables sur internet

CyANIDE & HAPPINESS

C&H pour les intimes, est un webcomic califor-nien quotidien, écrit par un quatuor à l’esprit torturé, consultable sur http://www.explosm.net/comics.

Ames sensibles s’abstenir, C&H est un des comic strip les plus irrévérencieux, cynique et offensant à ma connaissance. Les vignettes, au dessin simpliste et à l’humour bien plus noir qu’un café 100% arabica, mettent générale-ment en scène deux personnages dans une situation anodine, et aboutissent en l’espace de 3 ou 4 vignettes à une blague vaseuse sur le handicap, le viol, le cancer, les MST, les dé-viances sexuelles, le nihilisme ou la violence. Mais tellement drôle.

LAPIN.ORG

Portail français regroupant une vingtaine de webcomic. Mais parmi les 7000 pages de BD disponibles sur le site, il y a du bon et du moins bon. Les aventures de Michel le yaourt sont succulentes (http://yahourt.lapin.org/ et http://frigo.lapin.org/), celles de Wilfried le parcmètre (http://parking.lapin.org/) et celles

d’Elftor sont assez barrées (http://elftor.lapin.org/). Généralement les autres aventures ne méritent pas de s’aventurer au delà de la 10ème planche.

Sagas MP3 : Une sorte de « série télé », mais en MP3.

DONJON DE NAHEULBEUK

Saga sonore sur un groupe d’aventuriers branquignols parodiant l’univers héroïque fan-tastique issus des jeux de rôle. Constituée d’un ranger, d’un nain, d’un barbare, d’une elfe, d’une magicienne accompagnée d’un ogre, cette équipe se met en quête d’une statuette affreuse détenue par l’ignoble Zangdar. Une aventure épique, dans tous les sens du terme. Hélas, au delà de la saison 1, le style s’essou-fle … http://www.penofchaos.com/warham/donjon.htm

REFLETS D’ACIDE

Dans la même veine que le Donjon de Naheul-beuk, Reflets d’acide conte les aventures d’une équipes d’aventuriers. Bien que l’on sente la filiation avec le Donjon de Naheulbeuk dans les premiers épisode, Reflets d’acide, contrai-rement à lui, a su se bonifier avec le temps. Les épisodes sont truffés de jeux de mots bien léchés et de références pour les amateurs et non-amateurs du genre. http://www.synop-site.com/

« Ca pourrait être pire » : Votre vie n’est pas si nulle que ça, la preuve !

VIEDEMERDE.FR :

VDM pour les intimes, ce site vous propose de publiant sur internet. Le récit de votre mé-saventure doit commencer par « Aujourd’hui » et se terminer par « VDM ». Exemple : « Aujourd’hui j’ai eu un résultat de médian. VDM ». On rigole, mais on ne se moque pas ! http://www.viedemerde.fr/

BASHFR.ORG :

connu par bon nombre d’internautes, ce site référence les blagues geek / vannes issue des réseaux de discussion internet. Le contenu semble s’éloigner des délires réservés aux geeks et regorge de cassages fracassants. http://www.bashfr.org/

Internet generation, par Stef, loi uniforme

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7un me i l l eu r su j e t que mon bœuf sau té au cu r r y … (K l ub des 7 ( Fuza t i ) – Le pa rap lu i e )

Aujourd’hui ne parlons pas de choses qui fâ-chent, ni politique, ni religion ni de trucs trop glauques dites. Alors parlons des troglodytes. Je vais vous montrer comment, sans le sa-voir, nous sommes parfaitement disposés à ce mode de résidence, de vie et de pensée. La troglobie consiste à vivre dans la terre ou dans la pierre, à flanc de roche, en aména-geant crevasses et failles. On pourrait presque assimiler les maisons hobbites à des habitats troglodytiques sauf que leurs buttes sont ar-tificielles. Néanmoins, on ne s’étonnera pas que de tels êtres qui passent pour la référence des gens sachant vivre confortablement soient troglophiles. En effet, chacun sait que l’inertie thermique du sous-sol étant plus importante que nos maisons, il y fait toujours plus tiède en hiver et frais en été. Que du bonheur ! Mais surtout, quelle joie de dynamiter la montagne pour y bricoler sa cahute ! L’on comprend alors que des raisons aussi ludiques qu’économiques incitent à ce type d’habitat. L’instinct d’Homme des cavernes nous y pousse profondément…

En effet, notre nature la mieux ancrée nous attire inexorablement vers l’obscurité, les trous tièdes, humides et poilus (à cause des ours

qu’étaient là avant). D’ailleurs c’est à peu près de là qu’on vient, il est donc logique que la poussière retourne à la poussière et le terreux à la terre. N’a-t-on pas un coeur de pierre et de la terre dans les yeux ?

Si nous étions amoureux de la lumière, nous ne marinerions pas 9 mois dans le jus placen-taire de notre mère à lui chier dedans, il ne faudrait pas sortir l’opinel pour nous déloger à la mode de César et la nature nous aurait fait naître dans les choux ou les roses (non ce n’est pas le cas, les parents mentent, heureusement ce n’est pas le cas des bidonvilles, allez-y par-faire votre éducation). C’est tellement vrai que la nostalgie de ce confort perdu nous pousse à la reproduction. De même que c’est ce besoin d’être enveloppé dans autrui qui pousse Hanni-bal Lecter à se faire un manteau en peau.

Sachez également pour votre gouverne que ces habitats sont solides comme le roc, et pour cause… Cette donnée sécurisante devrait finir de vous convaincre : au vu de notre fermeture d’esprit, un tel abri ne saurait constituer un rempart de trop envers les assauts du monde externe. Si vous ne le faites pas pour vous, fai-tes-le pour vos enfants tel Joseph Fritzl ! Un

vrai troglophile (et autres trucs en phile).

L’esthétique n’est pas en reste, au-dedans comme au dehors puisque le décor intérieur vous fera communier avec notre mère la Terre, et que cela permet de soustraire à nos regards les hideuses constructions humaines. D’ailleurs, il serait de bon ton de n’inaugurer que de troglodytiques maisons de retraite afin non seulement de masquer ces escarres que je ne saurais voir mais aussi pour habituer leurs locataires au doux goût de la terre. Et surtout, il sera plus facile de boucher la sortie. Quelle joie pour les archéologues !

J’aime à penser que ces labyrinthes raviront les enfants lors de leurs parties de cache-cache à la longévité accrue. Et après quelques parties de trop, il leur sera possible de joueur aux os-selets. Ce pourrait aussi être une manière de soigner sa claustrophobie, et à défaut, gageons qu’avec quelques miroirs sans teint, le specta-cle de panique sera une distraction distinguée. Enfin, nous détenons là une solution au traite-ment des déchets nucléaires puisqu’il ne sera plus nécessaire de les enfouir nulle part, dans la mesure où nous habiterons nous-mêmes les carrières abandonnées.

Le troglodyte par hein ? Fichtre !

J’aime les chatons, les chattes et les chats, même si le mien était semi-sauvage (avec des couilles comme ça !) et donc dange-reux sur les bords. Et puis il est mort à petits feux, après dix jours d’agonie, la jambe défoncée, ne pouvant plus déposer ses sels ni son urine parfumée. Plus dou-loureux que la pendaison de Saddam, y a pas d’justice ! Si vous avez une copine, ou que vous êtes la copine de votre co-pain, vous passerez à tous les coups par le test du chat (s’il crève trop tôt ou de-vient maboule c’est que vous n’êtes pas prêts pour le bébé, certains parents le font dans l’autre sens, question de priorité). De mon côté, à cause de la mort pas glop de Tchitcho, je souhaite partager des trucs pour que le moment venu, votre exécution soit claire et nette comme Internet. Je les tiens de mon père, bourreau des coeurs, et une fois marié, bourreau tout court.

Ainsi, d’après son expérience, vous ap-prendrez que vouloir emmener la dernière portée de chatons encombrants au pays des morts durant leur sommeil en les as-phyxiant est certes louable à première vue, mais une bavure n’est jamais loin. Si le produit n’est pas tout à fait le bon

par exemple, ou si les doses sont mauvai-ses, et vous entendrez toute la nuit des miaulements plaintifs de plus en plus fai-bles s’échapper de votre boite hermétique. Comme dirait Stupeflip “Dans une boîte avec l’éther ils ont pas beaucoup souffert, mais ça fait mal au coeur : c’est mignon les p’tis chat !” Sauf que là ça devait pas être de l’éther. Dans le genre chimique, il n’y a que l’euthanasie de valable, sauf si la bête est allergique ! Et puis ça coûte, alors soit on fait un forfait avec la belle-mère, soit on revient à des pratiques moins coû-teuses mais pour un vieux chat ce sera plus dur, on s’y attache, même s’il a pissé trois fois dans chaque pièce.

Un grand classique : vous pouvez les noyer. Pas avec les poissons rouges (abruti !), ça boucherait vos chiottes, quoique ça ferait une super anecdote pour le plombier polonais qui viendra. Si votre tonton (bor-gne ou pas) a fait l’Algérie, laissez-le avec le chat ou les chatons et une baignoire. Il leur fera avouer au passage où sont les croquettes. Et puisque vous êtes cruels, vous pouvez l’envoyer dans Saw V pour en faire des Saw VI ou recourir à la mort par obésité, de plus en plus pratiquée, sur les

humains itou. Achetez-lui du pâté premier prix, moins cher et plus gras que celui des félins.

Si mon article vous a inspiré, que votre chat est en bonne santé mais que vous êtes impatients de vérifier que vous avez tout compris, rappelez-vous qu’un chat mort on peut lui prendre ses griffes pour faire comme le collier de Rahan, on peut se faire un slip de fourrure s’il n’y a pas assez de taupes dans le jardin et on peut l’empailler pour faire moins vide à côté de mémé (empaillée aussi). Pour commémo-rer sa mort aussi fort que vous l’aimiez, enterrez-le sous le fumier pour penser à lui chaque fois que vous videz la poubelle verte.

Horrible Felinicide

P.S : j’allais oublier : la façon la moins dé-gueux de buter ses chatons c’est de leur briser la nuque sur l’angle d’une pierre, et vérifier à la pelle qu’ils sont au repos éter-nel.

PP.S : depuis que mon chat est mort, je ne suis plus le même, désolé.

Comment tuer les chats ! par horrible felinicide

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- Chaque article n’engage que la responsabilité de son auteur.- La censure engage la responsabilité du Président de Le Fil.- La publication d’un article est soumise à l’enregistrement de son auteur dans le livre de publication, sauf acceptation de son anonymat par le Président de Le Fil qui engage alors sa propre responsabilité.

Le FiL - Le journaL des étudiants de L’utc - est un bimensueL gratuit tiré à 1000 exempLaires

Rédacteur en chef : Stéphane Vayssier

Metteuse en espace : Sophie Beaujard

Trésorière : Aurore Barthod-Malat

Responsable Sponso : Mathieu Roger

Doctorants ès Paint : Agathe Figarol

Esclaves-Plieurs:

NOUS

Service Rédaction du 3eme étage: Brieg, Anne-claire....

...et bien sûr nos chers membres d’associations étudiantes !!

BOP’sRomain Hérault (TD NF16)-Donc en fait on enfile les élé-

ments sur la queue ... [quelques

secondes plus tard] En fait, je

viens de comprendre ce que je viens

de dire.

- Et la distance entre la tête et

la queue c’est le réservoir

ENVOYEZ NOUS

VOS BOP’S !

sur le site oueb

wwwassos.utc.fr/lefil

CON-COURS

Peter : Pourquoi t’as choisi de d’être au Le Fil ?Steven : Ben si j’fais journaliste, c’est évidement pour être cé-lèbre. Moi j’veux être connu, tu sais pourquoi ? Pour niquer les gonzesses. Quand t’es célèbre, tu niques plein de gonzesses. Et puis aussi tu bouffes des trucs bien meilleurs qu’ici.Peter : Moi pour les gonzesses, je suis super d’accord avec toi. Mais pour la bouffe, je vois pas c’que tu veux dire. T’aurais envie de manger quoi exactement?

Steven : Ben je sais pas, par exemple, une quiche lorraine.Peter : Une ouiche.Steven : Une quoi ?Peter : On dit une ouiche lorraine.Steven : T’es sûr? Ca fait bizarre ouiche lorraine.

On recherche une nouvelle équipe pour reprendre Le Fil au prochain semestre ! Manifestez-vous sur [email protected] !

Fais picoler tous les animaux que tu peux trouver et envoie nous les vidéos !

A gagner : un procès de la SPA et une poupée gonflable Brigit-te Bardo .