Table ronde autour d’une «scène

ouverte»Projet Riboutique

Transit-Mass-Projet Lama

Contexte du Projet Riboutique

• «Scène ouverte» du quartier Ribaucourt à Molenbeek (N-0 Bruxelles) et précarité sociale

• Plateforme associative Ribaupôle en 2007

• Constats et impasses

• «Concertation bas seuil»

• Introduction d’une demande conjointe au «Fonds Fédéral de Lutte contre les assuétudes» en février 2012

• Projet piloté par Transit

Structure du Projet

• Projet Limité dans le temps.

• Mobilisation importante d’acteurs: Ribaupôle, secteurs spécialisé, opérateurs locaux, politique, justice, public...

• Intersections fortes au niveau des publics précarisés et exposés aux risques sociaux.

• Ouvre sur des dynamiques multiples et originales: offre de soin bas seuil, réduction des risques, travail de rue, accompagnement...

• Logique transversale et intersectorielle.

• Cascades Transit-Mass-Lama // opération de la police fédérale sur Ribaucourt.

Objectifs du Projet 2012

Réseau•Optimaliser les prises en charges.

•Re-fédérer les acteurs locaux autour de la situation des usagers de drogues.

•Etablir des partenariats.

•Organiser des formations.

•Articuler les acteurs locaux et spécialisés autour du soin et de l’accompagnement des usagers.

•Retour sur une première rencontre partagée.

Recherche

• Questionnaire co-construit avec Modus Vivendi. 92 patients.

• 30% de nos usagers en traitement fréquentent le lieu, 99% l’ont fréquenté au moins une fois.

• Problématique Régionale et public précarisé, déterminants sociaux de la santé dans le rouge.

• Etendue de la scène ouverte à d’autres lieux et d’autres publics en amont et en aval.

• Prise de risque dans les consommations de rue.

• Défaut d’accès au soin pour certains publics (migrants, illégaux, ...)

• Travail fait sur le terrain pas assez visible et pas assez cordonné.

• Recommandations des usagers et des travailleurs de rue en matière de prise en charge

Dispositifs•Dispositif de type accueil bas seuil qui

assure une mission de référence et de Réduction des risques.

•Dispositif de type Salle de Consommation et de santé à moindre risque.

•Travail de rue, RDR, accompagnement, comptoir mobile...maillage.

•Architecture mixte de subsidiation et de financement, crise sociale oblige.

Conclusions• Réunir des moyens à partir de divers appuis pour

poursuivre le projet.

• Développement du réseau local de soin et d’accompagnement.

• Travail politique sur l’ouverture des salles de consommation avec d’autres acteurs du social/santé. (PCLD, Fedito, Ribaupôle, Plan RDR...).

• Nécessité d’expérimenter de nouveaux dispositifs, de nouvelles manières d’articuler le travailler pour répondre à la crise sociale.

• Engagement d’une dynamique Belge au niveau fédéral en vue d’ouvrir des salles de consommation à moindre risques.