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Spagiterapie - Toni Ceron

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Spagiterapie - Toni Ceron

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  • ditions Col du FEU, F-74550 ORCIER, Tl : 04 50 73 93 31

    LALCHIMIE VGTALEDES ANCIENS

    POUR LE BIEN-TREDES HOMMES DU XXIme SICLE

  • I l appartient donc au Mdecin qui veut sinstruire, desavoir ce quest la Calcination et la Sublimation, non seu-lement les oprations superficielles mais celles qui mo-difient intrieurement les choses et qui, fait bien plus im-portant, permettent la prparation et aussi le mrissement quela Nature ne leur a pas donn. Le Mdecin doit possder lArtde faire mrir les choses ; car il est lautomne, lhiver... Il estlastre qui doit agir sur les choses pour les achever.

    PARACELSE

  • CONFIDENTIEL

    DOCUMENTATION STRICTEMENT RSERVE AUX PROFESSIONNELS DE LA SANT

    - Copyright ditions Col du FEU, Fillient, F-74550 ORCIER ISBN 2-9509459-1-0, 2me trimestre 1996

    Les photographies sont de Daniel FLEURY

    Le Spagyriste capte et transmute toutes lesforces Cosmo-Telluriques en son Laboratoire

  • a Spagyrie est un Artthrapeutique globa-lisant et complet.Longtemps restedans le secret desoprations alchi-

    miques elle constitue nanmoins uneapproche des plus essentielles, aussibien aujourdhui que pour le mondede demain.

    LA SANT

    La sant est un tat dquilibreentre lextrieur de lhomme et songerme spirituel intrieur qui est endevenir. Cet quilibre nest pas dfinipar des chiffres, il dpend dun en-semble de paramtres qui sont aussibien moraux et psychologiques quematriels et physiques.

    Le capital hrditaire avec lequelnous naissons est souvent altr parune vie contre-nature aberrante ; quece soit par les rythmes de vie pertur-bs, les stress, linacceptation de soi-mme et donc logiquement dautrui,les pollutions de toutes sortes, visiblesou non, audibles ou non, une ali-mentation souvent dsquilibre, lesintoxications mdicamenteuses dues des comportements excessifs, etc.

    LA SPAGYRIE

    De tous temps les anciens Spagy-ristes ont utilis les arcanes sacrs delAlchimie pour soulager les ravagesde la maladie. Cest surtout Paracelsequi dveloppa cet Art Thrapeutiqueinspir de la pratique alchimique etqui, de ce fait, est radicalement diff-rent des autres dmarches thrapeu-tiques. Avant lui les anciens Egyptiensdvelopprent lAlchimie ; il suffit depenser notamment aux donnes de laGrande Pyramide de Chops qui re-prsente un Alambic en mouvementmais aussi une mthode thrapeutiqueuniverselle puisque tous les aspectsde ltre humain y sont contenus.

    Spagyrie vient de deux racinesgrecques ; SPAO : tirer, sparer, diff-rencier et AGEIRO : runir, rassem-bler, conjoindre.

    En rsum il sagit de sparer, depurifier et de rassembler. Cest aussiet surtout dans le sens dun respectde lHomme total que travaille larti-san spagyriste.

    ESPRIT ET CORPS

    La dmarche dELIXALP est depromouvoir la diffusion dune gammedlixirs Spagyriques adapts notrepoque. Ce sont donc des produitsalimentaires harmonieux qui ont laparticularit duvrer un bien-treglobal de lindividu, tout en traitantles dsquilibres subtils en profon-deur. La Spagyrie ne se met pas entrele malade et la maladie mais renforceles dfenses globales de lorganismeen redonnant le Mouvement afin quelorganisme lui-mme se libre delagression subie et se rquilibre touten mmorisant lexprience bnfiquede la maladie. Chaque maladie en effetest prendre comme un enseigne-ment dans lexistence ; et tant que lecorps na pas bnfici de la leon, laporte restera ouverte sur des pro-blmes de sant toujours plus graves.

    Un esprit sain ne peut exister quedans un corps sain, sans carences etsans toxines trop consquentes ; maisrciproquement un corps sain nepeut exister que dans un esprit sain,sans entraves lharmonie et la co-hrence de lensemble.

    Dans la mesure o un Mouvementharmonieux relie ces deux polaritsEsprit et Corps, ltre est mmedassimiler diverses formes detoxines, de les transmuter et ainsidvoluer dans sa conscience, but es-sentiel de notre venue sur terre.

    CHOIX DES PLANTES

    ET RESPECT DES RYTHMES

    Les plantes et vgtaux utiliss parELIXALP sont choisis soit sauvagesavec leurs qualits naturelles, soitprovenant de la culture biologique etbio-dynamique. Les moments pro-pices lextraction, les dynamisa-tions, les conjonctions, se font en res-pectant certains jours et certainesheures, en conformit avec le ciel.

    LES TROIS PRINCIPESPour un vgtal, il sagit den d-

    gager les trois Principes unitaires, deles purifier, pour enfin les runir, cequi en augmente puissamment lesvertus.

    Les Trois Principes spagyriques dela plante sont :

    1) La Teinture liquoreuse (lespritde la plante)

    2) lHuile essentielle (lme de laplante)

    3) les Sels minraux et Oligo-l-ments obtenus par calcinations r-ptes (le corps de la plante).

    Cest par ces trois composants pu-rifis et runis dans llixir spagyriqueque nat ce que Paracelse appelle lePremier tre de la plante, cest direson aspect le plus pur et le plus origi-nel. Les Alchimistes, qui taient aus-si appels Philosophes par le Feu,dnommaient lixir ces trois partiesunifies et rassembles aprs leur n-cessaire purification par le Feu.

    LE FEU

    Le Feu cest ce qui diffrencielhomme des autres rgnes de la Na-ture ; seul lhomme fait cuire ses ali-ments ou les pice (ce qui est unmoyen de mettre du Feu). De mmeseul lhomme est conscient de lui-mme car le Feu de lEsprit est ENLUI et non lextrieur comme pourlanimal, le vgtal ou le minral. Letravail par le Feu de lartisan spagyristepermet aux lixirs dtre porteurs deleur propre Feu intrieur renouvelet donc dtre complets. Cest ce Feuintrieur qui leur permet aussi de nepas venir parasiter et dilapider le Feuintrieur de lhomme, et donc son Moiqui est son intgrit, le centre subtilde tout son systme immunitaire ; cestl un aspect important. Un produitspagyrique AUTHENTIQUE est unremde la fois subtil, nergtique,et parfaitement incarn ici-bas dansla matire en un Mouvement vitalcomplet.

    LE MOUVEMENT

    Un lixir Spagyrique nest certai-nement pas un simple mlange deteinture avec lhuile essentielle et des

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    LALCHIMIE DES ANCIENS POURLE BIEN-TRE DE LHOMME DAUJOURDHUI

    UN ART DES ANCIENS QUI RESPECTE LHOMME DANS SA COMPLEXIT

  • oligo-lments, car en procdant decette manire ce nest jamais quunassemblement de parties qui ne for-mera jamais un TOUT harmonieux,une Quintessence, point de dpart duMouvement nergtique. Cest la rai-son pour laquelle les oprations duLaboratoire obissent des critresprcis. Il en est de son laborationcomme du corps humain ; il ne suffitpas davoir une tte, un cur et desmembres combins dans un corps dechair pour en faire jaillir lEsprit im-mortel et son Mouvement. De lamme manire il ne suffit pas de fai-re des mlanges dingrdients pour re-trouver et faire natre la Quintessen-ce de la plante, lArchtype, ou sonPremier tre comme lappelaient lesanciens spagyristes.

    LARCHTYPE DE LA PLANTE,LE PREMIER TRE

    LArchtype de la plante travailleest le point central qui permet lemouvement dnergies vitales. Cestainsi que nous allons vers une thra-pie globale qui agira aussi bien sur lesplans subtils de la maladie que sur lesplans concrets et visibles, laissantlhomme compltement libre des sub-stances ingres tant donn que detels lixirs sont complets, non de-mandeurs de la vitalit humaine. Pr-cisons que de telles prparations, unefois ingres, ne restent pas dans lessphres subtiles humaines, mais lib-rent les problmes sur tous les plans.Lhomme reste ici matre de sa mai-son avec son libre arbitre face sadestine ; tout notre systme de r-gnration dpend de cette intgri-t corporelle. Pour des raisons quenous ne dvelopperons pas ici maisqui vont dans cet ordre dides, larti-san spagyriste ne dpassera jamaisune certaine quantit dlixir dans safabrication.

    MICROCOSME ET MACROCOSME

    La Spagyrie est une mthode th-rapeutique de bien-tre, complte etnaturelle, qui tient compte des diversaspects de lHomme grce un pro-cd trs ancien qui apparat aujour-dhui comme nouveau et original. Lefondement de cette Mdecine Uni-verselle, comme disaient les Anciens,est la totale concordance du Micro-cosme avec les lois du Macrocosme,de lhomme avec les forces clestes.

    LHomme en effet est plus quuncorps physique car, nous disenttoutes les traditions, il est pourvudun Esprit, dune me et dun Corps,lui-mme englobant divers corps plusou moins subtils et spirituels ; cest cetensemble qui permet lhommedtre en mouvement, et le mouve-ment cest la Vie.

    PRODUITS ALIMENTAIRES

    NERGTIQUES

    Un lixir spagyrique est donc unproduit alimentaire de bien-tre quia t obtenu par une purification etun ennoblissement vibratoire de laplante, le tout selon un ordre prcisqui respecte certains cycles nerg-tiques de la nature (plantes, zo-diaque, heures, ...). Cest l une Quin-tessence vgtale suprieure auxsimples teintures ou composs aro-matiques connus car en elle nous al-lons retrouver aussi bien :

    les vertus purifies et subtilesdes teintures vgtales

    les principes actifs et cibls deshuiles essentielles

    que la force de cohsion, destructuration et dquilibre des oli-go-lments et minraux propres auvgtal choisi.

    Les trois Principes vont surtoutdonner llixir un Mouvement desforces de vie, une circulation nerg-tique qui va contribuer rharmoni-ser la tripartition humaine : Esprit,me et Corps. Ainsi labors ce sontdes complments alimentaires desplus actifs.

    Ces lixirs Spagyriques ne sontdonc en aucun cas des mdicaments,mais des rquilibrants nergtiquesqui offrent lorganisme une plus gran-de rsistance face aux agressions ; ilsaident au maintien de la bonne santet assurent une meilleure activit tantphysique quintellectuelle.

    Llixir vient rappeler au corps lajuste conduite des nergies vitales. LeMouvement aide dissiper lignoran-ce, loubli et la stagnation. Peu peule corps redevient conscient de ses ri-chesses et en fait un plein usage sousforme dune multitude dactes int-rieurs qui viennent confirmer le che-min positif du bien-tre retrouv.

    ACTUALIT DE LA SPAGYRIE

    Ce nest pas un hasard si la Spagy-rie revient aujourdhui en force ; nouspensons quelle ne sera pas un luxe

    aux cts dautres thrapeutiquesnon agressives face aux flaux actuelset limmense souffrance de lhom-me drgl et dsempar ; dsempardevant certaines horreurs de la viecomme devant les injonctions pres-santes de son cur.

    Notre conclusion est quil ne fautpas rejeter les mthodes existantes,elles ne sont pas venues au hasard.Llixir spagyrique, issu dune d-marche thrapeutique inspire de laNature, reste bien entendu le plusproche de lhomme, cest pourquoi ilreprsente pour lui un idal. Cetidal, lAlchimiste le poursuivait dansson Laboratoire, en affinant sans ces-se son lixir.

    UTILISATION

    Les lixirs Phyto-Spagyriques sontsouvent plus ajusts que les autres pr-parations vgtales, cest pourquoi lesquantits prendre sont moindres.

    Purs et odorants ils sont bien tol-rs et peuvent tre utiliss long ter-me, comme complments alimen-taires, en cas daffections chroniquespar exemple. En cas daffections ai-gus, leur utilisation savre tout aus-si profitable, en accompagnant lac-tion dun traitement mdical.

    Leur dure de conservation esttrs longue, et mme ils se bonifientavec le temps ; ils ne contiennent nicolorant, ni conservateur.

    Llixir se consomme dilu dansun peu deau, un jus de fruit ou unetisane, raison de 5 10 gouttes, 2 3 fois par jour pendant les repas.Pour les enfants de 3 12 ans,quelques gouttes suffisent. La quanti-t dalcool ingre chaque prise esttout fait ngligeable : lquivalent dequelques gouttes de (bon) vin !

    Toni CERON

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    Pour plus de renseignements il est conseill deconsulter les ouvrages suivants, publis aux ditionsCol du Feu, F-74550 ORCIER :

    La Phyto-Spagyrie, une mdecine qui aimelhomme ;

    Guide pratique de PhytoThrapie et de Spagy-Thrapie ;

    Votre sant par les lixirs Spagyriques ; Spagyria, sant et quilibre pour lesprit, lme

    et le corps ;ainsi que diverses publications caractre thra-

    peutique.

  • 5a Spagyrie tiendra auXXIme sicle la placequi lui revient de droitaprs plusieurs siclesde confidentialit.Pourquoi ce vocable

    de Spagyrie semble-t-il si nouveauet si trange nos contemporains,alors que, plus rcente, lhomopathieest dsormais passe dans le langagecourant, malgr les polmiques quialimentent rgulirement les revuesscientifiques? Cela semble vraiment pa-radoxal surtout si lon sait quelhomopathie a repris son comptebeaucoup de concepts issus de la spa-gyrie comme la loi des semblables.Il y a de nombreuses de raisons pourexpliquer cette discrtion de la Spa-gyrie au niveau du grand public.

    La premire raison est que la Spa-gyrie est un art rellement difficile etquil ny aura donc jamais dindus-trie spagyrique. Le travail spagyriqueest un art rigoureux calqu sur lesrythmes de la Nature. Une plante nedlivrera jamais son lixir Spagy-rique au dbott, pour satisfaire unecommande pressante Llixir estluvre dun authentique mrisse-ment sous la conduite experte dunartisan spagyriste, matre du Feumais du Feu enclos dans la Matire !

    La deuxime est le lien troit quiunit Alchimie et Spagyrie. Ces deux

    sciences sont intimement lies etpartagent une mme vision de laNature et de lUnivers. Au cours dessicles, la Spagyrie a donc d subirles affres de nombreux obscuran-tismes : dabord le religieux, puis lescientifique ! Cela suffit expli-quer son ternelle discrtion. Mais saforce a travers les sicles intacte,vhicule par des petits groupes dechercheurs ou des personnalits soli-taires mais efficaces.

    La littrature alchimique a tconsidrable travers toutes lespoques et elle a passionn les plushauts esprits que le monde ait connu,y compris dans les sicles rcents :Newton, Pascal, Descartes plusrcemment encore les Curie esp-raient trouver la Pierre Philosophaledans les terres rares

    Le Spagyriste le plus connu estPARACELSE, mdecin suisse de laRenaissance qui connut une vie tu-multueuse. Sa tentative pour rnoverla mdiocrit de la mdecine de sonpoque lui valut de nombreux enne-mis, do une vie derrance parsemede gurisons spectaculaires dans lesvilles qui laccueillaient reu par lesprinces, puis chass par ses con-frres jusqu sa mort mystrieuseen 1541. Ses crits sont denses etdifficiles, mais ils demeurent toujoursbrlants dactualit lheure o se r-

    veillent de nombreuses mdecinesdites nergtiques. Paracelse taitalchimiste, sans doute dj initi trsjeune par son pre, lui mme mde-cin. En lui sincarne idalement laMdecine Hermtique, mdecinetraditionnelle de lEurope.

    Lalchimie na jamais t une re-cette pour faire de lor. Cest surtoutune recherche de la comprhensiondes lois de lunivers, de ce qui peutbien se trouver derrire la partie vi-sible, chimique et physique de la ma-tire ou de ce que lon croit tre lamatire sous son apparence inerte.De l provient le langage difficile,toujours symbolique, employ par lesAlchimistes au cours des sicles.

    LAlchimie tudie la Vie, celle duminral, de la plante ou de lHomme !Elle ne pouvait donc que sintresser lart mdical, la sant de lHom-me, reflet de son harmonie et de sadynamique intrieure !

    DCOMPOSER ET RECOMPOSER

    Sparer et runir, telle est ltymo-logie du mot Spagyrie. Autrement dit :dcomposer la Vie, la dbarrasser deses impurets, puis la recomposer unniveau suprieur dvolution Vasteprogramme dont lArchtype est lePhnix, cet oiseau mythique (symbo-lisant la Pierre Philosophale) qui meurtet renat de ses cendres.

    Dans son laboratoire, le spagyristeva essayer de mettre en pratique un sinoble et si difficile programme pardes oprations mystrieuses mais trsrelles et qui ont pour nom : putr-factions, fermentations, distillations,sparations, calcinations, cohoba-tionsLe Soufre Vgtal

    Les trois Principes

  • 6VISION TRI-UNITAIRE DES TRESVIVANTS

    Pour le spagyriste lUnivers esttriple ; son unit se manifeste dans latriplicit. Chaque tre vivant (unhomme, une plante, un minral aufond de sa mine) est compos detrois Principes : le Mercure, leSoufre, le Sel. Ces trois Principessont indissolublement lis pendant lavie ; ils ne pourront tre spars quepar une mort.

    Le Mercure est un principe de vo-latilit : il a tendance schapper,surtout sous laction de la chaleur. Aucontraire, le Sel est un principe defixit : il rsistera de trs hautestempratures. Le Soufre est repr-sent par des corps gras, odorif-rants : lhuile essentielle des plantescorrespond ce principe Soufre.Pour lextraire, il a fallu que la plantese meure et libre son huile essentiel-le sous laction de la vapeur brlantede lalambic. Si on abandonne les r-sidus de la plante dans un tonneau,dans des conditions favorables, unefermentation se produira. Le Mercu-re commencera se rvler sous laforme dun alcool trs volatil quilfaudra rcuprer par une douce dis-tillation en cornue. Si on calcine lesrestes de la plante aprs lavoir des-sche, on obtiendra des cendres pr-cieuses, qui livreront par la suite unbeau sel, blanc ou dlicatement colo-r, riche de lensemble des sels min-raux assimils et vgtabiliss par laplante dorigine.

    Le Spagyriste a donc spar ! Illui reste, si on peut dire, purifier sestrois Principes et les recombiner

    entre eux, par une dlicate cohoba-tion, au jour et lheure voulus enfonction des ncessits de la plante etdes caractristiques de sa signature.

    Si lopration russit, il obtiendraalors llixir de la plante ou Quintes-sence vgtale1. Cet lixir possderatoutes les qualits de la plante dori-gine mais exaltes et dynamises versun autre palier, vers une autre des-tine thrapeutique, par le travail auFeu du Laboratoire.

    LES TROIS PRINCIPES DANS

    LHOMMEPour lalchimiste, ltre humain est

    compos des trois Principes. Cette vi-sion ternaire a toujours exist danslhistoire de lhumanit et se retrouvesouvent dans diffrents systmes m-dicaux qui justement sinspirent de laTradition Hermtique. Cette Tradi-tion Hermtique reprsente tout sim-plement lAlchimie, par rfrence Herms, Dieu Alchimiste auteur dela clbre Table dmeraude quinous dit en substance :

    Ce qui est en Haut est comme cequi est en Bas , variante du clbre Tout est en Tout .

    Judicieuse remarque ! En effet, ler-reur serait de se reprsenter ces TroisPrincipes dune manire bien tropstatique et rigide. De ny voir, danslhomme comme dans les mtaux,quun amas de composs chimiquessur lesquels on aurait coll dessusune cosmogonie pour agrmenter letout dune vision potique.

    Les anciens lavaient bien comprispuisque le nom mme des Principesest une allusion leurs qualits in-trinsques. Par exemple dans le Ci-nabre (sulfure de mercure de couleurvermillon), trs apprci dans lAl-chimie indienne, on pouvait extraire,par simple mtallurgie, deux prin-cipes sous la forme des corps chi-miques connus : le soufre jaune et lemercure coulant qui ont ainsi laissleurs noms aux principes (ou rci-proquement) !

    Il semble, en fait, que ces Principessoient de nature fractale, cest--dire quils ne seront jamais relle-ment dcomposables. Un objet frac-tal est un objet dont une de sesstructures se rpte indfiniment,presque lidentique, quelle que soitlchelle de lecture. Par exemple lacte bretonne qui est dentele,quon lobserve depuis un satellite ouau cours dune promenade. Cest aus-si le cas dun hologramme : prenezune photo hologrammique duncorps humain et coupez un petit mor-ceau du ngatif, par exemple la zonedu pied. Si lon agrandit ce petitmorceau, quy verra-t-on ? Le pied ?Non, le corps en entier ! Chaque par-tie dun hologramme possde en luila totalit des informations. Tout esten Tout !

    Ainsi pour les Principes : on nac-cde qu une certaine image de leurralit, qui sera plus ou moins gros-sire ou fine suivant lchelle de lec-ture. On ne pourra donc jamais tota-lement les rduire des corps

  • 7chimiques connus, un momentdonn, comme lorsquon a affirmpar simplification : le soufre de laplante est son huile essentielle. Aumieux, on pourra dire que le soufresexprime au travers de son huile es-sentielle qui magntiquement a lescaractristiques du Soufre.

    Ces trois Principes sont-ils une cer-taine forme dnergie, un certaintype de vibrations ? Probablement,mais seulement si on sen tient unecertaine vision rationnelle et doncquelque peu simpliste du monde.

    Je dis simpliste car lapproche pu-rement physique et nergtique, voi-re lectromagntique du monde, trsutile au demeurant, ne permet pour-tant pas de rpondre des questionscomme : Quelle est la composi-tion ou la nature de la Pierre Phi-losophale ? . Cette question estdailleurs absurde et devrait per-mettre, dans son absurdit mme, desaisir la nature en partie dlocalisedun tel objet, si lon peut dire D-localise, cest--dire quune partie deses caractristiques ou de ses fonc-tionnalits (ce quon traduit intuiti-vement par nergie) nappartientplus depuis longtemps notre uni-vers local. Il en va de mme pour lesremdes qui agissent autrement quepar leur simple composition chi-mique, comme les lixirs spagyriques.

    Cet aspect des choses a toujourst pressenti par les Anciens. Il est

    plus ou moins bien traduit, danslHomme, par le concept des corpssubtils, ces corps qui sont de plusen plus thrs selon leur niveau etquon retrouve dans diverses Tradi-tions, souvent orientales. On les re-trouve aussi, plus rcemment, dansnombre de mdecines nergtiquesqui explorent, dailleurs habilement,ces diffrents corps dans leur re-cherche sur la causalit des maladies.

    Dans cette dynamique, on pourraconstater que le principe Sel danslHomme sexprime par son corps phy-

    sique qui est dailleurs le seul a tre engrande partie localis. cest--dire quilest le seul rpondre, plus ou moins, la logique de notre monde local,celui qutudie la physique (mme laplus avance) et quutilise la mde-cine moderne de nos hpitaux.

    Le Mercure dans lHomme sex-primera par le corps motionnel oucorps astral, sige de nos motions.Le Soufre sexprimera par le corpsmental, lieu de nos agitations men-tales et intellectuelles. Il est facile decomprendre que, si dans ltre hu-main il ny a pas une parfaite coh-sion et harmonie entre ses trois Prin-cipes, une quelconque maladie finirapar se manifester. Ltre humain surcette terre nest pas seulement uncorps, (un tas de viande en sursis), niun pur esprit prisonnier dans la lour-deur dun corps grossirement ma-triel.

    Ltre rellement ralis dmontreune parfaite union et cohsion de sestrois Corps ou trois Principes ; alorsseulement on pourra dire quil EST.Dans ces instants le TOUT (ce quilEST), est incomparablement sup-rieur la somme de ses parties.LAlchimiste essaye donc de faire surlui-mme ce quil ralise aussi dansson laboratoire, sur ses Matires :il prend des matires l o la Natureles a laisses, pour les pousser versune perfection toujours plus grande.De l provient le mythe tenace dufaiseur dor, lor tant le mtal qui ale plus volu naturellement. Car,

  • 8pour les alchimistes les mtaux vo-luent petit petit en se transmutantde lun en lautre

    On pourrait se demander, proposdes Raliss, ce quils deviennent,ce qui se passe aprs (leur Vie ouleur Mort). Mais cest peut-tre unequestion qui, encore, na pas de sensquels que soient les tmoignages sup-poss doutre-tombe ! Il est intres-sant, pour lanecdote, de constater queles personnages les plus tonnants delHistoire donnent limpression dentre jamais morts : Mose, le Christ,les Immortels Chinois Ils sontpartis en emmenant leur corps ;doit-on croire quils se sont envolsavec leurs trois Principes indissolu-blement unis dans leur perfection !?

    Curieusement, les alchimistescherchaient en travaillant sur la Pier-re Philosophale obtenir un lixirde longue vie cens leur donnerlimmortalit ! Ainsi le fameux Nico-las Flamel, bienfaiteur du quartier dela tour St Jacques Paris, au Moyenge. En ouvrant son cercueil, ltonnement gnral, on ny auraitretrouv quun morceau de bois

    COHSION ET THRAPIE

    Revenons sur terre la poursuitedes trois Principes ! Si lon a une orien-tation thrapeutique et si lon souhai-te agir dune manire globale sur leurcohsion, il est bon dutiliser des re-mdes qui soient penss et ralissdune manire globale et qui soienteux-mmes composs harmonieuse-ment des trois Principes ! Sinon, lac-tion thrapeutique ne seffectuera quesur lun des aspects du problme, parexemple un aspect Mercure, quonpourra traiter plus ou moins efficace-ment par un remde plutt Mercure,cest--dire trs dmatrialis commelhomopathie ou une psychothrapie.

    Un problme physique requiert-ilun remde Sel, comme un mdica-ment allopathique ou des oligo-l-ments ? Parfois oui, mais on ne peutpas extrapoler ainsi dans une visiontoujours partielle de ltre humain : ya-t-il des maladies uniquement phy-siques qui soient sans implications,origines ou consquences sur lescorps subtils, donc sur les Principes ?Seuls, quelques jeunes mdecins fra-chement diplms pourront avalerune telle couleuvre

    En auriculomdecine, il sera pos-sible dapprcier les diverses dyshar-

    monies sur les trois Principes et deremonter dans la structure fractalepour trouver le remde spagyrique adhoc qui convient tel patient, unmoment donn, et dans la synchroni-cit quexprimera tout son tre

    LABORATOIRE

    Revenons au Laboratoire, car laSpagyrie ne peut se concevoir sanstravail assidu auprs de la matire.On ne fera jamais, partir dun ex-trait de plantes, mme excellent, unlixir spagyrique par la grce dunesimple prire, fut-elle canonique, oupar la projection astrale voirementale de son ego

    La calcination est une des clefs es-sentielles de la Spagyrie. Cest par leFEU que seffectuera la purificationdes Principes, commencer, bien sr,par les sels de la plante. Dailleurs,tymologiquement, purifier veut direpasser par le Feu. Mais de quel feusagit-il ? Les Alchimistes nous disentque leur Feu est excit par le feuvulgaire (celui qui brle), il veulent

    ici faire allusion au Feu inclus dans laMatire, lun des Quatre lmentstraditionnels que sont la Terre, lEau,lAir et le Feu.

    Ces concepts, symboliques, nontpas de sens dun point de vue scien-tifique. En physique, chaud et froidsont relis sur une chelle de mesuredes tempratures : chaud et froid sontantinomiques. Pourtant, dans la litt-rature Alchimique, on trouvera desFeux Froids, ou bien des Eaux quine mouillent pas les mains ! On voitbien que ces symboles sont des allu-sions des proprits tranges qui nerelvent plus de la physique habituel-le, comme dailleurs la plupart desconcepts concernant le vivant. Onpourrait bien sr ny voir que desbilleveses, ne dit-on pas que Para-celse, de mme que son confrre etami Rabelais, aimait bien user de laDive Bouteille !? Cest, hlas, cetype de raisonnement qui prvaut de-puis des sicles et sur lequel a tou-

    Test dun remde Spagyrique en auriculomdecine

  • 9jours but lAlchimie : le Tout a nesont que des sornettes davant laScience a remplac depuis deux outrois sicles le Ceci est contraire audogme de lglise grand pour-voyeur de cendres sur les bchersdune certaine poque. On remar-quera pourtant que beaucoup delivres sacrs, telle la Gense, sont latraduction des Archtypes Universelsauxquels fait rfrence lAlchimie. Sa-chons aussi quil y eut pourtant unpape alchimiste (Jean XXII), sanscompter les scientifiques minentsqui sy sont passionn et sy passion-nent toujours (en secret) !

    RENOUVEAU EN MDECINE

    Cest probablement grce lArtmdical quun renouveau se fera danslesprit du public lequel percevra demieux en mieux limmense intrt dela Spagyrie. Lhypertechnologie quicaractrise la mdecine de notrepoque, malgr ses exploits magni-fiques et le nombre de vies humainessauves, a paradoxalement mis en re-lief une impuissance et un vide consi-drable en ce qui concerne 80 % desmotifs de consultations. Heureuse-ment, ce vide se comble petit petitgrce lessor de nombreuses m-decines complmentaires ou nerg-tiques qui sintressent la globali-t de ltre. Ces conceptions ontsouvent t labores par des cher-cheurs talentueux qui ont bien com-pris que ltre humain ne se rsumaitpas des ractions biochimiques, fus-sent-elles complexes. Cest le cas delhomopathie, de lauriculomdeci-ne et de ses drives, etc. Dautresviennent directement des enseigne-ments conservs intacts par les M-decines Traditionnelles Chinoises, Ti-btaines, Indiennes, arabes, etc.

    Gardons-nous, au vu de ces ma-gnifiques redcouvertes, de critiquerce qui est le lot quotidien dans la plu-part des cabinets mdicaux, savoirlquation : tel symptme = tel m-dicament. Le mdicament est une

    aide bien prcieuse ! Cependant, ilsemble defficacit assez limite au vudu nombre des malades chroniquesqui tranent pendant tant dannesleurs souffrances et leur mal-tre plusou moins indfinissable mais dont laralit ne fait aucun doute pourceux qui en font les frais.

    POURQUOI SOMMES NOUS

    MALADES ?Cette question est fondamentale !

    Elle sera dautant plus atrocementpressante que nous serons face desenfants atteints de maladies trs graveset dont la souffrance nous rvolte.

    Essentiellement, quand on tombemalade, le symptme, quel quil soit,est la traduction dune dysharmonie,dun manque de Cohrence, dsor-mais visible, dans linextricable en-chevtrement de nos trois Principes ;dans la cohsion, la cohrence entrenotre corps physique et nos motionset notre mental dont lensemble formenotre individualit qui, seule, peut pr-tendre une certaine spiritualit

    Cette dysharmonie peut trouverson origine pendant la grossesse, oubien mme avant celle-ci, car cer-taines mmoires se transmettent degnrations en gnrations et peu-vent se ractiver tout moment pourune raison ou une autre. Bien enten-du, lhistoire du malade sera riche deconflits2 plus ou moins larvs, denon-dits, de stress et mesquineries di-verses qui fragilisent petit petit etqui pourront expliquer bien deschoses. De plus notre poque ne feraquaggraver ces terrains, par demultiples pollutions insidieuses, dans

    lair, dans leau, dans lalimentation,mais aussi par les nombreuses vacci-nations, etc. Les pollutions les plusgraves ne sont dailleurs pas forc-ment les plus spectaculaires ; les pirestant celles qui nous atteignent notre insu, dans nos motions, nospenses et qui nous transforment pe-tit petit en pantins.

    Mais dans cet arsenal de causes etdeffets possibles, o est la cause eto est leffet ? Il ny a que la penserationnelle pour pouvoir btir ainsiindfiniment une dialectique sur leschma de la cause qui engendre uneffet. En fait Cause et Effet ne fontquUN. Ils ne forment quune seulestructure qui merge dun seul blocdans notre univers local. Tout com-me les Trois Principes sont Cause etEffets ensemble et mergent duneralit qui nous est trs peu acces-sible : notre tre profond, parexemple, si lon veut tout prix luidonner un nom.

    Le Chemin de la Gurison, lequelest-il ? sinon celui qui nous mne enconscience vers un petit peu plus deLibert en nous dbarrassant de cer-taines mmoires ou programmationsqui altrent la cohrence de nos troisPrincipes et qui font que noussommes finalement trs peu nousmme, combien mme nous nous ju-gerions bons ou spirituels ?

    DANS LOREILLE

    Lhologramme humain se retrouvedans toutes les somatotopies, cest--dire toutes les cartographies mises aupoint par diffrents chercheurs, par

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    exemple sur la plante des pieds, lesdents, loreille, liris On y retrouveune correspondance avec tous les or-ganes du corps.

    Lauriculomdecine, par dfinition,sest beaucoup intresse loreillegrce son inventeur, le docteurNogier. Mais la contribution la plusfantastique de Nogier a t la dcou-verte dune prise de pouls trs parti-culire qui permet dapprcier ltatnergtique du patient. Ce qui aouvert lauriculomdecine vers desperspectives3 les plus globales et lesplus riches qui soient. ce jour, cettemdecine na plus grand chose voiravec loreille sinon son nom.

    Ltude du pouls a permis de mettreen vidence sur loreille trois carto-graphies diffrentes. On sait que chezlembryon, la premire cellule don-nera naissance trois types de tissus :lun, lectoderme, formera la peau etle systme nerveux, dont le cerveau,sige de la pense. Le deuxime tissuformera les poumons et les muscles.Le troisime sera formateur de tousles organes digestifs. Nous retrouvonsl nos trois Principes. Ltude ner-gtique de loreille par le pouls selonNogier permet de retrouver ces troisphases, imbriques comme unestructure fractale. Concrtement, on ob-serve trois localisations possibles pour

    reprsenter chaque organe sur loreille.Chaque organe, par exemple un foie,aura dune part une localisation quicorrespondra lorgane physique dufoie, mais, dautre part, on trouveraaussi une localisation plus fonction-nelle : laspect motionnel li au foie.Enfin il existe un troisime lieu osexprimera laspect mental li au foie.

    Encore et toujours les trois Prin-cipes !

    Peut-on traiter un organe sans agirsur ses trois composantes Sel, Mer-cure et Soufre et par une mdecinequi ne soit pas en analogie avec lestrois Principes ?

    SOLEIL ET LUNEAu laboratoire, le Spagyriste devra

    conduire son travail en se guidant surles deux luminaires que sont le Soleilet la Lune. Les rythmes ont une im-portance primordiale dans tous lestravaux concernant la Nature. Parexemple, suivant la plante mdicina-le choisie et sa signature, le travailne commencera pas le mme jour.

    Voici une gravure tire dun c-lbre livre dAlchimie en images, leMutus Liber, datant du XVIIe sicle.Cette gravure insiste sur limportancedu soleil et de la lune au cours de tra-vaux bien curieux : on y voit uncouple dalchimistes occup cueillirla rose, ici gnreuse et frache. Cet-te rose semble avoir t pralable-ment expose, de nuit, une sortedinflux de rayons cosmiques.

    La lune, cest bien connu, renvoiesur terre les rayons solaires en les po-larisant. Cependant, si lon tudie at-tentivement la gravure on saperoitque Soleil et Lune sont cause et ef-fet lun pour lautre, leur dualit sef-face au profit dun troisime terme in-accessible rationellement. uncertain moment de lanne le syst-me ainsi voqu merge dun dca-laire ; ce que lon dtecte dans unecertaine rgion du ciel. Du fait decette mergence, certaines propritsdeviennent accessibles ; elles se rv-lent. Un dcalaire4 est une structurequi nest pas relie lespace-temps ;par contre certains repres peuvent

    sy localiser petit petit et appa-ratre dans notre univers habituel.

    La rose ainsi expose nest plusune rose anodine : elle a rcuprdes fonctionnalits nouvelles qui semanifesteront peut-tre dans cer-taines circonstances selon le travailau laboratoire et lhabilet de lop-rateur manier certains paramtres.

    QUEST-CE QUUN LIXIRSPAGYRIQUE ?

    Do viennent les proprits dellixir spagyrique ? Pour tenter dex-pliquer sa puissance thrapeutique, ilfaudra respecter ce qui compose saglobalit, cest--dire lunion des troisPrincipes en un nouvel tre vivantqui constitue la vraie nature du re-mde. Mais il faut tre conscient quece qui fait llixir, la ralit de l-lixir, chappera peut-tre toute rai-son mais non pas toute Intelli-gence !

    Il est dj difficile de comprendrecomment marche lhomopathie, lavraie, au del de 12 CH (quand il nya plus de matire) ! Alors commentcomprendre les subtilits de la spagy-rie La spagyrie a cependant unavantage qui ne peut quattirer verselle les exprimentateurs : llixir estmatriel dans un au moins de sesaspects.

    LA MATRIALIT DE LLIXIRDe par son mode de fabrication, la

    Spagyrie pourrait tre considrecomme une super phytothrapiepuisquelle intgre tous les consti-tuants biochimiques de la plante m-dicinale. Elle rassemble en elle tous

    Filtres utiliss en auriculomdecine

    Lhomme dans loreille. Ici la Phase 1qui correspond au Corps Physique etau Principe SEL

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    les principes actifs de la plante, ceuxquon trouve dans les teintures, lesextraits fluides ou les glules deplantes en poudre. Donc, on pourraitdire quelle est au moins cela, aveclavantage dune qualit de fabrica-tion irrprochable. On retrouve aus-si dans llixir laspect Huile Essen-tielle de la plante (videmment pourcelles qui en sont riches) : cest sonPrincipe Soufre. Mais surtout on re-trouve dans llixir tous les sels mi-nraux de la plante, et exactement lesSels qui proviennent de la mmeplante du dpart, donc en parfaiteharmonie avec lextrait de la plantequi servira la conjonction.

    Lessor actuel de loligothrapie estindiscutable. Il est dmontr que laprsence de la plupart des sels min-raux sous forme de traces est indis-pensable au bon fonctionnement delorganisme car ils agissent en tantque catalyseurs. Sans ces oligol-ments, de nombreuses et vitales rac-tions biochimiques ne pourraientavoir lieu, ou du moins seraient bienmoins efficaces. Leur prsence est in-dispensable, mais l aussi il faut dessels minraux vivants afin que lor-ganisme puisse les assimiler directe-ment sans avoir les alchimiseravant de les utiliser, ce qui serait lecas pour des sels minraux indus-triels. Les anciens savaient trs bienquun corps chimique, mme trssimple comme un sel mtallique, napas les mmes proprits suivant saprovenance ou son mode de fabrica-tion. Cet extrait du livre de Von BER-NUS, Alchimie et Mdecine, estsuffisamment loquent :

    (les Alchimistes) ne savaientpas que le sal tartari obtenu par lacalcination du tartre avait la mmeformule (chimique) que la potasseprovenant de la combustion et lixi-viation de lcorce de chne ou denimporte quelle autre plante (armoi-se, romarin, etc.), mais ils savaientfort bien que le sel provenant desfeuilles et des glands du chne estefficace contre lhmaturie, que le selextrait du romarin fortifie le cur, ,que le sel darmoise est bon pour lesfivres, etc. On voit donc que cesdiffrents sels de plantes possdent lemme champ daction que les consti-tuants organiques des plantes en-tires, bien que la formule chimiquede la potasse reste toujours K2CO3,

    quelle que soit la plante dont elleprovient.

    Les sels et mtaux extraits duneplante possdent la mmoire de lUni-t de la plante dorigine. Cest ce quatrs bien compris lAnthroposophiedepuis de nombreuses annes : un m-tal mtabolis par une plante est trsdiffrent du mme mtal issu de lin-dustrie. Bien entendu sur un plan th-rapeutique, car lanalyse chimiqueils seront identiques ! Ce qui dmontreque laspect chimique nest quun desaspects pour dcrire ce quon appellele VIVANT.

    LASPECT VIBRATOIRE DE LLIXIRDes chercheurs, et non des

    moindres, se sont penchs sur cettequestion primordiale de limportancedes ondes lectromagntiques dans lefonctionnement des systmes vivants.Il est certain que ces recherches qui re-mettent beaucoup de choses en ques-tion seront et sont dj la base de lamdecine du troisime millnaire.Beaucoup de ces recherches ont tle fait de chercheurs isols. Cest lecas de Georges Lakhovsky qui, dsles annes vingt, pouvait affirmer lasuite de ses travaux que :

    La Vie nat de la radiation,La Vie est entretenue par la ra-diation,La Vie est supprime par toutdsquilibre oscillatoire.

    On comprend donc que la mala-die puisse trouver son origine dansdes dfauts de communication lec-tromagntique entre cellules et or-ganes. Cest ce qua pu dmontrer F.A. Popp : les cellules et les organescommuniquent entre eux grce deschamps cohrents dondes lectro-magntiques, cest--dire des vibra-tions. Des changes dinformationspar ondes radio sont donc indis-pensables entre les cellules pour as-

    surer le bon fonctionnement de lor-ganisme. On comprend aismentque, sil y a des erreurs dans les in-formations changes (ou bien si unorgane nest pas cal sur la bonnefrquence), ce peut tre lorigine dunprocessus pathologique qui ne pour-ra tre corrig quen agissant sur lori-gine vibratoire du problme.

    Le pouls dauriculomdecine estune des mthodes qui permettentdtudier les compatibilits lectro-magntiques entre un patient et unremde. Prcisons que la puissancedu rayonnement utilis par les cel-lules est extrmement faible, bien in-frieure aux missions de tlvisionqui nous traversent. Ce ne sont pas lapuissance ou lnergie qui sont im-portants mais la cohrence du signalqui va tre peru par la cellule oulorgane, qui il manque comme unmorceau de programme, un bout decode, pour fonctionner correcte-ment.

    Voll, mdecin allemand, a montrgrce un appareil de son cru (orga-nomtre) que ces informations circu-

    Appareil MORA

    Une mesure au MORA

  • laient, entre autres, dans les mri-diens dacupuncture et quil tait pos-sible de tester ltat nergtique deces mridiens. De plus il a aussi mon-tr que les mdicaments (et surtoutdes remdes subtils comme lho-mopathie) taient des metteursdondes capables de corriger par leurssimples missions des mridiens per-turbs ; condition naturellementdavoir trouv le bon remde.

    Ltude des lixirs spagyriques laide dun appareil comme celui deVoll ou bien du systme MORA per-met dobserver lextrme intrt de cesremdes pour restaurer la dynamiquevibratoire des tres vivants dans laplupart des perturbations nergtiques.A laide denviron 180 remdes uni-taires raliss partir de vgtaux clas-siques, il est possible de venir boutde la plupart des blocages nergtiquesdes mridiens, selon les diffrentesmesures effectues au Mora. Cela veutdire que les lixirs spagyriques met-tent un spectre dondes biophysiquesparticulirement large et cohrent avecles informations vitales que ncessitele corps humain pour fonctionner cor-rectement. Ce spectre nest pas limitaux informations ncessaires sur leplan physique, mais il est suffisam-ment large pour rtablir aussi des in-formations dfectueuses sur le niveaumotionnel ainsi que sur le mental.

    ASPECT DLOCALIS DE LLIXIR

    Nous avons vu que llixir spagy-rique rpond parfaitement aux be-sions thrapeutiques de notre tempspar ses qualits biochimiques et par

    son potentiel lectromagntique.On peut cependant se demander sices deux points de vue, parfaitementrationnels, sont suffisants pour d-crire toutes les subtilits de la VIE,dans toute ses manifestations.

    Il semble que non et que, pour al-ler beaucoup plus loin dans ce typede recherche, il soit ncessaire dtu-dier certaines structures dun mon-de non-rationnel, dlocalis ; cest--dire un monde qui chapperait, pardfinition, toute notion de mesure.Il semble que notre monde habituel,rationnel, ne soit quune mergencede ce monde non-rationnel. Dans5

    ce monde la notion de cohrenceserait beaucoup plus oprative que cequi est explor habituellement parnotre pense rationnelle avec les ou-tils de la logique Aristotlicienne etdu concept trs fig dEspace-Temps.

    Les Alchimistes, par leur langageimag et symbolique, faisaient allu-sions aux oprations trs prcises faire dans ce monde non-local etqui pouvaient enrichir ensuite notremonde habituel par des proprits as-sez curieuses, voire mme complte-ment ahurissantes

    Si lon admet que ltre humain esttrs peu localis, cest--dire que laplupart de ce qui fait sa richessenappartient pas notre univers lo-cal, on conviendra de lextrme int-rt dtudier des remdes qui agissentsur cet aspect dlocalis.

    Il nest pas excessif daffirmer quecertaines civilisations anciennes quinont pas driv vers un matrialisme outrance matrisaient quelque peuce domaine non-rationnel (qui neveut pas dire irrationnel). Je pense enparticulier lgypte, non pas l-gypte des initiations de pacotille quifleurissent dans nos grandes villes,mais lgypte dHliopolis, la cit duSoleil, o lon tudiait lAlchimie.

    Dans un monde non-local, la no-tion de Forme est beaucoup plus im-portante que le concept dEspace-Temps. Ce qui nous permet de saisirtoute la subtilit de cette remarquedun Alchimiste :

    Il convient ltude de lArt Spa-gyrique dapprofondir les raisons quiont guid les matres dans lemploides divers alambics, car il y a lieu decroire que la forme de leurs vaisseauxrsultait dune conception trs diff-

    12

    Cohobation laidedun vase Plican

    Stle visible Hliopolis, au Caire, et montrantde curieuses oprations de laboratoire

  • rente de celle quont aujourdhui noschimistes.

    Si les anciens utilisaient lalam-bic dit tte de maure cest aussipour imiter la Nature, do la nces-sit dun dme rond, en rappel de lavote cleste de notre plante.

    TROUVER LE BON REMDE

    Trouver le remde adquat est vi-demment un choix difficile qui d-pend de la comptence du mdecinou du thrapeute. Lidal est videm-ment une recherche individualisepour chaque patient en fonction deson histoire et non pas de chaquesymptme : on soigne des patients etjamais des maladies. La dynamiquetotale dun patient ne peut sappr-hender que par une mthode qui estdirectement branche sur le Vivant.A lheure actuelle, ces mthodesprennent un certain essor. Cest le casde la radiesthsie, les pouls, la Mora-thrapie, la kinsiologie, et biendautres probablement.

    Cependant, laccs de la Spagyriene doit pas tre rserv qu ses seulspassionns ! Cest pourquoi un im-portant travail est effectu actuelle-ment pour rendre la Spagyrie acces-sible tout un chacun. Cette dmarchea permis la cration dune gamme decomplexes dont la composition spa-gyrique a t teste pour rpondre auxbesoins les plus courants. Nos re-cherches passent aussi par une tudeapprofondie et nergtique desplantes Spagyrises, car il ny paspour la Spagyrie de matire mdica-le suffisamment complte. Certes, laphytothrapie classique est dune aideprcieuse pour commencer, mais elle

    ne rend pas compte du potentiel th-rapeutique des simples prparesselon les rgles rigoureuses de lArtSpagyrique. Par exemple, Hibiscussabdariffa est rput comme anti-spasmodique gastro-intestinal mais,par lArt spagyrique, son domaine dac-tion se rvle singulirement largi. Ilagit aussi sur les mridiens du Foie,du Cur et du Rein.

    Il ne sagit pas dans ce petit expo-s o nous navons fait queffleurerlessence mme de la Spagyrie de fai-re lapologie dune nouvelle mdeci-ne miracle. La seule vritable mde-

    cine est celle qui agit sur nos propresprisons intrieures, quelles soientphysiques, motionnelles, mentalesou spirituelles. Si la Spagyrie, par lapuissance des Archtypes quelle v-hicule en elle, est apte rvler etdissoudre ces blocages internes, seul,le patient, par la conscience de cequil est, possde les clefs de sapropre gurison.

    La Spagyrie est et doit rester uneVoie vers la Libert, quelles quesoient les prises de conscience quecette Libert impose

    Daniel FLEURY

    13

    (1) On pourra transposer ce qui est dcrit ici (sur le vgtal) au rgne minral. La Spagyrie Minrale, do-maine immense, est trs proche de lAlchimie, car llaboration de la Pierre Philosophale se conoit par-tir dun Minral lu. En Spagyrie Mtallique, les transformations chimiques sur le minerai (oxydations,etc.) servent de support pour la mise en vidence progressive des 3 Principes. Ici, (encore plus quailleurs ?),loprateur doit absolument prendre dinfinies prcautions pour matriser ce qui se passe sur lautre ver-sant de ses manipulations mtallurgiques, afin dviter quil ne gnre et ne propage de lincohrence dansson environnement. Certaines oprations dites Alchimiques sont un niveau de subtilit assez incroyableet laissent rveurs devant linterprtation qui doit tre faite des Textes des Anciens Matres. Cest pourquoilAlchimiste fait toujours preuve dune extrme prudence dans ses expriences comme dans ses propos.Un transfert total, ou dautres phnomnes, peuvent apparatre entre certains matriaux et lOprateur lui-

    mme, ce qui explique la discrtion de certains Alchimistes, souvent draps dun nbuleux secret, au su-jet des proprits thrapeutiques de leur Pierre, celles-ci nayant de sens vritable que pour eux-mmes.Notons, pour qui ne veut quitter le solide et rassurant terrain rationnel, que la science moderne est loin

    davoir explor et compris toutes les subtilits de la physico-chimie des matriaux qui nous entourent(dailleurs le souhaite-t-elle vraiment ?). Il nest que voir les travaux sur les transmutations basses ner-gies de L. Kervran, ou, trs rcemment, les exprimentations tonnantes dA. Cau sur la fusion chimiquedlments superlourds, ralises avec des moyens matriels extrmement modestes.(2) Voir les travaux du Docteur Hamer.(3) Voir les recherches sur lhologramme nergtique du Docteur Grospas.(4) Le concept de dcalaire a t dcouvert simultanment mais sparment par deux chercheurs franais

    dont Jacques Ravatin, docteur es Sciences. Lexpos des travaux de J. Ravatin sur les systmes non-cart-siens et la trs dlicate notion de cohrence se trouve dans Thorie des Champs de Cohrence, di-tions Lacour, 1990.(5) Il sagit l, bien sr, dune image qui frise labus de langage ! En effet, labsence de repres qui caract-

    rise ce monde exclut totalement toute notion dappartenance. On ne peut quy constater des relations,des assemblages En aucun cas on ne peut y effectuer la moindre mesure moins de retomber artifi-ciellement dans lapproche rationnelle.

  • Cristallisation sensibledune prparation Spa-

    gyrique : IMUNLIX(prparation pour boisson).

    On observe lharmonie dela structure et la densit de

    la trame cristalline quidmontrent la qualit irr-prochable du produit, ainsi

    que labsence de toutemolcule de synthse (pes-

    ticide ou autre)(Cette analyse qualitative,

    par cristallisation au sel decuivre, a t ralise par le

    laboratoire BIOPHYSIS)

    Photographie : Laboratoire BIOPHYSIS

  • 15

    LA SPAGYRIECre il y a cinq sicles par Para-

    celse, et, jusqu nos jours utilise engrand secret par les alchimistes, laSpagyrie constitue pourtant une ap-proche de lHomme qui se rvleraitactuellement dun grand secours.

    Or, sa divulgation est prcismenten cours, puisque Toni Ceron, cher-cheur dans ce domaine mystrieuxdepuis plus de vingt ans, vient delancer sur le march une importantegamme de produits alimentaires spa-gyriques de trs haute qualit.

    Mais, attention ! La Spagyrie nestpas du tout une mdecine naturellede plus ! Elle saccompagne, en fait,dune approche spirituelle des plusessentielles ; Toni Ceron a bien voulunous en dvoiler les arcanes...

    Peut-tre serait-il bon de rappe-ler ce quest lAlchimie... puisque laSpagyrie en est directement issue ?

    La Spagyrie nest, effectivement, niplus ni moins que lapplication thra-peutique de lAlchimie. A ce titre, ellereste alchimique et, partant, spirituelle.

    tymologiquement, le mot Alchi-mie se dcompose en Al qui veutdire Dieu et en Kemia qui signifieterre noire, ce qui semble vouloirnous faire comprendre que la Lumirespirituelle surgit partir de la plus gran-de matrialit. Toutefois, Al kemia est la fois un travail matriel qui conduitau divin, mais aussi un travail matriel la main de Dieu, autrement dit, la ra-lisation dune unit entre lEsprit et lamatire en suivant un ordre harmo-nieux conu par Dieu.

    Mythologiquement, lAlchimie estlie Herms, le trois fois grand, ce-lui qui runit les trois principes uni-versels que lon retrouve, par exempleau niveau du corps, dans la triparti-tion classique : tte, cur, membres...

    Cest cette origine hermtique qui,sans doute, autorisa les connotationssecrtes qui, aujourdhui encore, ren-dent les textes alchimiques terrible-ment cryptiques...

    Mais, il faut dire que, de toute fa-on, pour la plupart des alchimistes,le secret doit tre gard.

    Pourquoi ce secret ?

    En ralit, le grand secret sot-rique... cest quil ny a pas de secret !Je veux dire par l que lme spirituel-

    lement ennoblie peroit, comme unevidence, ce que lhomme ordinaire re-fuse de voir et par consquent ignore.Mais il ny a pas de mystres, seulementdes vidences que lon se cache !

    Naturellement, ce type de faux se-crets, cette vrit crue nayant rien detrs romantique, il y a toutes sortes degens qui en rajoutent, et font des mys-tres sur la base de choses qui nexis-tent pas. A cause de cette fcheuse ten-dance, on en arrive un stade, enAlchimie, o nombre dauteurs criventdes tas de bouquins, sans probablementconnatre un tratre mot sur le fond dusujet, mais dans des styles tellementcompliqus que beaucoup de leurs lec-teurs doivent simaginer que des vritssublimes et mystrieuses sont cachesentre les lignes !

    Personnellement, je pense que lAl-chimie est relativement simple, tout aumoins ds linstant o lorientation in-trieure du praticien nest pas entachepar des systmes de pense figs.

    LAlchimie, en fait, doit tre spiri-tuelle, intrieure, individuelle. Et, com-me elle demande un norme travail,aussi bien intrieur quextrieur, lal-chimiste srieux ne devrait, normale-ment, pas avoir tellement le temps desinscrire dans des groupes, de faire desmilliers de rituels, ou de poursuivre deschimres fabriques autour de la pierrephilosophale.

    SI TU VEUX TRE LE TOUT,VEILLE NTRE QUELQUE

    CHOSE EN RIEN(1)

    Quest-ce que la pierre philoso-phale ?

    La Pierre fait, mon avis, lobjetdune terrible confusion ! Beaucoupdalchimistes esprent, en effet, quenobtenant cette concrtion partir dela materia prima (substance matri-cielle de la matire), ils chapperont,pour un temps plus ou moins long, la mort.Mais, en ralit, tout ce qui existe, en

    ce monde, apparat un jour et doitdonc finir par disparatre. En dautrestermes, le mortel meurt. Par contre,ce qui est rellement, cest dire cequi nest jamais n, ne peut disparatre(ce qui est immortel ne meurt pas).Seul ce qui est n meurt et ce qui ESTna pas de naissance.

    Propos dun Spagyriste laube du XXIme sicle

  • Or, il me semble important de dis-cerner quon na pas rechercher ce quiest, puisque cest !...

    Ainsi, dans sa tentative de fabriquerquelque chose dimmortel, lalchimistenon spiritualiste na, et ne peut avoir sa disposition, rien dautre que des in-grdients provenant de cette naturefondamentalement mortelle. Que veut-il donc prolonger avec de tels mat-riaux ? Quelque chose qui, de toute fa-on, est bas sur du provisoire ! Il nepeut videmment difier quune illusiondimmortalit et ainsi perptuer lerreurpour lui et pour ceux qui lcoutent.

    Mais, cette recherche millnai-re de limmortalit doit bien tra-duire une ralit mtaphysique ?

    Il faut comprendre que lhomme estimmortel dans son prsent, et, quenmme temps, il meurt chaque instant.Et cest, paradoxalement, grce cettemort de chaque instant, quil ne meurtpas ! En fait, que ce soit dans la vie oudans la mort, notre tre est Prsence !Nous sommes ! Et tous les efforts quenous faisons pour parvenir ce qui estdj l, nous dtournent de cette vritfondamentale et parfaitement gratuite.

    Je pense que lAlchimie, comme toutesles Traditions, a subi dnormes erreursdinterprtation. La pierre philosopha-le, cest comme le Tao : plus on lacherche, et moins on la trouve ! Com-ment, en tous cas, esprer latteindreavec la volont de perdurer dans de telleserreurs dinterprtation.

    Bien au contraire, je crois quentrerdans lAlchimie nest possible que sur labase dun lcher-prise. Il sagit, au boutde toutes les recherches auxquelles on apu se livrer, dadmettre son impuissancestructurelle, daccepter ntre rien. Ce

    nest qu partir de cette reddition, quele feu secret sallume, et que ladeptedcouvre la liaison entre ce feu et lamatire quil doit travailler. Or, cettematire, cest son incarnation, sa viedans un corps ! Nous pouvons ici faireun parallle intressant entre le Sphinx(aspect Feu) et la Pyramide (Matire quisera travaille par le Feu). Ainsi, vient unmoment, dans lincarnation de lhommeo il doit trouver ce rien fondamentalet prcieux, ce Sphinx intrieur qui luipermettra den finir avec toutes les illu-sions propres lexistence humaine. Celane veut pas dire quil reniera les affaireshumaines et toutes ses constructionstemporelles. Non, elles seront, aucontraire, profondment acceptes, maisen mme temps achemines l o ellesdoivent se terminer, cest dire dans cerien intrieur qui est comme unesource chaude et gurissante. Et ce seraalors un grand clat de rire ! Cest a, laPierre Philosophale : un attrape-nigaudpour le mental issu des faonnages dutemps et de lespace !

    Voil, en tous cas, pourquoi je ne merclame, personnellement, daucuneobdience, ne fais partie daucun grou-pe, et ne poursuit plus la moindre deces recherches pseudo alchimiques. Cenest, mon sens, qu ces conditionslorsque nous a quitt tout le fatrasdides quon se fait sur la spiritualitque lon peut commencer pratiquercorrectement la Spagyrie.

    SEL, SOUFRE ET MERCURE ;TROIS PRINCIPES UNIVERSELS

    Venons-en donc la Spagyrie !En quoi consiste-t-elle ?

    Ce doit ntre quun travail ; un tra-vail noble certes, mais un simple tra-

    vail ! Et jinsiste pour dire que, dans lafabrication de nos produits, ninter-viennent absolument aucun rituel, niaucune magie occulte ou religieuse envue daugmenter leurs pouvoirs vibra-toires. Nous ne relions nos consomma-teurs aucune hirarchie ou fraternitsubtile uvrant ou non pour le biende lhumanit. Cela est dsamorcdemble au long de notre travail ; toutintermdiaire parasite, aussi sublimesoit-il, est spontanment dgonfl demanire nette, radicale et vidente. LaNature possde tout, inutile den rajou-ter.

    Cela tant entendu, il existe diff-rentes spagyries : minrale, vgtale,animale, humaine... Personnellement,jai voulu commencer par la Phyto-Spa-gyrie, parce que le vgtal est en mou-vement...

    Quentendez-vous par l ?

    Pour comprendre cette notion, il fautdabord savoir quen Spagyrie, comme enAlchimie, on utilise trois principes, quelon a traditionnellement dnomms :Sel, Soufre et Mercure.

    Lhomme possde ces trois principesen lui : sa tte correspond au principeSel, son cur au Mercure, son bas-sin au Soufre. Sa mission spirituelleconsiste dailleurs fixer le Sel (apai-ser le mental), puis communiquer cersultat au Soufre (dompter lanimaldu bassin). Mais cela nest rendu pos-sible que par lexistence dun pledquilibre, dun centre, qui est le Cur,le Mercure (rappelons quHerms estaussi appel Mercure). Ainsi, les troisprincipes se manifestent dans le mou-vement, grce un centre entre deuxextrmes.

    16

  • Et, quen est-il pour la plante ?

    En Phyto-Spagyrie, le Sel, (ou, silon prfre, lensemble minraux/oli-go-lments) sobtient par calcinationde la plante. A lautre extrme, leSoufre, le summum de la plante,sobtient, lui, par lextraction de lhuileessentielle. Enfin, cest le principeMercure qui va permettre le mouve-ment dont nous parlions et qui va r-unir ces deux polarits extrmes ensouffrance. Le Mercure est reli latranscendance, il est le messager desdieux, le mdiateur qui permet de pas-ser sur dautres plans. Concrtement, cemercure est une teinture alcooliquedynamise, que lon pourrait donc assi-miler un remde homopathique sildevait rester sous la forme dune sub-stance spare des deux autres prin-

    cipes. Mais, en Spagyrie, les trois prin-cipes ne sont spars que dans un pre-mier temps, pour tre finalement runisdans un unique lixir. Or, dans cette r-union, le Mercure tient lieu deCur entre les deux extrmes quesont les principes Sel (racines min-rales), et Soufre (racines clestes).

    LTRE ORIGINEL DE LAPLANTE

    Je commence comprendre enquoi la Phyto-Spagyrie se diffren-cie radicalement de la phytothra-pie...

    Bien sr ! En phytothrapie, cest tou-jours une partie du vgtal qui est utili-se. Laromathrapie, par exemple, nepropose que le principe soufre (lhui-le essentielle), qui dlivre une informa-tion extrmement puissante et conden-se. En Phyto-Spagyrie, par contre, ilny a pas de dchets ; cest la totalit dela plante qui est transmute.

    Ainsi, en restituant lintgralit destrois principes, on peut obtenir quelquechose de ltre originel de la plante,lArchtype ; alors que, dans les d-marches phytothrapique, oligothra-pique ou homopathique, ce nest ab-solument pas possible. Il leur manquetoujours un ou deux principes, et ellesnintgrent jamais le mouvement !

    Or, quand un produit ne restitue pasle mouvement complet, il est deman-deur ; et, une fois ingr par le patient,il va rechercher, dans lorganisme, lesprincipes qui lui manquent. Cest ce quelon pourrait appeler... un vampire !Llixir spagyrique, quant lui, lin-trieur du mouvement engendrpar la cohabitation des trois Prin-cipes, recle lArchtype de laplante. Ceci veut dire que lors-quun tel lixir entre dans unorganisme, il se prsente com-me un ami. Il ne vient paspour mendier vos nergies,mais unit ses trois Principesaux vtres, comme sil avaittoujours appartenu votreorganisme.

    videmment, la questionde la comptence du thra-peute se pose plus que ja-mais, lorsquil sagit deconseiller llixir spagyriquecorrespondant prcismentau problme nergtique dupatient. Cela dit, mme si lechoix na pas t le meilleur,il faut savoir que llixir spa-gyrique ne perturbe jamais.

    Au mieux, il agit, calmement, de ma-nire globale ; au pire, il slimine parles urines sans laisser de trace, commenimporte quel autre aliment.

    Mais, lorsquon mange une plan-te frache, ne bnficie-t-on pas ga-lement de la totalit de la plante ?

    Il est vident que cela apporte nor-mment de choses, surtout si lon mas-tique consciencieusement ! En ralit,ce faisant, on se livre une sorte dal-chimie intrieure.

    Mais, dans lAlchimie pratique enlaboratoire, la travail par le feu est pri-mordial ! La substance est alors fabri-que par un homme en incarnation. Ilest important ici de savoir qu la diff-rence des autres rgnes de la Nature,seul lhomme est conscient de saconscience ; et donc conscient de sonFeu intrieur. Cest seulement parlhomme terrestre incarn quil devient

    possible de dfai-re les agr-

    g a t s

    17

  • nous au cours des temps depuis cettefameuse Chute originelle. Or il fautsavoir que ces agrgats temporels vien-nent ralentir la vibration originelle de laplante en venant se plaquer astralementautour de ltre Originel de cette plan-te : lArchtype. La chute originelletant de la responsabilit de lhommecelui-ci est tenu de retrouver cet origi-nel en tout sil veut retrouver son tatde Vivant authentique. Dans ce travailspagyrique lalchimiste enflamme alorsrellement ltre intime de la plante, etainsi la ramne la Vie. Ce nestqualors que cette plante redevient dis-ponible pour le courant de vie humain.Si je puis mautoriser la formule, je di-rais que cest un sacr boulot ; chaquelixir en effet nest prt quau boutdune trentaine doprations.

    INTGRER LA MALADIE...SANS SY OPPOSER

    Finalement, pourquoi les nutri-ments spagyriques agissent-ils ?

    Je lai dit, la prsence des trois Prin-cipes est primordiale. Il ne peut pas yavoir de bien-tre sur le seul plan men-tal, ni simplement sur le seul plan phy-sique...

    Aujourdhui, le systme immunitairehumain est dramatiquement dficient.On ne peut plus se contenter de propo-ser nos contemporains des mdica-ments tronqus (ne contenant quunprincipe sur trois, et partant sans lAr-chtype de la plante) en esprant quelorganisme pallie cette carence thra-peutique. Non, la vitalit de lorganismeest trop faible ! On doit absolument don-ner des nutriments complets pour que lecorps, au niveau cellulaire, puisse retrou-ver la mmoire de quelque chose quisoit complet. Et il faut galement quil y

    ait, derrire le principe actif (aspectSoufre, par exemple lhuile essentielle),une dynamique qui soit capable de rec-tifier les dficiences sur tous les plans(aspect Mercure). Enfin, il faut fixer lersultat dans la matire (aspect Sel).

    Il est, en effet, primordial que laconscience reconnaisse pourquoi lecorps a t malade. Les mdicamentsqui, eux, gomment purement et simple-ment la maladie, privent lhumaindune exprience irremplaable. Cestdailleurs pourquoi la maladie revientpratiquement toujours sous dautresformes. La plupart des mdecines cher-chent constamment sinterposer entrelhomme et sa maladie. Le produit spa-gyrique ne fait pas cela, car ce nest pasun mdicament : il ne gurit pas ! Ilaccompagne, il montre la bonne ma-nire dintgrer la maladie, jusqu ceque, un certain moment, cette mala-die ne devienne plus ncessaire...

    UNE TONNANTE MATIREMDICALE

    Quelles sont les indications devos nutriments spagyriques ?

    Elixalp met la disposition des th-rapeutes, naturopathes et magasins dedittique, 28 complexes et plus de 180lixirs unitaires qui, bien sr, couvrentles diffrentes approches nergtiquesde la Naturopathie.

    Mais je dois prciser quil nexistait,jusqu ce jour, aucune matire mdi-cale de la Spagyrie.

    Toutes ces dernires annes, nousavons mis au point nos lixirs, en pre-nant soin de respecter le moment ap-propri de lextraction de la teinture, dela conjonction des trois Principes, desdiffrentes dynamisations... Puis,lorsque nous avons enfin obtenu leslixirs mres, des tests ont alors pu tremens par des thrapeutes.

    A la base, nous avions, bien sr, cal-qu les indications de la Phyto-Spagyriesur celles de la phytothrapie. Mais onsest vite rendu compte que les lixirsne travaillent pas du tout comme lesplantes correspondantes dans la phyto-thrapie classique.

    Donc, grce, dune part aux obser-vations des thrapeutes, et dautre partaux tudes que jai pu faire dans diversdomaines, tels que ltymologie des nomslatins des simples, les dictons populairesconcernant les plantes, les connaissancesantiques et modernes en matire de phy-tothrapie, les dcouvertes de lAnthro-posophie, les donnes de la psycholo-gie affective du Dr. Vial (analyse delaction des plantes sur les protines du

    sang), etc., nous sommes en train deconstituer une somme exprimentaleque jespre assez complte.

    LA NCESSIT DTRE CLAIRAVEC SOI-MME

    En dehors du domaine thrapeu-tique occidental, la Spagyrie peut-elle sarticuler avec les Traditionsorientales ?

    Absolument ! Et dailleurs, chacunde nos complexes spagyriques a t tes-t dans loptique de lnergtique chi-noise et du systme des Chakras.Dautre part, nous avons not de nom-breux rapprochements faire aveclAyurvda (il est intressant de consta-ter, par exemple, que cette thrapiedorigine Indienne calcine galementles plantes). Nous traduisons donc ac-tuellement quelques ouvrages dAyur-vda, dans lespoir de pouvoir, un jourprochain, concrtiser ces rapproche-ments.

    Mais il est vrai que mon itinraireme porte plutt vers nos Traditions, versle christianisme sotrique, le gnosti-cisme, le rosicrucianisme, lAnthropo-sophie, et, sur le plan de la Spagyrie, na-turellement, vers son fondateur,Paracelse(2), qui, travers son systmedes Cinq Entits, englobait les causesspirituelles, karmiques, psychiques, sen-timentales et physiques de la maladie.Nous pensons dans les temps qui vien-nent mettre sur pied une approche th-rapeutique selon les Cinq Entits de Pa-racelse.

    Quel pourrait tre le futur de laSpagyrie ?

    Jespre quelle aura sa place auprsdes autres thrapies naturelles nonagressives. Mais jaimerais surtoutquune Spagyrie rsolument spirituellesache rappeler, tous ceux qui tra-vaillent dans le domaine du bien-tre,limportance de se mettre au clair avecsoi-mme avant de sintresser aux pro-blmes des gens ou de fabriquer desremdes. Alors seulement, un bonden avant extraordinaire pourra tre faiten thrapie, lapproche de la souffranceen tre profondment modifie, et peut-tre mme, chez les patients, la peur de-vant la mort, tre dsamorce.

    (Propos recueillis par BernardKlein et parus dans La Vie Natu-relle de Novembre 1995)

    (1) Jean de la Croix(2) Voir la Vie Naturelle N89.

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  • Quelques livres autour* de la Spagyrie

    F. Albertus : Le Manuel de lAlchimiste, Ed Maat/LPN.R. Allendy : Paracelse, le mdecin maudit, Ed. Dervy.Altus : Mutus Liber (comment par E. Canseliet), Ed. Suger.G. Andrs : Principes de la Mdecine selon la Tradition, Ed. Dervy.A. Barbault : Lor du millime matin, Ed. Denol.B. Bhattacharyya : La science du Tridosha, Ed. Ediru.A. Von Bernus : Mdecine et Alchimie, Ed. Ediru.E. Canseliet : LAlchimie explique sur ses textes classiques, Ed. Pauvert.T. Ceron : Spagyria, Ed. Col du Feu.

    Phyto-Spagyrie, une Mdecine qui aime lHomme, Ed. Col du Feu.A. Cau: La Pierre philosophale, Ed. Col du Feu.J.M. Danze Le Systme Mora ou le rationnel en mdecine nergtique, Ed. Encre.R. & B. Dutheil La mdecine superlumineuse, Ed. Sand.C. DYg : Anthologie de la Posie Hermtique, Ed. Dervy.R.G. Hamer : Fondement dune Mdecine Nouvelle, Ed. ASAC.J. Elmiger : La Mdecine Retrouve, Ed. Lea.Fulcanelli : Le Mystre des Cathdrales, Ed. Jean Jacques Pauvert.

    Les Demeures Philosophales, Ed. Jean Jacques Pauvert.M. Junius : Practical handbook of plant alchemy, Ed. Inner Traditions.L. Kervran la dcouverte des transmutations biologiques, Ed. Courrier de livre.M. Larroche : Mes cellules se souviennent, Ed. Trdaniel.LeBrethon : Les Clefs de la Philosophie Spagyrique, Ed. JC Bailly.N. Lemery : Cours de Chymie (1757), Ed. DAujourdhui.A. Lentz : Auriculomdecine et homopathie, Ed. Dominique Guniot.H. Leonhardt : Les bases de lorganomtrie selon Voll, Ed. Transworldia.E. Mari : La Mdecine Hermtique de Paracelse, Ed. Paracelse.

    Prcis de Mdecine Alchimique, Ed. Paracelse.J. Maveric : La Mdecine Hermtique des Plantes, Ed. Blisane.P. Nogier LHomme dans loreille, Ed. Maisonneuve.J. Pagot : Le Caractre Philosophique, diffusion : Ed. Col du Feu.A. Pancaldi : Alchimia Pratica, traduction franaise paratre aux Ed. Col du Feu.Paracelse : uvres mdico-chimiques ou Paradoxes, Ed. Sebastiani.

    uvres mdicales (choisies par B. Gorceix), Ed. PUF.uvres compltes, Ed. Traditionnelles.vangile dun mdecin errant, Ed. Arfuyen.

    W. Pelikan : LHomme et les plantes mdicinales, Ed. Triades.F. Popp : Biologie de la Lumire, Ed. Marc Pietteur.J. Ravatin : Thorie des Champs de Cohrence, Ed. Lacour.V. Rosgnilk : LEmergence de lnel ou lImmergence des repres, Ed. ArkAll.P. Rivire : La Mdecine Spagyrique, Ed. Savoir pour tre.

    La Mdecine de Paracelse, Ed. Traditionnelles.Alchimie et Spagyrie, Ed. de Neustrie.

    Solazaref : Somme Hermtique, Ed. Aux Amoureux de Science.

    Revue La tourbe des Philosophes : N Spcial Spagyrie, 1981.Revue Thrapeutiques Naturelles : N 102 (Janv. 1993) et N 121 (Fv/Mars 1996).Revues Parachemy et Essentia, USA, parution jusquen 1984.Cahiers de Mdecine Anthroposophique.

    (*) De prs ou de loin

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  • Les complexes SpagyriquesC1 STIMOS : Tonique, stimulant gnral et doux, fatigue, vitalit

    Cynorrhodon, Cannelle, Origan, KolaAgit aussi sur le 4e chakra

    C2 VITALOS : Rgnration de base du corps physiquePropolis, Camomille romaine, Genivre (baies), CannelleAgit aussi sur les 2e, 5e et 7e chakras et sur les lments chinois Terre et Eau

    C3 EUCALYPTUS Complex : Stimule nos dfenses en hiver, refroidissementsEucalyptus, Thym, EchinaceaAgit aussi sur les 5e et 7e chakras et sur llment chinois Bois

    C4 PINUS Complex : Voies respiratoires, touxBourgeons de Pin, Propolis, Thym, SarrietteAgit aussi spcifiquement sur le mridien de la Lymphe

    C5 TARAX Complex : Problmes cutans, nettoyant gnral de la peauPissenlit, Penses sauvage, Genivre (baies)Agit aussi sur le 3e chakra et sur llment chinois Eau ; corrige linsuffisance deYang ; tempre un mental excessif

    C6 HEPA-Rosmarinus : lixir du FoieRomarin, SerpoletAgit aussi sur les 3e, 5e et 7e chakras et sur llment chinois Mtal

    C7 BIL-C Radix : Fluidit de la bileArtichaut, Chicore, Radis noirAgit aussi sur les 2e et 3e chakras et sur les lments chinois Mtal, Bois et Eau ;restructure lmotionnel

    C8 DEPUROS : Dpuratif gnral, drainage des monctoiresFrne, RomarinAgit aussi sur le 3e chakra et sur les lments chinois Terre, Eau et Bois

    C9 PANC-BETA Rufa : Rgulation des sucresLamier blanc, Eucalyptus, Beta rufaAgit aussi sur les 3e, 4e et 5e chakras et sur les lments chinois Terre et Bois

    C10 ANGELICA Complex : Nervosit, angoisses, stressAnglique, TilleulAgit aussi sur les 5e et 6e chakras et sur llment chinois Terre

    C11 MIGOS-Mentha : Maux de tte, lourdeur mentaleMenthe poivre, Romarin, Lavande, NoyerAgit aussi sur les 3e et 6e chakras et sur les lments chinois Mtal et Bois

    C12 DIGESTOS : Difficults et lourdeurs aprs les repasGentiane, Bruyre, Basilic, CoriandreAgit aussi sur les 2e et 5e chakras et sur llment chinois Mtal

    C13 GASTROS : Sphre gastrique, sensations de brluresMatricaire, Gingembre, Rglisse, GirofleAgit aussi sur le 3e chakra et sur les lments chinois Mtal et Eau ; rgulariselexcs de Yin

    C14 MALVA-TRANS SP : Rharmonise les transitsMauve, Guimauve, Romarin, Mnyanthe, Gingembre.Agit aussi sur les 2e et 3e chakras et sur llment chinois Mtal, contribue rta-blir une cohsion entre mental et motionnel

    C15 HIBIS-TENSIO SP : Lami du cur, quilibre nos tensions internesHibiscus, Olivier, LavandeAgit aussi sur le 3e chakra et sur llment chinois Eau

    C16 GINKGO Complex : Petite circulation, troubles de lge, mmoireGingko biloba, Cynorrhodon, TilleulAgit aussi sur les 6e et 7e chakras et sur les lments chinois Feu et Bois

    C17 MNOPOSIS SP : Pour la femme aprs 50 ansBruyre, Menthe poivre, Genivre (baies), CuminAgit aussi sur les 2e et 3e chakras et sur les lments chinois Mtal et Bois

  • C18 MATRIX SP : Flux douloureux chez la FemmeMatricaire, SaugeAgit aussi sur le 1er chakra ; ancre le physique sur lnergie de la terre

    C19 HEMOS : Lgret et libert des jambesParitaire, Serpolet, Marron dIndeAgit aussi sur les 5e et 6e chakras et sur llment Feu

    C20 CASSIS Complex : Souplesse des articulationsCassis (fruits & feuilles), Betterave rouge, VerveineAgit aussi sur le 7e chakra et sur les lments chinois Mtal et Eau

    C21 DIUROS Complex : limination, rgulation de nos eaux internesQueues de Cerise, Menthe, Coriandre, ChiendentAgit aussi sur les 2e et 5e chakras et sur les lments chinois Mtal et Bois

    C22 TRITICUM Complex : Rharmonise nos tendances cristalliser, libre lmonctoire des eauxBl, Aubier de Tilleul, Fenouil, BouleauAgit aussi sur le 4e chakra et sur llment chinois Eau

    C23 CYSTIC Complex : Sensations de brlures chez la FemmeBruyre, Myrtilles (fruits), Betterave rouge, ThymAgit aussi sur le 2e chakra et sur llment chinois Eau ; rgularise le Yin

    C24 PARIETRIX Complex : Mictions douleureuses chez lHommeParitaire, Camomille romaine, Genivre (baies)Agit aussi sur le 3e chakra et sur les lments chinois Terre et Bois ; rgularise leYang

    C25 ZINZIBER TONIC : Stimulant naturel du dsirGingembre, Houblon, Cannelle, Sarriette, HibiscusAgit aussi sur les 1er, 2e, 3e et 5e chakras et sur les lments chinois Feu, Mtal et Bois

    C26 SVELTEX SP : Llixir de la silhouette, lindispensable adjuvant de nos petits rgimesReine des prs, Romarin, BruyreAgit aussi sur les 3e et 5e chakras et sur llment chinois Feu

    C27 CHOLEXOS : Llixir de nos excs, pour la dynamique de nos fluides sanguinsFeuilles de Ronces, Serpolet, Olivier, SarrietteAgit aussi sur le 2e chakra et sur llment chinois Bois

    C28 SOMNOS SP : Rgulation du sommeil, sommeil paisibleChiendent, Mlisse, Laurier dApollonAgit aussi sur les 3e, 4e et 5e chakras et sur lquilibre Yin-Yang ; calme lmotionnel

    IMUNLIX : Renforce lnergie de base ; bonne action sur la vitalit. Complment coup de fouet.limine certains barrages toxiniques dus certaines pollutions. Stimulant gnral.Echinacea, Eleuthrocoque, Ortie piquante, Lapacho, Sarriette, Gentiane, Propolis sur un support dHydromel. (Bote de 20 ampoules)

    DPURLIX : Draineur des surplus toxiniques et alimentaires de lorganisme. Complment idal detout rgime quilibr et de toutes activits sportives.Fragon petit Houx, Chiendent, Artichaut, Bouleau, Mnyanthe, Romarin, Verveine, Souci sur un support dHydromel. (Bote de 20 ampoules)

    CHAKRAS

    C7 : Centre coronal (piphyse)C6 : Centre frontal (hypophyse)

    C5 : Centre laryng (thyrode et parathyrodes)C4 : Centre cardiaque (thymus)

    C3 : Centre solaire (pancras et sphre digestive)C2 : Centre sacr (gonades)

    C1 : Centre coccygien (surrnales)

    Les Complexes Spagyriques, associations de vri-tables aliments pour nos nergies internes, ont pourbut daider nous maintenir en Bonne Forme, encorrigeant les carences nergtiques de lalimen-tation moderne. Les informations prsentes icisont purement indicatives ; en aucun cas elles nedispensent dune visite chez son Mdecin, et du res-pect scrupuleux dun ventuel traitement mdical.

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    STIMOSFace aux obstacles il y eut souvent dmission, fuite, impuissance et rsignation. Les mille oppositions de

    la vie cartelant lme jusqu perturber les fonctions naturelles.Stimos est llixir qui suscite un regain daffirmation, denthousiasme, de ressaisissement du soi. Les

    aspects subtils de ltre laisss en latence jusque l dans des mondes spars et opposs sharmonisent en unejoie intrieure qui se voit et se sent de loin. La lumire sordonne en un nouveau paysage aural.

    Cest aussi llixir du coup darrt aux situations larves qui vont jusqu lintolrable. Dnouement rapi-de style opration commando pour rtablir un ordre, une harmonie. lixir de la fin des tribulations dues lindcision.

    VITALOSmergence dun corps solide, protg par des piliers qui sancrent profondment dans ce monde matriel

    o nous sommes exils. Les angoisses restent aux portes de la demeure et svanouissent ; les vnementsextrieurs sont digrs dans un mouvement vital sain ; la parcelle dternit peut nouveau sexprimer, coh-rente et infaillible, entoure dune intgrit corporelle renforce.

    EUCALYPTUS Complexlixir du dgagement, de louverture pulmonaire une nergie fine qui va assainir les trois plans de ltre :

    mental, motionnel, vital/corporel. Redonne confiance lhomme qui sest perdu dans les mille dtails de lavie matrielle parcelle, incohrente. Cest llixir qui rinjecte les forces solaires les plus hautes dans les pluspetits dtails de la vie quotidienne. Aide se raliser malgr un monde hostile et sec. Peu peu na plus peurque le ciel lui tombe sur la tte car la confiance en sa propre destine dgage un centre de vie, un foyer immu-no-stimulant ; les sens sordonnent autour et le servent.

    PINUS ComplexSentiment dtre indigne de respirer pleinement la vie et ses motions ; culpabilits diverses dues une

    ambiance sans confiance, sans amour. lixir qui dcloisonne celui qui sest fig sur un but intellectuel inat-teignable ; ou qui sest bloqu cause dune prcipitation, dun dsir de faire prmatur qui a fini par dsor-ganiser le mouvement dchange avec lextrieur, notamment par le systme pulmonaire. Llixir PinusComplex contribue une dissolution des peurs environnantes, liqufier les stagnations qui, jusqualors semanifestaient comme un aboiement continuel envers autrui. De nouvelles perspectives fleurissent maintenant lintrieur, dans une intgrit corporelle la fois plus forte et plus lgre porter. Cest aussi llixir quinous montre un nouveau rythme, un autre balancier, de nouveaux changes.

    TARAX ComplexDe vieilles structures mentales et motionnelles, diverses peurs, plus ou moins fondes, dtre attaqu dans

    son intgrit, divers antagonismes, tout un monde vieux et lourd des lointains passs vient se mettre entrenotre me et le monde extrieur. Notre peau manifeste alors les dcombres du pass afin que nous en pre-nions conscience et les sortions dfinitivement.

    La fausse protection de notre individualit tombe, le masque de douleur est enlev, notre carapace se trans-mue, nos sens et nos organes intrieurs respirent nouveau. lixir de reconstruction dans un monde tempo-rel peu facile apprhender. Lhomme revient sur une terre qui nest plus redoute.

    HEPA Rosmarinuslixir qui nettoie les vieux checs durcis dans la mmoire en aidant la comprhension de la dualit psy-

    ch/corps. Roriente notre vitalit avec prise de possession de la sphre mtabolique en vacuant sentimentsde culpabilit et malaises ds aux colres rentres.

    Rtablit une certaine douceur dtre.

    BIL-C Radixlixir qui libre des penses rprobatrices, tournes sur un ego fait de visions dures, forges dans lorgueil,

    la conceptualisation strile outrance et la vanit.lixir qui donne la force de revenir au Vivant et ses manifestations fluides.

    RELATIONS PSYCHO-MOTIONNELLESDES COMPLEXES SPAGYRIQUES

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    Relations Psycho-motionnelles des Complexes Spagyriques

    DEPUROSlixir drainant qui va briser les distances artificielles et dissoudre les retenues de la psych par rapport au

    corps et inversement. lixir librateur de lnergie emmagasine et mal utilise jusque l.

    PANC-BETA Rufalixir de la grande rencontre avec soi-mme au milieu de la tourmente et des intoxications extrieures.

    Apprciation journalire de la douceur de vivre sans la funeste manie de vouloir tout grer en se rfrant un pass lui-mme dj plein de regrets.

    lixir de joie, de connaissance, de protection, de dsengorgement.

    ANGELICA Complexlixir tranquillisant et apaisant qui aide dissiper les ides toutes faites, les conflits, les heurts en racti-

    vant une haute valeur morale dans le cur, et par l rorganiser un systme corporel cohrent et libre. lixirde louverture aux belles profondeurs de ltre.

    MIGOS-MenthaAide dnouer les tensions dues une sexualit entrave, au non-respect de soi, aux peurs engendres

    par des ides morales fausses. Ouvre les vannes aux trop pleins de soi, aux boursouflures dun ego qui se four-voie et qui bloque le mental. lixir de la dtente et de la bonne acceptation du cours de la vie.

    lixir de la rorientation judicieuse des forces vitales.

    DIGESTOSlixir de lassimilation des aliments et des ides, de la circulation paisible de toute nouvelle exprience.

    Le pass inamovible, considr comme sacr, est ringurgit, mastiqu, rumin (symbole de la vache sacre)une bonne fois pour toutes. La communication avec les mondes intrieurs se rtablit grce une bonne rin-carnation en soi, une restabilisation psycho-motionnelle dans le corps. Une bonne fougue nat qui dissoutles vieilles dceptions et rend la sphre vitale libre. Tout lorganisme reoit une chaleur de vie subtile et bien-faisante. Llixir contribue un juste amour de soi.

    GASTROSlixir de la pacification avec soi-mme, de la certitude intrieure qui vient comme une vidence lgre

    porter. Les angoisses du changement sestompent, lhomme reoit la force dindpendance et une grande vita-lit secrte se dploie dans les entrailles. Le territoire intrieur ne risque plus dtre saccag.

    MALVA-TRANS SPlixir du rafrachissement, de la nouveaut, de la bonne mesure entre le prendre et le laisser, entre lan-

    cien prcieusement gard et le nouveau quon laisse fuir.lixir de la juste mesure, de la douceur, du changement tranquille sans perdre son identit.

    HIBIS-TENSIO SPlixir des problmes motionnels ancrs depuis longtemps, des dceptions amoureuses, du manque daf-

    fection et du rejet de la vie. Colres rentres, tensions entre les ples tte et cur qui ont t chafaudes aucours des temps. lixir ami du rythme cardiaque, de la joie dtre au centre de soi, du bon respect dun ordredans les priorits. Cet lixir apaise le corps motionnel sous la direction dune noblesse suprieure qui vamener nos expriences bonne fin.

    GINKGO Complexlixir qui restructure un mental sain apte regarder les mille morcellements de nos mondes, sans peur,

    sans les fuites habituelles devant nos responsabilits. Voir et couter nouveau ce que nous sommes dansnos mille ramifications, nos mille liens avec ce monde dit extrieur. Naissance dun mental bas sur unemoralit renouvele, flamboyante et non culpabilisante. Je nai plus peur doublier. Le pass est ractualiset se libre dans le prsent.

    MNOPOSIS SPRtablissement dun nouvel ordre matriciel. Acceptation de passer dun cycle lunaire un cycle solaire, de

    leau au feu, de laccueil des impulsions limpulsion elle-mme. Laspect fminin de ltre, la passivit vcuejusquici, trouve maintenant sa graine originelle, sa puissance fcondante. lixir de la maturation harmo-

  • 25

    Relations Psycho-motionnelles des Complexes Spagyriques

    nieuse, sans prjugs, qui adoucit les changements brusques, qui fait aimer son corps, le digrer, lamenerl, o il est notre serviteur idal.

    MATRIX SPlixir de lacceptation des cycles naturels et de leurs mouvements dans le corps-rceptacle.Accueil intrieur dun Moi qui va dsormais guider une rgnration dans lEssentiel grce un espace

    vital vierge qui renat sans cesse tout en restant libre des cycles invitables de la nature. Llixir possde aussiune composante apte incarner des impulsions de lumire en librant la sphre aurale des lourdeurs tem-porelles.

    HEMOSFavorise le laisser-aller en dnouant les peurs, les oppressions, la ngativit, les blocages, la fatalit. Elixir-

    Joie de vivre qui, avec souplesse et rythme, aide se dgager discrtement des agrgats dun pass qui nousprojette dans des situations irrelles. lixir qui rtablit une relation damour avec les alas de lexistence.

    CASSIS ComplexCet lixir nous aide retrouver la libert de se mouvoir, de servir au mieux notre haute vocation sans sin-

    fliger des limites, voire des vengeances sur notre capacit daimer. lixir de la fluidit dans le changement desactivits ainsi que de la clart mentale par sa pacification.

    DIUROS ComplexOuverture vigoureuse aux potentialits enfouies derrire les effluves et autres amalgames glans au cours

    de lexistence. Nettoyage des vieilles dceptions, des checs, des artifices rpts qui ont par trop charg lecorps vital. Fonction drainante qui libre des distorsions de lego ramass sur lui-mme.

    TRITICUM ComplexLibre les fixations rentres coups de colre aussi bien envers soi quenvers autrui. Sadresse celui qui

    veut toujours plus en empruntant diverses apparences, en faisant souffrir autour de lui, en sancrant tou-jours plus dans son moi-je goste. Llixir contribue redonner une jeunesse et une spontanit dans les rap-ports grce un nettoyage des vieux principes rcurrents.

    CYSTIC Complexlixir du lcher-prise, de la libration des peurs de vieilles structures amasses souvent inconsciemment.

    Antidote contre langoisse, le manque dassurance face lautre, la douleur des effets boomerang ds noscachotteries, aux plus petits dtails de la vie. Reconstruction consciente malgr les oppositions et mme aumilieu de ces oppositions. Le relationnel se teinte de respect mutuel dans un espace vierge reconquis de hautelutte.

    PARIETRIX ComplexLlixir ouvre la voie une dynamique qui va unir les camps opposs internes ; faire jaillir des nergies

    vitales constructrices partir de foyers remplis de tensions. Llixir prodigue une douce chaleur qui aide unir les contraires autour dune lumire centrale et bnfique, autour dune vision juste qui peut prsentapporter la vie dans ses divers aspects quand bien mme tout semble perdu, fragile.

    ZINZIBER Toniclixir ressoudeur dunit, dharmonie et de refaonnage constant de notre tre dans les jeux dombres et de

    lumires. Prvient les angoisses de la dstructuration et de la perte des forces vitales en ouvrant un espace dedtente. Bonne digestion intrieure du vcu jaug avec justesse, sans mgalomanie. Laura se stabilise aumilieu des polarits matire/esprit.

    SVELTEX SPA celui qui ne parvient pas grer ses sentiments ; qui est dsempar dans un habitacle ou trop grand ou

    trop petit ; qui rejette son corps la face du monde comme sil nen voulait plus, comme pour dire voyez ceque vous avez fait de moi.

    A celui qui se fourvoie en croyant que les richesses extrieures vont embellir lme ou la protger. SveltexSP favorise la perte des faux concepts et lmergence dune forme dexpression plus lgre porter, stable, quiva se mouvoir plus facilement au milieu de la communaut. Sans forcer ou contraindre llixir aide rin-

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    Relations Psycho-motionnelles des Complexes Spagyriques

    tgrer les morceaux dune conscience divise, en rgnrant, en recentrant les divers corps, du plus physiqueaux plus subtils. Cest llixir qui rassemble ltre complet et lui insuffle un fort sentiment dindpendance.

    CHOLEXOSlixir de fluidification des injonctions reues ; apporte une bonne rceptivit la chaleur du vivant jusque

    dans le corps. Ltroitesse desprit, les contraintes et les tourments glaireux nempchent plus la nature pri-mordiale de sexprimer dans la joie. Lnergie se dgage du couple des opposs, passe dans lorganisme et nestplus dilapide dans labstrait. lixir qui ouvre la joie de vivre, la rception de lautre.

    SOMNOS SPSadresse celui qui garde une dfiance par rapport aux influx solaires et lunaires, mles et femelles, qui

    nous rythment.Llixir ne force pas la venue du sommeil comme une simple fuite du corps, ce qui perptuerait lemprise

    du monde extrieur sur soi. Il recale plutt ltre dans un resserrement de sa personnalit, la consciencentant plus ouverte tous les vents. Ltre cesse peu peu de taquiner la communaut. Il apprend mener bonne fin, sceller un projet, ne pas laisser la machine faire tout le travail. lixir qui tranquillise endnouant les stress nerveux ; calme le jeu mental en rveillant lenthousiasme du cur. Il tire lme vers lehaut, vers la lgret et la paix, aprs avoir parfaitement rgl le bas. Lme a cess de saper lentourage pardes penses tordues.

    IMUNELIXImunelix aide puissamment le Moi prendre sa place dans le corps et par ce fait centrer lhomme au

    milieu de son existence. Rquilibrage du Penser, Sentir et Vouloir grce une structure nouveau matriseet enracine dans lactuel. La force revient devant les chances, plus dchappatoires. Action sur le deuxi-me chakra. Action favorable sur les mridiens Rein, Foie, Cur.

    DPURELIXDepurelix favorise un rassemblement des composantes du corps, une rgnration des forces vitales et sub-

    tiles. Il opre un dsencombrement bnfique qui tout en nous allgeant nous libre des emprises plus oumoins lourdes dautrui. Il permet une meilleure utilisation des forces caloriques dans lorganisme ; moins depertes vitales dans les ides abstraites et les peurs diffuses qui nouent le ventre ; ce qui a comme consquen-ce directe de rajeunir ltat gnral et notamment motionnel. Les difices qui sont beaux extrieurement maissans racines scroulent. Une nouvelle personnalit tend natre, un respect et un