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(à suivre...) est-elle bien gérée ? La ville de La “bonne gestion” selon la majorité municipale Chapitre 3 : La gestion du temps... qu’il fera ? A Brunoy, le temps s’écoule doucement. Il ne s’y passe pas grand chose, sauf à la veille des élections municipales. Tenez, en septembre 2007, la majorité actuelle, après un 5 e mandat tout aussi “plan-plan“ que son 4 e mandat, lui-même aussi peu “rock’n’roll“ que son 3e mandat, lui-même aussi “bof“ que le 2 e ... etc. Bref, à l’issue de son 5 e et ennuyeux mandat, la majorité municipale a inauguré un théâtre. Juste avant les élections. Chouette, il allait enfin se passer quelque chose en ville ! Mais non. Tel le château de la Belle au bois dormant, la majorité municipale s’est à nouveau assoupie pour les 6 longues années de son 6 e mandat. Soyons justes : les 6 derniers mois de la 6 e année, elle a décidé de mettre les bouchées doubles et de réaliser ce qu’elle n’avait pas pris le temps de faire depuis plus de 30 ans. Et que je te promette une crèche ! Et que je m’engage à reconstruire (enfin) un gymnase ! Et que je te dévoile un parc “grand siècle“ ! Et que je bricole un pavillon de l’île ! Enfin, soyons réalistes : elle a planté des beaux panneaux un peu partout pour annoncer qu’elle allait réaliser séance tenante ce que n’importe quelle commune un peu raisonnable rêverait de réaliser sur 2 mandats. Déjà, les délais affichés ne sont pas tenus. Et il y a fort probable qu’une fois les élections passées, si par malheur la même équipe repartait pour un 7 e mandat, la plupart de ses projets finiraient dans des cartons. Prenons plutôt le pari qu’avec sa calamiteuse gestion, et du temps, et des finances publiques, la majorité actuelle roule droit dans le panneau ! Explications pages suivantes... Année électorale Tomberez-vous dans le panneau ? 2008 2009 2013 2012 2011 2010 ?

Tract PS Brunoy déc2013

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Page 1: Tract PS Brunoy déc2013

(à suivre...)

est-elle bien gérée ?La ville de

La “bonne gestion”

selon la majorité municipaleChapitre 3 : La gestion du temps... qu’il fera ?

A Brunoy, le temps s’écoule doucement. Il ne s’y passe pas grand chose, sauf à la veille des élections municipales.

Tenez, en septembre 2007, la majorité actuelle, après un 5e mandat tout aussi “plan-plan“ que son 4e mandat, lui-même aussi peu “rock’n’roll“ que son 3e mandat, lui-même aussi “bof“ que le 2e... etc. Bref, à l’issue de son 5e et ennuyeux mandat, la majorité municipale a inauguré un théâtre. Juste avant les élections. Chouette, il allait enfin se passer quelque chose en ville ! Mais non. Tel le château de la Belle au bois dormant, la majorité municipale s’est à nouveau assoupie pour les 6 longues années de son 6e mandat. Soyons justes : les 6 derniers mois de la 6e année, elle a décidé de mettre les bouchées doubles et de réaliser ce qu’elle n’avait pas pris le temps de faire depuis plus de 30 ans. Et que je te promette

une crèche ! Et que je m’engage à reconstruire (enfin) un gymnase ! Et que je te dévoile un parc “grand siècle“ ! Et que je bricole un pavillon de l’île ! Enfin, soyons réalistes : elle a planté des beaux panneaux un peu partout pour annoncer qu’elle allait réaliser séance tenante ce que n’importe quelle commune un peu raisonnable rêverait de réaliser sur 2 mandats. Déjà, les délais affichés ne sont pas tenus. Et il y a fort probable qu’une fois les élections passées, si par malheur la même équipe repartait pour un 7e mandat, la plupart de ses projets finiraient dans des cartons.Prenons plutôt le pari qu’avec sa calamiteuse gestion, et du temps, et des finances publiques, la majorité actuelle roule droit dans le panneau ! Explications pages suivantes... •

Année électorale Tomberez-vous dans le panneau ?

2008 2009 2013201220112010?

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Dans sa précipitation pré-électorale, la ville a oublié de

réfléchir avant de lancer son projet de guinguette sur les bords de l’Yerres.

Les Brunoyens vont se retrouver avec un équipement à la fois sous-dimensionné et beaucoup trop onéreux à rembourser.

Destiné à accueillir des soirées ou thés dansants, cet équipement n’offrira aux habitants qu’une surface de 60  m2.

Ajoutez à cela les 50 m2 destinés aux cuisines, aux réserves et aux sanitaires. Et vous comprendrez rapidement que cet équipement, de par sa conception, n’est pas à la hauteur d’une ville de 26.000 habitants.

Le seul objectif de la municipalité actuelle est de créer un projet électoraliste au détriment des finances communales, et sans considération pour les futurs usagers. •

Pavillon de l’île60m2 pour 1.680.000 €

La PeupleraieUn nouveau parc pour quoi faire ?

Demeures remarquablesNotre patrimoine sacrifiéLors du Conseil municipal du 26 septembre, l’actuelle majorité a modifié le PLU (plan local d’urbanisme).Cette modification permettra de construire des bâtiments plus hauts de 3 mètres par rapport à l’ancien PLU.

Cela va concerner de nombreuses parcelles de la ville dont certaines se trouvent dans le Parc du Museum ou de la propriété. Levanthal.

Vous connaissez la base de loisirs “Reigate & Banstead“, juste derrière la piscine ? La mairie, elle, semble l’avoir oubliée : les étangs s’envasent, l’aire de jeux se dégrade, les orties envahissent les abords, tout comme les bouteilles de verre brisées. Cet état de délabrement et d’abandon frappe l’ensemble des rares aires de jeux de Brunoy (voir photos ci-contre). Plutôt que de les entretenir, la muncipalité préfère créer un nouveau parc sur les bords de l’Yerres. Ce sera, nous dit-on, une évocation des jardins du XVIIIe siècle, quand Brunoy était la cour de récréation de la noblesse versaillaise. Et vive le passé !

Ce retour de 3 siècles en arrière coûtera aux Brunoyens la bagatelle de 600.000 €. Un montant auquel il faut déjà ajouté un surcoût de 120.000 € alors que les travaux ont à peine démarré !

En ces temps de crise, 720.000  € pour planter des arbres au bord de l’Yerres dans un secteur déjà riche en espaces verts aménagés (l’île de Brunoy, le parc de la Maison des arts, la base de loisirs), voilà qui laisse songeur ...Quitte à créer quelque chose à cet endroit, il aurait été plus judicieux d’investir dans un parcours santé ou un verger pédagogique pour répondre aux véritables attentes de la population. •

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Propriété CharrièrePrivatisation de la petite enfanceEnfin une nouvelle crèche à

Brunoy. Il était temps ! Dommage que la ville ait décidé de l’implanter loin de la gare et du réseau de transports en commun.Dommage qu’elle ait choisi le système d’une délégation de service public : c’est une entreprise privée qui aura le soin de gérer un service public essentiel. Sur le long terme, cela coûtera plus cher à la collectivité

qu’un service géré par la ville.Dommage enfin qu’elle ait choisi de réhabiliter un ancien bâtiment qu’elle a trop longtemps laissé à l’abandon. Le coût pour le mettre aux normes exigées pour une crèche moderne sera bien plus élevé que si la mairie avait fait le choix de construire un bâtiment neuf. •

Voirie

35 ans de laxisme On parle de Brunoy bien au-delà des frontières communales. N’y cherchez pas un motif de fierté : c’est dû à l’état déplorable de notre voirie.

Le résultat de 35 ans d’imprévoyance de la part de la municipalité actuelle.Mais ce sont les Brunoyens qui en subissent les désagréments au quotidien.

Police municipaleBaisse des effectifsAlors que de nouvelles caméras vont être mises en place, la mairie a réduit les effectifs de la police municipale. Qui va donc visionner ces nouvelles images ? Qui va assurer la sécurité des Brunoyens sur le terrain ? La logique municipale est étonnante ! Brunoy + de 300 naissances par an + de 900 enfants en âge d’aller à la crèche = 260 places de crèche

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Communauté d’agglomérationUne sacrée dette à rembourser

Une dette multipliée

par 3,7Toutes les données sur www.collectivites-locales.gouv.fr

Actuellement, tous les voyants financiers de la CAVY (Communauté d’agglomération du Val d’Yerres) sont dans le rouge. Sa capacité d’auto-financement nette est négative. Ses dépenses de fonctionnement sont passées de 21.395.000 € en 2007 à 33.984.000 € en 2012. Soit une augmentation de plus de 58 % !

Cette dérive financière doit beaucoup au nouveau CEC, sorte de nouveau “triton“ yerrois, dont les importants surcoûts rejaillissent cette fois sur toute la communauté. Pour éviter une situation encore plus catastrophique, la CAVY n’a eu d’autre issue que de créer un impôt communautaire.

Depuis sa création, la gestion de la CAVY est catastrophique. En moins de 5 années, la communauté d’agglomération s’est créé une dette de 57 203 000 € !

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57,203Evolution de la dette en millions d’euros

La CAVY fait en effet partie des rares communautés d’agglomération françaises qui ont opté pour la création d’un tel impôt. Non contente de se distinguer de la sorte, elle a eu le culot de l’augmenter dernièrement de plus de 300 % !

Une initiative que nous devons à un élu brunoyen, le deuxième Vice-Président en charge des finances et des affaires générales de la CAVY, Laurent Béteille. •

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En millions d’euros

Evolution des dépenses de fonctionnement