4
UDPA–UNSA AXA TECH Décembre 2012 Information sur le projet de régionalisation des activités Packaging, Homologation et Distribution (TOM SCCM) (Comité d’Entreprise du 28 novembre 2012) Lors de la séance du C.E de novembre, la Direction d’AXA Tech a présenté son projet concernant l’évolution du service « déploiement » au sein du domaine technique : « environnement de travail » (Workplace). Auparavant articulé autour de 3 activités (Packaging, Homologation et Distribution) et sur des périmètres nationaux, le nouveau modèle d’organisation deviendra régional et vise à répartir ces activités différemment. Ainsi, l’activité et la responsabilité de la Distribution seront regroupées en France, pays qui aura la charge de continuer le déploiement de l’outil permettant la distribution de masse et automatisée d’applications vers les stations de travail : SCCM (System Center Configuration Manager). L’activité d’homologation continuera quant à elle d’être exécutée dans chacun des pays de la région Europe du Sud où des correspondants locaux assureront l’interface avec leurs clients. Le principal changement du projet de la Direction porte sur l’activité Packaging qui ne sera plus traitée en local, mais centralisée en Inde, au sein d’AXA Tech Shared Services (ATSS) Comme indiqué dans le document transmis aux membres du C.E, l’objectif poursuivi de ce projet de régionalisation est de piloter, standardiser, simplifier et automatiser ces activités sur l’ensemble du périmètre SESD, ceci afin d’obtenir une réduction de la charge de travail. S’agissant des impacts sociaux, la Direction a informé le Comité d’Entreprise que sur les 17 salariés français de l’équipe « déploiement », 5 seront amenés à changer d’activité d’ici fin juin 2013. Toujours au sein de la même équipe et sans modification de leur contrat de travail, ces salariés seront réorientés vers l’Homologation ou la Distribution. Un rôle de coordinateur régional sur l’ensemble des activités de déploiement sera également créé et réparti sur plusieurs salariés. Le démarrage du projet devrait avoir lieu fin 2012 et c’est progressivement, jusqu’en juillet 2013, que devrait être mis en place le nouveau modèle opérationnel et organisationnel. Comme ce fut le cas au mois d’octobre pour le projet concernant la Chaussée-St-Victor, la Direction d’AXA Tech a inscrit ce projet de régionalisation dans le cadre de la Gestion Prévisionnelle de l’Emploi et des Compétences. Concrètement, cela signifie que les différentes activités ont été identifiées et évaluées par l’entreprise selon leurs perspectives d’évolution : La Direction a également informé le C.E que des formations seront dispensées durant le 1 er trimestre 2013 pour accompagner les salariés concernés. Autre indication, sur la charge de travail cette fois : celle-ci devrait diminuer par l’automatisation des télédistributions et des processus de reprise, l’optimisation et la fiabilisation des processus d’inventaires sur les postes de travail et la standardisation et la réduction du nombre d’images. Pour absorber cette baisse sur les activités Distribution et Packaging, la Direction a indiqué vouloir réduire le nombre de prestataires d’ici fin 2013 et compte également sur deux départs à la retraite entre fin 2012 et début 2013 qui ne seront pas remplacés. Pour l’UDPA-UNSA, si la présentation la Direction comporte des éléments positifs, comme les données GPEC, nous ne pouvons bien évidemment qu’être opposés au fait que des activités quittent une nouvelle fois le territoire français (et européen) au profit de l’Inde. Sur ce sujet, nos convictions ne sont plus à démontrer. Une de nos interrogations au C.E a porté sur l’éloignement et la communication entre les salariés puisque l’anglais fera office de « lingua franca », ce qui risque de rendre les échanges plus complexes et la réactivité moins évidente. Suite à cette question, la Direction nous a informé vouloir s’appuyer sur les différents fuseaux horaires. Elle a précisé également avoir identifié les personnes aptes au rôle de coordinateur régional et ayant les compétences linguistiques nécessaires, tout en précisant que la formation viendrait en complément. Pour notre organisation, cela ne constitue pas une réponse satisfaisante, mais hélas, il faut bien l’avouer, sur ce point, nous sommes plutôt isolés … L’UDPA-UNSA suivra attentivement l’évolution de ce projet et reste ouverte à toutes remarques des effectifs concernés.

tract AXA Tech décembre 2012

Embed Size (px)

DESCRIPTION

tract mensuel UNSA AXA Tech

Citation preview

Page 1: tract AXA Tech décembre 2012

UUDDPPAA––UUNNSSAA AAXXAA TTEECCHH Décembre 2012

IInnffoorrmmaattiioonn ssuurr llee pprroojjeett ddee rrééggiioonnaalliissaattiioonn ddeess aaccttiivviittééss PPaacckkaaggiinngg,, HHoommoollooggaattiioonn eett DDiissttrriibbuuttiioonn ((TTOOMM SSCCCCMM))

((CCoommiittéé dd’’EEnnttrreepprriissee dduu 2288 nnoovveemmbbrree 22001122))

Lors de la séance du C.E de novembre, la Direction d’AXA Tech a présenté son projet concernant l’évolution du service « déploiement » au sein du domaine technique : « environnement de travail » (Workplace).

Auparavant articulé autour de 3 activités (Packaging, Homologation et Distribution) et sur des périmètres nationaux, le nouveau modèle d’organisation deviendra régional et vise à répartir ces activités différemment.

Ainsi, l’activité et la responsabilité de la Distribution seront regroupées en France, pays qui aura la charge de continuer le déploiement de l’outil permettant la distribution de masse et automatisée d’applications vers les stations de travail : SCCM (System Center Configuration Manager).

L’activité d’homologation continuera quant à elle d’être exécutée dans chacun des pays de la région Europe du Sud où des correspondants locaux assureront l’interface avec leurs clients.

Le principal changement du projet de la Direction porte sur l’activité Packaging qui ne sera plus traitée en local, mais centralisée en Inde, au sein d’AXA Tech Shared Services (ATSS)

Comme indiqué dans le document transmis aux membres du C.E, l’objectif poursuivi de ce projet de régionalisation est de piloter, standardiser, simplifier et automatiser ces activités sur l’ensemble du périmètre SESD, ceci afin d’obtenir une réduction de la charge de travail.

S’agissant des impacts sociaux, la Direction a informé le Comité d’Entreprise que sur les 17 salariés français de l’équipe « déploiement », 5 seront amenés à changer d’activité d’ici fin juin 2013. Toujours au sein de la même équipe et sans modification de leur contrat de travail, ces salariés seront réorientés vers l’Homologation ou la Distribution. Un rôle de coordinateur régional sur l’ensemble des activités de déploiement sera également créé et réparti sur plusieurs salariés.

Le démarrage du projet devrait avoir lieu fin 2012 et c’est progressivement, jusqu’en juillet 2013, que devrait être mis en place le nouveau modèle opérationnel et organisationnel.

Comme ce fut le cas au mois d’octobre pour le projet concernant la Chaussée-St-Victor, la Direction d’AXA Tech a inscrit ce projet de régionalisation dans le cadre de la Gestion Prévisionnelle de l’Emploi et des Compétences.

Concrètement, cela signifie que les différentes activités ont été identifiées et évaluées par l’entreprise selon leurs perspectives d’évolution :

La Direction a également informé le C.E que des formations seront dispensées durant le 1er trimestre 2013 pour accompagner les salariés concernés.

Autre indication, sur la charge de travail cette fois : celle-ci devrait diminuer par l’automatisation des télédistributions et des processus de reprise, l’optimisation et la fiabilisation des processus d’inventaires sur les postes de travail et la standardisation et la réduction du nombre d’images. Pour absorber cette baisse sur les activités Distribution et Packaging, la Direction a indiqué vouloir réduire le nombre de prestataires d’ici fin 2013 et compte également sur deux départs à la retraite entre fin 2012 et début 2013 qui ne seront pas remplacés.

Pour l’UDPA-UNSA, si la présentation la Direction comporte des éléments positifs, comme les données GPEC, nous ne pouvons bien évidemment qu’être opposés au fait que des activités quittent une nouvelle fois le territoire français (et européen) au profit de l’Inde. Sur ce sujet, nos convictions ne sont plus à démontrer.

Une de nos interrogations au C.E a porté sur l’éloignement et la communication entre les salariés puisque l’anglais fera office de « lingua franca », ce qui risque de rendre les échanges plus complexes et la réactivité moins évidente. Suite à cette question, la Direction nous a informé vouloir s’appuyer sur les différents fuseaux horaires. Elle a précisé également avoir identifié les personnes aptes au rôle de coordinateur régional et ayant les compétences linguistiques nécessaires, tout en précisant que la formation viendrait en complément. Pour notre organisation, cela ne constitue pas une réponse satisfaisante, mais hélas, il faut bien l’avouer, sur ce point, nous sommes plutôt isolés …

L’UDPA-UNSA suivra attentivement l’évolution de ce projet et reste ouverte à toutes remarques des effectifs concernés.

Page 2: tract AXA Tech décembre 2012

VVooyyaaggee,, vvooyyaaggee ……

Mis à part des projets d’évolution tels que celui présenté en première page de ce tract, projet s’appuyant sur la GPEC et dont les différents aspects sont abordés et discutés au Comité d’Entreprise avec les représentants des salariés, notre organisation tient à souligner la manière pour le moins critiquable dont l’entreprise gère son personnel et leurs activités dans certains services.

En effet, en totale contradiction avec le discours tenu et entretenu par nos dirigeants sur l’équilibre charge de travail/effectif, nous constatons que plusieurs départs ont eu, ont et vont avoir lieu (externes et internes : retraite, temps partiel…) sans qu’aucun remplacement ne soit intervenu ou prévu, ni aucune action proactive menée sur les activités.

Une des réponses envisagées dans une équipe en particulier (chez « Opérations »), pour pallier au sous-effectif, consiste même à transférer certaines tâches vers l’Inde, ce que nous ne pouvons accepter.

Nous tenons à rappeler notre total désaccord sur cette manière de procéder et invitons les salariés qui seraient confrontés à des situations du même type à se rapprocher de notre organisation.

Car auquel cas cette situation ne serait pas orpheline ou devait se répéter, l’UDPA-UNSA n’exclue pas de recourir à l’inspection du travail pour que cessent ces « petits projets de délocalisation » non partagés et non débattus au niveau des instances représentatives du personnel.

Alertée à plusieurs reprises par nos soins sur ces départs en cours ou à venir, la D.R.H d’AXA Tech n’a pas jugé nécessaire de nous fournir davantage d’explications et nous a renvoyé à la prochaine commission de suivi GPEC prévue en février 2013.

En attendant, comment feront les salariés dans ces services, déjà en sous-effectif ou qui vont l’être très prochainement pour s’organiser, poser leurs congés ou faire face à la croissance actuelle ou imminente de leur charge de travail ?

Pour l’UDPA-UNSA, malgré les beaux discours, ces questions sont plus que jamais d’actualité.

CCoonnssuullttaattiioonn ssuurr llee pprroojjeett dd’’aaccccoorrdd RRSSGG rreellaattiiff àà llaa GGPPEECC,, àà ll’’eemmppllooii ddeess sseenniioorrss eett àà llaa pprréévveennttiioonn ddeess ccoonnssééqquueenncceess ddeess mmuuttaattiioonnss ééccoonnoommiiqquueess

((CCoommiittéé dd’’EEnnttrreepprriissee dduu 2288 nnoovveemmbbrree 22001122))

Comme le prévoit le projet d’accord 2013-2015 sur la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences négocié en RSG durant les mois d’octobre et novembre, la Direction d’AXA Tech a consulté le Comité d’Entreprise sur ce dernier (voir notre tract de novembre).

Lors de cette consultation, notre représentant a d’abord rappelé les difficultés qu’ont eues les organisations syndicales à se faire entendre de la Direction du Groupe, notamment sur l’emploi.

4 séances de négociation et un front syndical unitaire pour obtenir en bout de course une fourchette de 800 à 1000 embauches CDI (hors commerciaux) en France sur les 3 ans à venir, c’est bien en dessous selon nous des capacités d’AXA.

C’est surtout révélateur qu’il existe bel et bien un discours, empreint de catastrophisme, pour les salariés et leurs représentants et un autre, teinté d’optimisme lié aux bons résultats, pour les actionnaires et autres « partenaires ».

Sans oublier qu’en ce qui nous concerne, une fourchette de recrutements n’a qu’un intérêt relatif si elle n’est pas mise en perspective avec le nombre de départs et, sur ce point, AXA refuse toujours de communiquer la moindre estimation sur la période de l’accord.

Néanmoins, nous avons rappelé lors du C.E quelques principes obtenus en négociation et inscrits dans l’accord qui, pour notre organisation, ne sont pas négligeables :

La solidarité de l’emploi entre Sociétés du Groupe, la fixation de cibles de « cédéïsations » de jeunes en alternance, les règles relatives à la mobilité, les mesures concernant les seniors ou bien encore la rencontre annuelle sur l’emploi sont autant de « garde-fous » qui permettront, s’ils sont correctement mis en œuvre, de sécuriser le parcours professionnel des salariés de la RSG.

C’est pour ces raisons que notre élu a indiqué au C.E l’intention de l’UDPA-UNSA d’être signataire de cet accord GPEC au niveau du Groupe.

Loin de donner caution à la politique de l’emploi menée par AXA en France, notre signature nous permettra de disposer d’informations et de suivre l’application des principes énoncés dans cet accord, tout en pesant sur l’entreprise afin qu’elle révise à la hausse ses objectifs de recrutement si nécessaire, en fonction des sorties.

Pour notre organisation, AXA n’offre toujours pas de réelle visibilité pluriannuelle sur l’emploi, sur sa stratégie et ses conséquences.

Cette visibilité, l’UDPA-UNSA compte bien l’obtenir, tant dans les différentes entreprises qui auront cet accord RSG comme socle de négociation pour leur propre GPEC, qu’au niveau du Groupe en France.

Page 3: tract AXA Tech décembre 2012

RRaappppoorrtt dduu ccaabbiinneett SSyynnddeexx mmaannddaattéé ppaarr llee CCoommiittéé dd’’EEnnttrreepprriissee ssuurr ll’’eexxppeerrttiissee ddeess ccoommpptteess 22001111 eett ddeess ccoommpptteess pprréévviissiioonnnneellss 22001122

((CCoommiittéé dd’’EEnnttrreepprriissee dduu 2288 nnoovveemmbbrree 22001122))

A l’ordre du jour du Comité d’entreprise du 28 novembre figurait également le point relatif à l’expertise du Cabinet Syndex.

D’après un rapport d’une centaine de pages présenté par deux personnes du cabinet et durant 2h30, les élus au C.E ont pu interroger la Direction sur de nombreux points ayant attrait aux comptes de l’entreprise, à sa gestion ou bien encore à l’environnement économique.

Ce rapport présentant un caractère confidentiel sur certaines informations qu’il contient, nous nous contenterons d’en énumérer ci-après quelques-unes, déjà connues pour la plupart, ces dernières ayant été communiquées au personnel ou à leurs représentants à plusieurs occasions.

Sur le plan stratégique et son avancement au niveau mondial :

Avec un objectif de réduction de coûts de 172 millions d’euros à horizon 2015, notre entreprise est un important contributeur au plan d’économies (sur l’informatique) établi par le Groupe dans le cadre d’Ambition 2015.

Les différentes renégociations de contrats sur les technologies avec nos fournisseurs permettent d’envisager des économies supérieures aux prévisions, mais dont le montant total ne devrait pas excéder 100 millions d’euros.

Un des choix technologiques mis en avant dans le rapport est celui du « Cloud », un choix qui présente plusieurs avantages pour AXA Tech, dont celui d’être peu consommateur en fonds propres.

Selon le rapport, le volet technologique doit contribuer à hauteur des 2/3 aux efforts de productivité attendus (coûts directs et frais de personnel), le restant étant subordonné à des actions de réduction de coûts internes, par exemple : « la gestion minceur » (Lean Management) (1).

Le rapport fait apparaitre également l’importance du partenariat avec nos clients ainsi que la nécessité de maîtriser la croissance des activités courantes (B.A.U) pour dégager des économies conjointes et répondre aux objectifs du plan stratégique.

Concernant les effectifs et l’emploi en France :

Les chiffres présentés dans le rapport sur l’évolution des effectifs entre 2009 et 2011 correspondent aux données et aux baisses déjà constatées à la lecture des bilans sociaux : moins de CDI en classe 3, 4 et 5 mais davantage de classe 7, d’attachés de Direction et de Directeurs.

Globalement, l’effectif CDI est en diminution, tout comme les effectifs globaux et ce sont les classes d’âge les plus jeunes qui sont les plus touchées.

Mise en perspective avec le plan stratégique d’AXA Tech et le non-remplacement de tous les départs, l’augmentation de la population senior (et les départs potentiels) apparait comme un facteur favorable pour atteindre les objectifs fixés en matière de réduction de personnel interne.

A l’inverse, sur la même période 2009-2011 et en comparaison avec la région, la France a vu ses effectifs en prestation grimper, tandis que les autres pays enregistraient des diminutions de travailleurs externes.

La Région Europe du Sud comptabilisait 34 prestataires de moins au mois d’avril 2012 dont 1 seul pour la France. Notre entité semble donc en retard sur les réductions attendues quant au nombre de prestataires.

Voilà donc, très succinctement, quelques informations tirées du rapport, rapport qui permettra aux élus du C.E et aux organisations syndicales d’affuter leurs réflexions et leurs revendications.

Ceci dit, ce n’est pas gagné. A titre d’exemple, lorsque nous avons interrogé la Direction au C.E du mois de juin sur les gains attendus du Lean, celle-ci nous avait répondu que le Lean était avant tout « une activité d’optimisation et d’amélioration des processus opérationnels qui ne se traduit pas forcément par des objectifs purement financiers, de baisse des coûts ». Pourtant le Lean figure bien parmi les actions de réduction de coûts internes à AXA Tech (1).

C’est pourquoi l’UDPA-UNSA réitérera sa question lors du passage du projet au C.E, pour la consultation.

Page 4: tract AXA Tech décembre 2012

RRééssuullttaattss ddee llaa ccoolllleeccttee dduu bboonn ddee ffiinnaanncceemmeenntt ssyynnddiiccaall 22001122..

Avec 110044 chèques récoltés entre le 12 novembre et le 14 décembre 2012 (+ 16 par rapport à 2011), l’UDPA-UNSA

continue sa progression dans AXA Tech.

Année

2008 Année 2009

Année 2010

Année 2011

Année 2012

CCGGTT 2299 1188 -- -- -- CCGGCC 4411 3377 3388 3344 2277

UUDDPPAA--UUNNSSAA 4466 5577 8866 8888 110044 CCFFDDTT 7711 338899 337799 444444 440000 CCFFTTCC 332299 88 -- -- --

Vous êtes toujours plus nombreux à reconnaître et apprécier :

- notre engagement,

- la clarté de nos positions et de nos revendications,

- la sélectivité de notre signature réservée aux seuls accords avec de réelles avancées,

- l’efficacité de notre accompagnement,

- la qualité des informations que nous vous délivrons chaque mois.

PPoouurr vvoottrree ssoouuttiieenn eett ppoouurr vvooss eennccoouurraaggeemmeennttss,, nnoouuss tteennoonnss àà vvoouuss eexxpprriimmeerr nnooss ssiinnccèèrreess rreemmeerrcciieemmeennttss..

L’équipe UDPA-UNSA d’AXA Tech

LL’’UUDDPPAA--UUNNSSAA

vvoouuss ssoouuhhaaiittee

dd’’eexxcceelllleenntteess

ffêêtteess

ddee ffiinn dd’’aannnnééee..

Franck GRANDMAISON

[email protected]

Téléphone interne : 55 24 79

Michel MAUROUARD

[email protected]

Téléphone interne : 55 24 97

Vos contacts :

Olivier ALTAZIN

[email protected]

Téléphone interne : 55 25 29

Jean-Pierre VASSARD

[email protected]

Téléphone interne : 52 72 29

Retrouvez toutes les communications de l’UDPA-UNSA sur notre site Internet : http://www.udpa-axa.org

local syndical : 55.27.36 banques-assurances.unsa.org