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TEST D’ENTREE AUX ETUDES SUPERIEURES DE GESTION BANCAIRE

Durée: 4 heures. Directives: Ce test comprend deux épreuves : 1. Une épreuve de rédaction - (Note : 40/100)

Cette épreuve sert à apprécier les qualités d’esprit de synthèse, de réflexion et d’expression. Le candidat est appelé à présenter en deux pages et de manière structurée ses propos concernant une problématique donnée au niveau du secteur bancaire libanais. Le candidat doit se référer à sa propre expérience professionnelle dans sa banque et à sa culture générale. Le candidat est conseillé de consulter les textes fournis en annexe pour s’en inspirer et enrichir son argumentation en vue de réussir un travail de qualité.

• Le style sera apprécié sur 10 points

• L’argumentation sera appréciée sur 30 points

2. Un QCM (Note : 60/100)

Le questionnaire comporte trois volets : • Culture économique et financière • Pratique bancaire • Raisonnement

Ce questionnaire sert à mesurer les connaissances professionnelles du candidat et son aptitude personnelle à juger. Chaque volet contient 20 questions.

Barème d’évaluation: Réponse exacte : + 2 points Réponse inexacte : - 1 point Absence de réponse ou réponse multiple1 : 0

1 Pour les questions à réponse unique

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Appréciation des qualités d'esprit de synthèse, de réflexion et d’expression

Vous êtes collaborateur de la banque LIBAN TRUST (LT) qui dispose d'un réseau de plusieurs dizaines d'agences réparties sur l'ensemble du territoire national. Dans un environnement devenu très concurrentiel, vos confrères rivalisent de créativité pour accroître le nombre de leurs clients. En tant que directeur commercial de la LT, vous avez constaté que leurs stratégies se fondaient sur la mise en oeuvre de techniques de marketing de masse ou de marketing individualisé. Travail à faire: A partir des documents joints, il vous est demandé d’adresser au directeur général un rapport bien structuré de deux pages dans le lequel vous lui exposerez :

• les principaux défis que doit relever actuellement votre banque dans l’application de sa stratégie visant l’accroissement du nombre de ses clients, particuliers ou professionnels

• et les moyens dont votre banque dispose pour atteindre cet objectif. Votre style sera apprécié sur 10 points

Votre argumentation sera appréciée sur 30 points

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Culture économique et financière A - choisir la bonne réponse 1. Depuis des années, le déficit budgétaire du Liban représente environ : a. 25% des dépenses publiques b. 35% des dépenses publiques c. 50% des dépenses publiques d. 75% des dépenses publiques

2. La conséquence sociale la plus dangereuse de la crise économique sur l’avenir du pays est : a. La disparition de la classe moyenne b. L'émigration massive de la population jeune et active. c. La montée du chômage d. Le taux croissant des mineurs abandonnés.

3. Le solde excédentaire de la balance libanaise des paiements durant la période 1991-2001 est

assuré principalement par: a. Le solde de la balance commerciale b. Le solde de la balance des capitaux c. Le solde de la balance des invisibles d. Le solde des transferts unilatéraux

4. Le LIBOR est : a. Le taux d'emprunt sur le marché boursier de Paris b. Le taux de base interbancaire offert sur le marché de Londres c. Le taux d'intérêt du dollar offert sur le marché de Wall Street. d. Le taux d'escompte de la Banque Centrale au Liban.

5. Les principaux importateurs de produits libanais sont : a. Les pays francophones b. Les pays arabes c. Les pays sud asiatiques d. Les pays de la Communauté Européenne.

6. Le fonds de roulement de l’entreprise est :

a. Les flux financiers non distribués aux actionnaires b. Les capitaux destinés à financer les immobilisations. c. Des ressources à long terme susceptibles de financer des besoins à court terme. d. Des fonds de placement destinés à financer les opérations de marchés.

7. La trésorerie nette est égale à :

a. La différence entre les besoins cycliques et les ressources cycliques b. La différence entre le fonds de roulement et le besoin en fonds de roulement c. La différence entre les produits financiers et les frais financiers. d. L’excédent brut d’exploitation.

8. Parmi les dettes gratuites de l’entreprise on trouve:

a. Le découvert bancaire b. Les crédits bancaires à court terme c. Le report à nouveau d. Les crédits fournisseurs

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9. Parmi les charges fictives inscrites au compte de résultat on trouve: a. Les impôts b. Les intérêts débiteurs c. Les amortissements et les provisions. d. Le goodwill

10. Les immobilisations financières contiennent entre autres :

a. Le fonds de commerce b. Le parc informatique c. Les valeurs de placement d. Les titres de participation.

B - Question à réponses multiples 11. La privatisation proposée au Liban vise en premier lieu à: a. Améliorer les prestations des services publiques b. Créer des emplois c. Alléger la dette publique d. Vendre une propriété publique e. Activer la bourse de Beyrouth

12. Concernant les indices boursiers, quelles sont les affirmations exactes? a. Au japon, l'indice boursier est le Nikkei 225 b. En Italie l'indice boursier est le CAC 40 c. En France l'indice boursier est le CAC 40 d. En Russie l'indice boursier est le DAX 30 e. Aux Etats Unis l'indice boursier est le Dow Jones

13. En tant que remède à la crise économique au Liban, quelles sont les affirmations exactes? a. Réduire les dépenses d'investissement de l'Etat. b. Alléger les structures administratives c. Réduire les dépenses courantes de l'Etat d. Réduire les impôts indirects sur les produits de luxe e. Augmenter la taxe douanière sur les matières premières destinées à l'industrie.

14. Concernant la bourse de Beyrouth, avec quelles affirmations êtes-vous d'accord? a. La bourse de Beyrouth est peu active b. La bourse de Beyrouth est connectée à celle de la place de Paris c. Les actions des banques libanaises négociées sur le marché secondaire ne sont pas unifiées. d. La bourse de Beyrouth est profonde et liquide e. La cotation à la bourse de Beyrouth se fait au continue.

15. Concernant la Banque du Liban, avec quelles affirmations êtes-vous d'accord? a. Son siège est à Beyrouth b. Son gouverneur est désigné pour 7 ans. c. Son rôle principal est la protection de la livre libanaise d. Sa politique est indépendante de celle du ministère des Finances. e. Elle intervient souvent sur le marché des changes.

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16. Quelles affirmations sont exactes ? a. On observe dans la réalité que les entreprises libanaises financent leurs investissements par

des crédits à court terme b. Un développement fort du chiffre d’affaires risque de créer une crise de liquidité c. L’analyse du haut du bilan est plus importante pour une entreprise que l’analyse du bas de

bilan d. L’accroissement du poste « clients » au bilan est toujours souhaitable e. Les entreprises libanaises sont aujourd’hui globalement plus endettées qu’il y a une quinzaine

d’années 17. Quels sont les impacts d’une décision d’augmentation de la production sur les comptes d’une

entreprise? a. L’Excédent Brut d’Exploitation (EBE) diminue b. Le taux de la valeur ajoutée est majoré c. L’Excédent Brut d’Exploitation varie d. Les engagements hors bilan progressent e. La consommation de matières premières augmente.

18. Quelles sont les conséquences logiques d’un développement de la sous-traitance dans une

entreprise ? a. Augmentation du taux de la valeur ajoutée b. Augmentation de l’actif immobilisé c. Réduction du Besoin en Fonds de Roulement (BFR) d. Diminution du taux de la valeur ajoutée e. Amélioration du taux de couverture FdR/BFR.

19. L’Excédent Net d’Exploitation:

a. est le solde économique de l’entreprise b. contient le solde financier c. est affecté par la politique salariale d. est le résultat net de l’entreprise e. mesure la valeur ajoutée.

20. La capacité d’autofinancement :

a. est le cash flow destiné à financer la croissance de l’activité b. est la source de financement la moins coûteuse c. est égale au résultat net de l’entreprise d. est affectée par la variation de l’impôt e. est affectée par la variation de l’investissement annuel.

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Pratique bancaire A - choisir la bonne réponse 21. Qu'entendons nous par vérification de la capacité bancaire du client lors d'une demande

d'ouverture de compte? a. S'assurer que la personne concernée ne présente aucun handicap mental b. S'assurer que la personne concernée est d'origine libanaise c. S'assurer que la personne concernée n'est frappée d’aucun interdit bancaire d. S'assurer que la personne concernée a un domicile.

22. Généralement, les taux de rémunération proposés sur les comptes à terme sont: a. Supérieurs à ceux pratiqués sur les comptes courants b. Inférieurs à ceux pratiqués sur le marché interbancaire c. Egaux à ceux pratiqués sur les bons du Trésor d. Les même en devises qu'en Livres Libanaises.

23. Les comptes débiteurs à vue sont renouvelés : a. Sur une base mensuelle b. Sur une base annuelle c. Sur une base trimestrielle d. Sur une base semestrielle

24. Juridiquement, la carte de crédit est régie par : a. Le Code de Commerce b. Par l'arrêté 256/92 issu de la Banque Centrale c. Le Code de la Monnaie et du Crédit d. Autres

25. Un chèque visé signifie que la banque tirée atteste que: a. la provision existe au moment de l'émission du chèque b. la provision existera au moment de la présentation du chèque c. la banque a bloqué la provision au profit du bénéficiaire d. le banquier lui même est l'émetteur du chèque tiré sur ses caisses

26. Pour une entreprise, le recours à un emprunt à taux variable : a. Est à conseiller si elle est fortement endettée b. Peut se justifier si elle a un endettement essentiellement à taux fixe c. Comporte un risque exagéré d. Est recommandé si le marché est prêteur à long terme.

27. Avec quelle affirmation relative à la notation des clients êtes vous d'accord? a. Elle ne concerne que les particuliers b. Elle permet de remplacer totalement le jugement des agents bancaires c. Elle contribue à maîtriser le risque d. C'est une technique infaillible

28. La facilité de caisse : a. S'accompagne logiquement d'un mouvement de compte significatif b. Correspond au financement sur une longue période c. Est interdite aux personnes morales

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d. Est appelée en d'autres termes le découvert. 29. Dans la remise documentaire (crédit documentaire) le risque essentiel du banquier est : a. La non livraison de la marchandise b. La fluctuation des taux de change c. L'incertitude du paiement ou de l'acceptation de l'acheteur d. L'incertitude de l'acceptation du vendeur

30. La segmentation de la clientèle aide à : a. Réduire les dépenses marketing b. Relancer l'activité de conseil financier c. Diminuer le nombre des agences bancaires d. Mieux cibler l'offre des produits et services.

B - Question à réponses multiples 31. Indiquez les éléments essentiels qu'une demande d'ouverture de compte devrait contenir: a. Conditions générales d'ouverture de compte b. La devise choisie pour l'ouverture de compte c. Les conditions d'accès au coffre d. Les moyens de paiement proposés au client e. Faire signer une procuration

32. Avec quelles affirmations relatives aux dépôts à terme êtes vous d'accord? a. Ils induisent des frais de gestion minimes b. Ils sont considérés des fonds volatiles c. Ils peuvent être investis à long terme d. Ils sont caractérisés par une multitude d'opérations e. Ils ne sont pas encouragés par la banque

33. Quelles formes peut revêtir un chèque? a. Chèque non barré, endossable b. Chèque barré, non endossable c. Chèque visé d. Chèque certifié e. Chèque réglementé.

34. Choisir les informations nécessaires pour effectuer un virement bancaire : a. Le numéro de compte du donneur d'ordre b. Le nom du bénéficiaire c. La signature du bénéficiaire d. La somme en chiffres et en lettres e. Le domicile du donneur d'ordre

35. Avec quelles affirmations concernant l'opération de crédit documentaire êtes-vous d'accord? a. Le banquier émetteur est le banquier de l'importateur. b. Le connaissement est un document de transport ferroviaire. c. En accordant un crédit documentaire, un banquier prend un risque. d. Le crédit documentaire ne peut être que révocable

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e. Le crédit documentaire transférable permet au bénéficiaire de se procurer auprès d'un tiers fournisseur la marchandise qu'il a vendue.

36. Parmi les 5 facteurs suivants, quels sont les 3 qui procurent des avantages concurrentiels sur le

marché du crédit-logement ? a. l'image de l'établissement prêteur b. la rapidité de réponse à la demande du client c. la qualité du service client d. un taux d’intérêt attrayant e. l'innovation dans les produits

37. Concernant le développement des "nouvelles techniques de l'information et de la communication" dans les banques, vous diriez que : a. elles permettent une offre "multi-canaux" b. elles génèrent des gains de productivité c. elles limitent les risques d. elles permettent de mieux connaître les clients e. elles sont de plus en plus coûteuses

38. Une entreprise peut financer ses stocks par: a. son fonds de roulement b. son besoin en fonds de roulement c. sa trésorerie d. des avances fournisseurs e. des avances clients.

39. Parmi les cinq propositions suivantes, quels sont les deux freins le plus souvent cités par les épargnants libanais pour ne pas investir à la bourse de Beyrouth? a. Elle est difficilement accessible b. Elle est difficile à comprendre c. Elle n'est pas active d. Elle est trop risquée e. Elle n'est pas transparente.

40. Les crédits personnels se caractérisent par : a. Un montant maximum d'emprunt b. Un versement mensuel qui s'élève à un quart du salaire mensuel au maximum c. La domiciliation du salaire d. La durée des crédits est standard e. Ils sont réservés à une certaine catégorie de la population.

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Raisonnement critique Choisir la bonne réponse 41. « Les systèmes de rémunérations dans les banques intègrent désormais des critères bien plus

larges que le seul salaire. Cependant, les établissements doivent trouver un modèle adapté à l’environnement changeant du marché. Une des questions essentielles consiste à trouver un équilibre entre fixe et variable. »

L’auteur voulait dire dans ce paragraphe, a. qu’il faut donner des salaires fixes et des salaires variables pour palier aux mutations du marché

de travail. b. qu’il faut adopter des critères fixes et des critères variables dans le nouveau système de

rémunération à la banque. c. Qu’il faut optimiser la combinaison entre une rémunération fixe et une variable de façon à

réussir un bon système de rémunération. d. Qu’il faut introduire une dimension variable dans le système de rémunération afin de motiver la

force salariale. 42. « Le ratio Cooke concernait avant tout le risque de crédit. Mais si les exigences en fonds propres

du futur ratio doivent principalement couvrir le risque de crédit, elles doivent aussi en couvrir d’autres : risques de taux, risques opérationnels etc… Nous voulons élargir l’assiette des risques couverts ; ces risques sont délicats à appréhender et il est encore aujourd’hui difficile de dire avec précision comment nous allons définir des exigences de fonds propres qui leur soient spécifiques.»

L’auteur présume à travers sa déclaration que : a. Le nouveau ratio Cooke doit couvrir la panoplie des risques bancaires. b. Les risques autres que le risque de crédit sont difficilement définis. c. Le nouveau ratio Cooke n’arrivera pas à couvrir les risques autres que le risque de crédit d. Les risques autres que le risque de crédit sont difficilement mesurables.

43. « Les propositions de Bâle favorisent les systèmes de cotations internes des banques qui vont

pouvoir allouer de façon plus efficace les fonds propres exigés pour couvrir leurs risques de crédit. La validation de ces systèmes soulève cependant de nombreuses questions. » Quelle est la partie tierce qui sera chargée de la validation de ce système interne?

a. Le département Audit à la banque. b. Les autorités de contrôle c. Le conseil d’administration de la banque. d. Les agences du rating.

44. « Créer de la valeur nécessite une coordination étroite entre les différentes fonctions de la

banque afin de mieux supporter les décisions du management. La mise en place d’un responsable du pilotage de la valeur permettrait d’apporter des réponses globales à des questions transversales. » Quelle est la meilleure phrase qui complèterait le sens du paragraphe :

a. Les questions ardues auxquelles sont confrontées les directions générales nécessitent une forte coordination entre les fonctions.

b. La direction des risques a souvent été créée pour quantifier les risques de crédit et de contrepartie.

c. La tâche primordiale étant toujours de coordonner les efforts en vue d’optimiser les choix d’actions.

d. Apprécier ou gérer le comportement des clients est donc central pour fiabiliser la gestion de la valeur. Mais est-ce de la responsabilité du commercial, du marketing ou etc.

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45. « Je suis sûr que la meilleure façon pour sauver la situation financière de notre établissement est

de lancer une nouvelle gamme de produits. Je défie toute personne qui s’oppose à l’application de cette stratégie d’exposer les preuves du contraire. » Le point faible de cet argument est le fait :

a. D’utiliser une analogie, chose non soutenable. b. D’avoir l’intention de faire supporter la charge des preuves aux opposants potentiels de la

stratégie. c. D’avoir échouer à fournir des statistiques en vue de soutenir son point de vue. d. D’être basé sur une théorie économique discréditée.

46. « Malgré le ralentissement observé depuis 5 ans, le contexte économique libanais reste porteur

pour l’activité bancaire, et l’application de la TVA ne devrait pas entraîner de dérapage des prix. Par ailleurs, la nouvelle réglementation de Bâle doit être adoptée pour améliorer davantage la surveillance des établissements bancaires. » Quel fait majeur pourrait démolir la portée de cet énoncé :

a. Une baisse continue du taux de croissance de l’économie. b. La perte de valeur de l’Euro. c. Une inflation due à l’application de la TVA d. Un retard dans l’application de la nouvelle réglementation de Bâle.

47. « En renforçant la concurrence, Internet donne l’avantage aux consommateurs. Quiconque

arrivera donc à comprendre le mieux leurs besoins détiendra un atout important. Ceci oblige les acteurs bancaires à améliorer le mode d’exploitation de l’ensemble de leur connaissance client. » Cet argument illustre le fait que :

a. L’Internet est un produit qui répond à un besoin. b. Mieux nous répondons à l’attente des clients plus compétitifs nous deviendrons. c. Internet est un moyen qui permet un accès aux données clients. d. L’Internet offre à l’utilisateur un accès en ligne pour consulter ses comptes à la banque.

48. « L’heure est à la rationalisation des outils informatiques. L’opération est délicate : non tenue des

délais, dysfonctionnement, climat déstabilisant. Pour y parvenir, il faut faire simple, tester chaque étape, convaincre les collaborateurs. » A quoi l’expression « climat déstabilisant » se réfère-t-elle ?

a. Les pannes accidentelles du parc informatique b. La panique des employés de peur d’être remplacés par la machine informatique. c. La résistance au changement manifestée par les employés. d. La déroute du circuit administratif due au retard dans l’installation informatique.

49. « Pour la majorité des Libanais, s’endetter revient à supporter une charge autant psychologique

que financière. » De quelle forme d’endettement l’auteur parle-t-il ?

a. Crédits pour l’achat d’une voiture b. Crédits d’investissement c. Crédits documentaires d. Crédits à la consommation.

50. « C’est le rêve parfois inavoué, un peu fantastique, de tout jeune cadre, ou presque, d’oser une

entreprise. Avec, en guise de pression, un lourd héritage du « libanais initiateur », intégré dans notre conscience collective. Tellement intégré qu’on en vient parfois à oublier les règles élémentaires de réussite. » L’argument présume par avance que:

a. La création d’une entreprise est un mixte de volonté et de réalisme. b. La création d’une entreprise se fait à partir d’une initiative privée. c. La création d’une entreprise est plus qu’une volonté. d. La création d’une entreprise se fait n’importe comment.

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B- Conditions minimales. Il faut déterminer si l’une des hypothèses ou les deux ensemble ou chacune des deux suffit pour répondre à la question. 51. . Quel est le montant des intérêts sur un capital de 2000$ déposé à un taux mensuel de 4.25% ?

I. Durée du dépôt : 6 mois. II. Taux semestriel : 5.6%.

a. Hypothèse I est seule suffisante. b. Hypothèse II est seule suffisante. c. Les deux hypothèses I et II sont nécessaires. d. Chacune des hypothèses I ou II aide à trouver la réponse. e. Les hypothèses fournies sont insuffisantes.

52. Quelles sont les intérêts sur un capital de 4500$ déposé pour une durée de 3 mois :

I. Le taux annuel est de à 6.25% II. Le taux trimestriel est égal à 6.1%


53. Quelle est la valeur de X ?

I. X2 + X = 2 II. X2 + 2X – 3 = 0


54. Quelle est la valeur en nombre entier de p ?

I. p= 4q II. q = 4p

a. Hypothèse I est seule suffisante b. Hypothèse II est seule suffisante c. Les deux hypothèses I et II sont nécessaires d. Chacune des hypothèses I ou II aide à trouver la réponse e. Les hypothèses fournies sont insuffisantes.

55. Janine a obtenu une augmentation de salaire importante. Qu’en est –il à propos de Georges ?

I. Si Georges reçoit une augmentation du salaire, Janine en recevra de même. II. Si Georges ne reçoit pas une augmentation de salaire, Janine n’en recevra pas non plus.

a. Hypothèse I est seule suffisante b. Hypothèse II est seule suffisante c. Les deux hypothèses I et II sont nécessaires d. Chacune des hypothèses I ou II aide à trouver la réponse e. Les hypothèses fournies sont insuffisantes.

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56. Est-ce que X est un nombre négatif ? I. 4X + 24 > 0 II. 4X – 24 < 0

a. Hypothèse I est seule suffisante b. Hypothèse II est seule suffisante c. Les deux hypothèses I et II sont nécessaires d. Chacune des hypothèses I ou II aide à trouver la réponse e. Les hypothèses fournies sont insuffisantes

57. Le nombre total de comptes clients ouverts cette année auprès de l’agence de notre banque à

Sioufi est supérieur de 12.5% à celui de l’an dernier. Quel est le nombre total de comptes ouverts cette année dans l’agence ? I. L’an dernier l’agence possédait 200 comptes débiteurs. II. L’an dernier l’agence possédait 1100 comptes clients.


58. Est que p est un nombre négatif ?

I. Le produit (5p) est un nombre positif II. (– p) est un nombre négatif


59. En 2001, notre banque contrôlait 20% du marché bancaire. Quel est, en nombre de clients, la

dimension du marché bancaire total ? I. Deux autres banques possédaient un tiers du marché II. Le nombre de clients dans notre banque s’élève à 100 000.


60. La population de la ville X était de 25 000 le premier janvier 1996. Dans quelle année cette

population atteindra 250 000 habitants. ? I. La population de la ville X double chaque année. II. La population de la ville X s’élevait à 800 000 habitant en janvier 2001.


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