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MUNICIPALITÉ D'ENGHIEN-LES-BAINS (Val-d'Oise)
SOCIÉTÉ D'EXPLOITATION DES EAUX ET DES THERMESD'ENGHIEN-LES-BAINS (Val-d'Oise)
Surveillance de la nappe hydrominérale
d'Enghien-les-Bains (Val-d'Oise)
bilan de l'année 1986
BRGM
MUNICIPALITÉ D'ENGHIEN-LES-BAINS (Val-d'Oise)
SOCIÉTÉ D'EXPLOITATION DES EAUX ET DES THERMES
D'ENGHIEN-LES-BAINS (Val-d'Oise)
Surveillance de la nappe hydrominérale
d'Enghien-les-Bains (Val-d'Oise)
bilan de l'année 1986
J. CampinchiM. Richard
Février 198787 SGN 120 IDF
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional Ile-de-FranceZ.I. de la Haie Griselle - 27, rue du 8-Mai 1 945
Boîte n° 206 - 94478 Boissy-St-Léger Cedex - Tél.: 45.69.33.33
BRGM
MUNICIPALITÉ D'ENGHIEN-LES-BAINS (Val-d'Oise)
SOCIÉTÉ D'EXPLOITATION DES EAUX ET DES THERMES
D'ENGHIEN-LES-BAINS (Val-d'Oise)
Surveillance de la nappe hydrominérale
d'Enghien-les-Bains (Val-d'Oise)
bilan de l'année 1986
J. CampinchiM. Richard
Février 198787 SGN 120 IDF
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional Ile-de-FranceZ.I. de la Haie Griselle - 27, rue du 8-Mai 1 945
Boîte n° 206 - 94478 Boissy-St-Léger Cedex - Tél.: 45.69.33.33
SURVEILLANCE DE LA NAPPE HYDROMINERALED ENGHIEN-LES-BAINS
BILAN DE L'ANNEE 1986
87 SGN 120 IDF J. CAMPINCHIM. RICHARD
CLIENTS : MUNICIPALITE D'ENGHIEN-LES-BAINS (VAL D'OISE)SOCIETE D'EXPLOITATiaSi DES EAUX ET DES THERMESD'ENGHIEN-LES-BAINS (VAL D'OISE)
AFFAIRE SUIVIE PAR : J. CAMPINCHI
La surveillance de la nappe sulfureuse d'Enghien-les-Bains (Val d'Oise)
a été poursuivie en 1986, pour le corpte de la inunicipalité et de la Société des
Eaux et des Thermes d'Enghien par le B.R.G.M (SGR/IDF) avec la collaboration du
Laboratoire du Service de contrôle des Eaux de la Ville de Paris.
Le contrôle mensuel a porté sur 24 ouvrages répartis tout autour du Lac et a in¬
téressé la piézométrie et la qualité des eaux du gisonent hydroninéral .
Les niveaux de la nappe recelée par les calcaires-^nameux du ST Ouen
(Bartonien moyen) et par les alluvions tourbeuses, sont normaux et voisins de
ceux des trois dernières années. La légère tendance à la baisse notée à partir de
1983 se poursuit ; elle est d'origine naturelle et sans proportion avec la chute
de 1982 enregistrée lors des patpages mis en oeuvre lors de l'édification du col¬
lecteur des Avenues Kellermann-Casanova .
Les teneurs en sulfures des trois captages des Thermes (Coquil III, Peli-
got et AGI ) restent correctes , le degré suif ydrométriques de leurs eaux demeure
catpris entre 15 et 40° en 1986. Depuis une quinzaine d'années, il y a une stabili¬
sation des valeurs moyennes de ce paramètre dans le puits Peligot et une tendance
à l'augmentation dans l'ouvrage dénanmé Coquil III. Les autres caractéristiques
physicochimiques de ces eaux demeurent normales avec une prédominance des bicar¬
bonates et des sulfates de calcium. Ces eaux sont de bonne qualité bactériologi¬
que.
SURVEILLANCE DE LA NAPPE HYDROMINERALED ENGHIEN-LES-BAINS
BILAN DE L'ANNEE 1986
87 SGN 120 IDF J. CAMPINCHIM. RICHARD
CLIENTS : MUNICIPALITE D'ENGHIEN-LES-BAINS (VAL D'OISE)SOCIETE D'EXPLOITATiaSi DES EAUX ET DES THERMESD'ENGHIEN-LES-BAINS (VAL D'OISE)
AFFAIRE SUIVIE PAR : J. CAMPINCHI
La surveillance de la nappe sulfureuse d'Enghien-les-Bains (Val d'Oise)
a été poursuivie en 1986, pour le corpte de la inunicipalité et de la Société des
Eaux et des Thermes d'Enghien par le B.R.G.M (SGR/IDF) avec la collaboration du
Laboratoire du Service de contrôle des Eaux de la Ville de Paris.
Le contrôle mensuel a porté sur 24 ouvrages répartis tout autour du Lac et a in¬
téressé la piézométrie et la qualité des eaux du gisonent hydroninéral .
Les niveaux de la nappe recelée par les calcaires-^nameux du ST Ouen
(Bartonien moyen) et par les alluvions tourbeuses, sont normaux et voisins de
ceux des trois dernières années. La légère tendance à la baisse notée à partir de
1983 se poursuit ; elle est d'origine naturelle et sans proportion avec la chute
de 1982 enregistrée lors des patpages mis en oeuvre lors de l'édification du col¬
lecteur des Avenues Kellermann-Casanova .
Les teneurs en sulfures des trois captages des Thermes (Coquil III, Peli-
got et AGI ) restent correctes , le degré suif ydrométriques de leurs eaux demeure
catpris entre 15 et 40° en 1986. Depuis une quinzaine d'années, il y a une stabili¬
sation des valeurs moyennes de ce paramètre dans le puits Peligot et une tendance
à l'augmentation dans l'ouvrage dénanmé Coquil III. Les autres caractéristiques
physicochimiques de ces eaux demeurent normales avec une prédominance des bicar¬
bonates et des sulfates de calcium. Ces eaux sont de bonne qualité bactériologi¬
que.
-B-
Les travaux de fouille et de drainage entrepris au début de l'année
sur l'Ilôt A de la ZAC du Front du Lac n'ont pas eu d'iitpact sur les niveaux
et la qualité de la nappe.
En 1987, il est proposé de p .-'orsuivrii la surveillance de la nappe
suivant le mène rythme, les mêmes modalités et les mânes points qu'en 1986. Un
canplément d'investigations hydrogéotechnique et un contrôle plus fin est à pré¬
voir avant et pendant la réalisation des autres ilôts de la ZAC du Front du Lac
prévus entre les captages Peligot et AGI et de la ZAC de l'avenue de la Libéra¬
tion envisagée à l'Est de Coquil III.
-B-
Les travaux de fouille et de drainage entrepris au début de l'année
sur l'Ilôt A de la ZAC du Front du Lac n'ont pas eu d'iitpact sur les niveaux
et la qualité de la nappe.
En 1987, il est proposé de p .-'orsuivrii la surveillance de la nappe
suivant le mène rythme, les mêmes modalités et les mânes points qu'en 1986. Un
canplément d'investigations hydrogéotechnique et un contrôle plus fin est à pré¬
voir avant et pendant la réalisation des autres ilôts de la ZAC du Front du Lac
prévus entre les captages Peligot et AGI et de la ZAC de l'avenue de la Libéra¬
tion envisagée à l'Est de Coquil III.
SOMMAIRE
RESUME
1 .- CADRE GENERAL ET OPERATIONS REALISEES 1
2,- PIEZOMETRIE DES NAPPES DU ST OUEN ET DES ALLUVIC^S TOURBEUSES EN
1986 ET COMPARAISéS AVEC LES ANNEES PRECEDENTES 3
2.1.- Nappe du St Ouen 3
2.1.1.- Etat 1986 3
2 a 1 a 2 . - Corrçaraisons avec les années précédentes et évolu¬
tion 9
2 a 2a- Nappe des alluvions tourbeuses 10
2.2.1.- Situation en 1986 10
2.2.2.- Coitparaisons avec les années antérieures et é\7olu-
tion pluriannuelle T4
2.3.- Corparaisons entre la nappe du St Ouen et celle des allu¬
vions tourbeuses 15
3.- QUALITE DES EAUX THERMALES EN 1986 El COMPARAISONS AVEC LES AN¬
NEES ANTERIEURES 18
3.1.- Type d'analyses prises en conpte et dates. Ouvrages con¬
cemés 18
3.2.- Constats effectués en 1986. 19
3.2.1.- Evolution du degré sulfhydro dans les captages des
thermes 19
3.2.2.- Qualité détaillée de l'eau du captage AGI le 8/4/86 19
3.2.3.- Z^nalyses des éléments majeurs des eaux de Coquil III
et de Peligot 20
3.2.4.- Contrôle des hydrocarbures dans les najpes d'eaux
souterraines lors des travaux de fouille et de ter¬
rassement de l'Ilot A de la ZAC du Front du Lac 21
3.2.5.- Ta:ipérature et résistivité des eaux souterraines au
sud du Lac 22
3.3.- Cotiçaraisons avec les années précédentes et évolutions pluri¬annuelles des eaux des trois captages 23
3.3.1.- Comparaisons des principaux paramètres physicochinù-
ques et bactériologiques depuis 1980 23
3.3.2.- Evolution détaillée depuis 1967 du degré sulfhydromé-
trique dans les trois captages des thermes 26
4.- AUTRES FAITS MARQUANTS DE L'ANNEE 1986 ET PROJETTS 1987 30
SOMMAIRE
RESUME
1 .- CADRE GENERAL ET OPERATIONS REALISEES 1
2,- PIEZOMETRIE DES NAPPES DU ST OUEN ET DES ALLUVIC^S TOURBEUSES EN
1986 ET COMPARAISéS AVEC LES ANNEES PRECEDENTES 3
2.1.- Nappe du St Ouen 3
2.1.1.- Etat 1986 3
2 a 1 a 2 . - Corrçaraisons avec les années précédentes et évolu¬
tion 9
2 a 2a- Nappe des alluvions tourbeuses 10
2.2.1.- Situation en 1986 10
2.2.2.- Coitparaisons avec les années antérieures et é\7olu-
tion pluriannuelle T4
2.3.- Corparaisons entre la nappe du St Ouen et celle des allu¬
vions tourbeuses 15
3.- QUALITE DES EAUX THERMALES EN 1986 El COMPARAISONS AVEC LES AN¬
NEES ANTERIEURES 18
3.1.- Type d'analyses prises en conpte et dates. Ouvrages con¬
cemés 18
3.2.- Constats effectués en 1986. 19
3.2.1.- Evolution du degré sulfhydro dans les captages des
thermes 19
3.2.2.- Qualité détaillée de l'eau du captage AGI le 8/4/86 19
3.2.3.- Z^nalyses des éléments majeurs des eaux de Coquil III
et de Peligot 20
3.2.4.- Contrôle des hydrocarbures dans les najpes d'eaux
souterraines lors des travaux de fouille et de ter¬
rassement de l'Ilot A de la ZAC du Front du Lac 21
3.2.5.- Ta:ipérature et résistivité des eaux souterraines au
sud du Lac 22
3.3.- Cotiçaraisons avec les années précédentes et évolutions pluri¬annuelles des eaux des trois captages 23
3.3.1.- Comparaisons des principaux paramètres physicochinù-
ques et bactériologiques depuis 1980 23
3.3.2.- Evolution détaillée depuis 1967 du degré sulfhydromé-
trique dans les trois captages des thermes 26
4.- AUTRES FAITS MARQUANTS DE L'ANNEE 1986 ET PROJETTS 1987 30
Ca^CLUSI2"!
FIGURES DANS LE TEXTE
1.- Carte piézométrique de la nappe des calcaires de St Ouen (6/3/86) 5
2.- Diagranme d'évolution piezonétrique des ouvrages N0RD-PT1-AG1
depuis 1977 6
3.- Diagranme d'évolution des ouvrages autour de l'Ilot A de la ZAC
du Front du lac durant le pranier sonestre 1986 8
4.- Carte piézométrique de la nappe des Alluvions tourbeuses (6/8/86) 13
5.- Diagramnes d'évolution du degré sulfhydro dans les captages
COQUIL III et PELIGOT depuis 1977 28
ANNEXES DANS LE TEXTE
1 . - Résultats des analyses effectuées sur AGI
2.- Evolution du degré sulfydro dans les captages des Thermes
Ca^CLUSI2"!
FIGURES DANS LE TEXTE
1.- Carte piézométrique de la nappe des calcaires de St Ouen (6/3/86) 5
2.- Diagranme d'évolution piezonétrique des ouvrages N0RD-PT1-AG1
depuis 1977 6
3.- Diagranme d'évolution des ouvrages autour de l'Ilot A de la ZAC
du Front du lac durant le pranier sonestre 1986 8
4.- Carte piézométrique de la nappe des Alluvions tourbeuses (6/8/86) 13
5.- Diagramnes d'évolution du degré sulfhydro dans les captages
COQUIL III et PELIGOT depuis 1977 28
ANNEXES DANS LE TEXTE
1 . - Résultats des analyses effectuées sur AGI
2.- Evolution du degré sulfydro dans les captages des Thermes
-1-
1 . CADRE GENERAL ET OPERATIONS REALISEES
Le contrôle de la nappe hydrominérale sulfureuse
d'Enghien Les Bains a démarré en 1982 à l'initiative de
la DRIR de l'IDF et de la Direction départementale des Mi¬
nes du Val d'Oise. Depuis^ cette surveillance s'est pour¬
suivie chaque année et en particulier en 1986 conformément
au programme annuel défini le 12/12/85 et agréa le 30/05/86par la Municipalité d'Enghien et par la Société des Eaux et
des Thermes d'Enghien qui exploite le gisement.
Les opérations ci-après ont été réalisées en 1986
par le Bureau de recherches géologiques et minières avec
l'aide du laboratoire central de la ville de Paris en ce
qui concerne les analyses d'eau^:
- Relevés piézométriques manuels chaque mois ou plus dans
24 ouvrages sollicitant soit la nappe du ST Ouen (17), soit
celle des alluvions tourbeuses (7). Les niveaux d'eau des
captages AGI et Nord, crépine dans les Marno-calcaires du
ST Ouen (Bartonien moyen) et du piézomètre PT2 aux Alluvions
ont été suivis en continu par enregistrements limnigraphi¬
ques. Les niveaux du lac et les précipitations à Epinay/
Seine de chaque mois ont aussi été pris en compte.
- Le degré sulfhydro a été mesuré sur place chaque mois
dans les captages Coquil et AGI a
- La température de l'eau a été suivie au début de l'année
dans plusieurs piézomètres au ST Ouen situés autour de la
ZAC du front du lac a
- Par ailleurs dans le cadre du contrôle spécial mis en
oeuvre lors des travaux de fouille et de terrassement de
l'ilot A de la ZMl du front du lac durant le premier trimes¬
tre 86, des analyses d'hydrocarbures ont été réalisées dans
les piézomètres entourant cet ilôt ainsi que dans le cap¬
tage AGI situé à proximité.
- Des analyses physicochimiques sommaires portant sur la
température, la -résistivité i 1 'alcali;nité totale et lesprincipaux anionB.' ainsi que sur l'aspect bactériologique.
-1-
1 . CADRE GENERAL ET OPERATIONS REALISEES
Le contrôle de la nappe hydrominérale sulfureuse
d'Enghien Les Bains a démarré en 1982 à l'initiative de
la DRIR de l'IDF et de la Direction départementale des Mi¬
nes du Val d'Oise. Depuis^ cette surveillance s'est pour¬
suivie chaque année et en particulier en 1986 conformément
au programme annuel défini le 12/12/85 et agréa le 30/05/86par la Municipalité d'Enghien et par la Société des Eaux et
des Thermes d'Enghien qui exploite le gisement.
Les opérations ci-après ont été réalisées en 1986
par le Bureau de recherches géologiques et minières avec
l'aide du laboratoire central de la ville de Paris en ce
qui concerne les analyses d'eau^:
- Relevés piézométriques manuels chaque mois ou plus dans
24 ouvrages sollicitant soit la nappe du ST Ouen (17), soit
celle des alluvions tourbeuses (7). Les niveaux d'eau des
captages AGI et Nord, crépine dans les Marno-calcaires du
ST Ouen (Bartonien moyen) et du piézomètre PT2 aux Alluvions
ont été suivis en continu par enregistrements limnigraphi¬
ques. Les niveaux du lac et les précipitations à Epinay/
Seine de chaque mois ont aussi été pris en compte.
- Le degré sulfhydro a été mesuré sur place chaque mois
dans les captages Coquil et AGI a
- La température de l'eau a été suivie au début de l'année
dans plusieurs piézomètres au ST Ouen situés autour de la
ZAC du front du lac a
- Par ailleurs dans le cadre du contrôle spécial mis en
oeuvre lors des travaux de fouille et de terrassement de
l'ilot A de la ZMl du front du lac durant le premier trimes¬
tre 86, des analyses d'hydrocarbures ont été réalisées dans
les piézomètres entourant cet ilôt ainsi que dans le cap¬
tage AGI situé à proximité.
- Des analyses physicochimiques sommaires portant sur la
température, la -résistivité i 1 'alcali;nité totale et lesprincipaux anionB.' ainsi que sur l'aspect bactériologique.
- 2 -
ont été effectuées le 19/2/86 sur les captages COQUIL et PELIGOT.
- Une analyse de type "normes européennes" a été réalisée le
8/4/86 sur le captage AGI .
- Enfin toutes les données siar les niveaux et la qualité des eaux
ont été saisies et traitées sur ordinateur comme les années précé¬
dentes .
- 2 -
ont été effectuées le 19/2/86 sur les captages COQUIL et PELIGOT.
- Une analyse de type "normes européennes" a été réalisée le
8/4/86 sur le captage AGI .
- Enfin toutes les données siar les niveaux et la qualité des eaux
ont été saisies et traitées sur ordinateur comme les années précé¬
dentes .
-3-
2. PIÉZOMÉTRIE DES NAPPES DU ST OUEN ET DES ALLUVIONS
TOURBEUSES EN 1986 ET COMPARISONS AVEC LES ANNÉES
PRÉCÉDENTES
2 a 1 NAPPE DU ST OUEN
Le tableau "A" détaille les cotes de la nappe du St Ouen
relevées tout au long de l'année 1986 dans 17 piézomètres ou capta¬
ges entourant le lac d'Enghien. Il est possible de coiparer ces ni¬
veaux avec les cotes au sol pour en déduire la profondeur de la nap¬
pe, avec les cotes basses d'alerte, ainsi qu'avec les valeurs moyen¬
nes, maximales et minimales de 1985, enfin avec les cotes du 16/2/82
lors des potpages réalisés pour construire le collecteur Kellermann-
Casanova. Les ouvrages intéressés sont positionnés sur la figure 1.
L'évolution des niveaux relevés depuis 1977 sur les forages Nord et
AGI , équipés de limnigraphes , est représentée sur le diagranme 2 .
2.1.1 ETAT 1986
En 1986 la nappe du St Ouen s'établit entre les cotes extrê¬
mes + 40,37 + 34,07, C'est dans le piézomètre PT2 au nord du lac que
la nappe est la plus haute et dans le piézomètre SC2 près de AGI au
sud du lac que les valeurs les plus basses ont été notées en période
non influencée par des ponçages . Le niveau piézométrique de la nappe
captive du ST Ouen (Bartonien moyen) se situe au plus haut entre
0,56 mètres sous le sol (PT2) et 8,6 mètres (D9) ; il se trouve à
moins de 1 , 5 mètres de profondeur au nord du lac et près de 1 ' évacua¬
teur du plan d'eau et beaucoup plus bas ailleurs.
Les cotes basses d'alerte n'ont été dépassées épisodiquement que dans
le piézonètre D9 durant le premier trimestre 1986 ainsi que dans le
captage AGI de Janvier à Avril et en Novembre et Décembre a Ces deux ou¬
vrages sont proches l'un de l'autre. Les dépassements signalés sont sans
doute à mettre en relation avec les tests de ponçage réalisés sur lecaptage AGI . Dans celui-ci , le 7 Avril 1 986 la nappe était rabattue jus-
qu'à la cote + 30,29a
-3-
2. PIÉZOMÉTRIE DES NAPPES DU ST OUEN ET DES ALLUVIONS
TOURBEUSES EN 1986 ET COMPARISONS AVEC LES ANNÉES
PRÉCÉDENTES
2 a 1 NAPPE DU ST OUEN
Le tableau "A" détaille les cotes de la nappe du St Ouen
relevées tout au long de l'année 1986 dans 17 piézomètres ou capta¬
ges entourant le lac d'Enghien. Il est possible de coiparer ces ni¬
veaux avec les cotes au sol pour en déduire la profondeur de la nap¬
pe, avec les cotes basses d'alerte, ainsi qu'avec les valeurs moyen¬
nes, maximales et minimales de 1985, enfin avec les cotes du 16/2/82
lors des potpages réalisés pour construire le collecteur Kellermann-
Casanova. Les ouvrages intéressés sont positionnés sur la figure 1.
L'évolution des niveaux relevés depuis 1977 sur les forages Nord et
AGI , équipés de limnigraphes , est représentée sur le diagranme 2 .
2.1.1 ETAT 1986
En 1986 la nappe du St Ouen s'établit entre les cotes extrê¬
mes + 40,37 + 34,07, C'est dans le piézomètre PT2 au nord du lac que
la nappe est la plus haute et dans le piézomètre SC2 près de AGI au
sud du lac que les valeurs les plus basses ont été notées en période
non influencée par des ponçages . Le niveau piézométrique de la nappe
captive du ST Ouen (Bartonien moyen) se situe au plus haut entre
0,56 mètres sous le sol (PT2) et 8,6 mètres (D9) ; il se trouve à
moins de 1 , 5 mètres de profondeur au nord du lac et près de 1 ' évacua¬
teur du plan d'eau et beaucoup plus bas ailleurs.
Les cotes basses d'alerte n'ont été dépassées épisodiquement que dans
le piézonètre D9 durant le premier trimestre 1986 ainsi que dans le
captage AGI de Janvier à Avril et en Novembre et Décembre a Ces deux ou¬
vrages sont proches l'un de l'autre. Les dépassements signalés sont sans
doute à mettre en relation avec les tests de ponçage réalisés sur lecaptage AGI . Dans celui-ci , le 7 Avril 1 986 la nappe était rabattue jus-
qu'à la cote + 30,29a
-4-COTES DE LA NAPPE DU ST OUEN, DU LAC', ET PRECIPITATIONS EN 1986 TABLEAU I
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¡COTE!AU SOL
¡CDIE¡D'ALER!TE
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¡COTE .
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J&J¿L.39,47
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39^07
39,10
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38,65
38^62
38^64
39.17
.D5 !D9 ¡PT5 ¡SCI' ¡ '
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. +41 ,77! +44,5£l +40, 93t +40t7 6
+36,5¡+35,3!+39,5!+341 1 1
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36^6¡35.18¡40.17¡34.21
SCI bis.(Mon¬ceau)
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+34
34,18
34^26
34,18
34,18
34,17
34, 19
34,20
.¿iOL34^16
34,13
34,19
34^32
34^14
34,18
34,48
34^58
35^8
35.11
34,93
34,54
34,25
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+41
+34
34^14
34,15
34,14
34,12
34^11
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34,19
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34,08
34^2
34,25
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34,40
34^1
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34,97
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34,31
34,10
SC3
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+34,4
34,07
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34,07
34,07
34,08
34,09
34,05
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34,05
34,09
34,22
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34,34;
34,59
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+34
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34,43
34^70
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34^5
34,99
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+35,5
35,91
35^7
^IL
35,75
35,86
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36.08
36,02
36,04
36,01
OÜQUIL
+42^0
+36,8
37,60
37^7
37,41
37,74
37.1!
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37,12
37,55
37,58
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NORD,
.^42^,42.
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37^62
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37,74
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37^4
37,68
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PELIGOr
+42,15
+35
35^0
35,13
35,15
35.51
34,98
35,17
35,20
.35*23^35,43
35.51
PFIO
+40^63
+39
39^4
39,58
39.79
36,69
39,72
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JiiàL.39,65
39,70
3T5-
+40,05
+35
34,48
34,48
34,46
34,45
34,45
34,4 7
34,41
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34,45
14^4.0.
34,49
34¿57
34,39
34^9
34^2
34,84
35.30
35^25
35,29
35,03
34,61
34,43
LAC
+42,30
39,60
ÍO|SÍ
39,94
39,88
39^86
iâ<26_39,77
39,84
39,82
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PF
tmîiCIPITATialm' /mois
.
J = 80,2
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0,53
34^86
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34^41
34,76
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34,47
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0,18
36,06
36^35
35,76
37737
0,37
37^27
22^75
36,78
37772
0,20
37^79
38^01
37^56
35,27
0,24
35,10
35^74
34,45
39,67
0,12
39^66
39,77
39,55
34755
0,45
39,88
0,12
39¿70
40
39,39
52,2
39,7
42
61,8
11,6
/2/52URANTOMPAGC
R OOLLBC-UR CASAHO
)
32,65 ¡+35,72¡+3a31¡34,58¡37,95¡33,70 ¡ ¡33,76 ¡35,0 ¡33,89 ¡34,02 ! - ¡35,86 ¡36,70 ¡34,77
)UVRAGE EQUIPE D'UN LIMNIGRAPHE
:OQUIL III. PELIGOT : CAPTAGE DES THERMES EN ACTIVITE
iGJ : CAPTAGE DES THERMES (EN COURS D'AUTORISATION)
'OHPAGE FORT
POMPAGE FAIBLE
_57 COTE MAXI
3_7 COTE MINI
TT] NIVEAU EN DESSOUS DE LA COTE D'ALERTE
-4-COTES DE LA NAPPE DU ST OUEN, DU LAC', ET PRECIPITATIONS EN 1986 TABLEAU I
dateTouvra-!GE
¡COTE!AU SOL
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J&J¿L.39,47
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39^07
39,10
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38,65
38^62
38^64
39.17
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t 1 r
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¡ ¡ ¡34,24
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36,94!35,9 !iaLÍIS!34,.l 4
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SCI bis.(Mon¬ceau)
+40^76
+34
34,18
34^26
34,18
34,18
34,17
34, 19
34,20
.¿iOL34^16
34,13
34,19
34^32
34^14
34,18
34,48
34^58
35^8
35.11
34,93
34,54
34,25
"sc5-
+41
+34
34^14
34,15
34,14
34,12
34^11
34 J4
34,19
34,07
34^0
34,08
34^2
34,25
1L35.34,28
34,40
34^1
JíiSL34,93
34,97
34,71
34,31
34,10
SC3
+38,90
+34,9
.âUâ^
.ákSa
35,14
35^08
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34^98
34,94
34,99
35,13
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+41^
+34,4
34,07
34,1
34,07
34,07
34,08
34,09
34,05
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34,05
34,09
34,22
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+34
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NORD,
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PFIO
+40^63
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LAC
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PF
tmîiCIPITATialm' /mois
.
J = 80,2
F = 11,5 _._
M = 70,3
A = 84.8
M
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= 28,9
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36^35
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0,37
37^27
22^75
36,78
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0,20
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38^01
37^56
35,27
0,24
35,10
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39,67
0,12
39^66
39,77
39,55
34755
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39,88
0,12
39¿70
40
39,39
52,2
39,7
42
61,8
11,6
/2/52URANTOMPAGC
R OOLLBC-UR CASAHO
)
32,65 ¡+35,72¡+3a31¡34,58¡37,95¡33,70 ¡ ¡33,76 ¡35,0 ¡33,89 ¡34,02 ! - ¡35,86 ¡36,70 ¡34,77
)UVRAGE EQUIPE D'UN LIMNIGRAPHE
:OQUIL III. PELIGOT : CAPTAGE DES THERMES EN ACTIVITE
iGJ : CAPTAGE DES THERMES (EN COURS D'AUTORISATION)
'OHPAGE FORT
POMPAGE FAIBLE
_57 COTE MAXI
3_7 COTE MINI
TT] NIVEAU EN DESSOUS DE LA COTE D'ALERTE
Fig. 1
NAPPE DES CALCAIRES DE SI OUENPiézometrie basse du 06.03.86
BRGM
>7 " •-à*r*v'r • * «v x1 '
a ^ .¿> •tf i
¿iíiiír * • r C i
— CollecteurST Gratien - BpmàyS'
5>°O ,^>\ ;
100 200 300 m
Piezomètre au ST Ouen
Captage des Thermes
' 3 5 Courbe isopièze du 06-03.66
A G 1 Ouvrage e'quipé d'un limnigraphe
• 35.86 Cote du 19.06.86
* 35.77 Cote du 06.03.86
ENGHIEN
BRGM EVOLUTION PIEZOMETRIQUE DE : NORD - PTI - AGI
PERIODE î 01.1977 / 12.1986
1^ No BSS2> No BSS3^ No BSS
ENGHJEN
153-6X-ei65 Nordl53-6X-ei88 PT1153-6X-ei87 AGI
32
RAPPORT No
I
I
ENGHIEN
BRGM EVOLUTION PIEZOMETRIQUE DE : NORD - PTI - AGI
PERIODE î 01.1977 / 12.1986
1^ No BSS2> No BSS3^ No BSS
ENGHJEN
153-6X-ei65 Nordl53-6X-ei88 PT1153-6X-ei87 AGI
32
RAPPORT No
I
I
-7-
Ce test a été sensible sur les piézomètres voisins
SC1-SC1 bis-SC2 et SC5 comme le rappelle le diagramme 3 dres¬
sé lors de l'étude de l'ilôt de la ZAC du front du lac. Le
28/4/86 un pompage plus faible que le précédent n'a eu d'im¬
pact sensible que sur le SC5.
C'est en Juin que la nappe du St Ouen fut globalement la plus
haute et en Mars la plus basse.
L'écart par rapport à la moyenne a varié au cours de l'année
entre 10 cm (PF7) et 53 cm (AGI).
Le relevé piézométrique synchrone de basses eaux du
6/3/86 qui figure sur la fig 1 indique que la nappe du St
Ouen s'écoule du NNO vers le SSE avec un gradient moyen de
5/1000 entre les cotes + 40 et + 34. Les isopièzes sont plus
écartées au NNO qu'au centre et plus resserré en limite sud
du lac du fait des pompages réalisés sur AGI .
L'allure piézométrique est sensiblement la même en hautes eaux
avec un décalage des niveaux vers le haut d'une vingtaine de
centimètres au nord du lac et entre 50 cm et 1 m environ au sud.
L'indépendance de la nappe du St Ouen avec le lac est
attestée par la différence des niveaux respectifs observés. Par
exemple le 6/3/86 en bordure sud du plan d ' eau aucune cote pié¬
zométrique ne dépassait + 36 alors que le lac' s'établissait à
la cote + 40. C'est en Mars que le lac était le plus haut et
la nappe du St Ouen la plus basse.
Les précipitations ont évoluées irrégulièrement durant
l'année entre 12,5 mm/m^ /mois en Février et 84,8 mm/m' /mois en
Avril. La moyenne annuelle a été de 52,2 mm/m^/mois. Il n'y a
pas de relation précise entre l'évolution du volume des préci¬
pitations et celle des niveaux de la nappe du St Ouen. Les va¬
riations des précipitations sont très irrégulières, alors que,
par exemple, les niveaux du captage AGI augmentent progressive¬
ment jusqu'en Septembre, puis baissent régulièrement au 4 ème
trimestre ; le maximum des précipitations se trouve en Avril,
celui de la nappe au droit de AGI en Septembre.
-7-
Ce test a été sensible sur les piézomètres voisins
SC1-SC1 bis-SC2 et SC5 comme le rappelle le diagramme 3 dres¬
sé lors de l'étude de l'ilôt de la ZAC du front du lac. Le
28/4/86 un pompage plus faible que le précédent n'a eu d'im¬
pact sensible que sur le SC5.
C'est en Juin que la nappe du St Ouen fut globalement la plus
haute et en Mars la plus basse.
L'écart par rapport à la moyenne a varié au cours de l'année
entre 10 cm (PF7) et 53 cm (AGI).
Le relevé piézométrique synchrone de basses eaux du
6/3/86 qui figure sur la fig 1 indique que la nappe du St
Ouen s'écoule du NNO vers le SSE avec un gradient moyen de
5/1000 entre les cotes + 40 et + 34. Les isopièzes sont plus
écartées au NNO qu'au centre et plus resserré en limite sud
du lac du fait des pompages réalisés sur AGI .
L'allure piézométrique est sensiblement la même en hautes eaux
avec un décalage des niveaux vers le haut d'une vingtaine de
centimètres au nord du lac et entre 50 cm et 1 m environ au sud.
L'indépendance de la nappe du St Ouen avec le lac est
attestée par la différence des niveaux respectifs observés. Par
exemple le 6/3/86 en bordure sud du plan d ' eau aucune cote pié¬
zométrique ne dépassait + 36 alors que le lac' s'établissait à
la cote + 40. C'est en Mars que le lac était le plus haut et
la nappe du St Ouen la plus basse.
Les précipitations ont évoluées irrégulièrement durant
l'année entre 12,5 mm/m^ /mois en Février et 84,8 mm/m' /mois en
Avril. La moyenne annuelle a été de 52,2 mm/m^/mois. Il n'y a
pas de relation précise entre l'évolution du volume des préci¬
pitations et celle des niveaux de la nappe du St Ouen. Les va¬
riations des précipitations sont très irrégulières, alors que,
par exemple, les niveaux du captage AGI augmentent progressive¬
ment jusqu'en Septembre, puis baissent régulièrement au 4 ème
trimestre ; le maximum des précipitations se trouve en Avril,
celui de la nappe au droit de AGI en Septembre.
BRGM
-8-Z.A.C DU FRONT DU LAC D'ENGHIEN
Ilot A
Surveillance piézométrique en 1986
Fig. 3
JANVIER I FEVRIER I MARS13 20 27 3 10 17 24 3 6 10 17 24
t _L Í i I I I Ul I IèAVRIL
7 16
h'28
MAI15
JUIN19
r¿'/e^j9ss<e/vá'/vr Á ^ / TfyÇjPAS^^/^ir .S''^-^
+ 32
I p I /'né/èvemen t p¿>c/r ^/7<3¿y.sa s¿/r /es
« AGI
SCI
+ SC 1bis
O se 2
SC5
JT D¿/e/7
JT Ûcien
ST ûc/en
+31
y ND +30,29
BRGM
-8-Z.A.C DU FRONT DU LAC D'ENGHIEN
Ilot A
Surveillance piézométrique en 1986
Fig. 3
JANVIER I FEVRIER I MARS13 20 27 3 10 17 24 3 6 10 17 24
t _L Í i I I I Ul I IèAVRIL
7 16
h'28
MAI15
JUIN19
r¿'/e^j9ss<e/vá'/vr Á ^ / TfyÇjPAS^^/^ir .S''^-^
+ 32
I p I /'né/èvemen t p¿>c/r ^/7<3¿y.sa s¿/r /es
« AGI
SCI
+ SC 1bis
O se 2
SC5
JT D¿/e/7
JT Ûcien
ST ûc/en
+31
y ND +30,29
-9-
2 a 1 a 2 COMPARAISONS AVEC LES ANNEES PRECEDENTES ET EVOLUTION
La nappe du St Ouen est globalement et le plus sou¬
vent plus basse en 1986 qu'en 1985a Les niveaux moyens dif¬
férent au maximum de 30 cm dans AGI . La différence entreles cotes maximales atteint 28 cm dans le SC2 a Les côtes minima¬
les de 1986 dans le SC3 sont inférieures de 64 cm à cellesde 1985.
Les niveaux les plus bas de 1986 demeurent supérieurs
à ceux du 16/2/1982 (lors des pompages sur le collecteur Ca¬
sanova en cours de construction) a La différence est de 6,72 m
dans le PF7 situé pratiquement sur le tracé du collecteur ;
elle dépasse 2 m dans les ouvrages PT2 et SCI 9 en bordure nord
du lac et était inférieure à 1 m en limite sud et sud-est du
plan d'eau. Le 6/3/86. la nappe du St Ouen s'établissait à
37,47 dans Coquil UI + 35,13 dans Peligot^ et + 34,19 dans AGI ;
le 16/2/82^elle était plus basse de 1,14 m, 0,26 m et 0,14 m
respectivement dans chacun de ces 3 captages.
L'examen du diagramme d'évolution des niveaux de Nord
et de AGI depuis 1976 fait nettement ressortir l'anomalie bas¬
se du début de l'année 82 lors du percement du collecteur
KELLERMANN. Depuis il est impossible de constater les faits
suivants :
- L'amplitude des fluctuations inter-annuelles des niveaux est
environ 2 fois plus importante pour AGI que pour Nord a Dans le
premier ouvrage^ elle dépasse 1 m ; elle est de l'ordre de 0,40 m
dans le deuxième a .
- Depuis 1983^ les hautes eaux se situent dans les 2 forages
au milieu de l'année (en pleine période de cure) ; les basses
eaux apparaissent à la fin de l'année ou au début de l'année
suivante.
- Depuis 1983^11 y a une tendance à la baisse ' tan'.t pour les
maximaux que pour les minimau:c .En 1985^ dans AGI, la cute minimale
se situait à + 34,41 ; elle est à + 34,03 en 1986.
-9-
2 a 1 a 2 COMPARAISONS AVEC LES ANNEES PRECEDENTES ET EVOLUTION
La nappe du St Ouen est globalement et le plus sou¬
vent plus basse en 1986 qu'en 1985a Les niveaux moyens dif¬
férent au maximum de 30 cm dans AGI . La différence entreles cotes maximales atteint 28 cm dans le SC2 a Les côtes minima¬
les de 1986 dans le SC3 sont inférieures de 64 cm à cellesde 1985.
Les niveaux les plus bas de 1986 demeurent supérieurs
à ceux du 16/2/1982 (lors des pompages sur le collecteur Ca¬
sanova en cours de construction) a La différence est de 6,72 m
dans le PF7 situé pratiquement sur le tracé du collecteur ;
elle dépasse 2 m dans les ouvrages PT2 et SCI 9 en bordure nord
du lac et était inférieure à 1 m en limite sud et sud-est du
plan d'eau. Le 6/3/86. la nappe du St Ouen s'établissait à
37,47 dans Coquil UI + 35,13 dans Peligot^ et + 34,19 dans AGI ;
le 16/2/82^elle était plus basse de 1,14 m, 0,26 m et 0,14 m
respectivement dans chacun de ces 3 captages.
L'examen du diagramme d'évolution des niveaux de Nord
et de AGI depuis 1976 fait nettement ressortir l'anomalie bas¬
se du début de l'année 82 lors du percement du collecteur
KELLERMANN. Depuis il est impossible de constater les faits
suivants :
- L'amplitude des fluctuations inter-annuelles des niveaux est
environ 2 fois plus importante pour AGI que pour Nord a Dans le
premier ouvrage^ elle dépasse 1 m ; elle est de l'ordre de 0,40 m
dans le deuxième a .
- Depuis 1983^ les hautes eaux se situent dans les 2 forages
au milieu de l'année (en pleine période de cure) ; les basses
eaux apparaissent à la fin de l'année ou au début de l'année
suivante.
- Depuis 1983^11 y a une tendance à la baisse ' tan'.t pour les
maximaux que pour les minimau:c .En 1985^ dans AGI, la cute minimale
se situait à + 34,41 ; elle est à + 34,03 en 1986.
-10-
La cote la plus basse de Nord s'établissait à + 37,56 en 1985
et à + 37,52 en 1986. Par contre, dans le captage COQUIL la
cote la plus basse de 1986 est à + 37 alors qu'elle se trou¬
vait à + 36,78 en 1985. Il en est de même pour Peligot où la
nappe du St-Ouen atteignait + 34,35 en 1985 et + 35,03 l'an¬
née suivante.
2.2 NAPPE DES ALLUVIONS TOURBEUSES
Le tableau "B" récapitule les relevés mensuels des 7
piézomètres de la nappe des alluvions tourbeuses de 1986 avec
rappel des cotes au sol, des cotes basses d'alerte, des maxi¬
maux et minimaux constatés, des valeurs moyennes, des écarts
par rapport à la moyenne. Des comparaisons avec 1985 et 1982,
sont possibles a
Tous ces ouvrages sont situés entre la future autorou¬
te de ceinture et la bordure nord du lac a La figure 4 situe
ces ouvrages et rappelle la piézométrie basse du 6.08.1986.
L'évolution des niveaux depuis 1977 dans le piézomètre PT1
équipé d'un limnigraphe, figure sur le diagramme2 en regard
de celles des ouvrages Nord et AG2 qui, eux, captent la nappe
du St-Ouen.
2.2.1 SITUATION EN 1986
La nappe alluviale se situe en 1986 entre 0,10 m et
2 m sous le sol au Nord du lac suivant les mois et les ouvra¬
ges considérés. C'est à l'aplomb du T17 que la nappe est en
général la plus proche du sol (minimum 0,51 m le 16 avril, ma¬
ximum 0,94 m le 6 juillet). Une seule fois, le 22 décembre, la
nappe s'est trouvée (dans le T20) à 10 cm du sol ; les autres
mois, elle s'établissait à plus de 0,95 m.
La nappe se situe, dans ce secteur, au plus bas à la
cote + 38,4 au droit du piézomètre T12 et au plus haut à + 40,48
à l'aplomb de PT1 , près du foyer Alterburgera Au T7, à côté
du Central téléphonique, le toit de la nappe des alluvions
tourbeuses a oscillé entre les cotes + 39,48 et + 38,67, soit
entre 1,14 m et 1,95 m sous le sol.
-10-
La cote la plus basse de Nord s'établissait à + 37,56 en 1985
et à + 37,52 en 1986. Par contre, dans le captage COQUIL la
cote la plus basse de 1986 est à + 37 alors qu'elle se trou¬
vait à + 36,78 en 1985. Il en est de même pour Peligot où la
nappe du St-Ouen atteignait + 34,35 en 1985 et + 35,03 l'an¬
née suivante.
2.2 NAPPE DES ALLUVIONS TOURBEUSES
Le tableau "B" récapitule les relevés mensuels des 7
piézomètres de la nappe des alluvions tourbeuses de 1986 avec
rappel des cotes au sol, des cotes basses d'alerte, des maxi¬
maux et minimaux constatés, des valeurs moyennes, des écarts
par rapport à la moyenne. Des comparaisons avec 1985 et 1982,
sont possibles a
Tous ces ouvrages sont situés entre la future autorou¬
te de ceinture et la bordure nord du lac a La figure 4 situe
ces ouvrages et rappelle la piézométrie basse du 6.08.1986.
L'évolution des niveaux depuis 1977 dans le piézomètre PT1
équipé d'un limnigraphe, figure sur le diagramme2 en regard
de celles des ouvrages Nord et AG2 qui, eux, captent la nappe
du St-Ouen.
2.2.1 SITUATION EN 1986
La nappe alluviale se situe en 1986 entre 0,10 m et
2 m sous le sol au Nord du lac suivant les mois et les ouvra¬
ges considérés. C'est à l'aplomb du T17 que la nappe est en
général la plus proche du sol (minimum 0,51 m le 16 avril, ma¬
ximum 0,94 m le 6 juillet). Une seule fois, le 22 décembre, la
nappe s'est trouvée (dans le T20) à 10 cm du sol ; les autres
mois, elle s'établissait à plus de 0,95 m.
La nappe se situe, dans ce secteur, au plus bas à la
cote + 38,4 au droit du piézomètre T12 et au plus haut à + 40,48
à l'aplomb de PT1 , près du foyer Alterburgera Au T7, à côté
du Central téléphonique, le toit de la nappe des alluvions
tourbeuses a oscillé entre les cotes + 39,48 et + 38,67, soit
entre 1,14 m et 1,95 m sous le sol.
COTES DE LA NAPPE DES ALLUVIONS TOURBEUSES EN 1986 TABLEAU B
! DATE
! 13/1
! 6/3
! 16,4
! 15/5 !
! 19/6
! 6/8 !
! 3/9 !
! 16/10 !
! 19/11 !
! 22/12 !
! OUVRAGES
COTE AU SOL
COTE D'ALERTE
T5 !
. +40^32 !
+38,70 !
39^16 !
39^0 !
ll*¿¿39,15 !
39,10 !
Ali^lX.39,03 !
39,01 !
39,13 !
39,19 !
T7
+40^62
+38^70
39,29
39^33
32j4239,33
39,17
3_8^^7
38,80
38,77
38^99 .
39,32
T12
+40,79
+ 39
39^49
39^52
32^6539,45
38,98
iS^ii).38,69
38,99
39^18
39,50
T17
+40,0
+38,70
39^40
39,35
ii*iS.39^40
39,31
39,27
39_j.20
39^39
39,43
PTU
. +41,81
+40
40^41
40,29
Í2x48
40,39
40^26
40,11
40^15
40^32
40,39
SP3
+40,80
+ 39
39^31
39^30
39,46
39,48
39,45
___39i34___
39,39
.__¿^i¿u -¿â*â239,39
T20 !
+40,61 !
+39 !
39^56 !
39^50 !
39,66 !
39_j_59 !
39,55 !
___39_j.31__|
39,37 !
._ ¿âiiâ.__i39^39 !
a*il !
! LAC
! 39^90
! íUau4! 39^94
! 39^88
! 39^86
1 39^77
i__32i§l__.! 39^82
! 39^89
. JFM
A
M
JJA
S
0
N
D
PRECIPITATIONS !
mm/m^ /mois !
80,12 !
Hi^84.8 !
28,9 !
34,8 !17,351 ,8 !
62,8 !
53,9 !
44,9 !
83^9 !
¡COTE MOYENNE .39il0_i__39^08_ 39,03 39,28 40,27 _39^64_ 39,90 _39¿88 52^2
1986"ECART MAXIMAL!PAR RAPPORT AÍLA MOYENNE (m)
0,13 1 0,41I
0,63 0,22 0,22 0,34 0,62 0,12 39,7
! 1985
¡COTE MOYENNE
¡COTE MAXIMALE
¡COTE MINIMALE
39^09 ¡
39,23 ¡
38,94 ¡
39j,63
39^84
39,42
39^08
39,73
38,42
39,31
39_j_45
39,16
40^31
40^49
40,12
39^37
39^50
39,26
39^90 ¡
40^10 ¡
39,26 ¡
39_£_70
40
39¿39
42 ¡
61^8 ¡
11^6 ¡
¡ 16 AVRIL 1982¡ DURANT LES POMPAGES SUR LE¡ COLLECTEUR CASANOVA
I I
38,48 ¡ 39,36 ¡ 39,641 I
38,91 32,5 36,3
f OUVRAGE EQUIPE D'UN LIMNIGP^APHE
COTE .«MAXIMALE : 39,22
COTE MINIMALE : 38,97
VALEUR EN DESSGuJ DE LA COTE D' ALERTE j38,67|
COTES DE LA NAPPE DES ALLUVIONS TOURBEUSES EN 1986 TABLEAU B
! DATE
! 13/1
! 6/3
! 16,4
! 15/5 !
! 19/6
! 6/8 !
! 3/9 !
! 16/10 !
! 19/11 !
! 22/12 !
! OUVRAGES
COTE AU SOL
COTE D'ALERTE
T5 !
. +40^32 !
+38,70 !
39^16 !
39^0 !
ll*¿¿39,15 !
39,10 !
Ali^lX.39,03 !
39,01 !
39,13 !
39,19 !
T7
+40^62
+38^70
39,29
39^33
32j4239,33
39,17
3_8^^7
38,80
38,77
38^99 .
39,32
T12
+40,79
+ 39
39^49
39^52
32^6539,45
38,98
iS^ii).38,69
38,99
39^18
39,50
T17
+40,0
+38,70
39^40
39,35
ii*iS.39^40
39,31
39,27
39_j.20
39^39
39,43
PTU
. +41,81
+40
40^41
40,29
Í2x48
40,39
40^26
40,11
40^15
40^32
40,39
SP3
+40,80
+ 39
39^31
39^30
39,46
39,48
39,45
___39i34___
39,39
.__¿^i¿u -¿â*â239,39
T20 !
+40,61 !
+39 !
39^56 !
39^50 !
39,66 !
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a*il !
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! 39^90
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PRECIPITATIONS !
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62,8 !
53,9 !
44,9 !
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¡COTE MOYENNE .39il0_i__39^08_ 39,03 39,28 40,27 _39^64_ 39,90 _39¿88 52^2
1986"ECART MAXIMAL!PAR RAPPORT AÍLA MOYENNE (m)
0,13 1 0,41I
0,63 0,22 0,22 0,34 0,62 0,12 39,7
! 1985
¡COTE MOYENNE
¡COTE MAXIMALE
¡COTE MINIMALE
39^09 ¡
39,23 ¡
38,94 ¡
39j,63
39^84
39,42
39^08
39,73
38,42
39,31
39_j_45
39,16
40^31
40^49
40,12
39^37
39^50
39,26
39^90 ¡
40^10 ¡
39,26 ¡
39_£_70
40
39¿39
42 ¡
61^8 ¡
11^6 ¡
¡ 16 AVRIL 1982¡ DURANT LES POMPAGES SUR LE¡ COLLECTEUR CASANOVA
I I
38,48 ¡ 39,36 ¡ 39,641 I
38,91 32,5 36,3
f OUVRAGE EQUIPE D'UN LIMNIGP^APHE
COTE .«MAXIMALE : 39,22
COTE MINIMALE : 38,97
VALEUR EN DESSGuJ DE LA COTE D' ALERTE j38,67|
-12-
Les cotes basses d'alerte n'ont été dépassées que
dans le T7 près du Central téléphonique de Soisy une fois le6/8/86, ainsi que dans le T12 entre Juin et Octobre. Pour
le premier piézomètre la baisse supplémentaire n'a été que
de 3 cm. Dans le T12 elle a atteint 60 cm. Depuis les ni¬
veaux de ces 2 ouvrages sont remontés au-dessus des seuils
fixés .
C'est en Avril que la nappe alluviale a été la plus
haute avec des cotes comprises entre + 39,22 dans le piézo¬
mètre T5 situé entre le collecteur Casanova et la future
autoroute et + 40,51 dans le piézomètre T20.
Les basses eaux s'établissent globalement en Août avec des
valeurs comprises entre + 38,40 (T12) et + 40,05 (PT1).
Les écarts entre hautes et basses eaux sont en moyenne pour
les différents piézomètres de l'ordre de 30 cm à l'exception
du T7 où l'écart atteint 82 cm et surtout des T20 et Tl 2 où
les fluctuations sont respectivement de 1,23 m et de 1,26 m.
La carte piézométrique basse du 6/8/86 est reportée
sur la figure 2 ; le drainage ouest-sud qui suit le tracé du
lac nord est bien marqué et apparait conme indépendant du col¬
lecteur Kellermann. En hautes eaux, ce tracé semble s'inverser :
le 16 Avril la cote du T12 avec + 39,65 était supérieure à
celle du T5 (+ 39,22) ; le 6 Août le niveau du premier ouvrage
établi à + 38,40 était inférieur à celui du second cité
(+ 38,97) .
Le niveau du lac demeure supérieur à celui de la nappe
au minimum de 0,28 m dans tous les piézomètres à l'exception
de celui du PT1 tout au long de l'année ainsi que celui du SP3 en No¬
vembre et du T20 en Décembre. L'écart avec les niveaux du SP1
oscille suivant les mois ; il est de 0,16 m le 19/11/86 avec
le SP3 et de 0,62 le 22/12/86 avec le T20.
Les fluctuations du niveau du lac durant l'année ne ressemblent
à aucune de celles des 7 piézomètres crépines dans la nappe des
alluvions tourbeuses. Les pics se situent pour le lac en Mars,
pour les piézomètres le plus souvent en Avril ou pour SP3 et
T20 en Novembre et Décembre.
-12-
Les cotes basses d'alerte n'ont été dépassées que
dans le T7 près du Central téléphonique de Soisy une fois le6/8/86, ainsi que dans le T12 entre Juin et Octobre. Pour
le premier piézomètre la baisse supplémentaire n'a été que
de 3 cm. Dans le T12 elle a atteint 60 cm. Depuis les ni¬
veaux de ces 2 ouvrages sont remontés au-dessus des seuils
fixés .
C'est en Avril que la nappe alluviale a été la plus
haute avec des cotes comprises entre + 39,22 dans le piézo¬
mètre T5 situé entre le collecteur Casanova et la future
autoroute et + 40,51 dans le piézomètre T20.
Les basses eaux s'établissent globalement en Août avec des
valeurs comprises entre + 38,40 (T12) et + 40,05 (PT1).
Les écarts entre hautes et basses eaux sont en moyenne pour
les différents piézomètres de l'ordre de 30 cm à l'exception
du T7 où l'écart atteint 82 cm et surtout des T20 et Tl 2 où
les fluctuations sont respectivement de 1,23 m et de 1,26 m.
La carte piézométrique basse du 6/8/86 est reportée
sur la figure 2 ; le drainage ouest-sud qui suit le tracé du
lac nord est bien marqué et apparait conme indépendant du col¬
lecteur Kellermann. En hautes eaux, ce tracé semble s'inverser :
le 16 Avril la cote du T12 avec + 39,65 était supérieure à
celle du T5 (+ 39,22) ; le 6 Août le niveau du premier ouvrage
établi à + 38,40 était inférieur à celui du second cité
(+ 38,97) .
Le niveau du lac demeure supérieur à celui de la nappe
au minimum de 0,28 m dans tous les piézomètres à l'exception
de celui du PT1 tout au long de l'année ainsi que celui du SP3 en No¬
vembre et du T20 en Décembre. L'écart avec les niveaux du SP1
oscille suivant les mois ; il est de 0,16 m le 19/11/86 avec
le SP3 et de 0,62 le 22/12/86 avec le T20.
Les fluctuations du niveau du lac durant l'année ne ressemblent
à aucune de celles des 7 piézomètres crépines dans la nappe des
alluvions tourbeuses. Les pics se situent pour le lac en Mars,
pour les piézomètres le plus souvent en Avril ou pour SP3 et
T20 en Novembre et Décembre.
NAPPE DES ALLUVIONS TOURBEUSES -13-Píézométrie basse du 06.08.86
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• Piezomètre aux Alluvions tourbeuses
PT1 Piezomètre equipe'd'un limnigraphe
0 100 200 300m• 39,22
* 38,97
39 Courbe isopièze du 06.08.86
Cote du 16.04.86 (haute)
Cote du 06.08.86 (basse)
-14-
Les précipitations de l'année 1986 sont irrégulières et le maximum
d'Avril du volume des précipitations se retrouve aussi dans la nap¬
pe alluviale, mais pas les valeurs minimales de Février et de Juil¬
let inférieures à 20 mm/m^/mois. Pour la nappe, les minima se situenten Août et en Octobre suivant les piézonètres considérés.
2.2.2. COMPARAISCN AVEC LES ANNEES ANTERIEURES ET EVOLUTICN PLURIAN-
NUFT.T.K
Les niveaux moyens de la nappe alluviale de 1986 sont légè-
reinent inférieurs ou supérieurs (< 10 cm) à ceux de 1985 dans les pié¬
zonètres T5, T12, T17 et PT1 ou franchement supérieurs (20 à 30 cm)
dans le SP3 et le T20 ou nettement inférieurs (51 cm) dans le T7.
Dans les 5 piézcanètres^les niveaux minimaux de 1985 sont légèrenent
plus hauts que ceux de 1986 (< 10 on) à l'exception du T7 où l'écart
atteint 25 cm. Dans les ouvrages T5 et SP3 c'est l'inverse ; la diffé¬
rence étant faible (3 à 4 cm) . Les niveaux hauts de 1985 des piézonètres
T5, T7, PT1 et T12 sont supérieurs à ceux de 1986 ; la différence varie
entre 2 et 36 cm. C'est l'inverse pour les forages T17, SP3 et T2Û avec
des écarts cotpris entre 4 et 48 cm. En Juillet 1984 et entre Septembre
et Novembre 1985jla cote basse d'alerte avait déjà été dépassée dans
le piézonètre T12.
Les cotes basses de 1986 sont pour les piézonètres T5, T17, PT1
et SP3 supérieures à celles du 16/2/82 lors des ponpages effectués pour
la mise en place du collecteur Kellermann ; les écarts varient entre 15 cm
(T17) et 7,55 m (PT1 ) . A 1 ' inverse les niveaux bas de 1986 dans les ouvrages
T7 (0,69 m) et T12 (1,24 m) sont inférieurs à ceux de 1982. La présence de
pompages parasites à proximité des piézomètres T12 et T7 se confirme
donc.
-14-
Les précipitations de l'année 1986 sont irrégulières et le maximum
d'Avril du volume des précipitations se retrouve aussi dans la nap¬
pe alluviale, mais pas les valeurs minimales de Février et de Juil¬
let inférieures à 20 mm/m^/mois. Pour la nappe, les minima se situenten Août et en Octobre suivant les piézonètres considérés.
2.2.2. COMPARAISCN AVEC LES ANNEES ANTERIEURES ET EVOLUTICN PLURIAN-
NUFT.T.K
Les niveaux moyens de la nappe alluviale de 1986 sont légè-
reinent inférieurs ou supérieurs (< 10 cm) à ceux de 1985 dans les pié¬
zonètres T5, T12, T17 et PT1 ou franchement supérieurs (20 à 30 cm)
dans le SP3 et le T20 ou nettement inférieurs (51 cm) dans le T7.
Dans les 5 piézcanètres^les niveaux minimaux de 1985 sont légèrenent
plus hauts que ceux de 1986 (< 10 on) à l'exception du T7 où l'écart
atteint 25 cm. Dans les ouvrages T5 et SP3 c'est l'inverse ; la diffé¬
rence étant faible (3 à 4 cm) . Les niveaux hauts de 1985 des piézonètres
T5, T7, PT1 et T12 sont supérieurs à ceux de 1986 ; la différence varie
entre 2 et 36 cm. C'est l'inverse pour les forages T17, SP3 et T2Û avec
des écarts cotpris entre 4 et 48 cm. En Juillet 1984 et entre Septembre
et Novembre 1985jla cote basse d'alerte avait déjà été dépassée dans
le piézonètre T12.
Les cotes basses de 1986 sont pour les piézonètres T5, T17, PT1
et SP3 supérieures à celles du 16/2/82 lors des ponpages effectués pour
la mise en place du collecteur Kellermann ; les écarts varient entre 15 cm
(T17) et 7,55 m (PT1 ) . A 1 ' inverse les niveaux bas de 1986 dans les ouvrages
T7 (0,69 m) et T12 (1,24 m) sont inférieurs à ceux de 1982. La présence de
pompages parasites à proximité des piézomètres T12 et T7 se confirme
donc.
-15-
Après le creux prononcé du 16/2/82 (à + 32,5), l'enregistre¬
ment limnigraphique du PT1 qui figure sur le diagramme 2
nontre que ie niveau moyen de la nappe alluviale est revenu
au-dessus de la cote +40. Il y a^dans cet ouvrage^ une très
légère tendance à la baisse entre 83 et 86 tant pour les maxi¬ma que pour les minima.
Les fluctuations interannuelles sont assez régulières avec des
pics durant le preanier trimestre et des points bas en été.
L'amplitude des oscillations doneure assez constante autour
d'une quarantaine de centimètres.
2.3. COMPARAISONS ENTRE LA NAPPE DU ST OUEN El CTJT.T.T^ DES ALLU¬
VIONS TOURBEUSES.
Le diagramme 2 montre que l'évolution du piézonètre
PT1 aux alluvions , est assez semblable à celle du puits Nord
au St Ouen en ce qui conceme l'amplitude et la légère tendance
à la baisse ; l'amplitude est beaucoup plus forte dans le forage
AGI.
En 1986^ le décalage entre les pics de PT1 et Nord ^ est
pratiquement nul ; il se produit en Avril . Entre PT1 et AGI , le
décalage est beaucoup plus important et atteint 4 mois. Les niveaux
bas de PT1, cette année. se situent en Août alors que ceux des puits
au St Ouen ont lieu en Mars. En 1984 et 1985 les décalages des pics
et des creux entre PT1 et AGI ont varié entre 2 et 8 mois ; les
écarts étaient plus faibles en 1983 et n'excédaient pas 1 mois.
-15-
Après le creux prononcé du 16/2/82 (à + 32,5), l'enregistre¬
ment limnigraphique du PT1 qui figure sur le diagramme 2
nontre que ie niveau moyen de la nappe alluviale est revenu
au-dessus de la cote +40. Il y a^dans cet ouvrage^ une très
légère tendance à la baisse entre 83 et 86 tant pour les maxi¬ma que pour les minima.
Les fluctuations interannuelles sont assez régulières avec des
pics durant le preanier trimestre et des points bas en été.
L'amplitude des oscillations doneure assez constante autour
d'une quarantaine de centimètres.
2.3. COMPARAISONS ENTRE LA NAPPE DU ST OUEN El CTJT.T.T^ DES ALLU¬
VIONS TOURBEUSES.
Le diagramme 2 montre que l'évolution du piézonètre
PT1 aux alluvions , est assez semblable à celle du puits Nord
au St Ouen en ce qui conceme l'amplitude et la légère tendance
à la baisse ; l'amplitude est beaucoup plus forte dans le forage
AGI.
En 1986^ le décalage entre les pics de PT1 et Nord ^ est
pratiquement nul ; il se produit en Avril . Entre PT1 et AGI , le
décalage est beaucoup plus important et atteint 4 mois. Les niveaux
bas de PT1, cette année. se situent en Août alors que ceux des puits
au St Ouen ont lieu en Mars. En 1984 et 1985 les décalages des pics
et des creux entre PT1 et AGI ont varié entre 2 et 8 mois ; les
écarts étaient plus faibles en 1983 et n'excédaient pas 1 mois.
-16-
Les ouvrages PF7 crépine dans le St Ouen et SP3
qui capte la nappe alluviale sont très proches l'un de l'au¬
tre et situés au nord du lac près du collecteur CASANOVA.
Le tableau ci-après rappelle l'évolution de leurs niveaux
respectifs au cours de l'année 1986.
DATE ! 13/1I
6/3 ! 16/4I
15/5 19/6 ! 6/8 ! 3/9 ! 16/10 1 19/11 ! 22/12III I I
COTE SOL !
P3 (ail)! 39, 31 39,30 !39,46 39,48III II
39,45 139,34 !39,3 9 !39,î30 Í39,)98 139,39
F7(StO) 139,37 39,34 139,52 139,57III II
39,53 139,44 139,48 139,37 139,47 139,43
COTES DES NAPPES
+ 40,80 !
+ 40,87 !
Excepté en Novembre, la cote piézoïétrique de la nappe de
l'aquifère supérieur des alluvions a toujours été plus basse que celle de
l'aquifère plus profond du ST Ouen. En Novembre. l'écart en faveur de la
nappe alluviale atteignait 51 cm ; il n'a pas excédé 10 cm les autres
mois.
Dans ces 2 ouvrages, les pics sont décalés de 5 mois ; les écarts entre
les niveaux les plus bas n'excè-dent pas 1 mois.
Près du tracé de la future autoroute, il y a aussi 2 ou¬
vrages voisins qui sollicitent soit la nappe alluviale (T20) , soit cel¬
le du ST Ouen ( PFl 0). Le tableau suivant pennet de ccnparer leurs niveaux :
DATE 1 13/1 1 6/3 1 16/4 115/5 119/6 16/8 1 3/9 116/10 ! 19/11 1 22/12 ICOTE SOL 1
Í ! ! 1 ! 1 1 ! 1 1 1 1
201allIi39¿56_!_39¿_50_j_39i66_n9¿_59_!_39^55J_39¿_31_j_39¿^^
llllllll I I I I
F10(STqi39,64 139,58 l^xZa_lgg¿^g_lg9yZ2 l^^j^ n9_^62_1^55 139,65 'l39,70 'l + 40,63 'l
COTE DES NAPPES
-16-
Les ouvrages PF7 crépine dans le St Ouen et SP3
qui capte la nappe alluviale sont très proches l'un de l'au¬
tre et situés au nord du lac près du collecteur CASANOVA.
Le tableau ci-après rappelle l'évolution de leurs niveaux
respectifs au cours de l'année 1986.
DATE ! 13/1I
6/3 ! 16/4I
15/5 19/6 ! 6/8 ! 3/9 ! 16/10 1 19/11 ! 22/12III I I
COTE SOL !
P3 (ail)! 39, 31 39,30 !39,46 39,48III II
39,45 139,34 !39,3 9 !39,î30 Í39,)98 139,39
F7(StO) 139,37 39,34 139,52 139,57III II
39,53 139,44 139,48 139,37 139,47 139,43
COTES DES NAPPES
+ 40,80 !
+ 40,87 !
Excepté en Novembre, la cote piézoïétrique de la nappe de
l'aquifère supérieur des alluvions a toujours été plus basse que celle de
l'aquifère plus profond du ST Ouen. En Novembre. l'écart en faveur de la
nappe alluviale atteignait 51 cm ; il n'a pas excédé 10 cm les autres
mois.
Dans ces 2 ouvrages, les pics sont décalés de 5 mois ; les écarts entre
les niveaux les plus bas n'excè-dent pas 1 mois.
Près du tracé de la future autoroute, il y a aussi 2 ou¬
vrages voisins qui sollicitent soit la nappe alluviale (T20) , soit cel¬
le du ST Ouen ( PFl 0). Le tableau suivant pennet de ccnparer leurs niveaux :
DATE 1 13/1 1 6/3 1 16/4 115/5 119/6 16/8 1 3/9 116/10 ! 19/11 1 22/12 ICOTE SOL 1
Í ! ! 1 ! 1 1 ! 1 1 1 1
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llllllll I I I I
F10(STqi39,64 139,58 l^xZa_lgg¿^g_lg9yZ2 l^^j^ n9_^62_1^55 139,65 'l39,70 'l + 40,63 'l
COTE DES NAPPES
-17-
Pour ces deux ouvrages aussi/ la nappe du St Ouen a un niveau piezonétrique
plus haut que celle des alluvions excepté durant 1 mois, mais cette fois-
ci en Déca±)re.
Les écarts soit un peu plus forts que dans l'exemple précédent, ils varient
entre 8 et 27 on. Le décalage entre les pics atteint 7 mois ; les creux
peuvent être considérés conme synchrones.
-17-
Pour ces deux ouvrages aussi/ la nappe du St Ouen a un niveau piezonétrique
plus haut que celle des alluvions excepté durant 1 mois, mais cette fois-
ci en Déca±)re.
Les écarts soit un peu plus forts que dans l'exemple précédent, ils varient
entre 8 et 27 on. Le décalage entre les pics atteint 7 mois ; les creux
peuvent être considérés conme synchrones.
-18-
3. QUALITE DES EAUX THERMALES EN 1986 ET CPyiPARAISaSfS AVEC LES ANNEES
ANTERIEURES.
3.1 TYPE D'ANALYSES PRISES EN COMPTE ET DATES. OUVRAGES COSICERNES
Le B,R.G.M et le labora.toire central de la Ville de Paris ont
réalisé en 1986 sur les captages Coquil III, Peligot et AGI ainsi que
sur les 5 piézomètres entourant l'ilot A de la ZAC du front du lac,
plusieurs analyses cotplétes , intéressant les éléments chimiques et
bactériologiques majeurs, les hydrocarbures ou le degré sulfhydrca7 tri¬
que. A l'exception du piézomètre SCI bis qui est crépine dans les Sa¬
bles de Monceau qui surmontent les mamo-calcaires de St Ouen et du
captage Peligot qui sollicite à la fois la nappe du St Ouen et celle
des alluvions, les 6 autres ouvrages intéressent uniquement la nappe
du St Ouen.
Le tableau ci-après précise les dates et les types d'analyses effec¬
tuées a
TYPE D'ANALYSE 1 DEGRE SULFHYDRO
DUVRAGES INTE- 1 PELIGOT ET CO-
RESSES ET DATES! III (1 POIS PAR
! MOIS)
ANALYSE COM
PLETE TYPE
NORMES EURO¬
PEENNES
AGI (8/4/86)
ELEÎ-IENTS' CHIMIQUES ! HYDROCARBURES ! TEMPERA-
EH? BACTERIOLOGI- ! ! TURE ET
QUES MAJEURS ' 1 ! RESISTI-
! 1 VITE
PELIGOT ET COQUIL ! AGI-SCI-SCI BIS
III (19/2/86) + ! SC2-SC5 (20/1)
! (5/3) (15/5)I
SCI-SCI
SC3-
PELIGOT
(13/1) e:
(20/1)
Afin de contrôler l'évolutJ.on de la qualité des eaux dans les 3
¿aptages des Thermeson cotçarera d'une part depuis 1978 les variationsdu degré sulfhydro, qui fait l'originalité du gisement hydroninéral
d'Enghien, par restitution graphique des données informatisées, d'autre
pairt les analyses d'éléments chimiques majeurs et bactériologiques réali¬
sées sur PELIGOT et COQUIL III en 1980, 1982, 1984 et 1986.
-18-
3. QUALITE DES EAUX THERMALES EN 1986 ET CPyiPARAISaSfS AVEC LES ANNEES
ANTERIEURES.
3.1 TYPE D'ANALYSES PRISES EN COMPTE ET DATES. OUVRAGES COSICERNES
Le B,R.G.M et le labora.toire central de la Ville de Paris ont
réalisé en 1986 sur les captages Coquil III, Peligot et AGI ainsi que
sur les 5 piézomètres entourant l'ilot A de la ZAC du front du lac,
plusieurs analyses cotplétes , intéressant les éléments chimiques et
bactériologiques majeurs, les hydrocarbures ou le degré sulfhydrca7 tri¬
que. A l'exception du piézomètre SCI bis qui est crépine dans les Sa¬
bles de Monceau qui surmontent les mamo-calcaires de St Ouen et du
captage Peligot qui sollicite à la fois la nappe du St Ouen et celle
des alluvions, les 6 autres ouvrages intéressent uniquement la nappe
du St Ouen.
Le tableau ci-après précise les dates et les types d'analyses effec¬
tuées a
TYPE D'ANALYSE 1 DEGRE SULFHYDRO
DUVRAGES INTE- 1 PELIGOT ET CO-
RESSES ET DATES! III (1 POIS PAR
! MOIS)
ANALYSE COM
PLETE TYPE
NORMES EURO¬
PEENNES
AGI (8/4/86)
ELEÎ-IENTS' CHIMIQUES ! HYDROCARBURES ! TEMPERA-
EH? BACTERIOLOGI- ! ! TURE ET
QUES MAJEURS ' 1 ! RESISTI-
! 1 VITE
PELIGOT ET COQUIL ! AGI-SCI-SCI BIS
III (19/2/86) + ! SC2-SC5 (20/1)
! (5/3) (15/5)I
SCI-SCI
SC3-
PELIGOT
(13/1) e:
(20/1)
Afin de contrôler l'évolutJ.on de la qualité des eaux dans les 3
¿aptages des Thermeson cotçarera d'une part depuis 1978 les variationsdu degré sulfhydro, qui fait l'originalité du gisement hydroninéral
d'Enghien, par restitution graphique des données informatisées, d'autre
pairt les analyses d'éléments chimiques majeurs et bactériologiques réali¬
sées sur PELIGOT et COQUIL III en 1980, 1982, 1984 et 1986.
-19-
3.2 COSfSTATS EFFECTUES EN 1986
3.2.1 EVOLUTIOSI DU DEGRE SULFHYDRO DANS LES CAPTAGES DES THERMES
Le tableau ci-après récapitule les valeurs du degré sulfhydro
mesuré dans les captages Coquil, Peligot et AGI environ 1 fois par
mois sur les deux premiers ouvrages cités et en Avril sur le troisiè¬
me.
OUVRAGES !
113/1
CgQüIL_III_|27
PELIGOT 136,2
AGI !
! 6/3
125,4
1
DATE
1 8/4 ! 16/4 ! 15/5 ! 19/6 ! 6/8 1 3/9
!_ Í39i6__|37_j^3__|35^2_]_30_,9___!_30¿9_
! 127 124,4 127,6 123,1 120,8
115,9 lllll
VALEUR DU DEGRE SULFHYDRO
1 16/10 ! 19/11 ! 22/12 !
_!,31_ |32^ i_30i9 !
124,4 128,8 ! 28,8 1
! ! ! 1
A Coquil, le degré sulfhydro a varié entre 27 et 40,9 -, il a oscil¬
lé entre 20,8 et 36,2 à Peligot et était de 15,9 - dans le captage AGI
lors des tests de ponpage effectués le 8 Avril.
3.2.2 QUALITE DETAILLEE DE L'EAU DU CAPTAGE AGI LE 8/4/86
L'eau de la nappe du St Ouen captée par l'ouvrage AG1 avait le 8/4/86
une résistivité de 979 iî.cm, un ph légèrement basique de 7,35. Cette eau
est très dure ; son THT atteint 61,29 -. Les anions daninants sont dans
l'ordre HCO^ = 605,12 mg/l et SO^ = 127 mg/l. Cette eau contient 52 mg/l
de chlorures, 3 mg/l de nitrates, 0,6 rog/1 de fluor et 0,1 mg/l d'orthophos-
piiates. Les cations principaux sont le calcium (187,2 mg/l) , le magnésium
(36,4 mg/l) , le sodium (29,9 mg/l) , l'anmonium (8,5 mg/l) , le potassium
(6 mg/l), le fer (0,635 mg/l) et le manganèse (0,07 mg/l). Soulignons laconcentration élevée en baryum de cette eau (1,125 mg/l) , la présence de
0,26 mg/l d'aluminium et de 0,08 mg/l de bore.
Cette eau est de bonne qualité bactériologique. Elle ne recelait que
10 ng/l de conposés phosphores totaux / 226 ng/l de phtalates de type
-19-
3.2 COSfSTATS EFFECTUES EN 1986
3.2.1 EVOLUTIOSI DU DEGRE SULFHYDRO DANS LES CAPTAGES DES THERMES
Le tableau ci-après récapitule les valeurs du degré sulfhydro
mesuré dans les captages Coquil, Peligot et AGI environ 1 fois par
mois sur les deux premiers ouvrages cités et en Avril sur le troisiè¬
me.
OUVRAGES !
113/1
CgQüIL_III_|27
PELIGOT 136,2
AGI !
! 6/3
125,4
1
DATE
1 8/4 ! 16/4 ! 15/5 ! 19/6 ! 6/8 1 3/9
!_ Í39i6__|37_j^3__|35^2_]_30_,9___!_30¿9_
! 127 124,4 127,6 123,1 120,8
115,9 lllll
VALEUR DU DEGRE SULFHYDRO
1 16/10 ! 19/11 ! 22/12 !
_!,31_ |32^ i_30i9 !
124,4 128,8 ! 28,8 1
! ! ! 1
A Coquil, le degré sulfhydro a varié entre 27 et 40,9 -, il a oscil¬
lé entre 20,8 et 36,2 à Peligot et était de 15,9 - dans le captage AGI
lors des tests de ponpage effectués le 8 Avril.
3.2.2 QUALITE DETAILLEE DE L'EAU DU CAPTAGE AGI LE 8/4/86
L'eau de la nappe du St Ouen captée par l'ouvrage AG1 avait le 8/4/86
une résistivité de 979 iî.cm, un ph légèrement basique de 7,35. Cette eau
est très dure ; son THT atteint 61,29 -. Les anions daninants sont dans
l'ordre HCO^ = 605,12 mg/l et SO^ = 127 mg/l. Cette eau contient 52 mg/l
de chlorures, 3 mg/l de nitrates, 0,6 rog/1 de fluor et 0,1 mg/l d'orthophos-
piiates. Les cations principaux sont le calcium (187,2 mg/l) , le magnésium
(36,4 mg/l) , le sodium (29,9 mg/l) , l'anmonium (8,5 mg/l) , le potassium
(6 mg/l), le fer (0,635 mg/l) et le manganèse (0,07 mg/l). Soulignons laconcentration élevée en baryum de cette eau (1,125 mg/l) , la présence de
0,26 mg/l d'aluminium et de 0,08 mg/l de bore.
Cette eau est de bonne qualité bactériologique. Elle ne recelait que
10 ng/l de conposés phosphores totaux / 226 ng/l de phtalates de type
-20-
DBP et 7,1 mg/l de carbone organique total . Par la méthode infrarouge la
teneur en hydrocarbures était inférieure à 0,001 mg/l. Par la méthode de
chronatographie en phase gazeuse, beaucoup plus précise, les quantités
d'hydrocarbures polycycliquO aromatiques étaient infimes ; la plus forte
valeur concernait le benzathracène et n'atteignait que 61 ng/l. Il n'y
avait pas de dérivés organiques du chlore ou du brome .
Soulignons que cette eau ne peut être consotmée par I'hcxtme, car plusieurs
éléments dépassent les normes fixées par les directives des cottinunautés
européennes d'Août 1980a Les paramètres qui ont des valeurs supérieures aux
normes sont : l'anmonium (> 0,5 mg/l), le baryum (> 0,1 mg/l), le fer
(> 0,2 mg/l), le manganèse (> 0,06 mg/l), le potassium (> 12 rog/1), l'allund-
nium (> 0,2 mg/l) . Cette eau ne peut donc être utilisée que pour usage exter¬
ne ; pour de plus amples détails sur l'analyse du 8/4/86. on consultera les
résultats détaillés reportés en Annexe 1 .
3.2.3 A^JALYSES DES ELEMENTS MAJEURS DES EAUX DE COQUIL III EJI DE PELIGOT
Conme chaque année le laboratoire de la Ville de Paris a contrôlé
le 19/2/86 la qualité des eaux des captages Coquil et Peligot. Le tableau
ci-après rajçjelle les pricipaux résultats notés. Les valeurs obtenues sur
AGI le 8/4/86 sont rappelées en-dessous pour comparaison .
OUVRAGE
COQUIL III
PELIGOT
AGI
TEMPERATURE
- CELSIUS
10,5
13,5
15,9
1 RESISTIVITE
! n/cm
1 1080
1 926
! 979
1 C03 H ! CL
!-f- -*- mg/!l-> ^
! 440,4 1 53
1 442,8 1 58
1 605,12 1 52
SO4
-^ -Í- ~f
185
155
127
! N03
1 0
1 0
! 3
! N02 1
! 0 !
1 0 1
40,051
QUALITE BACTERIOLO-
GigjE
BONNE
BO^NE
BOSINE
C'est l'eau de AGI qui est la plus chaude et qui recèle le plus de
bicarbonates a Elle est la nrains chlorurée et la noins sulfatée. L'eau de
Coquil III est celle qui est la noins minéralisée nais celle qui recèle le
plus de sulfates. C'est dans Peligot que la concentration en chlorures est
la plus forte. Les eaux de ces trois captages recèlent peu ou pas de nitra¬
tes et de nitrites et sont de bonne qualité bactériologique.
-20-
DBP et 7,1 mg/l de carbone organique total . Par la méthode infrarouge la
teneur en hydrocarbures était inférieure à 0,001 mg/l. Par la méthode de
chronatographie en phase gazeuse, beaucoup plus précise, les quantités
d'hydrocarbures polycycliquO aromatiques étaient infimes ; la plus forte
valeur concernait le benzathracène et n'atteignait que 61 ng/l. Il n'y
avait pas de dérivés organiques du chlore ou du brome .
Soulignons que cette eau ne peut être consotmée par I'hcxtme, car plusieurs
éléments dépassent les normes fixées par les directives des cottinunautés
européennes d'Août 1980a Les paramètres qui ont des valeurs supérieures aux
normes sont : l'anmonium (> 0,5 mg/l), le baryum (> 0,1 mg/l), le fer
(> 0,2 mg/l), le manganèse (> 0,06 mg/l), le potassium (> 12 rog/1), l'allund-
nium (> 0,2 mg/l) . Cette eau ne peut donc être utilisée que pour usage exter¬
ne ; pour de plus amples détails sur l'analyse du 8/4/86. on consultera les
résultats détaillés reportés en Annexe 1 .
3.2.3 A^JALYSES DES ELEMENTS MAJEURS DES EAUX DE COQUIL III EJI DE PELIGOT
Conme chaque année le laboratoire de la Ville de Paris a contrôlé
le 19/2/86 la qualité des eaux des captages Coquil et Peligot. Le tableau
ci-après rajçjelle les pricipaux résultats notés. Les valeurs obtenues sur
AGI le 8/4/86 sont rappelées en-dessous pour comparaison .
OUVRAGE
COQUIL III
PELIGOT
AGI
TEMPERATURE
- CELSIUS
10,5
13,5
15,9
1 RESISTIVITE
! n/cm
1 1080
1 926
! 979
1 C03 H ! CL
!-f- -*- mg/!l-> ^
! 440,4 1 53
1 442,8 1 58
1 605,12 1 52
SO4
-^ -Í- ~f
185
155
127
! N03
1 0
1 0
! 3
! N02 1
! 0 !
1 0 1
40,051
QUALITE BACTERIOLO-
GigjE
BONNE
BO^NE
BOSINE
C'est l'eau de AGI qui est la plus chaude et qui recèle le plus de
bicarbonates a Elle est la nrains chlorurée et la noins sulfatée. L'eau de
Coquil III est celle qui est la noins minéralisée nais celle qui recèle le
plus de sulfates. C'est dans Peligot que la concentration en chlorures est
la plus forte. Les eaux de ces trois captages recèlent peu ou pas de nitra¬
tes et de nitrites et sont de bonne qualité bactériologique.
-21-
3.2.4. CONTROLE DES HYDROCARBURES DANS LES NAPPES D'EAUX
SOUTERRAINES LORS DES TRAVAUX DE FOUILLE ET DE TE-
RASSEMENT DE L'ILOT A DE LA ZAC DU FRONT DU LAC.
Le contrôle des hydrocarbures dans AGI , SCI , SCI bis, SC2 et SC5,
avant, peaidant et après les travaux de fouille de l'Ilot A de la ZAC du
front du lac qui ont eu lieu entre Janvier et Avril 1986, a fait l'objet
du rapport B.R.G.M 86 IDF 056 de Juin 1986.
Nous rappelerons simplement pour nvémoire les résultats des mesures
d'indice CH2 par méthode infrarouge après traitement au fluorisil du 20 Jan¬
vier avant le démarrage des travaux, du 5 Mars et du 8 Avril au milieu des
travaux et du 15 Mai après leur achèvanent.
DATE
__AG1..
0,03
OUVRAGES
SGI 1 âCI bis J_ SÇ2
1 0,06
SC5
120/1.
! 5/3
.Í2i.01_l_2i21.0,3 1 0,22
_<0^0X
0,2! 0,22
]__8/4_
115/6
<0_j_01_
0,43 0,4 ! 1 ,24 12,2 0,1
Le rapport précité concluait que le constat de l'absen¬
ce de déversement d'hydrocarbures sur l'assise de l'Ilot A et
les résultats négatifs de l'analyse détaillée et précise réali¬
sée sur AGI lors des pompages ayant crée un cône d'appel impor¬
tant en pleine période de terrassement et de drainage, témoignaient
que les travaux effectués sur l'Ilot A n'avaient pas eu d'impacc
sur la nappe (cf figure 3 et Annexe 1).
-21-
3.2.4. CONTROLE DES HYDROCARBURES DANS LES NAPPES D'EAUX
SOUTERRAINES LORS DES TRAVAUX DE FOUILLE ET DE TE-
RASSEMENT DE L'ILOT A DE LA ZAC DU FRONT DU LAC.
Le contrôle des hydrocarbures dans AGI , SCI , SCI bis, SC2 et SC5,
avant, peaidant et après les travaux de fouille de l'Ilot A de la ZAC du
front du lac qui ont eu lieu entre Janvier et Avril 1986, a fait l'objet
du rapport B.R.G.M 86 IDF 056 de Juin 1986.
Nous rappelerons simplement pour nvémoire les résultats des mesures
d'indice CH2 par méthode infrarouge après traitement au fluorisil du 20 Jan¬
vier avant le démarrage des travaux, du 5 Mars et du 8 Avril au milieu des
travaux et du 15 Mai après leur achèvanent.
DATE
__AG1..
0,03
OUVRAGES
SGI 1 âCI bis J_ SÇ2
1 0,06
SC5
120/1.
! 5/3
.Í2i.01_l_2i21.0,3 1 0,22
_<0^0X
0,2! 0,22
]__8/4_
115/6
<0_j_01_
0,43 0,4 ! 1 ,24 12,2 0,1
Le rapport précité concluait que le constat de l'absen¬
ce de déversement d'hydrocarbures sur l'assise de l'Ilot A et
les résultats négatifs de l'analyse détaillée et précise réali¬
sée sur AGI lors des pompages ayant crée un cône d'appel impor¬
tant en pleine période de terrassement et de drainage, témoignaient
que les travaux effectués sur l'Ilot A n'avaient pas eu d'impacc
sur la nappe (cf figure 3 et Annexe 1).
-22-
La présence d'hydrocarbures pourrait soitêtre d'origine naturelle compte tenu de l'intense activité
bactérienne du gisement, soit être en relation avec des pertes
du collecteur municipal superficiel qui passe le long de la
rue de la COUSSAYE.
3.2.5. TEMPERATURE ET RESISTIVITE DES EAUX SOUTERRAINES AU SUD
DU LAC
Au début de l'année 1986 la température et la résis¬
tivité des eaux ont été mesurées dans les captages et certains
V piézomètres situés en limite sud et sud-est du lac d'Enghien.
Le tableau suivant rappelle les résultats obtenus.
ARAMETRE 1 AGI ! SCI 1 SCI bis ! SC2 1 SC3 1 SC5 1 PELIGOT 1 COQUIL III! DATE !
ESISTIVITEl 11 1 ! ! 1 1 1 !
cm TEMPE-! ¡12,9112,3 !13,3!12,7113 1 14,1 1 113/1!
ATURE TS Cl 1 ! 1 1 ! ! 1 ! !
pli! 11 1 ! ! ! !
T ! !12,5 ! 12,3 1 13,6 ! 112,3 ! 1 120/1 !
0 ! ! ! ! ! ! ! 13,5 ! 10,5 !19/2 !
T 1 ! ! 1 ! ! ! 926 ! 1080 ! !
p 11145 12272 ! 832 ! 876 ! ! 724 ! 1 15/3 !
T 1 ! ! 1 11 ! ! ! !
p 1979 1 ! ! 1 ! ! ! 18/4 !
T 1 15,9 ! ! ! ! ! ! 1 ! !
Plus une eau est pure, plus sa résistivité est forte
et plus sa minéralisation est faible. Les captages AGI, Peligot
et Coquil ont une minéralisation moyenne avec des résistivités
voisines de 1000 O.cm. L'eau du piézomètre SCI crépine dans le
ST Ouen est moins minéralisée que celle du SCI bis, situé à moins
de 2 m et qui capte la nappe dans les Sables de Monceau.
-22-
La présence d'hydrocarbures pourrait soitêtre d'origine naturelle compte tenu de l'intense activité
bactérienne du gisement, soit être en relation avec des pertes
du collecteur municipal superficiel qui passe le long de la
rue de la COUSSAYE.
3.2.5. TEMPERATURE ET RESISTIVITE DES EAUX SOUTERRAINES AU SUD
DU LAC
Au début de l'année 1986 la température et la résis¬
tivité des eaux ont été mesurées dans les captages et certains
V piézomètres situés en limite sud et sud-est du lac d'Enghien.
Le tableau suivant rappelle les résultats obtenus.
ARAMETRE 1 AGI ! SCI 1 SCI bis ! SC2 1 SC3 1 SC5 1 PELIGOT 1 COQUIL III! DATE !
ESISTIVITEl 11 1 ! ! 1 1 1 !
cm TEMPE-! ¡12,9112,3 !13,3!12,7113 1 14,1 1 113/1!
ATURE TS Cl 1 ! 1 1 ! ! 1 ! !
pli! 11 1 ! ! ! !
T ! !12,5 ! 12,3 1 13,6 ! 112,3 ! 1 120/1 !
0 ! ! ! ! ! ! ! 13,5 ! 10,5 !19/2 !
T 1 ! ! 1 ! ! ! 926 ! 1080 ! !
p 11145 12272 ! 832 ! 876 ! ! 724 ! 1 15/3 !
T 1 ! ! 1 11 ! ! ! !
p 1979 1 ! ! 1 ! ! ! 18/4 !
T 1 15,9 ! ! ! ! ! ! 1 ! !
Plus une eau est pure, plus sa résistivité est forte
et plus sa minéralisation est faible. Les captages AGI, Peligot
et Coquil ont une minéralisation moyenne avec des résistivités
voisines de 1000 O.cm. L'eau du piézomètre SCI crépine dans le
ST Ouen est moins minéralisée que celle du SCI bis, situé à moins
de 2 m et qui capte la nappe dans les Sables de Monceau.
-23-
Les eaux sont plus fraîches dans le captage COQUIL (10,5°) et
plus chaudes dans AGI (15,9°) que dans les autres ouvrages où les tempé¬
ratures oscillent entre 12,5° et 14,1°.
3.3. COMPARAISONS AVEC LES ANNEES PRECEDENTES ET EVOLUTIONS
PLURIANNUELLES DES EAUX DES 3 CAPTAGES
3.3.1. COMPARAISONS DES PRINCIPAUX PARAMETRES PHYSICOCHIMIQUES
ET BACTERIOLOGIQUES DEPUIS 1930
Le tableau ci-après rappelle les valeurs des princi¬
paux éléments physicochimiques et l'aspect bactériologique
des eaux captéespar Coquil, Peligot et AGI en 1980, 1982, 1984
et 1986.
-23-
Les eaux sont plus fraîches dans le captage COQUIL (10,5°) et
plus chaudes dans AGI (15,9°) que dans les autres ouvrages où les tempé¬
ratures oscillent entre 12,5° et 14,1°.
3.3. COMPARAISONS AVEC LES ANNEES PRECEDENTES ET EVOLUTIONS
PLURIANNUELLES DES EAUX DES 3 CAPTAGES
3.3.1. COMPARAISONS DES PRINCIPAUX PARAMETRES PHYSICOCHIMIQUES
ET BACTERIOLOGIQUES DEPUIS 1930
Le tableau ci-après rappelle les valeurs des princi¬
paux éléments physicochimiques et l'aspect bactériologique
des eaux captéespar Coquil, Peligot et AGI en 1980, 1982, 1984
et 1986.
COMPARAISONS DE LA QUALITE DES EAUX DES 3 CAPTAGES DEPUIS 1980
1
1^CN
1
CAPTAGES ¡ CÔgUÎL lïï l PELIGOT ¡ ÂgT
PARAMETRE ¡ 25/6/80 ¡ 6/1/82 ¡ 27/9/84 ¡ 19/2/86 ¡25/6/80 ¡ 6/1/82 ¡ 27/9/84 ¡ 1 9/2/86 1 25/6¿90 J 6¿1 ¿ÍÍ2 ¡ 8/4/8
gH ¡ 7^2 ¡ 7,1 ¡ ¡ ¡ 6^95 ¡ 7,1 ¡ ¡ ¡ 7^,15 ¡ 6^3 17^35
RESISTIVITE n/cm ¡ 920 ¡ 1050 ¡ 1094 ¡ 1080 ¡ 930 ¡ 1195 ¡ 1157 ¡ 926 ¡ 995 ¡1015 ¡979
THT § F ¡ 52^5 ¡ 53,5 ¡ 70j^4 ¡ 72,2 ¡58 ¡41 ¡ 61,2 ¡ 72^6 ¡ 52,5 ¡ 58 ¡61^2
H2S mg/l ¡ 32,026 ¡ ¡ ¡ ¡ 4,02 ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡
DEGRE SULFHYDRO ¡ 23,9 ¡ 25,4 ¡ 27^2 ¡ 33,4 ¡ 3 ¡ 27,6 ¡ 33,6 ¡ 28,2 ¡ 13¿4 ¡ 7^9 ¡15j^9
HYDROCARBURES Ce'ofcl <0,01 ¡ ¡ <0¿01 ¡ ¡ <0,01 ¡ ¡ <0¿01 ¡ ¡ <0^01 ¡ ¡
Ca (mg/l) ¡ 187,7 ¡ 190^2 ¡ ¡ ¡ 204 ¡ 139,4 ¡ ¡ ¡ 168,3 ¡191,9 ¡187,2Mg " ¡ 17,6 ¡ 16 ¡ ¡ ¡ 20,8 ¡ 14,1 ¡ ¡ ¡ 26 ¡ 24^1 136,4
Na " ¡ 42,25 ¡42 ¡ ¡ ¡ 35 ¡ 38,75 ¡ ¡ ¡ 31^75 ¡ 28¿Ü5¡29¿9
K " ¡ 8,8 ¡ 8,95 ¡ ¡ ¡ 8 ¡ 9,4 ¡ ¡ ¡ 7^4 ¡ 5^65 ¡6
^fflM. " ¡ 10_j^6 ¡10,5 ¡ ¡ ¡8 ¡11 ¡ ¡ 1 12,8 ¡ 6 18^5
Fe " ! 0^1 ¡ <0,02 ¡ ¡ ¡ 3¿6 ¡ 0,04 ¡ ¡ ¡ 0^1 ¡ 1¿5 ¡0,635Mn " 1 0,065 ¡ 0,008 ¡ ¡ ¡ 0,06 ¡ 0,008 ¡ ¡ ¡ 0^06 ¡ 0i083¡0¿07H 00 3 " ¡407 ¡ 415 ¡ 429,4 ¡ 440,4 ¡ 451 ¡ 323,3 ¡ 373,3 ¡ 442,8 ¡ 522¿16¡ 600 ¡605^1
Cl " ¡70 ¡60 ¡59 ¡53 ¡ 55 ¡ 55 ¡54 ¡ 58 ¡ 76 ¡ 57 ¡52SO 4 " ¡228 ¡ 242 ¡ 211 ¡ 185 ¡ 229,2 ¡ 180 ¡ 237 ¡ 155 ¡ 129 ¡ 123 ¡127N03" ¡0 ¡0 ¡4 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 13
N0_2_" ¡ 0,1 ¡ <0,05 ¡0 ¡0 ¡ 0,05 ¡ <0,05 ¡0 ¡0 ¡ 0^05 1 0^05 ¡<0¿05
PO 4 " ¡ 0.£^5 ¡0 ¡ ¡ ¡ 0 ¡ 0,22 ¡ ¡ ¡TRACE ¡ 0,2 ¡0^1F " ¡ 0,7 ¡ 0^75 ¡ ¡ ¡ 0,52 ¡ 0,6 ¡ ¡ ¡ 0^65 ¡ 0^7 ¡0^6BACTERIOLOGIE ¡ BONNE ¡ ¡BONNE ¡ BONNE ¡ BONNE ¡ 1 ¡ BONNE ¡BONNE ¡ ¡BONNE
COMPARAISONS DE LA QUALITE DES EAUX DES 3 CAPTAGES DEPUIS 1980
1
1^CN
1
CAPTAGES ¡ CÔgUÎL lïï l PELIGOT ¡ ÂgT
PARAMETRE ¡ 25/6/80 ¡ 6/1/82 ¡ 27/9/84 ¡ 19/2/86 ¡25/6/80 ¡ 6/1/82 ¡ 27/9/84 ¡ 1 9/2/86 1 25/6¿90 J 6¿1 ¿ÍÍ2 ¡ 8/4/8
gH ¡ 7^2 ¡ 7,1 ¡ ¡ ¡ 6^95 ¡ 7,1 ¡ ¡ ¡ 7^,15 ¡ 6^3 17^35
RESISTIVITE n/cm ¡ 920 ¡ 1050 ¡ 1094 ¡ 1080 ¡ 930 ¡ 1195 ¡ 1157 ¡ 926 ¡ 995 ¡1015 ¡979
THT § F ¡ 52^5 ¡ 53,5 ¡ 70j^4 ¡ 72,2 ¡58 ¡41 ¡ 61,2 ¡ 72^6 ¡ 52,5 ¡ 58 ¡61^2
H2S mg/l ¡ 32,026 ¡ ¡ ¡ ¡ 4,02 ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡
DEGRE SULFHYDRO ¡ 23,9 ¡ 25,4 ¡ 27^2 ¡ 33,4 ¡ 3 ¡ 27,6 ¡ 33,6 ¡ 28,2 ¡ 13¿4 ¡ 7^9 ¡15j^9
HYDROCARBURES Ce'ofcl <0,01 ¡ ¡ <0¿01 ¡ ¡ <0,01 ¡ ¡ <0¿01 ¡ ¡ <0^01 ¡ ¡
Ca (mg/l) ¡ 187,7 ¡ 190^2 ¡ ¡ ¡ 204 ¡ 139,4 ¡ ¡ ¡ 168,3 ¡191,9 ¡187,2Mg " ¡ 17,6 ¡ 16 ¡ ¡ ¡ 20,8 ¡ 14,1 ¡ ¡ ¡ 26 ¡ 24^1 136,4
Na " ¡ 42,25 ¡42 ¡ ¡ ¡ 35 ¡ 38,75 ¡ ¡ ¡ 31^75 ¡ 28¿Ü5¡29¿9
K " ¡ 8,8 ¡ 8,95 ¡ ¡ ¡ 8 ¡ 9,4 ¡ ¡ ¡ 7^4 ¡ 5^65 ¡6
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Fe " ! 0^1 ¡ <0,02 ¡ ¡ ¡ 3¿6 ¡ 0,04 ¡ ¡ ¡ 0^1 ¡ 1¿5 ¡0,635Mn " 1 0,065 ¡ 0,008 ¡ ¡ ¡ 0,06 ¡ 0,008 ¡ ¡ ¡ 0^06 ¡ 0i083¡0¿07H 00 3 " ¡407 ¡ 415 ¡ 429,4 ¡ 440,4 ¡ 451 ¡ 323,3 ¡ 373,3 ¡ 442,8 ¡ 522¿16¡ 600 ¡605^1
Cl " ¡70 ¡60 ¡59 ¡53 ¡ 55 ¡ 55 ¡54 ¡ 58 ¡ 76 ¡ 57 ¡52SO 4 " ¡228 ¡ 242 ¡ 211 ¡ 185 ¡ 229,2 ¡ 180 ¡ 237 ¡ 155 ¡ 129 ¡ 123 ¡127N03" ¡0 ¡0 ¡4 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 ¡0 13
N0_2_" ¡ 0,1 ¡ <0,05 ¡0 ¡0 ¡ 0,05 ¡ <0,05 ¡0 ¡0 ¡ 0^05 1 0^05 ¡<0¿05
PO 4 " ¡ 0.£^5 ¡0 ¡ ¡ ¡ 0 ¡ 0,22 ¡ ¡ ¡TRACE ¡ 0,2 ¡0^1F " ¡ 0,7 ¡ 0^75 ¡ ¡ ¡ 0,52 ¡ 0,6 ¡ ¡ ¡ 0^65 ¡ 0^7 ¡0^6BACTERIOLOGIE ¡ BONNE ¡ ¡BONNE ¡ BONNE ¡ BONNE ¡ 1 ¡ BONNE ¡BONNE ¡ ¡BONNE
-25-
Dans le captage COQUIL, le pH demeure toujours légèrement
basique, la résistivité est assez constante autour de
1000 n.cm. L'eau devient de plus en plus dure. Sa teneur
en bicarbonate a augmenté de 407 à 440,4 mg/l. Ses concen¬
trations en chlorures et en sulfates sont toujours élevées
mais ont baissé depuis 1980 ou 1982 respectivement entre
70 et 53 mg/l et entre 242 et 185 mg/l. Les eaux sont tou¬
jours anmioniaquées , peu riches en fer, manganèse, nitrates,
nitrites, phosphates et fluor.
Les concentrations en magnésium, sodium et potassium étaient
en moyenne de 17 mg/l, 42 mg/l et 8 , 9 mg/l en 1980 et 1982.
Sa qualité bactériologique demeure bonne.
L'eau du captage PELIGOT est sensiblement neutre ;
sa résistivité oscille autour de 1000 n.cm. Sa dureté forte
a tendance à augmenter surtout depuis 1982. Sa concentration
en bicarbonate a varié entre 323 et 451 mg/l. Sa teneur en
sulfates oscille entre 130 et 237 mg/l. Elle recèle peu ou
pas de nitrites, de nitrates et de phosphates. Sa concentra¬
tion en fluor est faible et voisine de 0,5 mg/l. Elle a par¬
fois des teneurs en fer très fortes (3,6 mg/l en 1980) , mais
peu de manganèse. Elle est aussi ammoniaquée que celle de
COQUIL mais avec des concentrations voisines de 10 mg/l. Elle
contient à peu près autant de magnésium et de potassium que
cet ouvrage, mais un peu moins de sodium. Elle est elle aussi de
bonne qualité bactériologique.
-25-
Dans le captage COQUIL, le pH demeure toujours légèrement
basique, la résistivité est assez constante autour de
1000 n.cm. L'eau devient de plus en plus dure. Sa teneur
en bicarbonate a augmenté de 407 à 440,4 mg/l. Ses concen¬
trations en chlorures et en sulfates sont toujours élevées
mais ont baissé depuis 1980 ou 1982 respectivement entre
70 et 53 mg/l et entre 242 et 185 mg/l. Les eaux sont tou¬
jours anmioniaquées , peu riches en fer, manganèse, nitrates,
nitrites, phosphates et fluor.
Les concentrations en magnésium, sodium et potassium étaient
en moyenne de 17 mg/l, 42 mg/l et 8 , 9 mg/l en 1980 et 1982.
Sa qualité bactériologique demeure bonne.
L'eau du captage PELIGOT est sensiblement neutre ;
sa résistivité oscille autour de 1000 n.cm. Sa dureté forte
a tendance à augmenter surtout depuis 1982. Sa concentration
en bicarbonate a varié entre 323 et 451 mg/l. Sa teneur en
sulfates oscille entre 130 et 237 mg/l. Elle recèle peu ou
pas de nitrites, de nitrates et de phosphates. Sa concentra¬
tion en fluor est faible et voisine de 0,5 mg/l. Elle a par¬
fois des teneurs en fer très fortes (3,6 mg/l en 1980) , mais
peu de manganèse. Elle est aussi ammoniaquée que celle de
COQUIL mais avec des concentrations voisines de 10 mg/l. Elle
contient à peu près autant de magnésium et de potassium que
cet ouvrage, mais un peu moins de sodium. Elle est elle aussi de
bonne qualité bactériologique.
-26-
La nappe du St Ouen dans le forage AGI a un pH qui
oscille autour de 7 et une résistivité voisine de 1000 o.cm.
Cette eau est elle aussi à dominante bicarbonatée calcique,
puis sulfatée sodique et magnésienne. C'est ce captage qui
recèle le plus de bicarbonates avec des concentrations en
CO3H supérieures à 500 mg/l. La teneur en sulfates est res¬
tée assez stable et voisine de 125 mg/l alors qu'à PELIGOT
et COQUIL celle-ci variait entre 150 et 250 mg/l. L'eau
du forage AGI est, comme les 2 autres très ammoniaquée (6 à
12,8mg/l) mais peu riche en nitrates et nitrites ; sa concen¬
tration en fluor avec une moyenne de 0,65 mg/l est voisine
de celle des 2 autres captages. En 1982 et en 1986^elle ap¬
paraissait comme ferrugineuse avec des concentrations com¬
prises entre 0,6 et 1,5 mg/l. Depuis 1980 il y a une diminu¬
tion des chlorures qui sont passés de 76 à 52 mg/l. Comme les
2 autres captages, l'eau de AGI ne montre pas de traces d'hy¬
drocarbures au-dessus du seuil de détection par la méthode
infra-rouge.
3.3.2. EVOLUTION DETAILLEE DEPUIS 196 7 DU DEGRE SULFHYDROME-"
TRIQUE DANS LES 3 CAPTAGES DES THERMES
La liste récapitulative des valeurs du degré sulfhy-
drométrique (*) des eaux des 3 captages des Thermes figure
en Annexe 2 .
Rappelons que fin 1973 le captage COQUIL a été légèrement
déplacé, que PELIGOT a été approfondi et que le forage AGI
a été foncé.
(*) 1 degré sulfhydrométrique = 1,34 mg/l d'H2S
-26-
La nappe du St Ouen dans le forage AGI a un pH qui
oscille autour de 7 et une résistivité voisine de 1000 o.cm.
Cette eau est elle aussi à dominante bicarbonatée calcique,
puis sulfatée sodique et magnésienne. C'est ce captage qui
recèle le plus de bicarbonates avec des concentrations en
CO3H supérieures à 500 mg/l. La teneur en sulfates est res¬
tée assez stable et voisine de 125 mg/l alors qu'à PELIGOT
et COQUIL celle-ci variait entre 150 et 250 mg/l. L'eau
du forage AGI est, comme les 2 autres très ammoniaquée (6 à
12,8mg/l) mais peu riche en nitrates et nitrites ; sa concen¬
tration en fluor avec une moyenne de 0,65 mg/l est voisine
de celle des 2 autres captages. En 1982 et en 1986^elle ap¬
paraissait comme ferrugineuse avec des concentrations com¬
prises entre 0,6 et 1,5 mg/l. Depuis 1980 il y a une diminu¬
tion des chlorures qui sont passés de 76 à 52 mg/l. Comme les
2 autres captages, l'eau de AGI ne montre pas de traces d'hy¬
drocarbures au-dessus du seuil de détection par la méthode
infra-rouge.
3.3.2. EVOLUTION DETAILLEE DEPUIS 196 7 DU DEGRE SULFHYDROME-"
TRIQUE DANS LES 3 CAPTAGES DES THERMES
La liste récapitulative des valeurs du degré sulfhy-
drométrique (*) des eaux des 3 captages des Thermes figure
en Annexe 2 .
Rappelons que fin 1973 le captage COQUIL a été légèrement
déplacé, que PELIGOT a été approfondi et que le forage AGI
a été foncé.
(*) 1 degré sulfhydrométrique = 1,34 mg/l d'H2S
-27-
Le tableau ci-après précise les variations extrêmes de ceparamètre dans les 3 captages depuis 1932.
! 1 COQUIL
1 .o9 MAX 1 29,2! '^° MIN ! 19,21 MAX 1 501 '^°^ MIN ! 23,21 g MAX ! 33,6! '^° MIN ! 26,5! 3 MAX ! 39,6! '^°^ MIN 1 30,21 MAX 1 40,9! ^^^^ MIN 1 27
PELIGOT
27,65,7
28.__liZ
3215,3
326,9
36,220,8
AGI 1
7,9 ;
15,9 ;
COQUIL III est le plus sulfuré, le captage AGI le moins.
Entre 1967 et 1986 les valeurs extrêmes notées ont été de
50° et 9,4° pour COQUIL, 37,3° et 2° pour PELIGOT, et 15,9°
et 7,9° pour AGI. La tendance moyenne a l'augmentation du
degré sulfhydro, notée entre 34 et 35, semble se confirmer
entre 85 et 86 pour COQUIL et PELIGOT.
Les restitutions par ordinateur de l'évolution du
degré sulfhydro dans les captages COQUIL et PELIGOT (fig 5
et 5 bis), montrent que la tendance à l'augmentation est plus
importante dans le premier ouvrage que dans le second et
que la dispersion y est moins forte.
-27-
Le tableau ci-après précise les variations extrêmes de ceparamètre dans les 3 captages depuis 1932.
! 1 COQUIL
1 .o9 MAX 1 29,2! '^° MIN ! 19,21 MAX 1 501 '^°^ MIN ! 23,21 g MAX ! 33,6! '^° MIN ! 26,5! 3 MAX ! 39,6! '^°^ MIN 1 30,21 MAX 1 40,9! ^^^^ MIN 1 27
PELIGOT
27,65,7
28.__liZ
3215,3
326,9
36,220,8
AGI 1
7,9 ;
15,9 ;
COQUIL III est le plus sulfuré, le captage AGI le moins.
Entre 1967 et 1986 les valeurs extrêmes notées ont été de
50° et 9,4° pour COQUIL, 37,3° et 2° pour PELIGOT, et 15,9°
et 7,9° pour AGI. La tendance moyenne a l'augmentation du
degré sulfhydro, notée entre 34 et 35, semble se confirmer
entre 85 et 86 pour COQUIL et PELIGOT.
Les restitutions par ordinateur de l'évolution du
degré sulfhydro dans les captages COQUIL et PELIGOT (fig 5
et 5 bis), montrent que la tendance à l'augmentation est plus
importante dans le premier ouvrage que dans le second et
que la dispersion y est moins forte.
DSda or*
188^
ENGHIEN COQUIL mEVOLUTION DU DEGRE SULFHYDROMETRIQUE
BRGM
98.
8e_
7e_
60_
5e_
42_
32_
2a_
I8_
ANNEE
0.
1978 1979 1988 1981T
1982 1983 1984 1985 1986
.PRCM.SGR-Ior
DSda or*
188^
ENGHIEN COQUIL mEVOLUTION DU DEGRE SULFHYDROMETRIQUE
BRGM
98.
8e_
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0.
1978 1979 1988 1981T
1982 1983 1984 1985 1986
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DS
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98.
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6í;_
42!.
3^.
22_
ENGHIEN . PELIGOT
EVOLUTION DU DEGRE SULFHYDROMETRIQUEBRGM
INJVDI
-. »
1 I I I I I I \ \ I \ I I I I I I I I I r1 9641 9651 9661 9671 9681 9691 9781 97 1 1 9721 9731 9741 9751 9761 9771 9781 9791 9881 98 1 1 9821 9831 9841 9851986
31ip'Ulcr
RAPPORT No . BRCn . SCR-
DS
108.^
98.
88.
78.
6í;_
42!.
3^.
22_
ENGHIEN . PELIGOT
EVOLUTION DU DEGRE SULFHYDROMETRIQUEBRGM
INJVDI
-. »
1 I I I I I I \ \ I \ I I I I I I I I I r1 9641 9651 9661 9671 9681 9691 9781 97 1 1 9721 9731 9741 9751 9761 9771 9781 9791 9881 98 1 1 9821 9831 9841 9851986
31ip'Ulcr
RAPPORT No . BRCn . SCR-
-30-
4. AUTRES FAITS MARQUANTS DE L'ANNEE 19 86 ET PROJETS 1987
Au début de l'année 1986, l'Ilot de la ZAC du front du laca été mis hors sol. Les travaux de contrôle de l'iitpact des travaux
de fouille, de terrassement et de drainage cjui ont fait l'objet du rap¬
port B.R.G.M 86 IDF 056, ont montré egue les bâtiments concemés assis
sur des fonciations superficielles arrêtées au plus bas <3ans les sables
de Monceau, n'avaient pas touché la naj^je hydrcminérale.
Les tests de mise en service du forage AGI , dont l'agrément
est en cours, ont eu, le 7 Avril 1936, une influence sur les piézonètres
voisins SCI, SCI bis, SC2 et SC5 situés c3ans un rayon de 110 mètres
autour du captage. Pour un rabattanent de l'ordre de 4 mètres c3ans AGI ,
la dénivellation c3ans le SC2 avoisine 40 an.
Rappelons par ailleurs egue la réfection de l'hôtel des Thermes
s'est achevée en Avril 1986. EXarant les travaux, les deux, captages COQUIL
et PELIGOT avaient été maintenus en activité.
Les travaux de construction de la ZAC du centre ville située
hors de la zone de fabrique des sulfures, se sont poursuivis sans problème.
Nous n'avons pas eu en 1986 d'écho sur les problèmes de varia¬
tion de nappe cîans le secteur du Central téléphonicgue de Soisy sous
Montmorency, et des habitations voisines.
Les 7 Janvier et 1 1 Juin 1 936 , deux avis hydrogéologicgues favo¬
rables ont été fournis par le B.R.G.M à la DRIR du Val d'Oise pour les
dossiers de permis de construire de Monsieur PEYROMET, 75 avenue de
Ceinture, et Monsieur LEFEVRE, 8 boulevard du lac. Il s'agissait dans les
deux cas de construction ou d'aménagement de villas sans travaux de ter¬
rassement profond.
-30-
4. AUTRES FAITS MARQUANTS DE L'ANNEE 19 86 ET PROJETS 1987
Au début de l'année 1986, l'Ilot de la ZAC du front du laca été mis hors sol. Les travaux de contrôle de l'iitpact des travaux
de fouille, de terrassement et de drainage cjui ont fait l'objet du rap¬
port B.R.G.M 86 IDF 056, ont montré egue les bâtiments concemés assis
sur des fonciations superficielles arrêtées au plus bas <3ans les sables
de Monceau, n'avaient pas touché la naj^je hydrcminérale.
Les tests de mise en service du forage AGI , dont l'agrément
est en cours, ont eu, le 7 Avril 1936, une influence sur les piézonètres
voisins SCI, SCI bis, SC2 et SC5 situés c3ans un rayon de 110 mètres
autour du captage. Pour un rabattanent de l'ordre de 4 mètres c3ans AGI ,
la dénivellation c3ans le SC2 avoisine 40 an.
Rappelons par ailleurs egue la réfection de l'hôtel des Thermes
s'est achevée en Avril 1986. EXarant les travaux, les deux, captages COQUIL
et PELIGOT avaient été maintenus en activité.
Les travaux de construction de la ZAC du centre ville située
hors de la zone de fabrique des sulfures, se sont poursuivis sans problème.
Nous n'avons pas eu en 1986 d'écho sur les problèmes de varia¬
tion de nappe cîans le secteur du Central téléphonicgue de Soisy sous
Montmorency, et des habitations voisines.
Les 7 Janvier et 1 1 Juin 1 936 , deux avis hydrogéologicgues favo¬
rables ont été fournis par le B.R.G.M à la DRIR du Val d'Oise pour les
dossiers de permis de construire de Monsieur PEYROMET, 75 avenue de
Ceinture, et Monsieur LEFEVRE, 8 boulevard du lac. Il s'agissait dans les
deux cas de construction ou d'aménagement de villas sans travaux de ter¬
rassement profond.
-31-
A la fin de l'année 1986,1e B.R.G.M a proposé à la
municipalité d'Enghien et à la Société d'exploitation des
eaux des Thermes. une réservation de sites pour l'implantation
de forages d'appoint par la méthode originale de recherche
du Radon. Cette technique qui a donné des résultats concluants
dans des sites de même type, est particulièrement adaptée
pour les recherches en milieu urbanisé.
Dans le cadre de la mise à jour du fichier informa¬
tisé national sur les eaux hydrothermales, la recherche de
la documentation relative aux captages des Thermes d'Enghien
a démarré .
Avec l'accord de la municipalité et des Thermes d'En¬
ghien, l'accès des dossiers B.R.GaM a été autorisé à Mademoi¬
selle PETESCH, élève à l'école des Arts et Métiers, dans le
cadre de la préparation d'un Diplôme d'Etudes supérieures sur
le gisement hydrominéral d'Enghien.
L'étude de l'impact du foudroyage des carrières de
gypse de la forêt de Montmorency sur les eaux hydrominérales
d'Enghien a été envisagée au début de l'année 1986. Des con¬
tacts entre la municipalité d'Enghien, la DRIR/IDF et le
B.R.G.M ont eu lieu à ce sujet.
Dans le cadre des travaux de recherches générales
"eaux thermominérales", il est prévu une association
B . R. G. M/laboratoire central de la santé afin de comparer les
eaux minérales sulfureuses d'origine sédimentaire d'Enghien
et d'Allevard surtout en ce qui concerne l'état du soufre en
relation avec l'aspect bactériolotique spécifique. Le rapport
préliminaire 86 IDF 061 fait la synthèse des données sur ce
problème à Enghien et précise les sites sur lesquels des pré¬
lèvements pour analyse complémentaire seront effectués.
L'édification d'une ZAC est prévue en 1987 avenue de
la Libération à l'est du captage COQUIL. La municipalité d'En¬
ghien doit contacter le B.R.G.M pour le contrôle éventuel de
ces travaux.
Enfin il est probable que d'autres ilôts de la ZAC
du front du lac situés plus près de PELIGOT soient programmés
en 1987. Les Mines demanderont l'intervention du B.R.G.M dès
que les permis de construire auront été déposés.
-31-
A la fin de l'année 1986,1e B.R.G.M a proposé à la
municipalité d'Enghien et à la Société d'exploitation des
eaux des Thermes. une réservation de sites pour l'implantation
de forages d'appoint par la méthode originale de recherche
du Radon. Cette technique qui a donné des résultats concluants
dans des sites de même type, est particulièrement adaptée
pour les recherches en milieu urbanisé.
Dans le cadre de la mise à jour du fichier informa¬
tisé national sur les eaux hydrothermales, la recherche de
la documentation relative aux captages des Thermes d'Enghien
a démarré .
Avec l'accord de la municipalité et des Thermes d'En¬
ghien, l'accès des dossiers B.R.GaM a été autorisé à Mademoi¬
selle PETESCH, élève à l'école des Arts et Métiers, dans le
cadre de la préparation d'un Diplôme d'Etudes supérieures sur
le gisement hydrominéral d'Enghien.
L'étude de l'impact du foudroyage des carrières de
gypse de la forêt de Montmorency sur les eaux hydrominérales
d'Enghien a été envisagée au début de l'année 1986. Des con¬
tacts entre la municipalité d'Enghien, la DRIR/IDF et le
B.R.G.M ont eu lieu à ce sujet.
Dans le cadre des travaux de recherches générales
"eaux thermominérales", il est prévu une association
B . R. G. M/laboratoire central de la santé afin de comparer les
eaux minérales sulfureuses d'origine sédimentaire d'Enghien
et d'Allevard surtout en ce qui concerne l'état du soufre en
relation avec l'aspect bactériolotique spécifique. Le rapport
préliminaire 86 IDF 061 fait la synthèse des données sur ce
problème à Enghien et précise les sites sur lesquels des pré¬
lèvements pour analyse complémentaire seront effectués.
L'édification d'une ZAC est prévue en 1987 avenue de
la Libération à l'est du captage COQUIL. La municipalité d'En¬
ghien doit contacter le B.R.G.M pour le contrôle éventuel de
ces travaux.
Enfin il est probable que d'autres ilôts de la ZAC
du front du lac situés plus près de PELIGOT soient programmés
en 1987. Les Mines demanderont l'intervention du B.R.G.M dès
que les permis de construire auront été déposés.
-32-
CONCLUSION
En 1936 les nappes hydrominérales recelées par
les marno-calcaires du St Ouen et les Alluvions tourbeuses
ont une allure piézométrique normale, et voisine de celles
des années précédentes. La première s'écoule toujours vers
le sud-sud-est entre les cotes +41 et + 34 ; son niveau
piézométrique s'établit à moins de 1,5 m sous le sol au
nord du lac et près de l'évacuateur et à plus de 4 m dans
les 3 captages des Thermes (COQUIL III, PELIGOT et AGI). La
nappe alluviale s'écoule en basses eaux parallèlement au lac
nord sans relation avec le collecteur Kellermann; en hautes
eaux, le tracé précédent semble s ' inverser ; les niveaux de
cette nappe s'établissent aux environs de la côte + 39 au
nord du lac d'Enghien.
Les fluctuations saisonnières de ces deux nappes n'ont pas
excédé 0,65 m. Les hautes eaux se sont établies . globalement
en 1986 durant l'été pour la nappe du St Ouen et en Avril
pour la nappe alluviale, indépendamment du niveau du lac (maxi¬
mum en Mars) . Le plus souvent les niveaux du lac sont supé¬
rieurs à celui du St Ouen, eux-mêmes plus hauts que ceux de
la nappe alluviale.
Le dépassement de la cote d'alerte de la nappe du St Ouen
dans AGI et à proximité, est peut-être à mettre en relation
avec les pompages réalisés sur cet ouvrage ainsi qu'avec la
légère baisse générale constatée ces dernières années. Il
doit y avoir des pompages parasites à proximité du piézomètre
aux alluvions T12 au nord du lac.
Les niveaux de 1986 sont en général un peu plus bas que ceux des
années précédentes? l'écart moyen n'excède pas néanmoins une
dizaine de centimètres par rapport à 1985 ; ces .liveauxse si¬
tuant à plusieurs mètres au-dessus de ceux enregistrés lors
des travaux du collecteur Casanova en 1982.
-32-
CONCLUSION
En 1936 les nappes hydrominérales recelées par
les marno-calcaires du St Ouen et les Alluvions tourbeuses
ont une allure piézométrique normale, et voisine de celles
des années précédentes. La première s'écoule toujours vers
le sud-sud-est entre les cotes +41 et + 34 ; son niveau
piézométrique s'établit à moins de 1,5 m sous le sol au
nord du lac et près de l'évacuateur et à plus de 4 m dans
les 3 captages des Thermes (COQUIL III, PELIGOT et AGI). La
nappe alluviale s'écoule en basses eaux parallèlement au lac
nord sans relation avec le collecteur Kellermann; en hautes
eaux, le tracé précédent semble s ' inverser ; les niveaux de
cette nappe s'établissent aux environs de la côte + 39 au
nord du lac d'Enghien.
Les fluctuations saisonnières de ces deux nappes n'ont pas
excédé 0,65 m. Les hautes eaux se sont établies . globalement
en 1986 durant l'été pour la nappe du St Ouen et en Avril
pour la nappe alluviale, indépendamment du niveau du lac (maxi¬
mum en Mars) . Le plus souvent les niveaux du lac sont supé¬
rieurs à celui du St Ouen, eux-mêmes plus hauts que ceux de
la nappe alluviale.
Le dépassement de la cote d'alerte de la nappe du St Ouen
dans AGI et à proximité, est peut-être à mettre en relation
avec les pompages réalisés sur cet ouvrage ainsi qu'avec la
légère baisse générale constatée ces dernières années. Il
doit y avoir des pompages parasites à proximité du piézomètre
aux alluvions T12 au nord du lac.
Les niveaux de 1986 sont en général un peu plus bas que ceux des
années précédentes? l'écart moyen n'excède pas néanmoins une
dizaine de centimètres par rapport à 1985 ; ces .liveauxse si¬
tuant à plusieurs mètres au-dessus de ceux enregistrés lors
des travaux du collecteur Casanova en 1982.
-33-
Cette année les eaux des trois captages sont demeurées
très sulfureuses avec un degré sulfhydro qui a oscilléentre 27 et 40, 9ê à COQUIL, 20,8 et 36, 2S à PELIGOT età 15,9= dans AGI .
La tendance moyenne à l'augmentation du degrésulfhydro entre 84 et 85 semble se confirmer entre 1985
et 1986 surtout pour COQUIL III.
Les eaux de ces captages sont principalement
bicarbonatées et sulfatées calciques avec des teneurs
en chlorures supérieures à 50 mg/l, plus de 28 mg/l de
sodium et des concentrations en ammoniaque comprises en¬
tre 6 et 13 mg/l. Elles recèlent peu ou pas de nitrates
et de nitrites et sont de bonne qualité bactériologique.
Les travaux de fouille, de terrassement et de
drainage de l'ilôt A de la ZAC du front du lac réalisés
au début de l'année 1936 n'ont pas eu d'impact sur la
nappe.
Le projet de réalisation d'une ZAC avenue de la
Libération à l'est de COQUIL III et ceux des autres ilôts
de la ZAC du front du lac entre AGI et PELIGOT^nécessite-
ront des investigations hydrogéotechniques et un contrôle
accru. Dans l'attente du démarrage de ces travaux la sur¬
veillance piézométrique et de la 'qualité des eaux effec¬
tuées en 1986, sera maintenue en 1987 au même rythme, sui¬
vant les mêmes modalités et sur les mêmes points. Enfin rap¬
pelons que, compte tenu de la baisse naturelle notée autour
de AGI, cet ouvrage ne pourra pas être exploité, une fois
l'agrément obtenu, à plus de 5 m^/h. Compte tenu de sa si¬
tuation, la tête de ce captage sera réaménagée, afin de le
mettre a l'abri des infiltrations et des actes de malveil¬
lance.
-33-
Cette année les eaux des trois captages sont demeurées
très sulfureuses avec un degré sulfhydro qui a oscilléentre 27 et 40, 9ê à COQUIL, 20,8 et 36, 2S à PELIGOT età 15,9= dans AGI .
La tendance moyenne à l'augmentation du degrésulfhydro entre 84 et 85 semble se confirmer entre 1985
et 1986 surtout pour COQUIL III.
Les eaux de ces captages sont principalement
bicarbonatées et sulfatées calciques avec des teneurs
en chlorures supérieures à 50 mg/l, plus de 28 mg/l de
sodium et des concentrations en ammoniaque comprises en¬
tre 6 et 13 mg/l. Elles recèlent peu ou pas de nitrates
et de nitrites et sont de bonne qualité bactériologique.
Les travaux de fouille, de terrassement et de
drainage de l'ilôt A de la ZAC du front du lac réalisés
au début de l'année 1936 n'ont pas eu d'impact sur la
nappe.
Le projet de réalisation d'une ZAC avenue de la
Libération à l'est de COQUIL III et ceux des autres ilôts
de la ZAC du front du lac entre AGI et PELIGOT^nécessite-
ront des investigations hydrogéotechniques et un contrôle
accru. Dans l'attente du démarrage de ces travaux la sur¬
veillance piézométrique et de la 'qualité des eaux effec¬
tuées en 1986, sera maintenue en 1987 au même rythme, sui¬
vant les mêmes modalités et sur les mêmes points. Enfin rap¬
pelons que, compte tenu de la baisse naturelle notée autour
de AGI, cet ouvrage ne pourra pas être exploité, une fois
l'agrément obtenu, à plus de 5 m^/h. Compte tenu de sa si¬
tuation, la tête de ce captage sera réaménagée, afin de le
mettre a l'abri des infiltrations et des actes de malveil¬
lance.
ANNEXESANNEXES
VILLE DE PARIS
DIRECTION DES SERVICESINDUSTRIELS Bt COMMERCIAUX
4/V-4 L YSE N° Bfí If^m (A)
ANNEXE 1
SERVICE de CONTROLE des EAUX
144-146, Avenus Paul Vaillant-Couturiar75014 PARIS - Téléphona :655-85-00
RESULTATS DES ANALYSES EFFECTUEES
30ur le compte cie : .Snriété d ' Kxpl nidation ries Eaux et Thermes d'Enghien les Bains
3 Avenue de Ceinture - 95880 ENGHIEN-LES-BAI.VS
/lotif pour lequel a étécJemandáe l'analyse :
prélevés le _3_AvrJJ.._JL9-8.6_
reçus au laboratoire le
1° Forage AGI faim rpfmii pmt^nt fie la pnïïiFP^
2°
3°
chantillons
¡rigine
tglte
éologique
Onditions de Température de l'air
relèvement Température ce l'eau
Pression barométrique
onditions de conservation et ce transport :
ébut de l'analyse : à h.
19 par Mme MOUCHET ¿ Enghien
Echantillon iN» 1
8'
15"9
Echantillon N°2 Echantillon N° 3
761 mm
. Température moyenne Ces mesures :
CARACTERISTIQUES ORGANOLEPTIQUES ET PHYSIQUES
¡pecrt
veur
sur place
au laboratoire
sur place
au laboratoire
sur placa
au laboratoire
luleur
mite de visibilité (m)
irbidité
I
( sur place
1 au laboratoire¡ir.tivité à l8
uct:*>téiriqueP'S)
tiéresen
pension
mg,'l)
SHiîp«c«a_
au labo, ramenée à 23^C
totales à 105°C
résidu calciné â 525- C
fract. volatile àSSS^'C
Pouvoir colmatant
Méthode d'analyse ( 1 )
NF. T. 90.035
NF. T. 90.034
T. 90.105
ü°.
d°-
NF. T. 90.030
Ecnantilion N° 1
Clair
H S¿
7,35
979
1071
84
Echantillon N° 2 Echantillon N° 3
Norme française (NF.T. 90 . . .) ou autre méthode.
VOIR LES CO^'CL'.'^'^'^J'^ D/\r:p ,i
VILLE DE PARIS
DIRECTION DES SERVICESINDUSTRIELS Bt COMMERCIAUX
4/V-4 L YSE N° Bfí If^m (A)
ANNEXE 1
SERVICE de CONTROLE des EAUX
144-146, Avenus Paul Vaillant-Couturiar75014 PARIS - Téléphona :655-85-00
RESULTATS DES ANALYSES EFFECTUEES
30ur le compte cie : .Snriété d ' Kxpl nidation ries Eaux et Thermes d'Enghien les Bains
3 Avenue de Ceinture - 95880 ENGHIEN-LES-BAI.VS
/lotif pour lequel a étécJemandáe l'analyse :
prélevés le _3_AvrJJ.._JL9-8.6_
reçus au laboratoire le
1° Forage AGI faim rpfmii pmt^nt fie la pnïïiFP^
2°
3°
chantillons
¡rigine
tglte
éologique
Onditions de Température de l'air
relèvement Température ce l'eau
Pression barométrique
onditions de conservation et ce transport :
ébut de l'analyse : à h.
19 par Mme MOUCHET ¿ Enghien
Echantillon iN» 1
8'
15"9
Echantillon N°2 Echantillon N° 3
761 mm
. Température moyenne Ces mesures :
CARACTERISTIQUES ORGANOLEPTIQUES ET PHYSIQUES
¡pecrt
veur
sur place
au laboratoire
sur place
au laboratoire
sur placa
au laboratoire
luleur
mite de visibilité (m)
irbidité
I
( sur place
1 au laboratoire¡ir.tivité à l8
uct:*>téiriqueP'S)
tiéresen
pension
mg,'l)
SHiîp«c«a_
au labo, ramenée à 23^C
totales à 105°C
résidu calciné â 525- C
fract. volatile àSSS^'C
Pouvoir colmatant
Méthode d'analyse ( 1 )
NF. T. 90.035
NF. T. 90.034
T. 90.105
ü°.
d°-
NF. T. 90.030
Ecnantilion N° 1
Clair
H S¿
7,35
979
1071
84
Echantillon N° 2 Echantillon N° 3
Norme française (NF.T. 90 . . .) ou autre méthode.
VOIR LES CO^'CL'.'^'^'^J'^ D/\r:p ,i
CARACTERISTIQUES CHIMIQUES GENERALES
Rés.du sec à 105 C (mg/l)
Dureté (Degrés français)
Titra hydrotimétrique total (T.H.)
ALCALINITE (Degrés français)
Tii-e aicaliméirijue (T.A.)
do complet (T.A.C.)
Dioxyde de carbone libre (mg/l CO )
Oxygènecéoé parKMnO
4
(mg/lO^)
milieu alcalin (ebullition)
milieu acide (ebullition)
milieu acide (4 h à froid)
Oxygène dissous immédiat (mg/l O )
Taux de saturation en oxygène (%)
Sulfure d'hydrogène (jiT8-t«^S)X endegrés 3Ul
Chlore total mg/l Cl_Jl iA
-J J D
Jl £
Sii:ce
" libre mg/l CL
combiné mg/l CI,
(mg/l Si O^)
Azote Kjeldahl mg/l
Méthode d'analyse
NF.T. 90 029
Complexométrie
Acidimétrie
do
Contrôle des eaux
f h j'droma trique
NF. T. 90 007
Echantillon N" 1
918
èi'2
.4a: 6
6,85
12,90
/
15'9
TT , ñ
q.4
Echantillon N» 2
-
Echantillon N" 3
ANALYSE RA
Détermination
Coiimé'j-ie
Coliformes totaux / 100 mlColiformes fécaux / 100 mlIdentification
Streotocoques fécaux / 100 ml
Clostridium suifito-réducteurs / 20 ml
Technique
(1) (3) (7)(1) (2) (4) (7)
IMVIC
(5) (6)
N° 1
0n
0
Cl
N°2 N03
(1) Bouillon lactosA au rouge neutre 37 48 h(2) Milieu de Vincent 41° 48 h(3) Membrane filtrante - milieu de Chapmann modifié 37° 24 h(4) - - - - " 44° 24 h "
(5) Mithode de Rothe-litsky(6) fviembrane filtrante milieu de Slanetz 37° 48 h(7) Bouillon lactose au BCP et tests confirmatifs - repartition en 3 fois 3 tubes.
CARACTERISTIQUES CHIMIQUES GENERALES
Rés.du sec à 105 C (mg/l)
Dureté (Degrés français)
Titra hydrotimétrique total (T.H.)
ALCALINITE (Degrés français)
Tii-e aicaliméirijue (T.A.)
do complet (T.A.C.)
Dioxyde de carbone libre (mg/l CO )
Oxygènecéoé parKMnO
4
(mg/lO^)
milieu alcalin (ebullition)
milieu acide (ebullition)
milieu acide (4 h à froid)
Oxygène dissous immédiat (mg/l O )
Taux de saturation en oxygène (%)
Sulfure d'hydrogène (jiT8-t«^S)X endegrés 3Ul
Chlore total mg/l Cl_Jl iA
-J J D
Jl £
Sii:ce
" libre mg/l CL
combiné mg/l CI,
(mg/l Si O^)
Azote Kjeldahl mg/l
Méthode d'analyse
NF.T. 90 029
Complexométrie
Acidimétrie
do
Contrôle des eaux
f h j'droma trique
NF. T. 90 007
Echantillon N" 1
918
èi'2
.4a: 6
6,85
12,90
/
15'9
TT , ñ
q.4
Echantillon N» 2
-
Echantillon N" 3
ANALYSE RA
Détermination
Coiimé'j-ie
Coliformes totaux / 100 mlColiformes fécaux / 100 mlIdentification
Streotocoques fécaux / 100 ml
Clostridium suifito-réducteurs / 20 ml
Technique
(1) (3) (7)(1) (2) (4) (7)
IMVIC
(5) (6)
N° 1
0n
0
Cl
N°2 N03
(1) Bouillon lactosA au rouge neutre 37 48 h(2) Milieu de Vincent 41° 48 h(3) Membrane filtrante - milieu de Chapmann modifié 37° 24 h(4) - - - - " 44° 24 h "
(5) Mithode de Rothe-litsky(6) fviembrane filtrante milieu de Slanetz 37° 48 h(7) Bouillon lactose au BCP et tests confirmatifs - repartition en 3 fois 3 tubes.
- Composition chimique
1" CATIONSMéthode d'analyse
+Acidité en H
+ +
+ +Magnésium, en Mg
+
+
+
+ +
+ +
Complexométrie
Absorption atomique
Emission de flamme-
NF.T.90015
Absorption atomique
2° ANIONS
Hydroxyle en OH
Carbonique, en CO J ~
Orthophosohate PO 4 . .
Polyphosphate PO 4
Acidimétrie
Microcoulométrie
NF. T. 90 013
Molybdate
Zr - SPANS
1°
mg/l
-...l8Z..i_
29,9
6
A.5..-_.-9_>^5_..
0,070
....
605,12
52
127
3
<0,05
0,10
0,60
m.équiv./l
. ?,_53_...
._J
..l...3P._
._-..P.15. .
0,47...
14,45
9,92
1,46
2,64
0,27
0,03
l'I, 34
2°
mg/l
m.équiv./l
. . :
3°
mg/l
m.équiv./l
RIOLOGIQUE
Colonies de bactéries aérobies / ml
( 24 h à 37° .
3''°^ 172 h à 20°
Sal.'rcnelles/5 litres
Autres déterminations :
N° 1
1
27
0
N°2 N03
- Composition chimique
1" CATIONSMéthode d'analyse
+Acidité en H
+ +
+ +Magnésium, en Mg
+
+
+
+ +
+ +
Complexométrie
Absorption atomique
Emission de flamme-
NF.T.90015
Absorption atomique
2° ANIONS
Hydroxyle en OH
Carbonique, en CO J ~
Orthophosohate PO 4 . .
Polyphosphate PO 4
Acidimétrie
Microcoulométrie
NF. T. 90 013
Molybdate
Zr - SPANS
1°
mg/l
-...l8Z..i_
29,9
6
A.5..-_.-9_>^5_..
0,070
....
605,12
52
127
3
<0,05
0,10
0,60
m.équiv./l
. ?,_53_...
._J
..l...3P._
._-..P.15. .
0,47...
14,45
9,92
1,46
2,64
0,27
0,03
l'I, 34
2°
mg/l
m.équiv./l
. . :
3°
mg/l
m.équiv./l
RIOLOGIQUE
Colonies de bactéries aérobies / ml
( 24 h à 37° .
3''°^ 172 h à 20°
Sal.'rcnelles/5 litres
Autres déterminations :
N° 1
1
27
0
N°2 N03
CONCLUSIONS
Eau sulfurée, de bonne qualité bactériologi:ue .
Paris, Ii 27 Mai 1986
L'INGE'.^EUR EN CHEF
0E!^3: = ;TG1RE CENTRALOEPARTElJÎ.NT EAUX POTABLES
J VOUCHÊT
Ce bulletin ne doit pas être utilisé à des fins publicitaires
CONCLUSIONS
Eau sulfurée, de bonne qualité bactériologi:ue .
Paris, Ii 27 Mai 1986
L'INGE'.^EUR EN CHEF
0E!^3: = ;TG1RE CENTRALOEPARTElJÎ.NT EAUX POTABLES
J VOUCHÊT
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VILLE DE PARIS
SERVICE DE CONTROLE DES EAUX
P.C. N° 3
FEUILLET INTERCALAIRE
f.¡o_ Rf. 1^01 (B)ANALYSES EFFECTUEES pour le compte de
Ç^/^-jifi rl'FvpIn-ifqf-inn rip.o FflljY
d'Enghien les Bains " 3 AvenuePt Therme.=!de Ceinture
95880 ENGHIEN-LES-BAINS
CLEchintillons prilevis par M me MOUCHET 8 Avril 1986
,0 Forage AGI
2°
RECHERCHES SPECIALES d'éléments à l'état de trace
o
N.«
FEh.
0
1c '
0)09
E
expr«0
"509
«tr
Arsenic
Cadmium
As
Cd
hexavalent CrChrome
total
Cuivre
Mercure
fvlickel
Plomb
Sélénium
Zinc
Aluminium
Cobalt
Fer
Manganèse
Antimoine
Strontium
Lilhuim
Élain
Baryum
Béryllium
Bore
Vanadium
Argent
Molybdène
Cr
Cu
Hg
Ni
Pb
Se
Zn
Al
Co
Fe
Mn
Sb
Sr
Li
Sn
Ba
Be
B
Va
Ag
Mo
Méthode d'analyse
AbsorptionAtomique
Plasma Argon
Échantillon n° 1
5
C'I
< 2
<r'2
<0,2
< 2
< 2
<5
S
260
< 2
635
70
VJl1125
< 1
80
< 1
< 10
Échantillon n° 2
Paris, le 27 ^
L'INGENIEUR
DE LABORATOIR
r^f^^-IA1)U.-<,-^^-^^J MOUC
Échantillon n° 3
ai 1986
:N -..i-r.''
r CENTRA.
I.AJ'~^^-^^\
HET
VILLE DE PARIS
SERVICE DE CONTROLE DES EAUX
P.C. N° 3
FEUILLET INTERCALAIRE
f.¡o_ Rf. 1^01 (B)ANALYSES EFFECTUEES pour le compte de
Ç^/^-jifi rl'FvpIn-ifqf-inn rip.o FflljY
d'Enghien les Bains " 3 AvenuePt Therme.=!de Ceinture
95880 ENGHIEN-LES-BAINS
CLEchintillons prilevis par M me MOUCHET 8 Avril 1986
,0 Forage AGI
2°
RECHERCHES SPECIALES d'éléments à l'état de trace
o
N.«
FEh.
0
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0)09
E
expr«0
"509
«tr
Arsenic
Cadmium
As
Cd
hexavalent CrChrome
total
Cuivre
Mercure
fvlickel
Plomb
Sélénium
Zinc
Aluminium
Cobalt
Fer
Manganèse
Antimoine
Strontium
Lilhuim
Élain
Baryum
Béryllium
Bore
Vanadium
Argent
Molybdène
Cr
Cu
Hg
Ni
Pb
Se
Zn
Al
Co
Fe
Mn
Sb
Sr
Li
Sn
Ba
Be
B
Va
Ag
Mo
Méthode d'analyse
AbsorptionAtomique
Plasma Argon
Échantillon n° 1
5
C'I
< 2
<r'2
<0,2
< 2
< 2
<5
S
260
< 2
635
70
VJl1125
< 1
80
< 1
< 10
Échantillon n° 2
Paris, le 27 ^
L'INGENIEUR
DE LABORATOIR
r^f^^-IA1)U.-<,-^^-^^J MOUC
Échantillon n° 3
ai 1986
:N -..i-r.''
r CENTRA.
I.AJ'~^^-^^\
HET
VILLE DE PARIS
SERVICE DE CONTROLE DES EAUX
86 1501 ( C)
FEUILLET INTERCALAIRE
ANALYSES EFFECTUEES pour le compte de
Société d ' ExDloitatio.n des Eaux et Thernp.c;
PC ut.
S4B5
N°. d'Enghien les Bains - 3 Avenue rie Çpintnrp95880 ENGHIEN-LES-Bains
Echantillons prélevés par M ^^ MOUCHET le. 8 Avril 1986
>o Forage AGI
5»
RECHERCHES SPECIALES de micro-polluants organiques
BIOCIDES
HCB (hexachlorobenzène) nanogrammes/l : ng/l
Aldrine ng/l
Dieldrine ng/l
Heptachlore ng/i
Heptachlore époxyde ng/l
DDT op' na/l
DDT pp' ng/l
DDE pp' ng/l
TDE ou DDD pp' ng/l
°¿ HCH ng/l
Í3HCH ng/l
7 HCH (lindane) ng/l
Parathion ng/i
."alathion ng/l
Composés phosphores totau.'c (ng/l P)
PLASTIFIANTS
PCB totaux (polychlorobiphényles) ng/l
Taux moyen en chlore (PCB) %
Phtalates totaux ng/l
-DOP ng/l
-DBP ng/l
1
< 4
^ 4
2
< 2
-
C 5
< 5
...... i_5
<1
1
< 50
<r Rn
10
<10
< 200
226
2 3
-
VILLE DE PARIS
SERVICE DE CONTROLE DES EAUX
86 1501 ( C)
FEUILLET INTERCALAIRE
ANALYSES EFFECTUEES pour le compte de
Société d ' ExDloitatio.n des Eaux et Thernp.c;
PC ut.
S4B5
N°. d'Enghien les Bains - 3 Avenue rie Çpintnrp95880 ENGHIEN-LES-Bains
Echantillons prélevés par M ^^ MOUCHET le. 8 Avril 1986
>o Forage AGI
5»
RECHERCHES SPECIALES de micro-polluants organiques
BIOCIDES
HCB (hexachlorobenzène) nanogrammes/l : ng/l
Aldrine ng/l
Dieldrine ng/l
Heptachlore ng/i
Heptachlore époxyde ng/l
DDT op' na/l
DDT pp' ng/l
DDE pp' ng/l
TDE ou DDD pp' ng/l
°¿ HCH ng/l
Í3HCH ng/l
7 HCH (lindane) ng/l
Parathion ng/i
."alathion ng/l
Composés phosphores totau.'c (ng/l P)
PLASTIFIANTS
PCB totaux (polychlorobiphényles) ng/l
Taux moyen en chlore (PCB) %
Phtalates totaux ng/l
-DOP ng/l
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1
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-
C 5
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10
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226
2 3
-
Indice Phénol
Cyanures Totaux
Libres
Détergents anioniques
non ioniques
Carbone organique total
Hydrocarbures Indice CM, en I.R.
- avant florisil
- après florisil
HydrocarburesPolycliques aromatiques e
Diindéno (1,2,3-cd 1,2,3,1m) perylène
naphtalène
fluorène
phénanthrène
fluoranthène
pyrène
benzo (1,2) fluorène
chrysène
benzanthracène
benzo (e) pyrène
benzo (a) pyrène
benzo (ghi) perylène
indénopyrène
benzo (k) fluoranthène
benzo (j) fluoranthène
benzo (b) chrysène
benzo (b) fluoranthèneanthracene
Composés Azotés totaux (ng/L N)
it.-nayi np
Simazine
ProoazineProméthrine
pg/l
pg/l
pg/l
pg/l
pg/l
mg/l
mg/l
mg/l
n ng/l
1
/5
<^
yso
7 1
¿r n.oi
^ 40
¿ ISO
< 20
< 1
< ^n
11
¿ 2061
_
/ii<5
<:n< 2
60
C 1
< 1
0,5
( 10
< sn< 50
< 50<50
Pa
-
2
ris, le 27 Mai 19
, .iKicPlMlFUR E.-
np Lí^RnñAT'^;'^'^£
SímBTSUBJ'Sí"»
/XTtJ MOUC
3
36
CHtf:entralPUIABLUO
yvujdbj/
-lET
Indice Phénol
Cyanures Totaux
Libres
Détergents anioniques
non ioniques
Carbone organique total
Hydrocarbures Indice CM, en I.R.
- avant florisil
- après florisil
HydrocarburesPolycliques aromatiques e
Diindéno (1,2,3-cd 1,2,3,1m) perylène
naphtalène
fluorène
phénanthrène
fluoranthène
pyrène
benzo (1,2) fluorène
chrysène
benzanthracène
benzo (e) pyrène
benzo (a) pyrène
benzo (ghi) perylène
indénopyrène
benzo (k) fluoranthène
benzo (j) fluoranthène
benzo (b) chrysène
benzo (b) fluoranthèneanthracene
Composés Azotés totaux (ng/L N)
it.-nayi np
Simazine
ProoazineProméthrine
pg/l
pg/l
pg/l
pg/l
pg/l
mg/l
mg/l
mg/l
n ng/l
1
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ris, le 27 Mai 19
, .iKicPlMlFUR E.-
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3
36
CHtf:entralPUIABLUO
yvujdbj/
-lET
SERVICE DE CONTROLE DES EAUX144 Avenue Paul-Vaillant Couturier
75014 PARIS
Tél.; 655.85.00
DIRECTION DES SERVICESINDUSTRIELS ET COMMERCIAUX
VILLE DE PARIS
RÉSULTATS DES ANALYSES
CL effectuées pourle compte de Société d'Exploitationdes Eaux et Thermes d'EnghienLes Bains
3 Avenue de Ceinture
95880 ENGHIEN-LES-BAINS
Analyse n"'86 1501 (D)
n° 2
Désignations des échantillons pesosHe prélevés le 8 Avril 1986
0 .| Forage AGI
n°3
Résultats exprimés en microgramme par litre
^~~~-~-~-...,,^_^ Identification^~''"^~-->,,.^^ du point de
Noms des "-^-^orélèvementcomposés ^~^^--->.,,._^
DichlorométhaneCH2 C/I2
1 - 1 DichloroéthaneCI2 CH-CH3
1 - 2 DichloroéthylèneCICH = CHCI
ChloroformeCHCI3
1 - 2 DichloroéthaneCICH2-CH2CI
1-1-1 TrichloroéthaneCI3C CH3
Tétrachlorure de carboneCCI4
DichloromonobromométhaneCHCIjBr
TrichloréthylèneCl2C = CHCI
DibromomonochlorométhaneCHBrjCI
DichloroéthylèneCloC = CH2
BromoformeCHBra
TétrachloroéthaneCI2HC-CHCI2
TrétrachloréthylèneCl2C = CCl2
Limite dedétection
100
1000 .
100
1
1000
1
0,1
1
1
4
5
4
150
5
1 2
Pari
L|^DEL/DEPAF
^
t
3
=, le 2'
GENIEUR
EORATOIFTEMENT EA
L
1. MOUC
Mai 193
EN Cr'EF
E CE.'^TRALJX POTABLES
^^imMj -1
IHET-
non détecté
SERVICE DE CONTROLE DES EAUX144 Avenue Paul-Vaillant Couturier
75014 PARIS
Tél.; 655.85.00
DIRECTION DES SERVICESINDUSTRIELS ET COMMERCIAUX
VILLE DE PARIS
RÉSULTATS DES ANALYSES
CL effectuées pourle compte de Société d'Exploitationdes Eaux et Thermes d'EnghienLes Bains
3 Avenue de Ceinture
95880 ENGHIEN-LES-BAINS
Analyse n"'86 1501 (D)
n° 2
Désignations des échantillons pesosHe prélevés le 8 Avril 1986
0 .| Forage AGI
n°3
Résultats exprimés en microgramme par litre
^~~~-~-~-...,,^_^ Identification^~''"^~-->,,.^^ du point de
Noms des "-^-^orélèvementcomposés ^~^^--->.,,._^
DichlorométhaneCH2 C/I2
1 - 1 DichloroéthaneCI2 CH-CH3
1 - 2 DichloroéthylèneCICH = CHCI
ChloroformeCHCI3
1 - 2 DichloroéthaneCICH2-CH2CI
1-1-1 TrichloroéthaneCI3C CH3
Tétrachlorure de carboneCCI4
DichloromonobromométhaneCHCIjBr
TrichloréthylèneCl2C = CHCI
DibromomonochlorométhaneCHBrjCI
DichloroéthylèneCloC = CH2
BromoformeCHBra
TétrachloroéthaneCI2HC-CHCI2
TrétrachloréthylèneCl2C = CCl2
Limite dedétection
100
1000 .
100
1
1000
1
0,1
1
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150
5
1 2
Pari
L|^DEL/DEPAF
^
t
3
=, le 2'
GENIEUR
EORATOIFTEMENT EA
L
1. MOUC
Mai 193
EN Cr'EF
E CE.'^TRALJX POTABLES
^^imMj -1
IHET-
non détecté
ANNEXE 2
EVOLUTION DU DEGRE SULFYDRO DANS LES CAPTAGES DES THERMES
! DATE! 23/3/ei! 1/10/68! 6/11/69! 13/5/70! 15/10/70! 14/4/71! 19/10/71! 25/4/72! 20/5/72T~7/lT/72! 20/5/73! 19/9/73! 18/4/74! 29/10/74! 31/1/75! 20/3/75! 4/12/75! 9/3/76! 27/10/76! 18/4/77! 27/6/77! 15/9/77! 5/1/78I 25/4/78! 13/9/78! 13/5/79 .
! 30/10/79 J
! 16/5/80 .
! 25/6/80 .
! 24/11/80 .
! 7/1/81 .
! 10/2/81 1
! 26/5/81 !
1 16/6/81 !
! 6/1/82 !
! 2/6/82 !
! 28/10/82 !
! 13/11/82 !
! 7/12/82 !
! 6/1/83! 3/2/83 .
! 8/2/83 !
! 6/4/83 .
! 27/4/83 !
! 5/5/83 !
! 28/6/83 1
! 4/8/83 .
! 6/9/83 .
! 29/9/83 !
! 3/11/83 .
! COQUILr~ 2?! 24,9
! 18_^7
r 23_^5~ ~1 16,1! 16_j_1
! 32^6
. 16^713,422,72025,920,325,926,525,925,49,4-
21j524,924,93123,524
-
23,9-
27 !
30,927,6 !
35,2 !
25,4 !
22,7 !
29,2 !
22,3 !
19,2 1
22,7 !
20,8!
24,926,7 !
24,450 ¡
26,4 !
24,9 !
30,9 !
20^ !
¡PELIGOT
! 37^3! 23,1L Isl ! 22^2! 14,1: 274 ""1 2
19T722~12_j_8
7,519
6^4
16,515_j_7
T5,7 1
16,1-
-
-
13,18,5 .
21,53,7 .
314,4
!
4,79 !
18,7 !
627,6 !
19,620,5 !
19,8 !
5,7 !
17,6 !
4,7 !
19,4 !
6,5 !
24,4 !
19,8 !
20,5 !
25,9 !
13,5 !
28 !
25.9 !
! AGI
~"T374
7,9
! DATE! 1/12/83! 3/1/84! 3/2/841 2/3/84! 3/4/84I 28/4/84. 26/6/84. 31/7/84. 31/8/84. 7/9/84. 30/10/84
28/11/84. 30/11/84
28/12/841/2/85
. 1/3/8527/3/85
. 26/4/8531/5/8526/6/856/8/852/9/85 .
7/10/854/11/85 .
5/12/8513/11/86 .
6/3/868/4/86
16/4/86 .
15/5/86 .
19/6/86 .
6/8/86 .
3/9/86 .
16/10/86 .
" 19/11/86 .
22/12/86 .
.coguiL25,430,2
26,527,630,228,830,230,233,630,9
-
-
^
30,239,630,933,434,332,633_j^2740,9
39,637,335,230,930,93132,530,9
.PELIGOT ! ÂgT ~
. T5,9 ! T17,9 ! r28,9 ! 1
23.5 ! 1
24,4 ! 1
25,4 ! I
24,9 ! !
19,2 ! 1
27 ! !
27.2 ! I
28,9 1 !
15.3 ! 1
22.6 ! 1
32 ! !32 ! !
24,4 ! !6,9 ! 1
6,9 ! !
16,7 ! !
9,5 ! 1
22,3 ! !23,5 ! !
27 ! !26,5 ! 1
21,2 ! !36,2 ! 1
25,4 ! 1
! 15,9 I27 ! i24,4 1 !
27,6 ! !
23,1 ! 1
20,8 1 !
24,4 ! !28,8 ! 1
28,8 ! !
ANNEXE 2
EVOLUTION DU DEGRE SULFYDRO DANS LES CAPTAGES DES THERMES
! DATE! 23/3/ei! 1/10/68! 6/11/69! 13/5/70! 15/10/70! 14/4/71! 19/10/71! 25/4/72! 20/5/72T~7/lT/72! 20/5/73! 19/9/73! 18/4/74! 29/10/74! 31/1/75! 20/3/75! 4/12/75! 9/3/76! 27/10/76! 18/4/77! 27/6/77! 15/9/77! 5/1/78I 25/4/78! 13/9/78! 13/5/79 .
! 30/10/79 J
! 16/5/80 .
! 25/6/80 .
! 24/11/80 .
! 7/1/81 .
! 10/2/81 1
! 26/5/81 !
1 16/6/81 !
! 6/1/82 !
! 2/6/82 !
! 28/10/82 !
! 13/11/82 !
! 7/12/82 !
! 6/1/83! 3/2/83 .
! 8/2/83 !
! 6/4/83 .
! 27/4/83 !
! 5/5/83 !
! 28/6/83 1
! 4/8/83 .
! 6/9/83 .
! 29/9/83 !
! 3/11/83 .
! COQUILr~ 2?! 24,9
! 18_^7
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! 32^6
. 16^713,422,72025,920,325,926,525,925,49,4-
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-
23,9-
27 !
30,927,6 !
35,2 !
25,4 !
22,7 !
29,2 !
22,3 !
19,2 1
22,7 !
20,8!
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20^ !
¡PELIGOT
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-
-
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19,8 !
20,5 !
25,9 !
13,5 !
28 !
25.9 !
! AGI
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