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Tableau comparatif des textes « sacrés » des religions antiques
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TABLEAU COMPARATIF DES TEXTES « SACRÉS » DES RELIGIONS ANTIQUES
Religion Fondateur présumé ou avéré
Date de vie ou événements
Textes prétendument ou réellement sacrés
Date de rédaction Intervalle entre mort du fondateur et début de la rédaction
Rédaction de la plus ancienne copie existante
Intervalle entre fin de rédaction et copie existante
Christianisme
Jésus-‐Christ -‐2 à 33i Nouveau
Testament {omission de l’Ancien Testament dans le présent tableau}
48 à 68ii 15 ans 114 (fragment)iii 200 (majeure partie des livres)iv
46 ans (fragment) 130 ans (majeure partie de livres)
Islam
Mahom
et 570 à 632 Coran 632-‐634 (collecte) ; début VIIIe s.
(fixation)v ; Xe s. (canonisation)vi Zéro ans, mais forte possibilité d’interpolations/ déviations
Vers 680vii (48 ans plus tard)
Aucune (la copie est antérieure à fin rédaction)
Sunnah (Hadiths) Milieu du VIIe s. (1ères notations personnelles) ; 717-‐720 (1ère ébauche de collecte sous le calife Omar II) ; 756-‐796 (1ère collecte sérieuse par imam de Médine Malik Ibn Abas)viii ; milieu du IXe s. (établissement vulgate)ix
Quelques décennies, mais 200 ans avant que l’œuvre soit achevée, nombreuses inventions avoués
Biographie 767 (bio d’Ibn Ishaq connue par adaptation abrégée d’Ibn Hisham †834)x
135-‐202 ans, suppressions certaines
Hindouisme
Fusion des
croyances
dravidiennes et
aryennes Invasions aryennes de l’Inde de 1800 à 1500 av. J.-‐Cxi
4 Vedas incluant des Upanishad
-‐1400 à -‐400 (composition) ; XIVe s. (fixation)xii ; VIIIe s. av. J.-‐C. (canonisation)xiii
Jusqu’à 1200 ans après les faits ou légendes
36 Smriti incluant des Upanishad, 18 Puranas, le Mahabharata dont le Bhagavad-‐Gita,
Ve et IVe s. av. J.-‐C.xiv ; 200 av. J-‐C. pour le Mahabharata (à partir de textes conçus dès le IVe s. av. J.-‐C.xv) et 100 av. J.-‐C. pour le Ramayanaxvi ; entre 100 et 300 pour les Lois de Manuxvii
Jusqu’à 1700 ans après les faits ou légendes
le Ramayana et les Lois de Manu
Bouddhisme
Siddhartha Gautama
(Bouddha) 80 ans entre
-‐623 et -‐383xviii
Sutra (recueil de sermons attribués au Buddha)
Ier ou IIe s. (fixé séparément par chaque secte)xix
Environ 483 à 643 ans, altérations très probables
Vinaya (règles de discipline monastique)
Ier ou IIe s. (fixé séparément par chaque secte)xx
Environ 483 à 643 ans, altérations très probables
Abhidharma (doctrine approfondie)
IVe ou Ve s. (fixé séparément par chaque secte)xxi
Environ 783 à 943 ans, altérations très probables
Mahavastu (biographie des Lokottaravadin)
IIe s. av. J.-‐C. au IVe s. (compilation progressive)xxii
393 à 893 ans, fiabilité discutable
Confucianisme
Kong Fuzi (Confucius) -‐551 à -‐479xxiii « Cinq / Six /
Douze / Treize Classiques »
Du début du IIe millénaire à -‐256 (compo présumée des Documents) ; XIe s. av. J.-‐C. (noyau des Mutations) ; -‐1122 à -‐481 av. J.-‐C. (rédac et collecte des Odes sous les Zhou) ; Ve s. av. J.-‐C. (expurgations et commentaires par Confucius) ; IVe s. av. J.-‐C. (attribution erronée des Printemps & Automnes à Confucius par Mencius) ; -‐206 à 220 (ré\écriture des Rites, Musique etc. sous les Han) ; IIe s. av. J.-‐C. (stabilisation des Mutations et avec Dix Ailes) ; 618-‐1279 (élargissement du canon sous les Tang et Song)xxiv ; XIe au XVIIe s. (relecture néoconfucéenne)xxv
Zéro an car matière des textes précèdent fondateur ; multiples interpolations majeures subséquentes ; pas de canon clos
« Quatre Livres » Ve s. av. J.-‐C. (rédac des Analectes par Confucius en pigeant dans docs préexistants)xxvi ; -‐479 (commentaire de la Grande Étude et de l’Invariable Milieu de Confucius par Zengzi) ; -‐479 à -‐221 (compilation des Anelectes par l’École de Qufu) ; -‐371 à -‐289 (rédaction du Mencius par lui-‐même)xxvii ; XIe au XVIIe s. (relecture néoconfucéenne)xxviii
De zéro à 190 ans car matière des textes précèdent fondateur ; très forte probabilité d’interpolations/ déviations
Biographie -‐104 à -‐91 (composition des Mémoires historiques par Sima Qian)
375 ans
Mazdéisme ou
Zoroastrisme
Zarathoustra Autour de
1000 av. J.-‐C.xxix
Avesta (incluant les Gathas)
IIIe s. (restructuration du mazdéisme par les mages Kartir et Tansar pour contrer le judaïsme & christianisme)xxx ; Fin du VIIe s. (invention de l’écriture avestique et rédaction de l’Avesta après la conquête arabe)xxxi ; IXe et Xe s. (compilation du Denkart, un sommaire de l’Avesta + biographie légendaire)xxxii
Approximative-‐ment 1700 ans ; corruption textuelle et perte d’une partie de l’Avesta lors de la migration des Parsis vers l’Indexxxiii
23 janvier 1323xxxiv
Environ 600 ans
Mithraïsme
Culte de la déité
Mitra ayant une
lointaine origine
aryenne Entièrement
mythologique Aucun document scripturaire de référence, sources éparses autant pour les cultes iranien, hellénique et romain
Début du IIe millénaire av. J.-‐C. (un seul des mille hymnes du Rig-‐Veda est dédié à Mitra)xxxv ; Dernier quart du Ve s. av. J.-‐C. (composition du Yast 10 de l'Avesta = déité juridique, pastorale et guerrière) ; bas-‐reliefs, épigraphes, épitaphes et allusions d’écrivains antiquesxxxvi
Ne s’applique pas
Taoïsme
Laozi VIe s. av. J.-‐
C.xxxvii Daodejing ou Laozi (81 chapitres de sentences philosophiques)
Fin du IVe s. av. J.-‐C. (début rédac)xxxviii ; aube du IIIe s. av. J.-‐C. (fixation par l’Académie de Qixa) ; -‐226 à -‐249 (commentaire par Wang Bi) ; -‐122 (versions discordantes)xxxix
Environ 300 ans, possibilité de déviations
-‐300 (extraits de 31 chap. sur papyrus bambou)xl
Zhuangzi (33 chapitres)
-‐350 (rédaction chap. 1 à 7) ; IIIe s. (chap. 23 à 33) ; -‐180 à -‐122 (chap. 8 à 22) ; 252 à 312 (réécriture de l’ensemble puis suppression de 19 chap. par Guo Xiang)xli
Environ 200 à 862 ans, altérations et interpolations presque certaines
Guanzi (76 chap.) -‐350 à -‐300xlii Environ 200 à 250 ans
Bio par Sima Qian -‐104 à -‐91xliii Environ 446 ans
Shintoïsme
Animisme
primitif
Depuis la nuit des temps
Kojiki (cosmogonie mythologique des origines du Japon, avec théologie et généalogie)
712xliv Ne s’applique pas, et de toute façon le Kojiki ne reflète pas le shinto populaire mais le shinto royal
ANNEXE 1 — LES SCHISMES DES SECTES BOUDDHIQUES ANTIQUES (TIRÉ D’UNIVERSALIS)
Bouddha n'avait rien écrit, puisque l'écriture était encore inconnue dans l'Inde gangétique à cette époque. Jusque vers le début de l'ère chrétienne, où ils furent enfin fixés par écrit, ces enseignements furent transmis uniquement par voie orale. Ce mode de transmission rendit possibles de très nombreuses modifications dans l'expression et de multiples additions, sans doute aussi un certain nombre d'oublis, voire de suppressions volontaires. La communauté monastique ne demeura unie que pendant un siècle après le Parinirvana, puis elle se divisa en une vingtaine de sectes au cours des cinq ou six siècles qui suivirent. Le premier schisme se serait produit vers le milieu du IVe siècle av. J.-‐C., déchirant la communauté primitive en deux groupes :
1. Les Mahasamghika qui croyaient que le saint arrivé au nirvana conserve certaines imperfections mineures. De cette faction se séparèrent plusieurs autres sectes à des dates que nous ignorons : 1.1. Les Lokottaravadin qui croyaient que les bouddhas sont entièrement supramondains, c'est-‐à-‐dire parfaitement purs de corps et d'esprit, et
libres de toutes les limitations de puissance et de savoir auxquelles sont soumis les êtres vivants dans le monde. 1.2. Les Prajnaptivadin qui croyaient que les êtres et les choses ne sont que de simples désignations dépourvues de toute réalité substantielle
(nihilisme). 1.3. Les Bahusrutiya dont les croyances étaient assez voisines de celles des Prajnaptivadin. 1.4. Au Ier siècle av. J.-‐C., une partie des Mahasamghika migra dans la vallée du fleuve Kristna en amont du golfe du Bengale, ce déplacement de
population engendra plusieurs sectes supplémentaires, dont : 1.4.1. Les Purvasaila. 1.4.2. Les Aparasaila.
2. Les Sthaviravadin qui croyaient que le saint arrivé au nirvana ne conserve aucune imperfection. 2.1. Un demi-‐siècle après le premier grand schisme, les Vatsiputriya se seraient séparés des Sthaviravadin ; ils croyaient que l'existence d'une
personne transmigrant d'une existence à une autre (lors du cycle de réincarnation) et essentiellement différente de l’âme cosmique brahmanique. 2.1.1. Après le début du IIe siècle av. J.-‐C., les Sammatiya, se seraient séparés des Vatsiputriya.
2.2. Un siècle après le premier grand schisme, les Sarvastivadin se seraient séparés des Sthaviravadin ; ils croyaient que « tout existe » (le passé, le futur et le présent) afin d'expliquer comment l'acte passé exerce son effet sur le présent et/ou l'avenir. 2.2.1. Après le début du IIe siècle av. J.-‐C., les Sautrantika se seraient séparés des Sarvastivadin.
2.3. Vers le début du IIe siècle av. J.-‐C., le restant des Sthaviravadin se scinda en deux groupes : 2.3.1. Les Mahisasaka qui croyaient que le Bouddha faisait toujours partie de la communauté et par conséquent que les offrandes de la
communauté à sa personne étaient inutiles. 2.3.2. Les Dharmaguptaka qui croyaient que le Bouddha ne faisait plus partie de la communauté et par conséquent que les offrandes et le culte
rendus au Bienheureux étaient très important.
Toutes les sectes bouddhistes antiques ont disparues depuis plus d’un millénaire – et avec elles les neuf dixièmes de leur littérature – à l’exception des Theravadin qui existent toujours à Ceylan, en Birmanie, en Thaïlande, au Laos et Cambodge. Presque toute la littérature des Theravadin nous a été transmise. Les Theravadin prétendent être les descendants directs des antiques Sthaviravadin.
ANNEXE 2 — LITTÉRATURE CANONIQUE BOUDDHISTE ANTIQUE CONSERVÉE (2 SUTRA, 6 VINAYA, 3 ABHIDHARMA)
Le Sutra complet des Theravadin en pali (sa langue originelle, proche du sanskrit). Deux Agama (quart de Sutra) des Sarvastivadin en traductions chinoises. Un Agama des Dharmaguptaka en traduction chinoise. Un Agama d’une secte issue des Mahasamghika en traduction chinoise. Le Vinaya complet des Theravadin en pali. Le Vinaya complet des Mahasamghika en traduction chinoise. Le Vinaya complet des Mahisasaka en traduction chinoise. Le Vinaya complet des Dharmaguptaka en traduction chinoise. Le Vinaya complet des Sarvastivadin en traduction chinoise. Le Vinaya complet des Mulasarvastivadin en traductions chinoise et tibétaine, et traductions partielles en sanskrit. L’Abhidharma complet des Theravadin en pali. L’Abhidharma complet des Sarvastivadin en traduction chinoise. L’Abhidharma complet des Dharmaguptaka en traduction chinoise.
L’on compte quelque vingt sectes bouddhiques antiques. Chacune avait trois recueils de textes canoniques « sacré, dont une partie des éléments étaient communs aux autres sectes et une partie était spécifique à chaque secte. Cela fait une soixantaine textes. En assumant que la moitié des éléments étaient communs, cela fait l’équivalent d’une trentaine de textes. Puisque il ne nous reste que l’équivalent de 11 textes, les deux tiers de la littérature bouddhique d’origine pré-‐médiévale nous sont complètement inconnus.
ANNEXE 3 — MITHRAÏSME (RÉSUMÉ-‐SYNTHÈSE DEPUIS UNIVERSALIS)
Mitra signifie « contrat » en védique et « ami » en sanscrit. Les parties les plus archaïques des Vedas (début du IIe millénaire av. J.-‐C.) placent Mitra comme coadjuteur d'Asura-‐Varuna au sommet de l’organigramme divin. Avec les Achéménides (au Ve siècle avant notre ère), Mithra devient le protecteur des contrats et des troupeaux et le dieu des combattants. Le garant des serments se transforme en défenseur armé des alliances. Mithra absorbe donc les attributions guerrières de la divinité védique Indra. Il protège la création d'Ahura-‐Mazda (dieu céleste et gardien de la justice qui intègre lui-‐même certains aspects majeurs du Mithra indo-‐iranien). Mithra est alors pleinement intégré à la religion zoroastriste. Les rois perses juraient par Mithra. Sous Artaxerxès II (IVe siècle av. J.-‐C.), Mithra devient un des trois dieux principaux et le septième mois de l'année lui était consacré ; son culte est marqué par des fêtes et des libations. À l’époque hellénistique, Mithra s’insert dans le panthéon grec, puis devient le garant et médiateur céleste des rois. Le plus ancien mithræum connu se trouve à Arsameia de Nymphaios dans l’ancien royaume de Commagène (centre-‐sud-‐est de l’Anatolie). En Cilicie (centre-‐sud-‐ouest de l’Anatolie), le mithraïsme se développe comme une société occulte à caractère militaire et hiérarchique chez les pirates et les insurgés anti-‐romains. Les combattants se lient par serment et se retranchent dans des grottes dont les futurs mithræum du monde romain garderont l'apparence interne. C’est de ce mithraïsme hellénisé que naît le Mitra tauroctone – dieu de victoire et de lumière – qui devient si populaire à Rome. Les cohortes d’auxiliaires orientaux des légions rapportent la déité dans l’Empire aux Ier siècle av. et apr. J.-‐C.
i Gérard GERTOUX, « Chronologie de la vie de Jésus », Approche scientifique d’une chronologie absolue, [En ligne], http://www.chronosynchro.net/wordpress/controversees/?aid=280&sa=1 (Consulté le 7 septembre 2012). http://www.chronosynchro.net/wordpress/controversees/?aid=280&sa=1 (Consulté le 7 septembre 2012). ii Frederick Fyvie BRUCE, Les documents du Nouveau Testaments — Peut-‐on s'y fier ?, Trois-‐Rivières, Impact, 2008, p. 13-‐16 sur 140 ; Kenneth Gentry, Before Jerusalem Fell — Dating the Book of Revelation, Fountain Inn (Caroline du Sud), Victorious Hope Publishing, 2010 (1989), 478 p. iii Josh MCDOWELL, Le verdict — Complément d’enquête, Nîmes, Éditions Vida, 2007, p. 25-‐49 sur 815. iv Matt SLICK, « Manuscript Evidence for Superior New Testament Reliability », Christian Apologetics & Research Ministry, [En ligne], http://www.carm.org/manuscript-‐evidence/ (Consulté le 5 juillet 2011). v Xavier TERNISIEN, « Le Coran en question », Le Monde, 7 septembre 2001, p. 13 et suivantes. vi Alfred-‐Louis DE PÉMARE, Aux origines du Coran, Paris, Téraèdre, 2004, quatrième de couverture (144 p.) vii Xavier TERNISIEN, loco citato, p. 13 et suivantes. viii Khalifa SOUA, Encyclopædia Universalis, [En ligne], « Hadith », http://www.universalis.fr/encyclopedie/hadith/ (Consulté le 12 juillet 2011). ix Alfred-‐Louis DE PÉMARE, « La formation des écritures islamiques », Ministère de l’Éducation Nationale, [En ligne], http://eduscol.education.fr/cid46351/la-‐formation-‐des-‐ecritures-‐islamiques.html (Consulté le 5 juillet 2011). x Maxime RODINSON, « Mahomet ou Muhammad », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/mahomet-‐muhammad/ (Consulté le 5 juillet 2011). xi Alexandre ASTIER, Histoire de l’Inde, Paris, Éditions Eyrolles, 2010, p. 37 sur 517. xii Stan JANTZ et Bruce BICKEL, World Religions & Cults 101 – A Guide to Spiritual Beliefs, Eugene, Hill House Publishers, 2002, p. 151-‐152 sur 270. xiii Jean VARENNE, « Veda », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/veda/ (Consulté le 5 juillet 2011). xiv Jean VARENNE, « Smrti », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/smrti-‐hindouisme/ (Consulté le 5 juillet 2011). xv Jacques DUPUIS, Histoire de l’Inde, Pondichéry, Éditions Kailash, 1996, p. 152 sur 417. xvi Alexandre ASTIER, opere citato, p. 12. xvii Jacques DUPUIS, opere citato, p. 154. xviii Lance Selwyn COUSINS, « The Dating of the Historical Buddha », Journal of the Royal Asiatic Society, série 3, vol 6, no 1, 1996, p. 57-‐63. xix André BAREAU, « Bouddhisme (Histoire) – Littératures et écoles bouddhiques », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/bouddhisme-‐histoire-‐litteratures-‐et-‐ecoles-‐bouddhiques/ (Consulté le 10 juillet 2011). xx Idem. xxi Idem. xxii ENCYCLOPAEDIA BRITANNICA, « Mahavastu », [En ligne], http://www.britannica.com/EBchecked/topic/357994/Mahavastu (Consulté le 10 juillet 2011). xxiii Rémi MATHIEU, « Confucius : sagesse d’hier, politique d’aujourd’hui », Sciences Humaines, no 223, février 2011, p. 52-‐57. xxiv Anne CHENG, Histoire de la pensée chinoise, Paris, Éditions du Seuil, 1997, p. 86-‐89 et 270-‐271 sur 700. xxv Kirill THOMPSON, « Zhu Xi (1130-‐1200) », Internet Encyclopedia of Philosophy, [En ligne], http://www.iep.utm.edu/zhu-‐xi/ (Consulté le 5 juillet 2011). xxvi Anne CHENG, opere citato, p. 85. xxvii Stan JANTZ et Bruce BICKEL, opere citato, p. 193-‐195. xxviii Rémi MATHIEU, loco citato, p. 52-‐57. xxix Jean KELLENS, « Réflexions sur la datation de Zoroastre », Jerusalem Studies in Arabic and Islam, no 26, 2002, p. 14-‐17 et 22-‐24. xxx Jean DE MENASCE, « Zoroastrisme », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/zoroastrisme/ (Consulté le 5 juillet 2011). xxxi Jean KELLENS, « L'Avesta, Zoroastre et les sources des religions indo-‐iraniennes », Clio, [En ligne], http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/lavesta_zoroastre_et_les_sources_des_religions_indo-‐iraniennes.asp (Consulté le 7 septembre 2012).
xxxii Jean KELLENS, Qui était Zarathustra ?, 2e éd., Liège, Université de Liège, 1984, p. 10 sur 27 ; Jean DE MENASCE, « Avesta », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/avesta/ (Consulté le 5 juillet 2011). xxxiii Jean KELLENS, loco citato, [En ligne]. xxxiv Jean KELLENS, « Vers -‐1000. Ainsi prêchait Zarathushtra ? », Sciences Humaines, Hors-‐série Spécial, no 12, novembre-‐décembre 2010. xxxv Jean VARENNE, « Mitra », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/mitra/ (Consulté le 12 juillet 2011). xxxvi Robert TURCAN, « Mithraïsme », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/mithraisme/ (Consulté le 12 juillet 2011). xxxvii Stan JANTZ et Bruce BICKEL, opere citato, p. 198. xxxviii Anne CHENG, opere citato, p. 113. xxxix Ronnie LITTLEJOHN, « Daoism », Internet Encyclopedia of Philosophy, [En ligne], http://www.iep.utm.edu/daoism/ (Consulté le 10 juillet 2011). xl Ibidem. xli Steve COUTINHO, « Zhuangzi (369-‐298 BCE) », Internet Encyclopedia of Philosophy, [En ligne], http://www.iep.utm.edu/zhuangzi/ (Consulté le 10 juillet 2011) ; Anne CHENG, opere citato, p. 113. xlii Ronnie LITTLEJOHN, loco citato, [En ligne]. xliii Ronnie LITTLEJOHN, « Laozi », Internet Encyclopedia of Philosophy, [En ligne], http://www.iep.utm.edu/laozi/ (Consulté le 10 juillet 2011). xliv René SIEFFERT, « Shinto », Encyclopædia Universalis, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/shinto/ (Consulté le 12 juillet 2011).