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DOSSIER DU MOIS : Comment ne pas grossir pendant les fêtes ? Voici mes conseils Pendant le repas de fête : 1 - Décidez de ne pas manger de pain 2 - Décidez de ne pas manger de toast avec votre foie gras ou de pain avec vos huitres 3 - Décidez de ne pas manger de petits fours ou de gâteaux pendant l’apéritif : favorisez amandes, pistaches, olives, fromage, crudités… 4 - Décidez de prendre deux parts de viande ou de poisson et d’éviter autant que faire se peut le riz, les pâtes, et d’une manière générale tout ce qui est à base de blé 5 - Décidez de plutôt choisir un dessert sans amidon et le moins sucré possible. Evitez à tout prix la traditionnelle bûche de Noël 6 - Décidez de boire un verre d’eau pour chaque verre de vin Le lendemain du repas de fête : Organisez une diète DETOX et allez marcher pendant 1 heure. Une journée de Detox suffit en général, mais n’hésitez pas à la prolonger de une ou deux journées supplémentaires si vous le ressentez comme nécessaire. Lorsque vous avez grossi pendant les fêtes ... Vous n’aurez peut être pas échappé à l’enchaînement diabolique mais tellement agréable des repas festifs, trop généreux, trop riches, trop arrosés… Et ressentirez alors un violent besoin de mettre votre corps « au vert ». Les fêtes de fin d’année sont des moments exceptionnels où la convivialité rime avec repas exceptionnels et même enchainement de repas exceptionnels. Ces repas sont exceptionnels car ils répondent à des rites où la générosité est synonyme d’opulence. Rares sont ceux d’entre nous dont le corps sort indemne de cette période d’agapes. Pour tous ceux qui n’ont pas de problème métabolique et qui peuvent équilibrer facilement leur poids en dehors de ces périodes particulières, quelques jours d’une diète plus sage effaceront sans difficulté les quelques kilos importuns. Pour tous les autres, ceux qui ne maîtrisent pas leur poids malgré toute l’attention qu’ils portent à leur alimentation et à leur hygiène de vie en général, le moindre dérapage sera sanctionné par une prise de poids significative et des désagréments qui viendront majorer tous les symptômes de leurs dysfonctionnements. Fatigue, ballonnement et envie de dormir après les repas, mauvaise digestion, réapparition des fringales, difficulté à se rassasier, maux de tête, troubles du transit intestinal… Stratégies Minceur & Santé n°7 - Noël 2013 ACTUALITÉ LIVRE « Stratégie pour maigrir » Éditions : Testez En posant comme principe que « grossir n’est pas trop manger ou ne pas assez bouger, mais mal fonctionner », Didier Panizza expose une nouvelle vision, basée sur une démarche rigoureuse, claire et simple. Commandez-le ici : http://www.testezeditions.be ACTUALITÉ Santé & Environnement La parole au Professeur Dominique Belpomme Le 17 octobre 2013, lors d’une interview accordée au Républicain Lorrain, à l’occasion de la Foire internationale bio de Gorcy, Le Pr Belpomme a critiqué sévèrement le dernier rapport de l’ANSES sur les champs électromagnétiques EXTRAIT : « Les polluants sont donc partout ? (question du Républicain Lorrain) « Oui, et c’est irréversible quand ils ont pénétré dans l’organisme. On constate une explosion des cancers, autisme, Alzheimer (que des études internationales relient aux ondes électromagnétiques), allergies, diabètes en France. Et comme pour l’amiante, cela prendra du temps pour réagir, alors que les polluants sont plus dangereux. » (réponse du Pr D. Belpomme) Lire la suite : http://www.republicain-lorrain.fr/meurthe-et- moselle/2013/10/17/foire-bio-de-gorcy-en-lutte- contre-le-cancer

Stratégies Minceur & Santé n°7 - Noël 2013conseils-sante-minceur-docteur-panizza.com/.../N7-NOEL-2013.pdf · n°7 - Noël 2013 ACTUALITÉ LIVRE « Stratégie pour maigrir »

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DOSSIER DU MOIS : Comment ne pas grossir pendant les fêtes ?

Voici mes conseils

Pendant le repas de fête :

1 - Décidez de ne pas manger de pain

2 - Décidez de ne pas manger de toast avec votre foie gras ou de pain avec vos huitres

3 - Décidez de ne pas manger de petits fours ou de gâteaux pendant l’apéritif : favorisez amandes, pistaches, olives, fromage, crudités…

4 - Décidez de prendre deux parts de viande ou de poisson et d’éviter autant que faire se peut le riz, les pâtes, et d’une manière générale tout ce qui est à base de blé

5 - Décidez de plutôt choisir un dessert sans amidon et le moins sucré possible. Evitez à tout prix la traditionnelle bûche de Noël

6 - Décidez de boire un verre d’eau pour chaque verre de vin

Le lendemain du repas de fête :

Organisez une diète DETOX et allez marcher pendant 1 heure. Une journée de Detox suffit en général, mais n’hésitez pas à la prolonger de une ou deux journées supplémentaires si vous le ressentez comme nécessaire.

Lorsque vous avez grossi pendant les fêtes ...

Vous n’aurez peut être pas échappé à l’enchaînement diabolique mais tellement agréable des repas festifs, trop généreux, trop riches, trop arrosés… Et ressentirez alors un violent besoin de mettre votre corps « au vert ».

Les fêtes de fin d’année sont des moments exceptionnels où la convivialité rime avec repas exceptionnels et même enchainement de repas exceptionnels. Ces repas sont exceptionnels car ils répondent à des rites où la générosité est synonyme d’opulence.

Rares sont ceux d’entre nous dont le corps sort indemne de cette période d’agapes. Pour tous ceux qui n’ont pas de problème métabolique et qui peuvent équilibrer facilement leur poids en dehors de ces périodes particulières, quelques jours d’une diète plus sage effaceront sans difficulté les quelques kilos importuns. Pour tous les autres, ceux qui ne maîtrisent pas leur poids malgré toute l’attention qu’ils portent à leur alimentation et à leur hygiène de vie en général, le moindre dérapage sera sanctionné par une prise de poids significative et des désagréments qui viendront majorer tous les symptômes de leurs dysfonctionnements. Fatigue, ballonnement et envie de dormir après les repas, mauvaise digestion, réapparition des fringales, difficulté à se rassasier, maux de tête, troubles du transit intestinal…

Stratégies Minceur & Santén°7 - Noël 2013

ACTUALITÉLIVRE

« Stratégie pour maigrir »Éditions : Testez

En posant comme principe que « grossir n’est pas trop manger ou ne pas assez bouger, mais mal fonctionner », Didier Panizza expose une nouvelle vision, basée sur une démarche rigoureuse, claire et simple.

Commandez-le ici :http://www.testezeditions.be

ACTUALITÉSanté & Environnement

La parole au Professeur Dominique Belpomme

Le 17 octobre 2013, lors d’une interview accordée au Républicain Lorrain, à l’occasion de la Foire internationale bio de Gorcy, Le Pr Belpomme a critiqué sévèrement le dernier rapport de l’ANSES sur les champs électromagnétiques

EXTRAIT : « Les polluants sont donc partout ? (question du Républicain Lorrain)

« Oui, et c’est irréversible quand ils ont pénétré dans l’organisme. On constate une explosion des cancers, autisme, Alzheimer (que des études internationales relient aux ondes électromagnétiques), allergies, diabètes en France. Et comme pour l’amiante, cela prendra du temps pour réagir, alors que les polluants sont plus dangereux. »(réponse du Pr D. Belpomme)

Lire la suite :http://www.republicain-lorrain.fr/meurthe-et-

moselle/2013/10/17/foire-bio-de-gorcy-en-lutte-contre-le-cancer

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1. Commencez : par une journée DETOX

Protocole Diète DETOX

Pendant 24 HEURES

1- Cure de fruits et légumes exclusive sous forme de jus :mixer pour obtenir 1 litre à boire pendant la journée

• pamplemousse • pomme • céleri • carottes • poireau • radis en quantités égales

2- Infuser dans ½ litre d’eau, en parts égales(1 c à soupe de chaque / Romarin, Mélisse, Boldo,

Coriandre, Fenouil et Cannelle) : à boire au moment des repas,matin, midi et soir.

2. Enchaînez : un jour, deux jours, trois jours de DIÈTE BASCULE MÉTABOLIQUE pour utiliser l’énergie des graisses stockées pendant les fêtes et non plus celles des sucres avalés. Vous allez fonctionner quelques heures en mode FAT BURNER (brûleur de graisse) EXCLUSIF.

3. Terminez : en mode FAT BURNER DOMINANT

Téléchargez le protocole nutritionnel en PDF :http://alimentation.panizza.net/newsletter-noel2013/Protocole-nutritionnel.pdf

FAT BURNER DOMINANT

« La surabondance de fructose dans notre alimentation »

Le fructose est un sucre simple au pouvoir sucrant élevé et à l’index glycémique bas. Il est présent en faible quantité dans notre alimentation de base.Jusqu’aux années 1960, les apports en fructose étaient modérés et provenaient essentiellement des fruits (2 à 6 g/100 g), des fruits secs (12 à 34 g/100 g) et du miel (42 g/ 100 g).L’alimentation traditionnelle apportait environ 20 g de fructose par jour. Les progrès technologiques ont permis de fabriquer du fructose à partir du maïs.Le sirop dérivé du maïs ou High Fructose Corn Syrup (HFCS) contient 42 à 55 % de fructose et connaît un grand succès aux Etats Unis où il est largement utilisé comme sucre ajouté, notamment dans les boissons sucrées.En 2007, la consommation de HFCS aux USA représentait 41 % de l’ensemble des sucres ajoutés, alors qu’elle était proche de zéro en 1970.Pendant ce temps, la consommation de fructose libre (fruits) a nettement diminuée.La surconsommation de fructose n’est pas sans risque métabolique au-delà d’un seuil de sécurité fixé à 50 g/j. L’enquête de population nord-américaine NHANES III situe les apports moyens en fructose à 54,7 g/j.Nous sommes assez loin de ces chiffres en France, mais la « westernisation » de notre alimentation peut poser des questions quant aux répercussions du fructose sur la santé. Le métabolisme du fructose est particulier : il est réalisé en grande partie dans le foie, et est donc indépendant de l’action de l’insuline. Toutefois, des apports importants induisent une élévation modérée de l’insuline et inhibent l’élimination des graisses stockées.Le fructose se singularise donc par un index glycémique proche de 20% contre 70% pour le sucre de table et possède un pouvoir sucrant de 1,3 par rapport à ce même sucre de table.

DÉCOUVREZ L’UN DE SES LIVRES

ACTUALITÉ MÉDICALE : LE FRUCTOSE

Pr. Dominique Belpomme

« GUÉRIR DU CANCER OU S’EN PROTÉGER»Fayard - 2005

Peut-on éradiquer le cancer ? Oui, si nous changeons notre conception de la maladie : tel est le message d’espoir du professeur Dominique Belpomme, président de l’Association française pour la recherche thérapeutique anticancéreuse (ARTAC). II y a urgence. Car si les progrès de la médecine permettent désormais de vraies guérisons pour près de la moitié des malades, aucune nouvelle amélioration significative n’est à attendre des recherches thérapeutiques. Démonstration scientifique à l’appui, l’auteur en arrive à la conclusion que ces recherches sont aujourd’hui dans l’impasse. Or les causes des cancers ne sont pas seulement celles que l’on croyait jusqu’alors. Loin de tenir uniquement à notre mode de vie, elles sont en fait en grande partie liées à la pollution de l’environnement par les produits chimiques, l’amiante, les pesticides, les dioxines, certains additifs alimentaires... C’est ce que souligne l’Appel de Paris. Nous sommes à un tournant : c’est une politique de santé absolument nouvelle qu’il s’agit de mettre en œuvre, fondée sur la précaution et la prévention. Ce livre est également un guide à l’usage à la fois des malades et des bien portants, avec sept règles précises à suivre pour guérir d’un cancer et trente recommandations pratiques pour éviter d’en être atteint. II est écrit dans un style simple et direct, avec une grande chaleur humaine, par un médecin qui a consacré sa vie à combattre la maladie.

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La question du mois

(Chaque mois vous êtes nombreux à me poser vos questions par mail, auxquelles je réponds toujours. Quelques-unes de ces réponses sont publiées ici, en rapport avec le thème mensuel.)

« Je souffre d’intolérances alimentaires et d’une hypothyroïdie : y a-t-il un lien entre ces deux affections? »

La réponse du Dr Didier Panizza

« La glande thyroïde joue un rôle très important dans l’immunité et en particulier dans la protection du tube digestif.Il existe un lien étroit entre l’hypothyroïdie et la dysbiose intestinale, l’une allant rarement sans l’autre.La dysbiose intestinale favorise les intolérances alimentaires et la production d’anticorps, et parfois d’auto-anticorps dirigés contre nos propres organes, en particulier la thyroïde.Il en résulte un cercle vicieux, fréquemment rencontré, qui doit être traité en s’occupant des deux problèmes simultanément : toute dysbiose se déroulant dans un contexte d’hypothyroïdie non traitée mène à l’échec thérapeutique et de la même manière toute hypothyroïdie évoluant dans un contexte de dysbiose non traitée sera difficile à équilibrer.C’est un aspect fondamental du diagnostic et du traitement, et il explique un nombre élevé de cas rebelles de dysbioses intestinales, en particuliers fongiques à candida albicans.Je rappelle que l’évaluation de la fonction thyroïdienne s’effectue d’abord sur une base clinique (prise de poids, frilosité, fatigue…) puis biologique (dosage des hormones T3 libre, T4 libre, TSH, anticorps anti-thyroïdiens, iode). »

L’augmentation des apports en fructose sous forme de HFCS est tenue comme l’une des grandes responsables de l’augmentation de l’obésité ces 40 dernières années, des stéatoses hépatiques non alcooliques, des affections coronariennes, de l’hyperuricémie et des crises de goutte.Il n’y a pas lieu de diaboliser le fructose apporté par une alimentation traditionnelle (fruits), mais il est nécessaire de limiter strictement la consommation de boissons sucrées et des produits manufacturés enrichis en fructose.

Note inspirée de l’article du Pr J.L Schlienger (faculté de médecine de Strasbourg) paru dans la revue Diabétologie Pratique – Juin 2013

ACTIONS CITOYENNES SANTÉ

Si vous souhaitez vous tenir informés en Santé Naturelle et agir avec l’IPSN pour faire entendre votre voix sur certaines

incohérences de notre système de santé, RDV ci-dessous pour signer les pétitions :

«mains propres», «conflits d’intérêt», «vaccinations»

• Dr Didier PANIZZA → Médecine du Poids Exploration de la masse graisseuse, Composition corporelle

• Dr Suva LOAP → Médecine Anti-âge

• Dr Donatella NEGRO → Chirurgie plastique et esthétique Visage - Seins - Cellulite

• Professeur Dominique BELPOMME→ Cancérologue→ Conseiller scientifique

• Plateau technique : Lasers Alma

• Formations médicales en Médecine et Biologie fonctionnelles - Implants cheveux - nutrigénomique - nutriméta-bolique - lasers médicaux.

Tél. : 01 76 38 20 10Mail : [email protected] : www.nutriscienceclinic.com

en écoute disponible sur le lien : Partie 1 - http://alimentation.panizza.net/N6-

Podscast-Sept-2013-Dr-Panizza.m4a

Partie 2 - http://alimentation.panizza.net/news-letter-noel2013/20130403%20165010.m4a

« Les intolérancesalimentaires, quelles en sont les causes ? Quelles sont les conséquences sur notre organisme et sur la prise de poids ? »

http://www.ipsn.eu/petition/peti-tion_signature.html

PODCASTdu Dr Didier Panizza

RÉPONSES À MES PATIENTS : Les conseils du Dr Didier PANIZZACONSULTATIONLe plateau de

NUTRI SCIENCE CLINIC Paris

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L’ALIMENT DU MOIS

Le bêta-carotène est la molécule qui donne sa couleur orange à la carotte. Il fait partie de la famille des Caroténoïdes, qu’on trouve dans les fruits et les légumes, ainsi que dans le jaune d’œuf.

L’activité biologique principale du bêta-carotène est d’être le précurseur de la Vitamine A (vitamine importante pour la vision et pour la peau) mais il a aussi des propriétés anti-oxydantes importantes qui en font un élément majeur pour la prévention des cancers et de nombreuses maladies chroniques.

Le bêta-carotène se trouve dans les carottes, les poivrons, les épinards, la laitue, les tomates, la patate douce, le brocoli, le cantaloup, la courge et l’abricot. Mais c’est dans la spiruline qu’on en trouve en plus grande quantité (10 à 15 fois plus que dans la carotte).

Les quantités journalières recommandées de bêta-carotène sont de 2 à 6 mg.

Où en trouver ?100 grammes de carottes apportent 11,5 mg100 grammes d’épinards 4,5 mg100 grammes de brocolis 0,4 mg100 grammes d’abricots 1,5 mg

Aucun effet indésirable ou toxique n’a été démontré en cas de dosage élevé de bêta-carotène. Un apport excessif peut toutefois entraîner une coloration jaune de la peau : la coloration disparaît si la consommation de caroténoïdes est réduite ou stoppée.L’organisme convertit uniquement en vitamine A la quantité de bêta-carotène qui lui est nécessaire sans risque d’intoxication.

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