sommaireCommuniqué de presse P2

Biographies des artistes :

Max BLUMBERG P3

Pierre MÖRI P6

Isabelle MARSALA P7

Kathy BASSAGET P8

Cendrine PANNIER P9

BOCAJ P10 Seb. M P11

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3ème Edition du salon d’Art Contemporain Mosaïque

9 Mai 2014

Du 16 au 21 mai, l’association Mosaïque et la ville de Baillargues accueillent 7 artistes, peintres et sculpteurs de renommée internationale à l’Espace Vigneron de Baillargues. au programme de cette 3ème edition :

Max BLUMBERGPierre MÖRIIsabelle MARSALAKathy BASSAGETCendrine PANNIERBOCAJ

SEB. M

Vernissage en présence des artistes jeudi 15 mai, sur invitation uniquement.

INfOS PRATIqUES :Permanences assurées

par les artistes eux-mêmes de 9 h à 12 h et de 14 h à 19h.

Entrée libre

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Max Blumberg, peintre de renommée mondiale aujourd’hui au sommet de son art pictural, possède un parcours pour le moins atypique. Tour à tour philosophe, photographe et peintre, l’artiste a construit son destin au fil de ses rencontres.

après le lycée, Max Blumberg se lance dans les études. Une maîtrise d’histoire en poche, il devient agrégé de philosophie esthétique et enseigne pendant 23 ans à la sorbonne. ses spécialités : l’art contemporain et l’art moderne. dans le même temps, il fait la connaissance du photographe Brassaï qui l’initie à la photographie et lui permet de rencontrer Jean-pierre sudre et Jean-Lou sieff. L’artiste entame alors une nouvelle carrière en parallèle de son poste à l’université: il devient le photographe offciel de rannois Mitterand alors premier secrétaire du parti socialiste. il suit ensuite le président pendant ses 2 mandats et se passionne, pendant quatorze années, pour la photographie argentique. Mais l’arrivée du numérique le déstabilise et l’entraîne vers un nouvel art. L’artiste cherche « un moyen de s’évader, de s’épanouir », « d’oublier le terrible du quotidien ». C’est dans la peinture qu’il puise cette « liberté totale ». a l’âge de 46 ans, il s’offre un nouveau départ, se consacrant entièrement à cet art. deux ans s’écoulent avant qu’il n’expose pour la première fois. C’est lors de cette première exposition au salon des indépendants qu’il fait une rencontre décisive qui lance sa carrière.

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Max Blumberg devient ainsi la figure emblématique d’un courant appelé « la figuration libre ». il met en scène dans ses oeuvres, des personnages sortis de l’histoire, de la mythologie ou tout simplement de son imaginaire.

pendant de nombreuses années, il préside le salon des indépendants, côtoyant les plus grands peintres comme les novices. Convaincu que l’art contribue au rapprochement entre les hommes, il crée une école d’art dans sa commune pour permettre aux enfants d’apprendre la musique, la peinture ou encore la sculpture. aujourd’hui, à l’âge de 64 ans, Max Blumberg expose dans les plus prestigieuses galeries du monde et genève, toronto ou encore Madrid lui ouvriront bientôt les portes de leurs expositions.

Max Blumberg expose ses oeuvres dans les plus grands musées du monde. On peut citer notamment :

> Museum of Modern art (MoMa), New York> Museum of Contemporary art (MoCa), North Miami> the art institute of Chicago> institute of contemporary arts, san rancisco> opera gallery, paris, Miami, Londres, singapour, hong-Kong, New-York> L’academie royal de Bruxelles

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pierre MÖri a passé son adolescence dans un village situé à proximité d’auvers-sur-oise (vallée des impressionnistes) avec pour décor, les paysages de Van gogh, pissaro, derain, etc. très tôt, il a commencé à peindre et a pu travailler dans l’environnement de quelques grands artistes peintres et calligraphes contemporains. attiré par l’art abstrait, ses premières années d’artiste furent consacrées à des travaux non figuratifs et calligraphiques, particulièrement influencés par hartung, Mathieu... mais c’est déjà loin…

«Combinant harmonieusement une touche pâteuse et agitée – rappelant les premières œuvres des expressionnistes allemands comme Ernst Kirchner (1880-

1938) ou Emile Nolde (1867-1956) – à des sujets paisibles, Pierre Möri ouvre avec chacune de ses toiles une fenêtre sur un univers onirique, volé en partie à la nature et volontairement intemporel, capable de résonner en chaque spectateur. Son œuvre éclate en un festival incandescent de couleurs pures posées en aplats, scandées par des contours appuyés venus dynamiser la composition – ce même dessin au trait ferme qu’affectionnait le peintre français Albert Marquet (1875-1947), actif dans le mouvement fauve de 1905 à 1907 et que Pierre Möri aime citer en référence.

Le fauvisme nourrit d’ailleurs à ce point sont travail qu’il a intégré en 2005 le mouvement des «New Fauves» créé en Californie. Espaces et personnages désarticulés, ciels chargés et chaotiques, villages et mobilier d’intérieur bancals, ses tableaux sont à croquer des yeux avec un large sourire».

Sarah GAFFINO – Historienne de l’art

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dans les années 1980, après l’étude approfondie de la peinture contemporaine, il a décidé de s’orienter vers l’expression figurative sous la double influence des «fauves» frannais (Matisse, derain, Marquet, etc) et des expressionnistes coloristes allemands (Macke, Kirchner, schmidt-rotluff, Nolde, etc). Balancé entre optimisme et gravité, il simplifie au maximum et essaye d’aller à l’essentiel. il abolit les perspectives, déstructure, inverse les proportions, bouleverse les lignes, chahute les couleurs ; bref, il crée une vision chimérique d’un monde recomposé, accessible à ceux qui savent imaginer, rêver, s’interroger.

En résidence :

> paLM spriNgs – Californie – Woodman shimko gallery> ChiCago : Kamp gallery – 966 green Bay road – Winneka, iL 60093 Usa> Nevers (58) : artistes galerie - 25 rue des Merciers> Bourges (18) : atelier Missa - 119 rue d’auron

www.pierremori.com

www.newfauves.com

primori@wanadoo.fr

06 07 83 37 34

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« La peinture d’isabelle Marsala est une peinture diffcile . elle présente le plus souvent un visage de femme vu frontalement en plein cadre. Ce ne sont pas des portraits : ce sont des idées. si

vous croisez un jour un des modèles d’isabelle Marsala, c’est que le mythe qu’elle a peint court les rues aux quatre coins du monde. Mais pour voir une idée, il lui faut son enveloppe charnelle : d’où l’extraordinaire travail du peintre sur le rendu de la peau et l’éclat des regards.

décor et accessoires réduits à presque rien, ces tableaux ne racontent rien. La profondeur du champ est proche de zéro. Le paysage est remplacé par des emblèmes : un micro évoque la musique, et une bouée ou une frise de poissons la mer qu’on ne voit jamais.

Libérée du décor, la perspective retrouve des réflexes très anciens pour accroître l’importance des personnages. elle met en avant ce qui est important, et laisse le reste derrière ou en petit. elle n’a d’autres règles que le sens même de l’image. d’où l’absence d’ombre et la monumentalité des compositions qui rappelle l’aplomb des vierges assises dans leur immobilité.

il y a dans cette peinture un appétit du monde et de la vie qui lui fait saisir toutes les réalités, d’où qu’elles viennent, pourvu qu’elles aient du goût et du sens. »

Guy Barral, présentation du livre « Échantillons »

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DéMARChE ARTISTIqUE Mon inspiration est portée sur des créations de couleurs fortes, d’expression joyeuse. avec une volonté de convaincre les regardants à deux niveaux.

pour les regardants non techniciens, des sculptures céramiques au style coloré, simplifié, inspiré de la bande dessinée, des dessins d’enfants que l’on peut imaginer dans des environnements de décorations intérieures ou extérieures divers. pour les techniciens, un travail complexe de la matière avec une recherche dans la fabrication des émaux, de leur diversité, et dans leur traitement.il y a une analogie certaine entre mon travail de la céramique et mon propos. La matière employée et la mise en jeu de couleurs fortes demandent de la précision et de la rigueur, mais aussi une part de confiance dans le hasard pour le produit final après cuisson. C’est un mélange de conscience du geste et d’intuition pour la maîtrise de l’oeuvre.

TEChNIqUE ARTISTIqUE Mon mode d’expression artistique est la sculpture céramique. J’utilise actuellement la technique de cuisson raku .Les terres sont divers grès chamottés, dont le grès cellulosique chamotté.Les pièces sont cuites une première fois au four électrique à 980°, puis émaillées avec des émaux de ma fabrication, suivi d’une deuxième cuisson électrique à 1000° et ensuite la cuisson raku à 950° et enfin, l’enfumage.J’ai, par ailleurs, travaillé les terres mêlées de ma fabrication pour avoir une grande gamme de couleurs. et j’explore actuellement aussi en parallèle au raku, la porcelaine cellulosique.

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Né en 1970 à Marseille, sébastien Masse vit et travaille à Montpellier. il expose dans le sud de la rance, à paris et à l’étranger. il se sert de sa vision du monde comme point de départ d’une figuration narrative. il utilise une technique

mixte alliant l’acrylique, le collage et des encres.

« historien d’art de formation, des artistes comme rancis Bacon, picasso, Miquel Barceló ont alimenté mon désir de devenir peintre. de manière empirique, ils ont développé un langage pictural afin de retranscrire leur propre vision de la réalité et de leur monde imaginaire. avec la même approche, j’ai choisi de travailler à l’instinct, au-delà du réfléchi laissant dialoguer la forme et la couleur avec la sensation. portraits, scènes de la vie quotidienne, scènes d’ateliers, variations érotiques ou thèmes mythologiques, peuplent mon univers pictural où prédomine l’individu. peindre est, à mon sens, un acte qui mélange l’expérience du vivant en général et sa vie propre. Mes compositions synthétisent un univers pictural constitué d’images puisées dans mon inconscient, la bande dessinée, la photographie, le cinéma et la littérature. Ces images digérées, recyclées, transformées ou détournées amènent une dimension narrative et poétique. elles permettent de déployer toute la fiction de mon imagination. Les personnages réels ou imaginaires, issus de ce réservoir iconographique, se placent comme les protagonistes du temps qui passe, d’une histoire dans son histoire, du tableau dans le tableau... »

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Jean-paul BoCaJ vit et travaille dans le sud. il fait désormais partie intégrante de notre paysage pictural. ses acryliques aux couleurs vives conjuguent inlassablement la beauté plastique du corps féminin. Les femmes, BoCaJ, les aime

pulpeuses à souhait, saisies dans un état proche de l’extase amoureuse, avec un brin de fétichisme. La force du peintre réside encore ailleurs non seulement dans sa capacité à insuffler la vie, mais aussi à offrir une histoire personnelle à chacun de ses personnages. Madones, mamans ou aventurières, leurs regards fixent le passant avec provocation. pas de doute, les femmes transpercent la toile, superbes et troublantes comme toujours. elles occupent le premier plan au détriment flagrant de la gent masculine qui ne ressort pas indemne de l’histoire. ils sont parfois vieux, fatigués... BoCaJ n’accepte pas le côté sérieux du sujet et opte définitivement pour l’humour. sa devise est «la chair n’est jamais triste». La composition et le mouvement n’ont d’égal que le flamboiement de sa palette. il mettra le feu à plus d’un regard. Voilà qui est réjouissant dans un monde culturel de plus en plus envahi par les bien-pensants et le conformisme.

La femme du boucher - 100x80 Esquisse du samedi soir

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Vivre la peinture, vivre les couleurs, reste ce qui porte Cendrine paNNier à créer. son art ne devient art que lorsqu’il laisse émerger de la vie, de l’humain à travers des joies toutes simples. ses musiciens virevoltent, suspendus dans un

entre deux, tournoyant au rythme de la musique, ils laissent entrevoir un monde presque irréel.

Cette création comme une nécessité d’harmonie vient témoigner d’une nourriture onirique sans cesse renouvelée. Le mouvement, la danse inspirée du mouvement même de vie intérieure devient un rouge qui bouge, un jaune qui inonde, une palette colorée ou les musiciens vivent tout simplement. sa peinture est une invitation au partage, ouvrez la porte et écoutez les personnages exprimer leur différence, leur ressemblance et souvent une évidence : «la vie se doit d’être en couleurs».

sa passion l’a emmenée à montrer ses œuvres et à se faire une clientèle d’amateur. des expositions personnelles (banque crédit mutuel, offce de tourisme) aux expositions de groupes  (festival d’art singulier de bannes, sénat de pékin et musée d’art moderne de pékin, galerie open art de dijon, salon Élan d’art de Montpellier, salon de Morestel en invitée d’honneur, saint-rémy de provence, salon de poulx où elle a eu le 3ème prix d’acrylique, et le 1er prix du public) sa vision de l’art reste avant tout l’exposition d’un grand partage.

Et que tourne la vie, l’arbre de vie! - 120x100 Je danse dans ton ciel ! - 80x80

Vil le de Bail largues - place du 14 Juil let34670 Bail largues - 04 67 87 81 81w w w . v i l l e - b a i l l a r g u e s . f r

CONTACT PRESSE :Morgane AMIS

service CommunicationMairie de Baillargues

tél. 04 67 87 81 86 - 06 62 19 34 36morgane.amis@ville-baillargues.fr