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2 Thème & Stratégie Accents ... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial 5 Vrai ou faux ? 6 Stratégie 14 Sous la loupe 15 Sous la loupe Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance • Nr. 03 - 10 mars 2014 12 Actions en point de mire L’Asie offre des opportunités Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier Un potentiel de croissance sous-estimé Printemps conjoncturel L’indice BEL 20 fait du surplace depuis quelques années Un investissement aussi solide qu’une maison commence par un plan

Strategie 2014 03 fr

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Stratégie & Accents Stratégie Publication mensuelle de KBC Banque & Assurances kbc, fortune, investir, strategie de placement

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Page 1: Strategie 2014 03 fr

2 Thème

&Stratégie Accents... pour la gestion de

votre patrimoine personnel et familial

5 Vrai ou faux ?

6 Stratégie

14 Sous la loupe

15 Sous la loupe

Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance • Nr. 03 - 10 mars 2014

12 Actions en point de mire

L’Asie offre des opportunités

Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier

Un potentiel de croissance sous-estimé

Printemps conjoncturel

L’indice BEL 20 fait du surplace depuis

quelques années

Un investissement aussi solide qu’une maison commence

par un plan

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Thème

Stratégie & Accents

Un investissement aussi solide qu’une maison commence par un plan

Accents

❯ Vous exploitez directement vos réserves.

❯ Vous ne devez pas attendre le bon moment.

❯ Vous pouvez vous constituer un capital progressivement ou ventiler vos placements de trésorerie dans le temps.

Comme environ trois quarts des Belges, vous êtes peut-être propriétaires de votre habita-tion. Prévoir en plus de cela une poire pour la soif paraît toutefois plus difficile. Vous pou-vez cependant réussir vos investissements en appliquant les principes du crédit logement. Cela est assez facile grâce aux investissements planifiés, une formule selon laquelle vous investissez chaque mois le même montant sur une longue période. Une recette simple qui se résume à 5 conseils.

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3Stratégie & Accents

Thème

1. Investir à long terme

À long terme, investir rapporte plus qu’épargner et peut vous aider à préserver votre pouvoir d’achat. Ce sont surtout les actions qui rapportent. Les entreprises visent en fin de compte à être rentables pour leurs actionnaires. À long terme, les Bourses sont considé-rées comme des marchés rationnels, qui valorisent les entreprises correctement. Hélas, le parcours boursier peut parfois être inégal. Les investissements planifiés vous permettent de profiter de ces fluctuations.

2. Appliquer le principe du crédit logement

Lorsque vous optez pour des investissements plani-fiés, vous appliquez les mêmes principes que dans le cas du remboursement d’un crédit logement. Lorsque vous empruntez pour acquérir une habitation, vous n’attendez pas d’avoir assez d’argent pour payer le montant total en une seule fois. Vous ventilez votre investissement sur plusieurs années en remboursant chaque mois un montant identique. De même, dans le cas des investissements planifiés, vous n’attendez pas de disposer d’une somme importante pour in-vestir, mais vous investissez périodiquement le même montant et vous répartissez vos achats dans le temps.

En investissant tout en une seule fois, vous risquez d’investir au mauvais moment. Si vous vous engagez à un pic du marché, vous pouvez parfois attendre des années avant d’obtenir le rendement visé. Les émo-tions sont en outre mauvaises conseillères en matière d’investissement. Lorsque les Bourses plongent et qu’il devient plus intéressant de s’engager, les in-vestisseurs cèdent souvent à la panique et vendent. Lorsque les Bourses sont à la hausse, ils se disent que cette tendance haussière va durer. Ils sont alors tentés de s’engager et le font généralement trop tard.

3. Appliquer un effet de levier à votre rendement

Peut-être vous demandez-vous si le moment est pro-pice à un investissement. Dans le cas des investisse-ments planifiés, vous ne devez pas vous poser cette question et vous ne vous laissez pas non plus guider par vos émotions. Vous achetez aussi bien lorsque les cours sont élevés que lorsqu’ils sont bas. Étant don-né que vous investissez toujours le même montant, vous achetez plus de titres lorsque les cours sont bas et moins lorsqu’ils sont élevés. Vous réduisez ainsi les risques, tout en augmentant le rendement.

4. Choisir un plan qui vous convient

Dans le cas des investissements planifiés, vous pouvez vous constituer un capital progressivement ou ventiler une somme importante dans le temps. Les fonds d’in-vestissements sans échéance y sont particulièrement adaptés et le choix est vaste. Vous investissez sur une plus longue période et sur plusieurs actions et/ou obli-gations. Les assurances placement permettent égale-ment les investissements planifiés. Chacun y trouve son compte, quel que soit son profil de risque.

Les investissements planifiés sont comparables au remboursement d’un crédit logement : ils passent par le paiement périodique d’un montant identique.

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4 Stratégie & Accents

Thème

5. Ne pas attendre une somme importante et exploiter directement vos réserves

Il vous reste chaque mois un peu d’argent que vous placez sur un compte d’épargne ? Parfait, mais il y a mieux ! Grâce aux investissements planifiés, vous exploitez immédiatement vos réserves. Vous ne devez pas attendre d’avoir réuni un montant plus important.

•Pensez aux investissements planifiés lorsque vos petits excédents mensuels prennent de l’impor-tance, par exemple lorsque la mensualité de votre crédit logement pèse moins lourd.

•Vous pouvez également effectuer des investisse-ments planifiés pour vos (petits-) enfants. Grâce à une assurance placement ou à un plan d’inves-tissement avec stipulation pour autrui, vous restez maître de votre argent, aussi longtemps que vous le souhaitez.

•Vous pouvez également appliquer les principes de l’investissement planifié (ventilation de montants fixes dans le temps) à l’épargne-pension. À terme, vous profitez ainsi des reculs temporaires de la Bourse.

Si vous souhaitez savoir comment mettre ces conseils en pratique, surfez sur www.kbc.be/planinvestissement, rendez-vous dans votre agence bancaire KBC ou prenez contact avec votre chargé de relations KBC.

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5Stratégie & Accents

Vrai ou faux ?

En 1998, le BEL 20 a atteint pour la première fois le seuil des 3 000 points et il s’y est plus ou moins maintenu jusqu’à la mi-2001 avant d’ensuite repartir à la baisse. Il a fallu attendre 2005 pour qu’il franchisse à nouveau le cap des 3 000 points. En mai 2007, il s’est hissé à un sommet de 4 740 points. Pendant la période qui a suivi, le plancher semble avoir totalement disparu. En mars 2009, il a atteint le plus bas de 1 527 points, soit un recul de 68% par rapport au sommet de mai 2007 !

Le BEL 20 s’est progressivement redressé et pour la première fois depuis septembre 2008, il est repassé à la mi-février 2014 au-delà de la limite des 3 000 points. La progression des Bourses de ces deux dernières années s’explique surtout par la politique monétaire souple et l’apaisement de la crise financière.

Le BEL 20 a donc bel et bien fait du surplace depuis quelques années. Nous constatons qu’après tout ce temps, l’indice conserve à peu près le même niveau. Tout au long de ces années, la Bourse a cependant fait du yoyo et a donc souvent donné l’occasion à l’investisseur attentif de prendre son bénéfice.

L’indice BEL 20 fait du surplace depuis quelques années

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6 Stratégie & Accents

StratégiePrintemps conjoncturel

Accents

❯ Maintenant que l’inflation ne pose plus problème, les banques centrales peuvent tout mettre en œuvre pour stimuler la croissance.

❯ Dans notre portefeuille, nous misons de plus en plus sur la reprise conjoncturelle.

❯ En 2014, la croissance bénéficiaire doit rede-venir le moteur de la progression des cours des actions.

Jusqu’où l’inflation peut-elle plonger ?

L’inflation ne pose problème dans aucun pays occi-dental et cette situation qui dure depuis quelque temps n’est pas près de changer. Elle permet aux banques centrales de maintenir leur politique de re-lance extrême. Une inflation modérée est positive car elle donne de l’oxygène à l’économie. La baisse des prix des matières premières, la stabilité des prix du pétrole, l’atonie de la croissance économique, la globalisation et, en ce qui concerne la zone euro, la vigueur de la monnaie unique sont des éléments qui entretiennent la faiblesse de l’inflation. Selon nous, l’inflation pourrait même être quasiment nulle pen-dant quelques mois. Les salaires augmentent plus vite que les prix, ce qui dope le pouvoir d’achat des mé-nages.

Selon les monétaristes, la politique de relance ex-trême des principales banques centrales comporte un risque inflationniste. Ces risques peuvent se produire en période de haute conjoncture, lorsque le marché du travail devient étriqué et que les entreprises ne peuvent plus suivre le rythme des commandes. Mais nous n’en sommes pas (encore) là.

Les banques centrales se concentrent sur la croissance

L’inflation ne préoccupe pas les banques centrales. La pérennité de la croissance économique reste pour elles le risque majeur. Étant donné que la hausse des taux du marché risque de compromettre la croissance, ceux-ci doivent à tout prix rester bas. Les investisseurs

se demandent combien de temps la Réserve fédérale va poursuivre cette politique de relance, alors que le défi de la Banque centrale européenne consiste à mener une politique soutenant la croissance écono-mique au maximum. La BCE cherche un appui com-plémentaire dans sa politique de bas niveau des taux. Elle n’a pas d’arguments pour relever son taux direc-teur. Un relâchement de taux nous paraît au contraire plus probable, un abaissement du taux actuel de 0,25 à 0,15% ou 0,10% étant il est vrai plutôt symbolique.

Les cours des actions anticipent le redressement économique

Les rapports cours/bénéfice ont grimpé en raison de l’envolée des cours et d’une maigre progression bé-néficiaire en 2013. En 2014, la croissance bénéficiaire des entreprises doit redevenir le moteur de la progres-sion des cours des actions.Depuis la fin 2012, le S&P 500 américain a progressé de 27%, alors que la hausse des bénéfices des en-treprises est restée limitée à 5,8%. La valorisation a bondi de 20%. En Europe, l’écart est aussi important; Le MSCI Europe a augmenté de 16% par rapport à la fin 2012. Le bénéfice par action s’est contracté de 1,8%, à tel point que certains investisseurs sont

Les tempêtes automnales et les rigueurs de l’hiver aux États-Unis n’empêchent pas les économistes de relever leurs prévisions de croissance pour les principales régions écono-miques. L’optimisme conjoncturel est mitigé, mais il constitue avant tout une bouffée d’air frais. Pour la première fois en sept ans, les investisseurs parlent d’une croissance de l’économie mondiale qui pourrait dépasser son niveau tendanciel, soit la dernière phase avant la haute conjoncture. Le printemps conjoncturel est la phase économique durant laquelle nous axons de plus en plus notre portefeuille sur la croissance.

Luk Van Heden

StrategistKBC Asset Management

En 2014, la croissance de l’économie mondiale pourrait s’établir à 3,6%, soit un niveau supérieur à la moyenne à long terme.

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La croissance de l'économie mondiale s'accélère

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Source : Datastream

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Stratégie & Accents

Stratégie

pris de vertige. On oublie parfois que les hausses de cours des années 2010, 2011 et 2012 n’ont pas sui-vi la croissance bénéficiaire, celle-ci ayant largement dépassé les attentes. L’écart de valorisation continue donc de pencher en faveur des actions. La croissance bénéficiaire atten-due aujourd’hui par les investisseurs n’est pas exagé-rée mais elle devra se concrétiser en 2014.

Les taux obligataires ont quitté leur plancher

L’annonce par la Fed de la réduction de ses achats de soutien (tapering) est à peu près le seul élément à avoir influencé les taux obligataires en 2013 et ce, de part et d’autre de l’Atlantique. Tout regain d’opti-misme conjoncturel ou d’appétit pour le risque pour-rait ternir l’attrait des obligations des États les plus solvables. Les taux pourraient donc augmenter sur le marché obligataire. La volonté de la Fed de garder les taux du marché sous contrôle limite cependant le potentiel de hausse. C’est pourquoi nous prévoyons tout au plus une légère remontée des taux obliga-taires aux États-Unis et même en Europe, mais rien ne permet de prédire la réaction des investisseurs lorsque la Fed changera son fusil d’épaule et pratiquera une politique restrictive.

La croissance économique se renforce

Une embellie conjoncturelle se dessine depuis la mi-2013. Les indicateurs de confiance des entrepreneurs et des ménages ont été les premiers à s’améliorer. C’est à présent au tour des chiffres de l’activité éco-nomique de progresser. La reprise économique se fonde sur une large base. Les prévisions de croissance sont revues à la hausse en raison essentiellement de l’augmentation du pouvoir d’achat attribuable au recul de l’inflation et à une moins grande rigueur dans les dépenses publiques. En 2014, la croissance de l’économie mondiale pourrait s’établir à 3,6%, soit un niveau supérieur à la moyenne à long terme.

La BCE accueillera avec enthou-siasme l’affaiblissement de l’euro

Les entreprises internationales de la zone euro ne se réjouissent pas de la vigueur de l’euro. Soit l’euro s’affaiblit de lui-même (et il y a des raisons pour cela), soit Mario Draghi, le président de la BCE, le dévalue. Un euro faible est en effet plus utile aux entreprises exportatrices qu’un abaissement de taux. La BCE appréciera, voire même encouragera ouvertement, l’appréciation du dollar. La croissance économique reste fragile en Europe. Le soutien des exportations est le bienvenu.

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8 Stratégie & Accents

StratégiePortefeuille

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Actions sansprotection du capital

Actions avecprotection du capital

Obligations

Immobilier

Placementsalternatifs

Cash

Très défensif

Défensif

Trèsdynamique

Dynamique

Composition du portefeuille

De nombreux arguments continuent de plaider en fa-veur des actions. Nous gardons toutefois les pieds sur terre et nous faisons la part belle aux formules assor-ties de la protection du capital. Nous avons également une préférence pour les actions à haut dividende. Bien qu’ils réduisent la cadence, les bénéfices des en-treprises frisent des sommets. À rapport cours/béné-fice stable, les cours des actions devraient progresser d’environ 5 à 6% par an. Ajoutons-y un rendement de dividende de 2,40% pour l’indice mondial d’ac-tions et de 3,25% pour les actions européennes et le rendement total escompté d’un investissement en actions à long terme s’élève à environ 10%, soit net-

tement plus que le rendement que l’on pourrait at-tendre des liquidités ou des obligations.

Nous ne craignons pas une forte hausse des taux obli-gataires à court terme, mais nous donnons la préfé-rence aux obligations dotées d’une durée résiduelle relativement courte. Notre quête de rendement nous incite à nous tourner vers les marchés émergents, qui offrent des taux nettement supérieurs à ceux des anciens pays industrialisés. Pour l’investisseur en quête de rendement, les alternatives sont peu nom-breuses. Les liquidités ne rapportent quasiment rien. En euro, leur rendement est quasi nul. Pour les investisseurs dont le profil de risque le permet, nous optons pour un investissement en dollar américain.

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9Stratégie & Accents

StratégieAccents dans le portefeuille

Dollar américain

Nous sommes optimistes à l’égard du dollar améri-cain. Le billet vert nous permet de nous couvrir contre d’éventuels rebondissements de la crise de l’euro, mais il a d’autres atouts. Tant que le cours de change USD/EUR dépasse 1,00-1,10, le dollar est sous-évalué. Une plus grande modération salariale et une évolu-tion plus favorable de la productivité aux États-Unis oriente le cours d’équilibre en direction de 0,90 à 1,00 USD par EUR. Malgré la reprise conjoncturelle en Europe, les perspectives de croissance y restent moins prometteuses qu’aux États-Unis. La Banque centrale américaine passera aussi plus vite que la BCE d’une politique de relance à une politique restrictive et celle-ci va de surcroît s’opposer à un raffermissement de l’euro.

Petites actions de la zone euro

Nous préférons les actions européennes aux actions américaines. Nous ne sommes pas défavorables aux actions américaines. Les États-Unis sont le plus grand marché d’actions au monde et nous surpondérons les actions, mais nous croyons fermement dans la reprise de la croissance en Europe. Les signaux ne manquent d’ailleurs pas. Vu les dernières nouvelles conjoncturelles, la valorisation moins élevée n’est plus justifiée. La crise de l’euro n’est pas résolue, mais elle a disparu des écrans radar. En Europe, la récession européenne a provoqué ces deux dernières années un retard béné ficiaire de 25 à 30% sur les États-Unis. Le moment est venu pour un mouvement de rattra-page. Grâce aux reprises de provisions pour pertes sur crédits, la reprise conjoncturelle américaine a déjà dopé les bénéfices des banques, ce qui devrait main-tenant également être possible dans la zone euro. L’étude en cours de la qualité des actifs bancaires en Europe devrait faire la clarté sur leur vulnérabilité.

Articles de luxe

Les marges bénéficiaires dans le secteur des articles de luxe sont nettement moins comprimées que dans les autres secteurs. Les producteurs d’articles de luxe sont nettement moins sensibles à la conjoncture qu’on ne le pense généralement et ils possèdent un important pouvoir de fixation des prix. La demande d’articles de luxe augmente en moyenne trois fois plus vite que le produit intérieur brut mondial. Le secteur abrite en outre de nombreuses entreprises européennes et l’appétit du consommateur asiatique pour le luxe est un facteur important. En 2013, la lutte contre la corruption en Chine a tempéré la frénésie d’achat de certains fonctionnaires, ce qui s’est répercuté sur la propension pour le risque des investisseurs et leurs achats d’actions de producteurs de luxe. Dans un contexte marqué par l’essoufflement des bénéfices d’entreprises et des marges bénéficiaires, un secteur qui parvient à préserver ses marges et sa croissance bénéficiaire a une longueur d’avance. La valorisation du secteur est devenue attrayante, la prime par rap-port au marché d’actions au sens large est nettement plus faible que la moyenne.

Le moment est venu pour les actions européennes de rattraper leur retard. C’est pourquoi nous préférons les actions européennes aux actions américaines.

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10 Stratégie & Accents

StratégiePerspectives économiques

Perspectives économiquesUEM Royaume-Uni Etats-unis Japon

Croissance économiques(%)

Inflation (%)

Taux officiel (%)

Taux à dix ans (%)

Cours de change 1 EUR = GBP 1 EUR = USD 1 EUR = JPY

28-02-2014

2013 -0,4 1,8 1,9 1,7

2014 1,1 2,5 3,0 1,6

2015 1,7 2,1 2,9 1,3

2013 1,4 2,6 1,5 0,4

2014 0,9 2,3 1,6 2,5

2015 1,3 2,1 2,1 2,1

28-02-2014 0,25 0,50 0,25 0,10

05-2014 0,10 0,50 0,25 0,10

08-2014 0,10 0,50 0,25 0,10

28-02-2014 1,57 2,68 2,64 0,59

05-2014 1,80 2,95 3,00 0,60

08-2014 2,10 3,25 3,30 0,70

28-02-2014 - 0,82 1,37 139,67

05-2014 - 0,82 1,33 134,33

08-2014 - 0,81 1,30 130,00

Page 11: Strategie 2014 03 fr

11Stratégie & Accents

Stratégiesélection d’obligations

Notre sélection d’obligations(1)

Monnaie Emprunt Prix d’émis- sion ou cours

indicatif

Date du coupon

Rating Rendement (en %)

Score produit (*)

Marché primaire

Marché secondaire

(1) Voir note 2 en dernière page.(*) Le score produit vous permet de comparer les différents produits d’épargne et d’investissement. Il se traduit par un chiffre allant de 1 (plus défensif) à 7 (plus dynamique).

L’annonce de la réduction des achats de soutien de la Fed a dopé en peu de temps les taux du marché de part et d’autre de l’Atlantique. À mesure que l’optimisme conjoncturel se renforce et que les investisseurs recherchent moins la sécurité, les taux obligataires peuvent continuer d’augmenter. Étant donné que la Réserve fédérale lie la réduction de ses achats de soutien à des conditions spécifiques telles que l’emploi, nous prévoyons tout au plus une légère augmentation des taux obligataires aux États-Unis. L’Europe s’inspire des États-Unis. Les différentiels de taux d’intérêt - notamment entre les différents États membres européens - pourraient encore se resserrer quelque peu, mais le recul sera limité.

EUR STAATSBON 0.900% 2014-2019

100,000 04/03 AA 0,900 2

EUR STAATSBON 1.750% 2014-2022

100,000 04/03 AA 1,750 2

AUD KBC IFIMA NV 4,000% 2014-2018

101,500 28/03 A- 3,590 4

AUD DANSKE BANK 5,000% 2013-2018

102,100 05/09 A- 4,470 4

USD PETROBRAS GLOBAL FINANCE 4,375% 2013-2023

91,000 20/11 BBB 5,650 4

USD VODAFONE GROUP PLC 2,950% 2013-2023

95,200 19/08 A- 3,590 4

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12 Stratégie & Accents

Actions en point de mire

Un potentiel de croissance sous-estimé

Accents

❯ Les actions technolo-giques sont relative-ment bon marché.

❯ La dernière saison de publication des résultats confirme les prévisions.

❯ La technologie est un secteur cyclique, axé sur la croissance.

Petit retour en arrière

Il y a plus de dix ans, au plus fort de la bulle Internet, le Nasdaq1 avait atteint un record de 5 133 points1. Il avait donc plus que doublé en l’espace d’une an-née. Les “capital-risqueurs” (investisseurs en capital- risque) avaient investi des millions de dollars dans des start-up Internet qui étaient entrées en Bourse avec un modèle économique n’ayant pas fait ses preuves et dont le cours de l’action s’était envolé. Chacun sait comment cela s’est terminé. Le sommet a coïncidé avec le début du déclin de ces valeurs technologiques. Cette bulle a donc à juste titre laissé de nombreux investisseurs amers.

Profiter pleinement du redressement économique

La technologie n’est plus depuis longtemps le secteur de croissance agressif qu’il était il y a dix ans. Il est bon de souligner que les entreprises de réseaux sociaux dont le parcours a été agité ces derniers temps n’en représentent qu’un segment relativement limité. Mais la technologie n’est pas non plus un secteur mature à croissance zéro.

Durant une phase de redressement économique telle que celle que nous connaissons actuellement, nous privilégions les secteurs de croissance, qui profitent au maximum de la reprise. Le secteur technologique revient par conséquent sur le devant de la scène. Nombre de grandes entreprises technologiques af-fichent une santé éblouissante. Leurs bilans sont quasi exempts de dettes et leurs liquidités sont abon-dantes. Elles ont donc toute latitude pour racheter

leurs actions, relever leur dividende ou se lancer dans des fusions et acquisitions. Apple l’illustre bien. La marque à la pomme a publié d’excellents résultats pour le trimestre clôturé le 31 décembre 2013. Le bé-néfice par action a bondi grâce notamment au rachat d’actions propres. La bonne nouvelle pour l’investis-seur réside dans la position de trésorerie, qui a grimpé à 158 milliards USD. Les actionnaires font pression sur le management pour qu’il leur verse plus de liquidités sous la forme d’un relèvement du dividende et d’un rachat d’actions propres.

Les entreprises technologiques affichent une valori-sation attrayante. Les TechTitans (Microsoft, Cisco, Intel…) sont particulièrement bon marché. Avec un rapport cours/bénéfice de 14,4, le secteur affiche une modeste prime de 5% par rapport au marché au sens large, la prime traditionnelle pour ce secteur de crois-sance étant ainsi largement inférieure à la moyenne de 20% des dix dernières années. Le secteur tech-nologique est en outre quasiment la seule branche industrielle dont les prévisions sont encore revues à la hausse. Une croissance bénéficiaire de 12% est atten-due pour les 12 prochains mois. La technologie est donc un secteur cyclique, axé sur la croissance.

En phase de redressement économique, nous privilégions les secteurs axés sur la croissan-ce, qui profitent au mieux de la reprise. Nombre de grandes entreprises technolo giques affichent une santé éblouissante. Elles possèdent des bilans pour ainsi dire exempts de dettes et disposent de liquidités abondantes, qu’elles reversent de plus en plus aux actionnaires. La technologie est par excellence le secteur alliant de très belles perspec-tives de croissance à une valorisation attrayante.

Les prévisions bénéficiaires sont revues à la hausse

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Le secteur technologique cote largement en deçà de la moyenne à long terme

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Valorisation du secteur technologique Valorisation moyenne du secteur technologique

Stratégie & Accents

Actions en point de mire

Informations spécifiques aux entreprises

MicrosoftActivité : Microsoft est le numéro un des éditeurs de logiciels en termes de chiffre d’affaires. Vu la diversification des activités de l’entreprise, l’importance de Windows et Office est retom-bée de 80% à 60%. Ces dernières années, l’entreprise a exploré de nouveaux marchés tels que les jeux (Xbox), l’Internet (Skype) et les moteurs de recherche (Bing). Cours : 37,62 USDObjectif de cours : 41,00 USDRecommandation : augmenterDernière modification de la recomman­dation : 10-01-2011 d’acheter à augmenter

IntelActivité : Intel est le plus grand producteur de compo-sants de semi-conducteurs. Les microproces-seurs sont son produit phare. Cours : 24,75 USDObjectif de cours : 29,00 USDRecommandation : acheterDernière modification de la recomman­dation : 05-04-2012 de conserver à acheter

AppleActivité : Apple doit sa réputation de société innovante au PC Mac, bien qu’aujourd’hui, les PC ne représentent plus que 15% de son chiffre d’affaires. Le groupe est devenu un acteur de premier plan dans le domaine de l’élec-tronique grand public, avec ses smartphones (iPhone), ses tablettes (iPad), ses baladeurs numériques (iPod) et son magasin en ligne (iTunes). Cours : 543,99 USDObjectif de cours : 590, 00 USDRecommandation : augmenterDernière modification de la recomman­dation : 16-01-2014 d’acheter à augmenter

Quelques tendances essentielles

Plusieurs tendances importantes engendrent une forte croissance structurelle. Appareils mobiles : les smartphones et les tablettes ne se sont jamais aussi bien vendus. Nous sommes en effet de plus en plus nombreux à accéder à l’Internet mobile. Informatique dématérialisée : tous les logiciels, fichiers et données sont stockés sur l’Internet. Toutes ces in-formations sont ainsi accessibles en tout lieu et à tout moment. L’e-commerce et l’Internet forment sans aucun doute la niche affichant actuellement la plus forte crois-sance. Les ventes en ligne et les publicités ciblées supplantent progressivement les canaux traditionnels. Ces développements fondamentaux engendrent une intensification du trafic de données, ce qui nécessite d’investir dans des capacités de réseau supplémen-taires. Ce qui dope à son tour la mobilité, l’informa-tique dématérialisée, etc.

Le secteur va donc profiter du renouvellement constant des produits, des investissements dans la capacité, de la rapide demande de remplacement,…

Il sera également le premier à tirer parti du redémar-rage de la demande d’investissement. À première vue, les dépenses IT s’annoncent prometteuses pour 2014. La dernière saison de publication des résul-tats a en outre confirmé que le chiffre d’affaires et le bénéfice profitaient de ces tendances, qui se ren-forcent mutuellement et qui pourraient encore géné-rer plus de revenus à l’avenir.

1: National Association of Securities Dealers Automated Quotations (= Bourse technologique)

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14 Stratégie & Accents

Sous la loupeOrganisme de placement collectif(1)

Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier

Accents

❯ un choix optimal entre actions et obligations.

❯ une gestion modélisée, qui ne se laisse pas guider par les émotions.

Un investissement réussi nécessite de prendre des dé-cisions rationnelles en toutes circonstances en fonc-tion des conditions du marché. Nous ne devons plus vous convaincre de l’importance d’une bonne ven-tilation du portefeuille tant lorsque la Bourse chute (soudainement) que lorsqu’elle se relève.

KBC Participation Flexible Portfolio

Flexible Portfolio, un compartiment de la sicav de droit belge KBC Participation, est un fonds mixte . Chaque année, Flexible Portfolio part d’une réparti-tion égale (50%-50%) entre actions et obligations. En cours d’année, la catégorie la plus performante se voit progressivement attribuer un poids plus impor-tant. Le portefeuille peut donc temporairement être composé à 100% d’actions ou d’obligations. Sans se laisser guider par les émotions, Flexible Portfolio peut prendre son bénéfice chaque année sur la caté-gorie la plus performante et réinvestir le produit de la vente dans la catégorie la moins performante (qui est alors moins chère). Une prise de bénéfice est pos-sible si l’une des deux catégories a réalisé des per-formances positives pendant l’année écoulée. Dans

le cas contraire, le fonds2 procédera également à un rééquilibrage, de manière à obtenir une répartition égale. La composition des volets actions et obligations est conforme à la stratégie d’investissement KBC. Le fonds n’offre pas la protection du capital.

(1): Voir note 1 en dernière page.2: Par ‘fonds’, on entend un compartiment de la sicav de droit belge KBC Participation.

Prix de souscription initial : 1 000 euros. Possibilité d’entrée et de sortie quotidienne à la VNI en vigueur. Frais d’entrée : 3,00%. Frais de sortie: néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière (parts de capitalisation) : 1% en cas de sortie (max. 1 500 euros). Actuellement, les plus-values (parts de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier. PM dist. : 25%. Ce compartiment est régi par la législation fiscale belge. Le traitement fiscal dépend de votre situation individuelle et peut varier dans le temps. Service financier : KBC Bank et CBC Banque. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Echo) ainsi que sur le site www.kbc.be/recherchedefonds. Le prospectus, le document Informations clés pour l’investisseur (“Key Investor Information Document” ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement en néerlandais (ainsi qu’en français pour le KIID) auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Consultez le document Informations clés pour l’investisseur avant de décider d’investir dans ce compartiment.

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15Stratégie & Accents

Sous la loupeOrganisme de placement collectif(1)

L’Asie offre des opportunités

Accents

❯ L’économie asiatique s’appuie sur une base très solide.

❯ Les marchés d’actions asiatiques sont restés à la traîne ces dernières années.

La région asiatique continue d’afficher la plus forte croissance à l’échelon mondial. La Bourse asiatique est pourtant restée à la traîne ces dernières années, ce qui se justifie peu : les marchés émergents n’ont pas de problèmes budgétaires et leurs finances publiques sont saines. Les actions asiatiques ont par conséquent leur place dans un portefeuille d’investissement bien ventilé.

KBC Participation Asian Opportunity USD 1

KBC propose, en tant que promoteur, Asian Opportu-nity USD1, un compartiment de la sicav de droit belge KBC Participation. Le compartiment investit dans trois indices boursiers asiatiques, ayant chacun la même pondération, à savoir les indices Hang Seng China Enterprises (Hong Kong), KOSPI 200 (Corée du Sud) et TAIEX (Taïwan). La hausse éventuelle du panier2 est versée à l’échéance à titre de plus-value, en plus de la mise initiale. La plus-value est plafonnée à 120% ou maximum 14,08% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes. Une baisse du panier2 est prise en compte à titre de moins-value, avec un maximum de -10% ou de minimum -1,75% en moyenne en base

annuelle (avant frais et taxes). Le compartiment est coté en USD : un raffermissement éventuel du dollar face à l’euro pourrait générer un surcroît de rende-ment. Sa dépréciation éventuelle par rapport à l’euro peut avoir un impact négatif sur le rendement. La vo-latilité de la valeur nette d’inventaire peut être élevée en raison de la composition du portefeuille.

Souscription du 3 mars 2014 au 31 mars 2014 avant 6 heures du matin (sous réserve de clôture anticipée) avec date valeur le 7 avril 2014. La souscription n’est possible que dans votre agence bancaire. Prix de souscription initial : 1 000 USD. Frais d’entrée : 2,5% pendant la période de souscription, 3,5% par la suite. Frais de sortie à l’échéance finale : néant (1,00% avant l’échéance finale). Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’en-trée : max. 5%. Taxe boursière : 1% à la sortie (max. 1 500 EUR); à l’échéance finale : néant. Le traitement fiscal dépend de votre situation individuelle et peut varier dans le temps. La loi du 30 juillet 2013 prévoit la retenue du PM sous certaines conditions en cas de rachat, de liquidation, à l’échéance finale ou de vente. Pour l’heure, nous ignorons si cette loi s’applique également à ce produit d’investissement. Service financier : KBC Bank et CBC Banque. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Echo) ainsi que sur le site www.kbc.be/recherchedefonds. Le prospectus, le document Informations clés pour l’investisseur (“Key Investor Information Document” ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement en néerlandais (ainsi qu’en français pour le KIID) auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Consultez le document Informations clés pour l’investisseur avant de décider d’investir dans ce compartiment.

(1) Voir note n°1 en dernière page2: (Valeur finale moins Valeur initiale) divisée par la Valeur initiale

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WWWPlus de renseignements sur: www.kbc.be/investir

Le parution du prochain numéro le 07 avril 2014

Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles.

Ce document est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM), basée sur les recommandations d’investissement de KBC AM et/ou les résumés de rapports d’analyse de KBC Securities SA (KBC Sec), et est diffusé par KBC Bank.

Cette publication est une communication publicitaire et n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’Arrêté royal du 3 juin 2007 portant les règles visant à transposer la directive sur les marchés d’instruments financiers, de sorte que les prescriptions légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements ne sont pas d’application. Les présentes recommandations ne constituent pas un conseil en investissement personnalisé. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effec-tuer des transactions sur l’instrument financier concerné avant la diffusion des recommandations. La rémunération des collaborateurs ou préposés employés par KBC AM et/ou KBC Sec et chargés de l’établissement des recommandations n’est pas directement liée à des transactions de banque d’affaires. Le prospectus, le document d’informations clés pour l’investisseur (“Key Investor Information Document” ou KIID) et les derniers rapports périodiques sont disponibles gratuitement auprès de KBC Asset Management SA et sont accessibles au public sur le site www.kbcam.be. Les informations du présent document sont valables au moment de sa rédaction. Elles peuvent être modifiées sans préavis et n’offrent aucune garantie pour l’avenir. Les résultats des instruments et indices financiers présentés sont des résultats obtenus par le passé. Ils ne constituent donc pas un indicateur fiable des résultats futurs. Si les résultats des instruments et indices financiers pré-sentés sont libellés dans une autre devise que l’euro, le rendement peut être plus ou moins élevé en raison des fluctuations de change. Aucun passage de ce document ne peut être reproduit sans l’autorisation expresse, écrite et préalable de KBC AM. Ces informations sont soumises au droit belge et relèvent de la juridiction exclusive des tribunaux belges.Pour certains éléments essentiels des recommandations d’investissement (dont le règlement de conflits d’intérêts), qui ne figurent pas dans le document faute de place, nous vous renvoyons, pour KBC Sec, aux ‘Disclosures’ consultables sur www.kbcsecurities.com/disclo-sures et, pour KBC AM, aux Directives générales relatives aux recommandations d’investissement de KBC Asset Management disponibles sur le site www.kbcam.be/actions.

Éditeur responsable : KBC Groupe SA, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles, Belgique. TVA BE 0403.227.515, RPM Bruxelles. www.kbc.be

Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations pure-ment factuelles. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré.

Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis.

Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro A01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/ actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC.

Photos utilisées: www.shutterstock.com

Rédaction terminée le 3 mars 2014

(1) Une sicav (société d’investissement à capital variable) est un organisme de placement collectif (OPC). Un OPC est généralement créé par un organisme financier mais forme une entité juridique distincte. Une action achetée dans un OPC donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois se déprécier. Les investissements en OPC permettent de répartir les risques et facilitent l’accès aux Bourses et marchés étrangers. Les placements en OPC sont couverts par le Fonds de protection des dépôts et des instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum, si un établissement de crédit ou une société de Bourse détient des parts d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut les fournir ou les restituer à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection.

(2) Une obligation est un produit d’investissement et des risques y sont liés. Ces risques diffèrent d’une obligation à l’autre. En outre, de nombreux émetteurs d’obligations ont également un rating. Celui-ci indique la probabilité selon laquelle l’entreprise ou l’administra-tion qui émet l’obligation pour rembourser elle-même le prêts et les intérêts qui y sont liés. C’est ce que l’on appelle leur «crédibilité”.